• #Zohran_Mamdani : un radical à la mairie de #New_York ?
    https://lvsl.fr/zohran-mamdani-un-radical-a-la-mairie-de-new-york

    Avec son programme de gratuité des bus et des crèches, de contrôle des loyers et d’épiceries municipales, le candidat de #gauche Zohran Mamdani pourrait renverser le baron démocrate corrumpu #Andrew_Cuomo. Une victoire de la mairie de New York qui enverrait un signal fort d’opposition face à #Trump.

    #Politique #alexandria_ocasio_cortez #Bernie_Sanders #démocrates #DSA #Eric_Adams #Etats-Unis #socialiste

  • Coûteuse retraite à la CAF
    https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-9222154-aah-interrompu-cause-retraite-plus-de

    Bonjour, bénéficiaire de l’AAH au taux entre 50 et 80 %, j’ai eu 62 ans récemment et ma #retraite n’a pas encore ete validé, seule la retraite de base a été calculée et le montant de 61 euro à été transmis par la CARSAT à la #CAF, avec ce document la CAF ne me verse plus l’#AAH, en attendant l’étude de ma complementaire et de l’#ASPA je dois vivre avec 61 euros par mois pendant environ 3 ou 4 mois, sachant que j’ai bien déposé mon dossier de retraite plusieurs mois avant ma date anniversaire.
    par ailleurs la CAF me propose de déposer un dossier RSA que je n’aurais aucun versement avant 3 mois car je beneficiais de l’AAH

    #précaires #société_punitive

    • Maxime Sbaihi est économiste. Nous le recevons à l’occasion de la parution de son deuxième essai “Les balançoires vides, le piège de la dénatalité”

      Il y présente la #dénatalité en long en large et en travers. Pourquoi a t-elle lieu partout sur la planète, quelles sont ses causes potentielles et ses conséquences prévisibles, comment inverser la tendance ?

      Selon lui, il est strictement inconcevable d’envisager des politiques natalistes qui ne respectent pas la liberté de chacun de ne pas faire d’enfants.

      En revanche, il constate que les gens déclarent vouloir faire plus d’ #enfants qu’ils n’en ont et qu’ils s’en sentent empêchés par la #précarité de leurs conditions de vie matérielle.

      Maxime Sbaihi plaide donc pour la mise en place de politiques natalistes qui visent à permettre à ceux qui le souhaitent de faire plus d’enfants

      Nous avons tenté de brosser un panorama complet de son approche sur le sujet.

      00:00 intro
      00:47 La dénatalité est-elle un problème ? Et si oui, qu’est-ce qu’on peut faire pour y remédier ?
      01:54 Tableau global du problème parce qu’il est mondial
      05:12 La dénatalité est sous estimée
      07:10 Qu’est ce qu’un changement de natalité implique sur l’évolution de la population
      12:43 Pourquoi est-ce un problème, concrètement ?
      16:15 Le vieillissement nuit à la prospérité
      20:10 Si on ne prend pas au sérieux le déséquilibre démographique, nos système sociaux n’ont pas d’avenir.
      22:30 Les jeunes s’appauvrissent et les politiques s’en moquent car ils sont trop peu nombreux pour peser démocratiquement
      35:10 la dénatalité, une bonne nouvelle pour la planète ?
      47:00 Le scénario d’une natalité qui baisse jusqu’à 0
      47:54 À quoi ressemblera la démographie mondiale en 2050 si on ne change rien ?
      51:40 Le piège de la basse fécondité : Est-ce qu’on a déjà atteint un point de bascule historique dans le nombre de naissances ?
      55:22 Pourquoi les gens font moins d’enfants ?
      01:19:36 Comment aider les gens qui le souhaitent à avoir des enfants, le natalisme libéral ?
      01:36:00 Et si le natalisme libéral marche pas, on fait quoi ?
      01:43:50 Conclusion

  • Hellfest 2025 : bienvenue à ceux qui aiment buter du PD
    https://unidivers.fr/hellfest-crime-homosexuel

    Il y a des enfers qu’on choisit. Et d’autres qu’on impose. Quand le #Hellfest 2025 programme Bård « Faust » Eithun, batteur du groupe Emperor, le festival ne rend pas hommage à l’esprit de révolte, ni à la liberté d’expression. Il banalise un #meurtre_homophobe. Il valide l’effacement d’une victime. Il transforme une scène en tribune, une batterie en pierre tombale.

    Un meurtre, 37 coups de couteau, et pas une once de remords

    Petit rappel des faits. En 1992, à Lillehammer, en Norvège, Bård « Faust » Eithun poignarde à mort un homme, Magne Andreassen, dont la singularité était de préférer partager ses sentiments et ses nuits avec une personne du même sexe. Trente-sept coups de couteau. À l’époque, le jeune homme de 18 ans est déjà une figure de la scène #black_metal naissante. Celui qui aurait pu aussi bien se surnommer Voldemort était proche du groupe Emperor, dont l’un des musiciens a été condamné à de l’emprisonnement pour incendie d’églises tandis que le chanteur du groupe en a toujours fait l’apologie.

    Bård G. Eithun dit Faust purge neuf ans et demi de prison sur les quatorze prononcés. Depuis sa libération, il remonte régulièrement sur scène avec le groupe Emperor, sans jamais avoir exprimé publiquement de remord ni participé à un quelconque travail de mémoire ou de réparation. Et pourtant, après un première programmation en 2014, il est de nouveau programmé au Hellfest cette année. Comme la fois précédente. Tranquillement. Comme si de rien n’était. Comme si son histoire n’était qu’une parenthèse marginale, un folklore noir au service du storytelling extrême.

