• The Ghost of King Leopold II Still Haunts Us – Media Diversified

    https://mediadiversified.org/2015/04/20/the-ghost-of-king-leopold-ii-still-haunts-us-belgium-colonization-

    Merci Meta pour le signalement !

    In an article entitled “The Early Spread and Epidemic Ignition of HIV-1 in Human Populations” in the magazine Science in October 2014, Nuno Faria and his fellow researchers revealed the location of Ground Zero for one of the world’s most deadly infectious diseases—HIV. They discovered that HIV-1 originated in Kinshasa, the capital city of the Democratic Republic of Congo (DRC) and explain that the deadly virus spread throughout the Congo via the railroad network. HIV-1 was subsequently transmitted by Haitian professionals back to Haiti and then to the United States (1).

    Faria and colleagues presented their research findings as follows:

    Our estimated location of pandemic origin explains the observation that Kinshasa exhibits more contemporary HIV-1 genetic diversity than anywhere else. It clarifies why the oldest known HIV-1 sequences were sourced from this city and why several early cases indicative of AIDS are linked to Kinshasa (p. 57).

    #congo #léopold #massacre #génocide #colonialisme

    • ça me rappelle le livre « Les fantômes du roi Léopold » que j’avais lu il y a 20 ans...
      Les Fantômes du Roi Léopold, un #holocauste oublié

      « Le remarquable document d’Hochschild dépasse toutes les autres études sur le Congo. Il montre comment l’Europe entière - et les États-Unis - s’est rendue complice de l’holocauste perpétré par le roi Léopold sur le peuple congolais. », Nadine Gordimer.
      « Un ouvrage exceptionnel, profondément stimulant, qui m’a bouleversé comme l’avait fait en son temps Au cœur des ténèbres, et pour la même raison : parce qu’il révèle les horreurs cachées commises au Congo. Passé obscur, sur lequel Hochschild fait la lumière, c’est notre passé à tous. », Paul Theroux.
      Dans les années 1880, alors que l’Europe se lance dans la colonisation de l’Afrique, le roi #Léopold_II de #Belgique s’empare, à titre personnel, des immenses territoires traversés par le fleuve Congo, afin de faire main basse sur ses prodigieuses richesses. Réduite en esclavage, la population subit travail forcé, tortures et mutilations, au point qu’on estime à 10 millions le nombre d’Africains qui périrent. Tandis que Léopold II continue de cultiver sa réputation d’humaniste, des voix commencent à dénoncer ce crime de masse, donnant naissance au premier mouvement international de défense des droits de l’homme du XXe siècle…
      Avec une force d’évocation exceptionnelle, Adam Hochschild peint le portrait d’un roi mégalomane et décrit les combats de ses opposants, la vie des témoins - explorateurs, missionnaires - et celle des victimes. S’il révèle un épisode tragique de l’histoire contemporaine, il dissèque aussi l’ensemble du système colonial, offrant des clés indispensables à la compréhension d’une actualité dramatique.


      https://www.librairiedialogues.fr/livre/852912-les-fantomes-du-roi-leopold-un-holocauste-oublie-adam-hoch

      Ce livre m’avait profondément marquée...
      #livre

    • Et ce reportage passé sur arte sur la question #sida et #HIV, en lien avec le #colonialisme et la #colonisation :
      Sida, un héritage de l’époque coloniale

      Des scientifiques mènent une enquête au coeur de l’Afrique, à la recherche des origines du VIH. Un documentaire captivant, diffusé à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre.

      Il est l’un des plus grands tueurs de la planète. Avec plus de 36 millions de morts et près de 37 millions de personnes infectées, le sida constitue à ce jour la pandémie la plus destructrice de l’histoire contemporaine. Afin de mieux la connaître, une équipe de scientifiques part sur les traces de son origine, au cœur de l’Afrique, dans l’ancien Congo belge. En parvenant à mettre la main sur d’anciens prélèvements humains contenant le virus, ils arrivent à la conclusion que la première transmission du sida – du chimpanzé à l’homme – se situe autour de l’an 1908, des décennies avant les premiers cas connus.

      Catastrophe en germe
      Les chercheurs ne s’arrêtent pas là. Ils se plongent dans l’histoire coloniale du Congo pour comprendre comment le VIH a pu se propager. Au début du XXe siècle, soucieuses de ne pas perdre la main-d’oeuvre indigène qu’elles exploitent, les autorités coloniales lancent des campagnes massives de vaccination contre la maladie du sommeil, où l’on a souvent recours à des seringues mal stérilisées. De même, la syphilis, qui se répand alors, augmente considérablement les risques de transmission du sida entre les hommes. Parallèlement, le chemin de fer se développe dans le pays car Kinshasa est une plaque tournante de l’industrie minière. Le virus devient mouvant. Lors de l’indépendance du Congo, en 1960, la pandémie couve. Dans les années 1970, les ravages successifs de la guerre civile, puis les errements du régime prédateur de Mobutu, qui ruine l’économie, créent les conditions chaotiques d’une propagation fulgurante du virus...
      Carl Gierstorfer signe un documentaire passionnant, où l’enquête scientifique se mêle à des images d’archives, parfois dures, témoignant de la cruauté et des ravages de la colonisation. Il rappelle également qu’à l’heure où les maladies infectieuses se développent dans le monde entier, les conditions d’une nouvelle pandémie sont peut-être à nouveau réunies.

      https://www.arte.tv/fr/videos/051599-000-A/sida-un-heritage-de-l-epoque-coloniale

      #film_documentaire #documentaire #film #épidémies #santé #maladie

    • Je viens de voir qu’il y a une « Avenue Léopold II » dans le 16e arrondissement et je me demande « quelle est la date limite » : on aurait pas idée de nommer une rue Pol Pot, Pétain, Staline ou Hitler, mais Léopold II ne pose pas de problème. Date limite, vers 1900 ?

      

      Il y a des exceptions comme Robespierre qui a ses rus en province ou en banlieue mais pas à Paris parce que c’était un personnage « assoiffé de sang » :

      Une rue Robespierre dans la capitale, par Alexis Corbière

      https://www.lemonde.fr/idees/article/2011/06/27/une-rue-robespierre-dans-la-capitale_1541487_3232.html

      ❝Une rue Robespierre dans la capitale, par Alexis Corbière

      Robespierre n’était pas au sein du Comité de salut public le personnage « assoiffé de sang » qu’un vulgaire révisionnisme historique a dépeint par la suite.

