Vidéo : des mètres cubes d’acide déversés dans la nature
►http://abonnes.lemonde.fr/planete/video/2017/07/04/video-des-metres-cubes-d-acide-deverses-dans-la-nature_5155482_3244.
Des mètres cubes d’acide déversés dans un crassier, un dépotoir en plein air d’ArcelorMittal à Florange, en Moselle. Dans un témoignage anonyme tourné en vidéo et publié sur le site de France Bleu, c’est ce qu’affirme avoir fait, de décembre à février 2017, un chauffeur de camion, sous-traitant de l’usine sidérurgique. Qui est responsable de ce scandale environnemental ? La Dreal, la direction régionale de l’environnement a ouvert une enquête pour le savoir. Quant à la direction d’ArcelorMittal, elle a lancé une enquête interne. Entre-temps, elle a licencié le chauffeur de camion pour « rupture de discrétion commerciale ».
#pollution #lanceur_d'alerte #licenciement #ArcelorMittal #impunité
quelques vidéos plus loin … Mittal et la pollution au Kazakhstan
« on a réussi à baisser le nombre d’enfants handicapés avec des avortements cliniques … »
Pollution à l’acide à Florange : menacé et insulté, le lanceur d’alerte regrette d’avoir parlé
▻http://www.boursorama.com/actualites/pollution-a-l-acide-a-florange-menace-et-insulte-le-lanceur-d-alerte-reg
« JE NE SUIS PAS UN MENTEUR »
Désormais au chômage, le lanceur d’alerte assure qu’il est blacklisté par la plupart des agences d’intérim de la région. « Je ne sais faire que ça. Mon grand-père était routier, je suis routier depuis mes 18 ans... », confie-t-il. Il vit aujourd’hui avec 500 euros par mois et doit élever trois enfants, dont un en bas-âge.
A quand les mutuelles de lanceurs d’alerte ? (avant que le gv ne légifère comme avec la ratp en agglutinant dans la loi terrorisme et mutuelle d’entraide)
Report: Western Balkans route not closed, just diverted via Bulgaria
A report by a German think tank reveals the deficiencies of the deal with Turkey to stem the flow of refugees to Europe. Migration is on the menu of the two-day summit starting today (22 June).
►https://www.euractiv.com/section/justice-home-affairs/news/report-western-balkans-route-not-closed-just-diverted-via-bulgaria
#route_des_balkans #asile #migrations #réfugiés #routes_migratoires #Bulgarie #rapport #refoulements #push-back #statistiques #chiffres
Lien vers le rapport:
The EU-Turkey Refugee Deal and the Not Quite Closed Balkan Route
Refugee Children Caught in Bulgarian Limbo
While the number of refugees in Bulgaria has fallen significantly, some refugee children still have little or no access to adequate care.
Blocked in the Balkans: the refugees that Europe won’t allow in
Many of Serbia’s 7,600 refugees had hoped to live elsewhere in the EU but are trying to adapt to life in the Balkans
▻https://www.theguardian.com/world/2017/aug/08/eu-refugees-serbia-afghanistan-taliban?CMP=Share_iOSApp_Other
Bloqués en Serbie : les réfugiés perdus de la « route des Balkans »
Malgré sa fermeture officielle, il y a bientôt deux ans, la « route des Balkans » est toujours active. Environ 5 000 réfugiés sont bloqués en Serbie qui, de pays de transit, s’est brutalement transformée en cul-de-sac. D’autres exilés continuent d’arriver, via la Turquie, la Grèce, puis la Macédoine ou la Bulgarie.
Certains ont déjà essayé dix fois, quinze fois, de passer en #Hongrie, la porte d’entrée de l’espace Schengen. « La nuit, nous jetons des tissus sur les barrières de barbelés », poursuit Rauf. Ces tentatives répétées, les migrants ont fini par leur donner un nom : « #le_jeu ». Celui du chat et de la souris avec les forces de police qui patrouillent nuit et jour de l’autre côté de l’immense mur qui ceinture la frontière. La plupart se font vite rattraper. Au programme : prise d’identité et renvoi en Serbie, non sans un tabassage quasi systématique.
#murs #barrières_frontalières #frontières
C’est une ferme abandonnée, cachée derrière un bois touffu, au milieu de la plaine de Voïvodine, tout au nord de la Serbie, à quelques centaines de mètres de la frontière hongroise. Une cinquantaine de jeunes hommes vivent ici, s’entassant dans des pièces aux fenêtres depuis longtemps disparues. L’hiver, les températures descendent la nuit sous les – 10 °C.
Pour se réchauffer, les migrants font brûler du bois et de vieux plastiques et entassent autant de couvertures qu’ils le peuvent. Rauf, originaire du Pendjab, n’a que 15 ans, mais cela fait plus d’un an qu’il est sur la route. « J’ai traversé le Pakistan, l’Iran, la Turquie, la Grèce, la Macédoine, la Serbie », explique-t-il. Son objectif ? Rejoindre Paris, où son père est installé.
« Depuis plus d’un an, nos médecins et nos infirmières entendent les mêmes histoires décrivant des hommes battus et humiliés », détaille Stéphane Moissaing, le directeur de la mission de Médecins sans frontières (MSF) en Serbie. « La Hongrie, la Croatie, mais aussi la Bulgarie utilisent intentionnellement la #violence pour dissuader les migrants de demander l’asile dans l’Union européenne. Cela ne les décourage pas, mais cela leur cause de sérieux dégâts physiques, les rendant plus vulnérables encore », s’indigne-t-il.
#vulnérabilité
Une équipe mobile de MSF passe une fois par semaine dans les bois proches de la frontière. « Nous soignons des grippes, des infections respiratoires et intestinales, des maladies de peau dues aux mauvaises conditions d’hygiène, mais aussi les blessures provoquées par les coups et les morsures des chiens et des policiers », explique Iva, la doctoresse serbe de l’équipe. Autour de #Subotica, entre #Horgoš et #Bački_Vinogradi, ils sont plusieurs centaines à survivre dans les carcasses d’anciennes fermes, se regroupant par nationalités.
Ce matin ensoleillé de janvier, l’ambiance est pourtant détendue. L’ONG allemande Rigardu a installé un camion-douche et un « salon de beauté », permettant aux migrants de se raser ou de se couper les cheveux. Au sol, des téléphones sont en train de se recharger, branchés sur le groupe électrogène apporté par les volontaires. Pour franchir la frontière, il est essentiel de compter sur les #passeurs : deux sont présents, négociant sans se cacher leurs services avec ceux qui ont un peu d’argent. Ils demandent 300 à 400 euros par personne, largement redistribués en pourboire à des policiers hongrois de connivence. En revanche, la police serbe est invisible et tolère le campement de migrants, à l’écart des villes.
#violences_policières
Selon Stéphane Moissaing, 1 000 à 1 500 migrants pénétreraient chaque mois en Serbie, majoritairement depuis la Macédoine et la Bulgarie, et autant en sortiraient. Depuis la fermeture officielle de la « route des Balkans », en mars 2016, les voies de passage demeurent globalement les mêmes, malgré le renforcement des moyens des polices locales et de ceux de #Frontex. En 2015 et 2017, le budget de l’agence européenne a été multiplié par deux, passant de 143 à plus de 280 millions d’euros.