    La transgression à géométrie variable

    Dans un monde où la moindre maladresse s’échange contre des torrents de dénonciation, comment expliquer ce silence autour d’un acte aussi radicalement violent  ? Faudrait-il rappeler que si Bård « Faust » Eithun avait tué un policier ou une célébrité, son retour sur scène aurait été impossible  ? Mais tuer un homosexuel dans un parc la nuit… est-ce encore considéré comme un fait suffisamment grave pour empêcher de taper sur des fûts, dix puis vingt ans plus tard, dans un champ de Loire-Atlantique  ?

    la suite... par Nicolas Roberti sur Unidivers.fr

  • #Pastoralism is facing existential threat in #West_Africa - ScienceDirect
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0962629825000952

    #Political_Geography
    Volume 121, August 2025, 103363
    Political Geography
    Guest editorial
    Pastoralism is facing existential threat in West Africa
    Olivier J. Walther, Lacey Harris-Coble, Leif Brottem, Mirjam de Bruijn, Han van Dijk, Cletus F. Nwankwo, Adegbola T. Adesogan

    https://doi.org/10.1016/j.polgeo.2025.103363

    In March 2025, pro-government militias killed more than 130 Fulani pastoralists in the western Boucle du Mouhoun region of Burkina Faso, according to Human Rights Watch (HRW, 2025). This attack against unarmed civilians is far from an isolated incident in West Africa. It reflects a larger and disturbing trend in the region, where pastoralists are routinely accused of siding with violent extremist organizations affiliated with Al Qaeda and the Islamic State, and targeted by government forces and their allied militias.
    The increased frequency of such massacres is but one of the many threats facing pastoralism, a vital sector of the West African economy that contributes to the livelihoods of an estimated 25 million people in the Sahel and outskirts of the Sahara. From Senegal to Chad, pastoralists supply meat and dairy products to a rapidly growing population. Beyond the economic sphere, pastoralism is a cultural system in which animals are regarded as a source of social standing. Fulani, Tuareg, Moore and Tubu pastoralists are the carriers of unique conflict resolution mechanisms, knowledge of production systems, religious networks, political organizations, and gender roles.
    While they remain crucially important to West African #societies, these #pastoral_systems have experienced major crises since the second half of the 20th century. In the 1970s and 1980s, the great #Sahelian #droughts decimated livestock and led pastoral populations to adopt other modes of subsistence based on mobility, such as trade, tourism, and war. A new form of pastoralism emerged, managed by absentee owners, #neo-pastoralists, politicians, and businessmen, who abandoned the traditional equilibrium based on ecological complementarities. More than a result of climatic conditions, these changes were encouraged by state policies implemented to control the movements of populations deemed too politically independent (Walther & Retaillé, 2021). #Sedentarization, intensification, and privatization policies were also widely supported by international donors, despite a history of failure in the region and the reluctance of the pastoralists themselves to change their way of life.

    Je peux fournir le PDF si besoin !

    • Au #Tchad, la justice menace de poursuites les journalistes enquêtant sur un massacre d’#éleveurs
      https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/06/16/au-tchad-la-justice-menace-de-poursuites-les-journalistes-enquetant-sur-un-m

      Le procureur de la République de N’Djamena a menacé de poursuites judiciaires, samedi 14 juin, les journalistes ou acteurs de la société civile qui se rendent à Mandakao (sud-ouest du Tchad), sur les lieux d’un massacre commis en mai et visant des éleveurs locaux.

      Selon les autorités, 42 personnes ont péri dans cette tuerie. Les victimes sont des éleveurs peuls dont majoritairement des femmes et des enfants, selon des sources locales. « Certains journalistes et membres des sociétés civiles se permettent de se rendre, de leur propre initiative, à Mandakao (…) pour interroger certains habitants de ce village », a écrit le procureur Oumar Mahamat Kedelaye dans un communiqué parvenu à l’Agence France-Presse (AFP) dans la nuit de samedi à dimanche.

      Le 21 mai, l’opposant tchadien et ancien premier ministre, Succès Masra, avait été placé en détention provisoire sur des accusations « d’incitation à la haine » à la suite du massacre de Mandakao. Le chef du parti Les Transformateurs, candidat malheureux à la présidentielle de 2024, avait été arrêté cinq jours plus tôt à N’Djamena.

      « Compte tenu de la sensibilité de l’affaire, toute autre démarche parallèle [à la justice] est susceptible de constituer un empiétement sur les fonctions judiciaires », écrit le procureur dans son communiqué, ce qui selon lui pourrait entraîner des « poursuites judiciaires ».

  • Chinas Kapital
    https://www.manova.news/artikel/chinas-kapital


    Suivant Rüdiger Rauls en Chine se dessine une nouvelle forme de socialisme. Il avance des arguments intéressants incompatibles avec les idées reçues « maxistes ». Il ne répond pas à la question si le parti communiste chinois et ses dirigeants constituent une organisation socialiste fiable. Qu’en disent les néo-maoïstes ? Une chose est certaine. On ne trouvera pas de réponse valable parmi les publications de propagande occidentale.

    13.6.2025 von Rüdiger Rauls - Das große ostasiatische Land hat erstmals eine Form des Sozialismus kreiert, der vom Westen nicht ohne Weiteres besiegt werden kann.

    Mit dem Gesetz zur Förderung der Privatwirtschaft hat China das Privateigentum an Produktionsmitteln rechtlich abgesichert. Ist das nun der endgültige Beweis dafür, dass die Volksrepublik nicht sozialistisch ist? Hat die Kommunistische Partei Chinas den Sozialismus verraten? Der Autor ist eher der Auffassung, dass er unter Xi Jinping und seinen Vorläufern in eine neue Phase seiner Geschichte geführt worden ist.

    Neues vom Sozialismus

    Für Kapitalismuskritiker ist Kapital dasselbe wie Weihwasser für den Teufel. Dabei unterliegen sie einer Verwechselung. Kapital ist nicht gleich Kapitalismus. Zwar ist es das wesentliche und offensichtliche Wirtschaftsmerkmal, das der bürgerlichen Gesellschaft ihren Namen gab. Aber auch in der Feudalgesellschaft hatte es in den Städten bereits kapitalistische Produktionsweise und Kapital gegeben. Nach seinem Sieg über den Adel wurde die neue Gesellschaft des Bürgertums mit seiner Produktionsweise als Kapitalismus bezeichnet. Daraus entstand die Verwirrung um den Begriff Kapitalismus, der einmal für das Wirtschaftssystem steht, aber auch oft für das Gesellschaftssystem verwendet wird, das auf dieser Produktionsweise beruht.

    Nun ist in China eine ähnliche Entwicklung eingetreten wie beim Übergang vom Feudalismus zum Kapitalismus, eigentlich seine historische Fortsetzung. Erstmals ist das Kapital als herrschende Klasse der bürgerlichen Gesellschaft durch den Sieg des Sozialismus nachhaltig überwunden worden. Nachhaltig ist sie nicht nur deshalb, weil dem Bürgertum die politische Macht entrissen wurde. Das hatte es schon in der Sowjetunion und anderen sozialistischen Staaten gegeben.

