• On est toujours dans un nombre de décès faible. Le pic début avril, c’est dans les 1000 morts par jour (Ehpad compris). Là on est presque à 20 fois moins.

      Mais si on a une évolution exponentielle qui se maintient, ça peut partir très vite. L’évolution est à priori plus lente qu’en mars (R effectif plus maîtrisé, tests, masques…), mais il ne faut pas oublier qu’en mars, on a été confinés avec moins de décès qu’aujourd’hui, et en moins de trois semaines on avait atteint le pic de 1000 décès quotidiens. C’est le problème de l’évolution exponentielle : on maîtrise, on maîtrise, et puis on ne maîtrise plus rien…

    • Le 21 septembre, c’est le dernier (petit...) pic observé, un lundi, jour de rattrapage des chiffres mal établis du ouikende.
      L’exponentielle, il semble que ce soit un doublement des hospitalisations tous les 15 jours / trois semaines (regardons les bras de Merkel qui explique ça à la télé).
      Elle n’aura pas la même allure pour différentes raisons, qui se conjuguent ou se compliquent : les variations de comportements, le manque de réserve de soignants cette fois, des soins hospitaliers (mise sous corticoïdes et/ou anticoagulants) qui permettent d’éviter une partie des mises en réa du printemps dernier et de diminuer partiellement la mortalité .
      Étonnant de voir comment les variables varient.
      Un autre exemple, la fiabilité des tests PCR (le nombre de faux négatifs) diminuent avec la durée de l’infection, lorsque le virus « migre » du nasopharyngé vers le pulmonaire et ailleurs.
      Qu’à un tel bordel on ajoute du bordel au lieu de délivrer régulièrement les infos avérées exploitables pratiquement et les interrogations en cours crée une intense confusion.
      Des mois après, Véran a dit que le virus se transmet "par l’air" mais (comme il fait trois syllabes et qu’on est trop crétins ?) le mot aérosol n’a toujours pas droit de cité dans le débat public.

    • Ne dites pas crétins, dites « euh… Je crois qu’on a souffert au cours de cette crise d’un défaut d’acculturation scientifique de la population française »
      #Sibeth_Ndiaye

  • Corona Chroniques, #Jour49 - davduf.net
    http://www.davduf.net/corona-chroniques-jour49

    Ailleurs, un autre front se dessine : celui de qui parle, et de qui nomme. Après quatre jours sans trop rien dire, les sociétés de rédacteurs des principaux journaux réagissent enfin à la drôle d’idée du gouvernement, surgie en milieu de semaine : la labellisation des « sources d’informations sûres et vérifiées » en cette période de #Covid19 qui « favorise la propagation de #fakenews » (selon l’annonce de #Sibeth_Ndaye, grande pourvoyeuse en la matière, porte-parole du gouvernement, et auteure de l’inoubliable « J’assume de mentir pour protéger le président de la République »). Drôle, délétère et désespérée compilation de bons points sur le site officiel de #Matignon : qu’un gouvernement soit à ce point acculé pour appeler à la rescousse les services de fact checking de la presse en dit long. Sur lui, en premier lieu — mais aussi sur le monde des médias. Durant des décennies, l’essentiel exercice de fact checking consistait, dans les grandes rédactions anglo-saxonnes, à faire vérifier par d’autres leurs propres informations, avant de glisser en terrain de chasse aux rumeurs réseaux-sociales, vérificateurs-vitrines d’un journalisme de neutralité apparente, de moins en moins enclin à descendre dans l’arène, et se contenant d’en relater une partie des aventures, au point que certains, comme le philosophe #Alain_Cambier, parlent d’expédient efficace mais insuffisant.

