L’Envolée passe au 2.0 ! | L’envolée
▻http://lenvolee.net/lenvolee-passe-au-2-0
#lenvolée #radio #streaming_audio #prison
L’Envolée passe au 2.0 ! | L’envolée
▻http://lenvolee.net/lenvolee-passe-au-2-0
Lettre collective des prisonniers de Riom / acharnement sur Fabrice Boromé / les luttes continuent dans les prisons pour étrangers / brèves de l’intérieur / mensonges d’état après l’explosion de Lubrizol / Vie et mort du syndicat PRP
▻http://lenvolee.net/le-numero-51-special-abonne%c2%b7e%c2%b7s-est-dehors
▻http://lenvolee.net/wp-content/uploads/2019/12/ENVO-51-lowdef.pdf
#enfermé·e·s #maton·ne·s
“Le fait de créer de nouvelles places c’est de la poudre aux yeux. C’est faire vendre qu’on va créer des nouvelles places et que le taux de surpopulation va diminuer. L’Etat belge a été condamné pour la surpopulation dans les prisons bruxelloises en janvier 2019 Le tribunal a affirmé dans son jugement que construction de nouvelles prisons ne résoudrait pas ce problème.”
▻https://www.prison-insider.com/articles/belgique-la-greve-des-gardiens-de-prison-continue-le-gouvernement-a-
▻https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_la-surpopulation-carcerale-atteint-un-niveau-alarmant?id=10385968
#surpopulation_carcérale #Belgique #prison_insider #matonnerie
YouTube : un bug a entraîné des dizaines de faux signalements pour droits d’auteur
▻https://www.numerama.com/tech/577538-youtube-un-bug-a-entraine-des-dizaines-de-faux-signalements-pour-dr
Des streameurs et streameuses ont reçu de multiples revendications de la part d’un même ayant-droit. YouTube plaide l’erreur et explique que cela n’aura pas de conséquence pour les personnes concernées. Les vidéastes n’en ont décidément pas fini de se battre avec Content ID, le système utilisé par YouTube pour faire respecter les droits d’auteur, et revendiquer des droits sur une partie de leurs revenus. Ce mercredi 4 décembre, plusieurs streameurs et streameuses se sont plaint de revendications (...)
#Google #streaming #YouTube #ContentID #copyright #erreur #algorithme
//c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/06/youtube.jpg
FIRST WEEK IS EDITORIAL, SECOND WEEK IS ALGORITHMIC
▻https://osf.io/zp4wx
Platform gatekeepers and the platformization of music curation This article investigates the logics that underpin music curation, and particularly the work of music curators, working at digital music streaming platforms. Based on ethnographic research that combines participant observation and a set of interviews with key informants, the article questions the relationship between algorithmic and human curation and the specific workings of music curation as a form of platform gatekeeping. We (...)
Netflix : chronique d’un carnage – ACTA
▻https://acta.zone/netflix-chronique-dun-carnage
Dans cette contribution, l’un de nos lecteurs réguliers revient sur le développement du téléchargement illégal jusqu’à sa pénalisation et sa diminution tendancielle, permettant l’avènement de la consommation de contenus cinématographiques et télévisuels incarnée par Netflix. N°1 des plateformes de streaming légal, ce “géant du numérique” a su imposer son hégémonie : production de contenus originaux, puissant algorithme de sélection et de répartition par mots-clés, profilage.
Pour autant le tableau dressé est acerbe : un panel de contenus édulcorés participant à “l’uniformisation” et la “colonisation” culturelles qui agissent sur le “consommateur Netflix” au fil des films et des séries ; une stratégie #marketing dévorante, s’employant à masquer les rapports de #domination qui traversent la société ; une mobilisation énergivore du “temps de cerveau disponible” et un fonctionnement ultra-polluant, entre data-centers et exploitation minière.
Une poignée de dollars pour un million de clics sur les plateformes numériques Guillaume Bourgault-Côté - 29 octobre 2019 - Le devoir
▻https://www.ledevoir.com/culture/musique/565800/deux-mille-ecoutes-pour-un-dollar
L’une des ovations les plus nourries du gala de l’ADISQ présenté dimanche n’a pas salué une performance artistique, mais plutôt une série de constats brutaux énoncés par Pierre Lapointe. Au nombre d’entre eux : « Pour un million d’écoutes de ma chanson Je déteste ma vie sur l’application Spotify — j’ai écrit les paroles et la musique —, j’ai touché 500 $. »
Au lendemain de son coup d’éclat, Pierre Lapointe précisait au Devoir qu’en additionnant les droits d’auteur-compositeur touchés pour la même chanson grâce à la diffusion sur YouTube et Apple Music, il arrive à une somme d’environ 2000 $. Ce qui ne change pas le portrait global dénoncé lundi par l’auteur-compositeur-interprète : « On se fait voler ! », avait-il dénoncé au milieu d’une charge contre les plateformes numériques étrangères de diffusion de la musique et les gouvernements.
