• The Medication Generation : Teenagers and Antidepressants - WSJ
    http://online.wsj.com/article/SB10001424052702303649504577493112618709108.html

    Young people are medicated even more aggressively now, and intervention often starts younger. In children, as in adults, antidepressants and medications for attention-deficit hyperactivity disorder are often used continuously for years. These trends have produced a novel but fast-growing group—young people who have known themselves longer on medication than off it.

    consequences of teaching young people to think about their problems in biomedical terms. In the past 25 years, antidepressants have helped to move us from a culture that viewed emotional problems as products of personal psychology, to one that views at least many negative feelings in terms of faulty biology

    #drogues #pharma #psychologie #adolescence #sexualité

    • antidepressants have helped to move us from a culture that viewed emotional problems as products of personal psychology, to one that views at least many negative feelings in terms of faulty biology

      and in terms of faulty environment ?

  • « Abstinence-only » : la psychose américaine du sexe
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/07/06/abstinence-only-la-psychose-americaine-du-sexe_1728524_3224.html

    Cette culture de l’abstinence est subventionnée par l’Etat fédéral et distillée à l’école publique depuis vingt ans, particulièrement sous les deux présidences du républicain George W. Bush. Lequel, en tant que gouverneur du Texas, avait dépensé pas moins de 10 millions de dollars en 1995 dans le programme d’éducation sexuelle « abstinence-only », qui apprend aux jeunes Américains que la meilleure manière de se protéger des dangers du sexe – maladies sexuellement transmissibles (MST) et grossesses précoces –, est de rester vierge le plus longtemps possible, à défaut de pouvoir attendre jusqu’au mariage. Un apprentissage qui ne s’accompagne pas d’informations sur la contraception.

    Encore aujourd’hui, les républicains restent sur cette ligne de conduite : les délégués texans se sont réunis en juin pour se mettre d’accord sur leur programme 2012, notamment en matière d’éducation. Au chapitre « éducation sexuelle », on peut lire : « Nous nous opposons à toute éducation sexuelle autre que l’abstinence jusqu’au mariage. »

    Pourtant, comme le montre le think tank américain Think Progress, de nombreuses études ont révélé que les programmes prônant l’abstinence ne parvenaient pas à empêcher les grossesses précoces chez les adolescentes américaines, bien au contraire. Par exemple, le Mississippi, dont le programme public d’éducation sexuelle est celui de l’abstinence-only, avait en 2010 le plus fort taux de grossesses chez les adolescentes du pays (55 pour 1 000).

    #sexualité #contraception #éducation_sexuelle #avortement

  • Sexual Objectification (Part 2): The Harm » Sociological Images
    http://thesocietypages.org/socimages/2012/07/06/sexual-objectification-part-2-the-harm

    http://www.youtube.com/watch?v=6gkIiV6konY&feature=player_embedded

    Beyond the internal effects, sexually objectified women are dehumanized by others and seen as less competent and worthy of empathy by both men and women. Furthermore, exposure to images of sexually objectified women causes male viewers to be more tolerant of sexual harassment and rape myths. Add to this the countless hours that most girls/women spend primping and competing with one another to garner heterosexual male attention, and the erasure of middle-aged and elderly women who have little value in a society that places women’s primary value on their sexualized bodies.

    Theorists have also contributed to understanding the harm of objectification culture by pointing out the difference between sexy and sexual. If one thinks of the subject/object dichotomy that dominates thinking in Western culture, subjects act and objects are acted upon. Subjects are sexual, while objects are sexy.

    Pop culture sells women and girls a hurtful lie: that their value lies in how sexy they appear to others, and they learn at a very young age that their sexuality is for others. At the same time, being sexual, is stigmatized in women but encouraged in men. We learn that men want and women want-to-be-wanted. The yard stick for women’s value (sexiness) automatically puts them in a subordinate societal position, regardless of how well they measure up. Perfectly sexy women are perfectly subordinate.

