• 80% des #médicaments ne servent à rien - Pr Philippe Even - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=mkuUFGBz-ls


    Entretien avec Pr Philippe Even, médecin pneumologue français, Professeur émérite à l’université Paris Descartes, président de l’Institut Necker, membre de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante.
    Les questions sont un peu hasardeuses, mais la vidéo a le mérite de donner la parole à ce médecin courageux qui fut interdit d’exercer (il était déjà à la retraite) à cause de son livre Les 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux co-écrit avec Debré.
    Très bon état des lieux en tout cas et présentation de la situation de façon globale. À écouter !!
    Le nom de l’association est on ne peut plus pertinent.
    #industrie_pharmaceutique #Even #médecine #statines #sécurité_sociale

  • Evolocumab and Clinical Outcomes in Patients with Cardiovascular Disease
    http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1615664#t=article

    Pratiquement toujours en prévention secondaire et presque toujours associé à une #statine,

    Il ressort que la réduction du risque cardio-vasculaire est loin d’être à la hauteur de la réduction du taux de LDL et ... du prix de ce médicament (14.000 USD/an)

    • An End to Heart Disease? Not Quite
      https://www.nytimes.com/2017/03/20/health/ldl-cholesterol-heart-disease-drugs-pcsk9-inhibitors.html

      On Friday, investigators reported the results of a highly anticipated trial of a PCSK9 inhibitor called evolocumab (brand name Repatha). This medication reduced LDL levels to an almost unfathomable 30 mg/dl from about 90 mg/dl on average, which is typically considered low.

      Over about two years of study, the researchers found that the new drug, when added to statin therapy, further reduced the risk of heart attack or stroke by about 15 percent. For about every 70 people treated with the drug, one person benefited in this way. This is not far off the size of the benefit that statins provide.

      So the drug works, which is good news for patients. And no safety concerns emerged. But the applause from heart experts has been muted, because expectations were so much higher. Their hope had been that drastically low LDL cholesterol levels would make it difficult — or even impossible — to have a heart attack.

  • #Cholestérol le grand bluff

    Comment le cholestérol a été érigé en coupable idéal des maladies cardio-vasculaires par une série d’approximations scientifiques. Un dogme dont un nombre croissant de chercheurs dénoncent les dangers. Une enquête exceptionnelle.

    Le cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise #graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des #maladies_cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste #mensonge, façonné à la fois par une série d’approximations scientifiques et par de puissants intérêts économiques, de l’#industrie_agroalimentaire d’abord, des #laboratoires_pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le #tabac, l’#hypertension, l’#obésité et le manque d’exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements anticholestérol, les #statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le médicament le plus vendu dans l’histoire de la médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des effets secondaires graves, tels que des #douleurs_musculaires, des #problèmes_hormonaux, des #pertes_de_mémoire, des #dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un #diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

    Pour démonter ce qui a constitué pendant plus d’un demi-siècle un dogme inattaquable, Anne Georget donne la parole à une quinzaine de spécialistes - chercheurs en médecine, cardiologues, journalistes médicaux, nutritionnistes... - qui expliquent à la fois ce que l’on sait du cholestérol et réfutent, études à l’appui, ce qu’ils estiment être des conclusions scientifiques biaisées. Ainsi le physiologiste américain Ancel Keys, qui, le premier, avait attribué à la surconsommation de graisses saturées la stupéfiante épidémie d’accidents cardio-vasculaires survenue dans les années 1950 dans certains pays occidentaux, a-t-il délibérément passé sous silence les contre-exemples statistiques. Tandis que les études cliniques des statines ont été financées à 80 % par les laboratoires qui avaient le plus intérêt à ce qu’elles s’avèrent positives.

    http://future.arte.tv/fr/cholesterol

    #documentaire #enquête #science #Alzheimer #industrie_pharmaceutique #big_pharma #cholesterol

  • Cholestérol : le grand bluff ? | Sciences, environnement, technologies | ARTE Future
    http://future.arte.tv/fr/cholesterol?language=fr
    Diffusion le 18.10.2016 à 20h50

    Le #cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des #maladies_cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste #mensonge, façonné à la fois par une série d’#approximations_scientifiques et par de puissants #intérêts_économiques, de l’#industrie_agroalimentaire d’abord, des #laboratoires_pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le #tabac, l’#hypertension, l’#obésité et le #manque_d'exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements #anticholestérol, les #statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le #médicament le plus vendu dans l’histoire de la #médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des #effets_secondaires graves, tels que des douleurs musculaires, des problèmes hormonaux, des pertes de #mémoire, des #dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un #diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers #brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

