▻http://ahahh.blog.lemonde.fr/2014/04/25/la-serre-en-avril-2014-un-achat-judicieux-pour-qui-aime-faire-ses
j’ai repris mon bon vieux blog délaissé et concurrencé apr les réseaux sociaux.
ahah...
#jardin, #serre, #plantation #The—constant—Gardener
▻http://ahahh.blog.lemonde.fr/2014/04/25/la-serre-en-avril-2014-un-achat-judicieux-pour-qui-aime-faire-ses
j’ai repris mon bon vieux blog délaissé et concurrencé apr les réseaux sociaux.
ahah...
bon, mais maintenant que tu as repris le blog, il ne faudra pas oublier les réseaux sociaux ! ;o
Il va falloir que j’y songe sérieusement à la serre :)
J’ai lgt attendu mais je ne regrette pas, d’autant plus que je viens de lire ceci :
▻http://www.greenpeace.org/eu-unit/Global/eu-unit/reports-briefings/2014/A-Toxic-Eden%20report.pdf
Remarque, en Février, chez moi aussi, les bacs de poisson en polystyrène étaient dans le salon sur le plancher chauffant !-)
Agriculture en serre sans chauffage en plein hiver au Massachusetts (zone 5)
▻http://www.youtube.com/watch?v=QrvYWy57oLI
Serre de Jonathan Bates et Eric Toensmeier, fortement isolée et qui contient un système d’aquaponie, l’eau stockant et diffusant la chaleur reçue par le soleil. La plus basse température relevée a été -1,5°C alors qu’il a fait jusqu’à -22°C à l’extérieur. (Peut être qu’ils ont des hivers plus ensoleillés qu’ici).
En lien avec ►http://seenthis.net/messages/224049
▻http://www.youtube.com/watch?v=xYKaCr8AE58
A #bioshelter is a solar greenhouse managed as an indoor ecosystem. When our winter salad #greenhouse was destroyed in a storm, we decided to construct an insulated, unheated subtropical greenhouse in the backyard of our Massachusetts home. We are filling it with subtropical fruits, aquaponic fish and vegetables, and winter salads.
Oui le Massachusetts a des hivers plus ensoleillés que les nôtres, ça se trouve à la même latitude que la Corse, et la saison des pluies y est plutôt l’été (climat continental à été orageux). Mais un tel écart thermique c’est carrément prometteur même un peu plus au nord et sous climat un peu plus océanique je pense.
L’acculture en Serres, un excellent article sur le numérisme | Forum Démocratique
▻http://forumdemocratique.fr/2013/11/08/lacculture-en-serres-un-excellent-article-sur-le-numerisme
Quand l’optimisme numérique devient mortifère
Depuis son grand discours, prononcé le 1er mars 2011 devant l’Académie française, et son essai Petite Poucette publié en 2012, la pensée paradoxale de Michel Serres, si bienveillante à l’égard des nouvelles générations et si confiante dans les nouvelles technologies, est devenue pour les activistes du numérique à l’école et les grands groupes technologiques, la caution intellectuelle et morale idéale pour précipiter les élèves dans le tout-numérique, présenté comme le levier magique de la refondation de l’école.
Depuis lors, Michel Serres est omniprésent dans les médias et bien peu osent porter la contradiction à cette figure de la sagesse philosophique, âgée de quatre-vingt deux ans mais débordant encore d’un enthousiasme juvénile.
Pour Michel Serres, la révolution numérique représente bien plus qu’une simple évolution technique : s’inscrivant dans le prolongement d’autres révolutions du XXe siècle – démographiques, économiques, médicales, épistémologiques – la révolution numérique serait avant tout une aventure humaine. Pour incarner sa pensée d’un « nouvel humain », Michel Serres a choisi une figure proche de nous, celle de « petite Poucette », dont il nous fait, en grand-père attendri, dans une langue qui se veut simple et accessible, le portrait naïf.
Or il est du devoir de ceux qui croient encore dans l’école républicaine de ne pas se laisser intimider par les bons sentiments et la fausse ingénuité de Michel Serres et de lui porter, autant que nous le pouvons, la contradiction. Au nom d’une certaine idée de la transmission et de la mission de l’école républicaine.
Car, disons-le, le modèle d’acculture que propose Michel Serres est de nature à désespérer les enseignants.
