• #Starship Was Doomed From The Beginning
    https://www.planetearthandbeyond.co/p/starship-was-doomed-from-the-beginning

    Mars 2025

    #Musk’s impotent attempts to get his giant shiny phallus to work are the perfect metaphor for the man. Indeed, Starship seemed promising at first if you didn’t ask too many questions. But, after back-to-back failures and having never come close to completing its design brief (including actually landing Starship and making the #spacecraft fully #reusable), as well as a litany of painful design flaws, such as only being able to take 50% of its promised payload capacity to orbit, many are starting to question the viability of this idiotic machine and its “iterative design process.”. And so they should. Indeed, with the most recent launch failure as context, it becomes evident that Starship was doomed from the get-go and that SpaceX might never be able to rectify this mess.

    • https://www.esa.int/Applications/Observing_the_Earth/FutureEO/Biomass

      [...]

      This groundbreaking mission will offer unprecedented insights into the state and evolution of the world’s forests. By mapping the woody material in Earth’s forests, this revolutionary satellite will play a crucial role in deepening our understanding of how forests influence the global carbon cycle.

      ESA’s #Biomass Project Manager, Michael Fehringer, said, “After years of innovation and cooperation with the scientific community and the space industry, we’re more than excited to see the satellite ready for launch. This new mission will advance our ability to quantify forest carbon stocks and fluxes, which is key to understanding and assessing the impacts of climate change.

      [...]

  • L’apocalypse de Donald Trump selon Peter Thiel | Le Grand Continent, via Jean-Marc Adolphe, https://www.leshumanites-media.com
    https://legrandcontinent.eu/fr/2025/01/10/lapocalypse-de-donald-trump-selon-peter-thiel

    Dans un texte aux tonalités eschatologiques qui vient de paraître dans le Financial Times, #Peter_Thiel, l’une des personnes les plus puissantes de l’Amérique de Trump au cœur de l’accélération réactionnaire, annonce la venue d’un temps nouveau : « des questions sombres émergeront dans les dernières semaines crépusculaires de notre interrègne ».

    Nous le commentons ligne à ligne.

    Il disait voici déjà plus de vingt ans : « Je ne crois plus que la liberté et la démocratie soient compatibles ». Au moins, c’est clair…, Jean_Marc Adolphe.

    #É-U #libertariens #Palentir #fascisme #eschatologie #idéologue

    • Cette inauguration de la deuxième présidence Trump n’a rien à voir avec la précédente. Texte de Quentin Rodiguez (reçu par mel)

      Oubliez Trump. C’est un fou dangereux bien sûr. Et depuis 2016, immense différence, il a transformé le Parti républicain en mouvement authentiquement fasciste – les principaux historiens américains du fascisme le disent désormais (notamment Timothy Snyder et Robert Paxton, pour les plus célèbres).

      Mais avec cette nouvelle présidence Trump, nous assistons surtout à un pacte entre ce nouveau mouvement fasciste et la majeure partie de la #classe_capitaliste des #milliardaires propriétaires de l’#économie_numérique. Je ne veux pas tout ramener aux années 30, Trump n’est pas Hitler, on ne sort pas d’une guerre mondiale, etc. soyons clairs. Mais il y a un phénomène précis des années 30 qui se reproduit presque à l’identique aujourd’hui, c’est ce ralliement stratégique de la grande bourgeoisie industrielle allemande qui, face au risque de prise de pouvoir de la gauche socialiste et communiste qui menaçait sérieusement ses intérêts, choisit de parier sur le parti nazi, en le finançant massivement, et en mettant les #médias qu’elle contrôle au service de leur propagande électorale.

      Tant que la grande bourgeoisie peut garantir ses intérêts en s’accomodant d’un système démocratique, ça ne pose pas de problème. Mais si ce même système démocratique menace réellement leur position dominante, alors invariablement, ils sacrifient la démocratie sur l’autel du capitalisme. C’est ce que le principal penseur libertarien adulé de la nouvelle bourgeoise de l’économie numérique, Friedrich Hayek, expliquait posément en 1981, commentant son soutien au régime fasciste d’Augusto Pinochet : "Personnellement je préfère un dictateur libéral plutôt qu’un gouvernement démocratique manquant de libéralisme."

      Nous venons d’assister trait pour trait au même mouvement d’allégeance envers le mouvement trumpiste que les industriels allemands des années 30. Sur la photo du premier rang des invités d’honneur de la cérémonie, on voit ici #Elon_Musk, bien sûr, le véritable numéro 2 de l’administration Trump, qu’on ne présente plus, et à sa gauche #Jeff_Bezos, le PDG d’Amazon, et #Mark_Zuckerberg, le patron de Facebook. Les trois personnes les plus riches des États-Unis. Mais ils sont loin d’être les seuls : un mouvement profond s’est enclenché. On peut citer aussi #David_Sacks, autre capitaliste milliardaire de la Silicon Valley, qui vient d’être nommé par Trump en charge d’une politique de développement des cryptoactifs (#Bitcoin et cie), et à la tête du conseil du président pour la science et la technologie.

      L’administration Biden, sans être d’obédience socialiste, a voulu renouer avec une vieille tradition américaine "keynésienne-progressiste", disparue du paysage politique depuis Reagan, consistant à taxer fortement les plus riches, à soumettre les entreprises de taille critique pour l’économie à un contrôle étatique fort, et à démanteler les plus gros groupes monopolistiques considérés comme une menace pour la démocratie. Biden a donc rompu avec la politique de copinage avec la finance et la "Silicon Valley" cultivée par les Démocrates depuis Bill Clinton. Il a validé des accords internationaux sur une imposition mondiale minimale des multinationales, il a soumis les géants d’internet à un contrôle réel de son administration, a encouragé la syndicalisation dans ces entreprises (notamment chez Amazon et Tesla), et a engagé des procédures judiciaires très importantes contre ces entreprises, en exhumant les #lois_anti-trust du début du XXe siècle qui autorisent la justice américaine à démanteler des grandes entreprises lorsqu’elles sont devenues monopolistiques, en les vendant à la découpe. C’est notamment le sort qui était officiellement recherché contre #Google, avec une poursuite engagée par les procureurs de 50 États, ce qui faisait trembler toute la Silicon Valley.