    Die Nachhaltigkeit besteht vielmehr in der Wirtschaftskraft, die in ihrer Produktivität die des Westens überwunden hat. Diese sorgt für die Festigkeit der sozialistischen Gesellschaft in China. Die Volksrepublik ist der größte Warenproduzent der Welt, insofern ist sie schwer zu erschüttern, vielleicht sogar unbesiegbar.

    Darin besteht der entscheidende Unterschied zu anderen sozialistischen Staaten wie der Sowjetunion und des einstigen sozialistischen Lagers. Auch hier waren die alten politischen Machtverhältnisse umgestoßen worden zugunsten von Regierungen unter der Führung kommunistischer Parteien. Wie aber die Geschichte gezeigt hat, waren diese Entwicklungen nicht unumkehrbar gewesen. Es war nicht gelungen, eine leistungsfähigere Wirtschaft aufzubauen und sich damit dem Würgegriff des Westens und seines Kapitalismus zu entziehen. Die Sowjetunion zerbrach. Die kommunistischen Parteien verloren ihren bestimmenden Einfluss auf die Entwicklung ihrer Gesellschaften.
    Alte Lehren

    Die Menschen leben nicht von Luft und Liebe, ebenso wenig macht Idealismus sie auf Dauer satt. Begeisterung und Opferbereitschaft müssen irgendwann in ein Leben münden, das die Opfer gelohnt hat, sonst lässt der Einsatz selbst für das gerechteste Gesellschaftssystem nach. Irgendwann muss sich dessen Überlegenheit durch ein besseres Leben unter Beweis stellen. Menschen wollen ein menschenwürdiges Leben führen. Dazu gehört auch Wohlstand. Das ist das eigentliche Ziel des Sozialismus, nicht ein Leben unter der Fuchtel der reinen Lehre. Theorie ist kein Selbstzweck, sie ist Mittel, den richtigen Weg zu finden und einzuhalten. Aber sie muss sich zudem in der Wirklichkeit als richtig herausstellen.

    Die Klassiker des Marxismus hatten die Bedeutung des Kapitals für die gesellschaftliche Entwicklung hervorgehoben. Deshalb betonten sie die Notwendigkeit, dass das Proletariat als Träger einer neuen Gesellschaft die Verfügungsgewalt über die Produktionsmittel erringen muss. Darin sahen sie Grundlage und wesentliches Merkmal des Sozialismus. Denn nur diese Verfügungsgewalt konnte die Lebensgrundlagen der Gesellschaft sicherstellen, deren große Mehrheit die Klasse des Proletariats bildet.

    Nur Wirtschaft schafft all das, was Mensch und Gesellschaft zum Leben brauchen.

    Nach diesen Grundsätzen und Lehren des Marxismus hatte auch China bis weit in die 1970er Jahre gehandelt. Da die internationalen Finanzmärkte den sozialistischen Staaten weitgehend verschlossen waren, blieben ihnen kaum andere Möglichkeiten, als die wirtschaftliche Entwicklung aus den eigenen Quellen voranzubringen. Das änderte sich mit der Annäherung zwischen den USA und China. Die Entspannung zwischen beiden führte zu einer wirtschaftlichen Öffnung, die internationales Kapital in die Volksrepublik brachte.

    Doch der Zustrom an Kapital setzte einen anderen Umgang mit den Produktionsmitteln voraus, sonst hätte kein westliches Unternehmen in China investiert. Es wurden Lockerungen geschaffen, die die Investitionen der Geldgeber schützten und zudem die Rückführung ihrer in China erwirtschafteten Gewinne zuließen. Denn den kapitalistischen Unternehmen ging es um die Erwirtschaftung von Gewinnen, nicht um Beihilfe zur Entwicklung Chinas oder gar das politische Ziel der Vernichtung des Sozialismus.

    Ausländische Direktinvestitionen wurden im Rahmen von Unternehmen mit chinesischer Mehrheitsbeteiligung, sogenannten Joint Ventures, zugelassen. Der Umgang mit dem Privatbesitz an Produktionsmitteln, wie er in der marxistischen Literatur als notwendig erachtet worden war, war erstmals in größeren Umfang den Notwendigkeiten der Entwicklung des Landes und seiner Gesellschaft angepasst worden. Für diesen Wandel prägte der damalige Führer Chinas, Deng Xiaoping, den Satz, ihm sei es egal, ob die Katze schwarz oder weiß ist, wenn sie nur Mäuse fängt.
    Neue Politik

    Die Erkenntnis hatte sich durchgesetzt, dass eine gesellschaftlichen Ordnung Berechtigung und Unterstützung nur daraus erfährt, in wie weit sie den Menschen ein menschenwürdiges Leben ermöglichen kann, egal ob Sozialismus oder bürgerlicher Kapitalismus. In der Folgezeit wurden die Bedingungen für Investitionen in der Volksrepublik immer weiter gelockert, wobei aber stets die Vorteile für die chinesische Gesellschaft im Vordergrund standen. So kam die Entwicklung des Landes mit Riesenschritten voran. Heute ist China die zweitgrößte Volkswirtschaft und der größte Warenproduzent der Welt.

    2018 war in Shanghai mit Elon Musks Tesla-Gigafactory erstmals auch ein Unternehmen ohne chinesische Mehrheitsbeteiligung zugelassen worden. Es befand sich von seinem Start an als Aktiengesellschaft zu 100 Prozent in privaten Händen. Damit erlebt der Privatbesitz an Produktionsmitteln, der von der marxistischen Literatur als die Grundlage des kapitalistischen Wirtschaftssystems herausgearbeitet worden war, seine Wiedergeburt in einem Land, das sich als sozialistisch bezeichnet.

    Im Mai dieses Jahres wurde das Gesetz zur Förderung der Privatwirtschaft verabschiedet, das ausdrücklich das Privateigentum an Produktionsmitteln garantiert. Dieses war zwar bisher stillschweigend geduldet worden, nun wurde es gesetzlich geregelt und festgeschrieben. Dazu gehört auch, dass private Unternehmen gegenüber staatlichen gleichgestellt und „Maßnahmen zum Abbau von Marktzugangsbarrieren“ (1) ergriffen werden. Die chinesische Führung spricht dem privaten Sektor darüber hinaus ausdrücklich eine große Bedeutung für die Entwicklung des Landes zu.