N’ayons donc pas peur de montrer en quoi son optimisme numérique constitue – à bien y regarder – moins une audace qu’un renoncement....
L’ #acculture en #Serres, un excellent article sur le #numérisme
Actualité > La stratosphère impacte fortement le climat terrestre
▻http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/actu/d/climatologie-stratosphere-impacte-fortement-climat-terrestre-49327
▻http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=EDI8DkyqA74
Une concentration doublée de dioxyde de carbone dans l’atmosphère augmenterait, à elle seule, la température mondiale moyenne de 1,2 °C. Or, le climat est une science dynamique. L’océan, les surfaces continentales et les différentes couches de l’atmosphère répondent à cette modification, et mettent en place des rétroactions qui, in fine, feraient grimper la température moyenne mondiale de 2 à 4,5 °C. La rétroaction du climat à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre est bien connue, mais des incertitudes persistent sur la réponse des nuages aux aérosols, par exemple.
Un modèle de prévision climatique tente de simuler le plus précisément possible toutes ces rétroactions, qui régissent l’évolution du climat. Une équipe de recherche américaine a étudié en détail l’une d’elles, longtemps ignorée par la communauté : elle fait intervenir la stratosphère, qui répondrait à l’augmentation de la température de l’air à la surface terrestre en augmentant sa quantité de vapeur d’eau.
#stratosphère
#climat
#terre
#impacte(s)
#gaz à effet de #serre
#réchauffement
En cherchant une #serre, je découvre l’#aquaponie ou la culture de poneys sauvages sous l’eau.
www.aquaponie.fr » Généralité
▻http://www.aquaponie.fr/generalite
En pratique, l’eau de l’aquarium est pompée pour être emmenée dans le système hydroponique pour ensuite retourner vers les poneys.
Le triomphe de la technique sans culture et de la rationalité du rendement... Un monde suffocant, clinique, productiviste désincarné, et déshumanisé !
Cela donne une résonance vide et glaciale dans notre rapport à ce que nous produisons.
Le film est suffocant, esthétisant jusqu’à l’excès mais le résultat est fascinant comme pris dans une spirale ou ce que l’on nous donne à voir n’est rien d’autre que le monde tel qui se construit et s’impose à tous ?
Notre pain quotidien(2007) un film documentaire de Nikolaus Geyrhalter
▻http://www.dailymotion.com/video/xfuup9_notre-pain-quotidien-1-5_news?search_algo=2
Une analyse du documentaire par Cédric Mal
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2011/02/10/notre-pain-quotidien-nikolaus-geyrhalter
La #production #industrielle, cela va de soi dans nos #sociétés #modernes, connaît ce qu’il se fait de mieux en matière technologique. Question de #rentabilité #économique. Nikolaus Geyrhalter s’équipe aussi de ce qu’il se fait de mieux de matériel numérique Haute Définition pour dépeindre en de puissants tableaux ces lieux étranges, beaux et horribles à la fois, dans lesquels se fabrique chaque jour #notre_pain _quotidien. Des #élevages de poulets aux #abattoirs, des #serres aux #usines de #conditionnement de #fruits, c’est l’intégralité du #processus de #transformation #alimentaire qui défile dans ce #film dénué de commentaires et d’interviews.
A l’extérieur, le grand angle systématique laisse le champ libre à l’horizon pour composer des #plans terriblement ouverts. Le #cinéaste filme des #paysages monumentaux qui s’étendent à perte de vue et de nuit. Les usines, vastes et #futuristes ensembles lumineux, semblent #irréelles. On pénètre souvent dans ces endroits en plongée, et les choses n’en deviennent que plus indiscernables. Les #vaches ne ressemblent à des vaches et les #cochons à des cochons qu’après un temps de minutieuse observation. Un temps où nos yeux se promènent, incertains, à la recherche d’éléments de compréhension et de discernement. La longueur des plans-séquences laisse généralement advenir les frémissements d’un mouvement qui participe à l’éclaircissement de ces énigmes visuelles. Ce suspense figuratif, soutenu par la beauté des lumières et la #picturalité de certaines #images, agit comme un principe #esthétique maintenant l’intérêt tout au long du film.