    #big_pharma #santé

    • Cholestérol, les statines sont-elles dangereuses ?
      http://www.lejdd.fr/Societe/Sante/Cholesterol-les-statines-sont-elles-dangereuses-752851

      À partir des années 2000, plusieurs essais cliniques démontrent une efficacité. Censée orienter les prescriptions médicales, la Haute Autorité de santé estimait ainsi en 2010 que « le traitement par statines diminue le risque de mortalité de 10 % [celui] d’événements cardio-vasculaires de 15 à 23% ». Mais ce travail a été contesté à cause des liens d’intérêt des experts avec l’industrie. Plus indépendantes, les conclusions de la collaboration #Cochrane et celles de la revue #Prescrire reconnaissent l’efficacité des statines. « Elle est modeste », nuance le Dr Bruno Toussaint. Et le patron de ­Prescrire de ­rappeler que « toutes les statines ne se valent pas ».

      « Les statines préviennent les récidives d’infarctus. Le scandale, c’est de les prescrire à des gens bien portants », martèle le Dr Dupagne. En France, les médecins ont longtemps eu la main lourde sur les médicaments anti-cholestérol. « Nous avons prescrit trop de nouvelles drogues, en particulier le Crestor, le plus cher, qui n’a pas d’effet sur la mortalité. Il vaut mieux utiliser des génériques moins chers et efficaces », reconnaît un ponte de la cardiologie. « La structure de consommation des statines demeure en décalage avec les recommandations sanitaires et très éloignée de celle des autres pays européens », reconnaissait l’Assurance maladie en 2013. « Aujourd’hui, dans ma spécialité, on donne des statines après un infarctus et plus avant », témoigne le cardiologue marseillais et blogueur ­Jean-Marie Vailloud. Faut-il également traiter les personnes à très haut risque, sans antécédents, comme le conseillent les recommandations américaines et la Haute Autorité de santé ? « Il faut regarder au cas par cas », estime Bruno Toussaint, qui rappelle que le meilleur moyen de diminuer son risque cardio-vasculaire est de se mettre au régime méditerranéen. Double avantage du changement de mode de vie : son absence d’effets secondaires quand les statines peuvent causer des atteintes musculaires, voire déclencher un diabète.

  • Bénéfice/risque des #statines : le ton monte entre le Lancet et le BMJ
    http://francais.medscape.com/voirarticle/3602692

    Interrogé par Medscape International, le Pr Collins indique que son groupe a travaillé sur cette revue durant 1 an ½ pour essayer de mettre les choses à plat concernant les statines.

    Le Pr Collins souligne en outre que la controverse sur l’intolérance aux statines et sur les myopathies, n’a émergé que dans les deux-trois dernières années – « alors que l’industrie commençait à développer les coûteux anti-PCSK9 (proprotéine convertase subtilisine/kexine type 9) pour les patients classés comme intolérants aux statines ».

    « Il est donc plus que probable que l’industrie a financé des travaux sur l’intolérance aux statines », estime-t-il. « Par exemple, le rapport de l’European Atherosclerosis Society sur les symptômes musculaires associés aux statines, a reçu des financements des fabricants d’anti-PCSK9, et a été supervisé par une entité commerciale financée par ces fabricants ».

    #conflit_d'interêt ?

  • Re-evaluation of the traditional diet-heart hypothesis : analysis of recovered data from Minnesota Coronary Experiment (1968-73)
    http://www.bmj.com/content/353/bmj.i1246

    Conclusions
    Available evidence from randomized controlled trials shows that replacement of saturated fat in the diet with linoleic acid effectively lowers serum #cholesterol but does not support the hypothesis that this translates to a lower risk of death from coronary heart disease or all causes. Findings from the Minnesota Coronary Experiment add to growing evidence that incomplete publication has contributed to overestimation of the benefits of replacing saturated fat with vegetable oils rich in linoleic acid.

    #Huiles végétales : des vertus anti-cholestérol qui montrent leurs limites
    http://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/huiles-vegetales-des-vertus-anti-cholesterol-qui-montrent-leurs-limites

    Pour autant, cette étude a fait grincer des dents, notamment celles du Pr Frank M. Sachs, spécialiste de la prévention des maladies cardiovasculaires à Boston. Il a jugé que l’étude n’était « pas fiable ». Selon lui, il faut « au moins deux ans pour qu’un traitement visant à diminuer le cholestérol ait un effet sur les maladies cardiovasculaires ». Or, l’expérience menée entre 1968 et 1973 a duré à peine plus d’un an, en moyenne, pour chacun des participants.