Pour déjouer ces mesures de sécurité, certains migrants tentent alors d’ouvrir de nouvelles routes. En 2017, 735 personnes en situation irrégulière ont été interpellées en #Bosnie-Herzégovine, huit fois plus que l’année précédente, dont la moitié à proximité de la frontière avec la Serbie. Et la tendance semble s’accélérer : plus du quart de ces arrestations ont eu lieu en décembre. « Ce sont les plus pauvres, ceux qui n’ont plus les moyens de se payer des passeurs, qui essaient de contourner l’obstacle hongrois par le sud, continue Stéphane Moissaing. Le phénomène reste pour l’instant marginal, mais l’on ne sait pas ce qu’il adviendra au printemps, quand les flux repartiront à la hausse. »
Selon les données du Haut-Commissariat aux réfugiés, 4000 autres personnes sont hébergées dans des camps gérés par le gouvernement serbe, un chiffre stable depuis des mois. Celui d’#Obrenovac, dans la grande banlieue de Belgrade, n’accueille que des hommes seuls, dont 17 mineurs. Au dernier comptage, ils étaient 737, dont 235 Afghans et 395 Pakistanais, suivis par un impressionnant patchwork de nationalités : Algériens, Marocains, Népalais, Indiens, Somaliens, etc.
À Obrenovac, les responsables du centre font visiter la salle de sport, le foyer, la petite école, qui offre des cours d’anglais, de serbe et de mathématiques aux mineurs. Les résidents peuvent circuler librement, se rendre en ville en déclarant leur sortie. Les conditions sont correctes, mais la promiscuité qui se prolonge finit par exaspérer. En novembre dernier, le camp a été le théâtre d’une bataille rangée impliquant plusieurs centaines de personnes, principalement des Afghans et des Pakistanais. Une autre bagarre a éclaté le 23 janvier. Miloš, un employé du Commissariat serbe aux réfugiés, résume le problème à une histoire « d’excès d’hormones entre jeunes adultes ». La très grande majorité de ces hommes ont entre 20 et 30 ans.
Certains sont bloqués depuis plus de deux ans.
#attente
Beaucoup de migrants refusent de loger dans le centre, par peur d’être identifiés et de devoir donner leurs empreintes digitales. « Ceux-là, s’ils veulent bénéficier des services du centre, il faut qu’ils s’enregistrent », poursuit le jeune homme, qui a déjà travaillé dans d’autres camps, « plus calmes, où il y a des familles ». C’est aux abords du centre que les passeurs concluent leurs affaires, et la police s’accommode des allers-retours fréquents avec les squats permettant le passage clandestin de la frontière.
Milica, également employée par le Commissariat serbe, s’occupe surtout des mineurs. « Certains restent prostrés. Ils ont tous essayé de franchir la frontière de nombreuses fois, ils ont été battus, refoulés. Beaucoup ont été renvoyés de Hongrie ou de Croatie. Ils ont perdu tout #espoir, et la perspective d’un retour au pays serait la fin de leur rêve, la reconnaissance de leur échec. » Pour les volontaires des ONG, le principal problème reste le désœuvrement. « Ils reçoivent trois repas par jour et prennent des douches chaudes, mais ne font rien de leur journée. Comment vivre comme cela durant des mois ? », s’interroge l’un d’eux.
Idriss, 23 ans, étudiait le droit à Alger. Il a décidé de prendre la route voilà 18 mois à cause de « problèmes » qu’il ne préfère pas détailler. Il a d’abord gagné la Turquie, où il a brièvement travaillé, avant de s’engager sur la route des Balkans. Le jeune homme passe l’hiver à Obrenovac pour reprendre des forces. La poursuite du voyage dépendra de sa capacité de rassembler assez d’argent pour traiter avec les passeurs.
À la frontière avec la Croatie, près de #Šid, environ 150 personnes vivent dans les bois qui jouxtent le Centre d’accueil, certaines depuis plus d’un an. Ils sont algériens pour la plupart, mais il y a aussi des Afghans et des Marocains. Ces jeunes hommes préfèrent rester dans la « #jungle », considérant que faute d’être syriens ou irakiens, ils n’ont aucune chance d’obtenir l’asile en Serbie et qu’un séjour dans un camp officiel ne ferait que retarder leur objectif : rejoindre un pays riche de l’Union européenne.
#campement
Sava, un autre employé du Commissariat, lui-même réfugié serbe chassé de la Krajina croate en 1995, lance : « Nous, les Serbes, savons ce qu’être réfugié veut dire. Nous considérons les migrants comme des êtres humains, ils sont bien mieux traités chez nous que chez vous, à Calais. » Sa supérieure surenchérit : « Tous les problèmes viennent des camps sauvages que dressent des anarchistes payés par l’Union européenne… Ils manipulent les migrants, alors que leur seul but est de récupérer des subventions ! » Les 25 et 26 décembre dernier, plusieurs dizaines de migrants ont entrepris un sit-in dans les champs qui séparent Serbie et Croatie, aux abords de la localité de #Tovarnik, avant d’être évacués par la police serbe, qui les a conduits vers des camps, comme celui d’Obrenovac.
En 2018, la Serbie devrait toucher 16 millions d’euros de l’Union européenne pour financer les centres d’accueil. En ajoutant les moyens mis à disposition par les ONG, cela représente un budget annuel de près de 4 000 euros par réfugié, plus élevé que les revenus de nombreux Serbes. « La route des Balkans fonctionne toujours », explique Stéphane Moissaing. « L’UE s’accommode de ces flux, pourvu qu’ils restent discrets. » Les chiffres restent en effet bien éloignés de ceux de 2015. « Pour sa part, ajoute l’humanitaire, Belgrade essaie de concentrer les gens dans les #camps, alors que certaines familles sont bloquées dans le pays depuis deux ans. »
En ce moment, MSF tente de mettre sur pied un programme de relogement dans des appartements vides, mais les autorités serbes ne cachent pas leurs réticences. L’inscription de quelques enfants de réfugiés dans des écoles de la banlieue de Belgrade à l’automne dernier relevait avant tout d’une bonne opération de communication. Et deux demandes d’asile seulement ont été acceptées par les autorités serbes en 2017. Même les migrants employés par les ONG présentes en Serbie ne parviennent pas à l’obtenir.
Pour les autorités serbes, le calcul est gagnant de tout point de vue. Belgrade démontre son empressement à jouer le rôle de gardien des frontières européennes. Cela sert de monnaie d’échange au président Aleksandar Vučić, tout en lui assurant un joli pactole. Quant au flux minime de ceux que les passeurs parviennent à faire pénétrer en Hongrie ou en Croatie, il ne sert qu’à faire tenir l’ensemble du système.
►https://www.mediapart.fr/journal/international/260218/bloques-en-serbie-les-refugies-perdus-de-la-route-des-balkans
Je copie-colle ici un passage de l’article, qui met en avant le #business de l’#accueil des réfugiés :
En 2018, la Serbie devrait toucher 16 millions d’euros de l’Union européenne pour financer les centres d’accueil. En ajoutant les moyens mis à disposition par les ONG, cela représente un budget annuel de près de 4 000 euros par réfugié, plus élevé que les revenus de nombreux Serbes.
ON THE BALKAN ROUTE : PERNICIOUS EFFECTS OF E.U. ANTI-MIGRATION POLICIES
The “Balkan route” refers to a migration route that links Turkey to Western Europe. In 2015, Hungary, Macedonia and Croatia unilaterally closed their borders, while in 2016 the EU signed an agreement with Turkey aimed at putting an end to migrant crossings of the Aegean Sea. These uncoordinated migration and containment policies led to an encampment situation in Greece and Serbia.
Et le reportage photo :
Réfugiés : la Bulgarie veut fermer les frontières des Balkans
Le projet a été révélé mardi par Reuters. En pleine préparation du sommet européen des 28-29 juin, l’UE envisagerait la création de « hotspots » installés dans les pays à ses frontières. Les Balkans, qui font face à une forte hausse des arrivées, sont en première ligne, et le Premier ministre bulgare, Boïko Borissov, réclame la fermeture des frontières.
