• The global struggle for peasants seeds : a struggle for our future
    http://viacampesina.org/en/index.php/main-issues-mainmenu-27/biodiversity-and-genetic-resources-mainmenu-37/1522-the-global-struggle-for-peasants-seeds-a-struggle-for-our-future

    As countless farmers, farmworkers, urban growers, and consumers across the globe celebrated the International Day of Action for Food Sovereignty in October, an overwhelming number are celebrating seeds as pilar for food sovereignty. Afterall, according to ETC Group, 80-90% of seeds are sourced outside of commercial markets, that is to say through peasant seed systems, and farm-saved seeds. In the new publication, Our Seeds Our Future La Via Campesina chronicles ten experiences of peasant seed selection, saving, improvement, and re-use. These experiences in recovering and reproducing knowledge to improve peasant agricultural food production are mirrored by multitudes more in Africa, Asia, Europe and the Americas.

    The experiences spotlighted in the publication are examples of true food sovereingty in action, in contrast to monoculture and industrial farming methods that, as stated in a recent UNCTAD report, are not providing sufficient affordable food where needed while causing mounting environmental damage.

    This marks a critical moment for the future of the planet’s seed diversity. While industry pursues legal and instutional battles to further control and monopolize global seed supplies, the evidence is growing in support of diversified peasant seeds and agroecology as fundamental to producing healthy food while mitigating environmental and climate impacts.

    #semences #alimentation #paysannerie #souveraineté_alimentaire

  • Accaparement de 7.765.250 ha de #terres en afrique de l’ouest : La Copagen dénonce le déficit de consultation des populations
    http://farmlandgrab.org/post/view/22795-accaparement-de-7-765-250-ha-de-terres-en-afrique-de-l-ouest-la-

    Selon Alponse Yombouno, directeur exécutif de l’Ong Adape Guinée qui a lu le communiqué final, l’étude a permis de ressortir l’ampleur de ce phénomène dans 9 pays de l’Afrique et a fait état de 7.765.250 ha accaparés. Ainsi, cinq cas d’acquisition ont été approfondis dans le cadre d’une étude d’impact qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire, en Guinée et en Guinée-Bissau. « A l’analyse, il ressort qu’il y a déficit en matière de consultation des populations. Dans la majorité des cas rencontrés, les ententes sont conclus entre l’Etat, les sociétés et les autorités coutumières avant d’informer la population, tout en mettant en avant les aspects positifs de ces acquisitions », a-t-il révélé. Aussi, selon cette publication, différents éléments ayant un impact sur la sécurité alimentaire et les moyens d’existence des populations ont été relevés. Il s’agit d’un amenuisement des terres cultivables pour la culture vivrière, un changement des régimes alimentaires des populations locales et des impacts environnementaux qui influencent négativement les productions agricoles.

    #paysannerie #agrobusiness #alimentation #souveraineté_alimentaire #accaparement

  • L’approbation du règlement sur le commerce des #semences par le #COMESA est une catastrophe pour les petits #paysans et la #souverainete_alimentaire en Afrique
    http://www.grain.org/fr/bulletin_board/entries/4800-l-approbation-du-reglement-sur-le-commerce-des-semences-par-le-comesa-es

    1. L’Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique condamne fermement l’approbation durant le mois de septembre 2013, par le marché commun de l’afrique orientale et australe (COMESA) du draft d’harmonisation des règlements de commercialisation des semences du COMESA en 2013 (ci-après dénommé la « Règlementation sur les semences »).

    2. Les règlementations sur les semences du COMESA s’appliquent sur tous les Etats membres du COMESA aux termes de l’article 9 du traité du COMESA. Pourtant, il n’y a aucune preuve pour démontrer l’implication de et la consultation avec les citoyens des pays du COMESA, en particulier les petits paysans, malgré les nombreux appels au COMESA à se consulter avec les petits paysans. Nous sommes d’avis qu’un groupe technique des pays du COMESA en collaboration avec la l’Association africaine du commerce des semences (AFSTA) et le commerce des marchandises de l’Afrique australe et orientale (ACTESA) et bien financé par l’USAID et l’UE, a délibéré sur les questions et élaboré les règlements qui ont été maintenant signés par le Conseil des ministres, prêts pour la domestication dans les États membres du COMESA.

