The Paedophile Hunter (TV Movie 2014) - IMDb
A look at the work of Stinson Hunter and his gang who pose on line as underage girls in order to catch pedophiles.
par le réalisateur de leaving neverland, #Dan_Reed.
The Paedophile Hunter (TV Movie 2014) - IMDb
A look at the work of Stinson Hunter and his gang who pose on line as underage girls in order to catch pedophiles.
par le réalisateur de leaving neverland, #Dan_Reed.
ce que dit un ancien policier chargé de traquer des pédocriminels en ligne :
sur 2000 personnes « piégées » seulement 2 ont dit : non, tu es trop jeune.
bon, pour résumer et si j’ai bien compris malgré l’accent écossais, un type, #Stinson_Hunter abusé lui-même, traque des pédos sur les réso, les piège en vidéo et fini par en faire mettre 10 en taule. Un pédophile s’est également suicidé à cause de lui, si j’ai bien compris. En jetant un oeil sur son twitter, stinson hunter à l’air en vrac, pas sûr que ça lui ait fait du bien.
#vengeance
▻https://www.lci.fr/international/video-les-pieges-et-les-derapages-de-la-chasse-aux-pedophiles-en-angleterre-2143
La fin justifie-t-elle les moyens ? C’est la question que posent les milices de citoyens qui se multiplient en Angleterre. Ces derniers ont pour objectif de démasquer et faire arrêter des pédophiles présumés. Au Royaume-Uni, une arrestation de suspect sur deux se fait grâce à ces chasseurs autoproclamés. Une pratique légale outre-Manche, même si les méthodes de certains sont contestées.
Tortura e migrazioni
As a social relationship of submission whose scope goes beyond those directly affected, torture is still an ongoing practice, widespread everywhere, and this is also due to several processes typical of the neo-liberal era – starting from the policies aimed at the security armoring of society. The essay, which examines the causes and dimensions of torture, inhuman and degrading treatment of migrants, shows how this global phenomenon today has a close link with the worsening conditions of migration, the global war on immigrants, the tightening of migration policies, the stigmatization of immigrants, the rise of institutional racism, the illegalization of migrations, all elements that favor the production of contexts, environments and situations permeable to torture.
▻https://edizionicafoscari.unive.it/it/edizioni4/libri/978-88-6969-359-5/tortura-e-migrazioni
#torture #migrations #livre #néo-libéralisme #sécurité #traitements_inhumains_et_dégradants #guerre_aux_migrants #stigmatisation #racisme #racisme_institutionnel #racisme_d'Etat #illégalisation_des_migrants #Fabio_Perocco
La reconnaissance faciale des manifestants est déjà autorisée
►https://www.laquadrature.net/2019/11/18/la-reconnaissance-faciale-des-manifestants-est-deja-autorisee
Depuis six ans, le gouvernement a adopté plusieurs décrets pour autoriser l’identification automatique et massive des manifestants. Cette autorisation s’est passée de tout débat démocratique. Elle résulte de la combinaison insidieuse de trois dispositifs : le fichier TAJ (traitement des antécédents judiciaires), le fichier TES (titres électroniques sécurisés) et la loi renseignement. L’hypocrisie du gouvernement est totale lorsqu’il prétend aujourd’hui ouvrir un débat démocratique sur la reconnaissance (...)
#algorithme #CCTV #biométrie #facial #reconnaissance #législation #LaQuadratureduNet #Traitement_d’Antécédents_Judiciaires_(TAJ) #TES #STIC #JUDEX #CNIL #LOPPSI #activisme (...)
##Traitement_d’Antécédents_Judiciaires__TAJ_ ##surveillance
À Lyon, la reconnaissance faciale en procès
▻https://korii.slate.fr/et-caetera/justice-lyon-banbanaste-reconnaissance-faciale-proces-photo-algorithme-p
Une première en France : un prévenu a été condamné sur la foi des algorithmes de reconnaissance faciale. « Au départ, c’est une affaire banale. » À la fin d’un après-midi de comparutions immédiates, le président du tribunal de Lyon esquisse un sourire et s’enfonce dans son fauteuil pour écouter la plaidoirie de Maître Hervé Banbanaste. L’affaire n’a en effet rien d’extraordinaire. A priori. Le 5 septembre dernier à Corbas, dans la périphérie de Lyon, un camion Mercedes à frigo disparaît d’un entrepôt, pour un (...)
#algorithme #CCTV #biométrie #criminalité #facial #justice #reconnaissance #discrimination #STIC #JUDEX (...)
##criminalité ##CNIL
Le Syndicat des immenses | I.M.M.E.N.S.E.S : Individus dans une Merde Materielle Enorme mais Non Sans ExigenceS
►http://syndicatdesimmenses.be
https://www.youtube.com/watch?v=fSMn_jhU0dY
Exemples :
Une petite centaine d’immenses poussent quotidiennement la porte de cette association. En devenant immense, du jour au lendemain, j’ai perdu beaucoup d’amis. S’il n’y a pas assez de sandwiches, priorité aux immenses ! OK, je suis immense, mais de là à me manquer de respect ! Comment faire entendre la voix des immenses ? Si l’activité n’intéresse plus aucun immense, on y met fin. Votre public est constitué exclusivement d’immenses ? On compte quelques immenses parmi nos bénévoles. Les immenses seraient plus forts s’ils se regroupaient. Les immenses sont de plus en plus visibles dans la ville. Encore une immense qui a retrouvé un logement ! La seule différence entre vous et nous, les immenses, c’est qu’on est dans une sacrée merde matérielle ! Le Syndicat des immenses a été officiellement lancé le 10 mai 2019 en face du Parlement européen, square Léopold, à la faveur des « 24 heures du droit à un toit »organisé par le mouvement bruxellois DROIT ÀUN TOIT (www.droitauntoit-rechtopeendak.brussels).