    Au Figaro, #Arnaud_Benedetti déclare : « L’escalade de l’engagement, [c’est quand] une structure ne parvient plus à enrayer la mécanique de déni qu’elle a enclenché. Sa survie est alors indexée sur la perpétuation de ce déni. Ce n’est là plus l’État légal-rationnel mais une forme pathologique d’État. L’administration fédérale aux États-Unis savait dès 1965 qu’elle avait perdu la guerre au Vietnam, mais elle a préféré mentir à son opinion. C’est un peu la même chose avec la pénurie des masques qui n’a pas fini de fragmenter la réputation de l’exécutif et de démonétiser sa parole. »

    Demain, Après demain, ce terrain de la parole prise — comme on on prend position (tireur couché, ou franc tireur ; reporter ou copiste ; narrateur ou falsificateur) — sera probablement plus dévastateur que jamais, et #Debord plus spectaculaire qu’Avant (« Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. »). Et c’est Pendant que chacun fourbit ses armes — d’où la voracité à tout lire, tout le temps, dans nos dimanches de confinement et de tous les jours — c’est maintenant que se constitue notre arsenal d’Après, à coups de banderoles vers la rue, de carnets vers les siens ; à grands renforts de comités informels et de graffitis fugaces (aujourd’hui, sublime, vu sur Twitter : drone d’ambiance, cet État d’urgence).

  • « Article édifiant sur la chronologie des informations scientifiques disponibles depuis fin décembre. Il serait bon que les chiens de garde et autre charlatans aient la décence de se taire à jamais. »
    #Cymes #goupil #Alexandre #Kouchner #Sibeth

    https://laviedesidees.fr/Savoir-et-prevoir.html
    https://laviedesidees.fr/local/cache-vignettes/L534xH400/arton4725-a1f1f.jpg?1585062124

    Savoir et prévoir - Première chronologie de l’émergence du Covid-19

    Que pouvait-on savoir et prévoir de l’actuelle pandémie et de son arrivée sur le territoire français ? Premiers éléments de réponse à partir d’un corpus bien défini : le très réputé magazine « Science », et les déclarations de l’OMS depuis fin décembre 2019.

    Depuis l’interview d’Agnès Buzyn au Monde mardi 17 mars, les critiques pleuvent de toutes parts sur le gouvernement français. La déclaration de l’ex-ministre de la santé, selon laquelle dès janvier elle aurait prévenu le Premier ministre de la gravité potentielle de l’épidémie de nouveau coronavirus – le mettant même en garde sur le fait qu’il faudrait peut-être reporter les élections municipales – a été interprétée comme un aveu terrible : la ministre de la Santé et le reste du gouvernement savaient ce qui risquait d’arriver, et pourtant ils n’auraient pas agi à la hauteur du risque. Depuis, chaque jour qui passe, avec son cortège d’informations sur la pénurie de tests de dépistage et de masque pour les personnels soignants, ne fait que renforcer le discrédit d’un pouvoir politique dont la cote de confiance était déjà largement entamée par la crise des gilets jaunes et la réforme des retraites.

    • Ce thread est formidable. Ils sont tous là à raconter n’importe quoi. Et les voir maintenant continuer de se justifier pour leur gestion catastrophique est un rare supplice. #OnOublieraPas
      https://twitter.com/AiphanMarcel/status/1238399977128370182

      Les Français n’ont pas pris la mesure du #Covid_19 parce que le gouvernement et les chaînes d’info ont relayé un discours irresponsable pour rassurer au mépris de la santé publique et des avis des spécialistes.

      Ces gens sont des criminels !

    • Nous payons leur nullité !

      Leur rhétorique guerrière n’est là que pour cacher cette évidence : leur nullité. Comme l’a dit Macron à ses ministres : « On n’oubliera pas. » Non, nous n’oublierons pas. Aujourd’hui, nous payons leur nullité. Demain, nous la leur ferons payer.

      « Confiner l’ensemble de la population sans dépister et sans traiter, c’est digne du traitement des épidémies des siècles passés. La seule stratégie qui fasse sens est de dépister massivement, puis confiner les positifs. » C’est un expert en santé publique, anthropologue de la santé, Jean-Dominique Michel, qui résume ainsi notre présent.

