• A Lyon, la mort de quatre personnes dans le sous-sol d’un immeuble met en lumière la précarisation d’un quartier
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/10/21/a-lyon-la-mort-de-quatre-personnes-dans-le-sous-sol-d-un-immeuble-met-en-lum


    Les pompiers interviennent sur les lieux après un incendie dans un immeuble résidentiel à Lyon, le 20 octobre 2025. JEAN-PHILIPPE KSIAZEK/AFP

    Les occupants de l’immeuble de logements sociaux dénoncent l’inexorable dégradation de leur quotidien, alors que quatre personnes sans domicile fixe ont trouvé la mort, dans la nuit de dimanche à lundi, dans les caves qu’elles squattaient.

    La mort de deux femmes et deux hommes sans domicile fixe, âgés de 29 à 50 ans, dans le sous-sol d’un immeuble de 10 étages, dans le 3e arrondissement de Lyon, dit beaucoup de la dégradation du tissu social sous l’effet de la #précarisation. Les quatre victimes ont été asphyxiées par les fumées toxiques d’un incendie qui s’est déclaré dans la nuit de dimanche à lundi 20 octobre, dans une cave du 245, rue André-Philip. La cause du sinistre n’a pas été officiellement établie. Sous réserve des expertises à venir, le feu a pris à partir d’une cuisinière, installée dans un réduit transformé en #logement de fortune que les deux couples venaient d’investir.

    « J’ai entendu l’alarme retentir vers 5 heures et demie du matin. Elle sonne souvent pour rien, la dernière fois c’était samedi. Mais j’ai tout de suite senti la fumée, je suis descendue et j’ai vu les pompiers qui essayaient de ranimer les gens », raconte Chrystel Clavelli, 56 ans, résidente du 7e étage. L’incendie lui rappelle un autre mauvais souvenir. En décembre 2021, les fumées d’un feu en sous-sol s’étaient propagées dans les étages par les gaines techniques. « Dans le couloir, je ne voyais pas mon voisin tellement il y avait de la fumée », rapporte-t-elle. A l’époque, tous les habitants avaient été évacués en catastrophe, sans victime.

    Cette fois, le feu a tué sous leurs pieds, et les occupants sont sous le choc, en colère aussi. « Je ne suis même pas surprise, c’est triste à dire, les squatteurs avaient provoqué le feu en 2021, l’histoire se répète aujourd’hui, on se sent complètement abandonnés », insiste Chrystel Clavelli. Selon plusieurs locataires, deux couples venaient de s’installer dans le sous-sol, depuis une semaine environ, et la situation était signalée. Ce que confirme ICF Habitat, bailleur de l’immeuble. « Une occupation illicite des caves de l’immeuble a été constatée récemment. Un constat d’huissier a été établi et une plainte a été déposée auprès des services de police le 16 octobre », affirme la filière immobilière de la SNCF dans un communiqué.

    Appartements vides

    Lundi soir, des locataires se sont regroupés au pied de l’immeuble, pour refaire le récit de la nuit et exprimer leur désarroi. Ils ont raconté leur quotidien intranquille. Les portes forcées, les squatteurs d’un soir, les détritus dans les escaliers, le chauffage qui tombe en panne, l’eau chaude coupée sans prévenir. Le sol et les murs sont entretenus, les boîtes aux lettres restent en bon état. Pour les résidents, derrière ces apparences, la vie quotidienne se dégrade.

    « En quelques années, nous avons vu les choses aller de plus en plus mal, le #bailleur ne nous écoute pas, on a l’impression qu’il laisse l’immeuble dériver », dit Lionel Bagu, 57 ans, projectionniste. Dans son couloir, plusieurs portes en fer ont été fixées à l’entrée des appartements vides, pour dissuader les squatteurs d’y pénétrer. Locataire depuis vingt-sept ans, Lionel Bagu a la nostalgie du précédent bailleur. Inauguré par Louis Pradel, maire (divers droite) de Lyon de 1957 à 1976, l’immeuble était à l’origine une maison de retraite, progressivement transformée en immeuble à vocation sociale, constitué d’appartements d’environ 30 mètres carrés, pour un loyer de l’ordre de 300 euros, dans lequel subsistent un restaurant solidaire et des cuisines du centre communal d’action sociale.

    Virginie Argoud, 46 ans, a aussi vu le changement d’ambiance dans l’immeuble, depuis les fenêtres de sa résidence privée, située juste en face. « Du temps de la maison de retraite, c’était très calme, quand c’est devenu locatif, un gardien est resté un certain temps, puis il est parti, et là on a vu les choses changer », témoigne la quadragénaire. Pour elle, la situation de l’immeuble reflète celle du quartier. « C’était un quartier très populaire qui fonctionnait très bien, les gens se respectaient dans leurs différences. Depuis trois ans, c’est une “cata” », constate-t-elle.

    Un squat connu

    Sophia Popoff partage le diagnostic. « Nous voyons s’aggraver les conséquences de la paupérisation de la société », juge l’adjointe au maire de Lyon (Les Ecologistes), chargée du logement et de l’hébergement d’urgence. L’élue liste les causes cumulées : baisse du niveau de vie, blocage du marché du logement, complication du droit au séjour, augmentation des expulsions. Auxquelles il faut ajouter les migrations qui pèsent sur les métropoles. En cinq ans, le nombre de #squats et de #campements illicites est passé de 60 à 80 sur le territoire de la ville de #Lyon, soit une hausse de 25 %, selon une source municipale.

    Située entre le quartier d’affaires de la Part-Dieu et le quartier cosmopolite de la Guillotière, l’adresse de la rue André-Philip devenait un squat connu parmi les populations marginalisées en quête de toit. Dans une cour latérale, une rampe, cachée par un bouleau et un rosier, donne accès directement aux caves. Au bout du couloir, sous un plafond de tuyauteries, plusieurs portes donnent sur des cagibis aménagés en logements miséreux. Il reste des lits, un frigo, de la vaisselle sur des étagères, des chaussures, et, au bout à gauche, le lieu du drame, pétrifié dans la suie.

    #logements_vides #pauvreté #hébergement_d'urgence

  • The World Turned Upside Down [Digger’s Song]
    https://www.youtube.com/watch?v=PCXnol8NGbg

    In #1649, to St. George’s Hill,

    A ragged band they called the #Diggers came to show the people’s will.
    They defied the landlords, they defied the laws,
    They were the dispossessed reclaiming what was theirs.

    “We come in peace, to dig and sow.
    We come to work the land in common and to make the wastelands grow.
    This earth divided we will make whole
    So it will be a common treasury for all.”

    “We work we eat together -we need no swords.
    We will not bow to the masters nor pay rent unto the lords.
    We are free; though we are poor.
    Ye Diggers all stand up for glory, stand up now.”

    “The sin of property we do disdain.
    No man has any right to buy or sell this Earth for private gain
    By theft and murder, they took the land.
    Now everywhere the walls spring up at their command.”

    “They make the laws to chain us well.
    The clergy dazzle us with heaven and they damn us into hell.
    We will not worship the god they serve,
    The god of greed who feeds the rich while poor folk starve.”

    From the men of property the orders came.
    They sent the hired men and the troopers to wipe out the Diggers’ claim.
    Tear down their cottages, destroy their corn.
    They were dispersed only the vision lingers on.

