• The Rise and Demise of RSS
    https://motherboard.vice.com/en_us/article/a3mm4z/the-rise-and-demise-of-rss

    Before the internet was consolidated into centralized information silos, RSS imagined a better way to let users control their online personas.

    The story of how this happened is really two stories. The first is a story about a broad vision for the web’s future that never quite came to fruition. The second is a story about how a collaborative effort to improve a popular standard devolved into one of the most contentious forks in the history of open-source software development.

    RSS was one of the standards that promised to deliver this syndicated future. To Werbach, RSS was “the leading example of a lightweight syndication protocol.” Another contemporaneous article called RSS the first protocol to realize the potential of Extensible Markup Language (XML), a general-purpose markup language similar to HTML that had recently been developed. It was going to be a way for both users and content aggregators to create their own customized channels out of everything the web had to offer. And yet, two decades later, after the rise of social media and Google’s decision to shut down Google Reader, RSS appears to be a slowly dying technology, now used chiefly by podcasters, programmers with tech blogs, and the occasional journalist. Though of course some people really do still rely on RSS readers, stubbornly adding an RSS feed to your blog, even in 2019, is a political statement. That little tangerine bubble has become a wistful symbol of defiance against a centralized web increasingly controlled by a handful of corporations, a web that hardly resembles the syndicated web of Werbach’s imagining.

    RSS would fork again in 2003, when several developers frustrated with the bickering in the RSS community sought to create an entirely new format. These developers created Atom, a format that did away with RDF but embraced XML namespaces. Atom would eventually be specified by a standard submitted to the Internet Engineering Task Force, the organization responsible for establishing and promoting the internet’s rules of the road. After the introduction of Atom, there were three competing versions of RSS: Winer’s RSS 0.92 (updated to RSS 2.0 in 2002 and renamed “Really Simple Syndication”), the RSS-DEV Working Group’s RSS 1.0, and Atom. Today we mostly use RSS 2.0 and Atom.

    For a while, before a third of the planet had signed up for Facebook, RSS was simply how many people stayed abreast of news on the internet.

    Today, RSS is not dead. But neither is it anywhere near as popular as it once was. Lots of people have offered explanations for why RSS lost its broad appeal. Perhaps the most persuasive explanation is exactly the one offered by Gillmor in 2009. Social networks, just like RSS, provide a feed featuring all the latest news on the internet. Social networks took over from RSS because they were simply better feeds. They also provide more benefits to the companies that own them. Some people have accused Google, for example, of shutting down Google Reader in order to encourage people to use Google+.

    RSS might have been able to overcome some of these limitations if it had been further developed. Maybe RSS could have been extended somehow so that friends subscribed to the same channel could syndicate their thoughts about an article to each other. Maybe browser support could have been improved. But whereas a company like Facebook was able to “move fast and break things,” the RSS developer community was stuck trying to achieve consensus. When they failed to agree on a single standard, effort that could have gone into improving RSS was instead squandered on duplicating work that had already been done. Davis told me, for example, that Atom would not have been necessary if the members of the Syndication mailing list had been able to compromise and collaborate, and “all that cleanup work could have been put into RSS to strengthen it.” So if we are asking ourselves why RSS is no longer popular, a good first-order explanation is that social networks supplanted it. If we ask ourselves why social networks were able to supplant it, then the answer may be that the people trying to make RSS succeed faced a problem much harder than, say, building Facebook. As Dornfest wrote to the Syndication mailing list at one point, “currently it’s the politics far more than the serialization that’s far from simple.”

    #RSS #Histoire_informatique #Politique_algorithme #Normalisation

    • J’apprécie, comme toi, qu’il fasse remarquer que les décisions
      techniques ont des conséquences politiques. Il est clair que l’abandon de facto de la #syndication SS a accéléré le passage d’un web décentralisé vers un web polarisé par les GAFA. Je suis moins convaincu par ses explications sur les raisons pour lesquelles la syndication n’a pas tenu sur le long terme :

      – dire que RSS n’est pas user-friendly est franchement débile. RSS est un format. L’utilisateur ne le voit pas. Quasiment aucun utilisateur
      de RSS, que ce soit côté producteur ou consommateur, n’a regardé à quoi ça ressemblait en utilisant vi ! Un logiciel peut être
      « user-friendly » ou pas. Pour un format, ça n’a pas de sens.

