Camel : You Make Me Smile / 1978 / audio
#art #rock #jazz #alternative #smile #humour #seenthis #vangauguin
▻https://www.youtube.com/watch?v=PHP07jCd7R8&ab_channel=Camel-Topic
Camel : You Make Me Smile / 1978 / audio
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« Pourquoi l’#ouverture des #huîtres en période de #fête est devenue de plus en plus dangereuse... »
... Et ne parlons pas de l’ouverture des #moules... :-D :-D :-D
(l’option #smiley sur #seenthis, c’est où ?...)
#France #gastronomie #dégustation #culinaire #marée #grande_marée #coquillages #crustacés #culture #civilisation #mer #bord_de_mer #société #touriste #tourista #seenthis #vangauguin #humour
▻https://www.marianne.net/societe/sante/pourquoi-l-ouverture-des-huitres-en-periode-de-fete-est-devenue-de-plus-en
Le temps des ouvriers. Le temps de l’#usine (1/4)
Du début du XVIIIe siècle à nos jours, Stan Neumann déroule sur plus de trois siècles l’histoire du monde ouvrier européen, rappelant en une synthèse éblouissante ce que nos sociétés doivent aux luttes des « damnés de la terre ».
Dès le début du XVIIIe siècle, en Grande-Bretagne, une nouvelle économie « industrielle et commerciale », portée par le textile, chasse des campagnes les petits paysans et les tisserands indépendants. Pour survivre, ils doivent désormais travailler contre salaire dans des fabriques (factories) qui rassemblent plusieurs milliers d’ouvriers, sur des métiers appartenant à des marchands devenus industriels. C’est la naissance de la classe ouvrière anglaise. Le travail en usine, le Factory System, où seul compte le profit, impose aux déracinés une discipline et une conception du temps radicalement nouvelles. Avec la révolution industrielle de la fin du XVIIIe siècle, ils subissent un dressage plus violent encore, sous la loi de machines qui réduisent l’ouvrier à un simple rouage.
Surexploitée et inorganisée, cette classe ouvrière primitive, qui oppose à la main de fer de l’industrie naissante des révoltes spontanées et sporadiques, va mettre plusieurs générations à inventer ses propres formes de lutte, dans une alliance parfois malaisée avec les républicains anglais, inspirés par la Révolution française de 1789. Ses revendications sont sociales et politiques : réglementation du travail des enfants, salaires, durée du temps de travail, liberté syndicale, droit de grève, suffrage universel... Dans les années 1820, après des décennies de combats perdus, une classe ouvrière anglaise puissante et combative semble en mesure de faire la révolution.
Temps complet
La classe ouvrière a-t-elle disparu, ou simplement changé de forme, de nom, de rêve ? Conciliant l’audace et la rigueur historique, l’humour et l’émotion, le détail signifiant et le souffle épique, Stan Neumann (Austerlitz, Lénine, Gorki – La révolution à contre-temps) livre une éblouissante relecture de trois cents ans d’histoire. Faisant vibrer la mémoire des lieux et la beauté des archives, célébrissimes ou méconnues, il parvient à synthétiser avec fluidité une étonnante quantité d’informations. Les séquences d’animation, ludiques et inventives, et un commentaire dit par la voix à la fois présente et discrète de Bernard Lavilliers permettent de passer sans se perdre d’un temps à l’autre : celui du travail, compté hier comme aujourd’hui minute par minute, celui des grands événements historiques, et celui, enfin, des changements sociaux ou techniques étalés parfois sur plusieurs décennies, comme le processus de légalisation des syndicats ou du travail à la chaîne. En parallèle, le réalisateur donne la parole à des ouvriers et ouvrières d’aujourd’hui et à une douzaine d’historiens et philosophes, hommes et femmes, « personnages » à part entière dont la passion communicative rythme le récit. On peut citer Jacques Rancière, Marion Fontaine, Alessandro Portelli, Arthur McIvor, Stefan Berger, avec Xavier Vigna comme conseiller scientifique de l’ensemble des épisodes. Cette série documentaire virtuose, où l’expérience intime coexiste avec la mémoire collective, au risque parfois de la contredire, révèle ainsi combien nos sociétés contemporaines ont été façonnées par l’histoire des ouvriers.
