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#Covid-19 : « En France, vous perdez sur tous les tableaux, vous avez les morts et la crise »
▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/24/covid-19-en-france-vous-perdez-sur-tous-les-tableaux-vous-avez-les-morts-et-
Pour Devi Sridhar, professeure de santé publique à l’université d’Edimbourg, les stratégies du Brésil, de la Suède et de la France face à la pandémie de Covid-19, « si différentes soient-elles, ne sont pas raisonnables ».
A 36 ans, l’Américaine Devi Sridhar occupe la chaire de #santé_publique de l’université d’Edimbourg. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, elle conseille le gouvernement écossais dans sa politique sanitaire. Grâce à des mesures de restriction plus longues, l’Ecosse est parvenue à « écraser » la courbe des contaminations, explique-t-elle dans un entretien accordé au Monde, jugeant que les options retenues par le Brésil, la Suède ou la France « ne sont pas raisonnables ».
Quelle est la situation en Ecosse actuellement ?
Elle est bonne mais fragile. Au total, 48 % des adultes ont reçu au moins une dose de vaccin et la campagne accélère. Notre espoir est d’avoir immunisé tous les adultes d’ici à la mi-juillet. Ensuite, nous regarderons ce qu’il en est des enfants, si des vaccins sont disponibles et sûrs. En parallèle, il y a une grande pression pour alléger les restrictions, car tous les indicateurs vont dans le bon sens.
Hier, pour la première fois depuis des mois, nous n’avons enregistré aucun mort. Le secteur économique voudrait tout reprendre normalement. Nous leur demandons d’être patients : nous allons alléger pas à pas les restrictions, d’ici au 26 avril. Nous avons commencé, en vérité. Mais nous ne voulons pas repartir trop vite et subir une troisième vague. C’est un moment de transition délicat mais encourageant.
Le calendrier est-il déjà établi ?
Oui, et annoncé. Fin février, nous avons rouvert les écoles maternelles et élémentaires, début mars l’enseignement secondaire, avec des effectifs réduits de 50 %. Début avril, nous réautoriserons toutes les activités extérieures et, fin avril, ce sera le retour à la normale, y compris les rassemblements intérieurs. Mais nous suivons les chiffres de très près pour nous assurer que ce calendrier est compatible avec l’évolution de l’épidémie. Nous vaccinons, nous testons en masse et nous suivons le virus dans les eaux usées pour confirmer ce recul.
Quelle a été la particularité de l’approche écossaise ?
Elle s’est mise en place en avril 2020. Jusque-là, nous suivions la position anglaise. Mais, quand le gouvernement britannique a indiqué qu’il voulait juste aplatir la courbe, nous avons estimé que nous pouvions faire mieux que ça : l’écraser. Et nous l’avons fait, grâce à des mesures de restriction plus longues. Le virus avait à peu près disparu d’Ecosse l’été dernier. Pendant un mois, plus aucun mort, plus d’hospitalisations. Mais, en août, le tourisme a repris, sans quarantaine. Et la deuxième vague est arrivée. Lentement d’abord. En octobre et novembre, tout était encore ouvert, la situation semblait maîtrisée. Mais, avec le variant B.1.1.7, à la fois plus contagieux et plus sévère, nous avons été contraints de mettre en place un confinement dur.
Nous sommes parvenus à faire redescendre les chiffres. Et l’enjeu est de les maintenir à ce niveau tout en ouvrant peu à peu avec tous les outils disponibles. La vaccination, les tests, massifs et de toute nature, le traçage des cas contacts. Avec une nouveauté : des restrictions draconiennes sur les voyages. Nous avons retenu la leçon. Toute personne arrivant de l’étranger subit une quarantaine dans un hôtel, quel que soit le pays de provenance. Notre seul problème, c’est que l’Angleterre ne suit pas la même approche. Un visiteur peut arriver à Londres et prendre le train. C’est notre talon d’Achille. L’Europe continentale, avec ses frontières terrestres, connaît bien ce problème.
Quel a été le rôle de la science dans vos choix ?
Nous nous sommes constamment appuyés sur les preuves scientifiques. Les connaissances sur le virus, sur l’état de la population, sur les mesures susceptibles de nous protéger : les masques, la distance, l’ouverture des fenêtres, la ventilation. Nous avons fait des études, mais aussi essayé de profiter de ce que les autres pays faisaient, notamment en Asie. C’est une approche humble mais essentielle. Comme pour le vaccin : nous pouvons construire des modèles massifs sophistiqués, c’est très bien, ou alors profiter de l’exemple israélien, du Chili, des Etats-Unis. Ne pas avoir peur d’apprendre des autres : ne pas répéter leurs erreurs et se servir de leurs réussites.
Avez-vous été surpris par l’apparition du variant britannique ?
Nous savions que les pathogènes évoluaient, bien sûr. Et que cette évolution irait vers un virus plus transmissible. Mais nous espérions que cela s’accompagnerait d’une moindre sévérité. Un variant qui se répandrait et donnerait un simple rhume, c’était notre rêve. Ce n’est pas ce qui s’est passé. Nous avons eu la chance d’avoir plusieurs semaines de retard sur le sud de l’Angleterre, où le B.1.1.7 est apparu. Nous avons tout de suite vu que la contagiosité avait augmenté et, compte tenu de la situation hospitalière, la virulence ne semblait pas moindre. Alors nous avons décidé de confiner rapidement. Personne n’aime confiner. On en connaît les dégâts. Mais, s’il faut confiner, mieux vaut le faire vite, fermement, et en sortir vite. Et grâce à ça nos services hospitaliers n’ont jamais été sous pression comme en Angleterre.
Comment jugez-vous la réaction de l’Europe continentale, notamment de la France, face au variant ?
Etonnamment lente. Il suffisait de regarder l’Angleterre et de se dire qu’on ne voulait pas subir la même chose. Mais les gouvernements semblent incapables de faire ça. Aujourd’hui, nous devrions tous regarder ce qui se passe au Brésil, pas pour suivre leur politique catastrophique mais pour savoir comment réagir quand un variant réinfecte d’anciens malades, frappe des personnes plus jeunes et pourrait échapper en partie à certains vaccins. En France, il y a cette idée de préserver l’économie en restant ouvert aussi longtemps que possible. C’est comme rouler en voiture vers un mur et affirmer qu’en freinant le plus tard possible on gagnera du temps. Vous perdez sur tous les tableaux : économique et sanitaire. Vous avez les morts et la crise.