    Ye poor take courage.Ye rich take care!
    This earth was made a common treasury for everyone to share:
    All things in common, all people one,
    They came in peace, the orders came to cut them down.

    https://www.antiwarsongs.org/canzone.php?id=7598&lang=it

    Bêcheux

    Les Bêcheux, ou Piocheurs (Diggers en anglais), sont une faction protestante de la #Première_Révolution_anglaise, fondée en 1649 par #Gerrard_Winstanley. Se faisant appeler #Vrais_Niveleurs à leurs débuts (#True_Levellers), le public finit par les baptiser « Bêcheux », Diggers, en raison du mode de vie qu’ils prônaient. Il s’agit du plus ancien collectif de #squatteurs connu à ce jour et considéré comme un des précurseurs de l’#anarchisme moderne[1].

    https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%AAcheux

    #Leon_Rosselson #Bêcheux #Piocheurs
    #chanson #musique

  • BESETZT! Arena St. Marx 1976 – Erinnerungen | Redaktion Österreichisches Pressebüro
    https://www.oepb.at/allerlei/besetzt-arena-st-marx-1976.html

    Arena besetzt 1976, Foto: Heinz Riedler, Samlung Wien Museum

    Der Sommer 1976 sollte die Bundeshauptstadt Wien verändern. Am 1. August stürzte die Reichsbrücke ein, anhand dieser ein toter Wiener Linien-Busfahrer zu beklagen war. Im gleichen Zeitraum „besetzten“ zahlreiche Jugendliche, Musik-Freaks und Menschen, die sich für einen Kulturraum, gegen überteuerte Mieten und die Abrissbirne zur Wehr setzen, den alten Schlachthof zu Wien-Simmering in St. Marx. Die Haus-Besetzung „feierte“ somit in Österreich in diesen Tagen ihre Geburtsstunde.

    Das WIEN MUSEUM zeigte dazu bis 12. August 2012 eine diesbezügliche Ausstellung.

    Mit der Besetzung der Arena, dem ehemaligen Auslandschlachthof, startet ein „Happening der 100 Tage“, das Wien aufrüttelt und auch spaltet. Erstmals treten neue politische und gegenkulturelle Bewegungen in den Blickpunkt einer breiten Öffentlichkeit.

    Arena Plakat 1976 Sammlung Wien Museum

    Hier, jetzt und für alle

    „Die Arena-Besetzung war unser 1968, ein anarchischer Freiraum, der Energien und Fantasien freisetzte.“, so ein Aktivist von einst. Gefordert wird ein selbst verwaltetes Kulturzentrum ohne Bevormundung – und zwar „Hier, jetzt und für alle!“. Die Konfrontation ist grundlegend, radikal werden die politischen Verhältnisse in Frage gestellt: Wem gehört die Stadt? Wer bestimmt? Was ist Kultur? In St. Marx werden über drei Monate lang Basisdemokratie und das Konzept einer offenen Gesellschaft erprobt, ehe das Experiment gestoppt und das Areal doch noch geschliffen wird. Wiens damaliger Bürgermeister Leopold Gratz, als auch die Kulturstadträtin Gertrude Fröhlich-Sandner sahen sich mit einem – friedlichen – Widerstand aus der Bevölkerung konfrontiert, den die Zweite Republik nach 1945 bis dato noch nicht erlebt hatte.

    „Bei uns hat´s a Sau/viel besser als a Mieter im Gemeindebau.“, raunt ein hemdsärmeliger bärtiger Mann im Zuge eines „Ohne Maulkorb“-ORF-Interviews von 1976 während der Arena-Besetzung. Das staatliche Fernsehen ist zugegen und die ORF-Kameras oftmals in diesen 100 Besetzungs-Tagen vor Ort. Man hatte es sich häuslich und gemütlich gemacht am gesamten Arena-Areal. Es gab sanitäre Anlagen, Schlafräume, Musik-Bühnen, ein Theater und die Aktivisten frönten einem friedlichen Lagerleben.

    Arena Theater 1976, Foto: Burgi und Peter Hirsch, Sammlung Wien Museum

    Bereits vor der Arena-Besetzung kam es in Wien zu Kämpfen gegen eine Stadtpolitik, die Fortschritt mit Abrissbirne und Beton gleichsetzt. Im abgewohnten Spittelberg-Viertel setzen sich Architekten und Intellektuelle, aber auch Jugendliche aus der Subkultur gegen Abriss und Nobelsanierung zur Wehr. Das „Amerlinghaus“ wird besetzt und nach langwierigen Verhandlungen 1978 zum ersten selbst verwalteten Kulturzentrum der Stadt. Der Protest jedoch verschärft sich. Im Burggarten demonstriert man 1980 für „Rasenfreiheit“, Hausbesetzungen folgen. Unter dem Eindruck der Jugendkrawalle von Zürich reagiert die Stadt. Sie gesteht Subventionen für die „neue“ Arena im ehemaligen Inlandsschlachthof zu, in Wien-Alsergrund entsteht das WUK/Werkstätten und Kulturhaus, in der Gassergasse ein autonomes Kultur- und Kommunikationszentrum mit Werkstätten, Proberäumen und einer Alternativschule. Dieses wird jedoch nach zwei Jahren wegen Anrainerbeschwerden und Vorwürfen des Drogenmissbrauchs gewaltsam geräumt. Ein Teil der Aktivisten wechselt in den 6. Bezirk und lebt in der Aegidigasse/Spalowskygasse in alternativen Hausgemeinschaften. Auch hier kommt es zu einem gewaltsamen Ende. 1990 wird das Ernst-Kirchweger-Haus in Favoriten besetzt, wo die Forderung nach Selbstverwaltung bis heute Platz gefunden hat.

    Besetztes Amerlinghaus 1975, Foto: Karl Heinz Koller, Sammlung Wien Museum

    Zahlreiche Plakate und Flugblätter, sowie eine Vielzahl an Fotos – die umfangreiche Chronik des Arena-Sommers, dokumentiert von Peter Hirsch/Arena-Photogruppe – und Fernseh-Dokumentationen finden in der Ausstellung ihren Niederschlag für die Nachwelt. Manche Aktivisten und Künstler von einst, die damals am Beginn ihrer Laufbahn und Karriere standen, werden sich anhand der Veröffentlichungen wieder finden. Besetzer und Politiker, entweder vor Ort oder im Zuge von öffentlichen Anhörungen, kommen zu Wort und der geneigte Besucher kann sich selbst ein leb- und leibhaftiges Bild darüber machen, wie das damals abgelaufen ist. Am Ende gewinnt immer die Staatsmacht, dies ist selbst heute noch unbestritten. Dennoch wird es immer wieder Menschen geben, die teilweise friedlich, ihren Träumen, Plänen und Zielen vehement Nachdruck verleihen werden.

    ARENA Wien heute (2025)
    https://arena.wien

    Zur Geschichte der Arena Wien
    https://magazin.wienmuseum.at/zur-geschichte-der-arena-wien

    Zur Geschichte der Arena Wien

    16.9.2024 von Constanze C. Czutta - Dass die „Arena Wien“ einst Teil eines Schlachthofes war, ist bekannt. Doch wie kam es überhaupt dazu, dass in St. Marx ein Schlachthof gebaut wurde? Und wie kam es zur Besetzung 1976? Ein historischer Rückblick – vom Schlachthauszwang bis zum Denkmalschutz.

