• IL N’Y AURA PAS DE PAYSAGE APRÈS LA BATAILLE (À propos de l’invasion de l’armée russe en Ukraine). « Enlace Zapatista, Mars 2022
    https://enlacezapatista.ezln.org.mx/2022/03/06/il-ny-aura-pas-de-paysage-apres-la-bataille-a-propos-de-lin

    Nous vous faisons part de nos paroles et pensées sur ce qui se passe actuellement dans la géographie que l’on nomme Europe :

    PREMIÈREMENT.- Il y a une force qui agresse : l’armée russe. Il y a en jeu des intérêts du grand capital, des deux côtés. Ceux qui souffrent maintenant des délires des uns et des calculs économiques sournois des autres, ce sont les peuples de #Russie et d’#Ukraine (et, peut-être bientôt, ceux d’autres géographies proches ou lointaines). En tant que Zapatistes que nous sommes, nous ne soutenons ni l’un ni l’autre des États, mais celles et ceux qui luttent pour la vie et contre le système.

    Lors de l’invasion multinationale de l’Irak (il y a presque 19 ans), avec à sa tête l’armée nord-américaine, il y a eu des mobilisations contre cette guerre dans le monde entier. Aucune personne saine d’esprit ne pensait que s’opposer à l’invasion revenait à se ranger du côté de Sadam Hussein. Aujourd’hui, la situation est similaire, mais pas identique. Ni Zelinski, ni Poutine. Arrêtez la guerre.

    DEUXIÈMEMENT.- Différents gouvernements se sont alignés d’un côté ou de l’autre, le faisant pour des motivations économiques. Il n’y a chez eux aucune préoccupation humaniste. Pour ces gouvernements et leurs « idéologues », il y a des interventions-invasions-destructions bonnes, et il y en a de mauvaises. Les bonnes sont celles que réalisent leurs alliés et les mauvaises celles qui sont perpétrées par leurs opposants. Les applaudissements à l’argument criminel de Poutine pour justifier l’invasion militaire de l’Ukraine se transformeront en lamentations quand, avec les mêmes mots, on justifiera l’invasion d’autres peuples dont les parcours n’auront pas l’agrément du grand capital.

    Ils envahiront d’autres géographies pour les sauver de la « tyrannie néo-nazie » ou pour mettre fin aux « narco-États » voisins. Ils répéteront alors les mêmes mots que Poutine : « Nous allons dénazifier » (ou son équivalent) et ils multiplieront les « raisonnements » de « danger pour leurs peuples ». Et alors, comme nous disent nos compañeras en Russie : « Les bombes russes, les fusées, les balles volent vers les Ukrainiens sans leur demander leurs opinions politiques ou la langue qu’ils parlent », mais c’est la « nationalité » des unes et des autres qui changera.

    TROISIÈMEMENT.- Le grand capital et ses gouvernements « d’Occident » se sont assis pour contempler – et même encourager – la façon dont la situation se détériorait. Puis, une fois l’invasion commencée, ils ont attendus de voir si l’Ukraine résistait, et ils ont ensuite calculé ce qu’ils pourraient gagner d’un résultat ou d’un autre. Comme l’Ukraine résiste, alors ils ont effectivement commencé à allonger des factures « d’aide » qui seront remboursées plus tard. Poutine n’est pas le seul à être surpris de la résistance ukrainienne.

    Ceux qui y gagnent dans cette guerre ce sont les grands consortiums d’armements et le grand capital qui voient l’opportunité de conquérir, de détruire/reconstruire des territoires, c’est-à-dire, de créer de nouveaux marchés de marchandises et de consommateurs, de personnes.

    QUATRIÈMEMENT.- Au lieu de nous tourner vers ce que diffusent les médias et les réseaux sociaux des deux camps respectifs – et que tous deux présentent comme des « actualités » – , ou sur les « analyses » dans la prolifération soudaine d’experts en géopolitique et de soupirants au Pacte de Varsovie et à l’OTAN, nous avons décidé de chercher et de demander à celles et ceux qui, comme nous, sont engagé.es dans la lutte pour la vie en Ukraine et en Russie.

    Après plusieurs tentatives, la Commission Sexta Zapatiste a réussi à entrer en contact avec nos proches en résistance et en rébellion dans les géographies qu’on appelle la Russie et l’Ukraine.

    #guerre

  • Pirater des sextoys connectés, une partie de plaisir
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/12/30/pirater-des-sextoys-connectes-une-partie-de-plaisir_5403696_4408996.html

    Un nombre important de failles de sécurité informatique pourraient mettre en péril la vie privée de certains utilisateurs et certaines utilisatrices de jouets sexuels. En matière de sécurité, les sextoys connectés font plus trembler de peur que vibrer de plaisir. Werner Schober, consultant en sécurité informatique autrichien, en a apporté une nouvelle preuve lors du 35e Chaos Communication Congress, grand rassemblement annuel de hackeurs, qui se clôture dimanche 30 décembre à Leipzig (Allemagne). Ce (...)