►https://www.arte.tv/fr/videos/082189-001-A/le-temps-des-ouvriers-1-4
#documentaire #film_documentaire #film
#agriculture #cleasning #nettoyage #industrie #industrie_textile #industrialisation #expulsions_forcées #histoire #Ecosse #UK #exode_rural #déplacés_internes #IDPs #histoire #force_de_travail #classe_ouvrière #Highlands #désindustrialisation #compétition #factory_system #esclavage #Crowley #temps #contrôle_du_temps #salaires #profit #filatures #travail_d'enfants #enfants #femmes #New_Lanark #Robert_Owen #silent_monitor #école #Institut_pour_la_formation_du_caractère #paternalisme #contrôle #tyrannie #liberté_de_commerce #grève #émeute #insécurité_sociale #pauvreté #workhouse #criminalisation_de_la_pauvreté #résistance #Enoch #Great_Enoch #John_Ludd #général_Ludd #luddisme #luttes #insurrection #cadence #progrès_technique #accidents_de_travail #Angleterre #insurrection_luddite #massacre_de_Peterloo #odeur #intercheangeabilité #temps_des_ouvriers
Sur le silent monitor :
This small four-sided wooden block was known as a ’silent monitor’ and was used by Robert Owen as a means of imposing discipline at his #New_Lanark_Mills.
Robert Owen was strongly opposed to the use of corporal punishment, so in order to keep discipline at the New Lanark Mills, he devised his own unique system. The ’silent monitors’ were hung next to each worker in the mills, with each side displaying a different colour. ’Bad’ behaviour was represented by the colour black; ’indifferent’ was represented by blue; ’good’ by yellow; and ’excellent’ by white. The superintendent was responsible for turning the monitors every day, according to how well or badly the worker had behaved. A daily note was then made of the conduct of the workers in the ’books of character’ which were provided for each department in the mills.
New Lanark :
Voir aussi les chansons qui sont chantées dans le documentaire :
#Smile_In_Your_Sleep
►https://seenthis.net/messages/848095
–---
The Cropper Lads
►https://seenthis.net/messages/848102
Le temps des ouvriers (4/4)Le temps de la destruction
Stan Neumann déroule sur plus de trois siècles l’histoire du monde ouvrier européen. Dernier volet : dans les années 1930, la classe ouvrière semble plus puissante que jamais. Le succès, en 1936, du Front populaire en France témoigne de cette force. Pourtant, les ouvriers européens vont de défaite en défaite...
En Espagne, la dictature franquiste, soutenue par Hitler et Mussolini, triomphe en 1939. Puis dans l’Europe asservie, l’Allemagne nazie fait des ouvriers des pays vaincus des « esclaves du XXe siècle » : « travail obligatoire » pour les ouvriers de l’ouest de l’Europe, « extermination par le travail » des juifs, des Tsiganes et des prisonniers de guerre soviétiques.
Après 1945, la guerre froide génère de nouvelles fractures. En Occident, on achète la paix sociale en améliorant les conditions de vie et de travail dans la plus pure tradition fordiste. À l’Est, le pouvoir est confisqué par des partis uniques qui prétendent représenter les ouvriers tout en les privant des libertés syndicales avec le soutien de l’URSS et de ses tanks. L’espoir renaît dans les années 1970, qui voient fleurir les utopies révolutionnaires, des Lip à Solidarnosc. Mais c’est un chant du cygne. Avec son cortège de misère et de chômage, la désindustrialisation a commencé.
Temps complet
La classe ouvrière a-t-elle disparu, ou simplement changé de forme, de nom, de rêve ? Conciliant l’audace et la rigueur historique, l’humour et l’émotion, le détail signifiant et le souffle épique, Stan Neumann ("Austerlitz", « Lénine »", ""Gorki"" – ""La révolution à contre-temps") livre une éblouissante relecture de trois cents ans d’histoire. Faisant vibrer la mémoire des lieux et la beauté des archives, célébrissimes ou méconnues, il parvient à synthétiser avec fluidité une étonnante quantité d’information. Les séquences d’animation, ludiques et inventives, et un commentaire dit par la voix à la fois présente et discrète de Bernard Lavilliers permettent de passer sans se perdre d’un temps à l’autre : celui du travail, compté hier comme aujourd’hui minute par minute, celui des grands événements historiques, et celui, enfin, des changements sociaux ou techniques étalés parfois sur plusieurs décennies, comme le processus de légalisation des syndicats ou du travail à la chaîne. En parallèle, le réalisateur donne la parole à des ouvriers et ouvrières d’aujourd’hui et à une douzaine d’historiens et philosophes, hommes et femmes, « personnages » à part entière dont la passion communicative rythme le récit. On peut citer Jacques Rancière, Marion Fontaine, Alessandro Portelli, Arthur McIvor, Stefan Berger, avec Xavier Vigna comme conseiller scientifique de l’ensemble des épisodes. Cette série documentaire virtuose, où l’expérience intime coexiste avec la mémoire collective, au risque parfois de la contredire, révèle ainsi combien nos sociétés contemporaines ont été façonnées par l’histoire des ouvriers.
