• – Etat d’urgence,
    – terme « #guerre » martelé dès le premier discours après les #attentats,
    – bombardement de Raqqa moins de 48H après les tueries
    – congrès de Versailles hier actant modification de la #constitution et modification du #budget,
    – appel aux autres armées de l’Union Européenne,
    – appel à Omaba et Poutine

    L’escalade est d’une rapidité incroyable, pas le temps de comprendre chaque nouvel élément on te pond 3 nouvelles mesures d’exception, la pire application de la #stratégie_du_choc que j’aie vu jusqu’alors, le tout sur fond d’#islamophobie galopante et violences associées

    Plusieurs commentaires comparent Hollande à G.W. Bush, pressentent un remake invasion de l’Irak en 2003, mais là ce qui se prépare est d’une autre ampleur.
    Soit ils font tout ça par manque de recul et de maturité, soit il y a une autre raison.

    Qu’en pensez-vous @nidal @loutre @reka @alaingresh @gonzo @souriyam @le_bougnoulosophe @orientxxi ?
    Est-ce qu’on a le temps de faire quoi que ce soit ? Sur qui peut-on compter ?

    EDIT : communiqué de la #LDH

    • Ce qui m’étonne, c’est qu’ils ne se rendent pas compte de l’énormité de toutes les mesures qu’ils énoncent. Parler de « nos » valeurs et vouloir tout cela... mais... ils y croient tous qu’on ne demande que « ça » ? C’est vraiment une course à l’électeur qu’ils nous jouent là ? Si c’est le cas, c’est effrayant. C’est qu’ils ont pour information que les électeurs demandent effectivement cela ?
      Là, pourtant, j’ai l’impression qu’au contraire de janvier dernier, la rage des gens est moindre... mais je dois me tromper...
      On serait donc condamnés à toujours pire dans le médiocre et l’inhumain... Avec pour seul horizon l’assassinat de toutes les voix discordantes (la Commune de Paris, Jaurès, Allende...).

    • Les différences de détail peuvent compter, vu d’en face, mais la logique est la même.L’État hobessien ne se soutient qu’à prétendre garantir contre la peur dont il joue, quitte à la sécréter, (quitte à faire des différences des contradictions qui occuperont le divers face à ses valeurs abstraites, des identités en rivalité, des victimes en concurrence), pour la gauche de droite comme pour la droite. Le PS est opportuniste, c’est à dire pas dépourvu de capacité tactique : il lui est réclamé par les étatistes de tous bords et sur divers plans d’exercer un pouvoir jugé démissionnaire, il saisit l’occasion de paraître maîtriser quelque chose en matière de sécurité, revanche de la politique comme police... Et c’est aussi l’occasion de couper l’herbe sous le pied au FN et à la droite, à qui il ne reste plus que de vaines surenchères possibles (sans plus de poids que les contestataires au sein du PS hier et demain quant à la politique du capital qui a pour nom économie).

    • A mon humble avis pas d’intervention au sol - à part peut-être des forces spéciales en appui du PYD avec éventuellement quelques belles images à l’appui pour faire genre, mais c’est risqué et ça ne plaira pas au sultan Erdogan - sinon, vraiment je ne vois pas.
      Pour les « frappes aériennes », l’armée française est aveugle. Elle dépend intégralement du renseignement américain - pardon, de la coalition. Je suppose donc qu’Obama tient la bride à Hollande mais lui laisse un peu de mou parce qu’il sait qu’il a besoin de donner l’impression de faire quelque chose. On peut imaginer que quelques coordonnées de cible ont été données mais ça m’étonnerait qu’on en ait autant pour la seule Raqqa, même du côté des States. A moins qu’on ne bombarde plusieurs fois le même site, cela veut dire qu’il y a évidemment des morts civils car alors on bombarde au petit bonheur la chance. Le fait de cibler la « capitale » de l’"Etat" islamique, le « fief » de Daesh, dit assez que tout ça n’est que de la com’ à destination du public français, à coup de centaines de milliers ou de millions d’euros la « frappe » et de quelques morts syriens de plus...