    #ChaosComputerClub-CCC #hacking #sextoy #Bluetooth

  • (20+) Sextos : peut-on limiter les risques ? - Libération
    https://www.liberation.fr/france/2020/04/13/sextos-peut-on-limiter-les-risques_1780381

    Avant d’envoyer des photos dénudées, on doit d’abord se confronter à la dure réalité : il n’existe aucune méthode infaillible pour garantir que son intimité ne sera pas dévoilée. La sécurité d’un « sexto » ne dépend pas que de la technologie. Il s’agit avant tout d’une expérience entre deux personnes. Malheureusement, on ne peut pas prévoir si son ou sa partenaire ne décidera pas, à un moment, de partager les clichés qu’on lui a envoyés.

    « Je préconise toujours la gestion de risques, pour le sexto comme d’autres actions dans la vie, explique Rayna Stamboliyska, auteure de la Face cachée d’Internet (éditions Larousse). On doit se poser des questions comme : est-ce que j’enverrais une photo dénudée à un coup d’un soir ? Un partenaire de longue date ? La réponse dépendra de chacun, car l’intimité est quelque chose de très personnel. »

    « Il faut faire attention au techno-solutionnisme, résume Rayna Stamboliyska. On ne va pas blâmer une victime de revenge porn de ne pas avoir pensé à toutes les éventualités. Surtout que le cœur du problème, c’est que la personne en qui on avait confiance s’est retournée contre nous. » Le sexto est avant tout une pratique sexuelle, qui doit respecter le consentement de chaque personne impliquée, même après la fin d’une relation.

    #Sexto #Pratiques_numériques #Vie_privée

  • « Bien souvent, le sexting relève plus du charme que de la pornographie »
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/03/13/bien-souvent-le-sexting-releve-plus-du-charme-que-de-la-pornographie_6033030

    Revenir à une approche un peu plus positive de la pratique du sexting, ne pas seulement se focaliser sur ses dérives et les scandales (comme celui qui a valu à Benjamin Griveaux d’abandonner mi-février la course à la Mairie de Paris). Voici le point de départ de la thèse sur le sexting chez les jeunes, menée par la criminologue suisse Yara Barrense-Dias entre 2016 et 2019. Une manière de mieux appréhender le phénomène pour une prévention plus efficace, notamment dans les écoles, selon elle.

    Désormais responsable de recherche à Unisanté, à Lausanne (un centre universitaire de médecine générale et santé publique), la chercheuse a mené entre autres deux recherches exploratoires auprès de quatre-vingts jeunes de 11 à 21 ans, lancé une enquête nationale auprès de cinq mille jeunes Suisses et échangé avec les parents et le corps enseignant.

    Ses résultats mettent en lumière une pratique générationnelle, ludique et relativement consciente des dangers.
    Qu’est-ce que le sexting, et depuis quand cela existe ?

    La première étude sur le sujet remonte à 2008, aux Etats-Unis. En Europe, c’est arrivé un peu plus tard. La définition du sexting est justement l’une de mes questions de recherche puisqu’une multitude de définitions cohabitaient.

    Au terme de ma thèse, la définition que j’ai retenue est que le sexting est un échange électronique de contenus à caractère sexuel (image, texte, audio, etc.) entre deux personnes consentantes. La notion de consentement est importante, car quand il n’y a plus de consentement, on ne parle plus de la même chose. On tombe dans les dérives, dans ce qu’on regroupe souvent sous le terme de « revenge porn ».
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le « revenge porn », pratique « banale » et hors de contrôle chez les élèves
    Qui pratique le sexting ? N’est-il que l’apanage des jeunes, qui sont au cœur des enquêtes sur le sujet ?

    L’appli Snapchat sortie en 2011 a été un véritable tournant dans la pratique. Comme elle est largement utilisée par des plus jeunes, cela peut expliquer le fait qu’on parle plus du sexting chez les adolescents. En période de découverte sexuelle comme ils le sont, et avec la facilité de communication que représentent pour eux les réseaux sociaux, cela peut aussi amener un contexte favorable, surtout pour des individus qui vivent chez leurs parents ou sont parfois éloignés de leur partenaire.

    Je n’ai pas de chiffre à vous donner sur la population globale des adultes, mais dans mes recherches j’ai étudié une catégorie d’âge assez large, entre 11 et 26 ans. Dans mon enquête nationale auprès de cinq mille jeunes adultes de 24 à 26 ans, une personne sur deux disait avoir déjà envoyé une photographie d’elle-même à caractère sexuel.

    On pourrait donc être étonné de la proportion globale de personnes qui recourent au sexting. Après, il y a peut-être moins de cas de diffusion publique de contenus chez les adultes, ce qui expliquerait qu’on en parle moins.
    Est-ce que ce terme de sexting est employé par ceux qui le pratiquent ? Est-ce que ça leur parle ?