    Wien zählt seit kurzem wieder zwei Millionen Einwohner:innen. Das letzte Mal, dass die Bevölkerungsdichte diesen Höhepunkt erreichte, war um 1900. Im 19. Jahrhundert zogen, durch die rasanten baulichen Entwicklungen in der Stadt, zahlreiche Arbeiter:innen aus allen Ecken der Monarchie nach Wien und schufen u.a. die Prachtbauten und -straßen der kaiserlichen Residenzstadt, obwohl sie selbst in bitterer Armut leben mussten.

    Mit dem Bevölkerungswachstum änderten sich auch die Anforderungen an die tägliche Versorgung. Schon in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts war deutlich geworden, dass die bestehende Infrastruktur für die schnell wachsende Stadt nicht mehr ausreicht und außerdem veraltet war. Die industrielle Entwicklung war zwar schon seit langem im Gange, doch Wien wurde zu einem großen Teil noch immer von Gemüsebauern, Handwerksbetrieben und Fleischern mit privaten Schlachtstätten in Innenhöfen oder an Brücken versorgt. Die Tiere kamen aus den Kronländern und wurden in der Stadt auf öffentlichen Straßen zu den Fleischhauern getrieben. Die Stadt suchte nach zeitgemäßen Lösungen und fand sie in anderen europäischen Großstädten, vor allem Paris.

    Dort hatte Napoleon in kurzer Zeit fünf große Schlachthöfe nach bewährtem französischen System erbauen lassen. Neu war daran der sogenannte Schlachthauszwang per Gesetz, der das Schlachten außerhalb der städtischen Schlachtanlagen verbot. Ein Schritt zu mehr Hygiene in der Stadt war damit getan.

    Der erste Schlachthof in St. Marx an der Viehmarktgasse, um 1848. Der Weg am linken Bildrand ist die heutige Schlachthausgasse. Quelle: Faksimile einer Druckgrafik, Mitte des 19. Jahrhunderts, Privatarchiv

    Nach umfangreichen Studienreisen ließ das Wiener Stadtbauamt 1848 zwei für Wien neuartige Schlachthofanlagen errichten. Eine in Gumpendorf und eine in St. Marx am östlichen Stadtrand. Der rege Reise- und Handelsverkehr führte dort seit der Antike über die spätere Simmeringer Hauptstraße, die Landstraßer Hauptstraße und den Rennweg und wurde zur Kontrolle und Mautabgabe an den Stadtgrenzen gebündelt. Das St. Marxer Tor war die östliche Einlassstelle und entwickelte sich von einer mittelalterlichen Kapelle (St. Markus) mit Siechenhaus zum späteren Bürgerspital. Im 18. und im beginnenden 19. Jahrhundert entstanden neben den Versorgungseinrichtungen Viehstände samt Schlachtstätte.

    Bürgerspital und Versorgungshaus am St. Marxer Tor, 1835. Quelle: Carl Graf Vasquez (Herausgeber): „Kais. Königl. Polizey Bezirk Landstrasse: bestehend aus den Vorstädten Landstrasse, Erdberg und Weissgärber nebst 14 Ansichten der vorzüglichsten Gebäude von Carl Graf Vasquez“, um 1835, Wien Museum Inv.-Nr. 19436/4

    Der erste Schlachthof in St. Marx an der Viehmarktgasse, um 1848, Ansichtskarte, um 1898, Wien Museum Inv.-Nr. 179991

    Die Anhöhe bot viel Platz und Durchlüftung und ließ das unliebsame Gewerbe an den Rand der Stadt und der Gesellschaft verschwinden.

    Zentralviehmarkt-Anlage, 1910 - Quelle: Paul, Martin. Technischer Führer durch Wien. Wien, 1910

    Die Stadt baute weitere Schlachthäuser, da auch in Österreich der Schlachthauszwang eingeführt wurde. St. Marx wurde mehrmals stark erweitert und entwickelte sich in den letzten Jahrzehnten des 19. Jahrhunderts zum größten Schlachthof und Viehmarkt Europas, dem St. Marxer Central-Viehmarkt mit Platz für zigtausende Tiere. Und eine Brauerei. Doch auch dieser gigantische Versorgungskomplex reichte nicht aus und am untersten Ende des Zentralviehmarktes, am heutigen Franzosengraben, wurde der Bau einer neuen Schweineschlachtstätte geplant.

    Der Bauplatz des neuen Schweineschlachthauses, dessen denkmalgeschützte Reste die heutige Arena bilden, befindet sich in einem ehemaligen Überschwemmungsgebiet, das erst dauerhaft bebaut werden konnte, als die Donauregulierung 1884 abgeschlossen war. Jahrhundertelang formte das Wasser dort Flüsse, Bäche und Inseln, die zum Teil als Kuhweiden benutzt wurden. Die Arena war sozusagen mal eine Insel.

    Das neu errichtete neue städtische Schweineschlachthaus an der Baumgasse, 1910. Quelle: Die Gemeindeverwaltung des Reichgaues Wien. Wien, 1910

    Nach Jahren des Verhandelns und Planens wurde das neue städtische Schweineschlachthaus 1908-10 unter der Leitung des Bauingenieurs Max Fiebiger auf aufgeschüttetem Terrain errichtet. Die hinteren Hallen (Stallungen, Schlachthallen, Darmwäscherei) bestanden nur bis Ende der 1970er Jahre. In der angrenzenden Durchfahrt konnten die Schweinehälften in Autos verladen oder weiter in die beiden großen Kühlhallen gebracht werden. Auch die Kühlhallen sind nicht mehr existent und markieren den Platz des heutigen Open Air Geländes.

    Die heutige große Halle beherbergte Kessel- und Maschinenhaus, Werkstätten und Lager. Das Gebäude der Sterilisierungsanstalt, der langgestreckte, niedrige Bau, wo heute die kleine Halle und der Dreiraum weiteren, kleineren Konzerten Platz geben, wurde 1926 um die sogenannte Freibank erweitert.

    Fleisch, das von seuchenverdächtigen oder verunfallten Tieren stammte, musste gesondert behandelt und in ausschließlich dafür vorgesehenen Verkaufsstellen – der Freibank, verkauft werden. Einkommensschwächere, von Armut Betroffene, kauften dort günstiges Fleisch, das genießbar gemacht wurde und nicht mit dem üblichen Schlachtbetrieb in Berührung kommen durfte.

    Trotz hohem technischen und hygienischen Niveau veränderte sich vieles immer schneller, es folgten neue wissenschaftliche Erkenntnisse, neue Gesetze, Adaptierungsmaßnahmen. Bald nach dem Ersten Weltkrieg konnte das neue Schweineschlachthaus nicht mehr mithalten. Vor allem in den USA waren die riesigen, mehrstöckigen Schlachtfabriken, die aus den Handwerker:innen des Fleischergewerbes Arbeiter:innen unterster Klasse machten, durch ihre rationalisierte Fließbandarbeit ein maßgebendes Vorbild für die Industrialisierung der Schlachtung. Fleischimporte wurden billiger.

    Nach der Wiederinstandsetzung des Schlachthauses nach dem Zweiten Weltkrieg gingen Schlachtungen im Allgemeinen so stark zurück, dass viele Schlachthöfe geschlossen wurden. 1997 wurden schließlich auch die Schlachtungen am Zentralviehmarkt beendet. Eine Brache fand hier eine Heimstatt, so entstand durch Umnutzung und Neubebauung Neu Marx.

    Und wie kam es zur Arena-Bewegung? Und was hat sie für den Denkmalschutz geleistet? Was konnte sie für die Jugendkultur und für die Kulturpolitik der Stadt Wien nachhaltig bewirken?

