#screamo

Vanderling @vanderling 2/12/2024

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Souvenirs d’un pré-ado fan de grindcore – Musique Journal
▻https://musique-journal.fr/2024/11/26/souvenirs-dun-pre-ado-fan-de-grindcore
https://musique-journal.fr/wp-content/uploads/2024/11/musique-journal-r-507591-1550427177-5713.jpg
Peu après avoir fêté mes 11 ans, une opportunité inédite s’est offerte à moi. J’étais jusqu’alors épris de jazz et de classiques rock, lorsque le gendre d’un ami de mes parents, qui officiait en tant que bassiste dans le groupe #grindcore nantais Elysium , m’a proposé de découvrir les musiques extrêmes sur instruments amplifiés. Il m’a gravé une dizaine de CD, et mon adhésion fut immédiate. En quelques mois, grâce à l’ordinateur familial, Soulseek et le forum Metal France, je devenais un féru de #grind. À 12 ans, je commençais à écrire pour le #webzine dédié aux musiques extrêmes Nawak Posse , et tout mon temps était consacré à pourvoir mes oreilles en blast-beats ultra rapides, tandis que mon père était assez bienveillant pour m’accompagner dans les pires squats de Toulouse où j’allais prendre ma dose de distorsion démesurée et grotesque.
Tout Thou
▻https://thou.bandcamp.com
https://f4.bcbits.com/img/0002355544_100.png

#metal #hardcore #screamo #mathcore #drone&noise

Vanderling @vanderling

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odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/06/2015

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Listening to ’extreme’ music makes you calmer, not angrier, according to study | Music | The Guardian
▻http://www.theguardian.com/music/2015/jun/22/listening-heavy-metal-punk-extreme-music-makes-you-calmer-not-angrier-s
http://static.guim.co.uk/sys-images/Guardian/Pix/pictures/2014/5/8/1399566920824/Metallica-in-concert-Jame-012.jpg

Heavy metal is more commonly associated with headbanging, satanism, moshpits and the decapitation of small mammals. According to a new study, however, metal, and all forms of “extreme” music, can positively influence the listener, inspiring calmness rather than anger.
A study by the University of Queensland, the Australian public research institution in Brisbane, revealed that rather than proving the hypothesis that “extreme music causes anger”, the theory that “extreme music matches and helps to process anger” was supported instead.
Focusing on #heavy_metal, #emo, #hardcore, #punk, #screamo and the various other subgenres featured in the category of “extreme” music, honours student Leah Sharman and Dr Genevieve Dingle studied 39 regular listeners of extreme music, between the ages of 18 and 34.
“We found the music regulated sadness and enhanced positive emotions,” Sharman said. “When experiencing anger, extreme-music fans liked to listen to music that could match their anger.”
#musique #émotion
odilon @odilon CC BY-NC-ND
- Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 23/06/2015
  
  En fait je n’ai jamais compris que l’on puisse trouver extrême tout ce qui est hard rock et ses dérivés sachant que rien ne saurait être plus predictible que ce genre même de musique.
  
  Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
- Supergéante @supergeante 23/06/2015
  
  Oui, je suis d’accord. Quand j’avais quinze ans, j’écoutais Slayer toute la journée, mais Coltrane (de Love supreme à Ascension) me donnait mal à la tête, je ne comprenais rien. Puis, via John Zorn et Sonic Youth, j’ai découvert les musiques improvisées et la dimension éminament politique du free-jazz via l’histoire des Black Panthers.
  Il y a de la brutalité dans le hardcore, moins dans le hard-rock et les metal mainstream qui sont souvent assez mélodiques et structurés de manière très classique, avec débauche de technique démonstrative, et cette brutalité a son intérêt. Mais qualifier cette musique d’extrême, c’est exagéré, sauf peut-être aux confins du grind exutoire et encore. Ce qui est fort dans les « métals » c’est la dimension physique, le mosh pit, la communion du hurlement, l’explosion policée, cadrée, sous contrôle. Et les rituels du concert, les déguisements, le show, la frayeur d’opérette. On ne parle pas de révolution là, même chez Meshuggah.
  
  Supergéante @supergeante
- Lyco @lyco 23/06/2015
  
  L’extrême il peut être dans le rythme hyper rapide voire suffocant du punk hardcore, dans les textures très rugueuses du metal, le côté morbide qui se dégage des cris, la densité étouffante du sludge, etc. Même le drone metal, qui a ma préférence, et qui peut paraître plus apaisé, a une sécheresse, une austérité et une lourdeur, qui peuvent bien faire du genre une musique extrême.
  
  Lyco @lyco
- RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 23/06/2015
  
  #selon_une_étude_récente
  
  RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
- Supergéante @supergeante 23/06/2015
  
  Si tu parles de drone, je sors mon Om, dégaine mon Earth et mitraille mon Sunno))). Mais est-ce pour autant si extrême. Extase, répétition, de Radigue aux Gnawas c’est une longue, lancinante et vieille histoire.
  
  Supergéante @supergeante
- baroug @baroug 23/06/2015
  
  En même temps, depuis quand extrême et prédictible seraient-ils antonymes ?
  
  baroug @baroug
- unagi @unagi CC BY-NC 23/06/2015
  
  Il y a peut être malentendu sur ce que représente extrême en dehors de la brutalité de ces musiques.
  D’accord avec Baroug ce qui sortirait du champs toutes les musiques répétitives comme le Gabber par exemple.
  Musiques extrêmes, déviance et violence : normalisations et conversions
  ▻http://lodel.irevues.inist.fr/cahierspsychologiepolitique/index.php?id=832
  
  unagi @unagi CC BY-NC
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