      Je ne suis pas en train de dire que Biden était anticapitaliste, pas le moins du monde, mais enfin il a considéré que le poids et l’autonomie d’action acquises par les géants de l’économie numérique étaient arrivées à un stade critique pour la démocratie américaine, et s’est ouvertement attaqué à leur domination, distandant les liens antérieurs entre ladite "Silicon Valley" et le Parti démocrate. En social-libéral conséquent, il pensait certainement qu’un équilibre devait (et pouvait) être maintenu dans le système capitaliste pour qu’il continue à avancer de pair avec un système démocratique. C’est ce point précis qui explique la rupture de cette classe capitaliste avec les leaders démocrates (au sens premier du terme), pour prêter allégeance collectivement à un leader fasciste. Plutôt un dictateur libéral qu’un démocrate voulant brider le libéralisme économique, pour paraphraser Hayek.

      Là où Trump a été habile politiquement, c’est qu’au cours de la campagne, il n’a pas tendu les bras à ces milliardaires. Il aurait pu dire "Qu’est-ce que ces Démocrates sont ingrats avec vous, moi je serai reconnaissant si vous me soutenez !" Pas le moins du monde. Il a continué à s’en servir comme épouvantail politique pour ses électeurs, en les pointant du doigt comme des agents au service du parti démocrate et du "virus woke", insistant sur le libéralisme culturel qui unissait ces capitalistes californiens au Parti démocrate jusqu’à la présidence Biden. Durant toute l’année 2024, les Jeff Bezos, les Mark Zuckerberg et consorts, se sont retrouvés conspués de toutes parts – pour des raisons différentes. Pris entre le marteau et l’enclume, ils ont été mis sous une pression inédite. C’est pourquoi le retournement est si spectaculaire : quand les deux camps veulent ton scalp, tu as intérêt à t’aligner franchement avec l’un des deux camps, et de préférence celui qui pourra l’emporter, car rester pris entre les deux feux est ce qu’il y a de pire. On l’a vu dans la théâtralisation guignolesque de Zuckerberg, jurant la main sur le cœur qu’il était devenu un conservateur sincère, un vrai bonhomme macho anti-diversité, anti-inclusion, contrairement au portrait que la campagne Trump faisait de lui. C’était en fait contre son gré, forcé par le méchant Biden, qu’il défendait les valeurs opposées il y a encore 3 mois 🤡 Le zèle des transfuges, qui doivent donner des gages à leur nouvelle famille de la solidité de leur fidélité, à défaut de pouvoir convaincre sur la sincérité de leurs convictions. De façon moins pathétique, mais plus significative, Jeff Bezos avait signalé son ralliement en novembre, en censurant la publication d’un éditorial du Washington Post (le quotidien centriste n° 1 du pays), dont il est propriétaire, qui devait appeler à voter contre Trump. Un autre milliardaire de la "tech" californienne, Patrick Soon-Shiong, a fait de même au Los Angeles Times. Le LA Times est le "plus à gauche" des grands quotidiens du pays. Lorsque Soon-Shiong rachète le journal en 2018, il est encore connu pour être un soutien du Parti démocrate, et un donateur important de la campagne d’Hillary Clinton contre Trump. En novembre dernier, en censurant l’éditorial contre Trump, il licencie par la même occasion l’ensemble du comité de rédaction, et annonce que le journal fera désormais "plus de place" aux "opinions conservatrices".

      Derrière l’arrivée au pouvoir d’un mouvement fasciste, se cache en fait un deal consistant à mettre l’État américain dans les mains d’une oligarchie capitaliste, qui a fait le deuil d’une position conciliante avec la démocratie. C’est ce que disait déjà en 2009 l’un de ces nouveaux oligarques, encore un milliardaire de la Silicon Valley, Peter Thiel. Comme Musk et la plupart de ces gens, il se disait depuis longtemps "libertarien". Aux États-Unis, cette étiquette politique permet à une partie des élites économiques de défendre le libéralisme économique tout en se prétendant "neutres" politiquement, "ni droite ni gauche". Comme le RN... ou LREM 🤷 Être libertarien aux US, c’est surtout être "pro-business", et proclamer qu’on se fout des questions de valeurs, qu’elles soient démocratiques, progressistes, religieuses, conservatrices... en soutenant un coup un Démocrate, un coup un Républicain. Dans un article intitulé "L’éducation d’un libertarien", Peter Thiel fait alors une véritable confession : comme la plupart de ses congénères libertariens, il a longtemps prétendu être fermement pro-démocratie, mais c’est fini. Et il se fixe désormais pour tâche de convaincre ses coreligionnaires qu’il faut désormais lutter contre la démocratie, activement.
      Je cite : « I still call myself “libertarian.”
      But I must confess that over the last two decades, I have changed radically on the question of how to achieve these goals. Most importantly, I no longer believe that freedom and democracy are compatible. By tracing out the development of my thinking, I hope to frame some of the challenges faced by all classical liberals today. »

      https://www.cato-unbound.org/.../education-libertarian
      (Je me désigne toujours comme un "libertarien". Mais je dois avouer avoir radicalement changé d’avis au cours des deux dernières décennies sur la façon d’atteindre cet objectif. Pour l’essentiel, je ne crois plus que la liberté et la démocratie soient compatibles. En retraçant l’évolution de mes idées à ce sujet, j’espère fournir un cadre aux défis que rencontrent tous les libéraux classiques aujourd’hui.)

