• Waitress forced to wear high heels at work shares photo of her bleeding feet - The Independent
    http://www.independent.co.uk/news/world/americas/waitress-forced-to-wear-high-heels-at-work-shares-photo-of-her-bleedi

    A photo on social media of a woman’s bleeding feet after working a full shift as a waitress has been shared over 11,500 times in a week as the subject of compulsory high heels at work has become an international talking point.

    In a post on Facebook, Nicola Gavins criticised Joey Restaurants in Edmonton, Canada for forcing its female staff to wear shoes with at least a one inch heel.

    #talons

    She said her friend lost a toenail after the shift, during which she was told by her supervisor that heels would be required the next day.

  • #Canada : l’obligation de porter des talons hauts au travail interdite

    Obliger les femmes à porter des talons hauts sur leur lieu de travail est désormais interdit en Colombie-Britannique, a annoncé la Première ministre de cette province de l’ouest canadien, Christy Clark.


    http://www.courrierinternational.com/depeche/canada-lobligation-de-porter-des-talons-hauts-au-travail-inte
    #talons #femmes #habillement

  • Canada : l’obligation de porter des talons hauts au travail interdite - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2017/04/08/canada-l-obligation-de-porter-des-talons-hauts-au-travail-interdite_15614

    http://md1.libe.com/photo/1011253-obliger-les-femmes-a-porter-des-talons-hauts-sur-leur-lieu-de-trav

    Obliger les femmes à porter des talons hauts sur leur lieu de travail est désormais interdit en Colombie-Britannique, a annoncé la Première ministre de cette province de l’ouest canadien, Christy Clark.

    « Dans certains lieux de travail de notre province, les femmes doivent porter des talons hauts au travail. Comme la plupart des Britanno-Colombiens, notre gouvernement pense que c’est injuste », a indiqué vendredi Clark. Le Première ministre libérale considère une telle pratique « dangereuse et discriminatoire ».

    « Avec le port prolongé de talons hauts au travail, il y a un risque de blessure physique en glissant ou en tombant, ainsi que des dommages au niveau du pied, de la jambe et du dos », précise le communiqué, co-signé avec la ministre du Travail de la province, Shirley Bond.

    Bond s’attend « à ce que les employeurs y voient un signal très clair selon lequel imposer à quelqu’un de porter des talons hauts au travail est inacceptable ».

    La Première ministre donne ainsi son aval au projet de loi du leader du parti écologiste Green Party, Andrew Weaver, qui prévoit de modifier l’actuelle législation sur les accidents du travail pour que les normes de sécurité, incluant les chaussures, soient les mêmes pour tous les sexes.

    Cette annonce survient un mois après que vingt-cinq grandes chaînes de restaurants de l’Ontario (centre) ont décidé de ne plus imposer un code vestimentaire - minijupe et talons hauts - à leur personnel féminin.

    #talons

  • L’impuissance comme idéal de beauté des femmes – Universalité des idéaux de faiblesse 1 – Sexisme et Sciences humaines – Féminisme
    https://antisexisme.net/2017/04/06/universalite-1

    L’objectif est de montrer que derrière une apparente diversité des pratiques de beauté, certains idéaux de faiblesse semblent universels – ou en tout cas très répandus – dans de nombreuses cultures patriarcales.

