Spécisme : l’exploitation ignorée ? – PLL X Comme un poisson dans l’eau
▻https://radioparleur.net/2023/02/14/specisme-antispecisme-exploitation-animaux
Création du Parti animaliste, dénonciation des abattoirs par l’association L214 ou encore proposition de loi sur la corrida… Les engagements antispécistes ce sont fait une place dans le paysage des luttes en France. Ils souffrent pourtant d’une réputation de cause « auxiliaire » dans les milieux de gauche. Chez Radio Parleur par exemple, on n’avait […] L’article Spécisme : l’exploitation ignorée ? – PLL X Comme un poisson dans l’eau est apparu en premier sur Radio Parleur.
]]>Qui va à la chasse
▻https://laviedesidees.fr/stepanoff-L-animal-et-la-mort.html
À propos de : Charles Stépanoff, L’animal et la #mort. Chasse, modernité et crise du sauvage, La Découverte. Les chasseurs sont davantage préoccupés des fragilités de la nature qu’on ne le croit généralement. Ils en sont les premiers témoins et leur relation à l’animal n’est pas seulement faite de prédation aveugle.
#Société #anthropologie #animaux
▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20211022_animal.docx
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20211022_animal.pdf
Le mouvement de défense des animaux, mouvement planétaire et désormais vieux de 150 ans, serait en nombre le premier mouvement de femmes, avant les mouvements féministes eux-mêmes ; en effet, 68 à 80 % des militants pour les animaux sont des femmes. Pourquoi les femmes ont-elles été les premières à prendre conscience de l’exploitation des animaux par les humains, que ce soit dans l’élevage, les cirques, la vivisection, à la chasse comme à la corrida ?
« Le spécisme se fonde sur une appropriation directe, physique des autres animaux et tente de se légitimer par l’idée d’un ordre du monde naturellement hiérarchisé. Ce schéma présente de nombreux points communs avec d’autres systèmes d’oppression, notamment ceux du racisme, du capacitisme et du sexisme. En raison de cette matrice commune, l’antispécisme apporte des points de vue nouveaux aux autres luttes progressistes et à la pensée éthique et politique en général. »
Deux critiques de livres sur mon blog :
▻http://hypathie.blogspot.com/2020/11/feminisme-et-cause-animale-solidarite.html
Véganisme et capitalisme – Floraison(s)
▻https://lesfloraisons.wordpress.com/2019/12/13/veganisme-et-capitalisme
Peut-être que l’émancipation humaine peut avoir lieu sans la libération des animaux, mais la libération des animaux n’aura pas lieu sans l’émancipation humaine. Et si ces luttes ont trouvé au cours de l’histoire des points d’alliance, il est plus que jamais temps de nouer des liens. Le véganisme est un projet porteur des perspectives nouvelles et libératrices, qui peut réinterroger de manière radicale notre rapport au monde, et qui invoque l’empathie autant que la raison dans nos luttes politiques.
]]>Cause animale, véganisme et antispécisme | Le mensuel de LO
►https://mensuel.lutte-ouvriere.org/2019/06/29/cause-animale-veganisme-et-antispecisme_132985.html
Cet exposé a été présenté à la fête de #Lutte_Ouvrière à Presles (8-10 juin derniers), parmi plusieurs dizaines d’autres conférences-débats.
Sommaire :
– Les rapports entre humains et animaux : toute une histoire
– Les animaux désormais soumis à la loi du profit
– La souffrance animale dans l’industrie de la viande
– Les vrais responsables, les capitalistes
– Tous coupables selon les antispécistes
– La mode végane, nouvelle source de profit
– Les marxistes, soucieux de la protection de la nature
– Le programme révolutionnaire et la #cause_animale
– Renverser le système capitaliste, la mère de toutes les batailles
#capitalisme #alimentation #véganisme #végétariannisme #spécisme #marxisme
]]>Meurthe-et-Moselle : chanson polémique dans une école, un syndicat de police porte plainte (Le Figaro)
▻http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/03/29/01016-20190329ARTFIG00055-meurthe-et-moselle-chanson-polemique-dans-une-eco
France Police a décidé de porter plainte contre l’Éducation nationale et le directeur d’une école primaire de Ludres à cause de la chanson choisie pour le spectacle de fin d’année. D’après le syndicat, les paroles « appellent à la haine ».
Fichtre, de quoi s’agit-il exactement ?
Dans la classe de CE1 de l’école primaire Jacques-Prévert à Ludres (Meurthe-et-Moselle), les enseignants et la direction ont choisi d’apprendre aux enfants des chansons de l’artiste Guillaume Aldebert pour le spectacle de fin d’année. Mais les paroles de l’une d’elles ont déplu à certains parents d’élèves.