    Wien war in den 1970er Jahren eine konservative, zubetonierte Stadt. Die traditionsreiche Hochkultur wurde nach wie vor gefördert; die Alternativ-, Sub- und Jugendkultur ging leer aus. Feste gesellschaftliche Normen, Arbeitslosigkeit und Chancenlosigkeit lösten Frustration bei der Jugend und unter den Kunst- und Kulturschaffenden aus. In Musik, Literatur, Theater oder bildender Kunst fanden sie ihren Ausdruck. Dafür brauchte es nicht nur Platz in der Gesellschaft, sondern auch einen physischen Ort.

    Als in den Nachkriegsjahrzehnten europaweit zahlreiche Industrieanlagen stillgelegt wurden, boten sich Möglichkeiten an, diese Gebäude zu erhalten und anderweitig zu gebrauchen. In ganz Europa engagierten sich Menschen, die sich für kulturelle Umnutzungen und die Belebung ihrer Stadtteile einsetzten. Manchmal durch Bürger:innenbeteiligung, manchmal leiser, manchmal laut.

    Die Arena-Bewegung geht auf die alternative Kulturinitiative Festwochen Arena zurück. Sie lief parallel zu den Wiener Festwochen bereits 1970. Als die Veranstaltung 1976 bereits zum zweiten Mal im ehemaligen Kontumazmarkt und Seuchenhof an der Döblerhofstraße im Bezirk Landstraße stattfand und man von den Verkaufs- und Abrissplänen durch den Finanz- und Immobilienspekulanten Leopold Böhm, dem Erben der Modekette Schöps, erfuhr, beschlossen die „Arenaut:innen“ spontan zu bleiben. Das Warten, Suchen und Bitten nach einem dauerhaften Platz für Alle von Allen sollte spontan enden.

    Die Gelegenheit war perfekt.

    Besetzung der Arena: „Große Halle“, 29.06.1976, Foto: Heinz Riedler, Wien Museum, Inv.-Nr. 301366/8

    Der Kontumazmarkt und Seuchenhof war 1916-1922 etwas abseits und getrennt von der großen Zentralviehmarkt-Anlage, ebenfalls von Bauingenieur Max Fiebiger, erbaut. Der achtmal größere Kontumazmarkt (Kontumaz = Quarantäne) war für die Beherbergung und Schlachtung von Tieren, die aus seuchenverdächtigen Gebieten kamen, errichtet worden.

    Die Größe des später so genannten Auslandsschlachthofs bot allen Vorstellungen und Bedürfnissen Platz. Im Juni 1976 wurde das gesamte Gelände besetzt und spontan für neue Bedürfnisse adaptiert, nach den Ideen derer, die zur Besetzung geblieben, und jener, die extra zur Hilfe kamen. Innerhalb von drei Monaten entstanden zahlreiche kulturelle und soziale Einrichtungen wie ein Literaturcafé, ein Frauenhaus, Werkstätten, Bühnen, Ateliers, Galerien, eine Volksküche, ein Kinderhaus oder ein Teehaus. Gemeinsam leben, gemeinsam schaffen – so lautete das Motto.

    Besetzung der Arena: Die Kommunikationszentrale, 31.07.1976, Foto: Heinz Riedler, Wien Museum, Inv.-Nr. 301366/173

    Arena: vermutlich „entlaufene Heimkinder“, Foto: Heinz Riedler, Wien Museum, Inv.-Nr. 301366/226

    Auch obdachlose Kinder und Menschen, die aus dem gesellschaftlichen Leben ausgeschlossen waren, wurden aufgenommen und arbeiteten mit. Experimentelle Literatur fand einen Platz, unangepasste bildende Kunst, widerständige Lieder und Revolutionstheater erweiterten und bereicherten das graue Wien. Die Medien berichteten beinahe täglich, und die Bevölkerung spendete Essen, Geld- und Sachleistungen. Konservative sehnten sich allerdings beim Anblick der langhaarigen Unbequemen nach vergangenen Zeiten.

    Abbruch des Arena-Geländes im Herbst 1977, Foto: Heinz Riedler, Inv.Nr. 301366/327

    Das Gelände wurde schließlich im Oktober 76 geräumt und die Gebäude abgerissen. Die Besetzer:innen verstummten dennoch nicht und setzten ihre Demonstrationszüge in der Stadt fort. Die Stadtregierung trat daher in Verhandlungen mit den „Arenaut:innen“, die ihre Forderungen präzise darlegten, was eine fundierte Basis für Gespräche bot. Bevor die Wahl auf das heutige Arena-Gelände fiel, wurden das Schloss Neugebäude und eine Meidlinger Lederfabrik angeboten. Beides wurde von Seiten der „Arenaut:innen“ abgelehnt. Auch das heutige Areal fand zunächst keinen Zuspruch, wurde aber letztlich unter mehreren Bedingungen angenommen.

    Vielleicht das älteste Graffito Wiens (sieht man von Joseph Kyselak ab)? - Quelle: Privat

    Dieses als Inlandsschlachthof bezeichnete ehemalige Schweineschlachthaus befand sich aber in teils nicht betretbarem Zustand. Und die von hunderten BesetzerInnen übriggebliebene Kleingruppe Unerschrockener sollte mit Teilabrissen und Behinderungsaktionen aus dem 1977 übergebenen Schlachthaus vertrieben werden.

    Einer aus der kleinen Gruppe an Besetzer:innen war Dieter Schrage, ein als „Berufsjugendlicher“ bezeichneter deutscher Kulturwissenschaftler und -aktivist, der Texte zur basisdemokratischen Selbstverwaltung von Kulturvereinen und die heute noch gültigen Vereinsstatuten des Vereins Forum Wien Arena verfasst hat. Er brachte die Arena-Bewegung als erster Obmann in eine neue Zeit an einem neuen Ort.

    2026 wird die Arena ihr 50-jähriges Jubiläum feiern. Jährlich führt sie rund 200 Veranstaltungen und 30 Open Airs durch, subventioniert und unterstützt von der Stadt Wien. Doch der Anfang war schwer und erst nach drei Jahren der notdürftigen Sanierungsmaßnahmen konnte 1980 mit dem regulären Veranstaltungsbetrieb begonnen werden.

    Von Drahdiwaberl bis Nirvana

    Bereits zu Beginn traten die Größen der österreichischen Literatur- und Musikszene auf. Internationale Bands kamen dazu. Allein bis 1992 traten z.B. Bad Religion, Black Sabbath, Faith No More, John Lee Hooker, Little Richard, Nirvana, Sepultura, Screaming Jay Hawkins, Nick Cave, Tracy Chapman, Iggy Pop oder Van Morrison auf. Auch die Festwochen Arena. Die heimische Punkszene war mit Bands wie Chuzpe, die Böslinge oder Stefan Weber (Drahdiwaberl) vertreten. Später kamen unter anderem Motörhead, Ringo Starr, Alice Cooper, Slayer, Billy Idol, Thin Lizzy, Moby oder Blondie hinzu.

    „Alle, die mittun, können mitbestimmen.“ und „Wir arbeiten gemeinsam. Wir feiern gemeinsam.“ – das waren die Leitsätze, trotzdem kennzeichneten weitere Probleme den Beginn des neuen Kulturvereins. Es musste Stück für Stück gelernt werden, was gelebte Basisdemokratie, antiautoritäre Selbstverwaltung für einen laufenden Kulturbetrieb bedeuten. Gesprächsintensive, stundenlange Plena führten oft zu keinen Entscheidungen und kurze Zeit gab es sogar zwei befeindete Vorstände.

