• The Man in #Seat_Sixty-One . . .

    Who is the Man in #Seat_61?

    I’m Mark Smith, and I live in an English village in deepest Buckinghamshire, with Dutch wife Nicolette, our son & daughter, cats Phoenix & Rosie & Pip the crazy cockapoo.

    Many years ago I ran away from Oxford to join the circus - or as we called it in those days, British Rail. Starting out in rural Kent on what was then BR’s Southern Region, I was the Station Manager for London’s Charing Cross, London Bridge & Cannon Street stations in the early to mid 1990s. After a spell as the Customer Relations Manager for two large UK train companies, I worked for the Office of the Rail Regulator and later the Strategic Rail Authority, ending up at the Department for Transport in charge of the team regulating fares & ticketing on the British rail network. Since 2007 I have run seat 61 full-time, as (a) updating it has become a full-time job and (b) it’s more fun than real work.

    I’ve travelled the world on trains & ships and I’ve been on the other side of the counter too - in university vacations I worked for Transalpino in London, a European rail ticketing agency issuing tickets and advising travel agents on train travel across Europe. Now I can share that knowledge online. See awards & press room.

    Why ’Seat 61’?

    Zaharoff, the notorious arms dealer, would always book compartment 7 on the Orient Express to or from Istanbul. On Eurostar, I would always request seat 61 (in first class cars 7, 8, 11 or 12 in a classic Eurostar or in cars 3 or 14 in the new e320) as it lines up with the window, one of a cosy pair of seats facing each other across a table complete with table lamp, like an old Pullman car. It became a tradition, and I’ve left London in seat 61 en route to destinations such as Spain, Italy, Greece, Malta, Albania, Tunisia (via Lille & Marseille), Marrakech (via Paris, Madrid & Algeciras), Istanbul (via Vienna, Budapest & Transylvania), Ukraine & the Crimea, Aleppo, Damascus, Petra & Aqaba, and even Moscow, Vladivostok, Tokyo & Nagasaki via the Trans-Siberian Railway.
    What does the site aim to do?

    Many people want to cut their carbon footprint or are simply fed up with the stress of flying - and a significant number of people are afraid of flying or medically restricted from doing so. However, information on alternatives to flying is often difficult to find through a travel industry obsessed with flights.

    So this site aims to inspire people to do something more rewarding with their travel opportunities than schlepping to an airport, getting on a soulless airliner and missing all the world has to offer. It then sets out to enable people to take train or ferry by giving the confidence and know-how to book their trip themselves, or call the right people to book it for them at affordable prices.

    https://www.seat61.com

    #train #transport_ferroviaire #tout_sur_le_train #Mark_Smith

  • Epilogue sur le mouvement anti-mondialisation - Marseille Infos Autonomes
    https://mars-infos.org/epilogue-sur-le-mouvement-anti-6096

    Traduction d’un texte du collectif CrimeThinc qui analyse 22 ans après le blocage de l’OMC à Seattle ce que le mouvement qui a débuté à ce moment là peut nous apprendre aujourd’hui.

    Il y a 22 ans aujourd’hui, des anarchistes et d’autres manifestants ont réussi à bloquer et à fermer le sommet de l’Organisation mondiale du commerce à Seattle. C’était le début spectaculaire de ce que les journalistes ont appelé le « mouvement antimondialisation » - en fait, un mouvement mondial contre le capitalisme néolibéral. Au cours des dernières années, nous avons célébré les vingt ans de plusieurs des moments forts de ce mouvement. Aujourd’hui, nous réfléchissons à ses origines et à ce qu’il peut enseigner aux mouvements contemporains.

    • À Seattle, le 30 novembre 1999, les manifestants ont dû faire face à quelque 400 policiers ; en 2017, les manifestants ont dû affronter plus de 28 000 agents de sécurité lors de l’investiture de Donald Trump à Washington, DC, ou 31 000 lors des manifestations du G20 à Hambourg.

    • Il est important de souligner que pratiquement toutes ces expériences étaient fondamentalement joyeuses, positives et créatives. Reclaim the Streets organisait des fêtes de rue - oui, ils détruisaient les rues avec des marteaux-piqueurs, mais la police ne pouvait ni les voir ni les entendre car les marteaux-piqueurs étaient dissimulés sous les jupes des échassiers et noyés dans la musique techno. Chaque manifestation met en scène des marionnettes géantes et se termine par un concert punk ou une rave party. Les actions d’art performance prolifèrent, de même que les farces comme celles organisées par les Yes Men, qui créent de faux sites web pour les organisations commerciales mondiales et envoient ensuite des porte-parole se faisant passer pour leurs représentants, infligeant des burlesques farces à quiconque prend les faux sites web pour les pages officielles de ces institutions.

      Cette approche joyeuse et créative de la résistance est quelque chose que nous avons perdu, même si les confrontations se sont intensifiées dans le monde entier au cours des 20 dernières années.

    • La police était extrêmement inférieure en nombre lors des manifestations de l’OMC à Seattle. Sinon, les tactiques passives employées par les manifestants majoritairement « non violents » n’auraient pas suffi à les submerger. Au fur et à mesure que la police s’est intensifiée et militarisée au cours des années suivantes, les militants ont dû recourir à des tactiques plus conflictuelles, ainsi qu’à une spontanéité et une décentralisation croissantes, afin de déjouer la police.