    #femmes #sexualité #féminité

  • Contrat… ou trahison?
    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/plaisirs-articles-section/lire/950-contrat-ou-trahison

    Carole Pateman s’attarde sur la question des rapports entre hommes et #femmes dans le cadre de la #prostitution, à tort considérés comme étant le fruit d’un #contrat équitable entre deux parties. Au contraire, la prostitution a plutôt comme conséquence de reproduire une asymétrie dans les rapports hommes-femmes et dans leur conception de la #sexualité : "Lorsque le corps des femmes est une #marchandise mise en vente sur le marché capitaliste, les termes du contrat originel ne peuvent être oubliés : la #loi du #droit sexuel masculin est publiquement affirmée, et les hommes sont publiquement reconnus comme les maîtres sexuels des femmes ; voilà ce qui ne va pas dans la prostitution." (p. 287-88)
    L’analyse du « contrat sexuel » nous amène à aborder la question de la « #propriété du corps », qui est souvent évoquée par les défenseurs du contrat social. Cette conception du corps comme un bien nous appartenant est utilisée de toutes sortes de manière. Ainsi, certains peuvent concevoir que l’#avortement et la prostitution représentent deux manifestations de la façon dont on peut disposer de son corps, en étant son « propriétaire ». Or, on peut opposer à ce principe de propriété du corps (qui sous-entend, par ailleurs, que le corps est un bien au même titre qu’une marchandise), l’idée que le corps est inaliénable, ce qui est également une valeur importante des sociétés modernes. En tant qu’elle repose sur des demandes sexuelles et des desseins qui sont étrangers aux volontés personnelles de la personne qui se prostitue, la prostitution porte atteinte à sa personne. De plus, le lien intrinsèque entre la sexualité et l’identité fait en sorte que ce n’est pas seulement le corps qui est aliéné dans la prostitution, mais l’individu lui-même. Pateman insiste sur le fait que le soi et la sexualité ne peuvent pas être dissociés et qu’il apparaît trompeur et simpliste de considérer que la sexualité peut faire l’objet d’un commerce comme n’importe quel bien.

  • Ados et porno : attention aux contre-vérités | Sexpress
    http://blogs.lexpress.fr/sexpress/2012/06/20/ados-porno-contre-verites

    Si je vous suis, les pornos permettent d’éduquer les filles aux désirs des garçons… Michel, je pense que vous êtes malheureusement tombé dans le panneau du porno formaté hétéro et masculin. Une scène porno standard c’est « fellation-pénétration-sodomie-éjaculation-faciale » pendant que l’actrice hurle de plaisir. Ces pratiques sont-elles pour autant le désir de tous les garçons ? Est-ce que les filles peuvent avoir envie d’une sodomie et pas leur mec ? C’est justement un travers qu’on prête au porno, et il est important de relativiser la #sexualité qui y est présentée.

  •  » « Beaucoup de préjugés et de rumeurs sur la #sexualité circulent chez les adolescent-e-s » - Egalité
    http://www.egalite-infos.fr/2012/06/15/%c2%ab-beaucoup-de-prejuges-et-de-rumeurs-sur-la-sexualite-circulent-c

    Malgré le caractère obligatoire de l’éducation à la sexualité au collège, c’est uniquement sous l’impulsion des acteurs scolaires que des séances se mettent en place. Le comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté d’un collège (chef-fe d’établissement, infirmière scolaire, assistante sociale, conseiller-ère-s principal-le d’éducation, professeur-e-s, élèves, et parents d’élèves) se réunit pour définir les enjeux de la prévention, puis organiser les cours d’éducation à la sexualité.

    Ces cours sont très importants quand on fait face à la réalité du terrain. Beaucoup de préjugés et de rumeurs circulent sur la sexualité à cet âge-là. Il faut déconstruire une vision souvent machiste, homophobe et imprégnée des films pornographiques, pour construire une sexualité du respect, de soi et de l’autre.

    Ces cours permettent d’ouvrir un dialogue entre garçons et filles, d’aborder la sexualité de plusieurs manières, notamment par le jeu, en projetant un film, et en rencontrant des spécialistes.

    Tous les thèmes sont abordés : infections sexuellement transmissibles, grossesses non désirées, avortement, contraception, désir, amour, violences faites aux femmes, violences des mineur-e-s sur mineur-e-s…

  • #Excision : une étude souligne le succès de la chirurgie reconstructrice
    http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/06/12/excision-une-etude-souligne-le-succes-de-la-chirurgie-reconstructrice_171715

    Dans un article publié mardi 12 juin par le journal médical britannique The Lancet, le Dr Pierre Foldes, chirurgien à l’hôpital Poissy-Saint-Germain-en-Laye et ses collègues font état du succès de la procédure, en se fondant sur le suivi de 866 patientes.

    « La reconstruction du clitoris est possible », affirment les auteurs de l’article, qui ajoutent que cette chirurgie « peut améliorer le plaisir des femmes et diminuer leurs douleurs. Cela permet également aux femmes mutilées de récupérer leur identité ».