    Trotz der Hürden entstanden auch periodisch wiederkehrende Veranstaltungen: Das Iceberg, das Arena Sommerkino, das Mainframe, der Circus, die Bierwoche, zum Schluss die Roadtrip-To-Outta-Space-Reihe. Außerdem Deutschkurse, Lehrlingsausbildung und größere Benefizveranstaltungen (Bock auf Kultur, Nacht gegen Armut mit Patti Smith) – aber auch kleinere wie z.B. für die Operation eines Arena-Hundes.

    Spektakuläre Sportveranstaltungen wie Freerunning, BMX oder Snowboard Contests, Skatefest, Wrestling oder die cyberpunkige Performancekunst von DNTT-Feuerzirkus oder Mutoid Waste Company brachten noch mehr Veranstaltungsvielfalt. Kleineren Bands wird mit dem kleinsten Konzertraum, dem Arena Beisl, oderdem Dreiraum und Proberäumen weiterhin Unterstützung geboten.

    Open-Air Gelände vor der Abgrabung und das Beisl, um 1994, Foto: Arena Archiv

    Das zuvor ebene Open Air Gelände, das erst durch den Abriss der historischen Kühlhallen nach dem Einzug entstand, wurde in den 1990ern abgegraben, später die große Halle um- und dann eine neue, größere Open Air Bühne aufgebaut. Die Bühne erfuhr ihre letzte, technische Adaptierung 2024 durch eine neue Soundanlage, die die Stadt Wien subventionierte.

    Ohne die einstige Besetzung würde es die Arena nicht geben. Vielleicht in anderer Ausführung an einem anderen Ort. Aber die Umnutzung der historischen Industrieanlage hat die Architektur gerettet. Diese zahlreichen nachfolgenden Bewegungen erkannten darin das Potential zur Definierung eines neuen Kulturbegriffs mit Symbol- und Vorbildcharakter. Vielzählige Unterschutzstellungen und kulturelle und soziale Umnutzungen folgten. Vieles ist der Arena Wien ähnlich; nichts steht in einer Reihe mit ihr. Seit 1997 stehen die Gebäude auch auf Grund der „weitgehend vollständig erhaltenen Sichtziegelfassaden“ unter Denkmalschutz.

    Der „Arena-Fries“, Foto: Arena Archiv

    Sichtziegelbauweise findet man im Wien der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts sehr häufig, vor allem an kommunaler und industrieller Architektur. Die durch die rohen Ziegel geprägten Fassaden wurden durch variantenreiche Ziegelfriese, Zierbänder und -formen, optisch gegliedert und ästhetisch gestaltet. In unmittelbarer Umgebung z. B. die Gasometer des ehemaligen Gaswerks. Und an den Gebäuden in der Arena. Besonders bemerkenswert ist eine bestimmte, momentan nur in der Arena vorkommende Friesform: Der Arena-Fries, der durch 45° über Eck gestellte Ziegel in 3 Reihen eine stilisierte Blume oder ein Kreuz (je nach Schattenwirkung) zeigt.

    Die große Halle – das ehemalige Kessel- und Maschinenhaus, 2013, Foto: Arena Archiv

    Die Frage nach dem Architekturvorbild der großen Halle lässt sich leichter lösen. Die deutlich in zwei niedrigere „Seitenschiffe“ und das mittlere, höhere „Hauptschiff“ aufgeteilte Fassade weist auf die Bauweise einer Basilika hin. Im Zuge des Historismus wurde der basilikale Aufriss vielfach in der Industriearchitektur, oft an Maschinenhäusern, verwendet. Eine Anbetung der Maschinen des industriellen Zeitalters.

    Trotz der Besonderheiten des Areals der Arena Wien ist sie kein (Freilicht-)Museum, sondern ein lebendiges Denkmal zur Stadtgeschichte. Der Verein bemüht sich, den Charakter auch in seinen Einzelteilen zu bewahren und in den Betrieb einzugliedern. Nachts wird die fehlende Pförtnerhausuhr an ihre Originalstelle projiziert, ein alter Aufzugsmotor durch Beleuchtung in den Gastraum integriert oder neue Beeteinfassungen mit dem Arena-Fries versehen.

    Blumenbeet mit neuem Arena-Fries, um 2000 gebaut von den neuen ArenautInnen, 2013, Foto: Arena Archiv

    Die Besonderheit und Notwendigkeit des Fortbestands des Areals und des Vereins zeigt sich nicht nur durch die Geschichte, sondern auch durch ihre Betreiber:innen und durch die Anerkennung der Bevölkerung. Auf Rebellion und Leidenschaft gebaut, entwickelte sich die Arena zum größten alternativen Kultur- und Jugendverein: „Entertainment & Confrontation“ für Alle!

    Hinweis: Zum 50-Jahr-Jubiläum der Arena 2026 wird eine große Publikation zur Geschichte des Areals erscheinen. Das Publikatiosprojekt wird von der Autorin dieses Beitrags koordiniert.

    Constanze C. Czutta (*1980) ist Kunsthistorikerin in Wien, wissenschaftliche Redakteurin bei der Online-Plattform für Industriedokumentation schlot.at und bei Schmiedetechnik Steiner für Forschung und Dokumentation zuständig. Sie arbeitet aktuell an einer Publikation über die Geschichte der Arena Wien.

    Sankt Marx | Historische Bilder (IMAGNO) | Bilder im Austria-Forum
    https://austria-forum.org/af/Bilder_und_Videos/Historische_Bilder_IMAGNO/Sankt_Marx

    #Autriche #Vienne #abattoir #squats #centre_culturel

  • ARENA BESETZT | sixpackfilm
    https://www.sixpackfilm.com/de/catalogue/1986

    Der Film zeigt anhand von Material, welches während der Besetzung der Arena im Sommer 1976 entstanden ist, die Organisation kollektiver Arbeit, die Verhandlungen mit der Gemeinde und schließlich den Abriss der Gebäude. Er ruft in Erinnerung, wie eine Generation durch das Engagement in der Arenabewegung politisiert wurde.

    Orig. Titel
    ARENA BESETZT
    Jahr 1977
    Land Österreich
    Länge 77 min
    Regie Franz Grafl, Josef Aichholzer, Ruth Beckermann
    Kategorie Dokumentarfilm
    Orig. Sprache Deutsch

    Arena Wien 1976
    https://www.youtube.com/watch?v=1sLVKSo6ZtU

    ArenaTheater
    https://www.youtube.com/watch?v=YbZ-hJVpK0U

    Leonard Cohen - Un As Der Rebbe Zingt - Yiddish song (live at Arena, Vienna, 1976)
    https://www.youtube.com/watch?v=4z82ia-5_tM

    Legendary Leonard Cohen performs the beautiful Yiddish song „Un As Der Rebbe Zingt” at Arena, Vienna, 1976.
    lyrics :

    Az der Rebbe tantst (When the Rabbi dances)
    Az der Rebbe tantst
    Tantsn ale Khasidim (All the Hasidim dance)
    Tantsn ale Khasidim
    Ay didi day didi day, ay didi day didi day
    Tantsn ale Khasidim
    Ay didi day didi day, ay didi day didi day
    Tantsn ale Khasidim

    Az der Rebbe zingt (When the Rabbi sings)
    Zingen ale Khasidim (All the Hasidim sing)
    Tshiri biri bim tshiri biri bom
    Zingen ale Khasidim

    Az der Rebbe trinkt (When the Rabbi drinks)
    Trinken ale Khasidim (All the Hasidim drink)
    Yaba baba bay
    Lekhayim ! Yaba baba bay
    Lekhayim ! To life !
    Trinken ale Khasidim

    Az der Rebbe lakht (When the Rabbi laughs)
    Lakhn ale Khasidim (All the Hasidim laugh)
    Ha ha...
    Lakhn ale Khasidim

    Az der Rebbe veynt (When the Rabbi cries)
    Veynen ale Khasidim (All the Hasidim cry)
    Oy oy oy oy oy vey’z mir, oy oy...Oh, woe is me
    Veynen ale Khasidim

    Az der Rebbe shloft (When the Rabbi sleeps)
    Shlofn ale Khasidim (All the Hasidim sleep)

    Az der Rebbe tantst! (When the Rabbi dances)
    Tantsn ale Khasidim (All the Hasidim dance)
    Ay didi day didi day, ay didi day didi day
    Tantsn ale Khasidim.