      Publié le 27 juin 2011 à 13h35 - Mis à jour le 27 juin 2011

    • @cdb_77 c’est peut-être un autre pétin ? si c’est la bonne orthographe sinon c’est Pétain

      https://www.france24.com/fr/20130409-france-derniere-rue-marechal-petain-debaptisee-belrain

      Le petit village de Belrain, dans la Meuse (Est), possédait la dernière rue en France dénommée en hommage au Maréchal-Pétain. Sur décision de ses élus, le lieu a été débaptisé et attend son nouveau nom. La dernière « rue du Maréchal-Pétain », en France, a été débaptisée.

      Seulement en 2013 !

    • • il y a une rue de Petin à Baileux, juste à côté des bières de Chimay dans le Hainaut belge,

      • il y a une rue du Petin à Verchin, sur les bords de la Lys dans le Pas-de-Calais

      • il y a un Henri Pétin (et quelques autres cf. les homonymes en haut de page)

      Henri Pétin — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_P%C3%A9tin

      Henri Pétin est un homme politique français né le 16 avril 1870 à Paris et décédé le 20 janvier 1911 à La Seyne-sur-Mer (Var).

      Biographie
      Auteur de théâtre et de chansons sous le pseudonyme d’Henri de Mamers, il est aussi à la tête d’une maison de commerce en métaux à La Seyne-sur-Mer et se lance dans la construction navale. Maire de La Seyne-sur-Mer de 1904 à 1911, conseiller général, il est député du Var de 1909 à 1910, siégeant au groupe radical-socialiste.

  • Tubercolosi, aids, scabbia: ecco cosa dicono i dati sui migranti “untori”

    L’Inmp pubblica un monitoraggio sulle tre patologie, indicate come legate a un afflusso sempre maggiore di persone straniere nel nostro Paese, confutando l’ipotesi contagio.

    Dopo l’ultima inchiesta della procura di Catania su Medici senza frontiere incentrata sullo smaltimento dei rifiuti provenienti dalle navi che fanno soccorso in mare, si torna a parlare di migranti e malattie. Un legame spesso indagato e smentito da medici e ricercatori. Questa volta a smontare la bufala sui migranti “untori” ci pensa l’Inmp, l’Istituto nazionale per la promozione della salute delle popolazioni Migranti e per il contrasto delle malattie della Povertà. In particolare, l’ente pubblica sul suo sito un monitoraggio sulle tre patologie tubercolosi, Aids/Hiv e scabbia, indicate sempre più come malattie il cui contagio sarebbe causato da un afflusso sempre maggiore di persone straniere nel nostro paese.

    Per quanto riguarda la tubercolosi, spiega l’Inmp i dati del Ministero della Salute indicano come negli ultimi 15 anni il numero di casi è rimasto pressoché costante (circa 4.500 segnalazioni l’anno), a fronte di una lenta e progressiva diminuzione dell’incidenza nella popolazione generale: da 9,5 casi/100.000 abitanti nel 1995 a 7 casi/100.000 nel 2012 e 6,6 casi/100.000 nel 2016. In particolare, il tasso di incidenza (dati 2016) è inferiore a quello della media dei Paesi dell’Unione Europea (11,4) e tra i più bassi tra quelli osservati nell’Europa occidentale (superiore solo a Danimarca, Finlandia e Norvegia), secondo i dati del rapporto “Tuberculosis surveillance and monitoring in Europe 2018 – 2016 data” pubblicato dallo European Centre for Disease Prevention and Control/WHO – Regional Office for Europe.

    L’Istituto analizza separatamente i dati relativi alla popolazione straniera, rilevando un andamento altalenante: un aumento del numero assoluto da 1.652 nel 2003 a 2.310 nel 2012, una diminuzione fino al 2015 e un nuovo incremento nel 2016 (2.419 casi), in prima ipotesi da correlare al picco di arrivi nel nostro Paese osservato in quell’anno (181.436). “Tuttavia, – spiega l’Inmp – quando l’aumento dei casi viene posto in relazione con l’aumento della popolazione straniera in Italia (più che raddoppiata negli ultimi 10 anni), si nota che il tasso diminuisce anche tra gli immigrati, con valori più che dimezzati: da 99,5 per 100.000 nel 2003 a 55,3 per 100.000 nel 2012 e 48,1 per 100.000 nel 2016”. I casi sono aumentati, dunque, solo in numero assoluto e non in proporzione all’aumento del numero degli immigrati (+243% nel 2016). L’Inmp esclude, dunque un allarme per la popolazione italiana. “A tale evidenza si aggiunge la maggiore consapevolezza verso la malattia da parte del servizio sanitario nazionale – spiega l’Istituto, – che si è recentemente dotato di apposite linee guida per il controllo delle malattie alle frontiere e per il controllo della tubercolosi”

    Lo stesso vale per il virus dell’Hiv e per l’Aids. Secondo il rapporto Osservasalute 2017, tra il 2006 e il 2016 sono stati segnalati circa 35.000 nuovi casi di infezione di HIV tra gli adulti, di cui 9.705 a carico di stranieri. Tra questi ultimi, il numero assoluto delle diagnosi è andato aumentando (tra gli uomini da 322 casi nel 2006 a 676 nel 2016 e tra le donne da 251 a 461 casi), fenomeno questo correlabile sia ad una maggiore copertura del Sistema di sorveglianza sia all’incremento della popolazione straniera in Italia. “Tuttavia, va segnalato che i tassi di incidenza per l’Hiv mostrano una diminuzione tra gli stranieri inizialmente più accentuata, da 51,3 per mille nel 2006 a 27,7 per mille nel 2011. Poi più graduale, fino a un lieve incremento nel 2016 (28,5 per 100.000). Tale ultimo dato potrà essere meglio interpretato solo con un’osservazione dei trend nei prossimi anni – spiega l’Istituto, ipotizzando anche che questo possa essere legato all’emersione del fenomeno dovuta a un maggior ricorso allo screening per Hiv da parte degli operatori sanitari, più che di una ripresa dell’infezione tra i migranti. A ciò si aggiunge un decremento, negli stessi anni e tra gli stranieri, dei tassi di incidenza di Aids (malattia conclamata), probabilmente grazie all’aumentata disponibilità della terapia antiretrovirale così come alla maggiore opportunità di accesso ai servizi specialistici.