      – je trouve qu’il exagère le rôle des disputes au sein du monde de la
      syndication. Certes, ces disputes ont pu contribuer à semer le trouble mais n’exagérons pas : ça se passait dans un tout petit microcosme et la grande majorité des webmestres et des lecteurs n’en ont jamais entendu parler. (Au passage, le camp vainqueur est nettement celui qui voulait un format simple : les sites Web n’utilisent qu’une petite partie du format.) Et, d’une point de vue pratique, ces disputes n’ont eu aucune conséquence : tous les logiciels de lecture comprennent les trois formats. Le webmestre peut donc publier ce qu’il veut, sans inquiétude.

      – par contre, il parle trop peu des raisons politico-marketing de
      l’abandon de la syndication : propagande effrénée des médias et
      autres autorités en faveur des solutions centralisées, notamment.

  • « La vie numérique sans réseaux sociaux, il faut avouer, ça change : c’est comme si après l’avoir laissée allumée pendant des années, j’avais soudain éteint la télévision. Les têtes familières disparaissent, les sources d’informations aussi. Il faut tout réapprendre, réorganiser son web, rouvrir des portes depuis (trop) longtemps fermées. »

    https://page42.org/y-a-t-il-une-vie-sociale-hors-des-reseaux-sociaux

    Un peu réac (c’était mieux avant), mais des réflexions intéressantes, par exemple sur la #syndication.

  • Gérer sa #veille avec #Zotero 5.0

    Lancé dans une refonte du tutoriel que j’utilise dans le cadre de mes enseignements à Lille (et que vous retrouverez sans aucun doute dans la boîte à outils d’ici la rentrée…), il me semble utile de partager ici sans attendre les éléments relatifs à l’une des principales nouveautés de la version 5 de Zotero : la gestion des #flux_RSS


    http://www.boiteaoutils.info/2017/07/gerer-sa-veille-avec-zotero-5-0
    #RSS #syndication #flux_de_syndication

    J’utilise depuis des années Zotero (et je suis archi-contente), pas encore utilisé par contre l’outil de veille... qui semble intéressant... mais ceci signifierait... encore plus de matériel de veille !

    cc @fil

    • Cinq ans d’usage de Zotero, un bilan

      Une conversation a eu lieu hier sur Twitter au sujet de Zotero, l’outil de bibliographie désormais bien connu développé par le Roy Rosenzweig Center for History and New Media. Les différents arguments – pour, contre, pour mais-sous-conditions– m’ont donné envie de faire le point sur ma propre pratique du logiciel, les atouts que j’y vois mais aussi les difficultés passées.

      https://consciences.hypotheses.org/1184

    • Ce que l’outil fait à la recherche, ou comment j’ai (re)pensé ma thèse avec Zotero

      C’était un dimanche soir, un coup de téléphone avec un ami en fin de thèse, en plein dans les dernières étapes de la rédaction.

      Je lui demandai combien de chapitres il lui restait encore à rédiger, et il me répondit, le plus naturellement du monde : « Oh, j’ai presque fini en fait, il ne me reste plus que la bibliographie, qui me prendra quelques jours ». J’ai sursauté : « Comment ça, quelques jours ? Je ne comprends pas, ça prend 5 minutes… Tu n’utilises pas de logiciel de gestion bibliographique ? ».

      Ben non… ça ne m’est pas vraiment utile en fait, je préfère perdre quelques jours en fin de thèse à mettre la bibliographie en forme plutôt que de m’approprier un nouvel outil qui va marcher une fois sur deux.

      C’est alors que je me suis rendue compte que pour beaucoup, Zotero (et ses homologues EndNote et Citavi, mais je ne parlerai que de Zotero ici) n’est justement QUE cela : un outil, certes potentiellement utile, mais surtout compliqué, rébarbatif, bref appartenant à cet univers riche de promesses de gain de temps mais surtout de bugs : le numérique. Ayant découvert par hasard, au moment de la rédaction de cet article, un autre billet très intéressant sur les avantages liés à Zotero, je choisis à dessein de ne présenter que quelques unes des fonctionnalités souvent méconnues de Zotero au-delà de sa capacité première à créer des bibliographies dans tous les styles et toutes les langues en quelques secondes.