      S’ensuit une lamentation sur la racine du mal : le suffrage universel. Lorsqu’il fut accordé aux femmes, et aux "bénéficiaires des aides sociales" (c’est-à-dire les Noirs), ça a été le début de la fin pour les États-Unis, selon Thiel.
      Peter Thiel a joué le rôle de poisson pilote pour cette classe de milliardaires. C’est le premier à faire son "coming-out" antidémocrate, et le premier à soutenir Trump dès 2016. Musk fut le suivant, rallié par Thiel au cours du mandat de Biden. Derrière la figure publique de Musk, c’est Thiel, beaucoup plus secret et beaucoup plus #idéologue, qui a en réalité le plus de réseaux dans le camp Trump. C’est lui qui a placé #J.D._Vance comme vice-président auprès de Trump. Vance est, littéralement, un employé de Thiel. Thiel le recrute en 2016 pour diriger son fonds d’investissement personnel Mithril Capital. C’est encore lui qui le lance en politique en finançant sa première campagne électorale en 2021. C’est enfin lui qui le présente à Donald Trump, et qui convainc le candidat, avec l’aide de Musk, de le prendre comme vice-président, alors que son profil n’était électoralement pas très intéressant.

      Le deal est signé, Musk se lance à corps perdu dans la campagne pour Trump à l’instant où Vance est choisi.

      Thiel, Musk, et Sacks constituent la fraction la plus idéologisée et la plus réactionnaire de cette classe de milliardaires, dont l’essentiel suit le mouvement par pur intérêt tactique. Ils ne sont donc pas représentatifs de tout leur groupe social, mais leur activisme, désormais au cœur du pouvoir, mérite qu’on s’y attarde.

      Les trois compères font partie de ce que les médias US ont baptisé la "mafia Paypal", car ils ont noué des liens proches au lancement de #Paypal, et continuent à se rendre des services depuis, avec une stratégie d’infiltration de l’État américain (via #SpaceX pour Musk, via la société de renseignement Palantir pour Thiel). Il est intéressant de noter qu’ils ont tous trois grandi au sein de la #bourgeoisie_blanche raciste de l’#Afrique_du_Sud de l’#apartheid. (Un article très bien fait le point à ce sujet : https://www.humanite.fr/en-debat/donald-trump/elon-musk-peter-thiel-david-sacks-et-roelof-botha-les-autres-sud-africains-). Musk et Sacks sont nés en Afrique du Sud, Thiel est Allemand, mais a grandi là-bas car son père travaillait pour la principale mine d’uranium du pays. Le père de Musk était quant à lui déjà millionnaire, propriétaire d’une mine de diamants ; durant l’apartheid, donc autant dire qu’il était esclavagiste de profession. Tous trois ont donc baigné dans l’environnement intellectuel du Parti national afrikaner, fondé notamment par des sympathisants nazis déclarés (Hetzog), qui professaient l’inégalité des races, la pureté génétique, et le droit par onction divine à la domination des autres races.

    • Elon Musk : Peter Thiel, David Sacks et Roelof Botha, les autres sud-africains de l’équipe Trump, Jacqueline Dérens, ancienne militante contre l’apartheid, autrice.
      https://www.humanite.fr/en-debat/donald-trump/elon-musk-peter-thiel-david-sacks-et-roelof-botha-les-autres-sud-africains-

      Tous trois ont uni leurs talents pour lancer la plateforme de paiement Paypal, qui au début n’employait ni femmes, ni Noirs, reflet de leur aversion commune pour le multiculturalisme.

    • La société post-apartheid de Anton Kannemeyer & Conrad Botes, nés respectivement en 67 et 69, deux têtes pensantes de la BD underground sud-africaine, ont créé la revue de bande dessinée « Bitterkomix », alors que l’apartheid était encore en vigueur. Critique acerbe du conservatisme et du racisme.
      https://www.du9.org/entretien/anton-kannemeyer


      https://www.cornelius-boutique.com/product/le-pays-de-judas
      #bandes_dessinées

    • Quand même, on découvre maintenant l’influence de Peter Thiel qui a pourtant toujours conceptualisé à partir de Ayn Rand la philosophie fasciste des GAFAMS ?

      Maintenant qu’on est jusqu’au cou dans leur fosse à purin, que tous les médias ont trouvé formidable d’utiliser FB et consorts depuis presque 20 ans, il faudrait penser à cesser de gazouiller comme des veaux sur X et FB ?

      Ne reste qu’à rire jaune.

      Aucun d’eux ne s’est jamais caché de ses ambitions.

  • Indigenous group resurrects what its people called Houston before the Europeans arrived

    Houston Matters talks with members of the #Atakapa-Ishak Nation to learn about their culture and what their ancestors called Houston a few hundred years ago.

    Long before the Allen Brothers named their settlement along the banks of Buffalo Bayou after General Sam Houston, the hero of the Texas war for independence from Mexico, Houston had another name, and it probably had many, depending on who you asked.

    One of the groups that inhabited the area long before Europeans arrived to colonize the New World was the Atakapa-Ishak people (pronounced “uh-TACK-uh-puh EE-shock”], who lived along the coast of Louisiana and Texas spanning from present-day Houston eastward.

    The descendants of those people and others like them across the country have been working to rediscover, acknowledge, an even reclaim what their people called different locales and geographic features of what would eventually become the United States. Many of those places would be renamed for European colonists or their descendants, like Houston, New Orleans, or Louisiana.

    So, what was Houston called a few hundred years ago, before Europeans arrived?

    Well, if you asked the Atakapa-Ishak people, historical evidence shows they referred to Houston as “#Bear_creek_town."