    Immerhin umfasst dieser Teil der Wirtschaft mittlerweile „mehr als 57 Millionen Privatunternehmen und über 100 Millionen Selbstständige“ (2). Sie stellen „laut offiziellen Statistiken über 50 Prozent der Steuereinnahmen, mehr als 60 Prozent des BIP, rund 70 Prozent der inländischen Innovationsleistungen, 80 Prozent der städtischen Arbeitsplätze und über 90 Prozent aller Unternehmen im ganzen Land“. (3)

    Die Volksrepublik betrachtet diese Entscheidung als eine Modernisierung, „eine neue Etappe in Chinas Wirtschaftspolitik“ (4) und sieht sich im Übergang zu einer neuen Phase wirtschaftlicher Entwicklung. Man fühlt sich nun im Stande, selbst „Durchbrüche in Kerntechnologien voranzutreiben und neue Branchen anzuführen“ (5). China versteht sich nicht länger als Werkbank für billige Massenprodukte, sondern arbeitet unter der Losung „qualitativ hochwertige Entwicklung“ an seinem technologischen Führungsanspruch.
    Neue Verhältnisse

    Haben die Kritiker Chinas nun doch Recht gehabt, dass es sich bei seinem Sozialismus nur um verschleierten Kapitalismus handelt, in dem die Eliten der Partei den Menschen ein X für ein U vormachen? Auf den ersten Blick sieht es so aus.

    Denn die chinesischen Kommunisten haben einen der wichtigsten Grund- und Lehrsätze der marxistischen Klassiker über Bord geworfen: Die Vergesellschaftung der Produktionsmittel. Aber waren diese Theorien gedacht für die Ewigkeit oder für den Zeitraum, der damals überschaubar war, gegründet auf damaligem Wissen?

    Es waren die Erkenntnisse über das Wesen des Kapitalismus, über seine Überwindung und die ersten notwendigen Maßnahmen zur Erreichung dieses Ziels, aber alles aus dem Kapitalismus heraus, auf der Basis des damaligen Wissens. Über den Sozialismus selbst lagen noch gar keine Erkenntnisse vor, geschweige denn praktische Erfahrungen. Insofern betreten die Chinesen heute Neuland. Sie schaffen eine sozialistische Gesellschaft und müssen sich den Problemen des Alltags und der Bewältigung von Regierungsaufgaben stellen, vor denen die Klassiker des Marxismus nie gestanden hatten.

    Anders als diese es voraussehen und darstellen konnten, hat sich China an die Weltspitze der Produktion und vor allem der Produktivität gearbeitet. Das Land ist als größter Warenproduzent selbst für die kapitalistischen Staaten unverzichtbar und aufgrund seiner Produktivität der westlichen Wirtschaft überlegen. Nicht Sanktionen, auch nicht Donald Trumps neuerliche Zölle oder sonstige Behinderungen können den Aufstieg der Volksrepublik aufhalten.

    Der Sozialismus der Sowjetunion konnte noch wirtschaftlich niedergerungen werden, der chinesische nicht mehr.

    Die Legitimierung des Privatbesitzes an Produktionsmitteln ist nicht Ausdruck von Schwäche, keine Unterwerfung unter das Kapital, sondern Ausdruck von Stärke. Die Volksrepublik kann das private Kapital wieder zulassen, denn es ist keine Klasse mehr, die sich politisch organisieren kann. Sie hat keine politische Macht mehr, ist nur noch Geldgeber, wie sie auch während des Feudalismus Geldgeber des Adels war – ohne Macht. In China bestimmen die kommunistische Partei und die Organe der sozialistischen Gesellschaft darüber, unter welchen Bedingungen privates Kapital sich im Land betätigen und wie es verwendet werden darf. Der chinesische Sozialismus kann das Privateigentum wieder zulassen, denn entscheidend ist, wer darüber bestimmt, nicht wer es besitzt.

    Als der Adel seine politische Macht verloren hatte, durfte er trotzdem große Teile seines Grundbesitzes behalten, der eigentlich die wirtschaftliche Grundlage seiner Macht gewesen war. Aber als Klasse hatte er seine Macht verloren. Das siegreiche Bürgertum wachte fortan darüber, dass der Adel seinen Grundbesitz nicht benutzen konnte, um wieder politische Macht zu erringen. In China wachen die Kommunistische Partei und die Organe der sozialistischen Gesellschaft darüber, dass die Kapitalbesitzer sich nicht wieder zur herrschenden Klasse aufschwingen können.

    China ist in seiner Praxis über den Erkenntnisstand der marxistischen Theorie hinaus. Deren Väter widmeten sich in erster Linie zwei Aufgaben, die für die damalige Zeit bedeutend waren. Sie untersuchten die Funktionsweise des Kapitalismus und stellten die Welt vom Kopf auf die Füße. Sie deuteten die Vorgänge in der Welt aus der Sicht des materialistischen Weltbildes neu und die bisherige Geschichte als eine Geschichte von Klassenkämpfen, nicht mehr der Heldensagen. Die Geschichte des Sozialismus hatten sie damals noch nicht schreiben können. Diese schreibt heute China.

    Quellen und Anmerkungen:

    (1) Global Times vom 20. Mai 2025, Chinas Gesetz zur Förderung des Privatsektors tritt in Kraft und stärkt Wachstum und Vertrauen trotz externem Druck
    (2) ebenda
    (3) Chinadaily vom 30. Mai 2025, Neues Gesetz sorgt für Stabilitätsschub in Chinas Privatwirtschaft
    (4) Global Times vom 20. Mai 2025, Chinas Gesetz zur Förderung des Privatsektors tritt in Kraft und stärkt Wachstum und Vertrauen trotz externem Druck
    (5) ebenda

    #Chine #socialisme #capitalisme

  • Diviser par deux la durée d’indemnisation : les chômeurs, nouvelle cible de Gérald Darmanin
    https://www.humanite.fr/politique/assurance-chomage-2/diviser-par-deux-la-duree-dindemnisation-les-chomeurs-nouvelle-cible-de-ger

    Les privés d’emploi comme boucs émissaires. Le ministre de la Justice Gérald Darmanin déroule ses idées en vue de l’élection présidentielle de 2027. En bon macroniste, elles sont violentes d’un point de vue social. Sur l’antenne de BFM-TV ce jeudi matin, il a proposé de réduire la durée d’indemnisation de l’assurance-chômage, aujourd’hui de dix-huit mois, à « entre six et neuf mois ». Soit une division au minimum par deux. « Si on veut financer ce budget de la justice, ce budget de l’Éducation nationale, de la Défense, il faut que nous fassions des efforts sur le budget social », a-t-il justifié.