    Infine, per la scabbia l’Istituto sottolinea che si tratta di una patologia “effettivamente diffusa tra i migranti allo sbarco, come conseguenza delle condizioni di scarsa igiene e promiscuità subite nei centri di raccolta nei Paesi di partenza e transito e durante la traversata”. Dai dati raccolti dal team specialistico dell’INMP negli hotspot di Lampedusa e Trapani-Milo nel 2015-2016, su 6.188 persone visitate, il 58 per cento ha ricevuto una diagnosi di scabbia. “Tuttavia, nonostante l’elevato riscontro della diagnosi, non sono stati registrati casi di contagio tra gli operatori sanitari e, più in generale, a seguito di tutti gli sbarchi in Italia, non sono mai state segnalate epidemie tra gli italiani, a conferma” conclude l’Istituto.

    Sul tema si è espresso anche Roberto Burioni, medico ,accademico, attivo come ricercatore nel campo relativo allo sviluppo di anticorpi monoclonali umani contro agenti infettivi. Sul suo nuovo sito di divulgazione scientifica “Medical facts” parla di una ricerca inglese e danese secondo cui i migranti arrivano sani e si ammalano nei Paesi di arrivo. “I batteri resistenti agli antibiotici non li acquisiscono nei loro Paesi poveri e martoriati, dove soldi per gli antibiotici scarseggiano e le medicine vengono usate con il contagocce – spiega l’articolo a firma Roberto Burioni e Nicasio Mancini. – I batteri resistenti, tenetevi forte, i migranti li contraggono quando sono costretti a vivere, pigiati con altre centinaia di persone, in condizioni inumane in Paesi in cui i batteri resistenti agli antibiotici sono presenti in maniera molto abbondante. Indovinate qual è uno di questi Paesi? Avete indovinato: l’Italia, che non solo è un luogo di primo approdo per i migranti, ma anche un Paese (insieme alla Grecia), che primeggia in Europa per la presenza di questi pericolosissimi batteri resistenti ai farmaci. Dunque, non siamo noi che prendiamo questi pericolosi batteri dagli immigrati (le evidenze di trasmissione alle popolazioni locali sono ancora molto scarse). Ma sono i migranti che li prendono da noi”. Il paradosso – spiega il medico – è che in altri Paesi in Europa, dove il numero di batteri resistenti è molto inferiore al nostro, “sono preoccupati da chi proviene dall’Italia, perché potrebbe diffondere questi batteri – aggiunge il medico. – A proposito, a conferma di quanto emerge dallo studio, questo non vale solo per gli immigrati, vale anche per noi italiani. Ci sono nazioni in cui, se un italiano è ricoverato in ospedale, è tenuto in isolamento (potremmo quasi dire in quarantena), durante il periodo di ricovero, per il timore che possa diffondere i batteri resistenti dove non ci sono”.

    L’articolo di Burioni è stato criticato oggi dal quotidiano La Verità. Nel pezzo di apertura del giornale, dal titolo “Le balle del medico prediletto del Pd: gli italiano infettano gli immigrati”, il direttore Maurizio Belpietro accusa il medico di mistificare i contenuti della ricerca di The Lancet. “A leggere ciò che spiega il sito di Burioni, la ricerca sarebbe definitiva, – scrive Belpietro. – Peccato che già sul sito della rivista si capisca che definitiva non è, ma si tratta di una “scoperta” tutta da valutare, innanzitutto perché, come ammettono gli stessi ricercatori, basata su dati un po’ scarsi e poi perché a influire sulla diffusione dei batteri resistenti agli antibiotici non sono gli italiani, ma le “condizioni di viaggio” dei migranti per arrivare da noi”. Non si è fatta attendere la replica di Burioni che su Twitter ha scritto: “Confermo che il contenuto del nostro articolo su http://www.medicalfacts.it rappresenta una corretta e rigorosissima lettura dell’articolo citato, pubblicato su Lancet Infectious Diseases. La Verità gli fa male lo so; ma i fatti sono fatti e bisogna accettarli anche se sgraditi.

    https://www.cartadiroma.org/news/in-evidenza/tubercolosi-aids-scabbia-ecco-cosa-dicono-i-dati-sui-migranti-untori/amp/?__twitter_impression=true
    #maladies #réfugiés #préjugés #contamination #HIV #sida #scabies #tuberculeuse #asile #migrations #fact-checking

    • #Salvini: «Gli immigrati hanno il record di Tbc e scabbia»

      Il vicepremier e ministro dell’Interno leghista replica alle parole del direttore della Pediatria d’urgenza del policlinico S.Orsola di Bologna che aveva detto: "Le malattie che si pensavano debellate ma che stanno tornando non sono causate dai migranti, come qualcuno vuol far credere, ma dall’aumento della povertà”

      http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/Migranti-Salvini-Hanno-record-di-Tbc-e-scabbia-piu-poveri-della-media-4d674e

    • The myth that migrants spread diseases

      ‘Very low risk’ of infectious diseases being transferred from migrant population to host population in WHO European region.

      Myths that migrants spread diseases or that migration is bad for public health were dismissed recently at a special seminar at the graduate entry medical school in the University of Limerick.

      Migration and the health of refugees and migrants in particular is one of a number of issues in health where the truth is in danger of being eroded by myths and falsehoods.

      In an effort to address this the World Health Organisation (WHO) has published a new report on the health of refugees and migrants in the WHO European Region, which was launched at the special in Limerick.

      With the strapline No Public Health Without Refugee and Migrant Health, this is the first WHO report of its kind which sets out to establish the evidence and counter the many damaging myths around migrant health.

      Writing in the foreword to the report, Zsuzsanna Jakab, WHO regional director for Europe, said, refugees and migrants enjoyed the same human right to health as everyone else.

      “One key priority is enhancing social protection for refugees and migrants, including developing sustainable financial mechanisms, both nationally and internationally, to provide for universal health coverage and social protection.

      “Another key priority is reducing the xenophobia, discrimination and stigma often experienced by refugees and migrants through actions such as advocacy and evidence-informed communication with both refugee and migrant communities and host populations.”

      Misinformation surrounding migrant health can fuel stigma, allow dangerous myths to circulate unchallenged and make migrants fearful of accessing vital healthcare services.

      According to the WHO, “almost one in 10 people in the WHO European region is currently an international migrant”.