    Je précise d’emblée qu’il n’est pas question dans cet article de mettre tout sur le même plan. Par exemple, je ne considère pas que le port des talons aiguille soit aussi violent et grave que la technique des pieds bandés, pratiquée en Chine jusqu’au début du XXème siècle. En effet, les déformations induites par le bandage des pieds sont bien plus extrêmes, bien plus douloureuses et bien plus handicapantes que celles induites par les talons aiguilles. Néanmoins, je pense qu’il faut aussi garder à l’esprit que l’on intériorise les normes et les valeurs de la société dans laquelle on a grandi ; par conséquent, on perçoit moins facilement la violence de nos pratiques que celle des coutumes des autres sociétés. Il me semble important de rappeler que l’Occident a connu et connaît aussi des pratiques très douloureuses et/ou très dangereuses (les régimes, conduisant parfois à des maladies très graves et potentiellement mortelles que sont les troubles du comportement alimentaire, et l’épilation aux rayons X, pratiquée au début du XXème siècle, constituent de « beaux » exemples). J’essayerai ainsi de ne faire ni relativisme éthique, ni ethnocentrisme, et espère ne tomber dans aucun de ces travers. Je vous renvoie également vers mon article sur les différentes méthodes de coercition à la beauté dans le monde.

    #talons #beauté #sexisme #poids #chirurgie_esthétique #excision

    • Dans l’idéal de beauté je sais plus si antisexisme à fait une partie sur le silence. Le met ceci ici car ca me semble être cette idée d’impuissance qui rend les femmes « belles » aux yeux des hommes.

      Le silence des poupées sexuelles est considéré comme l’un de leurs principaux avantages par les propriétaires masculins. Les poupées sexuelles, contrairement aux partenaires humaines, ne peuvent pas répondre, critiquer ou mépriser.

      Par exemple, l’auteur Anthony Ferguson écrit qu’une poupée sexuelle « ne vous dira jamais de sortir les poubelles ni ne critiquera votre performance sexuelle […], elle ne répond ni ne gronde. Cette absence de dialogue est importante pour un homme qui veut un contrôle total ». La poupée sexuelle, ajoute-t-il, « signifie la femme dans sa forme la plus muette, la plus impuissante, la plus banalisée ».

      https://ressourcesprostitution.wordpress.com/2018/02/02/masculinite-toxique-de-la-pornographie-des-poupees

  • L’impuissance comme idéal de beauté des femmes – souffrir pour être belle – la douleur physique – Sexisme et Sciences humaines – Féminisme
    https://antisexisme.net/2017/03/19/douleur-physique

    Quasiment toutes les pratiques de beauté impliquent de la douleur, de celle relativement faible causée par le démêlage des cheveux longs aux graves séquelles que peut engendrer la chirurgie esthétique. Lauren du blog « les Questions composent » décrit bien les tortures, petites ou grandes, qui rythment la vie des femmes. Epilation, talons aiguille, régimes et purgations, massages anticellulite, chirurgie esthétique… toutes ces pratiques relativement courantes ou non, engendrent de la douleur à des degrés divers. Dans des cultures éloignées géographiquement et/ou temporairement, les pratiques de beauté varient grandement, mais la douleur qu’elles génèrent est toujours là : bandage des pieds, mutilations génitales féminines, gavage ou encore corset. On peut trouver quelques exemples ici et là. Ainsi, beauté féminine et douleur semblent aller de pair, et ceci à pratiquement toutes les époques et dans tous les pays.

    #beauté #sexisme #talons #chirurgie_esthétique #poids #épilation

  • La tyrannie des talons aiguilles recule dans les bureaux de la City
    http://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2017/03/15/la-tyrannie-des-talons-aiguilles-recule-dans-les-bureaux-de-la-city_

    Une vendeuse a raconté qu’on lui demandait de porter des jupes plus courtes et de se déboutonner à l’approche de Noël, au moment où la clientèle se masculinise. Une hôtesse de l’air a témoigné qu’elle se sentait « prostituée » par l’exigence des talons hauts. Coloration blonde et décolletés obligatoires sont aussi de rigueur dans certaines entreprises.

    Une question de santé publique

    Le code vestimentaire que l’agence Portico avait tenté d’imposer à Nicola Thorp était d’une insolente précision : ses employées devaient porter des collants « non opaques », les racines de leurs cheveux devaient être « invisibles » et leur maquillage être « réajusté régulièrement ».