[…]
L’auteur de chansons pour enfants écrit aussi : « faire pipi sur un policier », « prendre en otage ma petite sœur », « faire sauter la salle de classe à la dynamite ».
L’un des parents, qui s’est livré à L’Est Républicain, considère que ce texte est « contraire aux valeurs de la République telles que doit les promouvoir l’école ». Il estime également que « dans le contexte que nous vivons, apprendre ce texte à des enfants de 7 ans (...) semble pour le moins inapproprié. »
#éducation #école #spectacle_de_fin_d'année
Le communiqué du syndicat de policiers
Source : ▻https://www.facebook.com/SyndicatFrancePolice/posts/2094137410704702
Syndicat France Police policiers en colère
28 mars, 13:25 ·
Le syndicat France Police - Policiers en colère dépose plainte contre le directeur de l’école Jacques Prévert à Ludres et l’Education Nationale en tant que personne morale pour incitation au terrorisme, provocation d’un mineur à commettre un crime ou un délit et diffamation.
Dans cette école de la « République » de Meurthe-et-Moselle, l’Education nationale a décidé d’intégrer dans ses programmes pédagogiques, l’apprentissage aux enfants de « l’œuvre » d’un « artiste » très engagé.
Voici les paroles que les enseignants font apprendre à leurs élèves :
« Faire pipi sur un policier […], prendre en otage ma p’tite sœur […], faire sauter la salle de classe à la dynamite […] Pour louper l’école ».
Le ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer n’a pour l’heure pas réagi ni d’ailleurs le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.
Notre syndicat étendra le champ de sa plainte pénale à la personne du ministre Blanquer pour complicité si ce dernier ne fait pas immédiatement cesser les infractions.
Guillaume Aldebert serait, semble-t-il, un artiste de référence dans de nombreuses écoles.. Il est vrai que là il y a du niveau..
Laisser l’école de la République se transformer en école de la haine témoigne du niveau de déliquescence de nos Institutions et du degrés de responsabilité ou d’irresponsabilité de nos politiciens.
]]>Quand un homme prétend « faire son marché … | « Singulier masculin
▻https://singuliermasculin.com/2019/01/09/quand-un-homme-pretend-faire-son-marche/#comment-287
Ainsi donc un homme de 50 ans, faisant le métier de « bonimenteur médiatique » (un saltimbanque de notre société du spectacle) a déclaré tout de go à la question » Pourriez-vous draguer quelqu’un de 50 ans et plus ? « :
« Ça, ce n’est pas possible. Je trouve ça trop vieux. Quand j’en aurai 60, j’en serai capable. 50 ans me paraîtra alors jeune […] Je préfère le corps des femmes jeunes, c’est tout. Point. Je ne vais pas vous mentir. Un corps de femme de 25 ans, c’est extraordinaire ».
Auparavant, il avait annoncé qu’il n’était plus célibataire depuis quelques mois :
« Je ne sors qu’avec des Asiatiques. Essentiellement des Coréennes, des Chinoises, des Japonaises. Je ne m’en vante pas. Beaucoup de gens seraient incapables de vous l’avouer car c’est du racialisme. C’est peut-être triste et réducteur pour les femmes avec qui je sors, mais le genre asiatique est suffisamment riche, large et infini pour que je n’en aie pas honte ».
Passons sur l’intérêt et la qualité des questions, passons sur les thématiques avancées par un « magazine féminin », passons sur la personnalité du type « sale gamin » de l’interviewé. Et passons sur les répercussions en tous sens que cette déclaration a suscité : on y revient plus loin.
L’intérêt, c’est de voir affirmé le privilège du dominant. Monsieur a ses préférences, Monsieur a ses exclusions, Monsieur a ses choix. Et cela lui parait tout normal. Tout normal de l’afficher sans honte. Son sexisme et son racisme et son âgisme. Monsieur ne cherche pas à rencontrer une personne humaine, une relation qui enrichit sa vie. Non, il a des critères d’âge et de physique. Son idéal ; « un corps de femme de 25 ans ». Monsieur prétend avoir le droit de « faire son marché ».
]]>Bouchers traumatisés : le chef des viandards leur offre sa grosse heure.
▻http://www.liberation.fr/france/2018/07/03/gerard-collomb-nouveau-joker-des-bouchers-charcutiers-contre-les-vegans_1
Reçus pendant une grosse heure au ministère, les artisans bouchers-charcutiers ressortent de cet entretien « avec l’impression d’avoir été entendus et d’avoir fait comprendre au gouvernement l’ampleur du phénomène de violence dont ils sont les victimes ».