      “Finding work is a major reason why people migrate internationally, although violence, conflict, natural disasters and human rights abuses are also contributors. Migration and displacement are social determinants of health affecting the health of refugees and migrants.”
      Universal approach

      The WHO seminar in UL on refugee and migrant health was part of a series of events that took place in cities across Europe, including, Athens, Rome, Moscow, Ankara and London, and it was attended by Dr Santino Severoni of the division of policy and governance for health and wellbeing, WHO regional office for Europe.

      Speaking to the Irish Times, Dr Severoni, who oversaw the report, underlined the importance of a universal approach to public health, which he said meant ensuring access to healthcare for all regardless of ethnicity or nationality.

      Dr Severoni said there was a need to strengthen and accelerate investment in research into the public health aspect of migration, and that migration health must be discussed and considered in all aspects of population health.

      Commenting on myths surrounding migrant health, Dr Severoni said there was a lot of confusion and misinformation even among healthcare workers and policy-makers in the healthcare sector which needed to be addressed.

      “There are a number of misinformation or gaps in terms of evidence which are extremely dangerous because they can produce a stigma,” he said.

      One of the biggest myths that has been busted by the WHO report is around fears that migrants bring infectious diseases to host populations. According to the WHO report, the evidence suggests that there is “very low risk” of infectious diseases being transferred from the refugee and migrant population to the host population in the WHO European region.

      In relation to specific diseases, the WHO report found that for HIV, for example, “there is growing evidence to suggest that a significant proportion of refugees and migrants who are HIV positive, including those who originate from countries of high HIV prevalence, acquire infection after they have arrived in the region”.

      The report also points out that in Europe refugees and migrants are more likely to be diagnosed at a later stage of their HIV infection. The reasons for this include “stigma and discrimination; migrant status and fear of administrative consequences; gaps in HIV testing services among refugees and migrants; and barriers to uptake and lack of understanding of service availability”.

      Furthermore, the report highlights that the process of migration itself can “create additional vulnerable situations where infections can occur, such as exposure to sexual violence (with potential for transmission of sexually transmitted infections), substance abuse and secondary risk-taking behaviours linked to poverty, isolation and marginalisation”.
      Perilous journeys

      Commenting, Dr Severoni said one of the biggest myths around refugee and migrant health was the direct link made by too many between migrants and the spread of infectious disease. “The spreading of infectious diseases is related to certain exposure to risk and behaviour which is exactly the same for any person in our society.”

      Dr Severoni added that while the perilous journeys migrants were forced to make may increase their risk of contracting disease, for example, if they don’t have access to clean water, there was also a myth that once they arrive they are at risk of infecting the host population, and this, he said, was also untrue.

      A further myth busted by the WHO report was that the spread of disease only moves from south to north. Dr Severoni said the reality was that anyone travelling to a tropical country was at risk of contracting a tropical disease.

      In relation to non-communicable or chronic disease, the WHO found that on arrival refugees and migrants appear to be healthier and have lower prevalence rates for many non-communicable diseases compared with the host population.

      However, “prevalence rates, especially for obesity, begin to converge with longer duration of stay”, says the report.

      Dr Severoni explained that once they arrive in the host country migrants are two to three times more likely to contract a non-communicable disease compared to the resident population.

      Therefore, Dr Severoni said it was vital to ensure that the entire population including migrants and refugees had access to preventative medicine, and that a universal healthcare system was in place.

      However, he said it was important not to generalise for all non-communicable diseases as, for example, the evidence shows that while there is a reduced incidence of most cancers among migrants, this was not true for cervical cancer which is higher in migrant women, mainly due to a lack of access to screening and vaccination.
      Difficulties

      Participants at the Limerick conference on refugee and migrant health included Alphonse Basogomba. Originally from Burundi, Mr Basogomba arrived in Ireland in 2004, and spent 11 years in direct provision in Limerick. While he said he did not have personal experience of difficulties accessing healthcare, he was aware of those that did.

      Mr Basogomba said some refugees and migrants were afraid of accessing healthcare when they became unwell in the host country due to the real fear that being sick would affect their application or legal status. Unfortunately, he said that for some, the fear was so great that they did not access healthcare until it is was too late.

      “Some people fear that if they find I have this disease I won’t get my status so they hold on until it is too late.”

      Mr Basogomba also said that language difficulties and culture differences added a further layer of complexity, and acted as additional barriers for refugees accessing healthcare.

      Prof Anne McFarlane, chair of primary care healthcare research at the graduate entry medical school in the University of Limerick (UL) , is one of Ireland’s foremost experts in migrant and refugee health.

      It is testament to Prof McFarlane’s pioneering work involving migrants in health research and policy that the public and patient involvement research unit at the graduate entry medical school in the UL which she established has been designated by the WHO as one of just five collaborating centres for migrants’ involvement in health research.

      Prof McFarlane’s particular area of expertise is around the language barriers that migrants face in their host countries.

      “At the moment people are relying on family members or friends or just broken English. Language differences are cited as a barrier to healthcare across countries, healthcare systems and over time. This is a persistent problem, but it can be addressed.
      Consultations

      “We need to advocate for migrants’ basic right to have access to healthcare – the right to a communication flow in their healthcare consultations. We need to disrupt the status quo and implement trained and accredited interpreters in our healthcare system.

      “This status quo compromises healthcare in all consultations, creates clinical risks and will certainly undermine management of infectious disease and non-communicable diseases which refugees and migrants are at risk of.”

      Prof McFarlane said migration was “a global phenomenon” that was not going to go away.

      “Irish people will be familiar with migration for many of their family histories. What changes are the patterns of migration. So we do need to understand who is migrating, why are they migrating, where are they migrating from, where they are migrating to, and then it is about understanding the public health implications of that and responding to it because migrants and refugees have a right to health just like anybody else.”

      https://www.irishtimes.com/life-and-style/health-family/the-myth-that-migrants-spread-diseases-1.3913342

  • Getting started with the Liquid Network
    https://hackernoon.com/getting-started-with-the-liquid-network-c87e2cb5996b?source=rss----3a814

    Get started running a Liquid node, transferring to the sidechain, claiming L-BTC, and issuing assets!Intro:The Liquid Network is a #bitcoin sidechain that facilitates quick and private transactions. A sidechain is a separate blockchain with different features than its base chain but is pegged to it in order to utilize the main chain’s native currency. The 2-way peg in Liquid is 1:1 to Bitcoin, so for every bitcoin you peg into the network, you unlock or create 1 Liquid Bitcoin (L-BTC for short). Liquid provides fast settlement with short 1-minute blocks and privacy through technology called Confidential Transactions. Peg-ins basically just require you to send BTC to a multisignature address that is controlled by members of what’s called a Strong Federation. Peg-outs (transferring back on (...)