      Si nous sommes enfermés, aujourd’hui, si mes enfants sont privés de printemps, interdits de parc et de gazon, ce n’est pas à cause du virus : c’est à cause de leur nullité. Parce que la France est dépourvue de tests, malgré les semaines, les mois qu’avaient nos dirigeants pour observer la Chine, l’Italie, et nous préparer.

      Si des soignants décèdent, aujourd’hui, ce n’est pas à cause du virus : c’est à cause de leur nullité. Parce que, dans les hôpitaux français, on se croirait dans un pays du tiers-monde, économisant sur les masques, en appelant aux dons, recevant des stocks moisis, les fabriquant à la maison.

      Si des patients meurent, demain, sans respirateur, sans réanimation, avec des médecins qui trient entre les malades, ce ne sera pas à cause du virus : ce sera à cause de leur nullité. Parce que, depuis un an que les soignants protestent, font grève, voire démissionnent, eux n’entendent rien, ne voient rien, ferment des lits, en obsédés du porte-monnaie, en experts-comptables de la politique.

      Leur surenchère, leur rhétorique guerrière n’est là que pour cacher cette évidence : leur nullité.

      Comme l’a dit Macron à ses ministres : « On n’oubliera pas. »

      Non, nous n’oublierons pas.

      Aujourd’hui, nous payons leur nullité.

      Demain, nous la leur ferons payer.

      https://francoisruffin.fr/nous-payons-leur-nullite

    • Applaudissements pour les soignants à 20h : la fausse bonne idée ?
      https://blogs.mediapart.fr/theo-portais/blog/230320/applaudissements-pour-les-soignants-20h-la-fausse-bonne-idee

      Une société qui a besoin de héros pour rester debout est une société malade – c’est le cas de le dire. L’exemple actuel est particulièrement frappant : l’Etat se saisit du personnel hospitalier qu’il a méprisé et humilié pendant des années pour soudainement l’idolâtrer et opérer à travers lui une forme de narcissisation dont l’unique but est de masquer ses propres inconséquences. Au risque de faire de la psychologie de comptoir, essayez donc de remplacer dans cette dernière phrase « Etat » par « individu A » et « personnel hospitalier » par « individu B » ; le cas me semble assez sérieux. Adhérer à un élan d’unité nationale dont le fondement me semble avant tout relever du domaine du pathologique, très peu pour moi. Surtout que la conséquence de ce grand moment patriotique, dans lequel aucune voix discordante ne saurait être tolérée, risque d’être, les expériences passées nous le prouvent, une absence totale de remise en question de notre fonctionnement en tant que société et des soi-disant valeurs qui sont les nôtres. Evidemment, pourquoi se remettre en question alors qu’on a des héros pour nous rappeler quel est le véritable esprit de la nation ? Si l’on avait le courage de regarder les choses en face, on se rendrait compte que les personnels hospitaliers ne sont pas les héros de cette crise : ils en sont des victimes. Et leurs héros à eux, Superbudget, Spiderembauche et Captain Salaire, restent désespérément des personnages de fiction.

      Alors soit, je veux bien sortir sur mon balcon tous les soirs à 20h pour les applaudir, parce que c’est vrai qu’ils font un travail remarquable. Mais seulement si à 20h15, tout le monde se remet à sa fenêtre pour conspuer le gouvernement et dénoncer les conditions de travail qui sont les leurs depuis des années. Il est louable, et pas injustifié, de prendre ces femmes et ces hommes pour des héros ; mais il faut être vigilants à ce que, d’un même mouvement, ils ne soient pas aussi pris pour des imbéciles.