    Chômage : sur TF1, Maud Bregeon soutient la proposition de Darmanin de diminuer par 2 la durée d’indemnisation
    https://www.tf1info.fr/politique/chomage-sur-tf1-maud-bregeon-soutient-la-proposition-de-darmanin-de-diminuer

    "Chacun comprend qu’aujourd’hui le système, pour un certain nombre de personnes, n’est pas suffisamment incitatif", a-t-elle déclaré.

    .... "Il faut forcer les gens à aller travailler", avait ajouté l’ex-maire de Tourcoing.

    La majorité des chômeurs indemnisés est aujourd’hui employé, tout comme un tiers des allocataires du RSA. Mais CGT, PCF et Huma tiennent mordicus à dire "privés d’emploi". Ce fétichisme du travail nie ses conditions réelles et contribue à réduire les précaires à des victimes. La droite a beau jeu.

    #société_punitive #idéologie_du_travail #gauche_poubelle #chômeurs #précaires

  • Penser la pauvreté, forger la solidarité
    https://laviedesidees.fr/Penser-la-pauvrete-forger-la-solidarite

    Investi depuis les années 1950 contre la misère, le mouvement ATD Quart Monde a su conjuguer action de terrain, recherche et plaidoyer, jusqu’à influencer durablement les politiques sociales en France et à l’échelle internationale.

    #Société #pauvreté #solidarité #précarité #dignité #exclusion
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20250613_brodiez.pdf

  • « Raconteries » de Charles Pennequin et « Disparitions, apparitions » de Joachim Séné : deux nouveaux livres publiés par les éditions Abrüpt.

    Une poésie qui déborde, refuse les normes, et fait du langage un lieu d’expérimentation et de transformation radicale.

    https://liminaire.fr/creation/livre-lecture/article/raconteries-de-charles-pennequin-et-disparitions-apparitions-de-joachim-se

    Ces deux ouvrages partagent une volonté radicale de faire éclater les cadres traditionnels de la littérature. Le texte de Charles Pennequin explore l’écriture comme geste vital, performatif, où le corps parle autant que les mots, dans une lutte contre l’aseptisation littéraire. De son côté, le recueil de Joachim Séné propose une poésie fragmentaire et sensorielle, mêlant le grotesque au numérique, où les corps se dissolvent et ressurgissent sous formes symboliques ou organiques. Tous deux défendent une écriture du vivant, traversée par le réel, la violence sociale, et une forme d’urgence — à dire, à crier, à exister autrement. Une poésie qui déborde, refuse les normes, et fait du langage un lieu d’expérimentation et de transformation radicale.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Littérature, #Corps, #Performance, #Société, #Voix, #Abrüpt (...)

    https://abrupt.cc/charles-pennequin/raconteries
    https://abrupt.cc/joachim-sene/disparitions-apparitions

  • Apprendre à aimer
    https://laviedesidees.fr/Manon-Garcia-Vivre-avec-les-hommes

    Qu’est-ce que le procès des viols de Mazan produit dans l’existence des #femmes ? Qu’est-ce que ça nous fait, en tant que société, de voir et d’entendre « ça » ? Ces crimes illustrent la « banalité du mal », ainsi que le prix à payer pour vivre en compagnie des hommes.

    #Société #Philosophie #violence #mariage
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20250605_garcia.pdf

  • L’essor du #Célibat : au-delà des paniques morales
    https://lvsl.fr/lessor-du-celibat-au-dela-des-paniques-morales

    Partout dans le monde, le #Couple décline depuis plusieurs décennies. Cette évolution inquiète d’un côté les pouvoirs publics car elle entraîne un déclin démographique et risque d’aggraver la stagnation d’économies occidentales déjà vieillissantes. De l’autre, les intellectuels médiatiques fustigent l’individualisme et le puritanisme supposé des nouvelles générations. Les causes de ce phénomène sont multiples, et […]

    #Société #féminisme #Féminisme_marxiste #Féminisme_matérialiste #marxisme #matérialisme #patriarcat

  • Am Anfang war Rudolf Herrnstadt : Wie der Gründer der Berliner Zeitung die DDR fast unabhängig machte
    https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/am-anfang-war-rudolf-herrnstadt-wie-der-gruender-der-berliner-zeitu

    Aujourd’hui c’est le quantre vingtième anniversaire du journal Berliner Zeitung . Cet article raconte les premières années sous son fondateur Rudolf Herrnstadt.

    Maritta Adam-Tkalec - Ein brillanter Journalist bekommt 1945 die Chance seines Lebens – in einem neuen Deutschland die Zeitung zu erschaffen, die er erträumt hat. Doch die Jahrhundertfigur scheitert an ihren Genossen.

    „Berlin lebt auf !“ So titelte die Berliner Zeitung am 21. Mai 1945. Es war die erste Ausgabe der Berliner Zeitung, die zwischen Zerstörung und Aufbruch in Ost-Berlin entstand. Heute feiert die Berliner Zeitung 80. Geburtstag. Aus diesem Anlass gibt es in den kommenden Tagen exklusive Berichte und am 24. Mai eine Sonderausgabe der Berliner Zeitung, die sich dem Aufbruch widmet. Hier lesen Sie den Auftakt von Maritta Tkalec, die an die Geschichte der Zeitung erinnert.

    Rudolf Herrnstadt steht am Anfang der Berliner Zeitung: ein herausragender Journalist aus bester deutscher Zeitungstradition der Zwanzigerjahre, großbürgerlicher Herkunft und überzeugt, dass eine Gesellschaft ohne Ausbeutung möglich ist. Also ein Kommunist.