    Cholestérol et risques cardiovasculaires : un nouveau pavé dans la mare ?
    http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/cholesterol-et-risques-cardiovasculaires-un-nouveau-pave-dans-la-mare_1

    L’utilisation de #statines est associée à de nombreux effets secondaires (notamment musculaires), aussi de nombreux laboratoires sont à la recherche d’alternatives thérapeutiques anti-cholestérol. Une nouvelle classe de médicaments, capable de limiter les échanges de cholestérol entre les transporteurs LDL et HDL, semblait prometteuse sur le papier [1]. Si les premiers candidats évalués ont déçu [2], le groupe pharmaceutique Eli Lilly avait identifié un champion : l’evacetrapib.

    [...]

    En effet, durant les phases préliminaires de tests, cet evacetrapib diminuait d’un tiers le taux de LDL, et parvenait à doubler le taux de HDL (transporteurs de haute densité, réputés bénéfiques). Un vaste essai clinique, initié il y a quelques années sur 12.092 patients, est venu confirmer cet effet biologique. Mais en octobre 2015, Eli Lilly interrompt prématurément cette étude, à la surprise de nombreux observateurs.

    Un échec cuisant
    Les raisons de cet arrêt ont été précisées ce 3 avril lors d’un important congrès international de cardiologie [3]. Durant l’étude, sur environ 6.000 participants sous evacetrapib, 256 ont fait une crise cardiaque. Dans le groupe témoin, qui prenait un placebo, le nombre de crise cardiaque était de… 255, soit une totale absence de différence statistique. De même, le nombre d’AVC dans le premier groupe était de 82, contre 95 dans le groupe placebo. Et le nombre de décès liés aux maladies cardiovasculaires de 434, contre 444. En bref : l’evacetrapib n’a absolument aucun intérêt thérapeutique.

    Cité par le New York Times, le docteur Stephen Nicholls, responsable de l’étude avortée, résume l’interrogation qui se trouve sur toutes les lèvres : « nous avions un médicament qui semblait agir sur tout ce qu’il fallait ; […] comment un traitement qui diminue quelque chose identifié comme délétère ne peut entraîner aucun bénéfice ? »

    #santé #science

  • Cholestérol : une nouvelle voix s’élève contre les traitements actuels - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140309.OBS8984/cholesterol-une-nouvelle-voix-s-eleve-contre-les-traitements-ac

    Cholestérol : une nouvelle voix s’élève contre les traitements actuels
    Anne Crignon
    Par Anne Crignon

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    Publié le 09-03-2014 à 19h40
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    Une sommité médicale britannique met en garde contre la prescription des statines, une famille de médicaments qui font baisser le cholésterol.

    C’est comme si en France le numéro 2 de l’Ordre des Médecins prenait la parole dans le débat en cours sur l’utilité des statines. Le docteur Kailash Chand, vice-président de la British Medical Association qui regroupe médecins et étudiants aux Royaume-Uni, et dont dépend le très sérieux British Journal of Medecine, a publié un article d’une étonnante liberté de ton sur son blog le 18 février. Il critique avec virulence les nouvelles recommandations du NICE, l’Institut britannique de veille sanitaire, qui vient d’abaisser considérablement le seuil de risque à partir duquel il recommande de prescrire des statines, et pour un minimum de cinq ans.

    Le docteur Kailash Chand explique que ces médicaments administrés contre les arrêts cardiaques et accidents vasculaires cérébraux (AVC) n’ont pas de vertu préventive démontrée. Selon lui, les études avancées par les firmes pharmaceutiques ne sont pas fiables et pour le moins lacunaires, les effets secondaires - parfois très invalidants - étant soit minorés soit passés sous silence. Pour mémoire, il s’agit de douleurs musculaires et articulaires, manque de tonus, perte d’intérêt et de vivacité d’esprit, désordres de la mémoire et de l’agilité intellectuelle, extinction du désir sexuel, troubles de l’érection pénienne et clitoridienne, et même diabète (études en cours) (1).
    Toxicité des statines