    3. Les présentations faites par les OSC et les représentants des petits agriculteurs, lors d’un atelier COMESA organisé par ACTESA du 27 au 28 Mars 2013 à Lusaka – Zambie, contenant à la fois des préoccupations sur la nature imparfaite du processus et les implications de la réglementation sur les petits agriculteurs et sur la diversité de l’agriculture en Afrique, ont ostensiblement été ignorées.

    #paysannerie #agrobusiness #biodiversité

  • A Bayonne, le succès d’Alternatiba, une mobilisation joyeuse pour la bataille climatique - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article4804

    #Alternatiba s’est déroulée dimanche 6 octobre à Bayonne. Dans une ville investie par des dizaines de présentations d’alternatives au système économique dominant, plus de quinze mille personnes ont échangé, réfléchi et discuté. Paradoxe : à la gravité du diagnostic sur le changement climatique s’opposait un sentiment joyeux d’alliance dans une lutte vitale.

    #transition #climat #transports #agriculture #autoproduction #concerts #communs #bricole #recyclage #solidarités #économie #paysannerie #théâtre_de_rue #énergies_renouvelables #radicalités_concrètes #éco-constrution #danse #récup #urbanisme #NDDL #enfance #monnaie_locale #marché #vélo #train #souveraineté_alimentaire #banques

    voir également http://www.scoop.it/t/alternatiba2013

  • Hunger, Food Security, and the African Land Grab
    http://farmlandgrab.org/post/view/22591
    Un looong loong article qui semble intéressant mais lu que le début

    Many global analysts predict that the biggest security threats in the twenty-first century may center on disputes over water and the food that Earth’s dwindling water supply is able to produce. The greatest threat to our common future, writes Lester Brown, President of the Earth Policy Institute, “is no longer conflict between heavily armed superpowers, but rather spreading food shortages and rising food prices—and the political turmoil this would lead to.”3

    Hunger, of course, has been a perennial cause of political instability. Food riots were a contributing cause of the French Revolution and countless other upheavals throughout history. More recently, the increasing globalization of the world’s volatile food market has led to new threats to the global poor. Inflation in the price of wheat, rice, and soy during the world food crisis of 2007–2008 doubled the cost of these staples, in some cases virtually overnight. This was due only in part to actual food shortages. A lot of the “agriflation” was driven by commodity speculators—investors in hedge funds, pension funds, and other financial institutions betting on future food prices.4

    Michael Greenberger in the George Washington Law Review calls this kind of speculation “gambling,” and argues that it distorts commodity prices by decoupling them from real-world market forces like supply and demand.5

    au moins ça #terre #agrobusiness #spéculation #banque #alimentation #sécurité_alimentaire #souveraineté_alimentaire

    • rohhh... c’est gentils, mais c’est un peu loin pour mes moyens. En plus je ferai des sauts béarnais la veille avec le groupe ver e blu qui vient sur Montpellier.
      Puis la ça fait plusieurs jours que j’enchaîne pantalon, peiroton, la marianne et la crabe par coeur en solitaire pour les ressortir en chant collectif.

  • #Soulèvement des agriculteurs colombiens : les semences sous les feux de l’actualité
    http://www.grain.org/article/entries/4781-soulevement-des-agriculteurs-colombiens-les-semences-sous-les-feux-de-l-

    La mobilisation a remporté un grand succès en ouvrant un espace de discussion, de conscientisation, de solidarité et de résistance en #Colombie. Les étudiants, par exemple, étaient enthousiastes pour soutenir les agriculteurs et appuyer leurs revendications. Ils se sont rassemblés bruyamment contre les #OGM et pour la #souveraineté_alimentaire. Mais ils ont aussi voulu mettre en avant leurs propres exigences en matière d’éducation publique gratuite, ce qui a permis à la mobilisation d’aller dans le sens d’une vague de pression sociale plus large visant à changer les politiques actuelles de la Colombie, sans se cantonner aux préoccupations paysannes.