    Nach sechs Exiljahren in der Sowjetunion rollte der damals 42-Jährige am 8. Mai 1945 auf einer Lkw-Ladefläche von Stettin kommend in Berlin ein. Auf den Landstraßen begegneten ihm Trecks befreiter polnischer Zwangsarbeiter auf dem Heimweg. Drei Tage zuvor hatte Herrnstadt in Moskau als einziger Deutscher den Auftrag bekommen, Offiziere der Roten Armee bei der Gründung der Täglichen Rundschau zu beraten, einer Zeitung der Befreier für das Volk, das die Nationalsozialisten groß gemacht und die Judenvernichtung hingenommen hatte. Ersterscheinungstermin: 15. Mai.

    Zu den Wurzeln, zu Theodor Wolff

    Kaum eingetroffen, ereilt Herrnstadt der zweite Auftrag: eine von Deutschen gemachte Zeitung für die Stadt, die erste in deutscher Verantwortung in ganz Deutschland seit Kriegsende. Ersterscheinungstermin: 21. Mai. Hauptmann Alexander Kirsanow sollte den Start als Chefredakteur unterstützen; der war noch nicht in Berlin, kam am 18. Mai dazu.

    Herrnstadt fährt schon am ersten Tag in Berlin zum Mosse-Haus, Zeitungsviertel, Jerusalemer Straße. Dort war der Sohn jüdischer Eltern aus Gleiwitz (Gliwice) zum glänzenden Journalisten gewachsen: Das überregionale Berliner Tageblatt war unter dem Chefredakteur Theodor Wolff zur einflussreichsten Zeitung geworden, ein fortschrittlich-liberales Leitmedium der Weimarer Republik. Das soll Vorbild sein für die Zeitung, die er nun aufbauen darf, die er Berliner Zeitung nennen will, die schon auf den ersten Blick auf der Titelseite die große Tradition aufgreift.

    Doch zunächst geht es um Handfestes. Irina Liebmann, die in jahrelanger Recherche den Lebensweg ihres Vaters in dem Buch „Wäre es schön? Es wäre schön!“ nachgezeichnet hat, rekonstruiert aus Notizen Herrnstadts diesen Moment des Wiedereinstiegs in die Berliner Presselandschaft: „… das Mosse-Haus steht bis zum Hochparterre im Schutt. Still und kaputt, alles kaputt. Über Gehwegplatten führt sie ein Mann in den Raum mit den Druckmaschinen, alles ist unbrauchbar. Ein Toter liegt auf dem Hof.“

    Einer der Männer der ersten Stunde, Fritz Erpenbeck, hat ausführlich aufgeschrieben, wie sie die Erstausstattung für eine Zeitung zusammensuchten. Sie brauchen unbelastete Leute, Antifaschisten, Setz- und Druckmaschinen, Räume, Papier. Und sie machen die erste Fotografin ausfindig, die Jüdin Eva Kemlein. Sie hatte die NS-Jahre in Berlin im Untergrund überlebt.

    Sie schaffen es. Befehlsgemäß erscheint die Berliner Zeitung am 21. Mai 1945 in einer Auflage von 100.000 Exemplaren, Preis 10 Pfennig. Der Hunger nach Information ist riesig, die Leute reißen den Verkäufern das Blatt aus den Händen. Die erste Schlagzeile lautet „Berlin lebt auf!“, darunter der Bericht über die Einsetzung des Magistrats von Groß-Berlin.

    Herrnstadt wirft ausgerechnet jetzt eine akut aufgebrochene Lungentuberkulose aufs Krankenlager. Er hat 40 Grad Fieber, leitet aber vom Bett seine Zeitung weiter, vom 20. Juni an als alleiniger Chefredakteur. Am 23. August erscheint sein Blatt zum ersten Mal mit dem Gesicht, das sie bis heute unverwechselbar macht: der stolze Titel Berliner Zeitung in markanter Frakturschrift. Zwischen den beiden Worten das Berliner Hoheitszeichen: Bär mit Mauerkrone, Sinnbild der städtischen Bürgerlichkeit. Das handliche Berliner Format, 315 mal 470 Millimeter, schätzen Leserinnen und Leser bis heute.

    Das ist nur der Anfang. Am 11. Oktober 1945 gründet Rudolf Herrnstadt den Berliner Verlag, wird Verlagsleiter. Das erste neue Produkt heißt Neue Berliner Illustrierte; die NBI wird eine der beliebtesten DDR-Zeitschriften, so wie es schon 1891 bis 1945 die Berliner Illustrierte Zeitung gewesen war, die auflagenstärkste Deutschlands. Es folgen Schlag auf Schlag weitere Publikationen, die Auflagen sind enorm, die Preise niedrig.

    In Irina Liebmanns Buch lässt sich Herrnstadt im Original nachlesen: „Im ganzen sind wir, was die Auflagenhöhe anlangt, mindestens so groß wie Ullstein (die West-Konkurrenz, Red.), natürlich nicht was die Profite anlangt“, man wolle nur so viel verdienen, „wie zur Aufrechterhaltung und Erweiterung der Betriebe nötig ist“.

    Herrnstadt-Retter Sauerbruch

    Die große Krise kommt 1947, der zerfressene Lungenflügel bringt Herrnstadt an den Rand des Lebens: Große Operationen (bei nur lokaler Betäubung) schlagen fehl, schließlich rettet ihn der weltberühmte Charité-Chirurg Ferdinand Sauerbruch. Das Martyrium unterbricht die Arbeit keineswegs. 1949 übernimmt Herrnstadt die Chefredaktion des Neuen Deutschland, was dem westdeutschen Spiegel am 15. April Anlass zu giftigen Bemerkungen gibt: Herrnstadt sei ein „raffinierter Journalist aus der alten Mosseschule“, zugleich ein „kommunistischer Säugling, bis dato Chefredakteur der pseudoneutralen Berliner Zeitung“.

    1951 legt er sich auch noch ins Zeug für den Aufbau einer stolzen Straße mit schönen Arbeiterwohnungen und mobilisiert in der Zeitung zum Mitmachen. Ein Leitartikel trägt den Titel „Wäre es schön? Es wäre schön!“ Er will den Schwung, die Aufbruchstimmung jener Jahre nutzen, um etwas Exemplarisches für die neue Zeit entstehen zu lassen: die spätere Stalinallee.