Avantages :
• Fin de l’hypocrite euphémisme qui ne trompe personne (« usagers », « bénéficiaires », « gens », « public » voire « clients ») : on spécifie le problème matériel de la personne.
• Fin de la stigmatisation(« SDF », « sans-abri », « sans-papiers », « précaires »...) : on ne réduit pas les personnes à leur problème matériel, et, partant, on a moins la détestable tentation de les mettre toutes dans le même sac.
• Fin de la pirouette faussement non-négative (« habitants de la rue ») : qui veut d’un trottoir en guise de salon ?
• Le nom immense est clairement positif, valorisant, enviable.Une proposition du Syndicat des immenses − #Bruxelles, 31mars 2019
Fondé en mars 2019 dans la foulée de la première Assemblée ouverte du mouvement Droit à un toit / Recht op een dak ►https://droitauntoit-rechtopeendak.brussels , le Syndicat des immenses (SDI) s’est d’abord appelé « Les précaires en colère », mais précaire, comme SDF, sans-abri ou sans-papiers, est stigmatisant. A surgi alors l’appellation immense , acronyme de Individu dans une Merde Matérielle Énorme mais Non Sans Exigences. Le SDI est un groupe de pression et d’action, non un groupe de parole. Il porte des revendications http://syndicatdesimmenses.be/wp-content/uploads/2019/09/Revendications-SDI.pdf , défend les droits des immenses et intervient chaque mois dans l’espace public. Il a un logo, une bannière, un site ►http://syndicatdesimmenses.be , un compte bancaire, un groupe Facebook https://www.facebook.com/login/?next=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fgroups%2Fsyndicatdesimmenses.be%2F , une adresse mail, des cartes de membre, des cartes de visite, et bientôt des statuts.
Le 20 mars 2020 aura lieu la première « Université d’été des immenses ».
#pauvreté #SDF #inégalités #femmes #hommes #enfants #précarité #chômage #logement #pauvres #logement #sans-abri #pauvreté
#sans-abris #hébergement #guerre_aux_pauvres #espace_public #stigmatisation #sans-papiers #précaires
#Médias et #quartiers : #Grenoble, la réplique
Ce vendredi, quatrième épisode de la série documentaire « Médias : les quartiers vous regardent ». Des habitants de la #Villeneuve à Grenoble reviennent sur un reportage d’#Envoyé_spécial de 2013 qu’ils ont jugé stigmatisant. Procédure judiciaire, création d’un média local, comment ont-ils répliqué ?
À la rentrée 2013, France 2 diffuse un reportage dans son émission Envoyé spécial intitulé « Villeneuve, le rêve brisé ». La Villeneuve, quartier populaire de Grenoble, y est décrit comme une « #cité » et un « #ghetto » où règnent essentiellement « #chômage, #pauvreté, #délinquance et #violence ». Le #reportage, très critiqué, provoque une #mobilisation sans précédent. Dans cet épisode de notre série « Médias : les quartiers vous regardent », retour à la Villeneuve, pour raconter comment les habitants ont perçu ce reportage et comment ils se sont emparés de leur droit de réponse et ont intenté une action en #justice contre #France_Télévisions.
S’ils ont échoué à faire condamner le groupe audiovisuel public, les habitant·e·s de la Villeneuve ont gagné leur revanche médiatique : le #CSA a reconnu que France Télévisions avait bien « manqué aux #obligations_déontologiques » avec un reportage qui n’était « pas suffisamment équilibré ». Que dit la riposte des habitant·e·s de la Villeneuve des rapports entre médias et quartiers ? Des habitant·e·s mobilisé·e·s pendant la procédure judiciaire racontent ce qu’ils ont découvert et comment ils ont réagi.
▻https://www.mediapart.fr/studio/documentaires/france/medias-et-quartiers-grenoble-la-replique
#stigmatisation #quartiers_populaires #déontologie #colère #plainte #image #stéréotypes
signalé par @albertocampiphoto
Dans le reportage de Mediaprt on parle d’un nouveau média du quartier de la Villeneuve, né après Envoyé Spécial, et en réponse à cela :
Lancé en octobre 2014, Le Crieur de la Villeneuve est le premier site d’information participative du quartier de la Villeneuve à Grenoble. Vous pouvez y trouver de nombreuses informations sur la vie du quartier, des petites annonces, un agenda, des photos mais aussi des portraits d‘habitants, des reportages, des enquêtes…
De l’école à la galerie, pourquoi les jeunes artistes s’évaporent-elles ?
▻https://manifesto-21.com/de-lecole-a-la-galerie-pourquoi-les-jeunes-artistes-sevaporent-elles
Cette #stigmatisation des #artistes #femmes et de leur pratique, toujours vivace parmi le corps professoral des plus grandes écoles d’art ainsi que certains intermédiaires, s’apparente en effet à une double sanction. D’une part, la tendance à chercher et dénigrer ce qui relèverait du genre dans les œuvres d’artistes femmes – sensibilité, délicatesse, fragilité, autant d’attributs qui, rattachés à une pratique masculine, deviennent alors des atouts et la marque d’une capacité sensible exacerbée. D’autre part, des préjugés récurrents envers la femme s’emparant de médias historiquement monopolisés par les hommes, en raison de leur dimension physique et technique. Là encore, les témoignages de discrimination, en école d’art notamment, sont légion. « Le jury de mon diplôme de cinquième année m’a reproché le fait de ne pas revendiquer de posture féministe alors que je développe une pratique de sculpture, sous-entendant que c’était un médium appartenant aux hommes » témoigne anonymement une ancienne étudiante. « En tant que femme, j’ai subi à maintes reprises une forme d’illégitimité quant à l’utilisation de certaines machines en atelier, spécialement en bois et en métal. Les femmes n’auraient pas leur place dans des ateliers où l’on utilise des machines dangereuses, ne sauraient pas faire, étant trop fragiles pour ça… » poursuit une autre.