▻https://www.arte.tv/fr/videos/082189-004-A/le-temps-des-ouvriers-4-4
#poing_levé #Front_populaire #Espagne #Fígols #mujeres_libres #guerre_d'Espagne #mineurs #alcolisme #violence_domestique #expulsions_collectives #travailleurs_étrangers #Volkswagen #nazisme #extermination_par_le_travail #Berlin #Pologne #Hongrie #superflu #rock_and_roll #mai_68 #Sochaux #Lip #Solidarność #Solidarnosc #Anna_Walentynowicz #printemps_de_Prague #NUM #autonomie_ouvrière #Arthur_McIvor #Margareth_Thatcher #muséification #désindustrialisation #invisibilisation #uberisation
Hush, hush, time tae be sleepin
Hush, hush, dreams come a-creepin
Dreams o peace an o freedom
Sae smile in your sleep, bonnie baby
Once our valleys were ringin
Wi sounds o our children singin
But nou sheep bleat till the evenin
An shielings stand empty an broken
We stood, wi heads bowed in prayer
While factors laid our cottages bare
The flames fired the clear mountain air
An many lay dead in the mornin
Where was our fine Highland mettle,
Our men once sae fearless in battle?
They stand, cowed, huddled like cattle
Soon tae be shipped owre the ocean
No use pleading or praying
All hope gone, no hope of staying
Hush, hush, the anchor’s a-weighing
Don’t cry in your sleep, bonnie baby
–-> song about Scottish #Highland_Clearances :
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Highland_Clearances
#histoire #Ecosse #industrialisation #clearance #nettoyage #violence #terres #arrachement #déracinement #déplacements_forcés #Fuadaich_nan_Gàidheal #évacuations #déportation #décès #morts #histoire #agriculture #moutons #élevage #Highlands #montagne
#musique #chanson #musique_et_politique
ping @sinehebdo @odilon @reka @simplicissimus
–-----
Découverte dans ce documentaire qui passe en ce moment sur Arte :
Le temps des ouvriers
►https://www.arte.tv/fr/videos/082189-001-A/le-temps-des-ouvriers-1-4
►https://seenthis.net/messages/848105
Une pièce de théâtre autour de ces événements :
The Cheviot, the Stag, and the Black Black Oil
The Cheviot, the Stag and the Black, Black Oil is a play written in the 1970s by the popular playwright #John_McGrath. From April 1973, beginning at a venue in Aberdeen (Aberdeen Arts Centre), it was performed in a touring production in community centres on Scotland by 7:84 and other community theatre groups. A television version directed by John Mackenzie was broadcast on 6 June 1974 by the BBC as part of the Play for Today series.
▻https://en.wikipedia.org/wiki/The_Cheviot,_the_Stag,_and_the_Black_Black_Oil
Du coup, je découvre aussi ce site web d’un groupe où j’ai trouvé la chanson et qui va beaucoup plaire à @sinehebdo (mais pas que...)
Three Acres And A Cow. A history of land rights and protest in folk song and story
Telling the history of land, housing and food in Britain is always a multi-stranded narrative. On one side we have the history of enclosure, privatisation and the dispossession of land based communities; on the other we have the vibrant histories of struggle and resistance that emerged when people rose up and confronted the loss of their lands, cultures and ways of life.
These multiple histories go largely undocumented in the literature of the times, often expressed simply as a hanging here and an uprising there, yet in the music and stories of the people they take on a different life.