    An seiner Seite wusste er die ganze Zeit über die legendären Kulturoffiziere der Roten Armee, korrekt: Mitarbeiter der Propaganda- und Informations-Abteilung der Sowjetischen Militäradministration (SMAD). In diesen Kreisen kannte er sich aus, hatte er doch im Exil im Nachrichtendienst der Roten Armee gearbeitet und 1943, nach der Kriegswende von Stalingrad, eine Zeitung gemacht, die sich an die plötzlich in die Hunderttausende gehende Zahl deutscher Kriegsgefangener richtete.

    Nun hatten die Kulturoffiziere den geistig-moralischen Neuaufbau in der Sowjetischen Besatzungszone (SBZ) zu organisieren. Zuerst aber vermittelten sie den Deutschen, die eben noch fanatisch im Endkampf für Hitler gestanden hatten, die Botschaft: Keine Rache, Respekt vor Deutschland. Ein grandioses Angebot. Der oberste Kulturoffizier, Sergej Tulpanow, wurde zum populärsten Russen jener Jahre. Sie endeten 1949; die Deutschenversteher wurden abgezogen.

    Sie hatten Herrnstadts Projekt der überparteilichen, volksnahen Berliner Zeitung unterstützt. Männer wie Tulpanow waren „seine Idealfiguren“, wie Herrnstadts Tochter Irina Liebmann schreibt. Auch die Kulturoffiziere erlebten eine Ausnahmezeit: „Für einen Augenblick ihres Lebens konnten sie das aufbauen, was in der Sowjetunion nicht mehr möglich war, sie hofften auf das Ende der sowjetischen Isolierung.“ Dann wurden sie abserviert. Ein Vorspiel dafür, wie es wenige Jahre später auch Herrnstadt ergehen sollte.

    Tulpanow saß erst im Moskauer Hausarrest, durfte dann als Hochschullehrer in Leningrad arbeiten. Reisen in die DDR blieben verboten, bis 1965. Eine gemeinsame Reise Alexander Kirsanows und Sergej Tulpanows durch die DDR führte sie auch zur Berliner Zeitung – die Redaktion bereitete ihnen voller Dankbarkeit einen großen Empfang.

    Herrnstadts Texte der ersten Monate nach der Befreiung 1945 stehen wie Wegweiser im geistig-moralischen Chaos. In der zweiten Ausgabe der „Berliner“ schrieb er zum 22. Juni 1945, vier Jahre nach dem Überfall Nazi-Deutschlands auf die Sowjetunion: „Wir leben inmitten von Schutt und Seuchen, die uns Hitler hinterließ. Wir ernähren uns von Rationen, die wir der Einsicht des Siegers verdanken. Wir kämpfen uns, inmitten unendlicher Schwierigkeiten, von einem Tag in den anderen. Wenn all das einen Sinn haben soll – und es soll einen Sinn haben –, dann muss es vorwärts führen. Dann müssen wir wissen, was wir wollen. Dann müssen wir ein Ziel haben, und zwar in jeder Hinsicht, in physischer, in moralischer, in politischer.“
    „Innerlich frei und geachtet“

    Das Ziel in physischer Hinsicht müsse sein, eines Tages wieder gesund, ausreichend, in Wohlstand zu leben. Als moralisches Ziel nannte er, „innerlich frei und geachtet für die nutzbringende Leistung“ zu leben und in politischer Hinsicht „fortschrittlich denken und handeln zu lernen, überflüssig zu machen, dass andere uns an der Hand führen, uns am Rauben und Morden verhindern müssen und mühsam erziehen, die Voraussetzungen schaffen für ein Vaterland, das in der Familie der Nationen als gleichberechtigtes, nötiges Mitglied anerkannt wird“.

    Kein anderer der aus dem Moskauer Exil nach Berlin zurückgekehrten deutschen Genossen, namentlich die neuen Mächtigen aus der „Gruppe Ulbricht“, war in der Lage, solche Texte zu schreiben: klar, auf den Punkt, ehrlich, empathisch, motivierend. Sie brauchten Rudolf Herrnstadt, seinen Intellekt, seine Professionalität, seine immense Erfahrung, seine erstklassigen Kontakte in jene deutschfreundlichen russischen Kreise, mit denen er in der Sowjetunion gearbeitet hatte. Sie brauchten ihn für eine gewisse Zeit.

    Als sie ihn, den Mann großbürgerlich-jüdischer Herkunft, 1949, als Chefredakteur zum Parteiorgan Neues Deutschland holten, geschah das in einer Krise. Sie ließen ihn, der niemals Teil des inneren Parteizirkels gewesen war, ohne Hausmacht und Stallgeruch abseits der stalinistischen Intrigen, bis zum Kandidaten des Politbüros aufsteigen. Sie ließen ihn ein neues Parteiprogramm formulieren, das die Abkehr von Walter Ulbrichts beschleunigtem Aufbau des Sozialismus beinhaltete und dem Kurs jener Kräfte in Moskau entsprach, die sich mutmaßlich nach dem Tod Stalins durchsetzen würden und ein neutrales, geeintes Deutschland als Puffer zwischen Ost und West anvisierten.

    Am 16. Juni 1953 stimmte das Zentralkomitee der SED dem von Herrnstadt mitformulierten sogenannten Neuen Kurs zu, konzentriert in folgendem Zitat: „Es geht darum, eine Deutsche Demokratische Republik zu schaffen, die für ihren Wohlstand, ihre soziale Gerechtigkeit, ihre Rechtssicherheit, ihre zutiefst nationalen Wesenszüge und ihre freiheitliche Atmosphäre die Zustimmung aller ehrlichen Deutschen findet.“
    Ulbricht lässt Herrnstadt ins Messer laufen

    Herrnstadt forderte Ulbricht zum Rücktritt auf. Tags darauf erreichte der Arbeiteraufstand in der DDR seinen Höhepunkt, ausgerechnet Herrnstadts Lieblingsprojekt Stalinallee lieferte jetzt Fotos von aufständischen Arbeitern. Anfängliche Streiks gegen faktische Lohnkürzungen durch Normerhöhungen schlugen um in politischen Protest gegen die SED-Herrschaft.

    Die offizielle Lesart, der damals auch die Berliner Zeitung folgte, lautete: „Ein faschistischer Putsch“. Die Besatzungsmacht sah Anlass zum Eingreifen, Panzer rollten gegen die Aufständischen. Am Ende waren 55 Menschen tot, 34 wurden von sowjetischen Soldaten oder Volkspolizisten erschossen. Durch sowjetische Militärtribunale und DDR-Gerichte wurden später sieben Todesurteile vollstreckt.