    • Si j’en crois le journal Le Temps (suisse), les bombardements français auraient été coordonnées avec la Russie qui bombardait elle aussi Raqqa. Probablement se contente-t-on pour l’instant, comme entre Russes et Américains, d’éviter les collisions.
      http://www.letemps.ch/monde/2015/11/17/impact-frappes-francaises-symbolique-tactique

      Un porte-parole du Ministère français de la défense a annoncé mardi que pour la deuxième nuit consécutive l’aviation a bombardé des infrastructures de l’EI dans son fief de Raqqa, détruisant un centre de commandement et un camp d’entraînement. Dans la foulée, des avions russes ont bombardé d’autres cibles dans la même ville. Des frappes qui, pour la première fois, ont été coordonnées entre Paris et le Kremlin.

      En tout cas :

      Mais sur le terrain à Raqqa, et selon plusieurs témoignages, les bombes françaises ont détruit des bâtiments vides, ou qui avaient déjà été visés par les nombreux raids de l’aviation russe. Mais pour Jean-Claude Allard, « il est trop tôt pour déterminer si les bombardements français ont effectivement neutralisé leurs cibles. L’EI prétend le contraire, car la propagande est à l’œuvre dans un camp comme dans l’autre, lorsqu’il y a une guerre. » La force de frappe française, consent l’ancien général, ne fera pas la différence : « L’effort militaire s’inscrit dans les opérations déployées par la Coalition sous l’égide de Washington, les opérations françaises n’ont, seules, pas d’impact décisif. »
      La valeur stratégique des opérations françaises sur Raqqa réside ailleurs : « A côté des objectifs militaires au sens strict, il y a un message symbolique. Premièrement, la France a montré qu’elle ne se laisserait pas faire et qu’elle était déterminée. Cela est adressé aussi bien aux djihadistes qu’à la population française, pour la rassurer.

    • Non, ça ne sert à rien je suppose - pas même à « envoyer un message aux jihadistes » - et probablement ça a tué et tuera des civils (dont nous ne saurons vraisemblablement rien ou pas grand chose). C’est de la pure com’ à destination du public français. Après, la suite est entre les mains des Américains et des Russes. Hollande suivra la ligne américaine. Désormais Hollande est lié à Obama.
      A un peu moins court terme :
      – la politique étrangère française va peut-être cesser d’être instrumentalisée par l’Arabie saoudite, le Qatar et Israël pour peser sur Obama. De plus la guerre clandestine contre le régime syrien va forcément être discutée entre ces nouveaux « alliés » - au moins discrètement - et l’appui de la France à la « rébellion » syrienne va donc un peu plus se tarir voire cesser.
      – le tout n’est qu’une accélération du processus qui a en fait commencé avec l’implication militaire massive et directe des Russes et des Iraniens en Syrie, dont on a bien vu qu’elle a contraint les Américains à modifier substantiellement leur politique ambigüe (contention en Irak/instrumentalisation en Syrie) vis à vis de Da3ich, d’autant que les milices chiites irakiennes commençaient à faire pression sur al-Abadi pour réclamer l’aide russe.

    • Daich est l’acronyme de Dawla al-islamiya fî ’Iraq wa Cham
      3 = lettre ayn de « ’iraq » qui correspond au 3 quand on écrit l’arabe dialectal en alphabet latin sur internet, par exemple sur des forums. La lettre « ayn » isolée a d’ailleurs la forme d’un « 3 » à l’envers.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/%CA%BFAyn
      Peut-être qu’une meilleure translittération serait Da’ich (’i = ’iraq).
      Après c’est peut-être un peu snobinard, effectivement...

  • Mono-discours libéral sur la Grèce depuis ce matin à La RTBF. Tu entends presque les verres de champagne tinter tellement tout le monde jubile à l’unisson. Une seule personne évoque le scénario à la Pinochet qui se dessine avec privatisations à gogo, réforme des retraites à régler en trois jours. Et vas-y que je te compare les Grecs à des cigales ivres, immatures pour la « zone euro ». Après le #oxi, c’est le #backlash, oui.