    Dans mes recherches, les jeunes savent très bien de quoi il s’agit, mais ne l’utilisent pas du tout. C’est un terme scientifique, journalistique même, apparu en 2005, dans la petite rubrique fictive d’un journal australien, il me semble [The Daily Telegraph]. Ensuite il a été repris par la recherche et la prévention. Les jeunes, eux, préfèrent parler de « nudes » ou expliciter la pratique directement.
    Quelles formes le sexting prend-il aujourd’hui ? On imagine qu’il s’agit toujours de photo ou de vidéo…

    En 2016, lorsque j’ai fait une étude de groupe, les sujets m’expliquaient tout ce qu’il était possible de faire en matière de sexting. L’image y était majoritaire, mais il y avait aussi une forte proportion d’échanges de messages texte.

    J’ai refait une étude similaire en 2018, et il y a eu un changement significatif : là où les messages écrits sont passés au second plan, l’échange de messages audio est apparu. Les jeunes s’écrivent moins mais s’échangent de plus en plus de messages vocaux.

    En trois ans de thèse, j’ai aussi observé un éventail de contenus sexuels partagés allant de photos de personnes habillées posant de façon suggestive à des sujets nus dans des actes explicites. J’ai noté que les filles restaient plus souvent dans les contenus suggestifs tandis que les garçons étaient enclins à aller plus facilement droit au but, envoyaient des photos de leur pénis par exemple. Je ne suis pas allée plus loin sur le sujet des « dick pics » [photos de pénis partagées en ligne] parce que c’est une pratique qui se fait souvent sans consentement, mais il ressortait beaucoup dans les discussions que de nombreuses internautes recevaient ces photographies de pénis non consenties.
    L’application Snapchat est-elle populaire en matière de sexting parce que ses messages sont censés être éphémères ?

    Effectivement, Snapchat est considérée comme une appli plus sûre parce que les messages s’effacent. La confiance est un argument largement mis en avant par les sujets de mon enquête. Toutefois, ils sont bien conscients que rien ne disparaît vraiment sur Internet, qu’il existe des moyens et astuces pour conserver les photos ou faire des captures d’écran du téléphone en toute discrétion.

    De façon générale, il apparaissait que Snapchat était vraiment utilisé chez les 11-15 ans. Chez les 16-20 ans, on parlait un peu moins de cette messagerie au profit d’Instagram ou de WhatsApp.
    Qu’est ce qui pousse les gens à « sexter » ?

    La majorité d’entre eux nous expliquaient qu’ils s’y adonnaient dans le cadre d’une relation de couple, quand ils avaient confiance en la personne. Quelques-uns en faisaient mention juste avant la formation du couple, pour flirter.

    Mais si les gens recourent autant à la photo dans le sexting, c’est qu’elle permet la mise en scène, de se mettre en valeur vis-à-vis de l’autre personne. Bien souvent, cela relève plus du charme que de la pornographie.
    On aborde souvent la question du sexting par ses dérives : les scandales de harcèlement et de diffusion de documents privés à caractère sexuel. Toutes les expériences de sexting sont-elles vouées à mal tourner ?

    Non, dans la majeure partie des cas cela se passe bien, même si les cas de diffusion sans consentement sont souvent violents et font beaucoup de bruit. Sur les cinq mille adultes interrogés dans l’enquête nationale, 15 % – en majorité des garçons – disaient avoir déjà partagé une photographie intime d’une tierce personne.

    Ce qui pose problème dans le sexting c’est la diffusion, le partage public de photographies intimes de tiers. Or, la quasi-unanimité des campagnes de prévention s’adresse non pas aux auteurs, complices et témoins de partages non désirés mais aux victimes potentielles. Et elles invitent plutôt à stopper le sexting pour éviter toute dérive.

    Or, pour moi, une prévention efficace reviendrait à ne pas lutter contre une pratique dans l’air du temps mais plutôt à sensibiliser les destinataires de photos à ne pas les partager, à respecter le consentement. Vouloir stopper le sexting pour éviter les dérives, c’est comme vouloir interdire les relations sexuelles pour éviter le viol.
    Avez-vous d’ores et déjà constaté une meilleure efficacité à changer de braquet sur la prévention ?

    Oui, il y a matière à optimisme. Tout au long de ma thèse, en Suisse, j’ai pu travailler avec le corps enseignant, les éducateurs sexuels ainsi qu’avec la police qui menait des campagnes de prévention, afin de réorienter le message pour s’adresser aux auteurs et aux témoins à qui on explique qu’ils sont tous tout aussi coupables.
    Lire aussi Le « sexting » ou l’art de la conversation érotique

    Une fois la gravité du geste expliquée, une fois qu’on raconte qu’une simple image suggestive partagée peut causer beaucoup de tort à la personne qui s’est prise en photo, ils se rendent généralement compte du mal fait.

    Dans l’enquête, nous leur avions aussi demandé la raison pour laquelle ils partageaient. Nous, adultes, on a en tête le revenge porn, sauf que les plus jeunes ne le font pas initialement dans une volonté de nuire. C’est avant tout pour rire, hélas. Comme pour le harcèlement, il y a un manque de conscience du geste.