    La Loi 970

    La question des #semences est devenue très médiatisée. En application de l’ALE signé avec Washington, ainsi que de celui signé avec Bruxelles, Bogotá a l’obligation d’assurer des droits de monopole légal sur les semences vendues par des sociétés américaines et européennes à titre d’incitation pour leur permettre d’investir en Colombie. Les agriculteurs qui sont pris à vendre des semences de ces variétés conservées à la ferme, ou simplement des semences indigènes qui n’ont pas été officiellement enregistrées, pourraient s’exposer à des amendes ou même à des peines d’emprisonnement.3 Comme cela s’est passé dans de nombreux autres pays à travers le monde, cette criminalisation des droits des agriculteurs et des #peuples_autochtones de conserver, échanger et vendre les semences met en péril la biodiversité du pays et son patrimoine.

    #paysannerie #agriculture

  • Jardins, débrouille, partage : comment Detroit redémarre - Terra eco
    http://www.terraeco.net/Jardins-debrouille-partage-comment,50734.html

    Aujourd’hui, c’est le cas. L’#écologie est devenue l’un des piliers de cette action multiforme au même titre que les enjeux sociaux ou éducatifs. Mais ce n’est ni une tendance, ni la motivation principale. Les gens se sont mis à cultiver par nécessité. Quand les entreprises et les habitants ont quitté Detroit, les supermarchés ont suivi le mouvement. Des quartiers entiers se sont alors transformés en déserts alimentaires. Cela signifie que si leurs résidents veulent acheter des fruits ou des légumes, ils doivent parcourir plusieurs kilomètres. Or, comme à Detroit se déplacer est cher ou compliqué, ils se rabattent sur de la nourriture malsaine (junk food) à proximité. Ce qui entraîne les conséquences que l’on connaît : diabète, obésité… Dans ces circonstances, la notion de « droit à la sécurité alimentaire » est devenue centrale et, afin d’atteindre cet objectif, les habitants se sont réappropriés la production alimentaire.

    #alimentation #souveraineté_alimentaire #solidarité #jardins_urbains

    • Inutile donc de chercher bien loin les moyens de mettre fin à l’exploitation prolétarienne. Detroit illustre parfaitement le chemin à suivre, sans révolution, sans violence, et sans tracas.

      Le Capital n’existe que pour permettre à ses propriétaires d’affirmer leur primauté sur leurs semblables par l’accaparement des fruits de leur travail. Quand ce qu’on peut accaparer ne permet plus de dominer, les capitalistes s’en vont.

      Autrement dit, la crise économique est libératrice. Lorsque le travailleur ne produit guère que ce qui lui est nécessaire pour vivre, l’exploiteur perd la possibilité d’accaparer et disparaît. Mieux encore, lorsque les travailleurs se retrouvent privés des moyens de consommer les produits au mieux inutiles, au pire toxiques, produits par les usines capitaliste (films américains, culture, merde en barre chocolatée, viande industrielle, médecine de pointe), c’est le capitalisme mondialisé qui s’effondre, comme à Detroit, emportant avec lui la classe parasite.

      Autrement, moins on en fait, mieux ça marche !

  • Food Sovereignty Prize Garners 40 Nominees from 21 Countries | Common Dreams
    https://www.commondreams.org/newswire/2013/06/10-5

    From Colombia to Lebanon, to India and across the US, a rising movement of farmers, workers, fishers, and agrarian communities is creating innovative solutions to hunger and poverty—and over 40 such initiatives have been nominated for the Food Sovereignty Prize, to be awarded this October in New York City.

    The nominees, part of a growing food sovereignty movement that’s rebuilding rural and urban food systems and economies across the globe, come from 21 countries and every continent, representing millions of people.

    Now in its 5th year, the Food Sovereignty Prize spotlights grassroots activists working for a more democratic and sustainable food system. In honoring communities that are reclaiming their food systems, the prize shows how democratic access to land, water, and fair wages are central to ending world hunger.

    http://foodsovereigntyprize.org

    The Food Sovereignty Prize is awarded by the US Food Sovereignty Alliance. The US Food Sovereignty Alliance works to end poverty, rebuild local food economies, and assert democratic control over the food system. We believe all people have the right to healthy, culturally appropriate food, produced in an ecologically sound manner. As a US-based alliance of food justice, anti-hunger, labor, environmental, faith-based and food producer groups, we uphold the right to food as a basic human necessity and public good and work to connect our local and national struggles to the international movement for food sovereignty.

    #prix #souveraineté_alimentaire

  • Colombie : les Farc demande la « démocratisation » de la terre | Amérique latine
    http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201302/05/01-4618597-colombie-les-farc-demande-la-democratisation-de-la-terre.php

    Les propositions des FARC aux négociations avec le gouvernement colombien à La Havane vues du Canada.