    #vomir
    #stratégie_du_choc #milton_friedman

  • Grèce : « la #catastrophe sanitaire s’aggrave » | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/grece-la-catastrophe-sanitaire-sagrave-574360

    La délégation a également été reçue par le Ministre grec délégué à la #Santé, Monsieur Andréas Xanthos ainsi que par le Ministre des affaires sociales et de la santé, Panayotis Kouroublis. A cette occasion Andréas Xanthos, le co-fondateur du premier dispensaire social en Crête Rethymnon en 2008, lui-même médecin hospitalier et actuellement vice-ministre de la santé, leur a fait part de ses inquiétude face à la situation sanitaire, sous-évaluée jusqu’en 2012 par les autorités au pouvoir. Il considère que les pratiques des dispensaires ont permis de mesurer la réalité de la catastrophe sanitaire et Syriza a déjà pris quelques mesures d’urgence dont le rétablissement et l’extension de la couverture maladie, la suppression du forfait hospitalier de 5€, l’accès aux soins primaires gratuits quel que soit la nationalité, le revenu, le statut de l’emploi et la position sociale. Mais la restauration du système de santé prendra du temps, d’autant que les instances européennes tentent de bloquer toutes ces réformes sociales au profit d’un remboursement rapide de la « dette » grecque. « Le temps est un enjeu crucial », leur a précisé Andréas Xanthos, qui déplore le cynisme de Bruxelles face au danger mortel que courent des milliers d’enfants et des personnes âgées grecs faute de soins adaptés.

  • Dans ce genre de situation on voit plus clairement que jamais l’impuissance de ceux qui disent qu’un autre monde est possible.
    http://www.argia.eus/argia-astekaria/2445/bukatu-dira-bromak-europan
    Après les événements des derniers jours, analyse de Gorka Bereziartua (que j’ai traduite)

    Ennemis mutuels, miroirs mutuels : certains ultras font tout trembler par l’action directe et d’autres ultras viennent, à la même vitesse, prédire la guerre des civilisations.

    Le temps s’est accéléré et les messages simples trouvent plus facilement leur chemin. Comme on est devant un meurtre, ceux qui ont envie de revendiquer une soif de vengeance ont un vent favorable. Marine Le Pen a profité de l’occasion pour proposer un référendum pour la peine de mort.

    La réaction de l’establishment est plus douce dans un premier temps. En apparence. Car ils ont organisé ce grand rassemblement de dimanche "contre le #terrorisme ”. “L’Europe doit réagir”, dit Jean Claude Juncker le président de la Commission Européenne le jour où l’appel public est lancé. Il n’y a pas d’autres mots que “Répondre”, “réagir”, “urgence” et d’autres du même ordre dans le champ sémantique qui s’impose.

    Les choses n’ont pas trop changé depuis les attentats du 11 septembre 2001, c’est le même schéma qui se répète plus d’une fois : après une action qui génère une situation de choc, des mesures d’exception rapides, accordées et coordonnées comme il faut entre dirigeants.

    Contre un meurtre déplorable la seule proposition qu’a le système est de contrôler plus et de punir plus ; autrement dit, de réduire les libertés de tous, au nom de la liberté. “C’est ça ou le #Front_National. C’est ça ou le terrorisme islamiste”, telle est la consigne.

    Dans ce cadre discursif on sent qu’il manque une voix. Après que l’attentat a eu lieu qu’a dit la gauche ? Elle a exprimé son deuil, bien évidemment. Et condamné l’attaque. Et certains ont tenté de placer cet événement dans un contexte global, en rappelant les personnes qui meurent tous les jours en Irak, en Syrie, en Afganistan ou en d’autres endroits où les pays Occidentaux introduisent des armes.

    Même si c’est juste pour mettre en avant l’hypocrisie de ceux qui dans le même temps qu’ils condamnent les attentats de Paris sont sourds aux victimes qu’ils provoquent en beaucoup d’autres endroits, ce genre de comparaisons sont nécessaires. Mais aux lendemains échaudés d’un attentat, cette attitude pourrait entre autres être prise pour une absence d’empathie avec ceux qui viennent d’être tués. “On parle de quelque-chose qui se passe ici et maintenant, pourquoi tu dévies le sujet ?”, vous demandera cet ami qui commence à devenir nerveux. Ce n’est pas efficace.