Une semaine après la polémique de l’Aquarius, voilà qui risque de susciter de vifs débats, d’autant que le nombre de passes irréguliers est en forte hausse depuis le printemps. Cette information qui a fuité vient en tout cas confirmer les propos tenus un peu plus tôt par le Premier ministre bulgare, dont le pays tient la présidence tournante de l’UE jusqu’au 30 juin. Boïko Borissov a appelé les États membres à « fermer [leurs] frontières » à tous ceux qui ne passent pas par les postes de contrôle autorisés.
« La Bulgarie a traversé (la crise des réfugiés, NDLR) ; sans trop parler, sans trop se plaindre. Nous avons sécurisé notre frontière avec la Turquie en posant (dès la fin 2013, NDLR) des grillages (▻https://www.courrierdesbalkans.fr/bulgarie-des-grillages-et-des-barbeles-pour-arreter-les-migrants), en déployant des forces de police supplémentaires et des gardes-côtes. Je vais donc recommander un compromis au Conseil européen : de la prévention, incluant la fermeture de toutes les frontières de l’UE », a-t-il déclaré. « Pourquoi l’Europe doit-elle être un terrain sans clôture ? », a-t-il ajouté, prenant les États-Unis comme exemple.
Si Boïko Borissov vante sa politique vis-à-vis des migrants, Amnesty International rappelle dans son dernier rapport de février 2018 qu’elle a été mise en œuvre au prix de « nombreux recours excessifs à la force et de vols par la police aux frontières ».
La déclaration du Premier ministre bulgare s’inscrit dans la lignée de la position du Chancelier autrichien Sebastian Kurz, dont le pays va reprendre la présidence tournante de l’UE après la Bulgarie le 1er juillet prochain. Il a fait du « combat contre l’immigration illégale » sa priorité.
Elle s’inscrit également dans le contexte où la route des migrants jusqu’à l’UE passe de plus en plus par les Balkans, via l’Albanie, la Bosnie et le Monténégro, qui s’apprête à demander un « accord de statut » auprès de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes (Frontex) pour bénéficier de son aide dans la gestion de ses frontières.
Mais c’est en Bosnie-Herzégovine que la situation est particulièrement tendue. Lundi après-midi, plus de 200 migrants qui étaient basés à Velika Kladuša ont tenté collectivement de franchir la frontière croate. Ils ont été bloqués par la police au poste de Maljevac. Cet épisode fait suite à l’agression au couteau qui a provoqué la mort d’un ressortissant marocain vendredi 15 juin à Velika Kladuša. Les migrants s’estiment en danger et demandent à pouvoir passer en Croatie.
Depuis janvier 2018, plus de 6000 personnes ont traversé la Bosnie-Herzégovine. La semaine dernière, le directeur du Service des étrangers de Bosnie, Slobodan Ujić, a mis en garde que si l’Autriche et la Slovénie fermaient leurs frontières aux migrants, la Bosnie-Herzégovine serait forcée de fermer ses propres frontières avec la Serbie et le Monténégro.
▻https://www.courrierdesbalkans.fr/Migrants-Pourquoi-l-Europe-doit-elle-etre-un-terrain-sans-cloture
America’s Hidden H.I.V. Epidemic
▻https://www.nytimes.com/2017/06/06/magazine/americas-hidden-hiv-epidemic.html
Last year, the Centers for Disease Control and Prevention, using the first comprehensive national estimates of lifetime risk of H.I.V. for several key populations, predicted that if current rates continue, one in two African-American gay and bisexual men will be infected with the virus.
[...] Few believe there is the kind of energy, leadership, money and political will in the current political climate to fix the situation in the community that has fallen through the cracks for so long. And experts in the field have grown increasingly worried about the new administration’s commitment to fighting the disease.
#sida #santé #pauvreté #Etats-Unis
Après 120 BPM, épargnez-nous vos louanges | Didier Lestrade
▻http://www.liberation.fr/debats/2017/05/30/apres-120-bpm-epargnez-nous-vos-louanges_1573285
Ne vous trompez pas, notre engagement associatif nous a mis au ban de la société. Nous sommes marginalisés précisément parce que nos années de travail n’ont pas été récompensées. L’Etat et les gays haut placés n’ont rien fait pour nous, absolument rien. Personne n’a reçu de médaille à Act Up. Si on nous avait demandé, il y a dix ans, de coordonner le Centre d’archives LGBT, il serait déjà ouvert. C’est précisément parce que nous avons prouvé que nous savions faire les choses que nous avons été mis au placard. La mémoire est un enjeu politique.
Mais quand Robin Campillo parle de précarité pour rappeler que les séropositifs d’aujourd’hui sont confrontés à la dureté du vieillissement et la mise à l’écart de la société, il a raison. Qui soutient l’association Grey Pride qui est le seul groupe qui travaille sur la question du vieillissement des personnes LGBT ? Qui ose parler de notre appauvrissement social ? Je dois être la seule personne de presque 60 ans qui a monté les marches du tapis rouge de Cannes tout en étant au RSA (oui, les mots « Cannes » et « RSA » dans la même phrase). Je suis au chômage depuis dix ans, c’est marqué sur mon profil Twitter. Et les seules personnes qui écrivent encore sur le sida et le militantisme, comme Christophe Martet ou Gwen Fauchois, sont dans la même situation.
Je dois être la seule personne de presque 60 ans qui a monté les marches du tapis rouge de Cannes tout en étant au RSA
#militer #vieillir #homosexualité #RSA #cannes #Pierre_Bergé #pouvoir #ingratitude_sociale
L’OMS dépense plus en voyages que pour lutter contre la malaria et le sida RTS - vtom - 22 Mao 2017
►http://www.rts.ch/info/monde/8642134-l-oms-depense-plus-en-voyages-que-pour-lutter-contre-la-malaria-et-le-si
L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) dépense 200 millions de dollars en voyages par année, révèle lundi l’agence AP. C’est plus que les sommes investies dans la lutte contre le sida et la malaria.
Vols première classe, déplacements en hélicoptère et hôtels 5 étoiles. Malgré de nouvelles règles, l’OMS rencontre des difficultés pour maîtriser les coûts engendrés par les voyages de ses employés, selon des documents internes obtenus par AP.
Depuis 2013, l’OMS a dépensé 803 millions de dollars en voyages, soit environ 200 millions par an. Ces frais dépassent les investissements dans ses programmes de lutte contre de grands problèmes de santé publique.
L’an passé, l’agence a ainsi investi 71 millions de dollars contre le #sida et l’#hépatite, 61 millions contre la #malaria ou encore 59 millions contre la #tuberculose. Le programme contre la #polio se monte lui à 450 millions.
Pic avec Ebola
Les frais en voyages ont atteint un pic en 2014 pendant la crise #Ebola, à un total de 234 millions pour les 7000 employés de l’OMS.
En comparaison, les frais en voyages de Médecins sans frontière, qui compte 37’000 membres et interdit les vols en classe affaires, se sont montés la même année à 43 millions.
Suite présidentielle à 900 euros la nuit
En Guinée pour saluer les succès face au virus Ebola, la directrice générale de l’OMS Margaret Chan a récemment séjourné dans la suite présidentielle d’un grand hôtel de Conakry. Prix de la nuit : 900 euros.
L’agence onusienne a refusé de dire si elle avait payé pour ce séjour, notant que parfois le pays hôte réglait la facture. Pour certains observateurs, ce type de séjour ne donne pas le bon exemple aux 7000 employés de l’organisation.