    Contre « la grande propriété au service des intérêts des grands groupes et des multinationales aux dépens de la société, nous proposons notre initiative de développement rural pour la démocratisation et la paix dans la justice sociale », affirme la guérilla dans un communiqué lu par le chef de sa délégation aux pourparlers, Ivan Marquez.

    « Il faut multiplier les appels et la mobilisation pour la démocratisation de l’accès et de l’usage de la terre et contre la dépossession violente et légale, contre la concentration, la grande propriété et les intérêts étrangers », ajoute le texte lu par le numéro deux des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc).

    Vu par El Nacional (Venezuela reprenant l’agence espagnole EFE) — et certainement par la presse française si elle parle de ça — ce n’est pas le même point qui est mis en avant :

    Las FARC proponen legalizar algunos cultivos de coca, marihuana y amapola
    http://www.el-nacional.com/mundo/FARC-proponen-legalizar-cultivos-marihuana_0_131988138.html

    Las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC) propusieron hoy legalizar algunos cultivos de marihuana, amapola y hoja de coca en el país, (…) las FARC piden «cesar la política de criminalización y persecución» a las comunidades dedicadas a esa actividad y «suspender las aspersiones aéreas y otras formas de erradicación que están generando impactos negativos socioambientales y económicos».

    (…)

    En otro punto, las FARC reclaman «poner freno a la expansión desordenada y anárquica de las economías minero-energéticas y extractivistas», piden «suspender el otorgamiento de títulos mineros y de concesiones para la exploración y la extracción petrolera» y también derogar la resolución que declara como «áreas estratégicas para la gran minería una importante parte de la región amazónica y un alto porcentaje de zonas de tradición y vocación agrícola».

    (…)

    En otro punto, la guerrilla plantea frenar la ganadería extensiva y «desestimular» este sector con la liberación de al menos 20 millones de hectáreas para fines agrícolas.

    El reordenamiento de la tierra para la soberanía alimentaria y abastecimiento de la población, el derecho al agua y la protección de fuentes hídricas y la creación de nuevos asentamientos rurales son otras de las medidas del documento presentado por las FARC.

    La guerrilla reivindica también la convocatoria de un «gran debate nacional» en Colombia sobre la reorganización espacial y territorial.

    Les #FARC souhaitent la légalisation de la culture de la marijuana, du pavot et de la coca (…) elles demandent "l’arrêt de la politique de criminalisation et de persécution" des communautés qui se consacrent à cette activité et "l’arrêt des pulvérisations aériennes et autres formes d’éradication qui génèrent des impacts négatifs sociaux, environnementaux et économiques".

    Dans un autre point, les FARC réclament de "mettre un frein à l’expansion désordonnée et anarchiste du secteur minier, énergétique et de l’#extraction", elles demandent l’arrêt de l’attribution de permis miniers et de concessions pour l’exploration et l’exploitation pétrolière" et de déroger à la résolution déclarant "une grande partie de la région amazonienne et une part élevée de zones à tradition et vocation agricole comme secteur stratégique pour le secteur minier ".

    Dans un autre point, la guérilla prévoit de freiner l’élevage extensif et de "déstimuler" ce secteur en libérant au moins 20 millions d’hectares pour l’usage agricole.

    La réorganisation de la terre en vue de la #souveraineté_alimentaire et l’approvisionnement de la population, le droit à l’eau et la protection des sources et la création de nouveaux établissements ruraux dont d’autres mesures préconisées dans le document.

    La guérilla demande également le lancement d’un "grand débat national" en #Colombie sur la réorganisation spatiale et territoriale.

  • La Via Campesina en mouvement... Pour la Souveraineté Alimentaire !

    http://vimeo.com/27473807

    De ma nièce Dorothée :

    Voici une petite vidéo qui devrait titiller votre esprit..... prenez le temps de 20minutes ... 20 petites minutes pour vous convaincre de manger sainement !

    Vous verrez que manger bio, local et de saison ça rend la vie tellement plus naturelle !