      Zotero m’a permis de réorganiser mes lectures

      J’utilise Zotero depuis le début de ma thèse, mais j’ai longtemps restreint Zotero à n’être qu’un logiciel de gestion bibliographique. Ainsi, j’archivais auparavant mes références en deux sources distinctes : d’un côté Zotero, avec, parfois, le PDF attaché quand l’article était en accès libre au moment de la récupération des métadonnées, de l’autre, les dossiers (folders) sur mon ordinateur, où étaient archivés tous les articles et mes fiches correspondantes.

      Mais avec ce système ce sont posées très tôt des questions liées aux noms à donner aux documents : certes, le format « auteur·e – date – titre » semble assez logique, mais que faire des recensions d’ouvrage, par exemple ? Faut-il les renommer en fonction de la personne qui fait la recension, quitte à ne jamais remettre la main dessus lorsque l’on recherche la référence, ou en fonction de la personne dont l’ouvrage est recensé ? Zotero répond par exemple très facilement à cette interrogation en permettant de combiner les variables auteur·e et auteur·e recensé·e dans les métadonnées (voir capture d’écran 1) ou encore en permettant de lier deux références connexes (voir capture d’écran 2).

      Parallèlement, je me suis très vite rendue compte que mes besoins de classement évoluaient au fil de la thèse : alors que j’avais classé certains articles dans tel dossier A ou B au début de mes recherches, je n’étais plus en accord avec cette grille de lecture quelques mois plus tard. Réorganiser mes dossiers sur mon ordinateur à chaque fois, ou chercher en vain un article dans la mauvaise catégorie sont des problèmes que là aussi, Zotero résout aisément, à la fois grâce à un système de tags, qui permet d’affecter des mots clefs à chaque référence, mais aussi parce qu’une même référence peut se trouver dans plusieurs dossiers à la fois [1].

      Ainsi, les références liées à un enseignement peuvent être regroupées dans un dossier spécial, lié à ce cours (en jaune sur la capture d’écran 3), mais être situées en même temps dans d’autres dossiers thématiques (en rouge).

      Cela est beaucoup plus utile qu’il n’y paraît : lorsqu’il s’agit de dresser un rapide état de l’art d’un concept, aller directement dans tel ou tel dossier fait gagner un temps fou. Cela permet également de se remémorer des références oubliées, qui auront été archivées à plusieurs endroits stratégiques. Il est alors enfantin (un simple clic) de rajouter une référence à un dossier ou au contraire de la retirer d’un dossier s’il se trouve, après (re)lecture, que l’article en question ne traite en fait pas du domaine dans lequel il avait classé initialement (voir capture d’écran 4).

      Zotero m’a permis d’annoter mes lectures

      La véritable découverte a toutefois été Zotfile, un outil de gestion des PDF. Alors que, durant mes deux premières années de thèse, j’annotais mes lectures à la main et me suis ainsi retrouvée avec des classeurs entiers de notes, j’ai pris la décision, en janvier 2016, de passer au numérique. Cela faisait certes partie de mes bonnes résolutions, mais s’était surtout révélé une nécessité quand, lors de mon séjour de recherche à Oxford à l’hiver 2015, j’avais cruellement manqué de mes articles minutieusement annotés laissés à Berlin. J’ai alors commencé à lire les PDF de mes articles sur ma tablette, et bien que fervente du papier au début, j’ai vite été conquise : les annotations étaient plus propres, plus rapides, et je pouvais facilement retrouver un mot-clef ou un passage en parcourant plusieurs textes à la fois. Comme le dit très justement Caroline Muller dans le billet que je citais en introduction :

      En sus de ce côté pratique, j’ai pris conscience en écrivant ma thèse que Zotero m’aidait à mieux explorer mon corpus : le moteur de recherche fouille à la fois les titres des références mais aussi toutes les notes et PDF intégrés. Cela fait « ressortir » des références auxquelles je ne pensais plus, ou encore crée des associations d’idées inattendues.