    #cryptocurrency #liquid-network #lightning-network #sidechains

  • Fou de Vincent
    http://www.radiopanik.org/emissions/hot-lips/fou-de-vincent

    Une voix d’homme, du son venu d’Amérique Latine

    Voici le mix que l’on vous propose pour cette lecture du superbe « Fou de Vincent » d’Hervé Guibert

    #sida #masculin #homosexualité #amour #sida,masculin,homosexualité,amour
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/hot-lips/fou-de-vincent_05705__1.mp3

  • Adam Back on a Decade of #bitcoin
    https://hackernoon.com/adam-back-on-a-decade-of-bitcoin-bdef16566c9?source=rss----3a8144eabfe3-

    Audio interview transcription — WBD047Note: the following is a transcription of my interview with Adam Back, CEO of #blockstream. I use Rev.com from translations and they remove ums, errs and half sentences. I have reviewed the transcription but if you find any mistakes, please feel free to email me. You can listen to the original recording here.You can subscribe to the podcast and listen to all episodes here.In this episode, I talk with Bitcoin OG and Blockstream CEO, Adam Back. We reflect on a decade of Bitcoin, how Adam views Bitcoin now compared to the early days, what was different with the white paper and the launch of Liquid.https://medium.com/media/929e417a898a3ba65705bdde43756ab0/hrefConnect with What Bitcoin Did:Listen: iTunes | Spotify | Stitcher | SoundCloud | YouTube | (...)

    #sidechains #adam-back #liquid

  • La dépénalisation des drogues au Portugal a changé les mentalités Cecilia Mendoza - 11 Novembre 2018 - RTS _
    https://www.rts.ch/info/monde/9985650-la-depenalisation-des-drogues-au-portugal-a-change-les-mentalites.html

    Au Portugal, toutes les drogues sont dépénalisées pour le consommateur depuis 2001. Une mesure radicale qui a fait ses preuves. Après dix-sept ans, les overdoses et le nombre de toxicomanes sont en baisse, le trafic mieux combattu.

    Lisbonne ouest, au bord du périphérique. Dans ce quartier tristement réputé pour le deal se trouve l’association Crescer, nichée au coeur d’une cour d’immeubles populaires. Créé en 2001, ce centre vient en aide aux personnes piégées par la drogue. « On respecte leurs décisions, leurs choix. S’ils ne veulent pas arrêter de prendre des drogues, on accepte ça », explique la psychologue de Crescer, Rita Lopes.

    L’association touche 1500 personnes dans la capitale. Rui aide les toxicomanes à faire les courses, nettoyer leur appartement, ou se rendre à l’hôpital. Si ça lui tient autant à coeur, c’est qu’il est lui aussi passé par là. Dans une autre vie. « Cela fait sept ans que je suis clean. Je voudrais remercier Crescer, parce que sans eux je serais probablement mort. »

    Une vaine répression
    Pour comprendre cette politique unique, il faut remonter à la fin de la dictature en 1974. Avec l’ouverture des frontières, les portes s’ouvrent également aux drogues en circulation sur le continent. En peu de temps, le pays devient une plaque tournante du trafic international et la population s’essaye à la nouveauté sans en connaître les risques.

    Pour tenter d’enrayer le phénomène, les pouvoirs publics misent sur la répression, en vain. Les prisons sont bondées et les seringues partagées. A la fin des années 1990, le nombre d’héroïnomanes atteint 1% de la population et le pays détient le record européen des morts du sida liés à la drogue. Aucune classe sociale n’est épargnée.

    Face à cette catastrophe sanitaire, le gouvernement réunit des médecins, psychiatres et juges pour qu’ils formulent une proposition. La dépénalisation de toutes le drogues à la consommation trouve un large consensus, y compris au Parlement. La modification de la loi sur les stupéfiants entre en vigueur en 2001. Les toxicomanes sont désormais considérés comme des malades et non plus des criminels ; on les fait alors passer du giron de la Justice à celui de la Santé.

    Selon l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies http://www.emcdda.europa.eu/countries/drug-reports/2018/portugal_en , le nombre de nouvelles infections au VIH liées à la drogue a chuté depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi, passant de 1016 cas en 2001 à 30 en 2016. Le taux de décès liés aux drogues a également chuté, il est désormais cinq fois plus faible que la moyenne européenne.

    Dépénaliser n’est pas légaliser
    Sans endiguer les dépendances, le système a permis la chute de la mortalité par overdose et VIH, tandis que la lutte contre le trafic de drogue est toujours plus efficace. « Les forces de l’ordre sont libérées de toutes les tâches liées aux consommateurs, dont les cas sont renvoyés aux services de santé. Leur temps d’activité est consacré aux gros requins, et non plus aux petits poissons », se réjouit João Goulão, ancien médecin de famille devenu directeur du Service d’intervention pour les comportements d’addiction et de dépendance (SICAD) à la création du service en 2001.

    Bien qu’elle soit dépénalisée, la consommation reste néanmoins illicite. Dans les locaux de la Commission de dissuasion de la toxicomanie (CDT), rattachée au ministère de la santé, une audience se déroule avec deux représentants de la Commission, face à un jeune homme de 19 ans pincé en train de fumer du hashich dans la rue. Avec moins de 2 grammes sur lui, il s’agit clairement d’une détention pour consommation personnelle.

    La drogue a été saisie mais aucune poursuite ni amende ne suivra. « Il a juste été convoqué à se présenter chez nous », explique Nuno Capaz, vice-président de la CDT. « On l’a mis en garde contre les effets que le cannabis a normalement en termes de mémoire à court terme et de concentration, parce qu’il est encore aux études. On espère que ça va le faire réfléchir à sa consommation, mais je pourrais vivre avec le fait qu’il recommence à se droguer. Un juge ne pourrait pas », ajoute-il.