]]>Faut-il tuer ces rats que Paris ne saurait voir ? (Et qui éliminent des tonnes de déchets accumulés par les humains !)
On s’acharne contre ceux que l’on appelle des animaux « liminaires ». Ni domestiques ni sauvages, ils vivent avec nous en ville. Mais pourquoi l’espace urbain serait-il réservé aux êtres humains ?
Nous devons à Sue Donaldson et à Will Kymlicka, connus l’une pour ses études sur les droits des animaux, l’autre pour ses travaux sur le multiculturalisme, d’avoir remis en cause la distinction binaire entre les animaux domestiques et les animaux sauvages en définissant une troisième catégorie, celle des animaux « liminaires ». Dans Zoopolis, dont la traduction française vient de paraître aux éditions Alma, les deux philosophes observent qu’il existe « une grande variété d’espèces non domestiques qui se sont adaptées aux espaces habités par les humains », soit que ces animaux trouvent quelque avantage à vivre parmi nous (nourriture, abri, protection contre les prédateurs, etc.), soit que nous ayons occupé, encerclé ou détruit leur habitat naturel.
Prisonniers de la distinction que nous avons établie entre les animaux domestiques et les animaux sauvages, nous considérons que les animaux sauvages doivent vivre dans la nature sauvage et traitons les animaux liminaires comme des intrus. « Comme ils ne font pas partie de notre société, nous sommes persuadés de pouvoir éliminer en toute impunité ces prétendus nuisibles par des méthodes semblables à celles du nettoyage ethnique », accusent Donaldson et Kymlicka, dans des pages où le traité de philosophie politique qu’est Zoopolis se sublime en un remarquable plaidoyer.
Les rats ne sont d’ailleurs pas les seuls animaux à subir la violence aveugle des services municipaux ; les lapins, qui avaient fait garenne sur le terre-plein central aménagé devant le Palais des congrès de Paris, ont disparu depuis plusieurs années déjà ; leurs congénères établis à quelques centaines de mètres de là, sur le rond-point de la place du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, ont connu le même sort.
Plus récemment est venu le tour des lapins ayant élu domicile devant la façade nord de l’Hôtel des Invalides, à quelques pas du tombeau de l’empereur.
▻http://www.liberation.fr/debats/2016/12/28/faut-il-tuer-ces-rats-que-paris-ne-saurait-voir_1537886
C’est pas notre espèce qui ferait ça : proliférer sans frein, tout détruire sur son passage, voler les récoltes et les terres des voisins !
« Pour essayer de faire face à l’augmentation des populations de sangliers, et de juguler les dégâts commis aux cultures dans un certain nombre de secteurs de la Lozère, il a été décidé de prolonge la chasse aux sangliers jusqu’au 28 février 2017 »
▻http://lereveillozere.reussir.fr/actualites/prolongation-de-la-saison-de-chasse-du-sanglier-en-2017:8AB9X
#chasse #spécisme
Histoire des politiques environnementales (2/4) : Cacher le sang des bêtes : de la tuerie à l’abattoir
►https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-des-politiques-environnementales-24-cacher-le-sang-des
Alors que depuis plusieurs mois la polémique sur le traitement réservé aux animaux dans les abattoirs fait régulièrement la une des journaux, ce documentaire nous plonge dans l’histoire de ces établissements si particuliers.
Si leur création prend ses racines dans le XVIIIe siècle et même avant, les premiers abattoirs sont construits sous Napoléon Bonaparte, à Paris. Instaurés par décret en 1810, les abattoirs sont conçus à l’origine pour réunir en un même lieu l’activité d’abattage des animaux de boucherie, jusque-là éparpillée dans la ville dans les boutiques des artisans-bouchers.
Cette décision, qui va progressivement concerner toutes les villes de France, s’inscrit dans une volonté de moderniser la ville, de renforcer le contrôle sanitaire de la viande, et d’éloigner de la vue du public les animaux vivants ainsi que leur mise à mort.
Une évolution à la croisée de l’histoire de l’urbanisme, de l’hygiène, de la morale, de l’alimentation, et de la profession de boucher, que ce documentaire met en lumière grâce à de nombreux textes d’époque ainsi qu’aux interventions et témoignages de :
Tueurs de la Villette
Tueurs de la Villette• Crédits : Fonds Pierre Haddad
Pierre Haddad, chevillard aux abattoirs de La Villette entre 1945 et 1972, auteur de Les chevillards de la Villette : naissance, vie et mort d’une corporation, thèse sous la direction d’Alain Plessis, Université Paris 10, 1995.