Selon l’agence AP, qui cite des documents internes de l’OMS, les voyages de Margaret Chan sont parmi les plus chers de l’organisation. En 2014, ils ont coûté 370’00 dollars.
Changement de tête à l’OMS
Ces révélations interviennent alors que s’est ouvert lundi l’Assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé à Genève. Le successeur de Margaret Chan, qui a eu droit à une ovation debout des représentants des Etats membres pour ses 11 ans à la tête de l’OMS, sera connu mardi.
Philippe Mangeot détaille dans cet article la référence différenciée à #Foucault par trois associations de lutte contre le #sida dans les années 1990.
Sida : angles d’attaque | @Vacarme (2005)
▻http://www.vacarme.org/article456.html
La richesse d’une pensée se mesure souvent à l’aune des usages distincts voire contradictoires qu’on peut en faire. Une telle profusion d’usages fut en tout cas le propre de la pensée foucaldienne. Et la lutte contre le sida en France dans les années 1980-1990 en est un exemple frappant. Ses trois plus grandes associations — AIDES, ARCAT-SIDA et Act Up-Paris — ont pu ainsi s’y nourrir différemment, consciemment ou non mais à chaque fois à bon droit, tout en s’opposant, se déchirant, s’alliant à l’occasion. Foucault plurivoque ? C’est une vérité de fait.
120 battements par minute, un film de Robin Campillo, dont Philippe Mangeot a contribué à l’écriture, a été présenté le 20 mai 2017 en sélection officielle du festival de Cannes
Kaddour, artiste : « Être de gauche, c’est tenir bon sur la fraternité dans des moments critiques »
▻http://www.bastamag.net/De-Gauche-HK-Etre-de-gauche-c-est-etre-dans-un-rapport-de-fraternite-et-de
Qu’est-ce qu’être de gauche selon vous ? Y a-t-il encore du sens à se dire de gauche ? Comment voit-on la gauche du futur ? Quelles sont ses valeurs, ses idées, ses projets, ses défis ? #imagineLaGauche, c’est la série lancée par Basta !, pour comprendre, reconstruire, rêver, renouveler, mettre en débat… Salariés, chômeurs, retraités, étudiants, paysans, militants associatifs, syndicalistes, artistes, chercheurs, jeunes et moins jeunes, témoignent.. Aujourd’hui, Kaddour Hadadi, artiste et chanteur du (...)
Salut Basta, chouette série d’articles.
#Kaddour c’est la moitié du #MAP (le Ministère des Affaires Populaires). l’autre moitié c’est #Saïdou (fondateur de #ZEP et de #Sidi_Wacho) qui représente une autre façon d’être à gauche, complémentaire, et qui mériterait peut-être aussi une interview...
Devastating HIV epidemic hits Russia - World Socialist Web Site
▻http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/10/hivr-j10.html
Devastating HIV epidemic hits Russia
By Clara Weiss
10 January 2017
A quarter century after the dissolution of the USSR in December 1991, an HIV epidemic, closely bound up with massive heroin consumption, is raging in Russia. It is a devastating indictment of the social catastrophe that was brought about by the restoration of capitalism.
According to Vadim Pokrovski, head of the Federal AIDS Centre in Moscow, around 850,000 Russians were diagnosed with HIV at the beginning of 2016. Another 220,000 have died of AIDS since the late 1980s. He estimates that another half-million Russians are infected, but not diagnosed, with HIV. An estimated 100,000 were newly infected in 2016.
La démondialisation selon Trump
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/090117/la-demondialisation-selon-trump
Si #Donald_Trump, une fois au pouvoir, donne libre cours à son atavisme protectionniste, la Trump Tower pourrait devenir, pour l’économie américaine, la tour catastrophe des “nanards” d’Hollywood, comme le démontre une étude des économistes du Peterson Institute for International Economics. Et ce n’est pas de la fiction. Analyse.
#Economie #ALENA #arcelor #Chine #Etats-Unis #Mexique #OMC #PIIE #protectionnisme #sidérurgie #TPP #Wilbur_Ross
En #Inde, une nouvelle législation inquiète les séropositifs
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/041216/en-inde-une-nouvelle-legislation-inquiete-les-seropositifs
La journée mondiale du #SIDA, le 1er décembre, a coïncidé dans le sous-continent avec l’arrivée au parlement d’un texte qui préoccupe les associations de défense des 2,1 millions de personnes porteuses du virus. Cette réforme concerne notamment l’accès aux traitements, sur fond de libéralisation du secteur pharmaceutique.
Avec ou sans ton sang ? La Brique - Lille - 1 décembre 2016
« C’est Bill qui le premier me parla de la fameuse maladie, je dirais en 1981. […] Il se laissa tomber par terre de son canapé, tordu par une quinte de fou rire : "un cancer qui toucherait exclusivement les homosexuels, non, ce serait trop beau pour être vrai, c’est à mourir de rire !". Il se trouve qu’à cet instant Muzil était déjà contaminé par le rétrovirus ». C’est par ces mots, qu’Hervé Guibert1, écrivain, décrit sa découverte du Sida. Virus qui l’emporte dix ans plus tard à l’âge de 36 ans.
À l’époque, personne ne sait encore ce qu’est réellement cette épidémie qui décime en particulier certaines populations. Ce qu’on appellera la « règle des 4 H » pour Homosexuels, Hémophiles, Héroïnomanes, Haïtiens. Basée sur cette observation empirique, une circulaire de la direction générale de la santé du 20 juin 1983 établit que « le syndrome d’immunodépression acquise représente un risque nouveau et grave pour la santé qui pourrait être dû à un agent infectieux dont la transmission par le sang et les produits dérivés du sang a pu être suspectée mais non établie ».
Homosexuel.les dans le même sac
l a fallu attendre 19 ans, en 2002 pour que certaines recommandations de la direction générale de la santé proposent de supprimer le caractère discriminatoire du refus du don du sang par l’EFS. Ainsi ce n’est plus la population homosexuelle qui est concernée, mais les « pratiques à risques » et particulièrement les « relations homosexuelles masculines » , ce qui permet l’ouverture du droit du sang aux lesbiennes, jusqu’ici injustement montrées du doigt, car celles-ci sont considérées comme sujettes à risque de part leur proximité avec leurs homologues homos ayant des relations homosexuelles masculines.
Jusqu’en 2012, on note une période de flottement sur cette question de l’ouverture du don du sang de la part du ministère de la santé. Un certain Xavier Bertrand, ministre de la Santé (de juin 2005 à mars 2007, de novembre 2010 à mai 2012) déclare même pendant 5 ans vouloir mettre fin à ce qu’il appelle une « injustice », sans que cela soit suivi des faits.En 2012, un questionnaire de l’association SOS Homophobie est envoyé aux candidats de l’élection présidentielle. À la question du don du sang, le candidat Hollande déclare « [qu’il] est dévastateur à tous les niveaux d’accréditer une forme de présomption de séropositivité des hommes homosexuels » . Il faudra attendre la promulgation le 26 janvier 2016 de la loi Santé par Marisol Touraine déclarant, suite à un amendement, que « nul ne peut être exclu du don du sang en fonction de l’orientation sexuelle ».