    #Autriche #Vienne #abattoir #squats #centre_culturel

  • « Les propriétaires se retrouvent dans des situations kafkaïennes » : les squats de locations Airbnb se multiplient
    https://immobilier.lefigaro.fr/article/les-proprietaires-se-retrouvent-dans-des-situations-kafkaiennes-

    ... Les squatteurs qui se font passer pour des locataires réservent un logement pour un ou deux jours. Une fois sur place, ils se comportent comme des occupants illégaux.

    Les « faux » locataires prennent leurs quartiers, installent leurs affaires et surtout changent la serrure de la porte. Et refusent de partir. Une fois averti, le propriétaire est impuissant. Les forces de l’ordre le sont souvent tout autant. Car, contrairement aux apparences, les occupants ne peuvent pas être considérés comme des #squatteurs. Certes, ils se maintiennent illégalement dans le logement. Mais pour être considérés comme des squatteurs, il aurait fallu qu’ils y entrent illégalement. Or, ce n’est pas le cas car ils ont réservé leur logement sur une plateforme d’hébergement. Dans ce cas, il n’est pas possible, comme pour les squatteurs, d’expulser rapidement (comme le prévoit la loi « anti-squats) les occupants illégaux. Les propriétaires doivent lancer, comme dans le cas de #locataires mauvais payeurs, une procédure judiciaire, longue (au moins 6 mois et jusqu’à plusieurs années) et coûteuse (plusieurs milliers d’euros).

    #loi_kasbarian #propriétaires #squats #Airbnb

  • « C’est socialement ubuesque » : la préfecture fait évacuer le squat Al-Zol à Pantin, la mairie vent debout
    https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/cest-socialement-ubuesque-la-prefecture-fait-evacuer-le-squat-al-zol-a-pa

    Après l’expulsion ce mardi matin d’une quarantaine de personnes qui occupaient deux bâtiments de la rue Candale, la municipalité dénonce une décision « ubuesque socialement et économiquement ». Elle a ouvert un gymnase en urgence pour accueillir pour quelques jours les exilés délogés.


    Pantin (Seine-Saint-Denis), ce mardi 8 juillet. Deux squats, aux numéros 10 et 12 de la rue Candale, dont celui baptisé Al-Zol qui accueillait des exilés, ont été évacués par les forces de l’ordre. DR

    Ils ont dû faire leurs valises dans la précipitation. Ce mardi 8 juillet, les forces de l’ordre ont mené une opération d’#expulsion de deux #squats situés rue Candale à Pantin « en application de décisions de #justice purgées de tout recours », indique la #préfecture de Seine-Saint-Denis dans un communiqué.

    Les numéros 10 et 12 étaient occupés depuis trois ans maintenant par une soixantaine d’#exilés, principalement des jeunes hommes. Baptisé Al-Zol, le squat était installé dans des bâtiments appartenant à l’Établissement public foncier d’Île-de-France (Epfif), vides depuis une dizaine d’années.

    (...) Le maire a reçu un SMS du préfet alors que l’évacuation avait commencé depuis plus d’une heure. Il y avait délibérément la volonté de ne pas nous prévenir. »

    (...) quid du projet de construction de logements évoqué par la préfecture dans son communiqué ? « Il est caduc depuis deux ans », fustige Louise, riveraine et membre du comité. Tout comme le projet initial d’école hôtelière. Une nouvelle audience était prévue au tribunal le 2 octobre pour obtenir un délai supplémentaire avant l’évacuation.

    https://archive.ph/Uojeg

    #sans_papiers #mineurs_non_accompagnés

  • Les dents de la mort : quand les champs de bataille fournissaient les dentiers RTBF

    Le dernier ouvrage édité par l’historien liégeois Bernard Wilkin révèle une pratique méconnue de l’histoire contemporaine. Le livre intitulé « Jusqu’à la moelle » est consacré à l’exploitation industrielle des ossements humains. Un chapitre attire l’attention : celui consacré à l’usage des dents des morts !

    Rappelez-vous le roman de Victor Hugo Les misérables  et la séquence épouvantable où Fantine se fait arracher les dents de devant pour les vendre.

    Des dents de soldats tués
    C’est la réalité que décrit Victor Hugo ! Il existait bel et bien dans notre passé proche un commerce de dents humaines.

    Au XIXᵉ siècle, les os humains sont recyclés à grande échelle pour produire du sucre. Les dents, elles, trouvent une destination évidente : les dentiers. « On va tirer les dents des morts, souvent sur les champs de bataille », explique Bernard Wilkin. Les jeunes soldats tués à la guerre, à la dentition épargnée par les ravages des sucreries, offrent une matière première idéale. Leurs dents sont revendues, parfois en vantant leur provenance supposée : c’est la légende des « dentiers de Waterloo ».


    « À Waterloo même, on a peu de sources » nuance l’historien.  "Mais pour d’autres champs de bataille, on sait que les dents étaient vendues au kilo.

    La pratique, bien réelle, révèle un temps où recycler les corps allait de soi. Faute de moyens, on récupérait tout, jusqu’à la matière humaine. Plus tard, la dentisterie va s’améliorer et on n’aura plus besoin de recourir à ces moyens lugubres".

    Le chapitre consacré à la récupération des dents est écrit par l’historien allemand Arne Homann. Les autres chapitres sont signés Bernard Wilkin, Hosni Kitouni, Robin Schäfer, Andrea Hampel, Dominique Bosquet, Tony Pollard et Fabien Knittel.

    Source : https://www.rtbf.be/article/les-dents-de-la-mort-quand-les-champs-de-bataille-fournissaient-les-dentiers-11
    #os #dents #dentiers #ossements #squelettes #Waterloo #Chimie #industrie #capitalisme #recyclage

  • La grève des loyers dans les foyers Sonacotra
    https://infokiosques.net/spip.php?article2194

    Ces foyers créés dans les années 1950 avaient pour objectif l’hébergement et la gestion de la main d’œuvre immigrée, notamment algérienne. Marquée par l’héritage colonial, la Sonacotra va connaître au milieu des années 1970 un important mouvement de contestation mené par les résidents eux-mêmes. Moment de lutte relativement méconnu, la grève des loyers dans les foyers Sonacotra menée par les travailleurs immigrés organisés autour du « comité de coordination » nous éclaire sur notre histoire sociale. Il place au centre la question de l’autonomie vis à vis des organisations politiques, mais aussi celle de l’organisation que chaque mouvement doit se doter (ou non) pour mener à bien la lutte. Contre le « foyer-prison », les augmentations de loyers, et la gestion paternaliste des « #Gérants », c’est bien une lutte (...)