« Le milieu a été le premier à crier haut et fort il y a 20 ans que l’arrivée d’Internet allait tous nous foutre dans la merde, a-t-il dit. Rien ou presque n’a été fait […] et ça y est, on est tous dans la merde. »
Présent dans la foule, l’actuel ministre du Patrimoine, Pablo Rodriguez, acquiesçait de la tête. Une partie des critiques de Pierre Lapointe s’adressaient pourtant directement au premier gouvernement Trudeau (les multinationales exemptées d’impôts, notamment), mais la position des libéraux sur ces enjeux a évolué dans les derniers mois.
« Nos artistes et créateurs méritent d’être payés justement pour leurs oeuvres et ils ont raison de se lever pour le réclamer, a écrit M. Rodriguez au Devoir lundi. Tout le monde, et ça inclut les géants du Web, va devoir contribuer à la création de contenu d’ici, l’offrir sur ses plateformes et le promouvoir », a-t-il dit.
Solange Drouin, directrice générale de l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ), se réjouissait lundi de la sortie de Pierre Lapointe. Celle qui, avec d’autres, sonne l’alarme depuis des années sur cet enjeu estime qu’un tel « appel à la mobilisation des artistes » ne peut avoir que du bon dans le contexte où le nouveau gouvernement Trudeau aura des décisions cruciales à prendre dans les prochains mois — le rôle de Québec est plus limité sur ces questions.
Au premier rang des décisions à venir : la révision annoncée des primordiales lois sur la radiodiffusion, les télécommunications et le droit d’auteur. Trois chantiers lancés par le précédent gouvernement, et qui se trouvent à différents degrés d’avancement. Dans tous les cas, les libéraux entendent aller de l’avant — et trouveront des alliés chez les néodémocrates et les bloquistes.
« Les principales lois qui régissent notre culture et nos communications datent d’avant Internet, fait valoir Pablo Rodriguez. Cette situation nuit à notre économie, à nos emplois et à notre culture. »
Pour Geneviève Côté, cheffe des affaires du Québec à la SOCAN (Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), « le problème de fond, c’est qu’il faut faire en sorte que les plateformes redonnent à l’écosystème, comme les radios le font, dit-elle. Si tu veux une radio qui émet vers les citoyens, ça te prend une licence qui vient avec des obligations, dont celle de financer la culture. C’est l’absence de ce bout-là qui nous fait le plus mal, à tous ».
Au-delà de cela, à qui — ou à quoi — s’adressait Pierre Lapointe dimanche ? Le gouvernement est-il le seul responsable de la situation ? Réponse courte : non.
La fin des ventes. Le phénomène est connu, et va croissant. Au Québec comme ailleurs, la consommation de la musique se fait de moins en moins par l’entremise de l’achat, et de plus en plus par le principe de location à travers des plateformes de diffusion comme Spotify, Tidal ou Apple Music.
Dans un bulletin produit en juin dernier, l’Observatoire de la culture et des communications illustrait l’ampleur du recul des ventes depuis dix ans : il s’est vendu en 2018 trois fois moins de disques physiques (CD ou vinyles) au Québec qu’en 2008, alors que les ventes d’albums numériques ont diminué de moitié en cinq ans — soit depuis l’arrivée des principaux services de diffusion en continu.
Ces mouvements ne s’accompagnent pas d’une ruée vers les spectacles qui compenserait le manque à gagner. L’Observatoire fait plutôt état d’un recul de 12 % des revenus de billetterie pour les spectacles de chansons au Québec entre 2013 et 2018.
Faibles redevances. Que vaut une écoute en ligne pour les artistes ? Difficile à établir précisément… mais tous s’entendent pour dire que c’est fort peu. Et cela ne relève pas directement du gouvernement. « Les redevances pour le streaming, c’est compliqué », reconnaît Geneviève Côté. Dans les faits, une multitude de tarifs s’appliquent et s’additionnent.
Les redevances varient selon le type de services et sont partagées entre six types de droits ou d’ayants droit. Des droits sont payés selon le nombre d’écoutes, et d’autres selon le pourcentage des revenus d’abonnements ou de publicités.
« Il y a essentiellement deux droits en cause, résume Solange Drouin : un droit de reproduction pour que Spotify puisse mettre un album dans sa liste de lecture. Pour ça, c’est une négociation entre eux et les ayants droit. Mais pour le droit de communication au public par télécommunications, c’est la Commission du droit d’auteur [CDA] qui fixe un tarif. »
Tarif à revoir. À cet égard, Mme Drouin rappelle que la CDA n’a pas ajusté son tarif versé aux interprètes et aux producteurs depuis… 2012. À l’époque, elle l’avait fixé à 10,2 cents par tranche de 1000 écoutes en continu (donc une centaine de dollars pour un million d’écoutes), ce qui représente l’équivalent du tarif de la radio commerciale. Le tarif est en cours de révision depuis plusieurs mois — l’ajustement sera rétroactif : aux États-Unis, il est environ 20 fois supérieur.