Elisabeth Philipp, historienne, ancienne directrice de la Maison de La Villette
(pas encore écouté)
]]>Bouchers au Moyen-âge : une puissance sans contrôle ?
▻https://www.franceculture.fr/emissions/concordance-des-temps/bouchers-au-moyen-age-une-puissance-sans-controle
Au cours de ces derniers mois, les réseaux sociaux ont répandu une quantité d’images reflétant la cruauté des traitements infligés aux animaux de boucherie dans certains abattoirs et la presse s’en est fait largement l’écho, tout comme les télévisions et Internet...
#moyen-age #boucherie #viande #histoire #non-humains #animaux #radio #virilo-carnisme #spécisme
]]>Bravo La Conserverie à Châteauneuf du Faou ! #sexisme #spécisme ! Animalisation des femmes, animal consentant à se laisser réduire en pâté, immonde !
Les Croods, ou comment conquérir son humanité en exploitant les animaux
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/les-croods-ou-comment-conquerir-son-humanite-en-exploitant-les-
Les Croods raconte l’histoire d’une famille préhistorique un peu « arriérée », qui se trouve propulsée dans un nouvel âge de l’histoire de l’humanité suite à sa rencontre avec un jeune homme plus « évolué ». J’ai déjà analysé dans un autre article la manière dont ce film minimise les violences intrafamiliales et glorifie finalement sa figure de « gentil […]
]]>BALLAST | Les Cahiers antispécistes : « Derrière les murs des élevages et des abattoirs » 1/2
▻http://www.revue-ballast.fr/cahiers-antispecistes-derriere-murs-elevages-abattoirs-12
« Si nous devions réaliser le bonheur de tous ceux qui portent figure humaine et destiner à la mort tous nos semblables qui portent museau et ne diffèrent de nous que par un angle facial moins ouvert, nous n’aurions certainement pas réalisé notre idéal. Pour ma part, j’embrasse aussi les animaux dans mon affection de solidarité socialiste », fit savoir Élisée Reclus, communard et géographe. Si l’idée fait son chemin, chaque jour un peu plus, elle n’en demeure pas moins minoritaire — y compris parmi les partisans de l’émancipation. Nous en discutons, dans le détail, avec ceux qui en France font figure de pionniers : Les Cahiers antispécistes — rappelons que le #spécisme affirme l’inégale dignité des espèces au profit de l’une d’entre elles, humaine. Plus de deux décennies d’existence et du mouvement au sein de leur rédaction : la revue affiche une pluralité d’auteurs dont les analyses ne convergent pas en tout point (elle « ne doit pas être vue comme le véhicule d’une doctrine unique, arrêtée une fois pour toutes », tiennent-ils à nous préciser. « De ce fait, nous avons parfois eu quelque scrupule à répondre aux questions au nom des Cahiers antispécistes. Les Cahiers, ce n’est personne, ou c’est l’ensemble de ses contributeurs. »). Premier volet.
]]>Les humains défileront pour les animaux
Les milieux de défense des droits animaux se préparent à la #marche_mondiale pour la fin du #spécisme.
▻http://www.lecourrier.ch/141755/les_humains_defileront_pour_les_animaux
#anti-spécisme #animaux
Je note comment des journalistes peuvent sans vergogne aucune remplacer les insultes aux animaux par les insultes aux pauvres …
Paris bat tous les records de pluies depuis un siècle | Eco(lo)
▻http://ecologie.blog.lemonde.fr/2016/06/14/paris-bat-un-record-de-pluies-depuis-un-siecle
Si vous vivez à Paris, vous aurez sans doute remarqué la météo déprimante à souhait. Un temps de gueux (on n’emploiera pas « chien » sur ce blog, car il n’y a pas de raison que les animaux soient toujours accusés) qui, conjugué à une actualité dramatique, donne envie, au mieux, de rester sous sa couette, au pire, de se jeter d’un pont (l’eau de la Seine est encore haute, la chute ne sera pas longue).
Heureusement, un post dans le forum pour dénoncer ces pratiques
On remarque que la nouvelle doxa est de ne plus accabler les animaux, qui eux, soit dit en passant s´en foutent pas mal, mais de revenir a la bonne vieille stigmatisation du pauvre.
Apres deux cents ans d´illusion de progres social sous tendu par le progres technique, on voit bien qu´avec l´explosion demographique mondiale qu´a occasionne ce meme developement , puis l´epuisement des ressources facilement extractible, et la persistance des manants (dont je fais parti), malgres les promesses ehontees, on abandonne enfin cette illusion.