Il n’y a que deux manières efficaces de combattre cette pandémie. Soit le modèle de l’élimination complète, celui choisi par les pays d’Asie, l’Australie, la Nouvelle-Zélande : le virus n’est plus là, vous pouvez attendre tranquillement l’arrivée des vaccins, votre économie roule et vous surveillez le moindre retour de flamme. Soit vous vaccinez massivement et aussi rapidement que possible votre population, comme Israël et les Etats-Unis le font. Les autres options, celles du Brésil, de la Suède ou de la France, si différentes soient-elles, ne sont pas raisonnables.
La France défend également un maintien résolu des écoles ouvertes. Qu’en pensez-vous ?
La question est délicate. Nous savons que les enfants doivent rester à l’école, qu’en cas de fermeture les dommages sont massifs. Mais il faut aussi protéger les enseignants et les familles. Notre modèle a été de maintenir le virus hors de l’école. Nous y sommes largement parvenus en fermant les classes au premier cas. Jusqu’à un certain point. Je ne crois pas que l’on puisse conserver les écoles ouvertes dans les périodes de circulation très élevée. Même si les enfants transmettent moins que les adultes, ils vont se contaminer entre eux, contaminer leurs familles, et risquent de mettre en péril les enseignants.
Vous défendez pourtant une approche de santé publique fondée sur le principe : « les enfants d’abord »…
Au début de l’épidémie, on a dit que les enfants ne seraient pas trop affectés par la pandémie. Dès mars, il m’a semblé évident qu’au contraire ils seraient massivement touchés. Ce sont les plus vulnérables, à bien des points de vue, et ils n’ont pas de lobby pour les défendre. Pas de voix, pas d’intérêts économiques évidents. Aux Etats-Unis, on a fermé les écoles tout en laissant les bars et les restaurants ouverts. C’est insensé. La France n’a pas fait ça, il faut vous en faire crédit.
En Ecosse, les responsables politiques ont admis que les écoles devaient fermer en dernier et rouvrir en premier. Plus largement, nous avons toujours allégé les restrictions d’abord pour les enfants. Même au plus haut de la crise, les enfants de moins de treize ans pouvaient jouer dehors, car le jeu est essentiel à leur développement et le risque que nous leur faisions courir était minime. Pourquoi alors les punir ? Au même moment, les adultes ne pouvaient se rassembler à plus de deux. Mais à l’intérieur, avec ce nouveau variant, le risque nous apparaissait trop élevé, pour les enfants et pour les professeurs. Alors nous avons fermé les écoles, en maintenant des activités extérieures.
Faudra-t-il vacciner les enfants ?
Oui, je le crois. D’abord pour les variants. Si le virus circule parmi les enfants, nous courrons le risque de voir apparaître des variants plus virulents, notamment pour eux. Par ailleurs, les enfants font parfois des formes sévères ou des Covid longs, même si c’est rare. Enfin, pour stopper toute circulation et atteindre les 85 % ou 90 % de couverture vaccinale nécessaire à l’immunité collective, il va falloir toucher les plus jeunes. Nous vaccinons bien les enfants contre la grippe, pourquoi pas contre le Covid ?
En France, nous ne vaccinons pas les enfants contre la grippe…
Vraiment ? Ici, on le fait à l’école. Ils sont les vecteurs du virus, même si les victimes finales sont les personnes âgées. Pour le Covid, il faudra évidemment s’assurer qu’on a bien un vaccin sûr et efficace. Mais, quand ce sera le cas, on les vaccinera.
Pourquoi les gouvernements occidentaux ont-ils si mal géré la crise, comparativement aux pays asiatiques ou africains ?
D’abord on s’est trompé de modèle, pensant que le virus allait agir comme la grippe, un pathogène que l’on n’arrête pas. Quand on a vu que les pays asiatiques parvenaient à le stopper, on n’a pas trop su comment faire. C’est un virus très rusé. Trop sévère pour vivre avec sans mettre en péril nos systèmes sanitaires, mais pas assez pour nous faire peur et entraîner une réponse massive et coordonnée.
De plus, il frappe les plus âgés, les plus pauvres, les obèses, les malades. Pour le combattre, les jeunes et les gens bien portants doivent faire des sacrifices qui profiteront aux plus vieux et aux plus fragiles. En Asie, c’est une évidence. Ça ne l’est pas pour nous. Doit-on sacrifier les plus âgés ? Ici, nous nous sommes posé la question. Là-bas, c’était impensable. Ils savent que le tissage entre générations et entre conditions constitue la trame de notre tissu social. Pour l’avoir oublié, nous avons payé très cher.
C’est comme rouler en voiture vers un mur et affirmer qu’en freinant le plus tard possible on gagnera du temps.
Faudrait mettre cet article sous les yeux de Macron-Castex-Blanquer, les trois dirigeants les plus « disruptifs » de la #startup_nation" ...
Revue de lecture - Ce que Nature sait : La révolution combinatoire ...
▻https://diasp.eu/p/12341854
Revue de lecture - Ce que Nature sait : La révolution combinatoire de la biologie et ses dangers | #biologie #évolution #synthèse #science #expérimentation #réductionnisme #scientisme
The Design of the Roland Juno oscillators
▻https://blog.thea.codes/the-design-of-the-juno-dco
This article is a comprehensive guide to the Roland Juno’s digitally-controlled analog oscillators (DCOs). I fell in love with the Juno early in my synthesizer journey and I’ve spent the last year or so doing research on its design so that I could create my own Juno-inspired DCO, Winterbloom’s Castor & Pollux.
Il est toujours là, mon vieux Juno-106. Par manque de place, il est caché vertical derrière une porte, mais il fonctionne. C’est même étonnant qu’il fonctionne aussi bien (il est resté dans une cave pas bien saine pendant quelques années).
Dans la logique de cet article : il était livré avec un manuel d’utilisateur qui était une véritable leçon d’électroacoustique, que mon papa avait tenté de me faire comprendre à l’époque (en vain). Je croyais l’avoir encore avec moi, ce manuel, mais je ne mets pas la main dessus.