    And researchers in recent years who’ve been working to resurrect the Atakapa-Ishak language, called #Ishakkoy (or “Ishak talk"), went back to resources on the language and determined their ancestors would’ve said something like “#Šakotayišol_Nunuš.”

    So, you can add that to ways we can refer to our city right alongside Houston, the #Bayou_City, or #Space_City.

    Houston Matters producer Michael Hagerty talked with Edward Chretien, (aka Chief Crying Eagle), the principal chief of the Atakapa-Ishak Nation, and Dr. Jeffery Darensbourg, one of the group’s tribal council members and a former Houstonian.

    They discuss what people should know about their tribe’s history and culture. They clear up a common misconception that the Atakapa-Ishak were cannibals. They explain what it takes to reconstruct their language — and in the process reclaiming their names for geographic places. And they talk about what it means to them to do so.

    https://www.houstonpublicmedia.org/articles/shows/houston-matters/2024/11/19/506474/indigenous-group-resurrects-what-its-people-called-houston-befor
    #USA #Etats-Unis #toponymie #toponymie_autochtone #toponymie_politique #Houston #noms_de_ville #colonisation
    ping @cede

  • Les milliardaires financent une nouvelle #université « #anti-woke »

    Au #Texas, une université « anti-woke » ouvre ses portes. L’alma mater a récolté 200 millions de dollars de dons, notamment après les événements du 7 octobre. L’Université se veut apolitique, mais le bord politique de ses importants donateurs interrogent.

    Mécontent du système académique, certains ont trouvé la parade parfaite en ouvrant leur propre université au Texas. Jusqu’ici rien de très surprenant. La particularité de cette école ? C’est une université « anti-woke ».

    Il semble que cette idée séduit puisque près de 200 millions de dollars ont déjà été récoltés, souligne le « Wall Street Journal » dimanche 13 octobre. Parmi les généreux donateurs, figurent plusieurs grosses fortunes américaines. L’argent a notamment afflué depuis les événements du 7 octobre 2023 en Israël.
    Une mission ambitieuse

    La mission de l’Université d’Austin (UATX), qui se dit apolitique, est audacieuse : elle veut favoriser le débat ouvert, la liberté académique et une « quête intrépide de la vérité », tout en mettant l’accent sur l’entrepreneuriat. En effet, de nombreux donateurs fortunés estiment que les universités sont trop progressistes. Ils se disent attirés par l’idée d’une école alternative qui encouragerait la réussite méritocratique et une multitude de points de vue.

    Harlan crow, promoteur immobilier miliardaire et contributeur de l’UATX explique : « Aujourd’hui, une grande partie de l’enseignement supérieur semble vouloir rejeter les réalisations occidentales et les réalisations des civilisations occidentales dans leur intégralité. »

    De cette volonté est donc née l’UATX qui a accueilli sa première volée de 95 élèves en septembre dernier. Les étudiants ont reçu un exemplaire de l’Odysée d’Homer lors de leur inscription.
    Le 7 octobre comme moteur

    Une vidéo publiée sur le compte Youtube de l’école met en contraste les scènes de manifestations pro-palestiniennes sur les campus américains avec un séminaire de l’UATX. La vidéo se termine avec le message : « Ils brûlent, nous construisons. »

    Il faut dire que les événements du 7 octobre ont fait les affaires de l’uni « anti-woke ». A partir de cette date, la collecte de fonds s’est emballée. Le « Wall Street Journal » explique que les donateurs estiment que la liberté d’expression s’applique de manière sélective sur les campus.

    #Niall_Ferguson, historien et co-fondateur de l’institution détaille : « Il a fallu ce qui s’est passé au lendemain du 7 octobre sur les principaux campus pour convaincre Wall Street et les gens de la Silicon Valley, qu’il y avait vraiment un problème. »

    Une collaboration avec #Elon_Musk

    Les dirigeants de #SpaceX et #Boring_Company, la société d’Elon Musk, contribuent à l’élaboration du programme d’études en ingénierie de l’école. Le patron de Tesla n’est pas le seul à être attiré par le projet. Le co-fondateur de #Paypal, #Peter_Thiel, a aussi tenu à apporter sa pierre à l’édifice.

    Si l’école se revendique apolitique, la provenance de ses gros donateurs questionne. En effet, les plus importants sont acquis à la cause républicaine et finance les campagnes des candidats du parti à l’éléphant.

    Pour l’heure, l’UATX n’est pas encore accréditée. Elle ne pourra l’être qu’après la promotion de sa première volée. Les élèves ont reçu une bourse de 130’000 dollars afin de compenser les risques pris. Plus de 40% des étudiants inscrits viennent du Texas et un tiers sont des femmes. A voir, si les étudiants seront aussi enthousiastes que les donateurs.

    https://www.blick.ch/fr/news/monde/plusieurs-millions-recoltes-les-milliardaires-financent-une-nouvelle-universit
    #USA #Etats-Unis #facs #woke #vérité #liberté_académique #Université_d'Austin (#UATX) #entrepreneuriat #progressisme #méritocratie #Harlan_Crow #ESR #enseignement_supérieur

  • Mercury’s magnetic landscape mapped in 30 minutes

    via https://diasp.eu/p/17166240

    https://www.esa.int/Science_Exploration/Space_Science/BepiColombo/Mercury_s_magnetic_landscape_mapped_in_30_minutes

    As BepiColombo sped past Mercury during its June 2023 flyby, it encountered a variety of features in the tiny planet’s magnetic field. These measurements provide a tantalising taste of the mysteries that the mission is set to investigate when it arrives in orbit around the Solar System’s innermost planet.

    #news #space #science #esa #europeanspaceagency

  • Tracy C. Dyson de retour sur Terre : Les Russes à la rescousse des astronautes américains lemediaen442

    Quand la NASA réalise qu’elle ne peut pas se passer des Russes ! Après un long séjour dans l’espace, les astronautes américains, dont Tracy C. Dyson, sont rentrés grâce à Roscosmos. Qui aurait cru que la dépendance serait si… galactique ?