    • L’une des principales fonctions de la police est de nous entraîner dans des querelles privées avec les autorités, nous enfermant dans le genre de bataille étroite qu’ils peuvent gagner, afin de nous distraire du reste du terrain social, y compris de tous ceux qui pourraient encore nous rejoindre mais qui restent sur la touche pour le moment.

    • En fin de compte, ce n’est ni l’escalade du maintien de l’ordre, ni notre réduction des effectifs qui ont sonné le glas du mouvement. Le mouvement altermondialiste s’est plutôt retrouvé dans une impasse après les attentats du 11 septembre 2001, lorsque les gouvernements auxquels nous nous opposions ont pu substituer un récit sur le terrorisme, la guerre et la violence ethnique à nos propositions de changement social. Ce changement de discours a été fatal non seulement parce qu’il a distrait ou intimidé ceux qui auraient pu rejoindre le mouvement, mais aussi parce qu’il a permis aux groupes autoritaires qui avaient été mis sur la touche par le mouvement de reprendre l’initiative et d’occuper l’espace de la protestation.

      Le mouvement anti-guerre, qui a suivi immédiatement le mouvement dit anti-mondialisation de la même manière que la réaction suit la révolution, fournit un contrepoint utile concernant ses forces. Dès le début de l’organisation, les organisateurs de partis marxistes traditionnels se sont assurés de tenir les rênes - et le brouillard du discours « anti-guerre » s’est avéré plus propice à leurs ambitions que l’opposition la plus confuse aux institutions financières mondiales. Immédiatement après les attaques du 11 septembre, les membres du Workers World Party ont organisé la coalition ANSWER comme groupe de façade pour leurs ambitions ; six mois plus tard, en mars 2002, les membres du Revolutionary Communist Party ont créé la coalition Not in Our Name. Ces deux dinosaures ont dominé l’organisation des manifestations pendant les années qui ont suivi.

      En conséquence, un nombre beaucoup plus important de personnes ont afflué dans les rues - le 15 février 2003 a connu l’une des plus grandes affluences de tous les temps - sans que les mobilisations énergiques qui ont eu lieu contre la mondialisation capitaliste n’aient eu le moindre impact.

    • Des politiciens comme Donald Trump ont réussi non pas en promettant aux gens un meilleur niveau de vie, mais en promettant à leurs électeurs que la violence inhérente à la société capitaliste sera principalement dirigée contre les autres.

      En réponse, nous pourrions prendre du recul par rapport aux confrontations immédiates - qui vont certainement persister et s’intensifier, que cela nous plaise ou non - pour nous demander ce dont les gens ont désespérément besoin aujourd’hui et réfléchir à la manière dont nous pourrions nous organiser à la base pour fournir ces choses comme point de départ de luttes qui peuvent finalement remplacer le pouvoir de l’État par une nouvelle base pour nos relations. Il ne s’agit pas seulement de nourriture et d’abris - que les groupes d’entraide se sont admirablement mobilisés pour fournir et défendre pendant la pandémie - ni d’assurer notre survie face à des catastrophes écologiques de plus en plus répandues. Il s’agit aussi de créer des liens significatifs entre les personnes, de canaliser la créativité hors des espaces virtuels où elle sert les plateformes des entreprises, d’inventer de nouvelles formes de joie et de convivialité. Tels devraient être nos points de départ à l’approche de la prochaine phase de notre lutte contre le capitalisme et la destruction industrielle de la biosphère.

  • Les psychopathes préfèrent rouler en voitures allemandes, selon une étude ETX Daily Up
    https://www.midilibre.fr/2021/11/22/les-psychopathes-preferent-rouler-en-voitures-allemandes-selon-une-etude-9

    Une étonnante étude britannique révèle que les personnes ayant des caractéristiques proches de celles d’un psychopathe aiment rouler en BMW ou en Audi, alors que ceux davantage sains d’esprit préfèrent les Kia ou les Skoda.


    Une étonnante étude britannique révèle que les personnes ayant des caractéristiques proches de celles d’un psychopathe aiment rouler en BMW ou en Audi, alors que ceux davantage sains d’esprit préfèrent les #Kia ou les #Skoda .

    La prochaine fois que vous croiserez une BMW marron ou une Audi verte, méfiez-vous de son conducteur. Une étude publiée par le comparateur de prix Scrap Car Comparison montre en effet que les possesseurs de voitures allemandes sont les plus susceptibles de présenter des signes de troubles du comportement.

    Cette étude a été réalisée auprès de conducteurs britanniques ayant accepté de passer un petit test de psychologie. Un score (noté sur 36) leur a chacun été attribué, puis une moyenne a été réalisée à partir de la marque de leur voiture. Il en ressort que ce sont les propriétaires de BMW qui présentent en moyenne les signes les plus avant-coureurs de psychopathie, juste devant ceux possédant une Audi. Suivent les propriétaires de Fiat et de Mazda. A noter que ceux qui roulent dans une voiture français ne seraient a priori pas trop inquiétants ! En queue de peloton, les conducteurs de #Seat, de #Kia ou de #Skoda ont l’air bien sages.