    Et ce même manque d’efficacité, ou un manque peut-être plus grand, se voit dans la façon de débattre qui se situe dans le #progressisme multiculturaliste, c’est à dire qui prend le problème du point de vue des #droits_de_l'homme et de la respectabilité de toutes les #religions. Lorsque l’affrontement monte d’un cran, lorsque des morts sont au centre de la situation, la #tolérance et le respect sont restées de côté. Il s’agit d’orienter cette même rancoeur qui est apparue, et pour cela dire "acceptons nous les uns les autres” n’est pas suffisant.

    Quel message peut alors fonctionner ? Dans ce genre de situation on voit plus clairement que jamais l’impuissance de ceux qui disent qu’un autre monde est possible. Il manque un logiciel adapté pour faire face à la fois à l’islamisme extrêmiste, à la nouvelle #extrême-droite, et aux discours de contrôle et de punition des partis "traditionnels. Et ce logiciel n’a pas l’air d’être pour tout de suite.

    Peut-être que la clé est de sortir des fronts. Au lieu de rester dans l’attente d’un grand discours, regarder ce qui se passe dans l’arrière garde, car c’est de là-bas que sont venues beaucoup des haines de ceux qui ont massacré #Charlie_Hebdo. C’est aussi là-bas que se mijote l’#islamophobie fondée sur une soif de vengeance.

    Comment revendiquer un monde meilleur, donc, en temps de haine ? Plutôt qu’en se détruisant mutuellement ou en perdant des droits, en luttant pour plus de droits pour tous. En dirigeant la colère pour construire quelque-chose. Facile à dire. Comme nous n’avons pas de grande excavatrice pour tracer ce chemin, à la nouvelle grande guerre qui nous est proposée nous devrons au moins lui barrer la route à coups de pioche.

    #choc_des_civilisations #stratégie_du_choc

  • De démocratie lasse - CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales
    http://cqfd-journal.org/De-democratie-lasse

    C’est à une archéologie du chaos que nous invite l’ethnologue Panagiotis Grigoriou dans son dernier essai [1]. Sous la férule des « Troikans », « il s’agit de faire de la Grèce un cobaye pour expérimenter le modèle de faillite contrôlée en Europe ». Pas moins. Et l’auteur de nous raconter, depuis son blog Greek Crisis, le quotidien des Grecs de la capitale, mais aussi, au gré de ces excursions, le lent suicide du pays.

    #stratégie_du_choc

  • Riga – la capitale européenne de la #Culture 2014
    http://www.taurillon.org/riga-la-capitale-europeenne-de-la-culture-2014

    Riga est déjà une ville où se déroulent des événements culturels à rayonnement international mais cette année elle est devenue l’épicentre culturel en Europe. Elle se partage avec Umea en Suède le titre de la capitale européenne de la Culture 2014. Les festivités ont commencé le 18 janvier. Riga accueillera 200 événements, dont une nouvelle production de l’opéra de Richard Wagner, Rienzi et une exposition du peintre et sculpteur français Christian Boltanski. Le jour de l’ouverture du programme « Riga (...)

    Culture / #Capitales_européennes_de_la_culture

    • En attendant l’analyse critique des liens de la CEC avec le #marketing_urbain ou la #gentrification à Riga, et du business culturo-événementiel...

      Marrant d’ailleurs comme Libération, dans ce papier daté du 4 février, fait preuve de plus d’esprit critique que je n’en ai jamais lu dans leurs pages à propos de Marseille-Provence 2013 : http://bit.ly/1kHiK0g

      Pour le professeur Deniss Hanovs, spécialiste en communication interculturelle, la culture promue à Riga en 2014 est « verticale » et « politisée » se contentant de reproduire les poncifs officiels. Les objectifs politiques ont pris le pas sur la qualité du programme qui relève pour beaucoup du divertissement, associant des événements organisés régulièrement dans la ville bien avant 2014.