    Quant à leurs chaussures, elles devaient effectivement comporter des talons « de 2 à 4 pouces » (5 à 10 cm). La firme exigeait aussi le choix de l’une des quatorze nuances de vernis à ongles répertoriées par elle.

    (...)

    Au sexisme s’ajoute une question de santé publique : les souffrances et les troubles articulaires causés par le port prolongé de talons aiguilles. Consulté par les parlementaires, le Collège de podologie en a dressé la liste : « équilibre réduit, mobilité de la cheville limitée, force musculaire du mollet affaiblie » pouvant provoquer « des douleurs invalidantes ».

    (...)

    Theresa May, amoureuse de ses escarpins

    L’ironie est que l’image de Mme May dans l’opinion britannique est intimement liée à l’originalité de ses chaussures qui, a-t-elle plaisanté un jour, sont « le plus grand amour » de sa vie. Ses escarpins à impression léopard et ses chaussures basses aux talons sertis de diamant sont légendaires.

    Nicola Thorp n’est décidément pas en phase avec la première ministre. Celle-ci, lorsqu’elle était chargée des femmes et de l’égalité au gouvernement en 2011, avait déclaré que « les codes vestimentaires traditionnels en fonction du sexe » favorisent « un sentiment de professionnalisme ».

    Même l’agence Portico, par qui le « scandale des talons aiguilles » est arrivé, ne le prétend plus. Peu après avoir été mise en cause, elle a changé son dress code : ses exigences vestimentaires ne se réfèrent désormais plus au sexe des employés. Les talons plats ont conquis droit de cité à la City.

    #talons #sexisme #santé

  • Pascal Picq : « Le bipède humain a besoin de marcher et de parler pour penser, pour créer » - Libération
    http://www.liberation.fr/debats/2016/12/28/pascal-picq-le-bipede-humain-a-besoin-de-marcher-et-de-parler-pour-penser

    Si la société et ses « brigades des mœurs » ne sont plus aussi répressives, les femmes savent à quel point il reste dangereux de se promener seule. Dans les questions qui touchent à l’égalité des femmes et des hommes, il est rare que celle de la liberté de marcher en ville ou dans les campagnes soit évoquée ; c’est pourtant bien la plus fondamentale ! La société change, mais les promesses faites aux femmes sont rarement tenues. On pourrait même dire que c’est au travers de la question de la marche que se mesure l’ampleur des entraves séculaires qui s’imposent à elles : les pieds bandés des petites Chinoises, les kimonos étroits et les petits pas des geishas, l’obligation de prendre de l’embonpoint, les colliers des femmes girafes, les lourds anneaux aux chevilles, les crinolines, les chaussures et les coiffures extravagantes… les corsets ! Comme s’il fallait empêcher, contraindre la liberté de la marche, de la démarche des femmes extrêmement troublante.

    #liberté #corps #marche #talons #sexisme

  • L’impuissance comme idéal de beauté des femmes – une mobilité réduite – Sexisme et Sciences humaines – Féminisme
    http://antisexisme.net/2016/01/23/impuissance-03

    Par ailleurs, le talon aiguille modifie considérablement la démarche : il diminue la vitesse de marche et réduit la longueur des enjambées, forçant les femmes à marcher à petits pas7–9. La cadence est ainsi augmentée : les femmes sont obligées de faire un plus grand nombre de pas par minute2. Les femmes qui portent des talons présentent également plus de contraintes dans leur démarche (elles peuvent faire moins de mouvements)9. Elles ont également tendance à soulever le pied d’un bloc, plutôt que de faire un mouvement de bascule du talon aux orteilles9. De plus, les chaussures à talon rendent la marche quasiment impraticable sur des sols irréguliers comme des pavés. De manière générale, ces chaussures sont inconfortables et induisent une importante fatigue musculaire, ce qui réduit la mobilité de celles qui les portent6. Les douleurs chroniques aux pieds, ainsi que plusieurs problèmes orthopédiques (oignons, cors, durillons), sont plus fréquents chez les femmes âgées que chez les hommes âgés, ce qui serait au moins partiellement dû au port fréquent de chaussures à talons hauts10.