Pour ceux que ça intéresse, on le trouve en ligne :
▻http://www.synthfool.com/docs/Roland/Juno_Series/Roland_Juno_106/Roland_Juno106_Owners_Manual.pdf
et c’est rempli de graphiques dans ce genre :
Tu ne cesses de m’étonner @arno
En passant vous connaissez des artistes qui partagent leur musique sur de tels instruments ?
J’ai découvert Dabeull récemment et j’avoue que c’était vraiment un kif (bon ok j’aime aussi beaucoup le style décalé qu’il a monté autour)
Sur Youtube, il y a plusieurs comptes consacrés aux synthés vintage.
Par exemple Doctor Mix :
▻https://www.youtube.com/watch?v=B-N2EuqCmUs
Et j’aime bien la série « Synth Sounds » de Reverb, qui reproduit des classiques des années 80 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=dojb4SiwMdE
« Notre objectif est de pouvoir permettre un nouvel allégement au moment des vacances de Noël » , pour que les Français « puissent passer des fêtes de fin d’année en famille »
En même temps, le ministère de l’éducation venait juste d’établir que c’est pendant les vacances scolaires que les élèves se contaminent (et propagent le virus ?!).
#covid_19 #renversement #synthèse_disjonctive (ce qui n’est pas « en même temps »)
Les miracles de la #synthèse_vocale :
#Slavoj_Žižek - Barbie Girl
▻https://www.youtube.com/watch?v=h56WLqdD-7I
Le confinement marque une #frontière_culturelle en #Suisse
La notion de #responsabilité_individuelle parle plus aux #Suisses_alémaniques qu’aux #Romands, davantage adeptes d’un Etat fort. Les raisons en sont historiques et culturelles.
Exiger le moins pour obtenir le plus ; imposer le #semi-confinement pour aboutir au confinement : pour un œil étranger, la stratégie de la Suisse pour freiner la propagation du #coronavirus s’apparente au mieux à un exercice d’acrobatie, au pire à un orgueil démesuré. Pourtant, si l’on en croit les images de nos villes ce week-end, semi-désertes, il n’est pas dit qu’on perde ce pari. Par la grâce de la discipline helvétique ? Pas seulement. Plus profondément, c’est à la notion de responsabilité individuelle et de rôle de l’Etat qu’il faut probablement attribuer ce résultat.
Or, ces notions ne sont pas totalement identiques selon qu’on est citoyen latin ou alémanique. En #Suisse_romande, on a vu se multiplier les appels au #confinement_total, espéré par beaucoup jusqu’à vendredi dernier. Des citoyens l’ont même demandé sous forme de pétitions. On sentait aussi cette préférence chez certains conseillers d’Etat romands, même si exprimée à demi-mot pour ne pas court-circuiter la Confédération, désormais à la manœuvre.
En Suisse alémanique en revanche, les appels s’en tenaient au #respect_des_règles en vigueur, hormis des personnalités de l’UDC, réclamant des mesures plus strictes, avec de notoires exceptions, comme le conseiller national Roger Köppel. Même si Zurich a fermé ses rives du lac devant un afflux de promeneurs, le maître mot demeure « responsabilité individuelle ». C’est ce qu’il fallait comprendre du discours fort d’Alain Berset, taclant au passage le verticalisme aux accents certes gaulliens mais jugé inefficace de notre voisin français.
La synthèse entre la France et l’Allemagne
La Suisse, c’est une autre histoire, mélange du nord et du sud de l’Europe : « Au Nord, comme en Grande-Bretagne ou aux Pays-Bas, le premier réflexe est le laisser-faire, dans la certitude que les barrières naturelles se réinstalleront d’elles-mêmes, explique Olivier Meuwly, historien. Dans la culture germanique, on présuppose que la responsabilité individuelle entraînera la #responsabilité_collective. Une vision étrangère à la culture du Sud, où l’ordre est censé venir d’en haut. »
La Suisse, à cheval, décline ces deux cultures. Historiquement, elle fait la synthèse entre la France et l’Allemagne, ou la Grande-Bretagne et l’Italie. L’historien rappelle que dans les guerres de religion déjà, la Suisse a tenté la #synthèse en cherchant le #compromis.
Deux paradigmes pour un seul objectif, la #liberté : « Dans le brillant discours d’Alain Berset, toutes les influences se synthétisent et on perçoit une #mosaïque_organiquement_organisée », estime Olivier Meuwly. Ce curieux #assemblage s’articule aussi autour de l’esprit de #milice, du #fédéralisme et de la #démocratie_directe, « trois piliers de la « #suissitude », trois logiques qui marquent les #comportements ».
La responsabilité individuelle découle de la faiblesse de l’Etat
Cette valorisation de la responsabilité individuelle trouve ses fondements dans la #faiblesse_de_l’Etat, rappelle Irène Herrmann, historienne et professeure à l’Université de Genève : « Au XIXe siècle, Berne a lutté pour s’arroger un peu du pouvoir des cantons. Une partie lui est échue, une autre a été conférée aux citoyens, à travers la démocratie directe : ils devaient en user modérément et exercer sur eux-mêmes le pouvoir que l’Etat, très faible, était incapable d’imposer. Cet héritage institutionnel est très fort et, par conséquent, on n’imagine pas aujourd’hui que cela puisse marcher autrement. »
C’est un peu moins vrai dans les cantons qui ont rejoint la Confédération plus tardivement, comme le Valais, Genève et Neuchâtel. « Ceux-là acceptent plus volontiers la #délégation de #responsabilités à l’Etat, alors que les cantons alémaniques ont tendance à glorifier la culture politique basée sur la responsabilité individuelle, poursuit l’historienne. Cela aboutit à une survalorisation du pouvoir de décision de l’individu. » D’autres répondront qu’elle est salutaire. Ces différences de perception pourraient expliquer l’attente des Latins envers Berne à serrer la vis.
Un #Röstigraben de l’embrassade ?