    La physicienne et astronaute américaine Tracy C. Dyson a finalement foulé le sol terrestre après une aventure épuisante dans l’espace, à bord d’un vaisseau Soyouz MS25 . Elle a été secourue, tenez-vous bien, par des cosmonautes russes de l’agence Roscosmos, Oleg Kononenko et Nikolaï Chub.
    . . . . .

    La suite : https://lemediaen442.fr/tracy-c-dyson-de-retour-sur-terre-les-russes-a-la-rescousse-des-astrona

    #Femme #espace #nasa #space #terre #Russie #usa #astronautes #politique #en_vedette #Roscosmos #sauvetage

    • Une astronaute « abandonnée par la Nasa » ramenée par les Russes sur Terre ? Attention à cette rumeur
      https://www.20minutes.fr/monde/4111931-20240925-astronaute-abandonnee-nasa-ramenee-russes-terre-attention

      (...)

      « Après avoir passé 184 jours dans l’espace, [Tracy] Dyson a achevé une mission de recherche de six mois à bord de la Station spatiale internationale le 23 septembre et, comme prévu, est revenue sur Terre à bord d’un Soyouz avec les cosmonautes de Roscosmos Oleg Kononenko et Nikolai Chub », confirme Josh Finch, de la direction des missions d’opérations spatiales de la Nasa, contacté par mail par 20 Minutes.

      (...)

      Il est d’ailleurs possible que la fausse information trouve sa source dans cette actualité, cette fois bien réelle : deux astronautes américains sont en ce moment bloqués dans l’ISS.

      (...)

      Disons les choses autrement :
      – Les américains qui voyagent avec les russes arrivent à bon port
      – Les américains qui voyagent entre eux, ce n’est pas toujours le cas

  • King Bufallo - Dead Star
    https://kingbuffalo.bandcamp.com/track/red-star-pt-2-radio-edit

    Built with the backs of the destitute
    The monolith stands wicked and red
    Its cold black eyes gaze down shrouded in obsidian

    Reaping the blood of the innocent
    The obelisk demands a sacrifice
    The times come for the shackled ones
    To bring the tower, down down down

    It’s getting late for the demagogues
    Dispensing misery to the populous
    Bellowing screams shout enough is enough

    No more blood for the opulent
    Damnation to the citadel
    Nothing to lose but the weight of the chains
    Burn the castle, down down down

    #space_rock

  • Le tourisme pour ultra-riches, un créneau en plein essor Jean-François Sacré - L’Echo

    L’accident du Titan a mis au grand jour l’essor du tourisme pour « super riches ». Des abysses à l’espace, ces voyages de l’extrême fascinent...
    La disparition des cinq passagers du micro sous-marin Titan affrété par la société OceanGate dans l’Atlantique Nord fut sans doute l’événement le plus médiatisé de la semaine. Ce qui en dit long sur les priorités sociétales du moment.

    Cette « expédition » de l’extrême, à 250.000 dollars par passager, est l’illustration d’une tendance que Jean-Michel Decroly, professeur en sciences et gestion du tourisme à l’ULB appelle le « cénotropisme » (du grec kénos, vide) : « Il y a une attirance croissante pour les lieux vides de toute âme humaine, qu’il s’agisse des profondeurs des océans, de l’espace, des plus hauts sommets de la terre ou les étendues désertiques, des endroits inaccessibles au commun des mortels », relève-t-il.


    Le 27 juin prochain, Virgin Galactic, la société d’expédition spatiale de Richard Branson (photo), lancera son premier vol commercial. ©ABACA

    « Avec la massification du tourisme et au fur et à mesure que l’écart entre les ultra-riches et les autres augmente, ce besoin d’exclusivité ne fait que s’accentuer. » Jean-Michel Decroly, Professeur en sciences et gestion du tourisme à l’ULB

    Dans le cas du Titan, s’y ajoute l’objet du voyage : l’exploration de l’épave du mythique Titanic qui git depuis 111 ans, scindé, à 4.000 mètres de profondeur : « Il y a toujours une fascination sur les privilèges des ultra-riches, poursuit l’expert, mais quand ils peuvent aller explorer le Titanic, cela amplifie la médiatisation. »

    Pour Jean-Michel Decroly, le phénomène remonte même à la deuxième partie du 19e siècle, lorsque les classes aisées anglaises fuyaient la foule d’estivants des côtes pour se réfugier dans de luxueuses villas sur la Côte d’Azur. « Avec la massification du tourisme et au fur et à mesure que l’écart entre les ultra-riches et les autres augmente, ce besoin d’exclusivité ne fait que s’accentuer. »

    Entre luxe et environnement, le délicat exercice d’équilibre de la compagnie Ponant
    L’exclusivité, c’est essentiellement ce que vend une compagnie maritime comme Ponant, spécialisée dans les croisières de grand luxe lorsqu’elle se vante « d’aller là où les autres ne vont pas », comme les deux pôles – compter 44.000 euros par personne pour un mois dans l’Antarctique –, transformant le touriste fortuné en « explorateur ».

    Tourisme spatial
    Mais, en matière de voyages exclusifs, Ponant semble être un petit joueur – même si comparaison n’est pas raison. Le prix de certaines expéditions atteint des montants extravagants. En 2001, l’homme d’affaires californien Dennis Tito a ainsi embarqué, moyennant 20 millions de dollars, pour sept jours à bord de la mission Soyouz TM-32. Il est ainsi devenu le premier touriste de l’espace, avant que quelques autres milliardaires bien connus - Jeff Bezos, Elon Musk et Richard Branson – ne décident d’en faire un véritable business.