      L’absence de visibilité des minorités ethniques, notamment russes, au sein du programme traduit une difficulté à intégrer ces cultures autrement qu’à travers une dimension traditionnelle et folklorique : concerts de balalaïkas ou danses traditionnelles. Le multiculturalisme serait mobilisé sous les traits d’une culture réifiée donc moins dangereuse politiquement.

      Selon la Commission européenne, une capitale européenne de la culture doit « mettre en avant la richesse et la diversité des cultures européennes » et « encourager la compréhension mutuelle ». Le cas de Riga, ville située à la périphérie de l’UE, questionne l’homogénéisation d’un événement devenu assez convenu au détriment d’une réelle promotion de la complexité de la culture locale à l’étranger.

      #c'est_toujours_plus_facile_de_critiquer_son_voisin #stratégie_du_choc_culturel #Riga_2014

  • #Stratégie_du_choc : comment le FMI et l’Union européenne bradent la Grèce aux plus offrants - Vente à la découpe - Basta !
    http://www.bastamag.net/article3127.html

    C’est l’heure des soldes. La plus grande promotion du 21ème siècle. Tout doit disparaître ! Pour tenter de réduire sa dette, la Grèce liquide tous ses #biens_publics : énergies, transports, compagnies des eaux, universités, rivages préservés... Le pays s’enfonce toujours plus dans une crise économique sans fin, malgré les « plans de sauvetage » européens. Ceux-ci profitent en grande partie au secteur financier, alors que pour les Grecs, l’austérité est devenue un mode de vie. Reportage à Athènes, auprès d’un peuple victime du traitement de choc imposé par le « capitalisme du désastre ».

    « Plus d’un tiers de la population grecque n’a plus accès à la sécurité sociale », estime Giorgos Vichas, cardiologue. A la clinique autogérée de Hellinikon, en banlieue d’Athènes, une centaine de médecins soignent bénévolement des patients toujours plus nombreux. Depuis un an et demi, 10 000 personnes ont franchi les portes de ce dispensaire de fortune, planté au milieu d’une ancienne base militaire américaine. Avec les coupes drastiques des salaires – baisse de 40 % en quelques années – même ceux qui ont un travail n’ont souvent plus les moyens de payer les frais médicaux. Et les hôpitaux publics grecs manquent de médicaments, notamment pour le traitement des cancers.

    Compagnies d’électricité, d’eau, de gaz naturel, ports et aéroports, chemins de fer et autoroutes, loterie nationale... La Grèce brade ses biens publics. Ceux-ci doivent lui rapporter 9,5 milliards d’euros d’ici à 2016. « Ils sont même en train de privatiser la collecte des impôts, s’indigne Makis Zervas. Et des universités ont été rachetées à 49 % par des sociétés privées, ce qui est contraire à la Constitution. »

    #santé #pauvreté

  • Privatisations : les hôpitaux espagnols livrés à la spéculation financière - Stratégie du choc - Basta !
    http://www.bastamag.net/article3090.html

    Au nom de la croissance et de la réduction des déficits, le gouvernement espagnol accélère la #privatisation du système de #santé publique. Des fonds d’investissement en quête de « rentabilité élevée » s’emparent d’hôpitaux, sur fond de conflits d’intérêt et de scandales politico-financiers. Collectifs citoyens et syndicats dénoncent les conséquences désastreuses de cette privatisation : des patients mourant prématurément par négligence, un personnel soignant en pleine dépression, et des coûts au final plus élevés que ceux d’une gestion publique. Enquête sur un désastre en cours.

    #PPP

  • David Simon : “L’Amérique est une ploutocratie, l’argent nous dirige et a détruit notre identité” (Télérama.fr)
    http://www.telerama.fr/idees/david-simon-l-amerique-est-une-ploutocratie-l-argent-nous-dirige-et-a-detru

    Observateur avisé de la vie américaine, l’écrivain et scénariste David Simon est l’auteur de la série “The Wire”. Puis de “Treme”, après l’ouragan Katrina. Pessimiste sur le système, mais confiant en l’énergie de ses concitoyens. Source : Télérama.fr