    #talons #beauté #sexisme

  • Un numéro de « The Funambulist » consacré aux « politiques du vêtement »
    http://thefunambulist.net/current-issue

    The third issue of The Funambulist Magazine is dedicated to clothing politics, examining a scale of design closer to bodies than the ones previously studied in the past issues. The layers of fabric we incorporate (i.e. form into a body) are all charged both legally and normatively, and this charge combines with those related to a body’s race, gender, behavior, and spatial-temporal context. This issue thus proposes to examine this combination of normative charges — sometimes turned into law — through various wearable objects we call clothes: shoes (Minh-Ha T. Pham), pants (Eric Darnell Pritchard, Mimi Thi Nguyen), shirts (Lucy Jones), accessories (Murktarat Yussuff), and different head garments (Reina Lewis, Hana Tajima, Emma Tarlo).

    #vêtements #voile #mode #talons

  • Cannes faces backlash after women reportedly barred from film screening for not wearing high heels - The Guardian
    http://www.theguardian.com/film/2015/may/19/cannes-backlash-high-heels-emily-blunt-flat-shoes

    The festival is facing a backlash from film fans protesting against what many perceive as a sexist dress-code policy, even though Cannes’s director, Thierry Frémaux, has denied that high heels are obligatory. “The rumour saying the festival insists on high heels for women on the red carpet is unfounded,” he said in response to critics on Twitter.

    Among those joining the backlash was actor Emily Blunt, who will walk the red carpet tonight in support of her new film, the FBI drama Sicario.

    “Everyone should wear flats, to be honest. We shouldn’t wear high heels,” said Blunt, when asked about the controversy at the Sicario press conference. “That’s very disappointing, just when you kind of think there are these new waves of equality.”

    Sicariodirector Denis Villeneuve joked that he and Blunt’s co-stars, Benicio del Toro and Josh Brolin, would wear high heels to the premiere in solidarity. Del Toro then mimed wobbling along the red carpet from his seat.

    Cannes, la loi du talon
    http://next.liberation.fr/next/2015/05/19/sur-les-marches-de-cannes-la-loi-du-talon_1312236

    #talons #Cannes #cinéma #sexisme

  • Les médias perchés sur une étude associant talons et séduction - Les Nouvelles News
    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/chroniques-articles-section/chroniques-categorie/4063-etude-seduction-talons-medias-perches

    Si le chercheur estime que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour « déterminer le processus » qui rend les hommes plus réceptifs aux talons hauts, sa principale hypothèse est : « l’association entre talons haut et références sexuelles véhiculées par les médias ». Nicolas Guéguen souligne d’ailleurs que plusieurs études ont précédemment montré que les hommes étaient davantage attirés par les femmes blondes. Lui même a publié en 2012 les résultats d’une expérience indiquant que les hommes donnaient des pourboires plus élevés à des serveuses blondes. Or ces dernières sont surreprésentées dans les magazines, érotiques en particulier, relève-t-il. Ce qui revient à associer, dans les codes sociaux, blondeur et sexualité.

    (...)

    Etonnamment (?), cette hypothèse n’a été que peu développée par les médias qui se sont jetés sur cette étude, en dégainant la carte « scientifique », même si les échantillons (180 hommes pris au hasard dans les deux premières expériences, seulement 36 dans la troisième) ne sont pas forcément scientifiques. Des médias qui se contentent donc de diffuser le message que « les hommes préfèrent les femmes à talons hauts », comme titre Libération. Que « les talons hauts rendent les hommes plus réceptifs et plus serviables » (Le Huffington Post). Oui, c’est scientifique, ils « rendraient les hommes serviables » (20Minutes).

    (...)

    Et aux oubliettes cette autre étude, publiée en 2012, selon laquelle l’usage répété de talons hauts présente des risques de troubles musculo-squelettiques.