Les géants. Outre la révision des lois évoquée plus haut, le gouvernement Trudeau a promis qu’il imposerait dès ce printemps à hauteur de 3 % les recettes que les géants du Web génèrent au Canada. Les libéraux ont aussi l’intention de les forcer à percevoir la TPS. Ottawa « devrait remettre une partie de l’argent prélevé au milieu culturel et aux médias », pense Geneviève Côté.
#Pierre_Lapointe #Chansons #musique #youtube #spotify #facebook #google #apple #netflix #tidal #vol #multinationales #internet #domination #streaming #bigdata #copyright #marketing #deezer #streaming
They Know What You Watched Last Night
▻https://www.nytimes.com/2019/10/25/business/media/streaming-data-collection-privacy.html
A spate of streaming services are on their way from major tech and entertainment companies, promising viewers a trove of binge-worthy new shows and movies. There’s something for advertisers, too : your personal data. Recent deals involving the media conglomerate AT&T, the streaming device seller Roku, the advertising giant Publicis and other companies have expanded the surveillance infrastructure that operates in the background of streaming services. While viewers focus on the action (...)
#Disney #Apple #Google #Publicis #AT&T #Amazon #Facebook #Netflix #streaming #algorithme #marketing #profiling #publicité #CenterforDigitalDemocracy #Roku #Xandr #Verizon #NBCUniversal #BigData #données #Clypd #Vizio (...)
Crise écologique : l’impact environnemental du jeu vidéo, un sujet d’inquiétude grandissant
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/09/29/crise-ecologique-l-impact-environnemental-du-jeu-video-un-sujet-d-inquietude
La course à la puissance et la démocratisation du streaming ont un impact négatif sur l’environnement, alertent les experts. Consommer des jeux vidéo, serait-ce contribuer au game over de la planète ? L’idée, encore marginale il y a quelques années commence à faire son chemin. Elle est même devenue omniprésente depuis l’annonce du lancement du service de jeux vidéo en streaming de Google, Stadia, qui doit sortir en novembre. Cette offre par abonnement doit fonctionner sans console grâce à de (...)
#Sony #Google #Microsoft #Nvidia #Amazon #streaming #game #jeu #écologie
Carbonalyser – Adoptez cette extension pour 🦊 Firefox (fr)
▻https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/carbonalyser
En tant qu’internautes, nous connaissons peu voire pas du tout notre impact environnemental. Avec l’extension de navigateur Carbonalyser, on peut estimer cet impact, et notamment voir le poids de la consommation de vidéos. L’équivalence entre les émissions de CO2 de la navigation internet et des kilomètres parcourus en voiture est particulièrement déstabilisant : on arrive souvent à un bon kilomètre en à peine un quart d’heure de navigation.
Richard Hanna, développeur et animateur du podcast technologie.net, développeur de Carbonalyser
#cout_écologique #vidéo #streaming #Carbonalyser #firefox #extension
Le coût écologique faramineux du streaming vidéo
▻https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/le-cout-ecologique-faramineux-du-streaming-video-1038436
@fil : effectivement ça sent le n’importe quoi là...
#streaming #cout_écologique #vidéo #désinformation #fake_news
Ça n’a pas l’air bien crédible ce rapport
▻https://threadreaderapp.com/thread/1151843056590737408.html
Oui mais est-ce qu’une heure de vidéo regardée sur un smartphone pollue plus qu’une vache qui pète ? (Je rappelle que la vache qui pète est l’unité de valeur de référence, ici sur le Facebook bio.)
#razer : un boîtier pour du #streaming en Full HD 60 ips sur une source 4K 60 ips
▻https://www.tomshardware.fr/razer-un-boitier-pour-du-streaming-en-full-hd-60-ips-sur-une-source-4k-
Parce que streamer est à la mode.
How to Build a Video Monetization Platform like a PRO
▻https://hackernoon.com/how-to-build-a-video-monetization-platform-like-a-pro-8396e0b71c59?sourc
It takes just half a minute of video to become an overnight celebrity. Video has that tremendous capability to win hearts and make you a darling of the masses. Thanks to the Internet and its abundant availability, now anyone can take a shot at quick fame and riches with video monetization.For those video publishers who already have a steady inventory of popular videos, there is a massive online video monetization opportunity that is awaiting to be tapped into.The Pillars of Video MonetizationAll over the world, videos are being monetized in four popular ways. They can be rightly called the pillars upon which modern-day video #streaming businesses are hosted upon. They are:Subscription video on demand (SVOD)Advert-based video on demand (AVOD)Transactional video on demand (TVOD)Each of these (...)
#make-money-online #video-marketing #video-monetization #youtube
#google Stadia : des jeux en #streaming en 4K à 60 ips sur GPU AMD !