    UNE INTERVENTION REMBOURSÉE PAR LA SÉCURITÉ SOCIALE

    Plus d’un tiers des femmes qui n’avaient jamais connu d’orgasme auparavant, ont commencé à en avoir après l’intervention chirurgicale. Avec l’aide d’un sexologue, la moitié de celles qui avaient des « orgasmes limités » parviennent désormais régulièrement au plaisir.

    Parmi les patientes du Dr Pierre Foldes, l’un des rares médecins en France spécialement formés pour pratiquer ce type d’intervention, remboursée par la Sécurité sociale française depuis 2004, Fatima Sheriff explique que sa vie a changé après avoir subi une opération de reconstruction de son clitoris.

    « C’est la meilleure chose que j’aie jamais faite. Pour la première fois, je vis ma vie », explique Mme Sheriff, qui a récemment commencer à raconter son expérience et envisage de lancer un blog intitulé « Mon clitoris et moi » pour encourager d’autres femmes à subir l’intervention.

    ça c’est une bonne nouvelle :)

  • L’éloge des femmes passives
    http://lmsi.net/L-eloge-des-femmes-passives

    La figure de la « dompteuse de garçon », c’est-à-dire partie prenante de l’acte, fait aussi office d’image repoussoir. La femme « prédatrice » demeure une représentation du danger et n’est pas, dès lors, considérée comme séduisante aux yeux des garçons. Il semble que ce magazine ait intégré et de fait relaie l’idée qu’une femme qui affirmerait son appétence sexuelle s’exposerait à être assimilée à une prostituée, une fille disponible sexuellement aux désirs masculins. Ainsi, comme le souligne Ilana Löwy,

    « La réputation sexuelle négative des filles « faciles » exprime un point de vue masculin. Une fille expérimentée met les garçons mal à l’aise parce qu’elle peut juger leur performance sexuelle ; celle dont l’expérience est limitée ne perturbe pas l’ordre « naturel » des relations sexuelles, dans lequel le garçon est supposé prendre l’initiative, et la fille, le suivre. Ces réputations sont établies par les garçons, souvent avec la collaboration d’autres filles. En l’absence d’équivalent masculin à la « fille facile », les filles n’ont pas la possibilité symétrique d’établir la réputation sexuelle négative d’un garçon. Finalement, le groupe des garçons détermine les réputations sexuelles des individus des deux sexes ; asymétrie qui découle de la domination des représentations masculines de la #sexualité. » [5]

    En définitive, cette utilisation ambivalente de la « porno-star » permet de suggérer aux lectrices l’importance d’exposer une féminité, qui demeure une performance de genre, mais qui se doit d’être respectable.

    Enfin, ce mensuel offre la représentation d’une sexualité tournée vers l’autre, et de fait, vers les hommes, et dans ce cadre hétérosexuel, alimentant l’#androcentrisme en matière de sexualité. En effet, la figure masculine devenant système de référence, la sexualité féminine ne semble alors exister qu’en référence à celle-ci. Ainsi, le désir féminin dans certains articles est passé sous silence, le plaisir est soumis à condition et la sexualité semble circonscrite à un cadre conjugal et affectif.

    Dans un article d’avril 2008 « Sexy guide. Faire l’amour !!! On attend quoi au juste ? » sont exposées huit motivations possibles pour une jeune fille d’avoir un rapport sexuel : « Le big love ? », « Le bon endroit ? », « Mes 17 ans ? », « Un mec hyper amoureux ? », « Un Jules très doué ? », « Un garçon romantique ? », « Un rendez-vous chez le gynéco ? », « Les copines ? ». Ainsi, l’amour, la situation spatiale, l’âge, le partenaire, la visite chez un médecin et les paires sont donc présentés comme des raisons valables pour avoir un premier rapport sexuel. Mais le désir n’est à aucun moment mentionné, qu’on aurait pu imaginer par la formulation suivante, simple : « Parce que vous en avez envie ? ».

    cc @beautefatale

  • Vers une société du bien-être…pour les hommes
    http://sandrine70.wordpress.com/2012/05/08/vers-une-societe-du-bien-etrepour-les-hommes
    Donc, nous, les #femmes, n’avons pas de besoins sexuels. Et hors du couple (où la femme est souvent dédiée au confort du « matou de la maison ») et de la #prostitution, il n’existe donc pas de sexualité ! Pourtant, je pense qu’avec un minimum d’efforts (mais tout est là, faut faire un minimum d’efforts, ce dont est souvent dispensé l’homme au sein du couple ou dans la relation tarifée), il est parfaitement possible pour deux (voire plus...) adultes consentants de suffisamment se séduire pour se convaincre d’aller mélanger leurs fluides.
    Mais voilà, on parle là de relations d’égaux à égaux !