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La suite : ►http://labrique.net/index.php/thematiques/lutte-des-classes/840-avec-ou-sans-ton-sang
#Lille #La_Brique #violence_sociale #Harry_Cover #Lutte_des_classes #sang #sida #ségrégation
Sur une représentation globale des infections a #VIH en Afrique subsaharienne. Les complexes socio-spatiaux de risques
Nous présentons une étude exploratoire qui traite des groupes de pays organisés selon des complexes socio-spatiaux de risques pour le VIH. L’analyse des correspondances multiples, traitant un tableau de variables de nature socio-géographique, socio-économique et à caractères épidémiologiques, est particulièrement adaptée à la recherche de variables de synthèse dans la description des structures liées à l’infection.
Les données utilisées dans cette étude sont des résultats statistiques sélectifs récemment publiés sur 44 pays des régions de l’Afrique subsaharienne. Les explorations entreprises dans les groupes de population adulte âgée de 15 à 49 ans montrent que les composantes socio-géographique et socio-économique qui leurs sont associées interfèrent selon des combinaisons complexes qui varient d’un espace géographique à un autre. Le complexe des pays insulaires (Comores, Madagascar) et des pays de la façade atlantique (Mauritanie, Sénégal, Guinée) à très faible taux de prévalence (inférieur à 3 %) représente des situations de faibles expositions ; le complexe austral des pays dit riches (Afrique du sud, Namibie, Swaziland, Botswana) avec des taux de prévalence supérieurs à 12 % signale des situations de fortes expositions. D’autres situations d’expositions variées s’égrènent entre ces deux situations extrêmes et font valoir à l’Est, à l’Ouest et au Centre, des complexes de forte endémicité, de poussée épidémique et d’épidémie active.
Méthodes pour cartographier les tendances régionales de la prévalence du VIH à partir des Enquêtes Démographiques et de Santé (EDS)
Pour de nombreux pays, en particulier en #Afrique subsaharienne, les Enquêtes Démographiques et de Santé (EDS) constituent la principale estimation de la prévalence du VIH au niveau national et en population générale. Plusieurs EDS collectent la longitude et la latitude des grappes enquêtées.
Dans cet article, nous présentons trois approches méthodologiques pour cartographier les variations spatiales de la prévalence du VIH à partir des EDS. Ces approches sont appliquées à des simulations d’EDS échantillonnées à partir d’un pays modèle. Les surfaces estimées sont alors comparées à la surface initiale du modèle.
Nous montrons qu’une méthode utilisant des estimateurs à noyau à fenêtres adaptatives de même effectif permet d’estimer les principales tendances régionales des épidémies. Son application aux données de l’EDS 2003 du Burkina Faso fournit une image plausible de la situation épidémiologique dans ce pays.
Les cartes de prévalence (avec l’encoche qui évoque la Gambie) m’ont obligé à lire l’article… Merci.
Le Bénin, le Burkina Faso et le Ghana ont été agrégés pour créer un pays fictif servant de modèle. Le Togo a été volontairement exclu afin d’obtenir une forme concave qui peut complexifier l’estimation, le « creux » ainsi formé n’étant pas enquêté. Une telle forme se retrouve dans les frontières de certains pays tels que le Sénégal.
Application aux données réelles
L’application effectuée sur les données de l’EDS 2003 du Burkina Faso a permis de produire une surface des tendances régionales de la prévalence plausible.
Si l’interprétation d’une telle carte doit être prudente, elle fournit cependant une indication descriptive sur la situation épidémique au sein d’un pays, indépendante du découpage administratif du territoire. Il s’agit bien là d’un outil de visualisation des principales variations spatiales du phénomène et d’identification des régions les plus touchées. Bien que les EDS soient insuffisantes pour mener une analyse des déterminants spatiaux des épidémies de VIH, elles permettent d’en esquisser un premier portrait, en l’absence d’enquêtes plus spécifiques ayant une meilleure couverture géographique.
#Russie. #Sida : la “maladie des dépravés” explose
Avec 1 million de personnes séropositives, la Russie compte parmi les pays les plus touchés par le #VIH. Et les pouvoirs publics n’opposent au fléau que le remède de la “chasteté”, dénonce cet article de Gazeta.ru.
▻http://www.courrierinternational.com/article/russie-sida-la-maladie-des-depraves-explose
#santé
Dans neuf régions de Russie, 1 habitant sur 100 est séropositif
▻http://www.lecourrierderussie.com/societe/2016/11/seropositifs-russes-population-neuf-regions
Selon les données d’ONUSIDA, le programme regroupant les structures des Nations Unies chargées de la prévention du VIH et du SIDA, en 2015, 80 % des nouveaux cas de contamination au VIH en Europe orientale et en Asie centrale correspondaient à la Russie.
HIV’s Patient Zero exonerated : Nature
▻http://www.nature.com/news/hiv-s-patient-zero-exonerated-1.20877
But an analysis of HIV using decades-old blood serum samples exonerates the French Canadian [Gaétan Dugas], who died in 1984. The paper, published on 26 October in Nature, shows that the virus had been circulating in North America since at least 1970, and that the disease arrived on the continent through the Caribbean from Africa.
Richard McKay, a historian at the University of Cambridge, UK, and study co-author, says that scientists have always questioned the idea of a single #Patient_Zero, because some evidence suggested that the virus entered North America several times.
(...) When scientists examined those genetic sequences in detail, they found them to be similar to HIV strains present in the Caribbean, particularly Haiti, in the early 1970s. However, the strains were different from one another, suggesting the virus had already
pour les lecteurs de And The Band Played On…
Flavie Flament violée à 13 ans : « Avec ce livre, j’espère libérer la parole » - Elle
▻http://www.elle.fr/People/La-vie-des-people/News/Flavie-Flament-violee-a-13-ans-Avec-ce-livre-j-espere-liberer-la-parole-3325255
J’étais en vacances au cap d’Agde avec ma famille. Nous étions à la terrasse d’un café un soir, sur le port, à manger un banana split. Je n’ai pas vu le prédateur arriver. Quand il a proposé à ma mère que je fasse des essais, elle a été ravie. Tout le monde savait qui il était. Il y avait cette sensation de toucher à l’extraordinaire pour une famille de province. Ma mère m’a ensuite emmenée, tous les après-midi chez lui, faire des photos. J’ai senti rapidement que les essais étaient un rite de passage pour être la « nouvelle élue ». C’était une façon de prendre l’ascendant sur moi. Mais je n’aurais jamais imaginé ce qu’il allait faire.
Ce qui est sûr c’est que, sur ce balcon, quand le photographe a abusé de moi, j’ai essayé de barricader mon corps de l’intérieur. La sidération empêche de crier, de fuir. Elle vous transforme en statue. Alors, la seule façon d’échapper à l’horreur est de s’enfuir par la pensée. On abandonne cette enveloppe. C’était une question de survie. Par la suite, recourir à la dissociation est devenu un mode de fonctionnement. Il y avait en moi quelque chose de formaté à courber l’échine, qui m’empêchait de dire non. J’avais un sentiment de devoir : devoir de soumission, devoir de plaire, devoir de jouer le jeu...
ELLE. Votre mère a passé son temps à vous dire que vous étiez « moche », « conne », « mauvaise ». Vous, vous étiez prête à tout pour lui faire plaisir, même à vous mettre en grave danger.
F.F. On cherche l’amour ! Il y a des #enfants_battus qui vont toujours revenir vers leurs parents, des enfants traumatisés en quête de bras. Les bras de ma mère, de mon père m’ont terriblement manqué. En ce qui concerne l’éducation humiliante que j’ai subie, c’était une #stratégie_inconsciente_d'emprise.
Mais c’était aussi un temps où on dressait les enfants en les rabaissant. On pensait que cela provoquerait un sursaut d’estime de soi. C’est tout le contraire. Mon estime de moi était réduite à... [elle réfléchit] néant.
en plus du viol, sa mère est limite complice, on est proche de l’infanticide ou d’une mère #maquerelle qui s’ignore. Son père était consentant, je suppose ! Reste plus que le grand-père. Mais il est mort. Le photographe, lui, bande encore ?