‘Three Acres And A Cow’ connects the Norman Conquest and Peasants’ Revolt with Brexit, fracking and our housing crisis via the Enclosures, English Civil War, Irish Land League and Industrial Revolution, drawing a compelling narrative through the radical people’s history of England in folk song, story and poem.
Part TED talk, part history lecture, part folk club sing-a-long, part poetry slam, part storytelling session… Come and share in these tales as they have been shared for generations.
Le blog :
▻https://threeacresandacow.co.uk/blog
#résistance
Song On The Times
You working men of England one moment now attend
While I unfold the treatment of the poor upon this land
For nowadays the factory lords have brought the labour low
And daily are contriving plans to prove our overthrow
So arouse! You sons of freedom! The world seems upside down
They scorn the poor man as a thief in country and in town
There’s different parts in Ireland, it’s true what I do state
There’s hundreds that are starving for they can’t get food to eat
And if they go unto the rich to ask them for relief
They bang their door all in their face as if they were a thief
So arouse! You sons of freedom! The world seems upside down
They scorn the poor man as a thief in country and in town
Alas how altered are the times, rich men despise the poor
And pay them off without remorse, quite scornful at their door
And if a man is out of work his Parish pay is small
Enough to starve himself and wife, his children and all
So arouse! You sons of freedom! The world seems upside down
They scorn the poor man as a thief in country and in town
▻https://www.youtube.com/watch?v=caWkGxu3Mgw
Version #Chumbawamba :
#Dùthaich_Mhic_Aoidh – song about the Highland clearances in Sutherland, Scotland for sheep
Mo mhallachd aig na caoraich mhòr
My curse upon the great sheep
Càit a bheil clann nan daoine còir
Where now are the children of the kindly folk
Dhealaich rium nuair bha mi òg
Who parted from me when I was young
Mus robh Dùthaich ‘IcAoidh na fàsach?
Before Sutherland became a desert?
Tha trì fichead bliadhna ‘s a trì
It has been sixty-three years
On dh’fhàg mi Dùthaich ‘IcAoidh
Since I left Sutherland
Cait bheil gillean òg mo chrìdh’
Where are all my beloved young men
‘S na nìonagan cho bòidheach?
And all the girls that were so pretty?
Shellar, tha thu nist nad uaigh
Sellar, you are in your grave
Gaoir nam bantrach na do chluais
The wailing of your widows in your ears
Am milleadh rinn thu air an t-sluagh
The destruction you wrought upon the people
Ron uiridh ‘n d’ fhuair thu d’ leòr dheth?
Up until last year, have you had your fill of it?
Chiad Dhiùc Chataibh, led chuid foill
First Duke of Sutherland, with your deceit
‘S led chuid càirdeis do na Goill
And your consorting with the Lowlanders
Gum b’ ann an Iutharn’ bha do thoill
You deserve to be in Hell
Gum b’ fheàrr Iùdas làmh rium
I’d rather consort with Judas
Bhan-Diùc Chataibh, bheil thu ad dhìth
Duchess of Sutherland, where are you now?
Càit a bheil do ghùnan sìod?
Where are your silk gowns?
An do chùm iad thu bhon oillt ‘s bhon strì
Did they save you from the hatred and fury
Tha an diugh am measg nan clàraibh?
Which today permeates the press?
Mo mhallachd aig na caoraich mhòr
My curse upon the great sheep
Càit a bheil clann nan daoine còir
Where now are the children of the kindly folk
Dhealaich rium nuair bha mi òg
Who parted from me when I was young
Mus robh Dùthaich ‘IcAoidh na fàsach?
Blog super intéressant, merci, mais musique pas très rock’n’roll...
The enduring culture and limits of political song
Simon Cross, Cogent Arts & Humanities 4:1 (2017)
▻https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/23311983.2017.1371102
Citoyens et consommateurs dévisagés pour garantir leur « bien-être »
▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/19/citoyens-et-consommateurs-devisages-pour-garantir-leur-bien-etre_5399814_323
#pub #smile_you_re_being_analyzed
#video_surveillance
Une start-up de Metz, Two-I, rencontre un succès rapide en développant des solutions d’analyse des images de #caméras de surveillance, qui permettent non seulement de compter les passants, mais de décrypter en temps réel leur sexe, leur âge et les émotions exprimées par leur visage. Son credo : s’imposer comme un « outil de la #smart_city » en fournissant une mesure objective du « bien-être » pour guider la gestion de la ville.
