• #sugar_daddy

    il faut passer cinq annonces pour des sites de prostitution avant d’arriver à une page wp :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sugar_daddy

    Le terme « sugar daddy » (« papa gâteau ») est un anglicisme argotique utilisé pour désigner une relation dans laquelle un homme offre de l’argent et/ou des biens à une femme bien plus jeune que lui1.

    #culture_du_viol #masculinisme et je sais pas... #sucre. Je serais curieux de savoir quel pubard a trouvé ce nom.

  • The Problem With Sugar-Daddy Science - The Atlantic
    https://www.theatlantic.com/ideas/archive/2019/09/problem-sugar-daddy-science/598231

    The MIT Media Lab has an integrity problem. It’s not just that the lab took donations from Jeffrey Epstein and tried to conceal their source. As that news was breaking, Business Insider reported that the lab’s much-hyped “food computer” didn’t work and that staff had tried to mislead funders into thinking it did. These stories are two sides of the same problem: sugar-daddy science—the distortion of the research process by the pursuit of money from ultra-wealthy donors, no matter how shady.

    The problem is, blank checks never come without strings. Something’s always exchanged: access, status, image. That’s where sugar-daddy science comes in. (Hat tip to Heidi N. Moore, who inspired the term with her Twitter critiques of what she calls sugar-daddy journalism.) Research labs cultivate plutocrats and corporate givers who want to be associated with flashy projects. Science stops being a tool to achieve things people need—clean water, shelter, food, transit, communication—and becomes a fashion accessory. If the labs are sleek, the demos look cool, and they both reflect the image the donor wants, then mission accomplished. Nothing needs to actually work.

    The Media Lab took sugar-daddy science to a new level. Epstein’s interests in science, like a desire to “seed the human race” by impregnating dozens of women and to have his head and penis frozen after his death, were more literally sexual than most. But he didn’t invent the hustle. It’s an old philanthropy problem: Donor gratification takes precedence over results.

    The MIT Media Lab already had a reputation for this before Epstein. Its One Laptop per Child project was a notorious failure. Like the food computer, it was based on a faulty premise (laptops aren’t known to actually make a difference in a child’s education), wildly oversold (the laptops were supposed to be powered by hand crank, but a working hand crank was never actually developed, and all models were powered by electrical cord), and built to fulfill donor dreams rather than a demonstrated real-world need.

    A project for futuristic, bio-inspired design took $125,000 from Epstein and made him a light-up orb as a gift—over objections from students working in the project lab. This lab’s work includes, among truly visionary work like biomanufactured chitin structures, showpiece clothing demos. One set was purported to show how biodesign could help wearers survive harsh conditions on other planets. The clothes are, however, entirely nonfunctional, and were photographed on skinny, half-naked women.

    How do we stop sugar-daddy science? The only long-term solution is to bring back federal funding so researchers can stop relying on donations from the beneficiaries of widening inequality. America’s competitiveness on the world stage depends on research and development. If we can’t make science that actually works, our nation is toast. Writers such as Anand Giridharadas have written relentlessly about reviving public research and other social services. This, however, has to be fixed through the democratic process, which will take time.

    So what can research institutions do to ensure the integrity of their work? There are obvious solutions, such as: Don’t take money from people who are on your banned-donor list for being convicted pedophiles. Basic oversight, like financial audits, can go a long way.

    #Philanthropie #Médialab #MIT #Sugar_Daddy_Science

  • La #recette très secrète de #Tinder
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/03/28/la-recette-tres-secrete-de-tinder_5442513_4408996.html

    L’un des exemples du brevet évoque ainsi la possibilité qu’un homme âgé de dix ans de plus et disposant d’un plus gros #salaire qu’une femme soit davantage susceptible d’être montré dans Tinder à cette femme, que l’inverse. Car, selon ce brevet, une femme de 30 ans gagnant peu d’argent serait davantage attirée par un homme âgé et riche. Et un homme de 30 ans gagnant peu d’argent n’aurait que peu de chances d’aimer une femme plus âgée rémunérée davantage que lui. Une vision que dénonce fortement dans son livre Judith Duportail, qui rappelle que de nombreuses #applications_sociales sont conçues par des ingénieurs masculins, en #Californie, répercutant des #stéréotypes_masculins.