    Non. Je n’invente rien. L’expression « besoins sexuels des hommes » est écrite noir sur blanc à plusieurs reprises : « la #sexualité fait partie des besoins ». Ah bon ? Les testicules exploseraient donc sans éjaculations régulières ? Devons-nous aussi entendre que si les « besoins sexuels » des hommes étaient moins satisfaits dans l’acte prostitutionnel, il y aurait moins de viols ? Alors, plus de 200.000 agressions sexuelles par an, et 75.000 viols de femmes adultes, alors que l’achat d’acte sexuel n’est pas interdit, c’est un chiffre satisfaisant ?
    Et le tour de force ne s’arrête pas là. En effet, lorsqu’ils abordent l’éventuelle interdiction d’acheter un acte sexuel, les auteurs dégainent un argument massue : « Dans ce dispositif (qu’instaurerait une loi abolitionniste NDLR), la pénalisation du client ne vise pas seulement à le replier sur l’alliance légitime du couple, censé satisfaire les besoins sexuels des individus (mais qui a dit ça ? NDLR) mais lui signifie qu’il n’est pas dans la position de pouvoir accéder à ce privilège de la libre disposition des femmes, privilège d’un illégalisme toléré, luxe réservé aux dominants ».
    Ne vous frottez pas les yeux, vous avez bien lu « privilège de la libre disposition des femmes ». Le message est donc le suivant : réglementer la prostitution, ce n’est pas motivé par la volonté d’être plus juste en terme de droits de la personne humaine -la personne prostituée ici-, mais bien assurer à tous les hommes le même privilège d’avoir accès à la « libre disposition des femmes », pour satisfaire ces pseudos-besoins sexuels. Le problème n’est donc pas la libre disposition des femmes par la caste des hommes, mais son “illégalisme” !

    #fb #tw

  • Pourquoi les femmes ont-elles des orgasmes ?
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/04/pourquoi-avons-nous-des-orgasmes-.html

    Et si l’orgasme servait à retenir le partenaire ? Partant du principe que les hommes s’attachent plus aux femmes qui manifestent le plus ardemment leur émois, certains chercheurs ont émis l’hypothèse que les couples entretenant « de forts liens sexuels entretenus par des orgasmes partagés« étaient certainement plus solides que les couples « où seul l’homme prenait son pied« . C’est moi qui te fais jouir, c’est moi qui t’insémine et pas le voisin. Mais les auteurs de cette thèse troublante ont oublié un petit détail : cela fait des siècles que les femmes n’ont pas le droit de choisir leur partenaire pour la reproduction. Ni d’aller voir ailleurs. Ni même d’accorder la moins importance à l’orgasme… Les mâles n’ont jamais eu besoin de se démener au lit pour s’assurer la fidélité d’une femme. Il leur suffit de mettre en place un système de lois et de châtiments, bien plus efficace. L’excision règle aussi le problème. Ou la lapidation de la femme adultère.
    « La grande majorité des sociétés se sont attachées à limiter le potentiel érotique des femmes, résument Elisa Brune et Yves Ferroul. Bien sûr, il est possible que les australopithèques et l’homme de Java aient fonctionné autrement mais, pour ce que nous en savons, l’orgasme féminin n’a rien pu stabiliser dans des groupes où la stabilisation était assurée par des règles sociales normatives ».

    #fb #tw #sexualité #femmes

  • Un festival de mortes
    http://sandrine70.wordpress.com/2012/04/04/un-festival-de-mortes

    Cette #représentation est d’autant plus forte et présente, que l’image vient représenter quelque chose qui aurait un rapport avec la #sexualité des hommes. En résumé, c’est un stigmate de l’idée de la sexualité dans laquelle les hommes sont élevés : non pas un rapport “consenti” par un désir réciproque d’un échange ! Mais bien une équation dans laquelle l’autre est absente : il faut un bout de chair de #femme, sans tête, pour obtenir une éjaculation. Morte, parce que les vivantes peuvent dire non. Les mortes se laissent faire.