    • « Covid-19 : nous ferons tout pour qu’il y ait un après », par le docteur Christophe Prudhomme

      Le quinquennat Macron a lui aussi fortement fragilisé l’hôpital public. Une augmentation du budget hospitalier de 5%, soit 4 milliards d’euros, aurait permis de faire face avec efficacité à la crise du Coronavirus et de sauver de nombreuses vies. Mais depuis des années les alertes ne sont pas entendues. Interview du porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France

      https://qg.media/2020/03/28/covid-19-nous-ferons-tout-pour-quil-y-ait-un-apres-par-le-docteur-christophe-p

    • Mr le président,

      Nous sommes le 28 mars 2020, je vous écris depuis l’appartement de Mme T. qui devrait fêter, si le coronavirus ne la fauche pas avant, ses 104 printemps le mois prochain.
      Elle vit dans une résidence pour personnes âgées, dans laquelle moi et mes collègues infirmières libérales, intervenons depuis plusieurs années.
      Permettez moi de vous montrer à quoi nous en sommes réduites en ce beau jour de mars. Regardez bien la photo s’il vous plaît. J’ai 2 patients potentiellement atteints par ce virus et je viens de faire la toilette d’une dame de 104 ans, équipée d’une charlotte, d’un simple masque chirurgical (dont vous connaissez parfaitement l’inutilité puisque lors de votre dernier discours à Mulhouse vous aviez la chance de porter un masque FFP2 depuis longtemps introuvable en pharmacie y compris pour les professionnels de santé, alors que je doute fort que vous ayez été en contact direct avec les malades), de surchaussures et d’un SAC POUBELLE gracieusement fourni par l’établissement parce que les stocks de blouses sont en rupture.
      Alors moi, aujourd’hui, j’ai envie de pleurer, parce que comme beaucoup de mes collègues j’ai du me résigner à laisser mes enfants à mon ex-mari pour ne pas les contaminer, je ne les ai pas vus depuis 15 jours maintenant. Parce que j’ai transformé ma buanderie en sas de décontamination et que malgré ça je vis dans l’angoisse de contaminer mon conjoint. Parce que chaque jour je vais voir mes patients avec la crainte de contaminer les plus fragiles d’entre eux.
      Monsieur le Président, arrêtez vos discours de remerciements, c’est indécent. Quelle haute estime devez-vous avoir de vous-même pour imaginer une seule seconde qu’un simple merci de votre part suffira à nous faire oublier vos carences, ainsi que les gaz lacrymogènes dont vous nous aspergiez il n’y a pas si longtemps encore.
      Arrêtez de nous promettre du matériel qu’on ne voit pas arriver.
      Arrêtez de nous qualifier de héros. Un héros se sacrifie pour une cause. Je ne veux pas me sacrifier : en tout état de cause, c’est VOUS qui me sacrifiez.
      Arrêtez de parler des soignants comme de bons petits soldats.
      Les soldats ont des armes. Nous, on a des sacs poubelles.

      https://www.facebook.com/melany.ceretta/posts/10219559322965226

  • Aide aux agriculteurs : « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser toute la #France pour aller récolter des #fraises », précise Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement

    https://twitter.com/BFMTV/status/1242810900387631106
    #agriculture #main-d'oeuvre #fermeture_des_frontières #aide #solidarité

    Et cette belle petite phrase...

    « Il va s’en dire que nous nous entendons pas demander à un #enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas compte tenu de la fermeture des écoles de traverser la France entière pour aller récolter des fraises »...

    –-> on dirait que #Sibeth_Ndiaye n’a pas entendu parler du #plan_de_continuité_pédagogique #continuité_pédagogique

    • Pour Sibeth Ndiaye, les enseignants ne travaillent pas actuellement

      Oups.

      La déclaration passe mal. Alors que la porte-parole du gouvernement Sibeth #Ndiaye précisait en sortie de Conseil des ministres l’appel aux personnes sans activité à venir « rejoindre la #grande_armée_de_l'agriculture_française », un des exemples utilisés a provoqué l’ire des enseignants. « Nous n’entendons pas demander à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas compte tenu de la fermeture des écoles de traverser toute la France pour aller récolter des fraises », a-t-elle lancé avec aplomb.