]]>Conférence au Musée de l’Homme
▻http://www.museedelhomme.fr/sites/museedelhomme.fr/files/styles/bandeau/public/thumbnails/image/page-24-la-fuite-devant-le-mammouthpaul-joseph-jamin-huile-sur-toile-1
Aujourd’hui j’ai été voire une des conférence du cycle « L’animal dans tous ses états » dont j’avais parlé ici ▻http://seenthis.net/messages/445366 (j’étais pas de bonne humeur ce jour là !)
C’était très interessant, sur les animaux de boucherie.
En étudiant le programme d’un peu plus près j’ai vu que le Jeudi 28 janvier 2015 de 14 h à 17 h il y a entre autre une intervention de #Jocelyne_Porcher ainsi que des intervenants sur la question du #spécisme et de l’ #antispécisme. Je met le programme complet des deux prochaines conférences.
Jeudi 21 janvier 2015 de 14 h à 17 h
Statut(s) de l’animal de compagnie, au service de l’Homme et sacré
Modérateur : Christophe Guitton (Vétérinaire, spécialiste du droit de l’animal)
Statut(s) du chat à travers l’histoire par Jean-Denis Vigne (Archéozoologue, Directeur de recherche au CNRS – UMR 7209 Archéozoologie Archéobotanique)
Peut-on manger le bœuf avec lequel on a labouré ses champs ? Usages et mésusages des animaux domestiques en Grèce et à Rome par Christophe Chandezon (Professeur d’Histoire ancienne, Université de Montpellier Paul-Valéry)
L’homme et le taureau dans la tauromachie par Francis Wolff (Philosophe, Professeur émérite à l’ENS de Paris)
Au cœur du sacré, l’animal sacrificiel par Anne-Marie Brisebarre (Ethnologue, Directrice de recherche émérite au CNRS, Collège de France)
Jeudi 28 janvier 2015 de 14 h à 17 h
Débats autour des droits des animaux
Modérateur : Denis Vialou (Préhistorien, Professeur émérite au Muséum national d’Histoire naturelle, Département de Préhistoire)
Nos cousins les grands singes par Shelly Masi (Primatologue, Muséum national d’Histoire naturelle, Département Hommes, Natures, Sociétés)
Droits de l’animal et antispécisme par Enrique Utria (Philosophe, Université de Rouen, traducteur de Les Droits des animaux de Tom Regan, éd. Hermann, 2013)
Point de vue d’un zootechnicien par Bernard Denis (Vétérinaire, Président de la Société d’Ethnozootechnie)
Théorie du don et travail animal par Jocelyne Porcher (Sociologue, Directrice de recherche à l’INRA-SAD)
cc @aude_v @sandburg @odilon @martin5 @nicolasm
J’ai raté la première conférence mais il devrait en principe y avoir un enregistrement disponible sur le site du musée. Je mettrais les liens a ce moment là.
Le publique semblait principalement composé de collègues archéozoologues, médiévistes, ethnologues, archéologues, historien·ne·s. Il y a eu à la fin un petit débat, sur le #carnisme, #végétarisme, #végétalisme, les #vegans, l’ #industrialisation, la #mécanisation de l’ #agriculture, la #chasse, le #paysage et pas mal de choses souvent bien débattues ici. Les mots #zoophages et #sarcophages ont été prononcés et à la fin j’ai pu discuter un peu de #cannibalisme avec Marylène Patou-Mathis. Du coup je suis de bien meilleur humeur que lors de ma dernière visite au musée. Alors le musée de l’Homme me plait pas mais l’auditorium Jean Rouche il est sympas.
Définition des genres selon le maxi Robert 2016 et le Larousse de poche 2016
▻http://viedelamia.canalblog.com/archives/2015/08/06/32447179.html
Nous le savions déjà : les dictionnaires ne sont pas exempts de toute domination : d’une part, par le choix des mots présents, de l’autre par la définition même des mots.Dans l’exemple qui nous préoccupe, il s’agit des définitions des genres (qui dans une société binariste sont deux officiellement )même si en réalité il y en a bien plus.
]]>Jurassic World (2/2) : sidekick noir, asiatique vicieux et puissantes voitures allemandes
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/jurassic-world-22-sidekick-noir-asiatique-vicieux-et-puissantes
Vous trouverez la première partie de cette critique sur cette page. Jurassic World, un film raciste Ceux qui espéraient que tourner dans une production américaine permettrait à Omar Sy d’interpréter autre chose que le bon noir de service, détrompez-vous. Sy, qui n’apparaît que quelques minutes à l’écran tout au long du film, incarne ici le […]
#Cinéma #armée #capitalisme #militarisme #nouvelles_technologies #racisme #spécisme
]]>Parle avec elle, et surtout qu’elle se taise !