    Pauline Croquet

    #Sexting #Culture_numérique #Cyberharcèlement

  • « Je suis rentré dans votre ordinateur » : deux hackeurs de 21 ans suspectés d’un massif chantage au porno
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/12/24/deux-genies-de-l-informatique-suspectes-d-escroqueries_6023925_4408996.html

    En un an, vingt millions de courriels ont été envoyés, pour un préjudice estimé à plus de 1 million d’euros. Deux informaticiens français ont été mis en examen notamment pour « extorsion en bande organisée ». Jean-Pierre Castaldi a connu des rentrées de vacances plus agréables. En cette fin août, de retour à Paris, il lui faut éplucher ses nombreux courriels non lus. La tâche, souvent fastidieuse, se révèle cette fois-ci angoissante. « Je reçois un mail, se remémore l’acteur, dans lequel le gars m’écrit, (...)

    #bot #procès #hacking #sextorsion

  • Video Games and Online Chats Are ‘Hunting Grounds’ for Sexual Predators - The New York Times
    https://www.nytimes.com/interactive/2019/12/07/us/video-games-child-sex-abuse.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_191208?camp

    Six years ago, a little over 50 reports of the crimes, commonly known as “sextortion,” were referred to the federally designated clearinghouse in suburban Washington that tracks online child sexual abuse. Last year, the center received over 1,500. And the authorities believe that the vast majority of sextortion cases are never reported.

    There has been some success in catching perpetrators. In May, a California man was sentenced to 14 years in prison for coercing an 11-year-old girl “into producing child pornography” after meeting her through the online game Clash of Clans. A man in suburban Seattle got a 15-year sentence in 2015 for soliciting explicit imagery from three boys after posing as a teenager while playing Minecraft and League of Legends. An Illinois man received a 15-year sentence in 2017 after threatening to rape two boys in Massachusetts — adding that he would kill one of them — whom he had met over Xbox Live.

    “The first threat is, ‘If you don’t do it, I’m going to post on social media, and by the way, I’ve got a list of your family members and I’m going to send it all to them,’” said Matt Wright, a special agent with the Department of Homeland Security. “If they don’t send another picture, they’ll say: ‘Here’s your address — I know where you live. I’m going to come kill your family.’”

    The trauma can be overwhelming for the young victims. An F.B.I. study reviewing a sample of sextortion cases found that more than a quarter of them led to suicide or attempted suicide. In 2016, a Justice Department report identified sextortion as “by far the most significantly growing threat to children.”

    It makes sense the gaming world is where many predators would go: It’s where the children are. Almost every single teenage boy in America — 97 percent — plays video games, while about 83 percent of girls do, according to the Pew Research Center.

    One platform frequently used by predators is the video chat site Omegle — users need look no further than the site’s home page to find that out. “Predators have been known to use Omegle, so please be careful,” the site advises under a banner that exclaims, “Talk to strangers!” Omegle did not respond to requests for comment.

    This fall, the F.B.I. rolled out an awareness campaign in middle and high schools to encourage children to seek help when caught in an exploitive sexual situation. “Even if you accepted money or a game credit or something else, you are not the one who is in trouble,” material from the campaign explains.

    The authorities did it again, this time in Bergen County, a suburb close to New York City. They made 17 arrests. And they did it once more, in Somerset County, toward the center of the state, arresting 19. One defendant was sentenced to prison, while the other cases are still being prosecuted.

    After the sting, the officials hoped to uncover a pattern that could help in future investigations. But they found none — those arrested came from all walks of life. Among them were a police officer, a teacher, a minister, a nurse, a bank manager, a mechanic, a waiter, a dental hygienist, a college student and a deliveryman.

    “It cuts across all social and racial lines, across class lines — it cuts across every line,” Ms. Hoffman said. “There is no profile.”

    When announcing the arrests, the authorities highlighted Fortnite, Minecraft and Roblox as platforms where suspects began conversations before moving to chat apps. Nearly all those arrested had made arrangements to meet in person.

    In a separate case in Ohio, the digital abuse of a young boy led to his physical abuse. The offender, Jason Gmoser, would encourage boys to show their genitals while on PlayStation, according to court records. Mr. Gmoser, who was found with over 500 videos recorded while gaming with boys, often offered gift cards that could be used on the network.

    He told detectives in 2014 that he spent years interacting with an 8-year-old who had appeared in several of the videos, including one in which the boy exposed himself and said he would “do anything” for a $20 gift card.

    There are a few seemingly simple protections against online predators, but logistics, gaming culture and financial concerns present obstacles.

    Companies could require identification and parental approvals to ensure games are played by people of the same age. But even as some platforms have experimented with programs like Real ID, a verification effort, gamers have resisted giving up anonymity.

    “There’s been community-layer rejection of those systems because people like to be able to be anybody,” said Todd Harris, who co-founded Hi-Rez, a game development studio based in Atlanta.

    While Facebook has algorithms that can detect some text-based grooming, many gamers use audio and video chat. And eliminating audio and video interactions would be a death sentence for a gaming company fighting for customers. “You can’t seriously compete without talking,” Mr. Harris said. “The team with the best communication will win.”