    Traitement pris en charge à 80%
    Il est midi et pour certains cela signifie prendre leur pause au pied du bus de méthadone de l’association Ares do Pinhal qui sillonne la ville depuis 2001. Pour son responsable Hugo Faria, le changement de politique peut se résumer à la mise en place d’un réseau. « Maintenant on travaille avec les services sociaux, médicaux, judiciaires, la police et les centres de traitement. Cela nous permet d’améliorer nos services auprès des patients. »

    Tout est pensé pour anéantir les obstacles à la désintoxication. Dans les centres, l’Etat prend en charge 80% du coût des traitements qui peuvent durer de 6 à 24 mois.

    Pensé comme solution radicale au mal être de toute une génération, le système portugais a déjà marqué et façonné l’histoire de la lutte mondiale contre la drogue.

     #drogue #dépénalisation #drogues #VIH #sida #santé #société #Portugal

  • Projet de R&D avec @SIDN @UGrenobleAlpes et @afnic : classification automatique des abus en matière de noms de domaine https://www.afnic.fr/fr/ressources/blog/projet-de-r-d-classification-automatique-des-abus-en-matiere-de-noms-de-domain #Afnic #RetD #COMAR

    Franco-Dutch research project with @SIDN @UGrenobleAlpes and @afnic on automatic classification of domain name abuse https://www.afnic.fr/en/resources/blog/franco-dutch-research-project-on-automatic-classification-of-domain-name-abuse #Afnic #SIDN #COMAR #domains #RandD #Abuse

  • Aux États-Unis, la crise des opioïdes bénéficie au don d’organes _ Marine Van Der Kluft - 1 Octobre 2018 - Le Figaro -
    http://sante.lefigaro.fr/article/aux-etats-unis-la-crise-des-opioides-beneficie-au-don-d-organes

    La hausse du nombre de décès par overdose aux antidouleurs a entraîné une augmentation du nombre d’organes disponibles à la greffe.

    Aux États-Unis, la crise des opioïdes continue de faire des ravages. Morphine, oxycodone ou encore le redoutable fentanyl… Entre 2010 et 2017, le nombre d’Américains décédés d’une overdose a été multiplié par deux. Des événements tragiques qui ont eu un effet inattendu, comme l’ont constaté les banques d’organes américaines : sur la même période, le nombre de donneurs morts par overdose a quadruplé, passant de 350 à 1400.

    « C’est une sinistre ironie : les décès dus à la drogue pourraient augmenter la disponibilité des organes », observent les responsables de la banque d’organes de Nouvelle-Angleterre (région du nord-est des États-Unis) dans un éditorial publié dans la revue Transplantation. En effet, après avoir atteint un pic en 2014, la liste des patients en attente d’une transplantation a diminué pour la première fois depuis vingt-cinq ans. Une baisse qui s’explique en partie par la crise des opioïdes.

    Des candidats idéaux aux greffes
    Les personnes décédées d’une overdose d’opioïdes sont-elles pour autant de bonnes candidates au don d’organes ? Selon le Pr Olivier Bastien, directeur du prélèvement et des greffes d’organes et de tissus à l’Agence de la biomédecine, il s’agit même de conditions idéales, dans le cas où les secours arrivent rapidement. « Le fentanyl est 1000 fois plus puissant que la morphine. Une overdose de ce produit bloque la respiration du patient. L’arrêt cardiaque est rapide, et les organes ne sont pas touchés. Si les secours arrivent vite, ils réalisent un massage cardiaque qui va permettre de faire repartir le cœur. Cependant, le cerveau aura été trop longtemps privé d’oxygène et le patient sera en état de mort cérébral », explique le médecin.

    Risque d’infections
    Cependant, les organes prélevés sur ce type de patients sont régulièrement mis de côté, ce que regrette une équipe de chercheurs de la faculté de médecine Johns Hopkins (Baltimore, États-Unis). « Malgré les caractéristiques favorables de ces donneurs, leurs reins et leur foie sont jetés trois fois plus souvent que ceux issus des morts par traumas », observent-ils dans une étude publiée dans la revue Annals of Internal Medicine.

    Ces patients sont en effet plus susceptibles d’avoir développé des infections consécutives à l’injection de drogues, et notamment l’hépatite B, C et le VIH. Pourtant, les risques de transmission sont désormais très faibles, avec moins d’un cas sur 1000 pour l’hépatite C et un sur 10.000 pour le VIH. En outre, l’étude montre que le taux de survie cinq ans après une greffe d’organes provenant d’une personne décédée d’overdose est équivalent à celui consécutif à la greffe d’organes provenant d’un donneur décédé par trauma.

    « Bien que ça ne soit pas la solution idéale à la pénurie, l’utilisation de ces organes devrait être optimisée », concluent les chercheurs de Johns Hopkins. C’est la stratégie qu’a choisie la banque d’organes de la Nouvelle Angleterre, région qui compte des états très touchés par la crise des opioïdes, comme le Vermont ou le Massachusetts. Alors que le taux national de décès par overdose était de 13,5% en 2017, celui-ci s’élevait à 27% en Nouvelle-Angleterre.

    Désormais, même si les tests révèlent la présence d’une hépatite B, C ou du VIH, l’établissement n’hésite plus à proposer la transplantation. « Les nouveaux traitements ont rendu le VIH maîtrisable et l’hépatite C curable », expliquent-ils. En effet, la loi américaine prévoit la possibilité d’une greffe si le receveur a déjà la maladie ou si le risque de décéder dépasse celui lié à l’infection. Ainsi, en 2016 a eu lieu la première transplantation d’un organe infecté par le VIH vers un patient lui-même atteint du sida. « C’est la preuve qu’avec une bonne stratégie, un élément salvateur peut émerger d’une tragédie nationale », expliquent-ils.

    #opioïdes #greffes #Chirurgie #drogues #Morphine #oxycodone #fentanyl #VIH #sida #optimisation #transplantation

  • À petit feu. Les sacrifiés du #golfe_de_Fos

    La #Camargue, ses paysages de carte postale, ses flamands roses et, à quelques pas de là, ses usines classées #Seveso : #sidérurgie, #pétrochimie, #raffineries… À la jonction de ces deux univers, le golfe de Fos, devenu le carrefour de #maladies_rares. Ici, les risques de #cancers sont multipliés par deux.