    #Infokiosque_fantôme_partout_ #Anticolonialisme_s_ #Auto-organisation,_expérimentations_collectives #Oppressions_de_classe #Squat,_logement #Antiracisme
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/greve_des_loyers_sonacotra_1973-1981-mars2025-pageparpage-44pa5.pdf
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/greve_des_loyers_sonacotra_1973-1981-mars2025-livret-22pa4.pdf
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/greve_des_loyers_sonacotra_1973-1981-mars2025-pageparpage-version_lege
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/greve_des_loyers_sonacotra_1973-1981-mars2025-cahier-version_legere-22

  • #Fête du jardin des Ronces
    https://nantes.indymedia.org/events/145597/fete-du-jardin-des-ronces-3

    Le collectif du jardin (si tu connais pas : https://lesronces.noblogs.org/post/2017/12/10/une-histoire-du-jardin-des-ronces) vous invite à ce temps festif, le samedi 31 mai à partir de 15h. Au programme : – Des visites du jardin – Des plantations pour mettre les mains dans la terre – Un coin lecture – 1h de…

    #Ecologie #Résistance #squat #Urbanisation #Nantes

  • Plantation et nouvelles des Ronces
    https://nantes.indymedia.org/posts/145437/plantation-et-nouvelles-des-ronces

    Le printemps pointe le bout de son nez, toute notre énergie est maintenant tournée vers les plantations estivales et la vie du jardin. Nous voulions cependant prendre un moment pour vous raconter tout le travail qui a été réalisé ces derniers mois. Des centaines d’arbres ont été plantés, métamorphosant…

    #Ecologie #Gentrification #Résistance #squat #Urbanisation #Jardin_des_ronces #Nantes #Local

  • « Bruno Bernard on va squatter chez toi » - Rebellyon.info
    https://rebellyon.info/Bruno-Bernard-on-va-squatter-chez-toi-29356

    Chaque année, la Métropole de Lyon, qui possède plein de bâtiments vides, expulse de nombreux #squats et autres lieux de vie. En plus de dépenser plein d’argent pour surveiller ses bâtiments vides, elle n’hésite pas à envoyer les flics pour casser les portes des précaires et les mettre à la rue, voire les enfermer en centre de rétention et les déporter lorsqu’il s’agit de personnes sans-papiers.

    Ce n’est pas aux gens qui galèrent entre les squats et la rue d’avoir peur, mais à ceux qui les expulsent.

    Une petite visite a donc été rendue au domicile de Bruno Bernard, président écologiste de la Métropole, avec un tag : « Bruno Bernard fin des expulsions sinon on va squatter chez toi ! »

    Avis au président de la Métropole et à sa clique : La prochaine fois que la Métropole de Lyon ose mettre quelqu’un à la rue, l’adresse de Bruno Bernard sera rendue publique, tout comme le digicode de l’immeuble (vous pouvez toujours tenter de le changer, ce sera jamais un problème pour des squatteureuses d’ouvrir une porte). Et ça tient aussi en cas d’#expulsion par le bailleur Grand Lyon Habitat, où Bruno Bernard a pistonné son tonton comme directeur.

    La peur va changer de camp.
    Un toit c’est un droit !

    P.-S.

    Et avis aussi à tous autres les proprios qui foutent des gens dehors, et à ceux qui les aident à faire ce sale boulot (flics, huissiers, agents de sécu...) : VOUS SEREZ JAMAIS TRANQUILLE.

    #logement

  • La Maison du Peuple, Toulouse, mai 2023
    https://infokiosques.net/spip.php?article2187

    Après celle de 2021 qui avait fermé le cycle Gilets Jaunes, la Maison du Peuple (MDP) squattée le 1er mai 2023 a été la quatrième du #Même nom sur Toulouse. Cette fois-ci, c’est le squat du mouvement social contre la réforme des retraites, qui résistera jusqu’à son expulsion le 6 juin de la même année. Voici un récit, à plusieurs voix, qui retrace cette aventure. M

    / Infokiosque fantôme (partout), #Squat,_logement, #Mouvements_sociaux

    #Infokiosque_fantôme_partout_
    https://iaata.info/Recit-de-l-ouverture-de-la-maison-du-peuple-de-Toulouse-le-1er-mai-5907.html
    https://iataa.info
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/la-maison-du-peuple-toulouse-mai-2023-cahier.pdf
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/la-maison-du-peuple-toulouse-mai-2023-pageparpage.pdf

  • Squat et écriture
    https://infokiosques.net/spip.php?article2185

    « En janvier 2023, un appel à textes a été publié sur plusieurs plateformes Indymedia et Mutu. Il #S'adressait aux personnes qui vivent, ont vécu, s’organisent ou s’organisaient en squat et qui aiment écrire. L’idée, c’était de publier une brochure-recueil à partir de nos textes. Le but n’était pas forcément d’écrire sur le squat, mais de permettre que cet aspect de nos vies influence librement nos écritures (…). » Cela a abouti à la publication en octobre 2024 de ce recueil, réunissant une bonne dizaine de textes. S

    / Infokiosque fantôme (partout), #Squat,_logement, #Fictions,_BD

    #Infokiosque_fantôme_partout_
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/squat-et-ecriture-page-par-page-mars2025.pdf
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/squat-et-ecriture-cahier-mars2025.pdf

  • Fin de la trêve hivernale : Contre-Attaque Juridique Organisée !
    https://nantes.indymedia.org/posts/142953/fin-de-la-treve-hivernale-contre-attaque-juridique-organisee

    Lancement officiel de la CAJO, outil collaboratif de contre-attaque juridique pour la défense des squats ! La CAJO (cajo.squat.net) se veut être un outil collectif par et pour toutes les personnes mal logé.es : squatteuses, occupantes, locataires, … Partout les difficultés s’accentuent pour accéder à un #logement. De plus en…

    #Autodéfense_juridique #Expulsion #Expulsions #Justice #Logement/squat #Occupation #Police #Pratique #Répression #sans-papiers #squat #squatt #Global

  • Personne ne se souviendra de nous
    https://toulouse.espacesensible.net/personne-ne-se-souviendra-de-nous

    Un documentaire sonore sur la violence de la « rénovation urbaine », dans lequel nous tendons l’oreille à trois histoires qui racontent ce que la disparition de son logement et de son quartier coûte à l’existence. Ces récits sont mis en perspective avec l’histoire de Toulouse et de son aménagement où la ruine, la destruction et la brutalité, loin d’être marginales, sont des éléments structurants. Source : Toulouse Espace Sensible

  • Häuserkampf Berlin 1981
    http://autox.nadir.org/archiv/chrono/chro_haus_2.html

    Der handlungsunfähige SPD/FDP Senat spricht sich für politische Lösungen aus. Im Januar beginnen die ersten Prozeße. Die Position der Besetzer ist deutlich: Keine Verhandlungen solange die Inhaftierten vom 12.12. nicht freigelassen sind. Erste Räumungen des Jahres finden Anfang März statt. Es folgen reglemäßige Durchsuchungen, meist auf betreiben der Staatsanwaltschft. Die Zahl der besetzten Häuser erreicht im Juni mit 165 einen Höhepunkt. Heftige Kontroversen unter den Besetzer um Verhandeln oder Nichtverhandeln, esliegen verschieden Modelle auf dem Tisch. Mit dem Antritt des CDU Senats im Juni werden Neubesetzungen nicht mehr zugelassen. Es bilden sich in den Bezirken regionle Besetzerräte. Es finden erste, vereinzelte Verhandlungen statt. Im Sommer keine Räumungen, die Zahl der Patenschaften steigt. Am 22.9 läßt der CDU Senat acht Häuser räumen, ein toter Demonstrant. Stattfindende Verhandlungen werden vorübergehend unterbrochen. Der Senat verkündet einen, löchrigen, Räumungsstop der bis Ostern 82 verlängert wird. Ende des Jahres sind etwa 139 Häuser besetzt.