  • Centre pénitentiaire du Havre (76) : un couple sanctionné pour une fellation au parloir
    http://www.oip.org/index.php/component/content/article/997

    Centre pénitentiaire du Havre (76) : un couple sanctionné pour une fellation au parloir

    G.M. et son amie J.S. viennent de déposer un recours pour obtenir l’annulation d’une suspension de permis de visite d’un mois, intervenue en juillet dernier, pour sanctionner une fellation au parloir. Des faits qu’ils ont toujours niés. Au delà des problèmes de preuve, la situation de ce couple soulève la question du droit à l’intimité des personnes détenues.❞

    #prison #sexualité

  • Pourquoi les blondes sont-elles vulgaires ?
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/03/pourquoi-les-blondes-sont-elles-vulgaires.html

    La blonde, effectivement, a une mission dans la vie : sauver les mâles en panne. C’est pour ça qu’elle se fait crucifier. Parce qu’elle accepte d’être ce qu’elle est, un objet de désir, avec un cul, deux nichons et trois orifices disponibles. Dans notre société actuelle, voilà qui est impardonnable. Accablée de mépris, sacrifiée sur l’autel du politiquement correct, la #blonde est la #sorcière des temps modernes, mise au bûcher par des mâles hypocrites. Car la vérité vraie, c’est qu’ils se masturbent depuis des siècles sur l’image de la blonde.

    #sexualité
    @beautefatale

  • Enquête : l’ère de l’enfant-femme
    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20110422.OBS1740/enquete-l-ere-de-l-enfant-femme.html

    A 12 ans, elles se font faire des « épilations intégrales » et affichent sur leur profil Facebook des photos d’elles à moitié nues. Les psychiatres et sociologues sont unanimes : les enfants sont ados de plus en plus tôt, plongés de plus en plus vite dans un univers ultrasexualisé. « Aujourd’hui, il n’est pas rare de voir des fillettes de 10 ans déjà formées, constate le professeur François Gouraud, chef du service pédiatrie au CHU de Meaux. Cela crée une maturation sexuelle plus précoce chez les fillettes. » Mais les changements physiques ne sont pas les seuls en cause. Pour le sociologue Michel Fize (1), « l’adolescence est culturelle et psychique avant d’être biologique, et commence bien avant l’entrée au collège ». En clair : en 2011, on est ado avant même d’être pubère. La période chère aux disciples de Freud, dite de « latence », parenthèse enchantée où l’enfant, studieux et obéissant, se préparait gentiment à grandir, se rétrécit comme peau de chagrin.

    #poil #sexualité cc @beautefatale

  • Les 400 culs : Les « droits sexuels » des vieillards : jusqu’au bout de la nuit
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/02/les-droits-sexuels-des-vieillards-jusquau-bout-de-la-nuit-.ht

    Dans le cadre hospitalier, la #sexualité n’est pas que génitale, au contraire. Elle déborde par tous les pores de ces corps qui se livrent sans plus aucune pudeur aux manipulations du personnel soignant : ce sont des bouches qui happent, des mains qui palpent l’air, des langues qui sortent, des regards étrangement fixes dans des orbites de momie… « On parle souvent du pouvoir sur les corps (biopouvoir) mais qu’en est-il de la puissance des corps, et singulièrement de ces corps-là ? Il faut ici imaginer l’alignement dans les salons des EHPAD de ces créatures percluses dans des fauteuils articulés high-tech, sorte de cyborgs centenaires ou presque, imaginer l’inquiétante étrangeté de ces vies aux corps déformés, bouche édentée vorace, imaginer cette présence particulière de l’humain parvenu aux bornes de la vie, souvent sans langage et nous confrontant nous-mêmes aux bornes du langage. Comment penser, dire cette contradiction "désarçonnante" d’une puissance de vie aux confins de la mort ? ».

    Très bon papier, comme d’hab’

  • #Contraception et #sexualité des ados : un rapport de plus contre les tabous
    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/civilisation-articles-section/bien-etre/1699-contraception-et-sexualite-des-ados-un-rapport-de-plus-contre-

    Un nouveau rapport appelle à généraliser la contraception anonyme et gratuite pour les mineures. Un soutien de plus à une mesure que le ministère de la Santé refuse. Le rapport invite par ailleurs à une meilleure #éducation des enfants et adolescents à la sexualité.

    « Notre pays préfère-t-il payer l’#IVG plutôt que la contraception ? », s’interroge Israël Nisand. Aujourd’hui, la réponse est malheureusement oui.