Interview de Karine Dettinger, épouse de Christophe Dettinger, ce héros du mouvement des Gilets jaunes que pas un Macron ne pourra abattre. Le Média
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=473&v=d3DuvYIvYOg
Source : ▻https://yetiblog.org/archives/18807
#Femme #témoignage sur la #France #enMarche #racisme #gilets_jaunes #dettinger #christophe_dettinger #guerre_aux_pauvres #giletsjaunes #racisme #violence #racisme_de_classe - #stigmatisation #police #chistophe_dettinger #mépris_de_classe #Denis_Robert #police #violences_policières
Burlesque, sur un instant « tanné » par Yak Rivais A propos de #Chistophe_Dettinger , sacré texte
▻http://federations.fnlp.fr/spip.php?article1919
« Sommes-nous bien loin de Montmartre ? »
Loin de l’édifice érigé comme un pâté en croûte pour rappeler à la populace que faute d’avoir vaincu la Prusse, l’armée de Versailles était venue à bout des Français ?
« Sommes-nous loin de Montmartre » ?
Dehors, c’est la jacquerie, comme au temps d’Azincourt. Les Jacques Bonhomme errent dans les rues. Contre eux, on a rouvert les citadelles, on a levé les herses, abaissé les pont-levis, lâché les mercenaires casqués, bottés, cuirassés de bourrelets noirs. A l’abri des boucliers, la tortue déferle, matraques en l’air. Flash-ball dégainés, grenades aux poings, on frappe, on gaze, on aveugle, on assourdit, on asphyxie, on mutile. Des victimes s’écroulent, un œil perdu, ensanglanté, une vieille dame gît à terre impuissante à se relever, un homme debout bras écartés reçoit au ventre un tir tendu ! La foule crie, s’affole, tangue, reflue, cherche une issue. La passerelle Senghor est barrée, on ne passe pas !
A la télévision, les orateurs ânonnent. Les téléspectateurs ingurgitent les purges des diffuseurs de « com » (apocope favorite) . Des masses vont et viennent à l’écran. Frappez ! Au nom de la loi, frappez au nom de l’aloi ! Les combats s’encrassent, uniforme noir contre uniforme jaune, un lutte picaresque entre demi pauvres et pauvres, les uns armés, les autres pas. Dans le donjon, entre Oedipus Rex et le Curé de Cucugnan, le chef s’englue dans une indécision sans échéance autre que l’essoufflement des sans-argent…Tout ronfle… Tout ronronne… Et…
… La télévision reste à quia, les commentateurs bec ouvert sans le son ! Les mercenaires eux-mêmes retiennent leur souffle ! Un intrus a surgi, mur des balivernes crevé. Un homme inattendu en premier plan a franchi le garde-fou de la passerelle Senghor, surpris la caméra, un homme ému par la détresse d’une foule et d’une femme tabassée sous ses yeux, un homme vient de réveiller l’image et court vers les manifestants, un homme simplement…
Les mercenaires accusent un temps de retard. L’homme les affronte, sans mâchoire d’âne, les poings en posture de boxeur ! Et il avance ! Le premier mercenaire encaisse les coups sur son bouclier transparent, sur son masque et son casque, un camarade se cache derrière lui, un troisième s’esquive ! Le mur s’effiloche, la passerelle se vide ! Il a suffi d’un homme pour que, sur les téléviseurs, s’affiche la vérité d’un pouvoir décrépit en position fœtale comme le Kerenski d’Eisenstein. La domesticité dérape. Sommes-nous si loin de Montmartre, dis ? Un gladiateur qui se battait pour vivre sur un ring, renonce au cadre théâtral, s’engage dans un combat réel pour protéger les humbles. Les mensonges empilés comme des bidons de chamboule-tout s’effondrent, révèlent un pouvoir faux, peuplé de fantoches, bénéficiaires du privilège de présomption d’innocence quoi qu’ils fassent, entre presse et justice aux ordres. La messe est dite. Les pauvres emportent l’assaut burlesque, même si l’éter-niquée va s’échiner à les berner sans fin à coups de morale sur les territoires pipés de la pyramide complice.
Crachez ! Ave Caesar ! Même la séquence directe, on ne la diffuse plus, on opère déjà un « montage » ! Dis-moi, sommes-nous très loin de Montmartre ?
Le boxeur héroïque est parti. Sortant de chez moi, je tombe en arrêt devant une publicité Decaux qui représente un boxeur en garde. La vulgarité récupère le mythe : « Avec les chercheurs aidez-nous à mettre Alzheimer K.O. » Un anonyme a tagué le nom du président au feutre noir sur « Alzheimer ». La droite se resserre : 5% d’appuis glanés en deux jours. Dans les médias, les hyènes assurent la glose. Alors qu’il a suffi d’un homme pour détricoter le meccano ?