    Afin d’embarquer à bord de Virgin Galactic, il faudra compter 450.000 dollars... Pour quelques minutes dans l’espace.
    Fondateur d’Amazon, le premier a créé la société Blue Origin qui se propose d’envoyer des voyageurs en apesanteur à 100 kilomètres d’altitude pour observer la courbure de la terre. Plusieurs voyages ont déjà effectué pour un coût minimal de 200.000 dollars par passager. La semaine prochaine, le 27 juin, la compagnie Virgin Galactic du milliardaire britannique Richard Branson lancera son premier vol commercial, suivi d’un autre en août, avant d’adopter un rythme mensuel, ce qui laisse sous-entendre qu’il y a une véritable demande pour ce genre de folie à 450.000 dollars pour quelques minutes dans l’espace. Mais ce n’est rien à côté d’Elon Musk et sa compagnie SpaceX, qui proposent aux passagers de passer plusieurs jours en orbite autour de la Terre, moyennant 55 millions de dollars.

    Le phénomène ne risque pas de se tarir. Car, comme le souligne Jean-Michel Decroly, la richesse s’est mondialisée avec des milliardaires issus de pays émergents comme la Chine, la Russie ou l’Inde. À bord du Titan figurait ainsi l’homme d’affaires d’origine pakistanaise Shahzada Dawood.

    Faut-il réguler ?
    Une aubaine pour les organisateurs de ce type d’expédition qui ont beau jeu de mettre en avant, comme le fait Ponant « une expérience dont vous vous souviendrez toute votre vie ». Par eux, l’agence flandrienne Starling, citée par De Standaard, qui propose, entre autres, des excursions en Alaska à la rencontre des grizzlis, des expéditions au pôle Sud pour observer les manchots empereurs moyennant 75.000 euros par personne ou encore une aventure dans la forêt tropicale de Bornéo à la recherche de la panthère nébuleuse.

    L’ascension de l‘Everest reste un grand classique qui se monnaie de plus en plus cher.
    Cette soif d’aventure exclusive et inédite des ultra-fortunés est aussi amplifiée par l’omniprésence des réseaux sociaux. Quoi de plus valorisant pour l’ego – même des plus blasés – que de poster un selfie à 8.849 mètres d’altitude au sommet de l’Everest. Et tant pis pour ce que beaucoup considèrent comme des loisirs élitistes et des non-sens écologiques.

    Faut-il dès lors les réguler ? Interdire l’accès à certains sites ? « Idéalement oui », répond Jean-Michel Decroly. « Mais il y a souvent derrière des enjeux économiques vitaux pour des populations locales comme, par exemple, au Népal. » L’ascension de l‘ Everest reste en effet un grand classique, mais qui se monnaie de plus en plus cher. Selon différents sites spécialisés il faut compter entre 40.000 et 200.000 dollars selon les services recherchés, dont le permis d’ascension de 11.000 dollars exigé par le Népal. À en juger par d’étonnantes photos de files d’attente à l’approche du sommet, le business de l’Everest semble florissant. D’où cet étonnant paradoxe qu’aujourd’hui même grimper sur le "toit du monde" commence à perdre son caractère exclusif.

    #pollution par les #super_riches #co2 #privilèges #titan #titanic #business #virgin_galactic #richard_branson #tourisme des #ultra-riches #jeff_bezos #elon_musk #virgin_galactic #blue_origin #spaceX #égo

    Source : https://www.lecho.be/entreprises/tourisme/le-tourisme-pour-ultra-riches-un-creneau-en-plein-essor/10476660.html?_sp_ses=73c9e887-6831-4a3a-9a3b-2eff958868a6

  • [Naar de Maan] Naar De Maan 22052023
    https://www.radiopanik.org/emissions/naar-de-maan/naar-de-maan-22052023

    Emission de / uitzending van 22/05/2023 w/ audio from #nasa's Gemini 10 #mission https://archive.org/details/Gemini10/281711Of18.wav

    Gemini 10 was the eighth crewed Earth-orbiting spacecraft of the Gemini series, carrying astronauts John Young and Michael Collins. Its primary purpose was to conduct rendezvous and docking tests with the Agena target vehicle. The mission plan included a rendezvous with the Gemini 8 Agena target, two extravehicular activity (EVA) excursions, and the performance of 15 scientific, technological, and medical experiments. The scientific experiments were related to (1) zodiacal light, synoptic terrain, and synoptic weather photography, (2) micrometeorite collections, (3) UV astronomical camera, (4) ion wake measurements, and (5) meteoroid erosion.

    Voice (...)

    #space #kosmos #space,kosmos,mission,nasa
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/naar-de-maan/naar-de-maan-22052023_15924__1.mp3

  • J’aurais aimé pouvoir rire de cette mésaventure mais finalement je ressens plutôt une grande #sidération ...

    Starship : cet automobiliste n’aurait pas dû se garer à côté du pas de tir
    https://www.huffingtonpost.fr/international/article/starship-cet-automobiliste-n-aurait-pas-du-se-garer-a-cote-du-pas-de-

    « Nous avons réussi à quitter le pas de tir, ce qui honnêtement était tout ce que nous espérions », a déclaré une ingénieure de SpaceX, Kate Tice, lors du direct vidéo de la société.