▻http://www.dailymotion.com/video/xfv0oz_notre-p-in-quotidien-2-5_travel
Formellement, la #composition enferme souvent le spectateur dans une effroyable sensation claustrophobique. Les lieux, couloirs de la mort #animale ou allées d’#arbres fruitiers, sont représentés au travers de #cadres #cloisonnés qui focalisent le regard. Un point de fuite central et une profonde perspective structurent les images bordées de #chair ou de #nature d’où on ne peut s’échapper. Le parti pris formel opère également en plein champ, par exemple dans ce plan directement puisé dans la La Mort aux trousses : un avion entre puis sort du plan avant de venir épandre son liquide face #caméra. Le #spectateur, là encore, est pris au piège de la #représentation, dans une position de victime.
▻http://www.dailymotion.com/video/xfv22v_notre-p-in-quotidien-3-5_travel?search_algo=2
Dans son film, Nikolaus Geyrhalter soulève un rapport déshumanisé à la nature. Il décrit un monde sans paysan, égalisant par de subtiles analogies les hommes, les machines et les produits. Le roulement des œufs sur le tapis est le même que celui des pommes dans leur bassin, le déplacement des porcs vers l’abattoir n’est pas sans évoquer le ballet des hommes dans les couloirs, et la batteuse de la moissonneuse effectue la même course que l’éolienne.
Quand la caméra s’embarque sur les tracteurs, elle s’attarde autant sur l’homme que sur l’engin agissant. A terre, lorsque le cinéaste suit des figures humaines dans leur labeur, ce sont des outils assujettis à l’industrie qu’il filme. Peu de différences entre l’homme qui sélectionne les poulets armé de son bras aspirant et le tracteur qui déploie lui aussi ses bras pour fertiliser le sol. Il n’y a pas de personnages, d’ailleurs, dans ce documentaire : les figures humaines, automatisées et muettes, ne sont pas incarnées. A l’heure de la pause, les employés dégustent leur pain quotidien. Si l’humanité devient alors figurativement centrale, le langage, lui, reste absent.
▻http://www.dailymotion.com/video/xfvicy_notre-p-in-quotidien-4-5_school?search_algo=2
(...)
Description des fermes modernes ou critiques de l’industrie agroalimentaire : le film, universel dans sa forme, est construit de telle manière qu’il laisse chacun faire son choix. Petit à petit, on peut simplement se renseigner sur la cueillette des olives ou sur l’histoire de l’élevage-abattage des porcs. La composition chronologique qui établit des chaînons didactiques entre certains plans va en ce sens. On peut aussi s’insurger devant les souffrances animales. La progression dramatique vers l’horreur (figurative) l’autorise : à mesure que le film avance, le sang se déverse de plus en plus abondamment et le rouge inonde bientôt la représentation des exécutions bovines difficilement soutenables.
▻http://www.dailymotion.com/video/xfvinx_notre-p-in-quotidien-5-5_lifestyle?search_algo=2
#Nikolaus_Geyrhalter #Productivisme #Mondialisation #Capitalisme
#Documentaire #Vidéo
Growing food in the desert: is this the solution to the world’s food crisis? | The Observer
►http://www.guardian.co.uk/environment/2012/nov/24/growing-food-in-the-desert-crisis
the work that Sundrop Farms, as they call themselves, are doing in South Australia, and just starting up in Qatar, is beyond the experimental stage. They appear to have pulled off the ultimate something-from-nothing agricultural feat – using the sun to desalinate seawater for irrigation and to heat and cool greenhouses as required, and thence cheaply grow high-quality, pesticide-free vegetables year-round in commercial quantities.
Seawater Greenhouse: A new approach to restorative agriculture | Global Water Forum
►http://www.globalwaterforum.org/2012/05/28/seawater-greenhouse-a-new-approach-to-restorative-agriculture
There are now some 200,000 hectares of greenhouses around the Mediterranean, and over 1 million in China, where 30 years ago, there were almost none. This is because yields that are achieved in greenhouses can be 10 to 100 times greater than yields achieved outside. They also enable high value crops to be grown ‘out of season’.
The Seawater Greenhouse enables year-round crop production in some of the world’s hottest and driest regions. It does this using seawater and sunlight. The technology imitates natural processes, helping to restore the environment while significantly reducing the operating costs of greenhouse horticulture. In addition to not having to discharge concentrated brine, it also benefits from the fact that high salinity water has a powerful biocidal or sterilising effect on the air that passes through it. This reduces or eliminates airborne pests.
►http://www.globalwaterforum.org/wp-content/uploads/2012/05/Figure-4.png?9d7bd4