Burlesque ! Peu importe la suite à venir, le rapport de violence du fort au faible, au risque de faire du héros un martyr : la vérité de l’imaginaire écrasera toujours et définitivement le compte-rendu « objectif ». Les raisonnements s’imposent. Si attaquer un mercenaire c’est attaquer la République, c’est attaquer son président. Dans ce cas, ouvrir des débats pour quoi faire ? Durer ? Noyer le poisson ? Le message est pourtant clair : c’est au président qu’il s’adresse ! Alors ce commandant qui roue de coups et s’acharne sur un manifestant arrêté, incarne-t—il aussi la République et le président ? Et si le mercenaire est également un homme, ce commandant à qui s’en prend-il ? Un mannequin ?
Tout branle. Un instantané a suffi à vilipender l’injustice, clamer comme l’enfant du conte, que l’empereur aux « habits neufs », est tout nu. Le temps d’une tannée, d’un instant tanné, le temps qu’un Spartaccuse…
La passerelle est déserte, les passereaux sur la rambarde.
« Dis-moi, sommes-nous bien loin de Montmartre ? » Les institutions font de la surenchère. Spontanément, une cagnotte ouverte recueille 100 000 euros par solidarité pour le boxeur et sa famille… La droite brait ! Ah non ! Une classe aux poches pleines se vautre dans le grotesque : on est les plus forts, on fait mieux ! Et pour elle, « mieux » c’est « plus » : elle accumule 3 millions 300 000 euros pour les familles des mercenaires blessés, sans mesurer que cette quête confirme les accusations de collusion entre elle et le gouvernement. Les fonctionnaires incarnent la République. Et le président. Représentent-ils aussi la classe qui tend à leur donner de l’argent ? Sont-ils autorisés même à le recevoir ? On n’est plus au dix-neuvième siècle, on ne bâtira une basilique pour matérialiser la domination des possédants sur les matés. Un million trois cent mille euros : un monument bancaire, virtuel, à la télévision. Un monument.
« Sommes-nous si loin de Montmartre ? » &
Yak Rivais
& Les vers de Cendrars (1913) me plaisaient. Ils sont venus les premiers. Après, je me suis demandé pourquoi.
Texte de Yak Rivais publié dans le numéro 80 (Mai 2019) du Batia Mourt Sou (Mons Belgique), : ►http://www.dailybulandco.be/fonds-batia.html
#racisme #Giletsjaunes #guerre_aux_pauvres #racisme_de_classe #mépris_de_classe #jacquerie #stigmatisation #police #violence #dettinger #Batia_Mourt_soû
Coeur de boxeur Présentation et débat avec Antoine Peillon, l’avocate et l’épouse de Christophe Dettinger
▻http://www.librairie-tropiques.fr/2019/06/un-coeur-de-boxeur-antoine-peillon.html
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=YZg_WqaWm4U
Coeur de boxeur revient sur « l’affaire Christophe Dettinger », du nom de ce « boxeur gitan » qui est devenu le symbole de la révolte contre les violences policières et de la résistance à la dérive versaillaise d’Emmanuel Macron et de sa clique de têtes à claques.
Cet ouvrage court mais très documenté reprend le dossier de la défense de Christophe Dettinger et avec lui de toutes celles et tous ceux qui souffrent de n’être pas entendus, malgré leur mobilisation intrépide, par un appareil d’État aliéné au mépris de classe incarné par son Président.
#Chistophe_Dettinger, #gilets_jaunes, #Antoine_Peillon #Giletsjaunes #guerre_aux_pauvres #racisme_de_classe #stigmatisation #police #violence
Comme l’explique l’avocate du couple Dettinger, ce qui est en cause c’est le #droit_commercial.
Si #Leetchi gagne, c’est TOUT le droit commercial français qui serait remis en cause.
La rupture unilatérale de contrat sans cause deviendrait légale.
Un sacré bordel, contraire aux règles et traités internationaux, de l’OMC . . . .
La souffrance individuelle (et collective) est-elle un critère politique ? – Chi-Chi Shi
►http://revueperiode.net/definir-ma-propre-oppression-le-neoliberalisme-et-la-revendication-de-
De bien des manières, le défi radical que constituaient les politiques de l’identité a été désarmé et subsumé sous la valorisation néolibéraliste de la différence individuelle. Sans théorie explicative de l’identité, les identités apparaissent comme déjà constituées, des fac-similés cristallisés de la lutte sociale. Séparées de l’histoire matérielle de l’identité, les politiques de l’identité deviennent complices de la diversification du capitalisme.
C’est ce que montre l’injonction à en finir avec le « classisme » en tant que discrimination contre les membres de la classe ouvrière, une tentative erronée de saisir la manière dont les rapports de domination fonctionnent au travers de la classe. Le « classisme » est un symptôme d’une société capitaliste fondée sur l’exploitation de classe. Se focaliser sur les effets culturels de l’identité mène à une analyse dématérialisée qui ne peut appréhender le système de classes comme étant nécessaire à l’exploitation du travail, plutôt qu’en termes d’identité dénigrée qui doit être libérée. Cela s’ancre dans la logique sociale et politique du néolibéralisme qui traite les forces marchandes du capitalisme comme étant inévitables et incontestables. La prévalence des glissements discursifs vers une explication de l’oppression en termes de préjugés et de stigmates, ce qu’illustre le langage du classisme, s’inscrit dans cette naturalisation. Cela dissocie l’oppression d’une analyse systémique utile reconnaissant la fonction systémique cruciale jouée par l’oppression. En conséquence, cela naturalise les systèmes d’oppression. Le classisme en est l’exemple le plus évident. Selon cette analyse, les pauvres et les membres de la classe ouvrière souffrent à cause de l’attitude des membres des classes moyennes et supérieures envers eux, et non parce qu’ils sont exploités par les modes de production capitalistes. Les inégalités de richesse et de revenus sont imputées aux préjugés : « le classisme est un traitement différencié en raison de la classe sociale ou de la classe sociale perçue. Le classisme est l’oppression systématique des groupes des classes subordonnées pour avantager et renforcer les groupes des classes dominantes. C’est l’assignation systématique des caractéristiques de valeur et de capacité basées sur la classe sociale41 ».