    Le Quatre heures est parti à la rencontre de ceux qui, coincés entre #omerta et #déni, ont décidé de lutter pour leur survie.

    https://lequatreheures.com/episodes/a-petit-feu
    #résistance #lutte #France #pollution

    Derrière le #paysage... pour mon cours de #géographie_culturelle

    ping @albertocampiphoto @marty @mathieup

  • Les réfugiés syriens en #Tunisie s’intègrent parfaitement- Reportage de ARTE

    Arte reporte l’histoire de la famille “Nazel”, dans une banlieue de Tunis. L’exemple d’une intégration réussie d’une famille de réfugiés qui a débarqué en Tunisie il y a de cela 6 ans.

    https://www.huffpostmaghreb.com/entry/les-refugies-syriens-en-tunisie-sintegrent-parfaitement-reportage-d
    Commentaire de Raphaël Krafft sur twitter :

    Les signaux (ONGs, institutions internationales, médias) sur la Tunisie potentielle “#terre_d’accueil” se multiplient ces dernières semaines. Pour rappel, il n’y existe toujours pas de législation sur l’asile.

    https://twitter.com/RafAvelo/status/1025810725233721349

    Probablement une stratégie pour convaincre l’opinion publique que la Tunisie pourrait accueillir les fameuses #disembarkation_platform (https://seenthis.net/messages/703288) ??? Donc encore une manoeuvre liée à l’#externalisation des #frontières...
    Qu’en penses-tu @isskein ?

    #intégration #asile #migrations #réfugiés #réfugiés_syriens

    cc @_kg_

    cc @isskein

    • Et s’on regarde ailleurs, un peu plus loin de l’exemple de la famille Nazel :

      – Les familles syriennes qui font la mendicité avec leurs enfants dans les villes de l’intérieur, notamment à Gafsa et Sidi Bouzid (source UNHCR Sfax).

      – Les familles syriennes à Médenine qui ne sont pas enregistrés par l’UNHCR pendant des semaines et restent sans aucune prise en charge…parce que l’UNHCR a externalisé l’enregistrement au Croissant Rouge Tunisien (CRT) et le CRT est en fête de ramadan, donc faut revenir après l’aïd. En plus, des conflits entre les différents demandeurs d’asile qui sont logés dans les mêmes logements dont la culture et la religion est très différent —> réfugiés subsahariens et réfugiés syriens (source Tunisia Charity Médenine).

      – Le très mauvais état des logements des demandeurs d’asile à Médenine et des problèmes de scolarisation de leurs enfants (source Direction Régionale de Santé (DRS) Médenine).

      – Le travail de l’UNHCR dans l’ensemble qui ne fournit pas toujours l’attestation de demande d’asile (personnes sans aucune protection mais en demande d’asile) (source migrante).

      – Et un nombre très élevé des demandeurs d’asile qu’on ne retrouve plus, des demandeurs d’asile qui disparaissent...selon un interview au Sud : vers l’Europe.

      …peut-être qu’ARTE doit en réfléchir de ne pas montrer UNE SEULE HISTOIRE.

  • Ever shipped a pet project to production?
    https://hackernoon.com/ever-shipped-a-pet-project-to-production-871a63c05113?source=rss----3a81

    Lessons learnt from going the full mile.Photo by Clément H on UnsplashAs someone who loves experimenting with new ideas and tools, I find myself working on side projects quite often. Sometimes for a day or a week, then I quickly loose interest and move on to the next burning desire. The projects don’t really get abandoned, rather, I convince myself that the necessary skills have been learnt…but this is not true!A few days ago, I was working on this simple #go project that automatically tags a picture using classification engines powered by Clarifai. After successfully setting up the API handlers and user interface, and confirming that everything works on my local machine, the desire to call it done and move on to something else rose again…but not this time, this one was going all the way to (...)

    #project-to-production #side-project #hacking #project-based-learning

  • Henri Texier, contrebassiste (1/5) : « Je suis un pur produit de la SNCF et du service public »
    https://www.francemusique.fr/emissions/les-grands-entretiens/henri-texier-contrebassiste-1-5-je-suis-un-pur-produit-de-la-sncf-et-d

    Fils de #cheminot, c’est durant son enfance aux Batignolles qu’Henri Texier découvre la musique très jeune et en particulier le #jazz grâce à son oncle. Une véritable révélation ! C’est d’abord par le #piano qu’il apprend la musique. Puis, il sillonne Paris la nuit pour écouter ses premiers concerts...

    Une série d’entretiens de 30 minutes rediffusée l’été sur #France_Musique

    #contrebasse #Henri_Texier #Thelonious_Monk #Sidney_Bechet

  • How to easily #bootstrap a #side-project on the cloud
    https://hackernoon.com/how-to-easily-bootstrap-a-side-project-on-the-cloud-b47293c773b4?source=

    Side-ProjectJob hunting is really hard nowadays, mostly because job offers are distributed across job boards, aggregators and companies career pages. So I decided to create Job Buddy , a web app that tracks all your digital job applications. You can either use the chrome extension or simply paste the url of the job description in Job Buddy to save it.In this way you can manage from a single admin page all the career opportunities you are interested in.In this post I wanted to share the tech stack behind Job Buddy to show that you can quickly bootstrap a complete Web App at almost 0 cost. I developed Job Buddy really fast, spending just 18,5€:14€ for the jobbuddy.app domain from Google Domains4,5€ for the Chrome Web Store subscriptionStackJob Buddy is almost entirely deployed on top of (...)

    #web-development #entrepreneurship #firebase

  • Annie Le Brun sur « Ce qui n’a pas de prix »
    Annie prends la parole à 2 minutes
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=336&v=p6EuaUUZ6T4

    C’est la guerre, une guerre qui se déroule sur tous les fronts et qui s’intensifie depuis qu’elle est désormais menée contre tout ce dont il paraissait impossible d’extraire de la valeur. S’ensuit un nouvel enlaidissement du monde. Car, avant même le rêve ou la passion, le premier ennemi aura été la beauté vive, celle dont chacun a connu les pouvoirs d’éblouissement et qui, pas plus que l’éclair, ne se laisse assujettir. Y aura considérablement aidé la collusion de la finance et d’un certain art contemporain, à l’origine d’une entreprise de neutralisation visant à installer une domination sans réplique. Et comme, dans le même temps, la marchandisation de tout recours à une esthétisation généralisée pour camoufler le fonctionnement catastrophique d’un monde allant à sa perte, il est évident que beauté et laideur constituent un enjeu politique. Jusqu’à quand consentirons-nous à ne pas voir combien la violence de l’argent travaille à liquider notre nuit sensible, pour nous faire oublier l’essentiel, la quête éperdue de ce qui n’a pas de prix ? Ce qui n’a pas de prix Annie Le Brun.

    http://www.librairie-tropiques.fr/2018/06/ce-soir-vendredi-22-juin-19h30-c-est-la-guerre-une-guerre-qui-se

     #art #art_contemporain #gavage #sidération #vide #beauté #laideur #politique #globalisation #capitalisme #guerre #violence #laideur #enlaidissement #argent #financiarisation #totalitarisme #double_langage

  • Autoanalyse d’un #amour tumultueux
    http://www.laviedesidees.fr/Autoanalyse-d-un-amour-tumultueux.html

    Peut-on écrire le portrait sociologique de quelqu’un qui a toutes les apparences du sale type et à qui on a de surcroît été intimement lié ? C’est le pari risqué de Daniel Bizeul dans ce livre-hommage à Martial, dont la vie fut marquée par la domination sociale et la #violence sous toutes ses formes.