Plus prosaïquement, ce souhait n’est sans doute pas étranger au fait que les cantons latins déplorent plus de mortalité que la Suisse alémanique. C’est vrai aussi pour l’Italie ou l’Espagne, contrairement à l’Allemagne et à l’Autriche. Ce constat amène le politologue alémanique Michael Hermann, qui dirige l’institut de recherche Sotomo, à émettre une hypothèse : « Il est frappant d’observer que le coronavirus a une #géographie_culturelle. Et si c’était le fait d’un #rapport_à_l’autre différent ? Les habitants des pays latins sont plus tactiles, ils observent moins de #distance_sociale que dans les pays germaniques. »
Un Röstigraben de l’embrassade ? Pourquoi pas. Sa supposition s’appuie aussi sur le fait que les décès actuels sont le résultat de contagions qui datent d’il y a trois semaines environ, soit avant les mesures mises en place par Berne. Michael Hermann insiste aussi sur d’autres différences : le #sport est plus largement pratiqué outre-Sarine, la #prévention sur la santé occupe plus d’espace qu’en Suisse romande : « Adeptes de la marche, de la nature et du grand air, les Alémaniques auraient beaucoup de mal à supporter le confinement. C’est possible que cela compte aussi dans l’#autodiscipline qu’ils observent. »
Il n’empêche : au-delà des divergences dont les racines plongent dans un passé qui, même ignoré, constitue le génome des Suisses, ceux-ci ont majoritairement suivi l’injonction des autorités et déserté leurs villes. Qu’il soit permis de s’en égayer avec ce mot d’Olivier Meuwly : « On dit des Romands qu’ils sont très français, mais ils se révèlent aussi alémaniques ! »
▻https://www.letemps.ch/suisse/confinement-marque-une-frontiere-culturelle-suisse
–-> article paru le 23.03.2020
Pour rappel, un extrait du discours de Berset :
ping @simplicissimus
:-)
Il ne parle pas du Tessin, pourtant à peu près de la même génération helvétique que celle, intégralement citée, de 1815.
D’ailleurs l’idée du caractère « récent » de l’entrée dans la Confédération me parait plutôt boiteuse : rappelons la promo d’avant, 1803 : Argovie, Grisons, Saint-Gall, Thurgovie, Tessin et Vaud.
À 12 ans près (bon, d’accord, c’était la centralisation napoléonienne - ah, le département du Simplon !) on retrouve plutôt la différence de culture.
A mettre en lien avec cette tendance d’une lecture culturaliste de la gestion de la crise sanitaire par le #Japon :
La prétendue discipline japonaise, qui passe pour un modèle de #civisme_spontané, dépend en réalité en grande partie des décisions du gouvernement, comme le montre la récente progression de l’épidémie, qui discrédite la trop simpliste explication culturaliste.
Sur le cas suisse, cette contribution à la Fondation Jean-Jaurès purement factuelle. Je mets surtout pour l’historique de la réponse…
Covid-19 en Suisse : confinement complet ou responsabilité civique ? | Fondation Jean-Jaurès
▻https://jean-jaures.org/nos-productions/covid-19-en-suisse-confinement-complet-ou-responsabilite-civique
La Suisse est un des pays qui compte le plus de cas déclarés du Covid-19 en Europe par rapport à la population. Comment la Confédération et les cantons font-ils face à cette crise sanitaire inédite et quelles mesures ont été prises ? Nadia Huberson, élue du Parti socialiste suisse au conseil municipal de Zurich, fait le point sur la situation sanitaire, économique et sociale du pays et présente la stratégie de semi-déconfinement du gouvernement qui suscite bon nombre d’interrogations.
sur les interrogations en question, on doit se contenter du contenu de ce même chapeau…
Cas suisse, toujours cet article du site Heidi.news (tout un programme…) sous #paywall, mais surtout pour l’illustration à peine caricaturale…
Préparez-vous à un déconfinement à la suisse allemande - Heidi.news
▻https://www.heidi.news/sante/vers-un-deconfinement-a-la-suisse-alemanique
Je mets ici l’image sauvegardée ailleurs que sur le serveur du journal... on ne sait jamais...
Autre échelle, même raison culturelle évoquée...
Coronavirus : pourquoi l’#Asie de l’Est n’est pas un modèle pour l’#Europe
En Europe, et en France en particulier, ces méthodes ne sont cependant pas transposables. Pour cause, la relation à l’autorité administrative et l’équilibre entre libertés individuelles et intérêts collectifs y sont différents, même par rapport aux pays asiatiques démocratiques. On pourrait bien sûr faire référence à la culture confucéenne de cette partie de l’Asie. C’est surtout l’expérience des épidémies, plus vivace ici que celle des Européens, le pragmatisme et la réceptivité aux outils numériques des citoyens qui fait la différence. L’objectif d’une contamination 0, qui est déjà pratiquement une réalité au Vietnam ou à Taïwan, risque donc de rester un objectif encore lointain pour la France.
Les vraies raisons du départ de Chantal #Jouanno
▻https://reporterre.net/Les-vraies-raisons-du-depart-de-Chantal-Jouanno
Ces principes sont : la #transparence, la #neutralité, l’indépendance, la reddition des comptes. Tout ceci vise à garantir la #crédibilité_des_débats menés par la #Commission, qui revendique l’#autonomie, notamment dans la #synthèse rédigée à la fin du débat. Or, indique-t-on à la #CNDP, si Matignon a bien joué le jeu dans la préparation de ce débat, qui est censé démarrer le 15 janvier, l’Elysée se montrait peu coopératif. En fait, Mme Jouanno attendait une lettre de la présidence de la République formalisant l’engagement à respecter l’indépendance de la commission dans le pilotage du débat et manifestant un engagement clair que les résultats seraient pris en compte. Faute de ces engagements clairs, et alors que le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a déclaré sur Europe 1, « Il ne s’agit pas que le débat conduise à détricoter tout ce qui a été voulu par les Français », Mme Jouanno a préféré renoncer à piloter le #débat. Elle risquait fort d’être #instrumentalisé par M. Macron, ce qui aurait durablement nui à l’image d’#indépendance qu’elle veut donner à la CNDP.