    #talons

  • Stilettos à tout prix. Le boom de la chirurgie des pieds - Paris Match
    http://www.parismatch.com/Actu/International/Le-boom-de-la-chirurgie-des-pieds-560975

    Dans le « New York Times », le Dr Ali Sadrieh, podologue, revient sur le succès de sa clinique dédiée aux chirurgies rendant le port des talons hauts plus facile pour ses patientes. « Elles m’apportent les chaussures qu’elles rêveraient de porter », explique celui qui a mis au point plusieurs types d’opérations : le raccourcissement d’orteils, l’allongement d’orteils ou encore l’injection de gras dans le talon. « Mon cabinet a explosé grâce à Manolo Blahnik, Christian Louboutin et Nicholas Kirkwood. Il n’y a rien de comparable à l’ouverture d’un placard de chaussures qui n’a pas été ouvert depuis des années », jure le médecin.

    #chirurgie_esthétique #talons

  • Chopines—A Bizarre Form of Platform Shoes from 500 Years Ago - Neatorama
    http://www.neatorama.com/2014/04/18/Chopines-a-Bizarre-Form-of-Platform-Shoes

    Pictured above and below are chopines of Venice—platform shoes worn by upper class women and their imitators during the Sixteenth Century. To learn more about this fashion oddity, Collector’s Weekly interviewed Elizabeth Semmelhack, a curator at the Bata Shoe Museum in Toronto.

    These extreme platform shoes may have been impractical for everyday life. But to an extent, that was the point. Semmelhack explains that ihey offered upper class women in Spain and Venice a way to show off their wealth. This is especially true in Spain, where women wore their dresses to the tops of their chopines. In Venice, dresses extended to the ground, so the chopine was regarded as an undergarment.

    As you can see from these examples, they were very fancy undergarments.

    • En cours de Morphologie aux beaux-arts Mr Debord nous montrais une diapo de la « déambulette » de la princesse de venise. C’etait une gente de chaise porte bébé en bois et à roulette tout à fait instable dans laquelle elle etait suspendu les jambes à 1m du sol et elle etait porté et poussé de gondole en places dans la ville. Je ne retrouve pas d’image de la machine mais avec ce model de plat-forme on imagine la hauteur à laquelle pouvais se trouvé la plus grande Dame de la ville.

      Debord racontais aussi que Veronèse, peintre emblématique de l’époque avais été décrit pas les psychanalystes comme souffrant d’un complexe d’infériorité vis à vis femmes ceci à cause de la grande carrure des femmes dans la peinture de Veronèse.
      comme ici par exemple :


      En fait c’était la mode de Venise qui faisait que les femmes riches de l’époque avaient de grands dimensions. La forme des robes accentuaient la largeur des épaules ce qui devais ajouter encore de la grandeur à ces femmes montées sur échasses.


    • Les deux dames vénitiennes de Vittore Carpaccio
      Museo Correr, Venise


      Tantour Head Dress « Urban woman, Druze woman and peasant woman from Damascus. Photo by Sebah, 1873 » Poemas del río Wang : Tantour

      Les images de ce pinterest ont l’air interessante
      http://www.pinterest.com/laceydaisyknits/historical
      #a_fouiller

    • Chopines are basically crazy (L) or not so crazy (R) flatforms, which, as I remember it, were introduced from the Iberian Peninsula into Europe and worn most famously in Italy (and associated most famously with her courtesans.)

      The Bata Shoe Museum has an amazing podcast series, “On A Pedestal”, covering the evolution of shoes from the Renaissance to the Baroque era, including these chopines. But it also (and rather elegantly) brings up some really fascinating ideas about the evolution of gender identity and expression through dress, primarily its formation—via shoes!—in the 17th century.

      Giving the nine episodes a listen is highly recommended for fashion history nerds and feminists alike.