▻https://www.tomshardware.fr/google-stadia-des-jeux-en-streaming-en-4k-a-60-ips-sur-du-multi-gpu-amd
Le service de cloud gaming enfin confirmé !
Going Global (or Globally Local)? How #netflix Produces Amazing Global Content
▻https://hackernoon.com/going-global-or-globally-local-how-netflix-produces-amazing-global-conte
Lessons from #INTV2019 in JerusalemNetflix HQHow does the digital media company achieve the unprecedented success that Netflix has reached in recent years? Do they think global or do they approach content with an alternative content strategy?According to Cindy Holland, VP of Original Content at Netflix, the more specific, and authentic the local content creators can produce, the higher the likelihood it will resonate with a global market.▻https://medium.com/media/c1a1a3f780ec0abca75e8668052890fc/hrefIn fact, she stated that Netflix doesn’t have to think about ratings (since that’s based on an ad marketing model), the data and insights the company collects prove this unique content strategy. Netflix is established across190 countries and over 80% of the SVOD’s new acquisitions come from (...)
#global-content-strategy #content-marketing #streaming-tv-service #tv-series
#Amazon #YouTube #Netflix, dans quel monde entrons-nous ? | Cahiers du Cinéma (Décembre 2018 – n°750)
▻https://www.cahiersducinema.com/produit/decembre-2018-n750
Voir notamment l’article sur le eye tracking et ceux de Stéphane Delorme toujours très stimulants.
Édito : « La guerre des mondes »
▻https://www.cahiersducinema.com/produit/edito-n750
Avec ce n° 750 qui ponctue l’année, nous avons voulu prendre de la hauteur. Dans quel monde entrons-nous ? Ce dossier part du constat qu’il devient impossible de penser le cinéma en dehors de l’accélération des avancées technologiques et du monde qu’elles dessinent (il faudrait dire : designent). Le cinéma entre dans un autre cycle qui pose des questions radicales. Mais on a le sentiment que les questions sont mal posées et très loin de ce qui est en train de se passer. Parler des nouvelles pratiques, de streaming, d’écrans, de séries, ne suffit pas. On fabrique moins des films et des séries que du contenu, et ce contenu est moins déversé par des canaux que commandé par des dispositifs. Il faut donc commencer par comprendre ces dispositifs. Partir du constat que Netflix a plus à voir avec Facebook qu’avec le cinéma. Comprendre que c’est Amazon, vendeur de chaussures en série, qui se lance dans la production de shows en série. Et qu’Apple se « fixe l’objectif de convertir un milliard de personnes à la VR ». Que la technologie produit le cinéma, les séries et la VR, que la Silicon Valley remplace Hollywood comme foyer imaginaire du cinéma. Le Dreamland de demain ne sera pas construit par des pionniers faisant rêver les foules, mais par des geeks manipulant les cerveaux. Il a toutes les chances de ressembler pour de vrai aux cauchemars de Ready Player One. Cette critique de la Tech n’est pas une critique d’Internet, on a dit ici ses merveilles en termes d’archives ou de création (nº 727, novembre 2016), mais le réseau disparaît sous la marchandisation, la concentration, et l’invasion vidéo. Adieu au langage : le rapport Sandvine du 2 octobre révèle que la vidéo occupe 58 % de la bande passante mondiale, dont 15 % rien que pour Netflix.
(…) Mais que faire quand la technologie est l’arme massive de la politique néolibérale ? La planète se consume, et on fait croire que la dématérialisation marche par l’opération du Saint-Esprit alors que nos e-mails, textos, vidéos polluent autant que l’industrie aéronautique. Les corps s’effondrent : qui relaie les études sur le rayon bleu qui brûle la rétine de manière irréversible ? Mais pas la peine d’études scientifiques pour s’en douter : et ne sentons-nous pas que l’écran « pompe » notre force à chaque instant ? Que par un système de vases communicants nous nous vidons face aux machines ? Quand nous n’arrivons pas à suivre, par fatigue, on nous explique qu’on n’est pas assez rapide, ou, comme en Une du Monde (le 11 novembre), que « la technologie avance plus vite que le cerveau ». Nous avons titré « Dans quel monde entrons-nous ? », car nous pouvons ne pas y entrer : il faut littéralement reprendre ses esprits et affirmer que nous ne sommes ni des cerveaux ni des machines, et que nous valons infiniment plus que cette peau de chagrin à laquelle des dangers publics veulent nous réduire.
How to Create a Video on Demand Website Like Netflix, YouTube?
▻https://hackernoon.com/how-to-create-a-video-on-demand-website-like-netflix-youtube-f238fbcd5e0
Easy Way to Create Video on Demand Service Like NetflixOn-demand streaming services are one of those trends that have gone on to become a religion. Though started by the millennials, this mode of entertainment has caught on like wildfire with every generation starting from baby boomers to Gen Z. The prediction graphs favor the climate of video on demand business than any other form of entertainment.“Forecasts predict that video on demand market is about to grow from $25.30 billion in 2014 to $61.40 billion in 2019”Though North America and Europe lead in #vod consumption, the geographical locations such as the Asia Pacific and the Middle East has shown promisable growth within a couple of years. The whole world is washed off by the VOD tide, and if you are looking to create your own video (...)