Débat public. Griveaux suggère à Jouanno de démissionner - France - LeTelegramme.fr
▻https://www.letelegramme.fr/france/debat-public-griveaux-suggere-a-jouanno-de-demissionner-video-10-01-201
Benjamin Griveaux suggère à Chantal Jouanno de démissionner, après son refus de piloter le « #grand_débat_national ».
post mortem, Chantal Jouanno rappelle la nécessité (au moins formelle) de reconnaître l’indépendance de la CNDP
▻https://seenthis.net/messages/752094
Grünes #Synthesegas für Industrie - Sunfire
▻https://diasp.eu/p/8103001
Grünes #Synthesegas für Industrie - Sunfire
Mit der Co-Elektrolyse von Sunfire kann aus #Wasser in Verbindung mit Kohlendioxid und Ökostrom via Synthesegas sogar #CO2 - neutrales synthetisches Rohöl erzeugt werden. Das sogenannte #e-Crude besteht dabei aus verschiedenen Kohlenwasserstoffen und kann #Rohöl in herkömmlichen Produktionsprozessen ersetzen. Bereits existierende Infrastrukturen können so mit erneuerbaren Rohstoffen weiterhin genutzt werden. Bereiche, die nicht elektrifiziert werden können, wie der Langstreckenverkehr, die #Luft- und die #Schifffahrt oder auch der Chemiesektor werden auf diese Weise ohne Anpassungen und Einschränkungen klimafreundlicher. (...)
In the Age of A.I., Is Seeing Still Believing ? | The New Yorker
▻https://www.newyorker.com/magazine/2018/11/12/in-the-age-of-ai-is-seeing-still-believing
In a media environment saturated with fake news, such technology has disturbing implications. Last fall, an anonymous Redditor with the username Deepfakes released a software tool kit that allows anyone to make synthetic videos in which a neural network substitutes one person’s face for another’s, while keeping their expressions consistent. Along with the kit, the user posted pornographic videos, now known as “deepfakes,” that appear to feature various Hollywood actresses. (The software is complex but comprehensible: “Let’s say for example we’re perving on some innocent girl named Jessica,” one tutorial reads. “The folders you create would be: ‘jessica; jessica_faces; porn; porn_faces; model; output.’ ”) Around the same time, “Synthesizing Obama,” a paper published by a research group at the University of Washington, showed that a neural network could create believable videos in which the former President appeared to be saying words that were really spoken by someone else. In a video voiced by Jordan Peele, Obama seems to say that “President Trump is a total and complete dipshit,” and warns that “how we move forward in the age of information” will determine “whether we become some kind of fucked-up dystopia.”
“People have been doing synthesis for a long time, with different tools,” he said. He rattled off various milestones in the history of image manipulation: the transposition, in a famous photograph from the eighteen-sixties, of Abraham Lincoln’s head onto the body of the slavery advocate John C. Calhoun; the mass alteration of photographs in Stalin’s Russia, designed to purge his enemies from the history books; the convenient realignment of the pyramids on the cover of National Geographic, in 1982; the composite photograph of John Kerry and Jane Fonda standing together at an anti-Vietnam demonstration, which incensed many voters after the Times credulously reprinted it, in 2004, above a story about Kerry’s antiwar activities.
“In the past, anybody could buy Photoshop. But to really use it well you had to be highly skilled,” Farid said. “Now the technology is democratizing.” It used to be safe to assume that ordinary people were incapable of complex image manipulations. Farid recalled a case—a bitter divorce—in which a wife had presented the court with a video of her husband at a café table, his hand reaching out to caress another woman’s. The husband insisted it was fake. “I noticed that there was a reflection of his hand in the surface of the table,” Farid said, “and getting the geometry exactly right would’ve been really hard.” Now convincing synthetic images and videos were becoming easier to make.
The acceleration of home computing has converged with another trend: the mass uploading of photographs and videos to the Web. Later, when I sat down with Efros in his office, he explained that, even in the early two-thousands, computer graphics had been “data-starved”: although 3-D modellers were capable of creating photorealistic scenes, their cities, interiors, and mountainscapes felt empty and lifeless. True realism, Efros said, requires “data, data, data” about “the gunk, the dirt, the complexity of the world,” which is best gathered by accident, through the recording of ordinary life.
Today, researchers have access to systems like ImageNet, a site run by computer scientists at Stanford and Princeton which brings together fourteen million photographs of ordinary places and objects, most of them casual snapshots posted to Flickr, eBay, and other Web sites. Initially, these images were sorted into categories (carrousels, subwoofers, paper clips, parking meters, chests of drawers) by tens of thousands of workers hired through Amazon Mechanical Turk. Then, in 2012, researchers at the University of Toronto succeeded in building neural networks capable of categorizing ImageNet’s images automatically; their dramatic success helped set off today’s neural-networking boom. In recent years, YouTube has become an unofficial ImageNet for video. Efros’s lab has overcome the site’s “platform bias”—its preference for cats and pop stars—by developing a neural network that mines, from “life style” videos such as “My Spring Morning Routine” and “My Rustic, Cozy Living Room,” clips of people opening packages, peering into fridges, drying off with towels, brushing their teeth. This vast archive of the uninteresting has made a new level of synthetic realism possible.
In 2016, the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) launched a program in Media Forensics, or MediFor, focussed on the threat that synthetic media poses to national security. Matt Turek, the program’s manager, ticked off possible manipulations when we spoke: “Objects that are cut and pasted into images. The removal of objects from a scene. Faces that might be swapped. Audio that is inconsistent with the video. Images that appear to be taken at a certain time and place but weren’t.” He went on, “What I think we’ll see, in a couple of years, is the synthesis of events that didn’t happen. Multiple images and videos taken from different perspectives will be constructed in such a way that they look like they come from different cameras. It could be something nation-state driven, trying to sway political or military action. It could come from a small, low-resource group. Potentially, it could come from an individual.”
As with today’s text-based fake news, the problem is double-edged. Having been deceived by a fake video, one begins to wonder whether many real videos are fake. Eventually, skepticism becomes a strategy in itself. In 2016, when the “Access Hollywood” tape surfaced, Donald Trump acknowledged its accuracy while dismissing his statements as “locker-room talk.” Now Trump suggests to associates that “we don’t think that was my voice.”
“The larger danger is plausible deniability,” Farid told me. It’s here that the comparison with counterfeiting breaks down. No cashier opens up the register hoping to find counterfeit bills. In politics, however, it’s often in our interest not to believe what we are seeing.
