• Dover Quartet recital offers unusual program, including works by “forgotten composers” Viktor Ullmann and Szymon Laks - World Socialist Web Site

    https://www.wsws.org/en/articles/2017/12/18/dove-d18.html

    A recent recital in New York City by the Dover Quartet offered an unusual program. It included wonderful renditions of Romantic works by Felix #Mendelssohn and Robert #Schumann, but what made it special was the presence on the program of quartets by #Viktor_Ullmann and #Szymon_Laks. Ullmann and Laks are among the “forgotten composers” whose careers were ended or derailed by the Nazi Holocaust, and who are too slowly being rediscovered today.

    #musique #musique_de_chambre

  • 3月2日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-160302

    #Schumann #Pires twitter.com/UweSteiner/sta… posted at 14:45:39

    twitter.com/nikkan_gendai/… posted at 14:42:08

    Top story: Who Will Win Super Tuesday? Live Estimates of Tonight’s Final Republ… www.nytimes.com/interactive/20…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 12:07:03

    My Tweeted Times tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=rgp - top stories by @hragv, @ryansholin posted at 12:00:05

    「小胸筋」をケアすると良いことづくめだった! - NAVER まとめ matome.naver.jp/odai/214040016… | かなりつらいよね。 posted at 11:15:08

    Top story: Six N.J. newspapers call on Christie to resign www.usatoday.com/story/news/pol…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 10:24:58

    Papier is out! paper.li/ChikuwaQ/13277… Stories via @cofnairs @Reckon @Vjpap posted at 09:14:26

    RT @anijolix: #FotoCinéfila Felices sueños. pic.twitter.com/KKBIElNoWe posted at 08:51:06

    Top (...)

  • Scènes à ne pas mettre entre les mains de tous les enfants
    http://www.qobuz.com/info/Editoriaux/Le-Symphoman/Scenes-a-ne-pas-mettre-entre-les174244?recache=1

    On croirait volontiers que les treize Scènes d’enfants de Robert Schumann forment un ensemble d’une merveilleuse cohérence, alternant entre calme et agitation, réflexion et étourdissement... Et pourtant, lorsqu’il les coucha sur le papier dès 1838, il y en avait rien moins qu’une trentaine, sans ordre, sans objectif précis, ainsi qu’un peut en juger d’après une lettre à la lointaine bien-aimée Clara, datée du 19 mars 1838 : « Tant que j’y pense : ce que j’ai encore composé. C’était comme un écho de tes mots, lorsqu’une fois tu m’écrivis que je te semblais parfois être un enfant - en un mot, je me suis senti comme en costume d’angelot, et ai écrit une trentaine de petites choses mignonnes comme tout, parmi lesquelles j’en ai choisi douze que j’ai appelées Scènes d’enfants ». On fera remarquer qu’à cette époque, aucun des enfants de Schumann et Clara n’avait encore vu le jour, et que les éventuels modèles enfantins n’étaient donc pas immédiatement disponibles pour copie musicale d’après nature.

    Douze pièces, trente pièces... Or, à la publication en 1839, Schumann en sélectionnera treize ; étaient-ce les mêmes que les douze initialement choisies, plus une dernière ? Ou bien a-t-il plus largement remanié son choix ? Toujours est-il que l’un des critiques et chroniqueurs les plus influents - et fielleux - de son temps, Ludwig Rellstab (celui-là même qui surnommera « Clair de lune » la quatorzième sonate de Beethoven, quelques années après la mort du compositeur qui aurait peut-être préféré un autre nom), se fendit d’un très long article, fichtrement ampoulé dont voici la traduction complète concoctée par votre serviteur, en gardant tant que possible les circonvolutions verbales un peu serpentines.

    #scènes_d'enfants
    #Schumann
    Le #Symphoman