    Instagram, owned by Facebook, does not have the same restrictions. Until this past week, it had allowed users to send private messages to anyone, and a Times reporter was able to contact and video-chat with a 13-year-old girl who had a private account (the girl and her parents gave permission to conduct the test). After The Times asked about the policy, Instagram announced new features on Wednesday that allow users to block messages from people they do not follow. The company said it would also require users to enter their age when signing up.

    #Cyberharcèlement #Sextorsion #Prédateurs

  • Lettre des femmes du monde aux Femmes Zapatistes

    À nos compañeras zapatistas
    Aux femmes du monde qui luttent
    Aux grand-mères, mères, sœurs, jeunes et filles
    À celles qui ont le cœur de femme ...

    https://espoirchiapas.blogspot.com/2019/02/lettre-des-femmes-du-monde-aux-femmes.html

    Nous qui signons ces mots, nous sommes des femmes du Mexique et du monde, convoquées par les femmes zapatistes le 8 mars 2018 à la « Première Rencontre Internationale, Politique, Artistique, Sportive et Culturelle des Femmes qui Luttent ».

    Nous gardons à l’esprit que, pour chacune d’entre nous, nous sommes engagées à lutter, chacune depuis nos lieux d’origine ou depuis les lieux qui nous embrassent, avec nos différentes cultures et métiers « pour que plus jamais une femme dans le monde, quelle que soit sa couleur, sa taille, son origine, ne se sente seule ou aie peur ». Nous nous sommes engagées avec la lumière que vous nous avez partagé pendant la rencontre, avec la lumière que vous représentez pour nous. Nous continuons à prendre soin de cette lumière afin d’être, marcher et lutter ensemble.

    Aujourd’hui, nous nous manifestons donc pour vous dire que nous n’allons pas permettre que les mauvais gouvernements vous dépouillent de vos territoires qui vous offrent des racines, qui font battre votre cœur et donnent la direction à ce que vous êtes, à ce dont vous rêvez. Et nous nous battrons, de toutes les manières possibles, pour que les pratiques de résistance des peuples ne soient pas utilisées pour folkloriser les cultures ancestrales ou justifier les mégaprojets de mort imposés par le système capitaliste patriarcal.

    Étant donné la situation de guerre que nous continuons à vivre comme femmes, nous réaffirmons notre accord de « rester en vie, et que pour nous, vivre c’est lutter, chacune en accord avec sa manière, son lieu et son temps ».

    Maintenant c’est le moment de dire aux mauvais gouvernements d’hier, d’aujourd’hui et des différents lieux du monde que : nous répudions, depuis les multiples géographies auxquelles nous appartenons, les pratiques d’octroi et d’extraction de notre Terre Mère. Le fracking, les gazoducs, les oléoducs, les hydroélectriques, les monocultures agroindustriels et l’infrastructure du développement touristique ne bénéficient qu’aux grands projets entrepreneuriaux au détriment de la destruction des populations indigènes et non-indigènes. Face aux intérêts de ceux qui veulent gagner de plus en plus d’argent, nous allons lutter pour le Vie des personnes et des êtres vivants qui habitent nos territoires.

    Nous les femmes connaissons la valeur de la vie, et donc nous construisons les conditions pour assurer la vie. Nous déclarons que oui, nous pouvons le faire, nous les femmes, avec notre cœur collectif. Vous n’êtes pas seules compañeras zapatistas, amies et sœurs, et vos enfants, familles et peuples ne le sont pas non plus !

    Lettre accompagnée de 853 signatures collectives ou individuelles de femmes qui luttent partout dans le monde (dont la mienne, bien sûr)

    Lire aussi :
    Communiqué des femmes zapatistes aux femmes qui luttent
    (qui annonce qu’il n’y aura, hélas, pas de seconde rencontre internationale des femmes qui luttent) : https://espoirchiapas.blogspot.com/2019/02/face-au-nouveau-mauvais-gouvernement.html
    Paroles des femmes zapatistes lors de la 1ère rencontre des femmes qui luttent
    https://espoirchiapas.blogspot.com/2018/04/paroles-des-femmes-zapatistes-lors-de.html
    Parole des femmes Zapatistes lors de la cloture de la première rencontre des femmes qui luttent
    https://espoirchiapas.blogspot.com/2018/04/parole-des-femmes-zapatistes-lors-de-la.html

    #feminisme #zapatisme #ezln #sexta #chiapas #mexique

  • La deuxième Rencontre Internationale des Femmes en Lutte n’aura pas lieux.
    La faute au Capitalisme et à tous ces mâles-gouvernements qui imposent les megas-projets de tous leurs potes mâles-multinationales.
    Et ça nous défait Terre.
    Et ça nous tue.
    ¡ Puès !
    Que cela nous soulève, par toutes !

    ¡ Soy una de las #MujeresQueLuchan !

    Animo compañeras ?