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/parle-avec-elle-et-surtout-quelle-se-taise
Sorti en 2002, « Parle avec elle » (titre original : « Hable con ella ») est un film de Pedro Almodóvar qui a été encensé par la critique. Pour Télérama : « Parle avec elle est un grand film sur la transmission et le don ultime de soi. Un film d’amour fou, mais encore de deuil et de renoncement. » D’après le […]
#Cinéma #cinéma_espagnol #féminité #masculinisme #masculinité #sexisme #spécisme #viol #violences_contre_les_femmes
]]>Étant donné que l’homme est un #Animal
▻http://www.larevuedesressources.org/etant-donne-que-l-homme-est-un-animal,2802.html
Comment parler du rapport homme animal, quand les termes eux mêmes sont indécidables. Humains / animaux fait déjà plus honneur à la diversité des deux côtés. Derrida parlait quant à lui de « l’animot »… Sans parti pris et sans alarmisme, ce film fait parler des humains. Un zootechnicien, une militante, un généticien, un historien, des éleveurs, un vétérinaire. Tous déclinent une idée très différente de ce qu’est un animal — tous à leur manière dessinent une représentation de l’autre, plus ou moins utile, (...)
/ #Vidéo, #Cinéma_documentaire, Animal, #Spécisme, #Monde_animal, #Éthique_animale, Anthropologie / (...)
]]>« les agriculteurs antiragondins ont aussi mis en lumière l’absurdité du droit animalier français et de ses catégories. Plongée dans l’incohérence juridique jusqu’à l’écœurement. [...] Avec leurs grandes incisives oranges et leurs imposantes moustaches blanches, ces descendants d’immigrés sud-américains sont les Roms de la nature. »
▻http://www.liberation.fr/terre/2014/11/16/ragondins-sans-papiers_1144219
#ragondins #droit #spécisme #FNSEA #roms #NAC #pas_d_autre_idée_de_mot_croisillon
]]>Et si le but ultime de l’industrie agroalimentaire était de se débarrasser des animaux d’élevage ? - Basta !
►http://www.bastamag.net/Et-si-le-but-ultime-de-l-industrie
La question du bien-être animal est de plus en plus pointée du doigt. Les vidéos montrant la maltraitance d’animaux suscitent l’indignation. Les élevages industriels provoquent la méfiance. Dans ce contexte, la perspective de produire de la nourriture sans animaux, à partir de cellules souche ou d’aliments de synthèse, serait-elle une solution à la souffrance animale ? Au contraire, prévient la sociologue Jocelyne Porcher, qui interroge notre relation aux animaux d’élevage. « Avec les multinationales qui investissent dans les poulets sans poulets ou la mayonnaise sans œuf, nous nous dirigeons vers la disparition des animaux d’élevage. Le capitalisme néolibéral n’a que faire des animaux. » Entretien.
]]>Frère des ours (2003) : qui est le monstre ?
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/frere-des-ours-2003-qui-est-le-monstre
Cet article inaugure une série d’analyses portant sur les films d’animation qui développent un propos antispéciste. L’antispécisme est la position politique égalitariste qui refuse et combat l’exploitation des animaux par les humain-e-s, ainsi que tous les discours qui légitiment cette exploitation. Comme j’ai essayé de le montrer ailleurs sur ce site, les films d’animation sont […]
#Films_d'animation #amour #antispécisme #Disney #racisme #spécisme #virilisme
]]>C’est à vous de voir ce que vous faites maintenant !
►https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/08/20/cest-a-vous-de-voir-ce-que-vous-faites-maintenant
Surveille ton langage ! Une société de #dominations Nous vivons dans une société (ou un agglomérat de sociétés connectées) qui baigne dans les #oppressions diverses et variées : #racisme, #sexisme, homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, #classisme, validisme… Depuis notre naissance, selon … Continue reading →
#LUTTES #action_direct #âgisme #intersectionalité #luttes #pensé_critique #spécisme
]]>C’est à vous de voir ce que vous faites maintenant !
►http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/08/20/cest-a-vous-de-voir-ce-que-vous-faites-maintenant
Surveille ton langage ! Une société de #dominations Nous vivons dans une société (ou un agglomérat de sociétés connectées) qui baigne dans les #oppressions diverses et variées : #racisme, #sexisme, homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, #classisme, validisme… Depuis notre naissance, selon … Continue reading →
#LUTTES #action_direct #âgisme #intersectionalité #luttes #pensé_critique #spécisme
]]>« Blackfish » lève le voile sur les conditions de vie des orques en captivité
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/11/21/blackfish-leve-le-voile-sur-les-conditions-de-vie-des-orques-en-captivite_35
Lorsque Dawn Brancheau est morte, le 24 février 2010, après avoir été attaquée par l’orque vedette de Seaworld [Tilikum], parc aquatique animalier de référence aux Etats-Unis, la tragédie a enflammé les chaînes d’information en continu. Près de quatre ans plus tard, la sortie de Blackfish, un documentaire qui enquête sur la mort de la soigneuse, déclenche à son tour un torrent de réactions, aussi bien dans les médias que du côté du public.