    #Recensions

    / violence, #sociologie, #sida, amour

  • Difference between #sidechains and State Channels
    https://hackernoon.com/difference-between-sidechains-and-state-channels-2f5dfbd10707?source=rss

    Difference Between SideChains and State ChannelsA complete comparison of the two scaling methods.State Channels and Sidechains are the two terms in #ethereum community that are often used interchangeably, thus causing mass confusion.But today we will get it clear.Go make a cup of coffee first, it’s going to be a long one.The purpose of this article is to clearly define:What are State channels ?What are Sidechains ?Then we will compare the two:What problems are they trying to solve ?Which is a better scaling solution among the two ?Without wasting much time, let’s get started.What are State Channels ?State channels are a very broad and simple way to think about blockchain interactions which could occur on the blockchain, but instead get conducted off of the blockchain, without significantly (...)

    #bitcoin #state-channels #scalability

  • Find Better Questions Launched
    https://hackernoon.com/find-better-questions-launched-e4afc2dbb4c9?source=rss----3a8144eabfe3--

    Find Better Questions, the tool I’ve been working on since November 2017, is now live. It’s been quite a journey. It started as a 30 day challenge, and wow, did I fail that.Not only didn’t I hit my targets, I also broke my commitment to shut the project down if things don’t go well.I wanted to validate the product in these 30 days, and now I sit here, anxiously because I put seven months of work into Find Better Questions, and still don’t know how much people are willing to pay for it.Photo by rawpixelI emailed 100+ people 30 minutes ago and still no one created an account yet. I’m probably a little too distressed. I still wonder why I didn’t let people pre-order the product to validate my idea. I’ll do that with my next project. It’s not that I don’t have any validation up to this point. People (...)

    #side-project #saas #launch #startup #life

  • #marketing 101 for developers
    https://hackernoon.com/marketing-101-for-developers-c42a95a8f884?source=rss----3a8144eabfe3---4

    I know I know, developers hate marketing. After months of coding, you deploy your website, and you think people will come. Mmh, that’s not going to happen. My partner Pierre De Wulf and I launched ShopToList 3 months ago, we did a spectacular Reddit launch, got 1200 users in a week, and then this happened:Shoptolist is a universal wish list. It allows you to track the products you want to buy, and get notifications if the price drops. Think Pocket, but for shopping.So two days after one of our reddit posts went “viral” (1000+ upvotes, lots of comments), the traffic went close to zero. We had to do something. We read everything we could about marketing, and we began to test different strategies. In this post, I will show you what worked, and what didn’t.We are not marketing experts at all, (...)

    #developer #startup #side-project #marketing-for-developers

  • Françoise Barré-Sinoussi - France Culture
    https://www.franceculture.fr/emissions/series/francoise-barre-sinoussi

    Françoise Barré-Sinoussi
    5 épisodes disponibles

    De sa fascination d’enfant pour le vivant au prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du Sida, Françoise Barré-Sinoussi est marquée par l’obsession de comprendre mais aussi par l’urgence d’agir. La carrière passionnée d’une chercheuse engagée.
    Prix Nobel de médecine Françoise Barré-Sinoussi, co-découvreuse du virus du sida, Francoise Barre-Sinoussi, posant à l’Institut Pasteur à Paris en 2006.
    Prix Nobel de médecine Françoise Barré-Sinoussi, co-découvreuse du virus du sida, Francoise Barre-Sinoussi, posant à l’Institut Pasteur à Paris en 2006.• Crédits : Stéphane de Sakutin - AFP

    Bien longtemps avant son prix Nobel de médecine de 2008, Françoise Barré-Sinoussi découvre la nature. Cette rencontre dès l’enfance va jouer un rôle déterminant pour sa future carrière dans la recherche scientifique.

    Lorsque l’on habite dans le 19ème arrondissement de Paris, les contacts avec la nature sont limités. Par chance, Françoise Barré-Sinoussi, née en 1947, passe ses vacances d’enfant en Auvergne. Là, le spectacle de la nature la fascine. En particulier les êtres vivants.

    La petite fille possède déjà cette attirance pour la compréhension de la vie qui grouille sous ses yeux qui ne la quittera plus. Ses résultats scolaires reflètent son goût pour les matières scientifiques. Pourtant, elle ne passe son bac qu’à 19 ans…

    Ensuite, tout s’accélère. Il lui faut choisir entre la médecine et la biologie. Et vérifier que le métier de la recherche est bien ce qui lui convient. En scientifique, elle teste cette voie en optant pour les sciences naturelles.

    #santé #sida #hiv #Françoise_Barré-Sinoussi

  • Top 5 marketplaces to Buy and Sell Side Projects
    https://hackernoon.com/top-5-marketplaces-to-buy-and-sell-side-projects-4381e481ca9d?source=rss

    There are a ton of resources out there detailing how to create a side project, but very few showing you where to buy or sell a side project. I’ve been doing some of my own research this year, here’s what I have found.My post on Indie HackersRecently, I’ve been considering selling some of my side projects, mostly due to the lack of time I now have to maintain them and also because I regret the fact I can’t put as much work into them as they deserve. So a few weeks ago I started to look into marketplaces specifically geared towards selling and buying smaller online side projects. I then posted the question on the Indie Hackers forum and NoCode Slack community group and got some great suggestions back I thought would be worth sharing.TransferLotTransferLot is one of the newer marketplaces on (...)

    #startup #side-project #entrepreneurship #side-hustle #money