Fin de parcours pour le triste sire.
David Hamilton retrouvé mort - le Parisien
▻http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/david-hamilton-retrouve-mort-26-11-2016-6377253.php
David Hamilton, 83 ans, a été retrouvé mort hier soir à son domicile parisien, près de Montparnasse, la tête enveloppée dans un sac plastique. Il se serait suicidé. C’est une femme de ménage qui l’a découvert. Le décès a été prononcé vers 21 h 30.
Mort d’Hamilton. Flavie Flament : « Par sa lâcheté, il nous condamne au silence » - La Parisienne
▻http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/personnalites/mort-d-hamilton-flavie-flament-par-sa-lachete-il-nous-condamne-au-silence
« Je viens d’apprendre le décès de David Hamilton, l’homme qui m’a violée quand j’avais 13 ans. L’homme qui a violé de nombreuses petites filles, dont certaines se sont manifestées avec courage et émotion ces dernières semaines. C’est à elles que je pense. À cette injustice que nous étions en train de combattre ensemble. Par sa lâcheté, il nous condamne à nouveau au silence et à l’incapacité de le voir condamné. L’horreur de cette annonce ne saura jamais effacer celles de nos nuits blanches », déclare l’animatrice de télévision.
Cioran disait ne pas voir l’intérêt de se suicider après 30 ans.
Hamilton a attendu 83 ans, bon débarras quand même !
Scientists testing HIV cure report ’remarkable’ progress after patient breakthrough | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/society/2016/oct/02/scientists-testing-cure-for-hiv-report-progress
Yes, the Fight for Anti-HIV Drugs is a Fight against #Discrimination
The rate of of HIV infections in the UK is rising among gay and bisexual men. In 2014, in the UK, 2800 gay men contracted HIV (approximately eight men per day). Despite the change in the law in 2013 to allow gay marriage, there is still a lot of homophobia. For example, some media coverage of the UK High Court decision in National Aids Trust v NHS England trial, portrayed homosexuals as being irresponsible in opting for expensive drugs that absolve them from blame while transferring the cost to the public health system. In this piece, originally published in The Conversation, Sharifah Sekalala reflects on the significance of the recent UK High Court decision and discusses why the fight for anti-HIV drugs is a fight against discrimination.
▻http://lacuna.org.uk/food-and-health/yes-fight-anti-hiv-drugs-fight-discrimination
L’artiste franco-ivoirien #Sidiki_Bakaba veut comprendre ce qui lui est arrivé en 2011 à Abidjan
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/260916/l-artiste-franco-ivoirien-sidiki-bakaba-veut-comprendre-ce-qui-lui-est-arr
Après une plainte déposée en France pour faire la lumière sur une partie du rôle joué par l’armée française en Côte d’Ivoire en 2011, lors du conflit postélectoral entre #Laurent_Gbagbo et #Alassane_Ouattara, l’avocat de Bakaba demande que soient entendus un officier français et l’ancien ministre de la défense #Gérard_Longuet.
Violences policières. « On va te violer, on va venir chez toi, on va venir à la Sorbonne vous exterminer toi et tes collègues »
►http://www.revolutionpermanente.fr/Violences-policieres-On-va-te-violer-on-va-venir-chez-toi-on-va
Il vient d’arriver cela à un collègue enseignant à Paris-1 (ça n’est pas moi !). Une scène horrible et impensable il y a quelques années. Le discours anti-flic primaire me fatigue. Mais à un moment il faut ouvrir les yeux.
"Je sortais d’une gare de banlieue avec une copine, en fin de journée. Au moment de passer les tourniquets, on entend des hurlements. Pas un cri normal, mais un cri de douleur, intense, et l’on comprend immédiatement qu’il se passe quelque chose. Comme tous les autres à côté de nous, mon regard est capté par la scène qui se déroule sur notre gauche. Une femme noire d’une cinquantaine d’années est menottée, et c’est elle qui hurle que les menottes lui broient les mains, qu’elle n’en peut plus. Entre elle et le petit attroupement d’habitants qui s’est formé, une trentaine de policiers équipés, avec un chien d’assaut. Il y a la sûreté ferroviaire et la police nationale.
Les gens sont inquiets, l’ambiance est très tendue, tout le monde demande ce qui se passe, pourquoi ils torturent cette femme en pleine rue. La scène est marquante, elle ressemble à cet été après l’assassinat d’Adama, ou aux images de la mobilisation aux Etats-Unis : une rangée de policiers, face à une autre rangée d’habitantes et habitants noirs de la ville. Ces derniers sont clairs, ils n’ont aucune confiance. Un homme raconte comment son frère a été interpellé sans raison, mis en garde à vue et violenté. Les flics nous disent de « nous casser ».
J’avais peur pour la victime de cette interpellation, peur de cette scène raciste, je voyais la police déraper à tout moment. J’ai sorti mon téléphone pour filmer, en me disant que cela pourrait cadrer les choses, faire baisser le niveau d’impunité. Ça n’a pas duré plus d’une minute. L’un des flics m’attrape par l’épaule gauche et me fait pivoter : « celui-là on lui fait un contrôle d’identité ». Je demande pourquoi, il m’arrache mon téléphone. Je lui dis qu’il n’a pas le droit de le consulter sans mandat de perquisition.
Mais tout s’accélère : dès qu’ils ont réussi à me tirer de leur côté du cordon formé par leurs collègues, ils se mettent à deux sur moi, chacun me faisant une clé à l’un des bras. Une douleur énorme me traverse les articulations. J’ai les deux bras torsadés dans le dos, avec ces deux hommes dans des positions qu’ils ont apprises, qui pèsent de toute leur force pour me plaquer contre le mur. A plusieurs reprises, ils m’écartent un peu et me rebalancent, pour que je me cogne. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait juste de m’intimider et de me mettre à l’écart. Mais ils ne relâchent pas. J’ai le souffle coupé et je ne proteste plus, je me dis qu’ils vont m’embarquer pour « outrage » ou « rébellion », et sont en train de chercher à créer des faits de toutes pièces.
Le pire en réalité n’était pas la douleur. Les deux flics qui sont sur moi sont surexcités. Et ils se lâchent. Crânes rasés, les yeux brillants, j’ai du mal à croire que la scène qui suit est réelle. « On va te tuer, tu es mort, on va te défoncer, je te crève là sur place dans dix minutes ». Et au fur et à mesure que les cartilages s’étirent sous la torsion, ils remontent mes poignets dans mon dos, et augmentent la torsion. Celui de gauche me met la main sur les fesses. « T’as cru que t’allais jouer avec la police ? Regarde comme on va jouer avec toi ». Et il me met une première béquille. Puis il remet sa main sur mes fesses. Avec les clés de bras, je ne peux plus respirer normalement. Nouvelle béquille. « On va te violer, ça te plaît ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police ».
Ça continue. « Tu soutiens Daesh c’est ça ? ». « Quand ils vont venir tu feras quoi ? Tu vas les sucer ? ». « Faudra pas pleurer et demander qu’on te protège ». Je n’ai réalisé que plus tard qu’ils étaient en train de parler de Daesh...pour justifier leur attitude face à une femme racisée qui avait oublié son pass navigo.