    Le docteur rejoint sur ce point le professeur Philippe Even, biochimiste de formation, qui ne disait pas autre chose lors de la parution de son livre en février 2013 (2) où il faisait la démonstration que le cholestérol est la plus noble et indispensable de nos molécules, nécessaire au bon fonctionnement du corps et de l’esprit, assurant la robustesse des membranes de nos milliers de milliards de cellules. Un savoir que n’ont pas les prescripteurs, expliquait-il, cardiologues ou généralistes, sans formation en biochimie. Le docteur Chand observe aussi que ceux qui prennent une statine chaque jour à titre préventif se croient protégés et que ce sentiment de sécurité enduit un relâchement du mode de vie - selon l’OMS, 80% des infarctus sont imputables au tabac, au manque d’exercice et au déséquilibre alimentaire. Pour lui, marcher dix minutes de plus par jour serait autrement plus efficace qu’un cachet quotidien inutile, susceptible qui plus est, de vous faire sentir vieux et rouillé bien avant l’heure.

    Sollicité par le « Sunday Express », Kailash Chand a en effet expliqué dans un entretien repris en France par la nutrtion.fr comment il a découvert il y a cinq ans à ses dépens la toxicité des statines. Il avait 60 ans. « Après plusieurs semaines de traitement, j’ai commencé à ressentir des douleurs musculaires épouvantables, dans tout le corps qui me réveillaient même la nuit. J’ai mis cela sur le compte du stress. » Il a mené ses recherches et arrêté de lui-même son traitement. « Les choses ont commencé à rentrer dans l’ordre dans les deux ou trois semaines qui ont suivi. »
    Le cholestérol bon pour l’organisme ?

    S’il dénonce le fait que soient mis sous statines des gens en bonne santé, le docteur est convaincu que le traitement est bénéfique en prévention secondaire « Il ne fait aucun doute, écrit-il, que les statines jouent un rôle important pour le soin des patients ayant déjà été victimes d’un arrêt cardiaque au un accident vasculaire cérébral. » Les « cholestérosceptiques », c‘est à dire les chercheurs qui, du Japon à la Norvège, ont révélé la fragilité des études d’origine menées à partir des années 50 et sur lesquelles repose le combat contre le cholestérol (l’étude de Framingham et l’enquête des 7 pays) sont divisés sur cette question.

    Pour les uns, comme le Pr Even ou Michel de Lorgeril, du CNRS de Grenoble, le premier chercheur français à avoir mis en cause l’histoire du diabolique-cholestérol-boucheur-d’artères et être parti en guerre contre « le cholestérol delirium » (3), les statines sont tout aussi inutiles en prévention secondaire et pour cause : le cholestérol ne fait pas de tort à l’organisme, bien au contraire. Pour ceux-là, le traitement ne devrait être prescrit que dans les cas peu répandus d’hypercholestérolémies familiales. Une maladie rare en somme : 100.000 en France quand 5 millions d’hommes et de femmes sont sous statines, et 6 à 7 millions au Royaume Uni.
    Effets secondaires non voulus

    Quelques chercheurs avancent donc l’hypothèse que l’action bénéfique des statines sur l’athérosclérose après la survenue d’un infarctus ou d’un AVC serait due à « leur effet pléïotrope ». En clair : on sait que tout médicament a des effets autres que celui pour lequel il est prescrit, la statine serait donc efficace, non parce qu’elle abaisse le taux de cholestérol… mais par une autre de ses vertus. La plupart des praticiens hostiles à la prescription d’anticholestérolémiants aux bien-portants restent comme le docteur Cand favorables à son utilisation après un accident grave. Quoi qu’il en soit, c’est bien la première fois qu’une sommité britannique prend la parole sur cette question d’intérêt général.

    (1) Voir « Le Nouvel Observateur » numéro 2519 du 14 au 20 février 2013.
    (2) « La vérité sur le cholestérol », au Cherche Midi éditeur
    (3) « Cholestérol, mensonge et propagande », Thierry Souccar Editions

    #santé
    #toxicité
    #statines
    #cholestérol #mensonge et #propagande

  • David Elia n’est pas un sein. (De la médecine générale, seulement de la médecine générale)
    http://docteurdu16.blogspot.com/2011/09/david-elia-nest-pas-un-sein.html

    ’écoute hier matin David Elia sur Europe 1, il est consultant de la station, et il fait l’apologie de la mammographie à l’occasion de l’opération (que le terme est bien choisi) Octobre Rose qui est annoncée ainsi sur Doctissimo. Source : De la médecine générale, seulement de la médecine générale