    Top 10 des marques dont les conducteurs présentent des signes de psychopathie (/36)
    1. #BMW (12,1)

    2. #Audi (11,7)
    
3. #Fiat (7,0)
    
4. #Mazda (6,4)
    
5. #Honda (6,3)
    
6. #Ford (6,1)

    7. #Mercedes-Benz (5,9)

    8. #Citroën (5,8)
    
9. #Volkswagen (5,4)

    10. #Hyundai (5,3)

    

L’étude va même encore plus loin puisqu’elle établit également un classement en fonction de la couleur de la carrosserie. Ainsi, les conducteurs d’une voiture couleur or (12,7) ou marron (12,2) seraient les plus inquiétants. D’autre part, ceux qui conduisent un #véhicule_électrique obtiennent en moyenne un score bien plus important (16) que ceux qui ont choisi de rouler en #hybride (9,8), au #Diesel (7) ou à l’ #essence (5,2).

    L’étude précise tout de même « qu’aucun de nos conducteurs interrogés n’ait obtenu un score suffisamment élevé pour suggérer qu’ils possèdent des traits clairs généralement exposés par un psychopathe ».

    Cette étude a été réalisée en novembre 2021 par 3Gem auprès de 2000 conducteurs britanniques.

    #Voiture #Angleterre #psychopathe #psychopathie

    • Financer une étude scientifique sur un fait que tous les automobilistes connaissent.
      Il y en a qui s’ennuient et qui ont du pognon à gaspiller.

      Ils auraient pu étudier le type de voiture.
      Les conductrices.eurs de coupés mercedes battent tous les records, dans mon coin.

  • Seattle approves minimum pay rate for Uber and Lyft drivers - Bywire Decentralised News: Unbiased, Truthful & Free
    https://bywire.news/articles/seattle-approves-minimum-pay-rate-for-uber-and-lyft-drivers

    - The Seattle City Council passed a minimum pay standard for drivers for companies like Uber Technologies Inc <UBER.N> and Lyft Inc <LYFT.O> on Tuesday.

    Under the ordinance, effective January, the drivers will now earn at least $16.39 per hour - the minimum wage in Seattle for companies with more than 500 employees.

    Seattle’s law, modeled after a similar regulation in New York City, aims to reduce the amount of time drivers spend “cruising” without a passenger by paying drivers more during those times.

    City officials argue this should prevent Uber and Lyft from oversaturating the market at drivers’ expense, but the companies say it would effectively force them to block some drivers access to the app. Both Uber and Lyft have locked out drivers in response to the NYC law.

    “The City’s plan is deeply flawed and will actually destroy jobs for thousands of people — as many as 4,000 drivers on Lyft alone — and drive rideshare companies out of Seattle,” Lyft said in a statement.

    Uber did not immediately respond to request for comment.

    Researchers at the University of California, Berkeley, and New York’s New School, who analyzed the Seattle ride-hailing market using city data and a driver survey, found drivers net only about $9.70 an hour, with a third of all drivers working more than 32 hours per week.

    But a study of data provided by Uber and Lyft showed most ride-hail workers in Seattle are part-time drivers whose earnings are roughly in line with the city’s median, defying some perceptions of drivers working full-time for little pay.

    (Reporting by Tina Bellon in New York and Rama Venkat in Bengaluru; Editing by Simon Cameron-Moore)

    #Uber #Travail #Droit_travail #Seattle

  • Portland, ville symbole de la résistance à Trump
    https://www.courrierinternational.com/article/manifestations-portland-ville-symbole-de-la-resistance-trump

    Voilà plus de cinquante jours que les manifestations contre le racisme et les violences policières se succèdent à Portland, la plus grosse ville de l’Oregon. Le récent déploiement de forces spéciales du gouvernement fédéral n’a fait qu’envenimer les choses.

    #paywall

    • Cinquante-deux jours consécutifs de #manifestations. Si la #mobilisation contre les #violences_policières à la suite de la mort de George Floyd a fléchi dans les rues des autres grandes villes et des petites villes américaines, à Portland, dans l’#Oregon, « la détermination des manifestants va croissant », rapporte le New York Times.

      Et pour cause, la ville est devenue un #symbole du #bras_de_fer engagé par Donald Trump pour mettre un terme aux troubles et aux manifestations en déployant des #forces_spéciales de #police_fédérale.

      « Flagrant #abus_de_pouvoir »

      Le locataire de la Maison-Blanche a encore dénoncé sur Twitter ce dimanche 19 juillet les « anarchistes et agitateurs » qu’il considère comme « une #menace_nationale » et qu’il désigne comme responsables du « #chaos et de l’#anarchie » qui règne dans cette ville de la côte Ouest. Or « davantage de manifestants sont sortis dans les rues de Portland pour protester contre la #militarisation du #maintien_de_l'ordre », rendue palpable par le déploiement de forces spéciales de police fédérale dans la ville depuis le début du mois de juillet, souligne le quotidien new-yorkais.