Ils ouvrent mon sac et prennent mon portefeuille, le vident dans mon dos. Ils me prennent mes clopes en me disant de m’asseoir dessus. Ils trouvent ma carte de prof précaire à la fac. « T’es prof ? Quand l’Etat islamique viendra à la Sorbonne tu vas les regarder en te branlant ? ». Celui de gauche : « Regarde-moi sale pédé. Sale pute. Tu habites là-bas hein ? (il montre mon immeuble). Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer ». Je suis vraiment abasourdi, je pense qu’il a répété les mêmes menaces une bonne vingtaine de fois en tout. J’ai affaire à des flics politisés, des flics de l’état d’urgence permanent, qui se vivent comme en guerre contre Daesh, un Daesh qu’ils assimilent à toute personne racisée, et avec qui j’aurais pactisé en me solidarisant de leur victime du jour.
Ils montent encore d’un cran. « Maintenant on va te mettre des coups de tazer, tu vas voir comment ça pique ». Et, toujours celui de gauche, m’envoie une décharge dans le bras. Je sursaute, et je me mets à trembler. J’essaie de ne pas le montrer, je ne dis rien, mais la pensée qui me vient à ce moment est que la situation va peut-être déraper encore plus. Qu’ils vont me faire une autre clé, ou me frapper avec leur tonfa avant de m’embarquer. « Tu vas crever ». « Je vais t’enculer ». Avec toujours les attouchements. Et la douleur est telle dans les bras, les épaules, le dos, que je me dis que je dois me préparer à ce qu’une de mes articulations lâche.
Derrière, j’entends la copine avec qui j’étais qui crie, qui leur dit de me lâcher. Je voudrais lui dire de laisser tomber. J’ai une boule au ventre : qu’est-ce que ces tarés lui feront s’ils l’interpellent ? Mais entre-temps, l’attroupement a probablement un peu grossi, et le groupe de policiers doit savoir qu’il ne peut pas faire durer indéfiniment la situation. Celui qui me torsade le bras droit me dit : « Il faut qu’on chope la meuf, on la charge pour appel à rébellion ».
J’entends qu’ils discutent entre eux. Un des deux hommes me lâchent le bras et me dit : « Tu regardes le mur, si tu te retournes, si tu bouges, on t’ouvres le crâne ». Je ne bouge pas. « On va venir à la Sorbonne, on va vous exterminer toi et tes collègues, sale gauchiste ». Puis ils me retournent et je me retrouve devant les yeux exorbités du flic qui me tenait le bras gauche. « T’es contractuel sale bâtard ? On va te faire un rapport salé, ta titu tu peux te la mettre ». Je ne dis rien. Ils m’appuient sur la poitrine. « Maintenant tu déverrouilles ton téléphone et tu effaces la vidéo ». Je m’exécute, en me disant que c’est dans ma tête et pas sur ces images de l’attroupement statique que ce qui vient de se passer est gravé. Il m’arrache l’appareil, et ouvre le dossier photo, commence à tout regarder.
Puis tout à coup, le reste de leur groupe charge les habitants qui s’étaient regroupés. C’est rapide et extrêmement violent. Je vois leur chien se jeter sur les gens, et eux avec les gazeuses et les tonfas. Tout le monde fuit, en panique, y compris les personnes âgées. Les deux policiers qui m’ont agressé me jettent mon portefeuille et son contenu à la figure et partent en courant. Je craint pour mon amie, je ne la vois pas. Mais je l’aperçois finalement qui revient, elle avait réussi à s’échapper. Rien à faire d’autre que rentrer chez nous, la rage au ventre, et tout le torse ankylosé et douloureux. Je me dis que cette police raciste serait allée encore plus loin si j’étais racisé. Un homme nous explique que c’est comme ça dans toute la ville depuis ce matin. « Vous voyez on ne fait rien, mais ils tabassent des gens au hasard pour susciter des troubles ». On se réconforte mutuellement, se souhaite bon courage. Il en faudra ; mais on n’en manque pas."
Source originale : ►https://www.facebook.com/guillaume.mazeau.1/posts/1116184055140521
déjà là :
►https://seenthis.net/messages/527062
avec une discussion sur la crédibilité de cette histoire
J’ai publié à part, parce que je donne la source première de l’histoire.
Comment sais-tu que la page facebook précède l’article sur revolutionpermanente.fr ?
la source première n’est pas la page facebook mais la victime de cette interpellation musclée et son témoignage ahurissant.
Tellement ahurissant qu’il est anonyme.
Alors effectivement, si on retrace, Guillaume Mazeau, prof à la Sorbonne, a reçu ce message sur une liste de diffusion de l’Université Paris 1 via un autre collègue (toujours pas celui à qui c’était arrivé), puis il l’a publié sur facebook :
►https://www.facebook.com/guillaume.mazeau.1/posts/1116184055140521
C’est repris ensuite par Libé, Médiapart...
On voit dans les commentaires sur facebook que l’article de Révolution Permanente précède le post facebook. Mais on voit aussi que, suite à des suggestions, et via ce collègue, il finit par « identifier » la personne concernée. Donc c’est anonyme, mais « sourcé », et la personne en question est, dit-il, en train de porter plainte et de faire reconnaître ses blessures.
Donc peut-être qu’il faut arrêter de dire ou de propager les commentaires qui doutent systématiquement de la crédibilité de ce genre de témoignage « #incroyable », #abominable, #ignoble, #horrible, #ahurissant, #hallucinant, #sidérant, #écoeurant, #honteux...
@sinehebdo Tous les commentaires ne doutent pas de ce post FB ; Certains.es trouvent cela d’une gravité extrême. Je n’ai pas le courage de relire les commentaires (je me suis limité, hier, à ceux de médiapart et de révolution permanente)
Même si la justice est plus prompte à défendre les forces de l’ordre (#état_d'urgence oblige). Les propos et voies de fait de ces 2 flics méritent une sanction exemplaire et au minimum une allocution de leur ministre de tutelle - l’impassible Cazeneuve.
C’était donc vrai.
La victime, Guillaume Vadot, a révélé son identité aujourd’hui au cours d’une conférence de presse en présence de son avocat et de Johanna Siméant, sa directrice de thèse. Il va déposer une plainte pour violences, menaces de mort, de viol, attouchements et abus d’autorité.
De façon pitoyable, et sous la pression des flics probablement, facebook a supprimé le message contenant la publication initiale « car elle n’est pas conforme aux standards de la communauté Facebook. »
►http://www.arretsurimages.net/breves/2016-09-26/Facebook-censure-un-temoignage-de-victime-de-violence-policiere-id20
En revanche, entre temps, Guillaume Vadot a retrouvé une vidéo supprimée par les policiers sur son téléphone...
►http://www.liberation.fr/france/2016/09/26/je-vais-te-violer-et-on-va-voir-si-apres-tu-filmeras-la-police_1511411
►http://www.marianne.net/apres-violences-menaces-viol-prof-part-guerre-contre-policiers-100246644.h
►http://www.huffingtonpost.fr/2016/09/26/violences-policieres-professeur-porte-plainte_n_12196088.html
►https://twitter.com/Assma_MD/status/780403561867927552
il y a ceci qui tente de cerner la violence politique
▻http://www.liberation.fr/debats/2016/09/27/affaire-guillaume-vadot-ils-pensent-avoir-gagne_1512415
je ne sais quoi en dire, ça m’interpelle quand même si je ne suis pas d’accord avec le dernier mot
Lorsque des situations arbitraires se produisent et que les voies de recours sont bouchées, lorsque des individus se retrouvent humiliées, rejetés, stigmatisés, assignés à des positions précaires toute leur vie et intériorisant avec violence diverses formes de ressentiment, c’est toute la société qui est perdante, y compris les dominants.
les dominants sont toujours gagnants au jeu du #diviser pour mieux régner.