(...)
Tilikum a été pêché de cette manière en 1983, en Islande. Après sa capture, il passe les premières années de sa vie dans un parc au Canada, raconte Blackfish, images d’archives et témoignages à l’appui. Les nuits, il est enfermé dans une « boîte en fer flottante » de six mètres de long et neuf mètres de profondeur, avec deux autres femelles. Durant cette période, il est régulièrement attaqué et blessé jusqu’au sang par ses deux congénères. A ce moment-là, l’orque a probablement pu développer une forme de psychose, note un expert interrogé dans le film. C’est dans ce parc que Tilikum fera sa première victime. Il tuera en tout trois fois pendant ses années de captivité.
(...)
Or, en captivité, les communautés d’épaulards sont séparées et les individus mélangés. A l’état sauvage, les orques vivent en « familles » de vingt ou cinquante individus et parcourent des dizaines de kilomètres par jour. Chaque famille possède ses propres codes, son propre langage. Dans les bassins, les orques sont en proie aux agressions et ne peuvent nager nulle part. Les experts interrogés dans le documentaire sont unanimes : la captivité fabrique des animaux frustrés, qui s’ennuient et meurent jeunes. L’institution zoologique « la plus respectée au monde » n’est pas comparable à la liberté.
Faut-il libérer les orques en captivité ?
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/04/21/une-proposition-de-loi-californienne-veut-liberer-les-orques-en-captivite_44
Faisant écho au retentissant documentaire américain Blackfish, sorti en 2013, un élu californien a présenté, le 20 février, une proposition de loi dite « de bien être et de sécurité de l’orque » (The Orca Welfare and Safety Act), qui vise en particulier à libérer les épaulards en captivité.
(...)
Tim Zimmermann a coécrit Blackfish et est l’auteur de « The killer in the pool », un article publié par le magazine Outside, qui a servi de base au documentaire. Selon lui, Shamu (le nom générique donné à tous les orques du parc), est responsable de plus de 70 % du profit de Seaworld. « Si l’on ne connaît pas le chiffre exact, il est tout à fait juste de dire que Shamu est le cœur de métier de Seaworld », affirme Tim Zimmermann. Ce qui explique pourquoi le groupe se bat pour ne pas l’abandonner, selon Blackfish.
(...)
Autre argument de poids de la part de Seaworld : si une telle loi venait à entrer en vigueur, le parc a averti qu’il lui suffirait de déménager ses orques dans un autre Etat. Le groupe possède en effet deux autres parcs, en Floride et au Texas, où aucune initiative de ce genre n’a pour l’instant vu le jour.
Une campagne contre la captivité des orques fait plonger Seaworld à la Bourse
▻http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/08/13/une-campagne-contre-la-captivite-des-orques-fait-plonger-seaworld-a-la-bours
Une campagne contre les parcs à thèmes aquatiques de Seaworld au sujet de ses orques a fait plonger le cours de l’action de plus de 30 % à la Bourse de New York, mercredi 13 août.
]]>Le jugement . Une vidéo antispéciste qui relaie les poncifs du courant.
►http://www.youtube.com/watch?v=NlN4wH3swgU
Je me demande si l’on peu utiliser seenthis en mode débat collectif, a partir duquel ensuite si certains veulent, elles et ils pourrons écrire des articles avec la conclusion de leur choix.
Pour moi cette vidéo contient pas mal d’idées fausses.
rapidement j’ai relevé :
Le court-metrage reprend les poncifs de l’utilitarisme, avec son fond d’idéologie libérale. On y trouve donc une absence de distinction sociale chez les humains, des comparatifs sur le plus ou moins de souffrances (chantage), ainsi que les arguments par menace (si vous faites comme ceci, ça sera comme cela) qui ne peuvent exister qu’avec une capacité tout aussi incroyable a la divination. Le chantage quand a lui fonctionne si l’on est culpabilisé par l’idée qu’il faudrait avoir conscience et connaitre a chaque instant toutes les conséquences de notres acte. C’est aussi typique de cette approche qui ignore totalement les spécificité des agents (dont leur capacité a connaître est limité par ex.) pour leur faire porter sur le dos des exigences fonctionnelle qui lui sont supérieure. J’ai noté ceci aussi rapidement :
L’espèce humaine comme un tout . La personne emploie une personne d’un lobby comme représentant de l’ensemble de l’espèce humaine. Cet amalgame est typique de ce discours complètement aveugle aux distinctions sociales et économique.