#creating-video #streaming-video #online-video-platform #video-on-demand
Can You Build Your Own Movie #streaming Website Like Netflix and Hulu With Zero Coding?
▻https://hackernoon.com/can-you-build-your-own-movie-streaming-website-like-netflix-and-hulu-wit
“The global online video viewers will reach more than 2.51 billion viewers by 2020”With the age of television growing old and the millennial generation set forgoes cable network altogether. The digital transformation gaining more momentum and hooking up the online movie streaming websites like Netflix, Hulu, Amazon Prime TV that are making their options under $10 bucks.Let us consider fortunate to avail such an irreproachable movie streaming website & app that hit the mankind to make our lives more coziness, without the establishment of this service, our daily life would be more arduous. Statista says, In 2020, the number of digital video viewers in the United States is projected to surpass 236 million.Let’s take a look at the factors that made movie streaming platform more (...)
#zotac : un #mini-pc pour le #streaming, encodeur matériel intégré !
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/23/zotac-un-mini-pc-pour-le-streaming-encodeur-materiel-integre
Pour l’instant capable de streamer en 4K à 30 fps.
Pourquoi il faut (sérieusement) s’intéresser à Fortnite – Signaux Faibles
►https://signauxfaibles.co/2018/12/26/pourquoi-il-faut-serieusement-sinteresser-a-fortnite
Pourquoi donc s’intéresser à un jeu vidéo lorsque l’on n’est pas soi-même joueur, ni proche de cet univers qui peut légitimement laisser de marbre ?
Parce que Fortnite, phénomène de l’année avec plus de 200 millions de joueurs à fin novembre (en hausse de 400% par rapport à janvier), soit plus que le nombre d’habitants qu’un pays comme la Russie, constitue l’un de ces mouvements de fond qui préfigurent demain.
#jeu_vidéo #jeux_vidéos #Fortnite #Sony #Google #Amazon #Epic_Games #socialisation #enfants #ado
@reka Je sais, je sais… :D
Mais même sans valider, ça préfigure quand même tout un immense pan du capitalisme virtuel, c’est bien de savoir ce qui passe, comment ça marche et pourquoi.
« Fortnite is not really a game about shooting people. It’s a game about escape. »
lolz : et HBO is not TV.
La puissance de Fortnite s’est notamment manifestée cette année avec le rapport de force exercé par son éditeur, Epic Games, face à Sony puis Google.
Sony d’abord : le géant japonais, fabricant de la console PS4, a toujours eu pour habitude d’interdire la possibilité de jouer à un même jeu sur plusieurs plateformes (possibilité appelée cross-plateforme), dont celles de ses concurrents.
« Depuis des décennies, des entreprises comme Sony, Nintendo et Microsoft fixent les standards de relations business avec les éditeurs de jeux. Puis Fortnite est arrivé ». (Matthew Gault)
Suite à de nombreuses protestations de joueurs, mécontents de ne pas pouvoir utiliser leurs personnages sur d’autres plateformes, Epic Games a réussi le tour de force de faire plier Sony, qui a changé son fusil d’épaule fin septembre en autorisant le cross-plateforme pour Fortnite. Début septembre encore, le PDG de Sony lui-même affirmait qu’il n’en serait rien. Mais la pression des joueurs, symbolisée par le hashtag #BlameSony, aura eu raison de sa volonté.
Pour Daniel Joseph, auteur de multiples études sur l’économie des plateformes de jeux, Fortnite établit une nouvelle tendance parmi les concepteurs de jeux vidéo : « c’est un nouveau business model qui émerge. Sony était jusqu’ici la plateforme. Maintenant, c’est la plateforme qui laisse une autre plateforme opérer par-dessus elle, avec sa propre économie interne. Je pense que ça les a surpris, et qu’ils sont maintenant obligés de suivre ces changements ».
Le coup de maître le plus impressionnant d’Epic Games n’est pourtant pas celui-ci : il est surtout d’avoir réussi à outrepasser Google.
D’ordinaire, tout éditeur passe par le magasin d’applications de Google (Google Play) pour permettre aux utilisateurs de smartphones sur Android d’accéder à ses applications : en contrepartie d’être listée et de pouvoir être téléchargée sur Google Play, l’application doit s’acquitter d’une commission de 30% sur chaque achat.
Epic Games a décidé de ne pas faire lister Fortnite sur Google Play et d’inviter les utilisateurs désirant télécharger le jeu à se rendre directement sur son site, contournant ainsi Google et sa commission de 30%, jugée disproportionnée. Ce choix a constitué un pari commercial considérable mais a été permis par la puissance acquise par Fortnite en seulement quelques mois. Ce pari s’est avéré payant.