      Dans un second article, le New York Times décrit plus précisément ces forces spéciales de police fédérale : « Des #agents_fédéraux vêtus de tenues camouflage et d’équipements tactiques, usant de #gaz_lacrymogène et de #brutalité, et embarquant à l’occasion des manifestants dans des véhicules banalisés », ce que la gouverneure démocrate de l’Oregon, Kate Brown, a qualifié de « flagrant abus de pouvoir ».

      La procureure générale de l’État a également indiqué que ses services avaient ouvert une #enquête à la suite de #violences sur un manifestant et avaient enregistré une #plainte devant un tribunal local contre les méthodes répressives illégales des agents fédéraux.

      Les agents présents à Portland font partie des « équipes à déploiement rapide mises en place par le ministère de la Sécurité intérieure ». Il s’agit d’une demande expresse du président américain auprès de différentes agences fédérales d’envoyer des renforts pour « protéger les #statues, #monuments et bâtiments fédéraux pendant les manifestations ».

      Tout un symbole

      Ces équipes incluent environ « 2 ?000 hommes issus de la #police_des_frontières, mais aussi du ministère des Transports et des #gardes-côtes qui viennent prêter main-forte au #Federal_Protective_Service », une agence fédérale peu connue chargée de la #protection_des_propriétés du gouvernement fédéral sur tout le territoire américain.

      Ces renforts fédéraux « ont été déployés à #Seattle, à #Washington et à Portland », souligne le New York Times. Depuis, les images chocs, les vidéos amateurs et les témoignages se multiplient sur les réseaux sociaux et dans les médias américains pour dénoncer la violence de la #répression à Portland.

      Parmi les images les plus frappantes qui ont fait le tour de la Toile figure cette vidéo d’un groupe de mères casquées venues protester contre la présence des agents fédéraux aux cris de « Feds stay clear. Moms are here ?! » ("Allez-vous-en les fédéraux, les mères sont là !").

      Ou encore les photos et vidéos de cette manifestante nue exécutant un drôle de ballet devant les forces de l’ordre. Une manifestante anonyme qualifiée par le Los Angeles Times d’"Athéna", en référence à la déesse grecque de la guerre, émergeant « telle une apparition au milieu des nuages de gaz lacrymogène lancé par les agents fédéraux et ne portant rien d’autre qu’un masque et un bonnet noir face à une dizaine d’agents lourdement armés et vêtus de treillis militaire ».

      Le symbole même de la « vulnérabilité humaine » face à une répression disproportionnée.

      #résistance #Trump #USA #Etats-Unis #plainte #Naked_Athena #Athena

      ping @davduf

    • A Portland, la « milice personnelle de Trump » à l’œuvre

      Ils jaillissent de voitures banalisées, vêtus d’uniformes kaki tout neufs dignes de la guerre d’Irak, pour interpeller des manifestants, ou, trop souvent, de simples passants soupçonnés d’être de « dangereux anarchistes ». Une vidéo montre un de leurs commandos maîtriser à dix, avec l’aide d’un chien policier, un tagueur devant la cour de justice fédérale de Portland, Oregon.

      Ces forces de l’ordre inconnues, dénuées du moindre insigne déclinant leur identité ou leur administration d’origine, côtoient depuis près de deux semaines la police de Portland pour disperser les rassemblements de militants Black Lives Matter, toujours actifs depuis la mort de George Floyd. S’ils coordonnent parfois officieusement leurs actions avec les policiers locaux, connus pour leur brutalité, ils ne prennent leurs ordres que de Washington. Essentiellement du Department of Homeland Security, l’administration de la sécurité intérieure fondée après le 11 Septembre, aujourd’hui étroitement contrôlée par Donald Trump en personne – au grand désarroi des autorités locales, qui assurent n’avoir jamais demandé un tel renfort. « Ces dizaines, voire ces centaines d’officiers fédéraux qui débarquent dans notre ville ne font qu’envenimer la situation, a déploré Ted Wheeler, le maire démocrate de Portland. Leur présence ne fait qu’accroître les violences et le vandalisme. »

      Pour toute réponse, Donald Trump a annoncé qu’il entendait poursuivre ces déploiements dans d’autres villes, telles Chicago, Detroit, Philadelphie, Baltimore et Oakland (en Californie), ainsi que…New York, qui ne connaît plus de manifestations d’envergure, pour rétablir l’ordre dans des municipalités « mal dirigées par des Démocrates de gauche ».

      Aucune compétence sur la voie publique

      L’offensive de la Maison Blanche, décrite comme une manifestation d’autoritarisme et une crise constitutionnelle par l’Aclu, importante association de défense des droits civils, provoque un choc dans l’opinion. Révulsée, Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre des représentants, demande le retrait des « troupes d’assaut de Donald Trump ». Tom Ridge, premier directeur du Homeland Security Department entre 2003 et 2005, a pour sa part rappelé que cette agence de l’Etat fédéral n’a pas été conçue « pour servir de milice personnelle à Donald Trump ».