Dimanche, me promenant à vélo dans des ruelles qui sont mixtes vélos/voitures, je me suis fait insultée sur mon apparence physique et le gars qui conduisait a voulu m’écraser en accélérant et en me fonçant dessus. Je m’en fous, je survivrai aux cons (enfin, je l’espère), mais je m’interroge avec inquiétude sur comment on peut avoir envie de distiller une telle violence.
Ça lâche de la frustration de vie de tout côté, du malheur d’être à n’en plus pouvoir, ce pauvre type n’aura jamais que le pouvoir de son accélérateur pour pourrir de sa testostérone, lui et son entourage, mais le flic il a aussi la paye et les ordres qui vont avec.
Vous aviez vu la fin de cette histoire ?
Menacé de mort, de viol et tazé par deux policiers : la plainte est classée sans suite
Guillaume Vadot, Révolution Permanente, le 31 mars 2017
►https://seenthis.net/messages/596671
Hier, j’ai été contrôlé par la police Violences policières. « On va te violer,vous exterminer toi et tes collègues » ►http://www.revolutionpermanente.fr/Violences-policieres-On-va-te-violer-on-va-venir-chez-toi-on-va …
▻https://twitter.com/RevPermanente/status/779206233513455616
Hier, j’ai été contrôlé par la police Violences policières. « On va te violer,vous exterminer toi et tes collègues » ►http://www.revolutionpermanente.fr/Violences-policieres-On-va-te-violer-on-va-venir-chez-toi-on-va …
commentaires relevés sur : ►http://www.revolutionpermanente.fr/Violences-policieres-On-va-te-violer-on-va-venir-chez-toi-on-va
- Lou Bruant, merci pour ton commentaire. En effet, à chaque fois que je lis un article de « Révolution Permanente », j’ai l’impression d’être dans un film au mauvais scénario. Alors autant dire que je lis et partage désormais ces articles avec beaucoup de précaution ! Je suis conscient que les bavures policières existent mais il faudrait en effet plus de preuves pour que l’article soit crédible. Au moins un lieu, une heure ou les faits se sont déroulés. Un témoignage d’une personne à visage couvert ! Et le must serait une vidéo !
- Oula, bizarre cette histoire. Aucune vidéo / plaintes avec tout les « gens » qu’il y avait ? Genre les flics. « ils tabassent des gens au hasard » on dirait le scenario d’Orange Mécanique.
D’autres semblent ne pas mettre en doute ce témoignage, en particulier un collègue du témoin sur Médiapart :
►https://blogs.mediapart.fr/christian-salmon/blog/230916/chronique-de-la-folie-policiere-ordinaire
Et la nouvelle est reprise sur le site de Libé :
▻http://www.liberation.fr/direct/element/on-va-te-tuer-tu-es-mort-le-recit-dun-homme-violente-par-la-police-pour-a
Guillaume Mazeau, Maître de conférences en Histoire et civilisations à la Sorbonne vient de partager sur son compte FB le témoignage ahurissant d’un enseignant à Paris 1 victime d’une interpellation policière…
c’est parti d’un compte facebook et sans remettre en cause la crédibilité de cette histoire, ce ne serais pas la première fois que libé ou médiapart re-twitte n’importe quoi !
à confirmer ! il y a longtemps que je ne crois plus ce que raconte les journaux.
@sinehebdo
Je suppose, peut etre a tort, que Guillaume Mazeau connait la personne en question, et qu il ne nomme pas...
Dans le même temps :
Béziers : La police des polices saisie après la mort d’un homme (de 43 ans) suite à son interpellation
Nicolas Bonzom, 20 Minutes, le 22 septembre 2016
▻https://seenthis.net/messages/527084
D’après les premiers éléments de l’enquête, la mort serait « d’origine naturelle » !!!
Alors effectivement, si on retrace, Guillaume Mazeau, prof à la Sorbonne, a reçu ce message sur une liste de diffusion de l’Université Paris 1 via un autre collègue (toujours pas celui à qui c’était arrivé), puis il l’a publié sur facebook :
►https://www.facebook.com/guillaume.mazeau.1/posts/1116184055140521
C’est repris ensuite par Libé, Médiapart...
On voit dans les commentaires sur facebook que l’article de Révolution Permanente précède le post facebook. Mais on voit aussi que, suite à des suggestions, et via ce collègue, il finit par « identifier » la personne concernée. Donc c’est anonyme, mais « sourcé », et la personne en question est, dit-il, en train de porter plainte et de faire reconnaître ses blessures.
Donc peut-être qu’il faut arrêter de dire ou de propager les commentaires qui doutent systématiquement de la crédibilité de ce genre de témoignage « #incroyable », #abominable, #ignoble, #horrible, #ahurissant, #hallucinant, #sidérant, #écoeurant, #honteux...
On a l’impression en lisant ce témoignage que les voyous se recyclent dans la police pour donner libre cours à leurs bas instincts
#policiers_voyous
Tous les commentaires ne doutent pas de ce post FB ; Certains.es trouvent cela d’une gravité extrême. Je n’ai pas le courage de relire les commentaires (je me suis limité, hier, à ceux de médiapart et de révolution permanente)
Même si la justice est plus prompte à défendre les forces de l’ordre (#état_d'urgence oblige). Les propos et voies de fait de ces 2 flics méritent une sanction exemplaire et au minimum une allocution de leur ministre de tutelle - l’impassible Cazeneuve.
Conférence de presse en ce moment même. Guillaume V. doctorant à la Sorbonne raconte l’agression dont il a été victime
►https://www.facebook.com/guillaume.mazeau.1/posts/1119112714847655
Autre discussion ici même :
▻https://seenthis.net/messages/527865#message528003
Vous aviez vu la fin de cette histoire ?
Menacé de mort, de viol et tazé par deux policiers : la plainte est classée sans suite
Guillaume Vadot, Révolution Permanente, le 31 mars 2017
►https://seenthis.net/messages/596671
Un demi-siècle d’espérance de vie pour trois pays africains
▻http://visionscarto.net/un-demi-siecle-d-esperance-de-vie
Titre : Un demi-siècle d’espérance de vie pour trois pays africains Mots-clés : #Santé #Démographie #Espérance_de_vie #Mortalité #VIH_Sida #Sida #Afrique_du_sud #Zimbabwe #RD_du_Congo #RDC Auteur : Philippe Rekacewicz Date de création : 2016 Il faut comparer ces données avec les prévisions calculées par les Nations unies à la fin des années 2000 : Évolution de l’espérance de vie à la naissance en Afrique du (...)
Populations affectées par le VIH-Sida en 2009
▻http://visionscarto.net/populations-affectees-vih-sida
Titre : Populations affectées par le VIH-Sida en 2009 Mots-clés : #Santé #Démographie #Espérance_de_vie #Mortalité #VIH_Sida #Sida Auteur : Philippe Rekacewicz Date de création : 2011
The Sex Pistols - God Save The Queen
▻https://www.crashdebug.fr/loisirss/102-musique/12342-the-sex-pistols-god-save-the-queen
il fut un temps ou les gens avait des couilles....
Informations complémentaires :
#Johnny_Rotten, icône de la #contre-culture, est l’instigateur du mouvement #punk-rock. Chanteur des #Sex_Pistols, on lui doit notamment « God save the Queen » et « Anarchy in the UK ». Puis, il se réinvente avec son groupe Public Image Limited et « Rise ». Éternel insoumis, il revient sur son enfance difficile, ses problèmes avec la drogue, la création des Pistols avec l’instable #Sid_Vicious… Des mots puissants comme des balles.