      J’ai donc très vite été convaincue que le passage au numérique, loin de simplement alléger mes valises et mes craintes de ne pas avoir avec moi les références dont j’avais besoin à un moment précis, allait modifier mon rapport à la lecture. Mais les usages de Zotero vont au-delà de l’association de la prise de notes avec le fichier source.

      Au lieu des fiches que je constituais jusqu’alors, souvent en copiant-collant les citations essentielles d’un article, je me suis rendue compte qu’une simple annotation au cours de la lecture (donc surligner directement dans le texte) permettait d’extraire les citations, directement suivies de la référence. Oui oui, vous avez bien lu : Zotfile vous crée automatiquement vos fiches de lecture personnalisées. Cela ressemble à ça :

      A partir des passages surlignés, Zotfile compose une note associée à la référence. Quels avantages ? Ils sont multiples :

      Zotfile archive deux versions de votre fichier – une version non annotée, que vous pourrez ensuite diffuser (par exemple pour vos cours), et une version annotée (voir capture d’écran 6).

      – Zotfile indique la date à laquelle ont été prises les notes, ce qui permet de se souvenir ensuite de la période dans ses recherches à laquelle on a découvert une référence et donc, si nécessaire, de réévaluer a posteriori si la référence doit être relue, réinterprétée au regard de nouvelles données ou lectures, etc.
      – Zotfile indique déjà la page de la référence et met en forme auteur·e, date et page. En cliquant sur les liens en bleus (voir capture d’écran 5), on arrive ainsi directement au passage du texte correspondant [2].
      – Zotfile distingue les annotations issues des passages surlignés lors de la lecture et les notes ajoutées sous forme de bulles dans le logiciel d’annotation PDF (je suis pour ma part très satisfaite de Xodo). Ainsi les annotations issues du surlignage dans le texte seront comme sur la capture d’écran 5 tandis que mes propres notes seront en italique, à l’endroit du texte où la bulle de texte a été insérée.
      – Zotfile permet de renommer automatiquement les documents à partir d’une règle que l’on a soi-même créée (voir capture d’écran 7). Ainsi, si on se rend compte en cours de route que l’on veut souhaite modifier son système d’archivage, on peut modifier tous les titres des documents associés aux références d’un simple clic (voir capture d’écran 8). Cela permet également, lorsque l’on « ressort » une référence de Zotero (par exemple, pour la partager pour un cours), que tous les titres des fichiers suivent strictement la même logique.

      Zotfile permet de retrouver automatiquement les données associées à un PDF (à condition qu’il ne s’agisse pas d’un scan non océrisé). Il suffit ainsi de « jeter » (drag and drop) un PDF dans Zotero, puis, par un simple clic-droit, la fiche correspondante à la référence est créée (voir capture d’écran 9). Bien utile quand on a téléchargé d’un coup une dizaine d’articles, par exemple.

      Zotfile extrait automatiquement la table des matières des articles ou ouvrages ajoutés en PDF ; ainsi, il est possible d’avoir un aperçu rapide d’un ouvrage puis d’accéder directement à la bonne page en cliquant sur le lien (en bleu sur la capture d’écran 10).

      Il ne s’agit pour le moment que d’un simple panorama. Mais les fonctionnalités que permettent d’expérimenter Zotero (en libre accès, faut-il le rappeler) sont vertigineuses. Loin de n’être qu’un support technique, Zotero a véritablement modifié en profondeur mon rapport à la bibliographie. Il m’a permis de m’approprier mes lectures différemment et m’aide considérablement lors de la rédaction ou de la préparation d’un nouveau cours. Ainsi, bien plus qu’un simple « outil », Zotero (et le plug-in associé Zotfile) s’est révélé au fur et à mesure de ma thèse un système d’archivage, de classement, de repérage de mots-clefs, et d’annotation de mes documents.

      J’espère vous avoir convaincu·e que la demi-journée passée à rentrer toutes vos références dans Zotero est une demi-journée bien utilisée. Je me réjouis de lire vos commentaires, suggestions et questions, et peut-être de découvrir de nouvelles fonctionnalités de Zotero insoupçonnées !

      [1] Cela permet également de gagner de la place sur son disque dur. Avant de stocker mes références et mes fichiers dans Zotero, j’avais pris la mauvaise habitude copier-coller les articles en PDF dans plusieurs dossiers pour pouvoir les retrouver quel que soit mon point d’entrée. J’avais donc plusieurs versions du même fichier.