      Le maintien de l’ordre est traditionnellement la responsabilité des autorités locales : des Etats mais plus couramment des maires des villes, des shérifs élus et des dirigeants de comtés. Les forces fédérales, tels le FBI, la Drug Enforcement Administration et les agences de lutte contre l’immigration clandestine, ne sont compétentes que pour les crimes et délits impliquant des mouvements entre plusieurs Etats ou dûment inscrits en raison de leur gravité dans une liste approuvée par le Congrès. Hormis pour la protection des bâtiments fédéraux, un prétexte largement utilisé à Portland, ils n’ont aucune compétence sur la voie publique, alors qu’ils quadrillent la ville impunément sans autorisation des autorités locales.

      Donald Trump, brutalisé par les sondages et en mal de démonstration d’autorité, a fait son miel du slogan de Black Lives Matter « defund the police », soit retirer ses financements à la police. Le mot d’ordre appelait à la fin de la militarisation du maintien de l’ordre local et au rééquilibrage des fonds publics vers les services sociaux ou de prévention de la criminalité. La Maison Blanche y voit l’occasion de se présenter comme la championne de la loi et de l’ordre face au prétendu laxisme des élus démocrates, quitte à attiser les conflits locaux avant les élections de novembre.

      Rempart contre le prétendu chaos

      Le Président n’a eu de cesse, depuis trois ans, de stigmatiser les « villes sanctuaires » qui limitent leur appui à ses campagnes d’arrestation d’immigrants clandestins. Il trouve maintenant une nouvelle occasion de monter sa base électorale, largement rurale, contre les zones urbaines, majoritairement démocrates, et de s’imposer comme un rempart contre le prétendu chaos. Donald Trump avait évoqué Chicago et son taux de criminalité terrible dès son discours inaugural apocalyptique de janvier 2017 pour promettre la fin de ce « massacre américain ». Mais on ignore l’impact qu’aura sa centaine d’enquêteurs fédéraux dans une ville qui a connu 62 attaques armées entre gangs le week-end dernier. Le maire de Detroit, comme celui de Philadelphie, demandent quant à eux poliment d’où le Président tire ses informations sur le désordre et la criminalité locale.

      Plus perfidement, Trump profite de la colère des polices locales, notamment à New York, ou le maire, Bill de Blasio, à réduit le budget du NYPD sous la pression de Black Lives Matter, pour tenter de déstabiliser les élus démocrates au moment où, certes, la criminalité augmente depuis le déconfinement sans pour autant renverser vingt ans de progrès spectaculaires dans la sécurité de la ville.

      Le Président a, de plus, accru son emprise sur les forces fédérales usant non du FBI, qu’il déteste en raison des enquêtes sur sa possible collusion avec Moscou, mais des agences qui lui sont dévouées, comme la police des frontières et l’Immigration and Customs Enforcement (ICE), responsable des arrestations de clandestins. Ces officiers, dénués de toute expérience en matière de contrôle des désordres sur la voie publique, constituent la majorité des troupes en uniforme kaki qui traquent les tagueurs de Portland et pourraient bientôt imposer la marque Trump dans les ghettos du South Side, à Chicago.

      https://www.liberation.fr/planete/2020/07/22/a-portland-la-milice-personnelle-de-trump-a-l-oeuvre_1794940?xtor=rss-450

  • Un entretien sur l’occupation de Capitol Hill à Seattle
    « Une forme politique issue de la lutte »

    Viewpoint Magazine

    https://lavoiedujaguar.net/Un-entretien-sur-l-occupation-de-Capitol-Hill-a-Seattle-Une-forme-po

    Il y a quelques jours, Viewpoint Magazine s’est assis, le 13 juin, avec P, un militant basé à Seattle, pour une conversation approfondie sur l’histoire et la dynamique actuelle de la Zone autonome de Capitol Hill (CHAZ), les défis à venir et les leçons à tirer. Les réponses ont été légèrement modifiées pour tenir compte des développements récents.

    Pour comprendre ce qui se passe dans la CHAZ, sur laquelle tant de choses ont déjà été écrites et dites, je pense qu’il faut d’abord commencer par la façon dont nous sommes arrivés à cette situation. La CHAZ est née directement d’une confrontation directe de neuf jours avec le département de police de Seattle, dans le quartier est de Pine Street, tout près du parc Cal Anderson. C’est le fait qu’elle se soit tenue là — dans ce quartier, dans cet espace — qui a rendu la CHAZ possible.

    Je ne pense pas que les gens aient réalisé que la protestation elle-même allait devenir la forme politique. En d’autres termes, je pensais qu’une fois les tensions apaisées, les gens tiendraient des assemblées générales pour décider de la suite des événements. Cependant, les gens se sont passionnément attachés à cet espace et à ce conflit particulier. (...)

    #États-Unis #Seattle #auto-organisation #police #BlackLivesMatter #George_Floyd #revendications #Kshama_Sawant #Amazon #exploitation #1999 #Rémi_Fraisse #assassinats #Keeanga-Yamahtta_Taylor

  • Une ZAD au coeur de Seattle : entretien avec Gwenola Ricordeau
    https://acta.zone/une-zad-au-coeur-de-seattle-entretien-avec-gwenola-ricordeau

    Depuis le 8 juin, une « zone autonome » a été établie en plein coeur de Seattle, dans le sillage du mouvement contre le racisme et les violences policières qui touche les États-Unis suite au meurtre de George Floyd. Alors que ce 20 juin des informations font état de la mort d’un Afro-Américain de trente ans tué par balles à l’intérieur de la CHAZ, nous publions un entretien avec Gwenola Ricordeau qui s’est rendue sur place et a répondu à nos questions : elle décrit le fonctionnement de la zone, sa composition sociale, les activités et discussions politiques qui s’y déroulent. Cet entretien permet de saisir de l’intérieur les réalités et les enjeux d’une expérimentation locale dont la résonance traverse les frontières et qui s’inscrit dans un mouvement de révolte historique. Source : (...)