    Carta de las zapatistas a las mujeres que luchan en el mundo | Enlace Zapatista
    http://enlacezapatista.ezln.org.mx/2019/02/11/carta-de-las-zapatistas-a-las-mujeres-que-luchan-en-el-mund #ezln #sexta

  • When #sextech Collides with Mysogyny
    https://hackernoon.com/when-sextech-collides-with-mysogyny-5204eebd23ef?source=rss----3a8144eab

    CES: When Sextech Collides with MisogynyThe Osé by Lora DiCarloCES is the largest tech show in the world. Held every year in Vegas, it’s a barometer for trends in the tech world — you can reliably predict what will become big in the coming years by walking around the floor and seeing what is debuting.One area that’s been steadily growing is sextech, of course. I watch mostly from the sidelines because as a man in the world of sextech, a lot of what I write feels like “mansplaining” to me. There is a lot of innovation going on in sextech, and most of it is done by women. This is not an accident. During an interview with a European business journal I was once asked to explain why sextech innovators are usually women, and my reply was that women are more driven to improve their sex lives than men (...)

    #female-founders #startup #female-entrepreneurs #ces

  • Robotic dildo barred from top tech showcase, prompting sexism claims
    https://www.theguardian.com/technology/2019/jan/08/ces-dildo-gender-sex-toy-ose-personal-massager

    CES organizers withdrew an award for the Osé personal massager despite spotlight on male-focused sex tech The developers of a female-focused sex toy are alleging gender bias at the International Consumer Electronics Show after organizers revoked an innovation award honoring the company and prohibited it from showcasing its product. Lora Haddock, founder and CEO of Lora DiCarlo, said her team had been overjoyed when the company’s Osé personal massager was selected as the CES 2019 Innovation (...)

    #sextoy #discrimination

    https://i.guim.co.uk/img/media/505ba844e794b9033b8e36e7bde822523960bd65/0_0_1363_818/master/1363.jpg

  • L’interdiction d’un sextoy féminin au CES ravive le débat sur le sexisme dans la tech
    https://www.numerama.com/tech/453667-linterdiction-dun-sextoy-feminin-au-ces-ravive-le-debat-sur-le-sexi

    Une marque de sextoys pour femmes a été récompensée au CES de Las Vegas. Puis, les organisateurs ont finalement jugé son produit « obscène », et lui ont retiré son prix. Osé, c’est le petit nom d’un sextoy féminin inventé par la marque Lora DiCarlo. Alors qu’il figurait parmi les heureux lauréats du CES, la grand-messe des innovations technologiques qui a lieu chaque début d’année à Las Vegas, il en a finalement été banni. Sa fondatrice évoque des motifs sexistes, les organisateurs s’en défendent, et c’est (...)

    #sextoy #discrimination

    //c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/01/sextoy-ces.jpg

    • En janvier 2018, des poupées sexuelles aux dimensions irréalistes ont ainsi été lancées lors du CES (toutefois seulement présentées sur des stands de média ou dans un hôtel adjacent au CES), de même que des dispositifs pour regarder de la pornographie (encore très largement destinée aux hommes hétérosexuels) en réalité virtuelle. Des hommes testaient le produit très librement lors du salon, remarque Lora Haddock. Une marque de strip-club avait quant à elle organisé une performance de « strip-tease de robots » où des robots sexualisés dansaient sur des podiums.

      « La sexualité des hommes peut être présentée de manière explicite (…). La sexualité des femmes, en revanche, est largement passée sous silence, lorsqu’elle n’est pas bannie », assène Haddock. « Vous ne pouvez prétendre ne pas être biaisés si vous autorisez un robot sexuel pour les hommes mais pas un robot de massage focalisé sur le vagin pour obtenir des orgasmes. »

      #femmes

  • Le #Japon mêle technologies de pointe et traditions. Mais connaissez-vous leurs oreillers #sextoys qui ont une dimension plus profonde que le seul plaisir sexuel ? #Vidéo (ethno et non porno) de Manon Bril

    https://sms.hypotheses.org/11184

    #manon_bril, #sextoy, #sexe, #pratique, #vidéo, #plaisir, #japon, #ethnologie, #technologie, #tradition, #oreiller, #rêve, #sexualité,

  • Technology and Sex Work — it will get better.
    https://hackernoon.com/technology-and-sex-work-it-will-get-better-e893192f1379?source=rss----3a

    I wrote this article so I could share a picture of my hot girlfriend and talk about how she and others could potentially avoid being punched in the head.Last week my girlfriend, a professional dominatrix, was assaulted (punched in the head actually) by a first time client who works at the Blue Cross Blue Shield headquarters here in downtown Chicago.The last few weeks have been a bit of a downer in our household, to say the least. My girlfriend used to get the majority of her clients off Backpage. This in and of itself was fraught with danger — due to the anonymity of sites like Backpage, you never were quite sure who you were getting. When Backpage, craigslist and various forums shut down over SESTA/FOSTA, we had a minor rent emergency in the household. Would there be enough to make it by (...)