      I found the Bata Shoe Museum online while doing some research for a pair of early 17th century shoe heels I’m carving. YUP. Goin for it, making some shoes. Never made shoes before, only have a tiny bit of very accident-prone experience with woodcarving, but when I put my mind to something fantastical and impractical, there is really no stopping me.

      Which stands to reason that, well, someday we might see a 1620s Genoese dress from me, complete with chopines hiding under that insane lux dress.


      http://s-melville.blogspot.fr/2012/10/van-dyck-17th-century-genoese-fashion.html

      #genre #femme #femmes

      http://www.batashoemuseum.ca/podcasts/oap3/images/Bardini%20MCF-MB%201922-834002.JPG

      Tall chopines literally put women on pedestals, a fact reflected in their design. The flared sole of these chopines is reminiscent of a flower and is an elegant solution to the need for stability. Italian, c. 1590-1600 On loan from Comune di Firenze – Museo Stefano Bardini, (MCF-MB 1922-813 and MCF-MB 1922-834). Florence, Italy. Photo: Comune di Firenze, Musei Civici Florentini – Museo Stefano Bardini. All rights reserved.

      http://www.batashoemuseum.ca/podcasts/oap3/onapedestal_pc3.mp3

    • La mode des chopines vénitiennes
      Publié le juillet 8, 2013 par modress

      Les chopines sont un type de chaussure datant du XVème siècle, dont la particularité est un très haut talon en bloc qui atteint parfois les 70 cm. Elles ont, au début été créées afin de protéger les habits de la saleté puisque les robes étaient portées très longues. Elles étaient initialement portées par les courtisanes de Venise et les patriciennes mais la mode s’est ensuite répandue parmi les femmes nobles et en Espagne.

      Ces chaussures pour femmes confèrent une démarche peu élégante et instable. Il s’agissait d’un frein imposé par les hommes vénitiens, puisqu’avec les chopines, les femmes ne pouvaient se déplacer et ne pouvaient pas exercer les activités qu’elles désiraient telles que la danse, mal vu d’un point de vue religieux. Les femmes qui les portaient avaient un ou deux domestiques à leurs côtés pour les aider à marcher. Un danseur italien de renommée, Fabritio Caroso, affirme cependant que lorsque les femmes apprenaient l’art de marcher avec des chopines, elles pouvaient se déplacer avec « grâce, sensualité et beauté ».

      1377183734L’utilisation des chopines était improbables et certains ne comprenaient pas le but de cette mode. Les voyageurs de tous les pays visitaient Venise pour rencontrer desfemmes portant des chopines, à leurs yeux ridicules. En 1430, une interdiction de porter les chopines émane du « Maggior Consiglio », l’organe politique vénitien. Elle vise a interdire les chopines car considérées comme dangereuses pour les femmes suite à une multitude de fausses couches dues à des chutes dont étaient victimes celles-ci. L’interdiction est renouvelée en 1512 sans succès. Les chopines sont définitivement abandonnées au XVIIème siècle.

      https://histoiredeschaussures.com/2013/07/08/la-mode-des-chopines-venitiennes

    • Alfieri, Bruno, editor. Il Gioco dell’Amore: Le Cortigiane di Venezia dal Trecento al Settecento. Milano: Berenice, 1990.

      Alfieri’s text is a compilation of articles on Venetian courtesans from ca. 1300-1700. Chapters treat their luxurious life-styles, courtesans and gambling, courtesans and venereal diseases, courtesans and their image in Renaissance literature, courtesans and foreign travelers, courtesans and their musical talents, and (most importantly!) courtesans and fashion. Text includes many color reproductions of courtesans in art.

      Allen, D.E. “Fashion as a Social Process” in Textile History 22, no. 2 (1991): 347-58.

      This brief article based on a number of sources provides an excellent introduction to terms and concepts used in describing fashion, fashion cycles, and the phenomenon of fashion in general.