  • “Movements Work”: As Activists Occupy Seattle’s Capitol Hill, City Bans Tear Gas, Expels Police Union | Democracy Now!
    https://www.democracynow.org/2020/6/18/seattle_police

    In Seattle, the fight to demilitarize and defund the police continues as the King County Labor Council voted to expel the Seattle police union Wednesday, following weeks of protest. Seattle police sparked outrage for responding to massive protests against police brutality by using pepper spray, tear gas and flashbangs on demonstrators and reporters. Activists then formed an autonomous zone in response to the police department’s abandonment of a precinct building. On Wednesday, President Trump threatened to send troops into Seattle to dismantle the community-run Capitol Hill Occupied Protest, which extends over several city blocks. Seattle socialist Councilmember Kshama Sawant calls the threat of military intervention “absolutely horrific” and says it “shows that Donald Trump is a coward and movements work.”

    #zone_libérée #zone_autonome #syndicats_policiers #police #USA #Seattle

  • Hier, je suis arrivée à la #chaz de #seattle (Capitol hill autonomous zone) avec l intention de participer, apprendre, échanger avec les cam…,
    Gwenola Ricordeau
    https://threadreaderapp.com/thread/1272187911450947585.html

    Hier, je suis arrivée à la #chaz de #seattle (Capitol hill autonomous zone) avec l intention de participer, apprendre, échanger avec les camarades. Qq petites rapidos car je sais pas ce que disent les médias fr (pas le temps ni assez de batterie pour regarder !)
    Donc la #chaz a été établie le 8 juin. Autour du commissariat que la police a du abandonner ✊ c un ensemble de 6 pâtés de maison dans 1 quartier emblématique de Seattle à la fois pour ces lieux alternos, politiquement radicaux/alternos et pleins d espaces, bars et assoc 🏳️‍🌈 lgbt
    Depuis y a des espaces de discussions, des forums, des concerts... un campement, un potager fait par des africains américains (je vous en dis plus dans 2 min), y a de la nourriture, des toilettes tt ça gratuit (refus des dons d argent un peu partout 👍) une bibliothèque
    Y a des street medics, des tentes avec des espaces de self care et soutien à la santé mentale. Y a des gens qui gèrent la sécurité à la fois aux entrées de la zone et qui gère les embrouilles
    J en ai vu d autres et je peux vous dire que c plutôt impressionnant pour 1 zone établie y’a moins d 1 semaine. A 11h le soir on m’a filé une tente (j’étais partie à l arraché pensant dormir dans ma voiture), puis qq est passé pour proposer aide et m indiquer où trouver aide
    Parenthèse : quasi tt le monde porte des masques. A dispo partout du gel. Pour les gens qui disent que le masque est antisocial : suis frappée comment les gens se regardent, sourient à travers les masques , se font des hugs à distance. Oui c possible :)

  • #G7 : Au #Pays_Basque, l’État montre les muscles
    https://lemediapresse.fr/politique/g7-au-pays-basque-letat-montre-les-muscles

    Le sommet des « dirigeants de la planète », qui se tiendra à #Biarritz du 24 au 26 août, s’annonce comme l’un des plus restrictifs en termes d’ouverture à la société civile. Si la France traverse la période la plus répressive de son histoire récente, les autres États du groupe ont eux aussi durci progressivement, depuis le sommet de #Seattle, les stratégies de maintien de l’ordre pour faire face aux mobilisations altermondialistes.

    #Politique #Social #abertzale #ATTAC #Castaner #Décrocheurs #ETA #G20 #G7_EZ #G7EZ #Hambourg #Hendaye #Irun #Macron

  • #G7 : une gestion policière dans le sillage de la crise des Gilets Jaunes ?
    https://lemediapresse.fr/politique/g7-une-gestion-policiere-dans-le-sillage-de-la-crise-des-gilets-jaunes

    C’est ce que confirme notre échange à #Biarritz avec le ministre de l’Intérieur Christophe #Castaner, en visite sous haute sécurité pour préparer le sommet des 24, 25 et 26 août 2019. 

    #Politique #Social #abertzale #ETA #G20 #Hambourg #Irun #Macron #Pays_Basque #Seattle

  • Publicité automobile : des paysages à couper le souffle
    http://carfree.fr/index.php/2019/03/28/publicite-automobile-des-paysages-a-couper-le-souffle

    En 2012, en France, le tribunal de grande instance de Nanterre avait décrété que présenter un véhicule en pleine #nature, hors du domaine routier, sur un support publicitaire était contraire Lire la suite...