L’organisation Class Action a son propre slogan : « bâtir des ponts pour réduire la fracture de classe », situant la discrimination de classe dans les relations interpersonnelles qui découlent des caractéristiques systémiques des préjugés. Au lieu d’abolir les rapports de classe, le classisme met l’accent sur l’atténuation des effets individuels des rapports de classe, comme « se sentir inférieur aux membres des classes supérieures ». Au lieu d’exiger le démantèlement du système de classes capitaliste, Class Action met l’accent sur la reconnaissance de la souffrance causée par les relations interpersonnelles comme solution à l’inégalité, aplanissant la fonction de la race, de la classe et du genre en les égalisant par le prisme de l’identité descriptive.
Je ne remets pas en question le fait que la souffrance qui marque la vie des sujets opprimés doive jouer un rôle dans la résistance à l’oppression. Toutefois, la tendance au culturalisme dont font preuve les politiques de l’identité contemporaines mène à concevoir la résistance comme tournée vers l’intérieur, vers les symptômes de l’oppression et à un éloignement des causes systémiques. Ce repli sur soi s’incarne dans la popularité de la théorie du privilège. La théorie du privilège est un exemple de la manière dont les inégalités structurelles sont situées dans les positions individuelles des sujets. La conception qu’a Peggy McIntosh du privilège blanc se situe au fondement à la compréhension actuelle. Elle compile une liste de 50 bénéfices quotidiens du privilège blanc : « J’en suis venue à voir le privilège blanc comme un ensemble invisible d’atouts immérités que je peux encaisser chaque jour, mais desquels je demeure inconsciente42 ». Le concept de privilège personnel comme « avantage immérité (…) à cause de la discrimination » est devenu omniprésent dans le discours des politiques de l’identité43. L’expression « Check your privilege » est devenue un cri de ralliement politique, laissant entendre que la résistance doit débuter par la reconnaissance de la position personnelle de chacun au sein du système.
#identité #politique_de_l'identité #théorie_du_privilège
Edit #privilège_blanc #intersectionnalité #individualisation
Reste étonné par ce glissé/collé là : le #classisme vu comme représentation redoublant un stigmate, #stigmatisation et donc utilisable comme catégorie négative, voire insulte à destination de suppôts de l’oppression, plutôt que le classisme (d’antan ?), position de classe, position théorique revendiquée. Un effet de la pullulation universitaire ?
La notion de trauma a la part belle ces derniers temps. En matière politique, sous le nom « d’expérience des premiers concernés », la condition de victime règle les processus et les recompositions politiques contemporaines. Selon Chi-Chi Shi, cet état de fait traduit une donnée structurelle de l’ère néolibérale : une individualisation constante des phénomènes politiques. Dès lors, la parole se distribue au gré de ce que chacun et chacune entend témoigner ou révéler. C’est dans ce contexte que Chi-Chi Shi situe l’émergence de l’intersectionnalité, dont il résulte trop souvent une approche de plus en plus morale ou dépolitisée des oppressions. La politique est désertée au profit d’une demande de reconnaissance par les dominants de leurs propres privilèges. Loin de récuser la pertinence d’une lutte contre l’oppression, Chi-Chi Shi en appelle à une reprise dialectique de l’universel et du spécifique, de l’individuel et du collectif, dans une dynamique qui ne résoudrait pas la tension entre les deux termes, mais qui chercherait à la rendre féconde.
[...] Aux prises avec la signification de l’identité, Fanon écrit que « [l]e nègre n’est pas. Pas plus que le Blanc62 ». Reconnaître le poids du passé ne nécessite aucunement de répéter celui-ci.
Mon anarchisme
▻https://infokiosques.net/spip.php?article1638
Ce texte a été écrit suite à la publication du texte « Contre l’anarchisme, un apport au débat sur les identités ». Ce n’est pas un dialogue avec des marchands d’idées qui se permettent sournoisement, et assez facilement, de cracher sur un courant très divers qu’ils sont incapables de comprendre. C’est par contre une « réponse à une réponse » qui a été faite à ce texte, et qui #M'a semblé tout aussi navrante que le texte lui-même. (Présentation publiée sur le site des éditions Diomedea.)
M
/ #Anarchismes,_anarchie, Infokiosque fantôme (partout)
▻https://diomedea.noblogs.org/post/2018/03/19/mon-anarchisme #Infokiosque_fantôme_partout_
▻https://infokiosques.net/IMG/pdf/mon_anarchisme-cahier.pdf
▻https://infokiosques.net/IMG/pdf/mon_anarchisme-pageparpage.pdf
Mon anarchisme se base sur ma vie à Moi, qui refuse de faire partie d’un ensemble plus vaste, d’un « tout » dans lequel je devrais m’adapter
L’humain comme être indépendant de tout aspect social… Comme si notre pensée, nos choix, n’étaient pas dépendant de toutes les relations qu’on a eu depuis la naissance…
No (hu)man is an island…
Loi contre le voile à l’école : l’heure des bilans (Libération)
▻https://www.liberation.fr/debats/2019/03/18/loi-contre-le-voile-a-l-ecole-l-heure-des-bilans_1715972
Les données montrent cependant que si, jusqu’en 2004, le taux d’obtention du bac était plus faible pour les jeunes filles du premier groupe [père est né au Maghreb ou au Moyen-Orient], il augmentait régulièrement et tendait à se rapprocher de celui de la population générale ; mais ce taux baisse brutalement pour les jeunes filles d’origine musulmane nées après 1984, et donc encore scolarisées lorsque la loi fut mise en application.