    #sexual-assault #signal #blockchain #sex-work #sextech

  • #sextech: Why Should I Pay Attention?
    https://hackernoon.com/sextech-why-should-i-pay-attention-d0ede990d9db?source=rss----3a8144eabf

    The latest listing addition to KinkBNB as of this morning!One of the least supported trends by American VCs right now is SexTech — startups that deal with human sexuality and #sex education. Against logic, there are a lot of SexTech startups right now — despite the climate of hostility in the US that is most represented by recent passage of SESTA/FOSTA. Why is this?It’s because you don’t need deep pockets to make money if you have the right idea. And SexTech definitely makes money.I can only point to my own experiences. About three years ago, I started KinkBNB. Of course it’s piggybacking on the huge amount of marketing dollars spent by AirBNB to build their brand — but AirBNB’s shortsightedness led to my #startup taking off.I’ve been doing startup work in San Francisco for 25 years. Most of the time I (...)

    #bdsm #entrepreneurship

  • Le #Japon mêle technologies de pointe et traditions. Mais connaissez-vous leurs oreillers #sextoys qui ont une dimension plus profonde que le seul plaisir sexuel ? #Vidéo (ethno et non porno) de Manon Bril

    https://sms.hypotheses.org/11184

    #pratique, #sexe, #sextoy, #plaisir, #service, #jouet, #sociologie, #anthropologie, #ethnologie, #vidéo, #rêve, #fantasme

  • Le séminaire « La pensée critique face à l’hydre capitaliste » m’avait énormément marquée. Hâte d’en retrouver la substantifique moelle !
    PISTES ZAPATISTES
    La pensée critique face à l’hydre capitaliste
    Commission #Sexta de l’#EZNL
    http://www.nada-editions.fr/?product=pistes-zapatistes

    Né du séminaire « La pensée critique face à l’hydre capitaliste » qui s’est tenu du 2 au 9 mai 2015 au Chiapas, au Mexique, à l’initiative de la Commission Sexta de l’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN), ce livre se veut une participation des zapatistes au débat anticapitaliste à partir de leur propre expérience de construction de l’autonomie depuis maintenant plus de 20 ans. Son objectif n’est pas, selon les mots du sous-commandant Galeano (ex-Marcos), « de favoriser des adhésions à l’une ou l’autre des analyses [ici présentées], mais de provoquer des idées, des pensées, des discussions, des débats […] pour répondre à la question que toutes, tous, nous finissons par nous poser : et ensuite ? »

    Coédition Albache, Nada et Union syndicale Solidaires.

    Mes photos de ce grand moment sont à retrouver par là : https://www.flickr.com/photos/valkphotos/sets/72157651920994107
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/17136518663/in/album-72157651920994107

    Flickr

    « Vote, ou ne vote pas, mais organise-toi ! »
    Sup’ Moïses, porte-parole de l’EZLN.

  • Un logiciel malveillant vise 120.000 webcams et caméras de surveillance
    http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/05/12/32001-20170512ARTFIG00124-un-logiciel-malveillant-vise-120000-webcams-et-ca

    Un nouveau type de logiciel malveillant a été repéré sur le Web. Inspiré de Mirai, le nouveau programme infecte des objets connectés et les place sous le contrôle de pirates. Les webcams sont des cibles de choix pour les pirates. La société de cybersécurité Trend Micro a découvert un nouveau type de logiciel malveillant sur Internet. Dans un rapport, elle affirme que 120.000 webcams et caméras de surveillance sont vulnérables et peuvent être enrôlées dans des réseaux de machines zombies. Aussi appelés (...)

    #Mirai #spyware #webcam #hacking

  • Objets connectés : les victimes d’un vibromasseur espion remportent leur procès
    http://www.numerama.com/politique/240568-objets-connectes-les-victimes-dun-vibromasseur-espion-remportent-le

    La société canadienne Standard Innovation, accusée par sa clientèle d’avoir omis de révéler que son sex-toy phare collectait leurs données personnelles, a été condamnée à leur payer 3 millions de dollars et à supprimer ces informations. Après de nombreux avertissements venant de hackers et de professionnels de la sécurité, en septembre dernier, une consommatrice de l’Illinois portait plainte contre la société canadienne Standard Innovation. Elle lui reprochait de ne pas avoir stipulé que son produit (...)

    #Standard_Innovation #hacking #profiling #We-vibe #procès #sextoy

  • Vibrator maker ordered to pay out C$4m for tracking users’ sexual activity
    https://www.theguardian.com/technology/2017/mar/14/we-vibe-vibrator-tracking-users-sexual-habits

    Canadian manufacturer We-Vibe collected data about temperature and vibration intensity, revealing intimate information without customers’ knowledge Sex toy maker We-Vibe has agreed to pay customers up to C$10,000 (£6,120) each after shipping a “smart vibrator” which tracked owners’ use without their knowledge. Following a class-action lawsuit in an Illinois federal court, We-Vibe’s parent company Standard Innovation has been ordered to pay a total of C$4m to owners, with those who used the (...)

    #Standard_Innovation #sextoy #hacking #profiling

  • Women settle lawsuit with Canadian maker of Internet-connected vibrator for US$3.75M
    http://news.nationalpost.com/news/world/women-settle-lawsuit-with-canadian-maker-of-internet-connected-vi

    In September, a lawsuit was filed in an Illinois court against Standard Innovation, which manufactures the popular We-Vibe sex aid, because newer versions of the device share “highly intimate” data over the web.