Anyway c’est très intéressant parce que ça accrédite la thèse selon laquelle l’avenir du secteur se jouera hors des supports physiques type console. Là aussi les #plate-formes et le #streaming vont accélérer la dématérialisation des #jeux_vidéo.
Cf. ▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/16/jeux-video-la-revolution-du-streaming_5398439_3234.html
Fortnite : une plate-forme qui fait la nique à Sony et aux GAFA, ça me rappelle Netflix faisant la nique à… Sony et autres majors du #divertissement. Même si les GAFA n’ont pas dit leur dernier mot en matière de #SVOD : Amazon Prime Video est bien engagé, Facebook Watch, Youtube Originals, Apple TV vont grandir. (Mais je suis ptet obsédé, quand on travaille sur un sujet on a tendance à le voir partout.)
En l’occurrence, en tout cas : Fortnite se la joue cross-plate-formes, mais à la fin ça profite à Epic Games, soit un éditeur de jeux vidéo qui veut lancer son propre magasin d’applications, c’est-à-dire… une plate-forme, pour faire la nique à une autre — Steam —, avec pour seule ambition de proposer une meilleure rémunération des auteurs, ce qui est déjà ça me direz-vous.
Enfin :
Le visionnage de jeux vidéo en tant que contenus concurrents de programmes TV, vidéos et films connaît une croissance qui ne devrait que s’accélérer. Par le passé, le spectateur regardait la #télévision ; aujourd’hui, les nouvelles générations regardent #Netflix et YouTube ; les générations suivantes se tourneront vers les plateformes comme #Twitch, leader actuel du streaming de compétitions d’#esport.
Il n’est pas anodin que dans sa dernière lettre aux actionnaires, Netflix ait écrit : « We compete with (and lose to) Fortnite more than HBO. »
NB. Sur quoi repose la fluidité cross-plate-formes de Fortnite ? #AWS d’Amazon (comme Netflix). Et qui a racheté Twitch en 2014 ? #Amazon.
Bref, à la fin c’est toujours Jeff Bezos qui gagne.
#Netflix finishes its massive migration to the Amazon cloud | Ars Technica (article de février 2016)
▻https://arstechnica.com/information-technology/2016/02/netflix-finishes-its-massive-migration-to-the-amazon-cloud
Netflix declined to say how much it pays Amazon, but says it expects to “spend over $800 million on technology and development in 2016,” up from $651 million in 2015. Netflix spends less on technology than it does on marketing, according to its latest earnings report.
Netflix’s Simian Army
The big question on your mind might be this: What happens if the #Amazon cloud fails?
That’s one reason it took Netflix seven years to make the shift to Amazon. Instead of moving existing systems intact to the cloud, Netflix rebuilt nearly all of its software to take advantage of a cloud network that “allows one to build highly reliable services out of fundamentally unreliable but redundant components,” the company says. To minimize the risk of disruption, Netflix has built a series of tools with names like “Chaos Monkey,” which randomly takes virtual machines offline to make sure Netflix can survive failures without harming customers. Netflix’s “Simian Army” ramped up with Chaos Gorilla (which disables an entire Amazon availability zone) and Chaos Kong (which simulates an outage affecting an entire Amazon region and shifts workloads to other regions).
Amazon’s cloud network is spread across 12 regions worldwide, each of which has availability zones consisting of one or more data centers. Netflix operates primarily in the Northern Virginia, Oregon, and Dublin regions, but if an entire region goes down, “we can instantaneously redirect the traffic to the other available ones,” Izrailevsky said. “It’s not that uncommon for us to fail over across regions for various reasons.”
Years ago, Netflix wasn’t able to do that, and the company suffered a streaming failure on Christmas Eve in 2012, when it was operating in just one Amazon region. “We’ve invested a lot of effort in disaster recovery and making sure no matter how big a failure that we’re able to bring things back from backups,” he said.
Netflix has multiple backups of all data within Amazon.
“Customer data or production data of any sort, we put it in distributed databases such as Cassandra, where each data element is replicated multiple times in production, and then we generate primary backups of all the data into S3 [Amazon’s Simple Storage Service],” he said. “All the logical errors, operator errors, or software bugs, many kinds of corruptions—we would be able to deal with them just from those S3 backups.”
What if all of Netflix’s systems in Amazon went down? Netflix keeps backups of everything in Google Cloud Storage in case of a natural disaster, a self-inflicted failure that somehow takes all of Netflix’s systems down, or a “catastrophic security breach that might affect our entire AWS deployment,” Izrailevsky said. “We’ve never seen a situation like this and we hope we never will.”
But Netflix would be ready in part thanks to a system it calls “Armageddon Monkey,” which simulates failure of all of Netflix’s systems on Amazon. It could take hours or even a few days to recover from an Amazon-wide failure, but Netflix says it can do it. Netflix pointed out that Amazon isolates its regions from each other, making it difficult for all of them to go out simultaneously.