      Petit bémol, comme le martèle le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer depuis le début de la crise sanitaire, les élèves et par conséquent leurs enseignants ne sont pas en vacances. Ces derniers rivalisent d’ailleurs d’ingéniosité pour assurer la fameuse « continuité pédagogique » à distance, la plupart du temps via des outils numériques plus ou moins saturés. D’autres sont également encore dans les locaux pour assurer la garde des enfants des personnels soignants.

      Les profs n’ont pas tardé à réagir sur les réseaux sociaux. Certains se demandent avec une pointe d’ironie s’ils doivent cesser leurs efforts, tandis que d’autres réclament des excuses. Des parents d’élèves n’ont pas hésité non plus à apporter leur soutien. Deux heures après sa fameuse déclaration, Sibeth Ndiaye a fait son « mea culpa » sur Twitter : « Mea culpa. Mon exemple n’était vraiment pas le bon. Je suis la première à mesurer combien l’engagement quotidien des professeurs est exceptionnel. »

      https://www.liberation.fr/direct/element/sibeth-ndiaye-declare-que-les-enseignants-ne-travaillent-pas-actuellement

    • Tu voudrais aller cueillir des fraises quand :

      tu te fais engueuler par une mère de famille parce que tu as appelé sur le portable de Monsieur, alors que son portable à elle ne fonctionne plus, que le fixe ne fonctionne plus, que le numéro de portable écrit sur Pronote pour monsieur ne fonctionne plus, que tu avais un deuxième numéro de fixe (et que tu en étais déjà au 4e numéro essayé) mais que la dame t’explique être la grand-mère de l’élève que tu désespères pouvoir un jour joindre parce qu’en fait, « vous gardez ça pour vous », Monsieur est revenu vivre un temps ici, donc c’est son numéro qu’il avait écrit, et donc elle te file le nouveau numéro de portable de Monsieur, mais que ça ne plaît pas à Madame que tu aies appelé Monsieur alors que tu t’en fous royalement de leurs histoires...

      tu appelles une famille qui vient d’apprendre que la maman et le fiston sont malades (Covid 19) et que tu te retrouves complètement démunie face à l’injonction d’appeler les familles une fois par semaine, sans savoir si tu ne vas pas être intrusive à un moment où, franchement, l’exercice d’histoire non fait, on s’en fout...

      tu viens d’écrire un mail pour expliquer un exercice de technologie alors que tu es prof d’histoire-géo

      tu te lèves avec 50 mails en attente parce que les mômes galèrent à déposer sur Pronote avec une fonction que tu n’as jamais pu leur montrer puisque tu n’y as eu accès qu’après la fermeture du collège

      tu viens de signer un mail à une maman d’élève « Bénée » comme tu le fais quand c’est un mail pour tes collègues

      tu n’as aucune idée du jour qu’il est, mais tu es devant ton ordinateur à répondre à des mails alors que tu as quitté l’université pour ne pas vivre à courir après les mails

      * tu commences tous tes pots Facebook avec une histoire de fraises

      texte de @ville_en posté sur Facebook :
      https://www.facebook.com/benedicte.tratnjek.2/posts/229925068373116

  • Les limites de l’idéologie du #flux_tendu

    André Gunthert @gunthert sur Twitter

    La clé de l’idéologie libérale : pas besoin de stocks, on produira ce qu’il faut quand il faut (de préférence en Chine…). En vertu de quoi une pandémie, qui concerne tt le monde (et qui a commencé en Chine), laisse le saint Marché strictement à poil…

    Marcel Aiphan @AiphanMarcel

    « On a décidé d’avoir une gestion de bon père de famille »

    3 minutes de #Sibeth_NDiaye sur la question : « où sont les masques ? » qui comme d’hab ne donne aucune réponse.

    Un père de famille genre Xavier Dupont de Ligonnès, alors...

    #médiocrité #LaRem