      [2] Attention, il peut arriver (mais c’est rare) que les pages indiquées soient celles du PDF (par exemple pages 1 à 22) et non celles de l’article en question (par exemple page 210 à 232). Cela se produit normalement seulement si l’on a extrait un chapitre d’un ouvrage en PDF, par exemple.

      Références :

      – Cinq ans d’usage de Zotero, un bilan, par Caroline Muller : https://consciences.hypotheses.org/1184

      – 12 must know Zotero tips and techniques, par Mark Dingemanse : http://ideophone.org/12-zotero-tips-and-techniques

      https://icietla.hypotheses.org/70

  • Creating a JSON Feed for Hugo · Raymond Camden
    https://www.raymondcamden.com/2017/05/18/creating-a-json-feed-for-hugo

    Recently a new specification was launched to recreate RSS in JSON, JSON Feed. For folks who may not be aware, RSS is an XML spec (well, multiple ones) for sharing content between sites. Blogs, primarily, and content-heavy sites typically make use of this. I’m not sure how many people outside of developers actually use RSS, but it’s still definitely a “thing” even if you don’t necessarily think of it when thinking about APIs.

    #web #json #syndication

  • JSON Feed : Home
    https://jsonfeed.org

    We — Manton Reece and Brent Simmons — have noticed that JSON has become the developers’ choice for APIs, and that developers will often go out of their way to avoid XML. JSON is simpler to read and write, and it’s less prone to bugs.

    So we developed JSON Feed, a format similar to RSS and Atom but in JSON. It reflects the lessons learned from our years of work reading and publishing feeds.

    #web #json #syndication

  • #seenthis_nouveauté : refonte de tous les flux ATOM/RSS d’un auteur :

    – seenthis.net/people/LOGIN/feed

    messages de LOGIN + ses partages

    – seenthis.net/people/LOGIN/only/feed

    messages de LOGIN seulement

    – seenthis.net/people/LOGIN/follow/feed

    messages des gens suivis par LOGIN & leurs partages
    + messages associés aux mots-clés & URLs suivis par LOGIN
    + messages adressés à @LOGIN

    – seenthis.net/people/LOGIN/all/feed

    messages des gens suivis par LOGIN
    + messages associés aux mots-clés suivis par LOGIN
    + messages adressés à @LOGIN

    tous ces flux sont également disponibles avec l’extension _tw pour les envois vers twitter :

    seenthis.net/people/LOGIN/feed_tw
    seenthis.net/people/LOGIN/only/feed_tw

  • The Web We Lost - Anil Dash
    http://dashes.com/anil/2012/12/the-web-we-lost.html

    This isn’t our web today. We’ve lost key features that we used to rely on, and worse, we’ve abandoned core values that used to be fundamental to the web world. To the credit of today’s social networks, they’ve brought in hundreds of millions of new participants to these networks, and they’ve certainly made a small number of people rich.

    But they haven’t shown the web itself the respect and care it deserves, as a medium which has enabled them to succeed. And they’ve now narrowed the possibilites of the web for an entire generation of users who don’t realize how much more innovative and meaningful their experience could be.

    Fieffé de bon article (via plein de gens bien, dont @koalie et @adactio qui n’ont sans doute pas de compte Seenthis mais j’ai décidé d’arrêter de lier vers Twitter le fermeur de RSS).

  • RFC 6721 : The Atom "deleted-entry" Element

    Le format #Atom, normalisé dans le RFC 4287, est surtout utilisé pour la #syndication de contenus Web. Dans ce cas, si une entrée d’un flux Atom n’est plus publiée (remords de l’auteur ou autre raison), le client Atom n’avait pas de moyen de le savoir. Désormais, avec l’extension de ce #RFC, surnommée « pierre tombale », on peut indiquer que l’absence d’une entrée est délibérée.

    http://www.bortzmeyer.org/6721.html

    Je ne sais pas si ça peut servir à #SeenThis ? Mettre une entrée « pierre tombale » dans les flux Atom récupérés si le seen a été détruit ?

    • oui ce serait pas mal, surtout si on commence à vouloir récupérer des sauvegardes partielles ("incrémentales") de nos données.