[…] les auteures montrent également que le nombre de jeunes filles déclarant avoir été victimes de racisme ou de discrimination s’est accru, que la confiance dans l’école a diminué, et que le sentiment d’identité nationale s’est accru, les jeunes enquêtées déclarant un attachement plus fort au pays d’origine, mais aussi, ce qui peut sembler paradoxal, à leur identité française. En poussant chacune à se définir selon cette dimension, la loi pourrait avoir contribué à renforcer l’importance de la question identitaire, et encouragé une forme de polarisation. Quant aux différences de parcours à l’âge adulte entre celles assez âgées pour avoir échappé à la loi et celles qui y ont été confrontées, elles sont importantes et vont toutes dans le même sens : les secondes sont plus souvent inactives, ont davantage d’enfants, vivent plus souvent chez leurs parents, et exercent moins fréquemment un emploi.
The life and times of Stiv Bators, legendary frontman of the Dead Boys and The Lords of The New Church.
▻https://vimeo.com/199202135
When he was a senior at Boston’s Emerson College in 1982, Chris Epting was enticed by members of Lords of the New Church (Stiv Bators, Brian James, Dave Tregunna, Nick Turner) to tag along on a short band tour with a video camera. They wanted their own version of Gimme Shelter. The fresh-faced collegian leaped at the chance to hang with the punk supergroup (and, in New York, Johnny Thunders). The following is his account of that wild ride.
▻https://pleasekillme.com/stiv-bators-lords-of-new-church
▻https://www.youtube.com/watch?v=34KI7v1HzPc
Bernard Stiegler : « Le #capitalisme conduit à une automatisation généralisée »
"#Démographie, #changement_climatique, #biodiversité, spéculation internationale : « On ne peut pas s’en sortir », assure Bernard #Stiegler. Reste donc à construire, inventer, bifurquer, bref, à produire de la raison face au délire d’un monde condamné. Nous le retrouvons à Paris, au Centre Pompidou. Ancien directeur général adjoint de l’INA et fondateur du collectif Ars industrialis, le philosophe — formé dans les rangs du Parti communiste et tombé pour braquage à la fin des années 1970 — s’est imposé comme l’un des penseurs de la technique. Une œuvre exigeante à ambition anthropologique, sur laquelle nous revenons à ses côtés."
►https://www.revue-ballast.fr/bernard-stiegler-le-capitalisme-conduit-a-une-automatisation-generalis
Très soucieuse de ma santé, ma compagnie d’assurance m’offre l’application #FibriCheck dont je lis la politique de confidentialité . Morbleu !
▻https://docs.fibricheck.com/#legal/privacy_policy/1.3.1/fr
#vieprivée
C’est mieux avec un extrait
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Je complète avec un extrait de #Stiegler sur #Ballast :
Marx ne pouvait pas imaginer ce que serait une société consumériste. Il vivait à une époque où les prolétaires de Manchester croupissaient dans la misère absolue. Difficile pour lui d’entrevoir ces mêmes ouvriers au volant d’une voiture avec climatisation, GPS et smartphone à la main ! Ou d’imaginer qu’une voiture qui sort des chaînes américaines de General Motors puisse posséder plus de 500 capteurs à même de renseigner des algorithmes. Ni prévoir que de nouvelles technologies mises au point par l’entreprise Generali puissent mettre en place un contrat d’assurance demandant votre accord pour que les data de votre voiture leur soient transmises, afin de vous prescrire par la suite comment la conduire. C’est en cours au niveau des assurances ; c’est déjà le cas pour les assurances sociales. Vous allez vous engager à transmettre vos données et on va vous dire de manger moins de graisses, moins de sucre… Et vous allez devoir le respecter, sinon vous allez payer des primes. On est dans ce monde-là. C’est une réalité inimaginable pour Marx. Et pourtant, c’est la conséquence de ce qu’il écrit en 1857.
►https://www.revue-ballast.fr/bernard-stiegler-le-capitalisme-conduit-a-une-automatisation-generalis
En #Bosnie, Ajnas se bat pour les #enfants de la #honte
En #Bosnie-Herzégovine, on les appelle les « #enfants_invisibles ». Ce sont les bébés nés de viols commis pendant la guerre de Yougoslavie – par des soldats ennemis, mais aussi par des Casques bleus. Ajna Jusic est l’un de ces enfants de la honte, qui seraient entre 2 000 et 4 000 dans le pays...
La jeune femme, à qui la mère a longtemps caché sa véritable histoire, lutte aujourd’hui pour faire reconnaître ces personnes, discriminées par la société, comme victimes de guerre officielles.
▻https://www.arte.tv/fr/videos/079474-003-A/arte-regards
#guerre #histoire #ex-Yougoslavie #viols #viols_de_guerre #femmes #invisibilité #discriminations #égalité_de_traitement #victimes_de_guerre #préjugés #rejet #insultes #adoption #exclusion #traumatisme #culpabilisation #stigmatisation #santé_mentale #reportage #documentaire #film
Les mots très forts de Ajna Jusic :
« Les dégâts causés par la guerre n’ont pas de nationalité, ni d’ethnie. Le viol n’a rien à voir avec la nationalité, c’est une expérience traumatisante et c’est comme tel qu’il faut le traiter »
Brussels Talks - Tous à #vélo ?