    #Fin_de_l'automobile #4x4 #genève #lausanne #mazda #paysage #Pétitions #publicité #seat #Suisse

  • The story of Seattle’s rise to global rock supremacy in the late ’80s and early ’90s begins with Green River. Made up of Jeff Ament (bass), Mark Arm (guitar/vocals), Bruce Fairweather (guitar), Stone Gossard (guitar), and Alex Shumway (drums), the quintet put out three 12”s and a 7” single during its brief existence. Green River’s influence on Seattle’s music scene spread far and wide thanks to the members’ dispersion into bands including Pearl Jam, Mudhoney, and Love Battery, as well as the punk-glam-sludge-rock songs they left behind.
    https://greenriver.bandcamp.com/track/unwind


    https://megamart.subpop.com/releases/green_river/dry_as_a_bone_deluxe_edition?mc_cid=973ec0aeab&mc_eid=3851580511
    #grunge #sub_pop #punk #bandcamp #Seattle

  • How #Amazon Took Seattle’s Soul - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/10/20/opinion/how-amazon-took-seattles-soul.html

    I live in the city that hit the Amazon jackpot, now the biggest company town in America. Long before the mad dash to land the second headquarters for the world’s largest online retailer, Amazon found us. Since then, we’ve been overwhelmed by a future we never had any say over.

    With the passing of Thursday’s deadline for final bids, it’s been strange to watch nearly every city in the United States pimp itself out for the right to become HQ2 — and us. Tax breaks. Free land. Champagne in the drinking fountains. Anything!

    In this pageant for prosperity, the desperation is understandable. Amazon’s offer to create 50,000 high-paying jobs and invest $5 billion in your town is a once-in-a-century, destiny-shaping event.

    Amazon is not mining coal or cooking chemicals or offering minimum wage to hapless “associates.” The new jobs will pay $100,000 or more in salary and benefits. In #Seattle, Amazon employees are the kind of young, educated, mass-transit-taking, innovative types that municipal planners dream of.

    So, if you’re lucky enough to land HQ2 — congrats! But be careful, all you urban suitors longing for a hip, creative class. You think you can shape Amazon? Not a chance. It will shape you. Well before Amazon disrupted books, music, television, furniture — everything — it disrupted Seattle.

    At first, it was quirky in the Seattle way: Jeff Bezos, an oversize mailbox and his little online start-up. His thing was books, remember? How quaint. How retro. Almost any book, delivered to your doorstep, cheap. But soon, publishers came to see Amazon as the evil empire, bringing chaos to an industry that hadn’t changed much since Herman Melville’s day.

    The prosperity bomb, as it’s called around here, came when Amazon took over what had been a clutter of parking lots and car dealers near downtown, and decided to build a very urban campus. This neighborhood had been proposed as a grand central city park, our own Champs-Élysées, with land gifted by Paul Allen, a Microsoft co-founder. But voters rejected it. I still remember an architect friend telling me that cities should grow “organically,” not by design.

    Cities used to be tied to geography: a river, a port, the lee side of a mountain range. Boeing grew up here, in part, because of its proximity to spruce timber used to make early airplanes. And then, water turned the industrial engines that helped to win World War II.

    The new era dawned with Microsoft, after the local boy Bill Gates returned with a fledgling company. From then on, the mark of a successful city was one that could cluster well-educated people in a cool place. “The Smartest Americans Are Heading West” was the headline in the recent listing of the Bloomberg Brain Concentration Index. This pattern is likely to continue, as my colleagues at the Upshot calculated in picking Denver to win the Amazon sweepstakes.

    At the bottom of the brain index was Muskegon, Mich., a place I recently visited. I found the city lovely, with its lakeside setting, fine old houses and world-class museum. When I told a handful of Muskegonites about the problems in Seattle from the metastatic growth of Amazon, they were not sympathetic.

    What comes with the title of being the fastest growing big city in the country, with having the nation’s hottest real estate market, is that the city no longer works for some people. For many others, the pace of change, not to mention the traffic, has been disorienting. The character of Seattle, a rain-loving communal shrug, has changed. Now we’re a city on amphetamines.

    Amazon is secretive. And they haven’t been the best civic neighbor, late to the charity table. Yes, the company has poured $38 billion into the city’s economy. They have 40,000 employees here, who in turn attracted 50,000 other new jobs. They own or lease a fifth of all the class A office space.

    But median home prices have doubled in five years, to $700,000. This is not a good thing in a place where teachers and cops used to be able to afford a house with a water view.

    Our shiny new megalopolis has spawned the inevitable political backlash. If you think there’s nothing more annoying than a Marxist with a bullhorn extolling a failed 19th-century economic theory, put that person on your City Council. So Seattle’s council now includes a socialist, Kshama Sawant, who wants “the public” to take over Amazon ownership. Other council members have proposed a tax on jobs. Try that proposal in Detroit.

    As a Seattle native, I miss the old city, the lack of pretense, and dinner parties that didn’t turn into discussions of real estate porn. But I’m happy that wages have risen faster here than anywhere else in the country. I like the fresh energy. To the next Amazon lottery winner I would say, enjoy the boom — but be careful what you wish for.