Hiérarchie des causes . Critiqué quand l’économie passant avant d’autres questions, c’est pourtant la même qui était invoqué par le scientifique contre les écologistes qui prendrait soin de ne pas rouler en 4x4 mais continuerai de manger de la viande.
Le spécisme. Pour moi l’antispécisme est la récupération libérale du soucie pour les vivants. Le problème dans les analogies traitements humains, traitements vivants non-humain, n’est pas la critique des techniques de pouvoirs employées contre eux, mais l’idée que ceux qui sont traités de la même manière, sont forcément les mêmes. C’est ce qui se produit quand on dit que la souffrance des vaches en élevage industriel concentrationnaire est la même que celle des humains dans les camps de concentration de l’Allemagne des années 1940, ou les goulags de ce que fut l’URSS. Les différences entre espèces existes, ce qui n’empêche pas des techniques de domination semblables.
Le spécisme est souvent critiqué comme un problème équivalent au sexisme, or on demande pas la simple considération des intérêts d’autres sexes, mais l’égalité d’intérêts. On doit donc pouvoir séparer ces deux conceptions : reconnaissances d’intérêts d’une part, c’est-à-dire d’une forme de valeur, et d’autres part hiérarchisation de cette valeur. Or, les antisexistes demande une reconnaissance et une égalité de droit, tandis que les antispéciste demande plutôt une reconnaissance d’intérêt mais pas d’égalité, parce que sinon pour quelle raison m’occuperais je plus des intérêts de mes amis que de celles du 1er rat venue ? Cette critique ne revient pas à nier l’intérêt pour un rat de ne pas être torturé, ou d’accéder a de la nourriture, mais de rappeller que nous établissons des priorités, et qu’au lieu de les passer sous le tapis, en prétendant l’égalité complète, il faut justifier les hiérarchies, c’est une question de justice.
Racisme et spécisme c’est de la discrimination, tandis que spécisme c’est plutôt de la reconnaissance. Défendre les vivants ce n’est pas réduire leurs intérêts a leurs seules capacités de souffrir et d’avoir du plaisir, mais au contraire reconnaître la spécificité de chaque vivant a pouvoir employer ses capacités pleinement.
Le sophisme naturaliste . Habituellement les partisans de ce genre de document n’apprécie pas le sophisme naturaliste, souvent invoqué pour justifier le fait que les humains mange de la viande, ou en tout cas d’autres espèces sans trop s’en soucier. Et pourtant, il l’emploie ici pour critique le fait que l’on boit du lait d’une manière différente de toutes les autres espèces animales. Ils s’allient donc en plus a ce sophisme, l’idée que le nombre fait la raison. Une autre idée qui paraît paradoxale avec ces discours puisque si le nombre fait raison, alors continuons d’avoir le régime alimentaire que nous avions, puisque les végan, végétariens, et végétaliens, ne forment qu’une minorité dans l’espèce humaine.
La justification de la peine de mort . Alors qu’elle n’est pas même admise pour les crimes contre l’humanité, ou les génocides, est ici appliquée. Une menace n’est réelle que si elle est en capacité et volonté d’être tenu, l’argument selon lequel tout ceci n’est qu’un cauchemar et qu’il ne prétend pas a réalisation n’excuse pas cette dernière position, ou alors, il l’excuse, ainsi que l’ensemble des précédentes. Si la menace de peine de mort est fausse parce que c’est un rêve, alors les autres arguments peuvent aussi être considéré comme faux. Or il est certains qu’ils ne l’était pas dans leur objectif, par conséquent la menace doit être logiquement maintenu comme véritable.
]]>Au delà du buzz insolite, un bel exemple de maturité politique..
▻http://www.lepoint.fr/societe/la-petition-d-une-eleve-de-12-ans-qui-cartonne-20-06-2013-1683821_23.php
Cette élève de cinquième d’un collège de Rouen a lancé sur Internet une pétition contre les dissections d’animaux en classe qui a recueilli plus de 13 000 signatures en deux mois et une semaine.
(..)
« La dissection dans les collèges finance la mort d’animaux et encourage la maltraitance envers les animaux », estime la jeune fille, qui se dit choquée d’avoir constaté dans sa classe que « tous les autres élèves s’amusaient à déchiqueter le cadavre » lors d’une séance de dissection d’un poisson. « J’ai été écoeurée de ce comportement, j’étais la seule à refuser de participer à la dissection », rapporte-t-elle dans son courrier au ministre.
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