“So that’s not the scenario we’re planning for. Rather it’s a catastrophic bug or data corruption that would cause us to wipe the slate clean and start fresh from the latest good back-up,” a Netflix spokesperson said. “We hope we will never need to rely on Armageddon Monkey in real life, but going through the drill helps us ensure we back up all of our production data, manage dependencies properly, and have a clean, modular architecture; all this puts us in a better position to deal with smaller outages as well.”
Netflix declined to say where it would operate its systems during an emergency that forced it to move off Amazon. “From a security perspective, it’d be better not to say,” a spokesperson said.
Netflix has released a lot of its software as open source, saying it prefers to collaborate with other companies than keep secret the methods for making cloud networks more reliable. “While of course cloud is important for us, we’re not very protective of the technology and the best practices, we really hope to build the community,” Izrailevsky said.
How much does Netflix spend on Amazon AWS? ▻https://www.quora.com/How-much-does-Netflix-spend-on-Amazon-AWS
According to Netflix’s profile on Intricately, Netflix spends about $40 million per month on cloud services. Of this $40 million, ~$23.6 million is spent on AWS.
Here is the breakdown of spend, from highest to lowest:
EC2 - $19 million
Elastic Load Balancer - $3 million
CloudFront - $1 million
S3 - $515,000
Route 53 - $117,000
▻https://qph.fs.quoracdn.net/main-qimg-22566ad0e6bef62dd3466633bb66c73c
Why does Netflix still use AWS?
▻https://www.quora.com/Why-does-Amazon-let-Netflix-use-AWS
What Netflix has done by agreeing to use Amazon’s AWS is essentially to off-load the parts of their business that aren’t that special, so they can focus on the parts of the business that will give them the most strategic advantage.
Voir aussi Netflix Connect pour la politique d’interconnexion du géant du #streaming #audiovisuel ▻https://openconnect.netflix.com/fr_fr
Et son soutien intéressé à la #neutralité_du_Net ; ce qui ne l’a pas empêché de dealer avec Comcast à un moment.
How to start an online video streaming business | 3 profitable ideas for video content creators
▻https://hackernoon.com/how-to-start-an-online-video-streaming-business-3-profitable-ideas-for-v
With the internet in its full-fledged, now seems a good time to start an online video streaming business. When online videos will make up more than 80% of internet traffic by 2022, why would not anyone think of starting a video streaming service like Netflix, Hulu, YouTube, and Amazon Prime?Now, one can ask, if giants like Netflix, Hulu, etc. are already ruling the video streaming market, would it be practical to start your own video streaming business and expect a survival?Indeed, Yes!Considering the latest entry by Disney streaming service (which is yet to be released), it is impractical to think that you cannot claim your share of audience and revenue if these giants are already in the market. Like every other new entrant, if you have some interesting content to show, people will (...)
#online-business #content-creators #netflixclone #streaming-video #video-streaming-online
ImagoTV
▻http://imagotv.fr
La plateforme vidéo des vidéastes engagés dans la transition Imago est la première plateforme vidéo entièrement dédiée aux vidéastes engagés dans la transition personnelle et la transition de société. Qu’il s’agisse des vidéastes produisant une analyse critique et bienveillante des modèles dominants (sur les questions écologiques, énergétiques, spirituelles, économiques ou encore sociétales). Ou qu’il s’agisse des vidéastes mettant en lumière les modèles alternatifs à ces modèles dominants . — Permalink
▻https://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2018/10/09/freiner-la-croissance-de-la-population-est-une-necessite-absolue_536 ?
Une seule réponse : on sait de qui faut baiser le taux de croissance ! #bonus_malthus…
Si on croise les deux graphiques, on comprend donc que les riches font trop d’enfants... j’ai juste ? :-)
Climat : « Freiner la croissance de la population est une nécessité absolue »
Collectif, Le Monde, le 9 octobre 2018
Jean-Claude André, Académie des sciences ; Jacques Bentz, président Tecnet participations ; Jean-Loup Bertaux, planétologue, directeur de recherche émérite CNRS, Académie de l’air et de l’espace ; Albert Bijaoui, astrophysicien, Académie des sciences ; Jacques Blamont, conseiller auprès du président du CNES, Académie des sciences ; Philippe Blime, chef d’entreprise ; Christian Bordé, physicien, Académie des sciences ; Roger-Maurice Bonnet, ancien directeur scientifique de l’Agence spatiale européenne ; Guy Brasseur, ancien directeur à l’Institut Max Planck de météorologie de Hambourg (Allemagne) et directeur associé du National Center for Atmospheric Research (Etats-Unis) ; Marie-Lise Chanin, Académie des sciences ; Claude Darmon, chef d’entreprise ; Bruno David, président du Museum national d’histoire naturelle ; Bernard Esambert, président de l’Institut Georges Pompidou ; François Forget, planétologue, Académie des sciences ; Alain Hauchecorne, Académie de l’air et de l’espace ; Georges Jobert, professeur honoraire université P.-et-M.-Curie ; Rosine Lallement, Académies des sciences des Etats-Unis et de Russie ; Serge Michaïlof, chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) et à la Fondation pour la recherche en développement international (Ferdi) ; Michel Pébereau, Académie des sciences morales et politiques ; Jean-Claude Pecker, astrophysicien, Académie des sciences ; Philippe Waldteufel, directeur de recherche émérite CNRS.