    1981 - Keine Räumung der besetzten Häuser - Aktionswoche
    https://archive.org/details/KeineRumungAktionswoche

    1981 - Gemeinsame Erklärung der besetzten Häuser in Neukölln
    https://archive.org/details/GemeinsameBesetztenNeuklln1981

    Sofortiger Räumungsstopp für alle besetzten Häuser!
    https://archive.org/details/RumungsstoppAmnestie

    #Kuckuck

    #Berlin #Kreuzberg #Anhalter_Straße 7
    #Westberlin #squats #presse #histoire

  • Calvados : squats partout et lutte contre les expulsions
    https://fr.squat.net/2025/01/08/calvados-squats-partout-et-lutte-contre-les-expulsions

    Depuis le mois d’octobre 2024, la lutte pour le droit au logement et contre les expulsions s’intensifie dans le département du Calvados. (...)

    [...]

    Par ici, la #loi_Kasbarian-Bergé en a motivé plus d’un-e à redoubler d’effort pour lutter. Les discussions sur la manière de défendre nos lieux de vies et d’en créer de nouveaux s’approfondissent. La lutte contre les politiques racistes, les frontières et les expulsions ne bat pas de l’aile, bien au contraire. La presse constate : il y aurait au moins 18 #squats dans l’agglomération caennaise… évidemment, puisque la précarité s’accentue et que l’État s’attaque toujours davantage aux personnes exilées, à la liberté d’aller-venir et de vivre où on le souhaite. Alors que les gouvernements successifs tentent de nous rendre la vie toujours plus impossible à coup de législations et d’obstacles administratifs, c’est par l’auto-organisation et la solidarité que l’on fait face. Ici, tous ces squats, malgré le lot de conflits et de contradictions qu’ils peuvent susciter, sont des bouffées d’air frais pour nous toustes. Continuons la bagarre.
    Quelques personnes en lutte

    #logment #exilés

  • Expulsion du Bathyscaphe à Aubervilliers : la honte ! Relogement pour toutes et tous ! - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/expulsion-du-bathyscaphe-a-18974

    Ce vendredi 20 décembre 2024 au petit matin la police a expulsé le #squat Le Bathyscaphe à Aubervilliers. Les habitant⋅es, des familles avec enfants, des hommes et des femmes seul⋅es, ont été sommé⋅es de quitter les lieux par des dizaines de policiers, alors que les températures sont basses et à la veille des vacances scolaires.

    Ce qui a permis l’expulsion du lieu, normalement protégé par la trêve hivernale, c’est l’arrêté de péril pris par la municipalité d’Aubervilliers suite à l’incendie qui s’est déclaré dans une partie d’un des bâtiment le 5 décembre dernier. Un référé contre cette décision avait été déposé auprès du Tribunal administratif, alimenté de multiples attestations sur la non-dangerosité de l’entièreté du lieu.

    La préfecture n’a donc pas jugé nécessaire d’attendre la décision de justice, ni de prendre en compte les avis d’architectes, pour procéder à l’expulsion. Aujourd’hui, c’est une quarantaine de personnes, dont une quinzaine d’enfants, qui se retrouvent une nouvelle fois sans maison, renvoyé⋅es dans l’errance sans fin que leur imposent depuis plusieurs années les pouvoirs publics.

    Les habitant⋅es ont été emmené⋅es dans un gymnase de la ville, dans l’attente d’une décision « d’orientation » dont on sait pertinemment que ce sera la rue pour une grande majorité. Des familles ont elles reçues des propositions d’hébergement à priori par la préfecture pour quelques semaines, loin des écoles où sont scolarisé⋅es les enfants. Pour les hommes ils risquent d’être envoyés dans d’autres régions de France dans des hébergements temporaires.

    #logement #expulsion #droit_au_logement #luttes

  • “Loger les DALOS” – Au pied du ministère, un #campement pour le #droit_au_logement !
    https://radioparleur.net/2024/12/10/loger-les-dalos-au-pied-du-ministere-un-campement-pour-le-droit-au-log

    Depuis le 26 novembre, le #DAL (Droit au #logement) a posé son campement au pied du #ministère_du_logement et de la Rénovation urbaine, sous les bureaux de la nouvelle ministre éphémère Valérie Létard, nommée par le gouvernement Barnier aujourd’hui démissionnaire. Les banderoles jaunes aux couleurs du collectif interpellent au loin : « 1 toit […] L’article “Loger les DALOS” – Au pied du ministère, un campement pour le droit au logement ! est apparu en premier sur Radio Parleur.

    #Au_fil_des_luttes #Carousel_1 #Non_classé #Toujours_en_lutte #au_fil_des_luttes #hébergement #lutte_sociale #mobilisation #paris #propriété #squat

  • Relogement de tout⋅es les habitant⋅es du Bathyscaphe ! [Actions collectives] ⋅ #GISTI
    https://www.gisti.org/spip.php?article7405

    Les habitant⋅es du #squat du Bathyscaphe, situé à Aubervilliers, qui existe depuis un an et demi, risquent d’en être expulsés lundi matin sans perspective de relogement pour ces familles avec enfants et ces femmes et hommes isolé⋅es.

    Encore une fois, la préfecture et la mairie ont ignoré l’ensemble de leurs demandes pourtant réitérés à de multiples reprises. Préférant, comme d’habitude, se renvoyer la balle plutôt que d’assumer leurs responsabilités. Pourtant la préfecture a les moyens de trouver des solutions de logement stable pour l’ensemble des habitant⋅es. La mairie d’Aubervilliers peut aussi trouver des solutions, que ce soit dans des logements déjà existants ou en réquisitionnant un des très nombreux bâtiments vides et en bon état qui se trouvent sur la commune.

    La mairie et l’État ont l’indécence de prendre prétexte de l’incendie qui s’est déclaré dans l’un des nombreux bâtiments du lieu pour expulser sans délai l’ensemble des bâtiments sans proposer la moindre solution compatible avec les situations des habitant⋅es. En effet, des enfants sont scolarisé⋅es à Aubervilliers, des personnes travaillent ou étudient en Île-de-France, d’autres sont suivies ans des hôpitaux franciliens. La solution n’est évidemment pas de proposer des hébergements précaires à l’autre bout de la France !

    Nous demandons qu’aucune expulsion n’ait lieu aussi longtemps que des solutions de relogement stable pour l’ensemble des habitant⋅es n’auront pas été proposées.

    https://piaille.fr/@gisti

    Et la trêve hivernale : du 1er novembre 2024 au 31 mars 2025 ?
    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14632
    La république française elle s’en tamponne comme d’autres des résolutions de l’ONU. Les habitant⋅es du Bathyscaphe sont des squatteur.euses, des qu’ont même pas de papiers, des surnuméraires quoi !