    Non seulement vous permettrez à vos enfants, petits enfants , ...
    – de manger à leur faim (car le modèle alimentaire actuel, basé sur une agriculture intensive, industrielle et bourrée de pesticide à démontré son incapacité à nourrir la planète ! Projetons nous dans le futur ; A ce rythme là, en 2050 nous serons plus de 9milliard d’être humains sur terre, ce modèle industriel ne pourra pas nourrir autant de monde... autant dire qu’en 2050, si on continue comme cela on aura de gros soucis)
    – Mais aussi, de mieux manger (car les produits qu’ils consommeront seront cultiver sur des terrains sains, dans le cadre d’une agriculture biologique et naturelle sans rajout de produits chimiques pour augmenter la productivité et contribuer à plus de gaspillage par la meme ocassion....( il suffit d’aller jeter un coup d’oeil le soir derrière votre supermarché le nombre de produits jetés alors qu’il y a des milliers de personnes qui meurt de faim )
    – de voir une telle biodiversité (pas besoin de rappeler comment les gosses adorent les promenades dans les bois et découvrir une multitude de bestiaux et autres formes de vie en tout genre.. ; Or l’agriculture actuelle ne préserve en rien la biodiversité)
    – de préserver leur santé ( et oui si aujourd’hui vous vous demandez pour j’ai des problèmes de peau, pour j’ai dees allergies, pourquoi autant de gens attrapent des cancers et autres maladies du genre, c’est p-t parce que dans vos aliments que vous achetez au supermarché, il y a énormément de produits chimiques qui agressent votre corps.. le lait, les céréales, le pain, les fruits et légumes, la viande,... partout, ils en foutent partout !)
    – socialement, vous apprendrez aussi les valeurs de la solidarité à vos enfants ... Acheter de produits chez son fermier ou l’agriculteur bio du coin permettra à celui-ci de vivre de son travail plutot que de devoir écouler sa marchandise à un sous-prix au industries de l’agro-alimentaire.

    Bref tout cela pour vous dire, qu’il est préférable pour tous de manger des produits bio de votre région plutot que ceux du supermarché qui ont fait des km pour arriver là ! Il existe des Groupe d’achat commun partout en Belgique qui peuvent vous fournir en aliments sains et locaux. C’est par exemple, un fermier bio dans un village qui produits et vends sa production pour l’ensemble des villageois. Il vend des paniers de produits laitiers, légumes, fruits de saison et bio (cela dépends un peu de chaque producteurs). Vous savez d’ou vient votre bouffe, comment elle a été cultivé, vous pouvez aller visiter sa ferme et lui d’ailleurs doit avoir un label de certification. Et enfin vous bouffer sainement, pas de gaspillage car vous aller chercher votre panier toutes les semaines ou 2 semaines en fonction des menus que vous planifiez ! Si c’est pas top ca !

    ou alors, vous faites comme mon papa, vous faites votre potager ! Encore faut-il ne pas s’aider d’engrais chimique et choisir des semences certifiées bio et non des semences hybirdes industrielle dont la seule vocation est le meilleur rendement car plus résistante et réagissent mieux aux intrants chimique. En plus ces semences hybrides ne sont pas réutilisables, alors que celles des fermiers le sont. Les industries semencières sont en train de déposséder les fermiers de leur marché de semences !

    Attention, tous les produits bio ne sont pas top ! Au supermarché, vous pouvez effectivement trouvez des produits bio. C’est bien vous allez dans la bonne direction mais attention, acheter des pommes de terre bio en provenance du Pérou ne sert à rien ... non seulement vous contribuer à augmenter le CO2 dans l’atmosphère puisque ces pommes de terres sont arrivées en avion mais en plus le monde économique spécule sur les denrées alimentaires à l’importation et à l’exportation, vous ne rendez pas service à ce producteur de pommes de terre, qui plus est à du vendre tout son stock pour avoir de l’argent en retour et n’a plus rien pour sa propre consommation personnelle.

    Et puis aussi, pensez à manger moins de viande, l’élevage contribue intensivement au dérèglement climatique, cela nous évitera de vivre inondations, sécheresse, tempête et autres phénomène météorologique extrêmement du style !

    Comme quoi, il y en a des choses à faire !

    bonne journée !
    Excusez moi pour l’orthographe, je ne me suis pas relue, et je n’ai pas envie de me relire car j’ai du pain sur la planche !

    Dorothé

    #Via_Campesina, #souveraineté_alimentaire