    Le gynécologue a travaillé avec deux consœurs, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos (1) sur la question des grossesses non prévues chez les jeunes filles. Leur rapport remis jeudi 16 février à Jeannette Bougrab, secrétaire d’État chargée de la jeunesse et de la vie associative, pointe du doigt ce « dérangeant paradoxe » : en France, les mineures peuvent avoir recours à des interruptions volontaires de grossesse de manière anonyme et gratuite, mais la contraception est payante et non confidentielle. Si ce n’est dans les centres de planning familial. Mais quatre femmes sur 5 habitent à plus de 100 kilomètres d’un de ces centres, souligne Israël Nisand.

    #femmes

  • La santé par l’#orgasme
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/01/la-sante-par-lorgasme.html

    Ce qui était autrefois interdit est maintenant filmé en gros plan, assorti d’un discours lénifiant qui voudrait nous faire croire qu’”il n’y a pas de mal à se faire du bien”. Le problème, c’est que la #sexualité se situe au-delà du mal et du bien. C’est une opération alchimique, un processus qui plonge ses racines dans la boue de nos psyche… et qui engage bien plus que nos corps. Nos coeurs. Nos esprits. Ce qui explique peut-être pourquoi la majorité des gens se sentent si mal à l’aise lorsqu’ils sont confrontés à l’injonction : “Jouissez trois fois par semaine”. A quoi bon jouir, si c’est pour en rester au stade purement physiologique de l’acte ? Autant se faire un chocolat crémeux bien chaud ou bon bain moussant avec des petites bougies…

  • L’hypersexualisation des jeunes, c’est celle de notre culture
    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/chroniques-articles-section/chroniques/1650-hypersexualisation-des-jeunes-celle-de-notre-culture

    Scènes XXX et sexe-porno se déclinent partout dans l’espace public. Il est de plus en plus rare que l’on parle d’érotisme, de relation, de signification, de désir, de plaisir, d’attente, de consentement, d’éducation à la sexualité… C’est le sexe rigide et focalisé, nombriliste et génitaliste, consumériste, mécanique et pressé d’aboutir, qui règne. ll a tassé sa frangine, la sexualité, qui, dans son coin, continue d’embrasser les panoramas affectif, relationnel, sensuel, émotionnel et identitaire…

    Le sexe, star médiatique

    Hypocrite, prétendument démocratique et démocratisé, le sexe actuel a tout faux. Il se réserve aux jeunes, riches et bronzés ; aux chairs fraîches, lustrées, épilées, liposuçées. Tantôt machines distributrices de pipes et d’orgasmes clinquants, tantôt instruments au service de la machine, ses acteurs carburent aux dragées bleues alors que la #sexualité a faim d’imaginaire, d’étonnement, d’insaisissable et de signification.

  • Devenir une bête de sexe, ça s’apprend ?

    http://quoi.info/actualite-societe/2012/01/07/devenir-une-bete-de-sexe-ca-sapprend-1116787

    Conclusion : Et la tendresse, bordel !

    Plus que tout, le tremplin vers la satisfaction érotique ne se situerait pas dans le déroulement de l’acte sexuel, ou dans son aboutissement, mais plutôt dans le fait d’être désiré, et de partager.

    « Etre choisi, avoir le sentiment d’être unique, ne serait-ce que pour quelques heures, c’est de là que découle le plaisir ! Finalement, on peut apprendre toutes les techniques que l’on veut, cela reste assez mince comparativement à la quête de partage, de désir, et de plaisir. » déclare Jocelyne Robert.

    « On observe un retour à plus de tendresse » renchérit Servane Vergy. « Les gens en ont marre du sexe à outrance. »

    Ainsi, la pornographie à toutes les sauces aurait fait long feu. Et, après des années de « sexe brut », et de performance à tout prix, le sentiment aurait donc la cote. Et il ne s’apprend pas à l’école…

    #Jocelyne_Robert, #sexualité, #Kâma-Sûtra, #L’école_du_sexe, #Servane_Vergy

  • biquerie autogérée et macédoine de fétiches
    http://lapetitemurene.over-blog.com/article-biquerie-autogeree-et-macedoine-de-fetiches-941203

    Bon, je n’ai toujours pas le courage d’écrire ce que je voudrais sur l’immense arnaque de la « #gratuité » et de son coût imposant, alors même que la relation et le cul sont, selon moi, en elles-mêmes des monnaies sociales et existentielles – et ce d’autant qu’elles se sont autonomisées sur notre dos depuis deux à trois siècles. Ni sur le fait que cette admirable « gratuité » concurrentielle à l’existence, non seulement ne s’est jamais révélée d’aucun secours contre la brutalité, mais a largement contribué à son intensification et à son invisibilisation. Une possible #émancipation pourrait passer par une rupture de la dépendance à l’existence sociale indexée sur la relation et la #sexualité. Mais ce n’est pas le programme de nos institutionnalistes, lesquelLEs cherchent au contraire à intensifier, à magnifier l’injonction relationniste tout en resserrant toujours plus son cadre, pour tenter de limiter les inévitables dégâts consécutifs à toute injonction totalisante.