As alarming as synthetic media may be, it may be more alarming that we arrived at our current crises of misinformation—Russian election hacking; genocidal propaganda in Myanmar; instant-message-driven mob violence in India—without it. Social media was enough to do the job, by turning ordinary people into media manipulators who will say (or share) anything to win an argument. The main effect of synthetic media may be to close off an escape route from the social-media bubble. In 2014, video of the deaths of Michael Brown and Eric Garner helped start the Black Lives Matter movement; footage of the football player Ray Rice assaulting his fiancée catalyzed a reckoning with domestic violence in the National Football League. It seemed as though video evidence, by turning us all into eyewitnesses, might provide a path out of polarization and toward reality. With the advent of synthetic media, all that changes. Body cameras may still capture what really happened, but the aesthetic of the body camera—its claim to authenticity—is also a vector for misinformation. “Eyewitness video” becomes an oxymoron. The path toward reality begins to wash away.
My Line powered by Google - Google Colombia - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=0ZVjhTltaIA
At one time, #Google Assistant could only be found on a handful of smartphones. Today, Google Assistant is available on 500 million devices — smartphones, smart speakers, smart watches, tablets, smart televisions, and a broad range of home appliances and cars.
But what about the billions of people in the world who still don’t have a smartphone? Enter #MyLine, a phone number you can call to ask Google Assistant questions in parts of Colombia — without a smartphone or computer or even the internet.
When a person calls 6000913, they receive a welcome greeting and invitation to ask any question. After posing a question, users may hear prompts like “Do you have more questions?” or “Feel free to hang up whenever you’re done,” #CainkadeStudio CEO Jeremy Landis told VentureBeat in an email.
L’idée est géniale, mais l’idéal est de faire la même chose avec un #assistant_vocal open source (eg. #Mycroft.AI ou #HeyAthena) câblé sur des moteurs de recherche respectant la vie privée type #DuckDuckGo ou #libre comme #searx.
Mycroft – Open Source Voice Assistant - Mycroft
▻https://mycroft.ai
Hey Athena – Your personal voice assistant ▻https://github.com/rcbyron/hey-athena-client
Je rajoute quelques tags #voix #assistance_vocale #intelligence_artificielle #synthèse_vocale
Question et demande sur le fonctionnement de @seenthis - la synthèse vocale.
Je croi que ma demande est plutot déstinée à @arno
J’utilise beaucoup la synthèse vocal par défaut dans firefox pour écouté les articles pendant que je dessine. Mais sur seenthis, la petite icone qui permet la lecture n’est pas présente. Je ne sais pas si c’est une fonctionnalité difficile à mettre en place, mais j’aimerais bien que ma robote lectrice « Amélie » puisse me lire @seenthis . Ca serait plus sympas pour l’accessiblilité car les fonctionnalité sont pratiques pour les non et mal voyant·es et pas seulement pour les dessinatrices.
Merci d’avance et bonne journée.
#seenthis #accessibilité #synthèse_vocale #Amélie
Je ne connais pas Amélie, mais il faudrait regarder s’il y a un balisage qui permettrait de lui indiquer ce qu’il est pertinent de lire…
Dans une logique (peut-être) similaire, il n’apparait pas de bouton « lecteur » dans Safari pour les pages de Seenthis : c’est le bouton qui permet, dans les pages d’articles, de virer toute l’interface graphique et de n’afficher que le texte. Généralement c’est la même chose qui permet d’« aspirer » le texte pour liseuses, ou différents outils permettant de lire hors ligne. Typiquement le genre de chose pour lequel je n’ai jamais réussi à trouver s’il existe un balisage dédié. Il est très possible que l’absence de bouton « lecteur » dans Safari soit le même genre de difficulté que l’absence de lecture par synthèse vocale (c’est-à-dire que ces outils n’arrivent pas à identifier quel est le texte pertinent dans la page).
Merci @arno
Je me suis dit que c’etait un problème de balise aussi mais je sais meme pas bien ce qu’est une balise. Je vais voire si je trouve quelques infos. J’appel ma synthèse vocale amélie mais il y a aussi thomas et plein d’autres prénoms selon les langues et les genres des voix. Ca s’appel plutot probablement la synthèse vocal par défaut dans firefox.
Gogol me propose ca : ▻http://outils-web.fr/ajoutez-de-la-reconnaissance-vocale-a-votre-site
Mais je sais pas si c’est adapté au problème.
@arno : <main>
et surtout l’aria role=main
?
Je viens de regarder dans quelques sites qu’on a et où ça marche, j’ai l’impression qu’il prend le role main moins le <footer>
s’il y en a un dedans.
D’après le code de la lib qui gère ça dans firefox, voici la liste des éléments préférés pour repérer le contenu : article|body|content|entry|hentry|h-entry|main|page|pagination|post|text|blog|story
▻https://github.com/mozilla/readability/blob/master/Readability.js#L116
Quelques infos à ce sujet par ici : ▻https://stackoverflow.com/questions/30661650/how-does-firefox-reader-view-operate/30688312
Il n’y a plus qu’à créer un ticket à ce sujet pour qu’on pense à améliorer seenthis sur ce point dans le futur :)
Coucou les codeuses et codeurs de seenthis. Ou en etes vous de cette commande ? J’en aurais bien l’utilité en ce moment de tsunami informationnel. Du coup je me permet de vous relancer. Merci en tout cas pour seenthis c’est tellement top que c’est #supercalifragilisticexpialidocious
This Startup’s Artificial Voice Sounds Almost Indistinguishable From A Human’s
▻https://www.forbes.com/sites/parmyolson/2017/11/03/this-startups-artificial-voice-sounds-almost-indistinguishable-from-a-humans
A Neural Parametric Singing Synthesizer
▻http://www.dtic.upf.edu/~mblaauw/IS2017_NPSS
Musique :
▻http://www.dtic.upf.edu/~mblaauw/IS2017_NPSS/files/f2_npss_power_ultimo_bgm_fx.mp3
le fichier ci-dessous ne contient que la voix de synthèse (on entend quelques blips):
▻http://www.dtic.upf.edu/~mblaauw/IS2017_NPSS/files/f2_npss_multi_ultimo_dry.mp3
le papier des chercheurs de l’uni Pompeu Fabra (Barcelone): ▻https://arxiv.org/pdf/1704.03809.pdf
#machine_learning #robot #synthèse_vocale #chant @intempestive
un autre, avec une démo assez probante (encore détectable au casque quand même)
▻https://singularityhub.com/2017/05/24/new-ai-mimics-any-voice-in-a-matter-of-minutes
Un autre outil du même acabit, mais cette fois on s’approche de l’indétectable (?)