    Lire aussi dans le @mdiplo du mois de novembre, « Les “créatifs” se déchaînent à Seattle. Grandes villes et bons sentiments », par Benoît Bréville https://www.monde-diplomatique.fr/2017/11/BREVILLE/58080

    De Paris à Londres, de Sydney à Montréal, d’Amsterdam à New York, toutes les métropoles se veulent dynamiques, inclusives, innovantes, durables, créatives, connectées… Ainsi espèrent-elles attirer des « talents », ces jeunes diplômés à fort pouvoir d’achat qui, comme à Seattle, font le bonheur des entreprises et des promoteurs immobiliers.

    En anglais en accès libre https://mondediplo.com/2017/11/05seattle

    Voir aussi le dernier blog de Morozov sur l’urbanisme Google https://blog.mondediplo.net/2017-11-03-Google-a-la-conquete-des-villes

  • Hurt Cobain III
    http://www.swampdiggers.com/Mackned-Hurt-Cobain-III

    Mackned a enfilé son vieux jean crado pour nous jouer quelques ballades sans espoirs à la guitare sèche. #Seattle #underground Si le nom de Kurt Cobain a tendance à revenir régulièrement dans la bouche des rappeurs de tous bords ces dernières années (jusque dans nos contrées), c’est le plus souvent comme une simple métaphore du suicide, plutôt que pour exprimer un intérêt réel pour sa musique, ou sa personne. #Mackned est un rappeur originaire de Seattle que l’on pourrait qualifier, pour aller vite, d’emo (...)

    #Chroniques

    / #Chroniques, Mackned, #Goth_Boi_Clique, #Thraxxhouse, Seattle, #M.O.O.R_Gang, #Nacho_Picasso, #Key_Nyata, #cloud, #emo, #goth_rap, (...)

    « https://youtu.be/thsN9br6o64

     »
    « https://thraxxhouse.bandcamp.com »
    « https://soundcloud.com/mackned/newspaper-bonus-track-prod-by-sam-vandeer
     »
    « https://soundcloud.com/gothboiclique
     »
    « https://soundcloud.com/mackned/stains-ft-sneakguapo-prod-by-monarc
     »
    « https://www.youtube.com/watch?v=pdXy75VrQho
     »

  • Un militant des #IWW blessé par balle d’un coup de revolver à #Seattle
    http://lahorde.samizdat.net/2017/01/25/un-militant-des-iww-blesse-par-balle-dun-coup-de-revolver-a-seattl

    Le 20 janvier un militant antifasciste de l’IWW de Seattle est blessé par balle lors d’un rassemblement contre l’investiture de Trump à l’Université de Washington à Seattle. Blessé à l’abdomen, il est actuellement hospitalisé, ses jours ne sont pas en danger mais il a besoin de soutien. Nous publions une première traduction de l’appel à solidarité paru dans [&hellip

    #International #Anti_Trump #slide

  • The Earthquake That Will Devastate Seattle - The New Yorker
    http://www.newyorker.com/magazine/2015/07/20/the-really-big-one

    The first sign that the Cascadia earthquake has begun will be a compressional wave, radiating outward from the fault line. Compressional waves are fast-moving, high-frequency waves, audible to dogs and certain other animals but experienced by humans only as a sudden jolt. They are not very harmful, but they are potentially very useful, since they travel fast enough to be detected by sensors thirty to ninety seconds ahead of other seismic waves. That is enough time for earthquake early-warning systems, such as those in use throughout Japan, to automatically perform a variety of lifesaving functions: shutting down railways and power plants, opening elevators and firehouse doors, alerting hospitals to halt surgeries, and triggering alarms so that the general public can take cover. The Pacific Northwest has no early-warning system. When the Cascadia earthquake begins, there will be, instead, a cacophony of barking dogs and a long, suspended, what-was-that moment before the surface waves arrive. Surface waves are slower, lower-frequency waves that move the ground both up and down and side to side: the shaking, starting in earnest.

    Soon after that shaking begins, the electrical grid will fail, likely everywhere west of the Cascades and possibly well beyond. If it happens at night, the ensuing catastrophe will unfold in darkness. In theory, those who are at home when it hits should be safest; it is easy and relatively inexpensive to seismically safeguard a private dwelling. But, lulled into nonchalance by their seemingly benign environment, most people in the Pacific Northwest have not done so. That nonchalance will shatter instantly. So will everything made of glass.

    #tremblement_de_terre #états-unis #catastrophe #impréparation — un article magnifiquement écrit

  • Climat : que faire d’ici 2015 et la COP21 ? Enjeux et perspectives.

    Alors que la Conférence de l’ONU sur le changement climatique de Lima (Pérou) débute ce lundi 1er décembre, et dans la perspective de celle de Paris-Le Bourget fin 2015, voici quelques éléments d’analyse et quelques propositions sur l’état des négociations et les dynamiques en cours au sein de la société civile. Pour débattre.

    http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes/251114/climat-que-faire-dici-2015-et-la-cop21-enjeux-et-perspectives

    #accord
    #alternatiba
    #Blockadia
    #chine
    #Climat
    #Cochabamba
    #Cop21
    #Dernier mot
    #Etats-unis
    #france
    #Hollande
    #ONU
    #Paris2015
    #Seattle
    #Transition