Les métropoles de #Metz, de #Nancy, de Nice et quelques autres se sont déjà laissé convaincre, comme plusieurs gestionnaires de stades. Depuis cet automne, la société signe également des contrats à Dubaï, où ses technologies pourraient être mises à profit par le « ministère du bonheur » créé par les Emirats arabes unis pour garantir le « bien-être social » et la « positivité ».
L’analyse des émotions permet aussi d’évaluer « l’expérience client » dans un centre commercial, ou le ressenti face à une #publicité. « Nous avons de grosses commandes à #Dubaï liées à l’affichage publicitaire », indique M. Trombini. Grâce aux caméras intégrées aux écrans, les annonceurs savent si leur message est bien vu par le public voulu ou s’il rate sa cible, et comment il est perçu.
Après une première levée de fonds de 250 000 euros lors de la création de la #start_up, en juillet 2017, la société, qui compte désormais quatorze collaborateurs, a réuni un million d’euros supplémentaires en mai. « On fera peut-être encore un tour de table, mais notre objectif est d’atteindre la rentabilité en 2019. On entre en phase d’industrialisation », indique Julien Trombini.
Comment des villes « hyper connectées » contrôlent l’espace public
►https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/19/au-nom-de-la-smart-city-des-villes-sous-surveillance_5399527_3234.html
De Nice à Valenciennes (Nord), de Marseille à la Défense ou à Nîmes, de plus en plus de collectivités se laissent tenter par des plates-formes numériques organisées autour des outils de surveillance et de contrôle de l’espace public.
Un mouvement de fond, en phase avec de puissants intérêts industriels et porté par des subventions publiques, qui prospère dans un certain flou juridique et inquiète les associations de défense des libertés publiques. Construits autour d’une vidéoprotection dernier cri, dopée à l’intelligence artificielle, aux algorithmes et au « big data », ces dispositifs ont l’avantage de rendre bien concret l’un des rêves fondateurs de la smart city : la gestion centralisée de la ville depuis un poste unique de commandement.
C’est le début d’une révolution : la fibre optique et les technologies numériques permettent l’interopérabilité de tous les systèmes, une interconnexion des différents métiers de la ville, qui fonctionnaient jusque-là en silos : l’éclairage public, la mobilité et le stationnement, la sécurité, les parcs et jardins, les réseaux d’eau ou d’énergie… « Le même matériel permet d’imbriquer la sécurité avec d’autres enjeux et d’autres fonctions. En mutualisant les équipements, nous multiplions les services, que ce soit dans la gestion quotidienne, pour les grands événements ou en cas de crise », explique Nathalie Allegret, directrice du marché Villes et territoires connectés chez Engie Ineo, l’un des poids lourds du secteur.
►https://www.laquadrature.net/2018/12/19/reconnaissance-faciale-au-lycee-lexperimentation-avant-la-generalisati
Le 14 décembre dernier, le Conseil Régional de #PACA a voté une mesure visant à faire installer, à partir de 2019, des dispositifs de #reconnaissance_faciale à l’entrée de deux #lycées de Nice et de Marseille. Dès le mois d’octobre, La #Quadrature_du_Net avait demandé à la CNIL la communication des documents en sa possession sur ce dossier, cette dernière ayant été consultée par la région pour la mise en place de ces dispositifs. L’analyse de ces documents, ainsi que les précisions apportées par Christian Estrosi, confirment l’impuissance de la CNIL à enrayer la banalisation d’une technologie particulièrement liberticide et qui vise ici à s’étendre à l’ensemble des établissements scolaires de la région.