▻https://ytaigman.github.io/loop/site
J’ai trouvé hier cet outil de synthèse vocale en ligne et gratuite sur Chrome et Safari qui fonctionne plutot bien
▻http://ttsreader.com/fr
Maintenant je peu profiter des textes de @seenthis pendant que je dessine. Si vous en connaissez d’autres je suis prenneuse.
@mad_meg dans les versions récentes de Firefox je crois que c’est intégré : quand tu vas dans le mode « lecture » il y a un bouton sur la gauche, sinon ça fait partie des fonctionnalisés de base sur mac même si les vois ne sont pas très agréables
cool @archiloque et @intempestive je ne connaissais pas cet outil dans Firefox c’est trop bien ce petit livre. c’est bien plus pratique que ttsreader et les voix sont pas fantastiques mais je me suis déjà habituée à Amélie.
Vive @seenthis
Sur @seenthis j’ai pas vu l’icone de livre s’afficher. C’est pareil que pour toi.
Je ne l’ai pas vu sur seenthis, mais pour Firefox, cela dépend aussi de la longueur du texte. Le livre ne s’affiche que si le texte a suffisamment de caractères semble t-il.
La seule chose qui me chiffonne avec la synthèse vocale, c’est qu’elle ne change pas de langue sur les citations ou paragraphes ou mots étrangers (alors même que le html indique bien dedans la langue utilisée pour la citation). Du coup, ça lit tout francisé, et c’est assez bizarre. Elle ne comprend pas bien non plus les mots composés avec trait d’union, faisant généralement une grande coupure dessus. Après il y a aussi quelques prononciations incorrectes, mais on ne peut pas lui en vouloir, quand c’est le sens ou la grammaire de la phrase qui décide de la prononciation de tel ou tel mot.
C’est vrai que pour les mots en langue étrangère ca donne des choses amusantes et comme je met beaucoup de textes féministes écrit en langage neutre ca fait un peu bégayer Amélie. Ca reste quant même assez performant et combiné à wikisource ca me promet de chouettes écoutes.
Je viens de m’apercevoir que wallabag aussi dispose d’une synthèse vocale.
▻https://seenthis.net/messages/529712
Xe journée de #Synthèse_nationale : plongée dans le marigot de l’extrême droite radicale
▻http://lahorde.samizdat.net/2016/10/29/xe-journee-synthese-nationale-extreme-droite-radicale-le-pen
Lu sur le blog de la commission antifasciste du NPA : Xe journée de Synthèse nationale : plongée dans le marigot de l’extrême droite radicale En 2006 la revue Synthèse nationale livre son premier numéro à l’initiative de #Roland_Hélie. Celui-ci est un vieux routier de l’extrême droite : ancien membre d’Ordre nouveau, du GUD, dirigeant du [&hellip
#Extrême_droite_radicale #Alain_Escada #Jean-Marie_Le_Pen #Pierre_Vial #Roger_Holeindre #Serge_Ayoub
À Paris en mai, l’extrême droite fait ce qui lui plait (#2)
▻http://lahorde.samizdat.net/2016/05/27/a-paris-en-mai-lextreme-droite-fait-ce-qui-lui-plait-2
Comme depuis de nombreuses années, ce début du mois de mai était chargé pour l’extrême droite française. Entre les deux hommages du 1er mai de la famille Le Pen, le congrès du #Parti_De_la_France le 7 mai, les trois défilés du 8 pour Jeanne d’Arc et l’hommage le 9 à #Sébastien_Deyzieu, il y a [&hellip
#Extrême_droite_radicale #civitas #GUD #La_Dissidence_française #Parti_Nationaliste_Français #Synthèse_nationale
S’il te plaît, dessine-moi le programme de la droite... Enfin des droites
▻http://libreaffichage.blogspot.fr/2016/05/sil-te-plait-dessine-moi-le-programme.html
Pas de souci, c’est facile.
Suppression, réduction, limitation, contrôle, fin, annulation, rétablissement, retour... Un champ sémantique classique, tranquille, d’une droite classique, tranquille, droite dans ses bottes.
Hier, pendant le grand raout de la motion de censure présentée par la droite à l’Assemblée nationale, Christian Jacob a été magistral, puissant, lyrique, convaincant même... Surtout quand il énumérait une à une toutes les mesures de gauche prises par le Gouvernement depuis 2012.
Un vrai VRP.
Sauf en ce qui concerne les idées lumineuses de la droite... Enfin des droites... Enfin des candidats de droite aux Primaires... Bref.
Christian Jacob en VRP du Gouvernement.
Je me dois donc d’être la VRP de la droite, enfin des droites... Enfin des candidats de droite aux Primaires... Bref.
Voilà ton dessin. Ou dessein, c’est selon.
Une droite c’est un point qui est parti faire de la marche à pied !
Cette citation de Paul #Klee ou de Wassily #Kandinsky, je ne sais plus, n’a bien sur rien à voir avec la politique mais avec la peinture, l’art abstrait, l’onirisme.
je ne peux plus voir la droite, les droites, leur programme en peinture. Avec la primaire et ces candidats difficile de ne pas s’y intéresser, si seulement ils pouvaient s’entre-tuer.
Il n’y a pas, en France, une droite mais trois : droites légitimiste, orléaniste et bonapartiste. Enoncées par #René_Rémond en 1954 dans La #Droite_en_France, cette distinction est devenue classique, et le titre du présent ouvrage prend acte de cette acceptation. Mais, depuis, la France a changé ; les #familles_politiques aussi. La distinction est-elle encore valable ? La division #droite-gauche elle-même a-t-elle encore un sens ? Qu’en est-il de l’extrême droite ? Comment se situe le #gaullisme par rapport à ces trois #traditions ? Telles sont quelques-unes des questions aux-quelles, dans cette étude qui se prolonge jusqu’au lendemain des présidentielles de 1981, René Rémond s’attache à répondre. Loin d’être périmée par l’actualité, sa thèse éclaire en fait le sens des événements les plus récents : en retour, leur déchiffrement projette une lumière nouvelle sur les périodes plus lointaines : l’historien est conduit à faire une lecture neuve du bonapartisme, du boulangisme et des ligues. En outre, tout un chapitre a été consacré au #fascisme_français et à l’examen des causes de sa faible pénétration. René Rémond, qui enseigne à l’université de Nanterre dont il a été le premier président, et à l’Institut d’Etudes Politiques, conjugue la discipline de l’historien et l’approche du politiste. Convaincu de la constance propre et de l’autonomie des faits de culture, il s’intéresse depuis longtemps à la continuité des idées politiques et aux manifestations de l’opinion publique. Les Droites en France est désormais un ouvrage classique de l’historiographie politique française.
▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Droites_en_France
Un pari risqué en matière de #biologie de #synthèse
▻http://www.project-syndicate.org/commentary/stevia-synthetic-biology-dangers-by-silvia-ribeiro-and-jim-thomas-2015-10/french
Domaine hautement technologique, la #biologie_de_synthèse soulève pour autant d’importants risques potentiels. Mobilisant certes plusieurs milliards de dollars d’investissements, elle suscite aujourd’hui une inquiétude croissante à travers le monde. Aspect révélateur, Cargill ne fait pas la promotion de son produit [EverSweet] autour de l’utilisation d’une technologie controversée, mais en décrivant davantage EverSweet comme le fruit d’une « levure boulangère spécifiquement élaborée de manière artisanale », comme si cette recette existait depuis des siècles au fin fond des villages de Bavière.
Pour Ann Nduta Kanini, veuve et mère de huit enfants, la vente de stévia est un moyen d’envoyer ses enfants à l’école et de remplir leur assiette. (...) les #agriculteurs les plus pauvres ont été activement encouragés à investir dans la #stévia, dans la mesure où la culture de cette plante contribue à la préservation d’écosystèmes fragiles et uniques. Dans son étude annuelle relative aux principaux risques planétaires, le Forum économique mondial explique combien « l’invention d’alternatives synthétiques bon marché aux exportations agricoles à valeur élevée… risque de déstabiliser brusquement certaines économies vulnérables, en supprimant une source de revenus dont dépendent les agriculteurs. »
Les #Brigandes, « on s’en branle » ?
▻http://lahorde.samizdat.net/2015/10/07/les-brigandes-rock-identitaire-francais-extreme-droite
Lors de la 9e journée nationaliste et identitaire de #Synthèse_nationale, les Brigandes provoqueront sans doute un certain émoi, tant chez les visiteurs que chez les « vedettes » invitées à l’ouvrir. Au terme d’une étude, si ce n’est exhaustive, au moins laborieuse, La Horde va tenter de vous éclairer sur cette formation agitant la « réacosphère » en [&hellip
#Comité_de_salut_public #extrême_droite #musique #réacosphère #RIF #Rock_Identitaire_Français #vidéo
▻http://lahorde.samizdat.net/wp-content/uploads/2015/10/Brigandeworst.mp4
Le genre est une construction sociale : qu’est-ce que cela veut dire ? | Genre !
▻http://cafaitgenre.org/2014/11/11/le-genre-est-une-construction-sociale-quest-ce-que-cela-veut-dire
« Le genre est une construction sociale » : c’est là un élément de base de la définition du genre, sans lequel on ne peut comprendre le concept. Je l’ai mentionné plusieurs fois, et expliqué, sans y consacrer de billet entier ; l’idée de ce billet m’est venue suite à un commentaire lu sur la page Facebook de ce blog. Je me suis rendu compte que la notion de construction sociale était loin d’être comprise par tout le monde – et pour cause : ce n’est pas une notion évidente, surtout quand on l’applique à des sujets aussi sensibles que la différence des sexes et les rapports entre les sexes. Je vais donc évoquer quelques-unes des erreurs commises au sujet de cette notion de construction sociale, avant de revenir sur sa définition.
une bonne #synthèse de la signification #construction_sociale lorsqu’on parle de #genre, et de manière plus générale
Le droit d’auteur et le droit à l’image - Introduction
▻http://www.pairform.fr/PFRes/Droits/web/co/module_droit.html
Synthèse sur le droit d’auteur et le droit à l’image : un #cours en ligne d’Evelyne Moreau de l’école des Mines de Nantes
#droit_auteur #en-ligne #synthèse #droit_image #responsabilité #juridique
Nos vies sous surveillance
▻http://www.alsacelibertaire.net/spip/spip.php?article173
Yep ! Depuis de nombreuses années maintenant, des lanceurs d’alertes - au péril de leur liberté et de leur vie - s’ingénient à mettre à nu les vastes réseaux de surveillance qui font la société de contrôle d’aujourd’hui. Bradley Manning, Julian Assange et plus récemment Jeremy Hammond ou Edward Snowden ont révélé la vaste toile par laquelle nos vies privées sont passées à la moulinette. C’est pour défendre nos libertés qu’aujourd’hui, ils se retrouvent en prison, contraints à l’exil ou assignés à résidence. (...)
Des nouvelles(que des bonnes…euh)
▻http://dinosaures.go1.cc/?p=1943
1/Ce n’est pas encore sûr mais Peter Hartz deviendrait conseiller de Hollande...pour info c’est lui qui a créé les mesures comme les mini jobs. Il a aussi été condamné pour corruption et histoires de moeurs (là au moins il seront…Read more →
#les_neuves_nouvelles #_R_évolution ? #politique #synthèse_de_la_semaine
Une compagnie britannique synthétise du pétrole... - Industrie et Technologies
►http://www.industrie.com/it/une-compagnie-britannique-synthetise-du-petrole-a-partir-d-air-ambiant.13
Prenez de l’air. Extrayez le dioxyde de carbone (CO2) et l’hydrogène (H2) qu’il contient. Recombinez ensuite ces « briques de base » à l’aide d’opérations pétrochimiques catalysées, et vous pouvez produire toutes sortes d’hydrocarbures dont…du pétrole. Voilà le principe du procédé "Air to fuel" dévoilé par Air Fuel Synthesis lors d’une conférence donnée à l’Institution of Mechanical Engineers (IMechE), à Londres.
Hum, intéressant ... Mais n’oublions pas que ce type de production/synthèse/transformation doit-être assez énergivore et perd donc tout son intérêt.
Et même dans le cas où il ne le serait pas, il faudra tout de même changer notre mode de consommation basé sur le gaspillage.
#Pétrole #Énergie #Chimie #Synthèse