▻http://www.radiopanik.org/emissions/brussels-talks/brussels-talks-tous-a-velo-
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#Bruxelles #voiture #mobilité #STIB #cyclisme #métro #GRACQ #tram #routes #bus #vélos #Bruxelles,voiture,vélo,mobilité,STIB,cyclisme,métro,GRACQ,tram,routes,bus,vélos
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/brussels-talks/brussels-talks-tous-a-velo-_05815__1.mp3
Bruxelles: le collectif “Design for everyone” adapte le mobilier urbain “anti-SDF” Guillaume Guilbert - 13 Novembre 2018 - RTBF
►https://www.rtbf.be/info/societe/detail_bruxelles-le-collectif-design-for-everyone-adapte-le-mobilier-urbain-ant
Des bancs publics équipés d’arceaux métalliques, des bancs avec des assises individuelles, des picots sur les appuis de fenêtre ou encore des places où il n’y a plus aucun banc public. Les membres du collectif « Design for everyone » dénoncent l’aspect excluant de certains éléments de mobilier urbain. D’après eux, certains choix en la matière traduisent une certaine vision de la société. Ils traquent donc ce type d’aménagements. Une équipe de Vews les a suivis lors d’une de leurs interventions.
« On ne sait pas si c’est uniquement les politiques ou si c’est un choix des designers qui n’ont pas réfléchi plus loin, mais cela a clairement un impact sur le vivre-ensemble, sur la manière dont les gens peuvent se rencontrer, et sur la vision de la société qui doit être propre, nette et sécure, et surtout pas trop déranger », explique Charlotte.
Avec Laurent, son compagnon, elle a fondé le collectif « Design for everyone ». « Tout est né il y a un an et demi, raconte-t-elle. A la fin du dispositif d’hiver pour les sans-abris, avec un autre collectif, on a décidé d’enlever des grilles à la gare du Midi. En-dessous du pont de la gare, une série de grilles ont été installées car de nombreux sans-abris dormaient à cet endroit. Lors de la visite d’Angela Merkel, les sans-abris ont été priés de partir et des grilles ont été placées. On s’est donc dit qu’il fallait les enlever car selon nous, elles ne sont pas une solution ».
Pour la petite histoire, les grilles ont finalement été réinstallées, ce qui a donné lieu à un petit « jeu » entre le collectif et la Stib. Depuis, le collectif repère des aménagements urbains qui selon eux posent problème et intervient ensuite. Charlotte et Laurent nous ont reçus dans leur atelier le jour d’une intervention. C’est sur un banc à la station de métro Gare de l’ouest qu’ils ont décidé d’intervenir.
« On a repéré il y a quelques semaines un banc qui nous posait question de par son design, explique Laurent. Son design fait en sorte qu’il n’y a pas d’assise plane. Ils ont ajouté des arceaux en métal, c’est très design mais ça ne sert à rien, à part empêcher sans doute que quelqu’un puisse se coucher dessus. Nous, on veut que les gens se saisissent de la question donc on a construit une structure qui va s’adapter. On va la glisser sans abîmer le banc pour lui redonner cette assise plane ».
C’est donc parti pour l’intervention du jour. Nous les suivons discrètement à la station de métro Gare de l’ouest, à Molenbeek. L’action n’étant pas du tout officielle, il ne faut pas perdre de temps, au risque d’alerter la sécurité. Très rapidement, Charlotte et Laurent posent leur structure en bois sur le banc en question. Ils la fixent avec des colsons, afin de ne pas endommager le banc.
Provoquer le questionnement
Intrigués, certains passants observent la scène. Comme une signature, Charlotte et Laurent laissent un petit mot expliquant leur démarche, avant d’immortaliser leur action réussie pour partager l’info sur les réseaux sociaux. Car l’objectif, c’est bien de faire se questionner les gens sur l’aménagement du mobilier urbain et son impact sur la vie de quartier. « On a posé la structure, le reste ne nous appartient plus, explique Charlotte après l’intervention. Après, c’est aux gens à regarder, à s’imprégner du questionnement et se demander pourquoi cette structure est là ».
« Avec cette action, on ne veut pas fustiger les bancs de la Stib, enchaîne Laurent. Il y a aussi la multiplication des assises individuelles, des absences d’aménagement, l’absence de bancs est parfois tout aussi révélatrice que la présence d’arceaux sur les bancs. C’est un peu tout ça qu’on interroge : ces aménagements qui empêchent différents usages de l’espace public. On a l’impression que c’est fait à l’insu de la population et pourtant cela a un impact sur la cohésion sociale dans les quartiers, sur le fait que certaines personnes fréquentent tel ou tel endroit. Nous pensons que l’on doit se saisir de cette question ».
Du mobilier urbain pour éloigner certaines populations comme les SDF ? La Strada, observatoire du secteur bruxellois de l’aide aux sans-abris, dit recevoir de plus en plus de plaintes concernant ce type de mobilier. Des plaintes émanant des professionnels de l’aide aux sans-abris plutôt que de ceux qui vivent vraiment dans la rue.
Même constat du côté de Murat Karacaoglu, directeur de l’ASBL Pierre d’angle, centre d’accueil de jour et de nuit pour les sans-abris. « Cela peut être inquiétant si on généralise ce genre de système par rapport uniquement aux personnes sans-abris, admet-il. Je pense que l’action de ces citoyens qui s’engagent à remeubler l’espace public, c’est d’une importance capitale. Cela doit nous interroger sur la place des personnes en situation de précarité. En tant qu’acteurs du secteur, cela doit aussi nous interroger sur la réponse à apporter par rapport à ces éléments ».