    We-Vibe Rave, released two years ago, is Bluetooth and Wi-Fi compatible.

    A cellphone app called We-Connect allows users and their partners to control the Rave’s intensity and vibration patterns remotely over the Internet and allows for private text messages and video calls.

    Le fabricant d’un sex-toy un peu trop « intelligent » va indemniser ses utilisateurs
    http://www.20minutes.fr/high-tech/2030887-20170315-sex-toy-connecte-collectait-donnees-utilisateurs

    L’engin envoyait des données sur sa température et l’intensité de ses vibrations

    Des experts en cybersécurité avaient en effet révélé, à la conférence sur le piratage informatique Defcon l’an dernier, des failles dans l’application du vibromasseur, permettant d’accéder aux données privées et de prendre le contrôle de l’appareil. L’engin transmettait en outre des statistiques précises sur son utilisation, comme sa température et l’intensité de ses vibrations, le tout couplé à l’adresse email de son propriétaire.

    #surveillance #données_personnelles #it_has_begun #justice #sextoy #internet_des_objets

  • #Italie : humiliée par la diffusion de sa #sextape, une jeune femme se #suicide
    http://www.francetvinfo.fr/monde/italie/italie-humiliee-par-la-diffusion-de-sa-sextape-une-jeune-femme-se-suici

    L’affaire provoque un énorme choc en Italie. Tiziana Cantone, une jeune femme de 31 ans, a été retrouvée pendue, mardi 13 septembre, au domicile de sa tante à Mugnano, près de Naples. La raison de son suicide ne fait aucun doute : depuis plusieurs mois, elle luttait pour que soit retirée d’internet toute trace d’une vidéo de ses ébats sexuels.

    [...] Après une longue bataille judiciaire, elle avait récemment obtenu de la justice que la vidéo soit retirée de la plupart des moteurs de recherche et des réseaux sociaux, reconnaissant son « #droit_à_l'oubli ». Mais elle avait, de son côté, été sommée de payer 20 000 euros de frais de #justice .

  • À 13 ans, je me déshabillais devant ma webcam pour le bonheur de mes camarades de classe
    https://www.vice.com/fr/read/a-13-ans-je-me-deshabillais-devant-ma-webcam-pour-le-bonheur-de-mes-camarades-

    Le sexting est une notion créé par des adultes, pour des adultes. Son utilisation répond à une peur panique des parents face à ce qu’ils ne peuvent pas comprendre : le fait que leurs gamins puissent se foutre à poil. Avant Snapchat, il y avait les MMS, ou encore la simple webcam. Le sexting n’est pas donc pas une nouveauté.

    Point de vue intéressant sur un sujet difficile...

    #Adolescence #Internet #Messagerie_instantanée #Sexting #Sexualité #Snapchat #Webcam

  • Dans la journée de lundi, Aaron Stein s’est présentée au guichet d’une banque de la banlieue de Crafton, en Pennsylvanie et a menacé les employés présents avec une bombe comme le rapporte NBCNews. En réalité, l’arme était factice. Le braqueur a créé une fausse bombe à l’aide d’une boîte en carton, d’un téléphone portable et... d’un sextoy. Curieux.

    http://www.closermag.fr/insolite/articles/quand-un-cambrioleur-braque-une-banque-a-l-aide-d-un-sextoy-526493

    #sextoy

  • #Mexique / #Chiapas : Enfin ! TOUTES les photos du #Semillero sont en ligne ! https://www.flickr.com/photos/valkphotos/sets/72157651920994107

    ★ Du 3 au 9 mai 2015, des dizaines d’intervenant-e-s se sont succédé-e-s pour un #séminaire de partage de « Pensée #Critique face à l’Hydre #Capitaliste », proposé et ponctué par la Commission #Sexta de l’ #EZLN au CiDeCi-Unitierra. Pleins d’idées non pas toutes faites et prêtes à consommer, mais des pistes, expériences et des doutes, transmis par de grands esprits du monde entier. Des graines à planter et cultiver avec amour. De quoi se nourrir, partager et lutter pendant des décennies.
    Programme, intervenant-e-s et autres informations : http://enlacezapatista.ezln.org.mx/2015/05/01/programme-et-autres-information-sur-lhommage-et-le-seminair

    ★ Les textes, et leurs traductions, arrivent petit à petit par ici :
    ☆ Enlace Zapatista : http://enlacezapatista.ezln.org.mx
    Et en français, traduits par l’équipe de l’escargot à plumes qui vivait d’espoir et d’eau fraiche :
    ☆ Espoir Chiapas : http://espoirchiapas.blogspot.fr
    ☆ Le Serpent à Plumes : http://www.le-serpent-a-plumes.antifa-net.fr
    ☆ L’intégralité des vidéos du Semencier / Séminaire par Los Tejemedios : http://original.livestream.com/lostejemedios/folder

    ★ Vous pouvez retrouver toutes les photos prises au #Mexique ici https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157651810788072
    © ValK / Collectif Bon pied bon oeil
    (cc) pour les Medios Libres, Alternativos, Autónomos o como se llamen et mouvements de luttes en bas à gauche.