    .

    Mais je trouve tout de même stupéfiant à quel point le néo-matérialisme déverse par toutes ses poches des flots d’essentialisme retrouvé. Et que, bien loin d’alerter personne, ça a l’air au contraire de réjouir tout le monde. De même que l’approche victimaire et fétichiste, où la remise en cause d’un système est remplacée par la recherche de coupables (et de leurs nécessaires alliées objectives, indispensables à tout ténébreux complot qui se respecte) ; le féminisme sombre avec ce cargo simplificateur où il s’est embarqué avec tous les indignéEs de la planète. Pour combattre un modèle de domination, nous n’avons pas trouvé d’autre solution que d’en promouvoir un autre, sans sujet, et de le mutualiser. C’est la chausse-trappe du « privé est politique » : pour échapper au cachot du privé, nous avons opté pour le panoptique du politique, « tout sera public par défaut » - mais celui-ci ne recèle en fin de compte pas non plus l’émancipation escomptée. Une Hannah Arendt, pour ne citer qu’elle, nous avait mis il y a des décennies en garde contre ce tour de passe-passe ; mais elle n’était sans doute pas assez déconstruite. Tant pis donc, on a investi, il faut désormais aller jusques au bout, jusqu’à l’autoconsommation, logique économique oblige.

  • Merde, je suis obligée de dire du bien de Minorités.org. Comme par exemple du fond de cet article de Didier Lestrade. Je rigole, mais ces histoires de « nouveau paradigme de la prévention du SIDA » demandent un peu de recul pour prendre en compte tous les éléments (ie. les gays ne sont pas des hétéros, quid des IST, quid du coût des traitements en période de mega-cuts dans les budgets gouvernementaux etc.) Le problème c’est que pendant ce temps : 1) des gens se perdent dans un optimisme béa aux conséquences désastreuses 2) d’autres s’épuisent à prêcher dans le désert. Bref, c’est la merde.

    http://www.minorites.org/index.php/2-la-revue/1231-sida-meta-analyse-chez-les-gays.html

    #sida #santé #prévention #sexualités

  • A lire dans Hot Vidéo de cette semaine :-))

    En prison, le porno est tabou, mais le sexe est essentiel pour s’évader sans limer. Hot Vidéo a pu enquêter sur ce sujet tabou derrière les barreaux en recueillant de nombreux témoignages.

    #prison #porno #sexualités

  • Retournons tous au paradis des bêtes

    Les rapports même entre l’homme et la femme changèrent, prirent une importance liée à la transmission des terres et du bétail. Dans les sociétés patrilinéaires (transmission des biens par la voie paternelle), il fallait pouvoir contrôler l’identité de l’enfant à qui tout le travail du père serait transmis. Que cet enfant ne soit pas celui d’un autre. La notion du cocuage fut inventée, par allusion à cet oiseau, le coucou, qui pond son œuf dans le nid des autres oiseaux, afin que ceux-ci s’échinent à le couver puis se tuent à la tâche en élevant un enfant illégitime… « L’acte d’#amour était désormais lié à la pérennité, à la lignée, à la descendance, comme une revanche sur la mort : l’individu se poursuivant, se perpétuant par-delà sa faim, son désir. » La #sexualité devint une responsabilité et la femme fut chargée de ce fardeau. Ce fut peut-être l’équivalent de la chute.

    C’est là que Jean-Pierre Otte suggère une possible révolution des mœurs. Dans son Introduction aux mythes des origines, il suggère « comme une idée d’ouverture, le possible, à présent, d’un nouveau commencement, d’un dépassement, d’une autre disposition fertile de l’esprit. (…) Ce siècle qui nous a donné les méthodes et les moyens de la contraception, n’est-il pas en train de nous rapprocher des époque primitives, où la reproduction et l’acte d’amour n’étaient pas liés dans les consciences – à cela près que nous en avons aujourd’hui le savoir, en même temps que le pouvoir de les séparer ? Et la femme, éveillant, révélant librement d’autres réalités de la vie, n’est-elle pas occupée à nous conduire vers quelque chose de nouveau, d’inconnu encore, et qui serait en quelque sorte un au-delà de l’amour ? ».