On avait déjà eu une riche discussion sur les #surnuméraire, le #malthusianisme et le #néo-malthusianisme :
►https://seenthis.net/messages/645462
#démographie #Population #contrôle_démographique #croissance_démographique
On l’ajoute à la troisième compilation :
►https://seenthis.net/messages/680147
#effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène
la première image est une publication de Wynes & nicholas dans Env. Research letters (un très bon journal par ailleurs) en 2017 comparant les effets (à la hache, très grossier) des différentes mesures (sélection bizarre aussi) et outils pour la mitigation. Cela a déclenché bcp de discussions, et le papier est clairement polémique et peu intéressant en soi.
il a fait parlé sur twitter récemment, après que l’AFP l’ai repris.
L’idée de mon post est qu’il faut arrêter de faire la morale aux gens sur un mode malthusien (même si c’est une solution radicale qui aurait probablement des effets, en dehors de toute considération éthique ou de légitimité de telles ’mesures’) et que si on veut limiter les emissions, baisser le taux de natalité dans les pays où il est le plus haut aurait sûrement un moins grand impact que de redistribuer les richesses, après individuellement, dans les pays riches, une prise de conscience est nécessaire.
La surconsommation numérique se révèle insoutenable pour l’environnement
▻https://www.actu-environnement.com/ae/news/surconsommation-numerique-revele-insoutenable-environnement-3212
« L’impact énergétique du visionnage de la vidéo est environ 1.500 fois plus grand que la simple consommation électrique du smartphone lui-même », (petits chats et porno... haha)
C est pour ça qu il faut utiliser un enregistreur de vidéo YouTube et pas écouter la musique sur le site e mode vidéo
Je me trompe peut-être, mais il me semble que ça ne changera rien : si tu le télécharge tu utilises autant de bande passante que si tu l’écoute en ligne, non ?
#mp3 #youtube #téléchargement vs. #streaming
Exact, mais une fois seulement, ensuite il est sur ton ordi et tu peux le réécouter autant que tu veux (sans payer les droits d’auteur, mais on ne règle pas toujours tous les pb en même temps !), bcp de gens écoutent leur chansons sur des sites de streaming... cf. image ci-dessus !
si on écoutes en moyenne une chanson 30 fois on dépense alors 30 fois moins de carbone... c’est l’idée.
Écouter des mp3 en pissant sous la douche, c’est ça la solution !
►https://seenthis.net/messages/303751
Open source cryptography takes a step forward with the release of O...
▻https://diasp.eu/p/7656632
Open source cryptography takes a step forward with the release of OpenPGPjs 4.0 | #cryptography #streaming #web #openpgpjs #protonmail #javascript
What’s Next for Streaming? The Convergence with Live Music
▻https://hackernoon.com/whats-next-for-streaming-the-convergence-with-live-music-4ddf81f150bd?so
“There’s a reason music never worked on TV. It’s a community experience. Now, if you turn a passive viewer into an active viewer that feels like they’re connecting with people, now we’ve created the music community online.” — Allen Sanford, LiveList co-founder and CEO.The RIAA 2017 year-end music industry revenue report clearly reaffirms the value of streaming for the industry. Total revenue from music streaming platforms increased by 43% to $5.7 billion, accounting for 65% of total industry revenues for last year, while paid subscriptions grew to become the biggest growth driver in 2017.With all eyes firmly focused on the latest trends, what is the new big wave for the streaming market?Live video streaming!Thanks in part to social networks, this technology has definitely gone mainstream. The (...)
#technology-trends #entertainment #music-business #live-streaming #streaming-music
Top 10 Best Video Content Management Platforms
▻https://hackernoon.com/top-10-best-video-content-management-platforms-4a73b4b6dd90?source=rss--
Video content has been ruling the world of branding and advertising since its commercialization in the 1920s. Today, though it has morphed into new channels to connect with the audience, the core element of these strategies has remained the same. In the current scenario, video content management is taking over the entire arena.What is Video Content Management and why are businesses trying to monopolize it?VCM is a software that helps media professionals, online broadcasters, tutors and others to organize, execute and deliver video content online. Be it a couple seconds of video or footage worth several thousands of hours, video content management software compiles the library systematically, categorizes them based on their data size and uploads them in an orderly manner. This enhances (...)
#live-streaming #streaming #video-on-demand #ott #video-content-management