De quoi s’agit-il ? En octobre 2017, Renaud Muselier, président de la région PACA, demande les conseils de la CNIL pour la mise en place dans deux lycées de Nice et de Marseille de dispositifs de « portiques virtuels » associant « des moyens classiques d’identification (…) à un dispositif biométrique utilisant des technologies de comparaison faciale, seuls à même d’après nos premières investigations, d’apporter une solution fiable et rapide dans un contexte de contrôle d’accès portant sur un nombre potentiellement élevé de personnes ». Cette nouvelle étape est la suite logique de sa politique sécuritaire ayant conduit, entre 2016 et 2017, à ce que plus de 1 300 caméras de vidéosurveillance soient installées dans l’ensemble des lycées de la région. La technologisation à outrance est également présentée par la région comme une réponse au contexte d’austérité budgétaire :
Data Mining Reveals How Smiling Evolved During a Century of Yearbook Photos | MIT Technology Review
▻http://www.technologyreview.com/view/543871/data-mining-reveals-how-smiling-evolved-during-a-century-of-yearbo
By mining a vast database of high-school yearbook photos, a machine-vision algorithm reveals the change in hairstyles, clothing, and even smiles over the last century.
Sauf que depuis quelques années, on doit faire la gueule sur les photos officielles…
@monolecte, finalement on en revient à l’attitude qui prévalait au début de la photographie : une expression neutre voire sérieuse , le sujet de 1910 se calquant sur la référence que constituait encore la peinture à l’époque : la production d’un visuel attestant de la position sociale.
Ce n’est que progressivement avec la diffusion généralisée de la photographie que le sujet prend une attitude spécifique (à rapprocher du « cheese » popularisé par les stars qui ont été les premières sensibilisées au « résultat de l’instantané », si j’ose dire) exprimant cette « injonction au bonheur » (@aude_v).
Quant au genre, effectivement l’apparition du sourire est plus tardive et moins marquée chez les hommes (30 à 40 ans de décalage postural).
Pour ma part tant que les dents sont rapprochées je ne considère pas que la bouche soit ouverte (la bouche ouverte c’est le rire).
Ceci dit ce glissement expressif n’est pas le premier, puisque ce comportement inné est passé de la crainte (sourire d’apaisement face au dominant chez les primates) à la sympathie ,puis à cette expression d’épanouissement social censée être attractive.
Et l’article complet est là ▻http://arxiv.org/pdf/1511.02575v1.pdf
Bien entendu, je suis d’accord sur cet aspect suggestif de la mimique labiale, indéniable.Egalement sur le constat de l’injonction faite aux femmes d’être désirables.
Et cela commence dès la petite enfance par des stimuli différenciés pour les filles et les garçons (B. Cyrulnik).
Pour l’anecdote : quand mes voisins voyant ma fille de 10 mois leur adresser cet ingénu sourire de bébé sans dent, caractéristique de cet age, se penchaient vers elle très affectueusement en disant : « elle est coquine » (a-t-on jamais dit à un bébé garçon souriant qu’il est coquin ? Non il est juste mignon.) J’ai mis un moment à comprendre pourquoi cette attitude pourtant bienveillante me mettait mal à l’aise, jusqu’à ce que je réalise que derrière le « coquine » j’entendais déjà le « salope » qui viendrait plus tard... tout naturellement.
Bref, y’a du boulot.
Un ami revenant de NY en 1989 excédé des sourires niais, me disait que la prochaine personne qui souriait il lui mettait une tarte. oups
#bonheur_marchand
\(^▽^@)ノ
Du coup, j’en ai mis dans tout mes mails aujourd’hui.
@0gust1 je me suis retenu de faire des tweets juste pour en utiliser… ;-)
Les droits humains du smiley | Calimaq
►http://owni.fr/2011/09/23/les-droits-humains-du-smiley
Utilisé par des millions d’utilisateurs, le petit smiley est l’objet de batailles juridiques dans de nombreux pays, menées par des entreprises qui en revendiquent des droits d’auteurs. Compte rendu de ces bagarres, pour quelques sourires jamais gratuits :-(
#Economie #domaine_public #emoticons #franklin_loufrani #Inpi #propriété_intellectuelle #smileys
►http://www.wheelsforkids.org/images/CuckooSmileyFace.gif
faut que ça finisse bien par la suffixe (ici, .gif)
Unicons - Readme
►http://bradchoate.github.com/unicons
“For times when you can’t insert images into your posts, you can insert Unicons!”
Unicons - Readme
►http://bradchoate.github.com/unicons
“For times when you can’t insert images into your posts, you can insert Unicons!”
Activer les smileys sur iPhone sans jailbreak | Blog Iphone-Apple.fr
►http://iphone-apple.fr/2009/07/23/activer-les-smileys-sur-iphone-sans-jailbreak