    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/05/naissance-de-la-sexualité.html
    Les 400 culs :

  • La chirurgie des petites lèvres ou le fantasme de la #vulve idéale

    Même si la plupart des femmes n’ont pas l’intention de laisser leur vulve entre les mains d’un chirurgien (avec les risques que cela comporte de cicatrisation, de modification de la sensibilité, de déception (10% dans une étude française)), il est important que les #femmes prennent conscience de la grande variabilité naturelle des vulves et des #clitoris. C’est le premier pas pour se réconcilier avec son aspect intime. Aimer sa vulve est en effet, selon une étude du Pr Debra Herbenick parue il y a deux ans dans l’International Journal of Sexual Health, prédicteur d’une plus grande satisfaction sexuelle. Paradoxalement, les hommes sont souvent plus avisés de la variabilité du visage vulvaire, dès lors qu’ils ont connu plusieurs partenaires. Surtout, le fait que les petites lèvres dépassent des grandes lèvres, qu’elles soient plus foncées et de tailles différentes (asymétriques) n’influe pas sur la satisfaction sexuelle ou l’excitation du partenaire, contrairement à ce que de nombreuses #femmes pensent. On ne peut que se réjouir de voir les militantes d’Osez le #féminisme mettre bientôt (en juin) le feu aux poudres en lançant une campagne sur le clitoris qui, n’en doutons pas, rappellera à tous la nécessité de poursuivre les recherches sur l’#anatomie féminine.

    | Magpatients
    http://www.magpatients.org/sexologie-urologie/la-chirurgie-des-petites-lèvres-ou-le-fantasme-de-la-vulve-idéale.html
    Forcément, l’uniformisation des monts chauves allait déboucher sur la normalisation des vulves... C’est quand même gravement n’importe quoi !

    « Il y a un rejet du sexe féminin qui m’effraie. Entre le diktat de l’épilation intégrale, et maintenant le rabotage des petites lèvres, il y a vraiment un fort désir de ramener le #sexe de la femme à une fente, lisse, comme l’orifice d’une tirelire. Une fente de poupée #plastique, propre, lisse, imberbe ». Voilà une nouvelle étape vers le corps artificiel féminin idéal (pour qui ?) pour les femmes, à qui l’on faisait déjà miroiter des mensurations impossibles à atteindre ! Ainsi la fameuse poupée barbie aurait-elle, si elle prenait vie et taille humaine, des mensurations de 95-56-82. Même monstruosité pour Lara Croft, l’héroïne de jeux vidéos, qui fait un télégénique 90-60-90...des chiffres presque atteints par son incarnation au cinéma, Angelina Jolie, avec 90C-65-90 ! Tout cela serait risible si cela ne générait pas une image du corps perturbée chez certaines femmes qui mesurent leur écart (inévitable) à ce corps idéal, pourtant irréaliste. Or, une image du corps diminuée perturbe également l’estime de Soi (et réciproquement). Sans compter que cela retentit aussi sur la #sexualité !"

  • Les 400 culs : Gros pénis : plus dure sera la guerre
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/04/gros-p%C3%A9nis-plus-dure-sera-la-comp%C3%A9tition-spermatiqu

    Que faut-il en déduire que nous ne sachions déjà ? La taille compte. On a beau dire aux hommes qu’elle ne compte pas. Elle compte tellement pour eux… qu’elle finit par compter tout court. Les hommes TBM (très bien membrés) partent avec une longueur d’avance dans la vie, sur tous les plans. Il est même inutile qu’ils montrent l’engin. Leur façon de bouger, de parler, leur assurance parlent pour eux. Ils en ont une grosse. Et ça se sent. Et c’est justement parce qu’ils en ont une grosse qu’ils développent cette assurance qui fait leur séduction. Quel dommage, en vérité. Imaginez qu’un homme ayant un pénis moyen ou petit dégage autant d’assurance qu’un mastard à braquemart : il aurait autant de succès. Car les femelles du genre humain sont plus sensibles à l’attitude qu’à la la physiologie : si un homme (ou une autre femme) possède ce qu’on pourrait appeler « la volonté de puissance », c’est à dire la morgue, la pose virile, l’agressivité, la confiance en soi, la détermination… alors BINGO. Ce

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