    Am 18. Juni 1953 stand auf Seite 1 eine Bekanntmachung der DDR-Regierung mit der Einschätzung: „Diese Provokationen sollen die Herstellung der Einheit Deutschlands erschweren.“ Wer hatte in Moskau den Einheitskurs verfolgt? Der Geheimdienstchef Lawrenti Berija, der mutmaßlich neue starke Mann nach Stalins Tod. Er betrieb auch Ulbrichts Absetzung.

    In Moskau setzte sich schließlich die andere Strömung durch, die die DDR in unmittelbarer Kontrolle halten wollte. Herrnstadt war zwischen die sowjetischen Mühlsteine geraten. Das war lebensgefährlich. Berija wurde am 23. Dezember 1953 hingerichtet. Er hatte nach Stalins Tod die Gefängnisse geöffnet und Stalins Idee vom neutralen, vereinten Deutschland als Puffer zwischen der Sowjetunion und den Westmächten weiterführen wollen.

    Irina Liebmann sieht in jenen Schicksalstagen folgende Logik, die damals Oberhand gewann: Wenn das Ergebnis von Berijas neuer Politik zu einem faschistischen Putsch führt, dann war diese Politik falsch. Ulbricht hatte Herrnstadt in dieser Logik „machen lassen“, ihn also ins Messer geschickt.

    Ulbricht triumphierte. Herrnstadt wurde der „parteifeindlichen Fraktionsbildung“ bezichtigt und aus der Partei ausgeschlossen. Von Berija gelenkt worden zu sein, bestritt Herrnstadt vehement. Immerhin kam er nicht für Jahre in Bautzener Zuchthaushaft, wie es dem Journalistenkollegen Wolfgang Harich widerfuhr, der ebenfalls Ulbrichts Absetzung gefordert hatte, sondern durfte ab Spätsommer 1953 sein Dasein im Deutschen Zentralarchiv in Merseburg fristen. In dieser speziellen Art von Einzelhaft rettete ihn seine Familie: seine Frau Valentina, Germanistin aus dem sibirischen Tschita, sowie die Töchter Irina und Nadja.

    Seine Genossen stießen Rudolf Herrnstadt ins Vergessen. Man sprach in der DDR einfach nicht mehr über den Mann, der seit den Zwanzigerjahren sein Leben der großen Idee einer gerechten Gesellschaft verschrieben hatte, der Illegalität und Emigration in Kauf genommen, über Jahre auf privates Glück verzichtet und sich dann mit Leib und Seele in den Aufbau eines besseren Deutschland geworfen hatte.

    Gescheitert an Großmächten und Kleingeistern

    Das stellte er sich als vereint und demokratisch vor, verbunden mit dem „rückhaltlosen Bekenntnis zur Sowjetunion“. Der Konflikt der Nachkriegsjahre, den er an maßgeblicher Stelle mit ausfocht, drehte sich um nichts weniger als die Fragen: Wie soll es mit Deutschland weitergehen? Und wie sollte seine Partei, die SED, zu einer Gemeinschaft ehrlicher, offener, dem Volk zugewandter Genossen werden?

    Herrnstadts Scheitern, die Verbannung und das Totschweigen hatten Folgen für 17 Millionen DDR-Bürger. 35 Jahre nach der Wiedervereinigung, an einem neuen Wendepunkt der Weltgeschichte, liest man die Mitteilungen aus der Zeit des Neuanfangs 1945 mit überraschenden Erkenntnissen: Die gerade live zu erlebende Entlassung Europas aus dem US-amerikanischen Schutz- und Einflussgebiet – hat sie nicht Ähnlichkeit mit der Stalin-Note vom 10. März 1953?

    Darin wurde ja die Entlassung der sowjetischen Besatzungszone DDR aus der unmittelbaren Herrschaft in ein vereintes, neutrales Deutschland vorgeschlagen. Musste diese Idee nicht ähnlich beängstigend auf die DDR-Staatsführung wirken, die sich gerade in einem eigenen Machtgebiet einrichtete?

    Herrnstadt plädierte für das deutsche demokratische Wagnis und verschwand, als sich in Moskau die Fraktion durchsetzte, die lieber ein Viertel Deutschlands ganz als das ganze Deutschland halb haben wollte.

    Solch ein Mann hat für diese Berliner Zeitung gearbeitet, so wie man selbst – eine ziemlich einschüchternde Vorstellung. Hätte man Rudolf Herrnstadts Ansprüchen gerecht werden können? Der renommierteste deutsche Journalistenpreis ehrt Theodor Wolff, Herrnstadts Mentor, der das Talent des jungen Mannes entdeckte, der ihn förderte und immer wieder seine schützende Hand über ihn hielt.

    Herrnstadt vertrat in turbulenten Zeiten Überzeugungen mit der Kraft des Wortes. Er unterwarf sich auch immer wieder der Parteilinie – im Interesse der „großen Sache“. Auch diesen inneren Kampf kennen viele, die in der DDR wirkten. Er scheiterte an den Großmächten und an den Kleingeistern seiner Umgebung. Das ist ein großer Rahmen, aber in einen solchen gehört Rudolf Herrnstadt. In der Nachfolge einer solchen Jahrhundertfigur zu stehen, macht ehrfürchtig und demütig. Die Berliner Zeitung hat allen Grund, auf diesen Gründer stolz zu sein.

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  • Un cœur artificiel à un enfant de 7 ans, exploit soigneux de la Chine.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4758

    Pour ce genre de sujet, alliant les investissements économiques réussis et les avancées médicales, il y a une adéquation entre l’effort national et les bienfaits concrets dont bénéficie la population. La Chine affirme sa place non seulement comme géant économique, mais aussi comme pionnier médical et technologique. Un cœur artificiel qui, de sa miniaturisation, bat dans la poitrine d’un enfant, au cas jugé désespéré, c’est aussi le battement d’un pays en pleine transformation. High-tech / Sciences

    / Chine, réforme, développement, environnement, Asie, , Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes, Socialisme, Amérique Latine, Chine, marxisme, égalité, pauvreté, justice, (...)

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