#sdf #anti-sdf #pauvreté #sans-abris #sans-abri #guerre_aux_pauvres #espace_public #urbanisme #mobilier_urbain #prévention_situationnelle #designers #STIB #Molenbeek #cohésion_sociale #précarité #Bruxelles
Extrait : Lors de la visite d’#Angela_Merkel, les sans-abris ont été priés de partir et des grilles ont été placées.
Im Rheinischen Revier schaltet RWE zwei kleinere Braunkohleblöcke a...
▻https://diasp.eu/p/7776270
Im Rheinischen Revier schaltet RWE zwei kleinere Braunkohleblöcke ab - und bekommt dafür viel Geld. Denn die Anlagen müssen vier Jahre in Bereitschaft bleiben. RWE nimmt zwei Braunkohle-Blöcke vom Netz #Braunkohle #Kraftwerk #Niederaußem #RWE #Stilllegung #Abschaltung #NRW
Türkei: Der Stachel, den Erdoğan entfernen musste (►https://www.zei...
▻https://diasp.eu/p/7720199
Türkei: Der Stachel, den Erdoğan entfernen musste
Die „Cumhuriyet“ war die kritischste Stimme gegen das Regime von Recep Tayyip Erdoğan. Nun bringt er die Zeitung auf AKP-Linie. Die Demokratie ist endgültig tot.
#ausland #türkei #stachel #cumhuriyet #stimme #regime #recep #zeitung #akp-linie #akp #linie #akplinie #demokratie #news #bot #rss
Wer sucht, der findet. Dank Google. 95 Prozent Marktanteil hat die ...
▻https://diasp.eu/p/7668416
Wer sucht, der findet. Dank Google. 95 Prozent Marktanteil hat die Suchmaschine, die inzwischen dank Werbung und Zusatztools längst eine Gelddruckmaschine ist. Stichtag - 4. September 1998: Gründung von Google Inc. #Stichtag #4September1998 #04091998 #4September2018 #04092018 #Google #NRW
Deux #courts-métrages vus sur l’avion de retour du Cambodge... Les deux portants sur la #rénovation_urbaine à #Hong_Kong
#A_Long_Ride de #Ng_Chun
Oscar Ng Chun’s film takes a subtler approach to consider a changing Hong Kong, but is no less powerful for it. Here we find Nine – played by stage actor Au-Yeung Chun with few film credits to his name – the sole employee of a laundry set for closure, sent out to return a washed suit and the broken watch it contained to its original owner. He soon discovers that a more difficult task than he would expect, with the owner moved on and local area almost unrecognisable from redevelopment. But amid stores that advertise discounts for Chinese tourists, there are local resident who seek to preserve the areas unique charm. Unable to reunite the suit and watch with their owner, he agrees to look after the watch.
▻https://www.easternkicks.com/reviews/fresh-wave-2015-the-long-ride
#Still_on_the_bridge de #Pako_Leung
Every day, Cheong, the widowed man sells on the bridge an old school candy snack his wife loved. He stays in the old community, meeting the old neighbors and living on the ordinary life.
That is a hot year, even Liqiu has already begun. Community reconstruction is Ongoing and becoming faster. The flat Cheong rented has to be sold. Even worst, Cheong receives more warnings when he is selling on the bridge. Facing all these vicissitudes, shall Cheong insist on staying in this place, a place full of memories?
▻http://www.naehk.com/2017/lib/success/61/success_files__61___20140813_200603.JPG
▻http://www.naehk.com/2017/en/success/content.php?u=NjE=
#stree-food #villes #urban_matter
#géographie_urbaine #film
L’école en banlieue : « Territoires vivants de la république » (Le Café Pédagogique)
▻http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2018/08/24082018Article636706973525101475.aspx
Dans ce livre, les nombreux auteurs rappellent tout simplement que l’école poursuit son travail dans les territoires si souvent stigmatisés par le discours ambiant. Ils rappellent qu’enseigner en éducation prioritaire, dans les banlieues, c’est possible. Que les enseignants n’y vont pas contraints et forcés. Malgré les difficultés que le livre ne nie pas, ils prennent même plaisir à le faire. La parole est donnée à tous les acteurs, même les élèves.
[…]
Parce que ce livre n’est pas rédigé par des prêcheurs de salon mais par des praticiens il montre le travail, souvent invisible, des enseignants. Et il ne nous épargne rien. « Territoires vivants de la République » parle de l’importance de l’accueil des parents dans les établissements. Il décrit les gestes qui tissent la confiance entre les élèves et l’école. Et il aborde de façon frontale, au ras du vécu quotidien des classes, les questions chaudes, celles qui dérangent : enseigner les sciences face au discours religieux, les conflits de mémoire, l’enseignement du colonialisme, de la guerre d’Algérie, de la Shoah et aussi les questions de genre. Oui on peut enseigner tout cela en banlieue.
#éducation #REP #éducation_prioritaire #banlieues #stigmatisation
Die Österreicherin Judith Deutsch gehört vor den Olympischen Spiele...
▻https://diasp.eu/p/7588745
Die Österreicherin Judith Deutsch gehört vor den Olympischen Spielen 1936 zu den weltbesten Schwimmerinnen. Als Jüdin weigert sie sich, in Berlin anzutreten. Dafür wird sie lebenslang gesperrt. Stichtag - 18. August 1918: Geburtstag der österreichischen Schwimmerin Judith Deutsch #Stichtag #18081918 #18082018 #18August1918 #18August2018 #JudithDeutsch #NRW