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1649052736149762048/pu/vid/1280x720/bL2sSBMzvnmP_s6u.mp4?tag=12

    VR Cam caught some spectacular footage as #SuperHeavy rocked #SpaceX #Starbase this morning. I am floored at the amount of debris that was ejected. Waiting on Rover 2 damage assessment. Congratulations @elonmusk
    on pulling this historical launch!

    https://twitter.com/LabPadre/status/1649053476276797440

  • Publier le #code_source ne suffit pas…
    https://framablog.org/2023/04/17/publier-le-code-source-ne-suffit-pas

    Un court billet où Nicolas #Kayser-Bril opère une mise au point : la loi européenne et les grandes entreprises du Web peuvent donner accès au code source, mais ce n’est qu’un facteur parmi d’autres qui s’avère souvent inutile à lui seul… … Lire la suite­­

    #Droits_numériques #Enjeux_du_numérique #Traductions #Algorithmwatch #CNAF #open_source #pull_request #Spaces #Twitter #Ukraine

  • Hobby Club’s Missing Balloon Feared Shot Down By USAF | Aviation Week Network
    https://aviationweek.com/defense-space/aircraft-propulsion/hobby-clubs-missing-balloon-feared-shot-down-usaf

    Voilà un article qui confirme ma conviction que le militaire réunit l’élite des idiots de chaque pays. En France j’ai entendu l’expression « plus con tu meurs ». Je commence à en saisir la signification tragique. En effet il faut une sacrée dose d’idiotie pour mourir pour son pays. Là les choses sont moins graves. L’armée de l’air étatsunienne a dépensé quelques millions pour des missiles Sidewinder afin de pulvériser des jouets aeronautiques C’est un fait d’armes digne de la sérîe télévisée Space Force . J’adore les militaires quand ils nous font rire.

    https://www.youtube.com/watch?v=xDLvUqhwHZc

    16.2.2023 by Steve Trimble - A small, globe-trotting balloon declared “missing in action” by an Illinois-based hobbyist club on Feb. 15 has emerged as a candidate to explain one of the three mystery objects shot down by four heat-seeking missiles launched by U.S. Air Force fighters since Feb. 10.

    The club—the Northern Illinois Bottlecap Balloon Brigade (NIBBB)—is not pointing fingers yet.

    But the circumstantial evidence is at least intriguing. The club’s silver-coated, party-style, “pico balloon” reported its last position on Feb. 10 at 38,910 ft. off the west coast of Alaska, and a popular forecasting tool—the HYSPLIT model provided by the National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA)—projected the cylindrically shaped object would be floating high over the central part of the Yukon Territory on Feb. 11. That is the same day a Lockheed Martin F-22 shot down an unidentified object of a similar description and altitude in the same general area.

    There are suspicions among other prominent members of the small, pico-ballooning enthusiasts’ community, which combines ham radio and high-altitude ballooning into a single, relatively affordable hobby.

    “I tried contacting our military and the FBI—and just got the runaround—to try to enlighten them on what a lot of these things probably are. And they’re going to look not too intelligent to be shooting them down,” says Ron Meadows, the founder of Scientific Balloon Solutions (SBS), a Silicon Valley company that makes purpose-built pico balloons for hobbyists, educators and scientists.

    The descriptions of all three unidentified objects shot down Feb. 10-12 match the shapes, altitudes and payloads of the small pico balloons, which can usually be purchased for $12-180 each, depending on the type.

    “I’m guessing probably they were pico balloons,” said Tom Medlin, a retired FedEx engineer and co-host of the Amateur Radio Roundtable show. Medlin has three pico balloons in flight in the Northern and Southern hemispheres.

    Aviation Week contacted a host of government agencies, including the FBI, North American Aerospace Defense Command (NORAD), the National Security Council (NSC) and the Office of the Secretary of Defense for comment about the possibility of pico balloons. The NSC did not respond to repeated requests. The FBI and OSD did not acknowledge that harmless pico balloons are being considered as possible identities for the mystery objects shot down by the Air Force.

    “I have no update for you from NORAD on these objects,” a NORAD spokesman says.

    On Feb. 15, NSC spokesman John Kirby told reporters all three objects “could just be balloons tied to some commercial or benign purpose,” but he did not mention the possibility of pico balloons.

    Launching high-altitude, circumnavigational pico balloons has emerged only within the past decade. Meadows and his son Lee discovered it was possible to calculate the amount of helium gas necessary to make a common latex balloon neutrally buoyant at altitudes above 43,000 ft. The balloons carry an 11-gram tracker on a tether, along with HF and VHF/UHF antennas to update their positions to ham radio receivers around the world. At any given moment, several dozen such balloons are aloft, with some circling the globe several times before they malfunction or fail for other reasons. The launch teams seldom recover their balloons.

    The balloons can come in several forms. Some enthusiasts still use common, Mylar party balloons, with a set of published calculations to determine the amount of gas to inject. But the round-shaped Mylar balloons often are unable to ascend higher than 20,000-30,000 ft., so some pico balloonists have upgraded to different materials.

    Medlin says he uses a foil balloon sold by Japanese company Yokohama for $12. The material has proven to be resilient for long periods at high altitude, he says, even if the manufacturer never intended the balloon to be used for that purpose. An alternative is Meadows’ SBS, which makes a series of balloons designed specially for circumnavigational flights.

    The pico-ballooning community is nervous about the negative attention by some members of Congress and the White House, who have called the objects shot down at altitudes of 20,000-40,000 ft. dangerous to civil aviation.

    “We did assess that their altitudes were considerably lower than the Chinese high-altitude balloon and did pose a threat to civilian commercial air traffic,” Kirby says. “And while we have no specific reason to suspect that they were conducting surveillance of any kind, we couldn’t rule that out.”

    In fact, the pico balloons weigh less than 6 lb. and therefore are exempt from most FAA airspace restrictions, Meadows and Medlin said. Three countries—North Korea, Yemen and the UK­—restrict transmissions from balloons in their airspace, so the community has integrated geofencing software into the tracking devices. The balloons still overfly the countries, but do not transmit their positions over their airspace.

    The community is also nervous that their balloons could be shot down next. Medlin says one of his balloons—call sign W5KUB-112—is projected by HYSPLIT to enter U.S. airspace on Feb. 17. It already circumnavigated the globe several times, but its trajectory last carried the object over China before it will enter either Mexican or U.S. airspace.