    #machisme
    #sugar_daddy

  • #Meghan_Murphy : Le féminisme libéral nous éclaire : la véritable autonomie des femmes passe par les sacs à main et les plateaux d’huîtres
    http://tradfem.wordpress.com/2018/05/03/le-feminisme-liberal-nous-eclaire-la-veritable-autonomie-des-femm

    Pendant la majeure partie de ma vie adulte, j’ai choisi les hommes avec qui je sortais en fonction de mon envie de baiser ou non avec eux. Je n’avais pas encore compris à quel point je me trompais et ce qu’est réellement le féminisme. Heureusement que Jezebel est venu me montrer la voie. Ce que j’aurais dû faire, c’est sortir avec de vieux bonhommes qui auraient pu me payer pour que je fasse semblant de les trouver bien. Après tout, qu’y a-t-il de plus gratifiant pour son autonomie que d’avoir des relations sexuelles avec quelqu’un que vous trouvez repoussant, et qui souhaite se faire voir avec vous pour le sentiment de puissance que ça lui confère ?

    Au fond, avez-vous déjà essayé de coucher avec un homme dont vous ne vouliez pas le pénis en vous ? Je l’ai fait. Et vraiment, les filles, c’est formidable. N’avez-vous donc pas entendu depuis un an toutes ces histoires plus sexy les unes que les autres sur les actrices qui ont eu des rapports sexuels merveilleux et autonomisants avec de vieux mecs tarés (mais ô combien riches et puissants !), simplement parce qu’elles n’auraient pas pu gagner leur vie si elles avaient refusé leurs avances ou si elles les avaient dénoncés ? On pourrait penser que les féministes allumées dans mon genre auraient fini par en prendre de la graine.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2018/04/19/liberal-feminism-reveals-truth-real-empowerment-comes-form-oysters-

    Meghan Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Elle a obtenu une maîtrise au département d’Études sur les femmes, le genre et la sexualité de l’Université Simon Fraser en 2012. Elle travaille actuellement à un livre qui invite à un retour vers un féminisme plus radical, rappelant la deuxième vague et ancré dans la sororité.

    Meghan blogue sur le féminisme depuis 2010. Elle n’hésite pas à penser à contre-courant et a été la première à publier une critique des défilés Slutwalk, en 2011. C’est l’une des rares blogueuses populaires à développer en public une critique à la fois féministe radicale et socialiste de l’industrie du sexe. Les critiques adressées par Meghan au#twitterfeminism, à la mode du burlesque, à l’auto-objectivation des selfies, et au féminisme du libre choix lui ont valu une foule d’éloges et d’attaques, mais surtout une reconnaissance comme écrivaine qui n’a pas peur de dire quelque chose de différent, en dépit de ce que le féminisme populaire et les grands médias décrètent comme ligne du parti.

    En plus de sur TRADFEM, vous pouvez trouver ses écrits en version originale dans les médias Truthdig, The Globe and Mail, Georgia Straight, Al Jazeera, Ms. Magazine, AlterNet, Herizons, The Tyee, Megaphone Magazine, Good, National Post, Verily Magazine, Ravishly, rabble.ca, xoJane, Vice, The Vancouver Observer et New Statesman. Meghan a également participé à l’anthologie Freedom Fallacy : The Limits of Liberal Feminism.

    Elle a entre autres été interviewée par Radio-Canada, Sun News, The Big Picture avec Thom Hartmann, BBC Radio 5, et Al Jazeera, ainsi que dans de nombreux autres médias. Isabelle Alonso a publié une interview d’elle sur son blog. Vous pouvez également la suivre sur son fil Twitter à @MeghanEMurphy. Elle a deux livres en préparation.

    #prostitution #sugar_daddy #libéralisme