    “I hope,” Medlin said, “that in the next few days when that happens we’re not real trigger-happy and start shooting down everything.”
    What Is a Pico Balloon?

    Pico balloons are typically about 3 ft. in diameter on the ground before they are launched. As they ascend to altitudes of 20,000-50,000 ft., the super-pressure balloon envelope expands by about 2-3 times in size and achieves neutral buoyancy, allowing them to float at a roughly consistent altitude. Wind currents then push them through the atmosphere, with some balloons capable of circling the world several times before they pop or fall.

    The balloon owners keep track of them through HF and VHF/UHF radio links. A small GPS tracking device is attached to the balloon by a tether. The balloon broadcasts its position using the WSPR protocol on HF and the ASPR standard for line-of-sight on VHF/UHF. Most pico balloons lack the lifting power to carry batteries, so the tracking coordinates usually are broadcast in daylight hours, with tiny attached solar arrays sending power to the transmitter.

    #militaire #wtf

  • Attentat ? Explosion de gaz ? Bombe ? Terminator ? Non, une tesla tout simplement Assistance à la conduite

    https://www.youtube.com/watch?v=2RKIJNm-lfQ

    L’essentiel, c’était de supprimer le levier de frein à main.

    Bon, juste avant c’était certains qui ne pouvaient pas accéder à leur bagnole à cause d’un bug dans le serveur...

    #tesla #voiture_autonome #voiture #elon_musk #automobile #algorithme #innovation #disruption #technologisme #transport #robotisation #voiture_électrique #spacex #Paris

  • Polluer avec Elon Musk et les « mineurs » de bitcoin chinois Philippe Mabille

    Ne dites plus « je spécule sur les cryptos » mais « je pollue avec Elon Musk dans une « mine » à charbon chinoise ». Depuis que le fondateur de Tesla s’est rendu compte que sa proposition de payer sa voiture électrique en bitcoin avait un bilan carbone désastreux, rien ne va plus pour la monnaie digitale. Coup de com’ du trublion ou, comme l’affirme dans notre interview un expert acquis à la cause, les conséquences des « pressions » menées par les anti-bitcoins ? Preuve, s’il en est, que le bitcoin, qui représente déjà la consommation énergétique de l’Italie, devient un problème macro et politique.

    Que s’est-il passé entre le 24 mars, lorsque le fantasque milliardaire a lancé sur Twitter son « you can now buy a Tesla with bitcoin » et son changement de pied de cette semaine ? Réponse : 1 milliard de dollars de gains sur son investissement de 1,5 milliard dans la crypto-vedette et surtout une volée de bois, vert évidemment, de la part de quelques détracteurs qui ont fait les comptes : comme le mix énergétique en Chine utilise principalement des centrales à charbon, il y a là de quoi remettre en cause la lutte contre le réchauffement de la planète. Tout cela en quelques clics... . . .

    La suite : https://www.latribune.fr/opinions/editos/polluer-avec-elon-musk-et-les-mineurs-de-bitcoin-chinois-884652.html

    #tesla #elon_musk #électricité #énergie #spacex #bitcoin #espace #silicon_valley #intelligence_artificielle #voiture_électrique #en_vedette #technologisme #automobile #capitalisme #transhumanisme #technologie #énergie #ia

  • Le maire de Gravelines refuse le permis de construire pour les antennes relais d’Elon Musk Mercredi 28 avril 2021 - Par Romane Porcon
    https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-maire-de-gravelines-refuse-le-permis-de-construire-pour-les-antennes-r

    Le maire de Gravelines refuse d’accorder le permis de construire pour les antennes relais au sol que la société d’Elon Musk, SpaceX, veut implanter dans sa commune pour son projet Starlink d’internet par satellite.

    Après avoir dans un premier temps accepté le permis de construire de la base terrestre de Starlink, le maire de Gravelines refuse finalement d’accorder le permis de construire pour les antennes relais au sol que la société d’Elon Musk, SpaceX, veut implanter dans sa commune. Une décision prise par Bertrand Ringot au motif que l’entreprise partenaire, Centurylink, n’a pas répondu aux demandes de prise en charge financière du raccordement au réseau public d’électricité des 9 antennes de télécommunications qui seraient installées, selon l’arrêté municipal daté du 26 avril. 

    Dans un courrier du 5 mars, M. Ringot avait par ailleurs demandé à l’entreprise de fournir des documents « prévus par les textes », en français, sur l’exposition aux champs électromagnétiques générées pour les personnes travaillant ou vivant à proximité. Il n’a pas obtenu de réponse. L’élu avait rendu en novembre un avis favorable, avant de se raviser avec un avis défavorable en mars. Centurylink pourra soit redéposer un permis modifié, soit contester en justice l’arrêté, selon Monsieur Ringot. 

    La société SpaceX, dirigée par Elon Musk, voudrait installer sur cette commune du littoral proche de Dunkerque, neuf dômes de 1,5 m de diamètre dans un enclos de 240 m2. Ils communiqueraient avec les satellites privés que le milliardaire est en train de mettre en orbite à une altitude relativement basse pour fournir un internet haut débit, partout sur le globe, avec un temps de réponse très rapide. Les fusées SpaceX ont à ce jour mis en orbite autour de la Terre environ un millier de satellites pour ce projet d’envergure mondiale baptisé Starlink. En France, l’Agence nationale des fréquences en a autorisé trois, à Villenave d’Ornon (Gironde), Gravelines et Saint-Senier-de-Beuvron (Manche), mais dans ce dernier village de 350 habitants, la mairie s’y oppose par principe de précaution. 

    #spacex #starlink #elon_musk #5g #tesla #espace #satellite #technologisme #saloperies #Dunkerque #technologie #internet #antennes_relais #champs_électromagnétiques #Centurylink