      Anderson, Ruth Matilda. “The Chopine and Related Shoes” in Cuardernos de la Alhambra. Vol. 5, 1969: 33-50.

      This article is specifically on Spanish chopines as a footwear fashion in early modern Europe. The article states that the ’chapin’ was worn by important women and that early examples of men’s chopines exist as well. The construction of the Spanish version of the shoe is described, as it is usually made of two vamp sections, an insole, and a side part, all mounted on a cork platform. Anderson’s article is interesting since it refutes the common idea that chopines originated in Venice. Instead the author maintains the style was originally from the Iberian peninsula, where cork abounded and served as the base of all chopines. Possibly the first European example of chopines came from Alhambra. Spanish chopines were heavily decorated with designs of animals, scrolls, flowers, illustrations of the Pope, etc. (whereas Venetian models were simpler, often having only punched leather abstract designs). Anderson understands that these shoes are difficult to date yet refers to guild documents from several Spanish cities—proving that chopines were in existence in Spain in the fifteenth century, apparently before the first Venetian chopines existed. An interesting reference to a chopine-related expression is mentioned, “ponerse en chapines” meaning to raise one’s self above one’s condition.

      ’Escolta de una gran senora en Barcelona’ by Christoph Weiditz, Nationalmuseum, Nuremberg, Germany.

      Bata Limited. All About Shoes: Footwear Through the Ages. Toronto: Bata Limited, 1994.

      This book is a predominantly pictorial account of exceptional kinds of footwear worn by humans throughout the ages, and on all continents. All of the photographed examples included are part of Toronto’s Bata Shoe Museum collection. The compilation makes one ask what can be learned about beliefs and culture through shoes.

      Bata Shoe Museum Folders: each are compilations of articles, index cards, reviews, etc. relating to footwear in the following areas::

      “Fetishism, Footwear and Foot”

      “Medieval 500-1500”

      “Europe”

      “Italy”

      “Middle East”

      Bentivenga, Ferruccia Cappi. Abbigliamento e Costume nella Pittura Italiana nel Rinascimento. Roma: Carlo Bestetti Edizioni d’Arte, 1962.

      This massive volume is a comprehensive guide to Renaissance Italian fashion as portrayed in surviving paintings, frescoes and other fine arts. Pisanello’s depicted style of dress, French influence on Italian fashion, hairstyles, poor and artisan-class fashion, veils, laces, children’s clothing, Venetian styles, German-inspired styles, sleeve styles, fashion based on fantasy, ecclesiastical fashion and accessories, are included to name but a few topics included in this excellent reference-type work.

      Birbari, Elizabeth. Dress in Italian Painting 1460-1500. London: John Murray, 1975.

      This book is about Italian fashion in the Renaissance focusing on shirts, doublets, dresses, sleeves, fastenings, and head veils. It does not include a formal chapter on footwear, but one can come to one’s own conclusions about styles and designs since color paintings are reproduced throughout the text in which shoes are ubiquitous.

      Blutstein, Elisabeth, editor. 4000 Ans d’Histoire de la Chaussure. Blois: Chateau de Blois, 1984.

      Although this book describes 4000 years of human footwear, it concentrates on the period from the Renaissance to the twentieth century. The book is includes a chapter on objects in the shape of shoes (but never used as shoes) including flasks, porcelain sculptures and wooden shoe forms. The history of shoe production in the city of Blois is highlighted since this publication is a catalog of an exhibition held at the Chateau de Blois in 1984.

      Bottero, Amelia. Nostra Signora la Moda. Milano: Mursia, 1979.

      This book is similar to that written by Silvia Giacomoni—both focus on the Italian Look and its origin in post-World War II Europe. Bottero explains technical aspects of fashion design and production and focuses on the masters of the craft since the Fifties.

      Cunnington, Phillis. Costume in Pictures. London: Studio Vista, 1964.

      Cunnington traces the history of mostly British (and later American) clothing styles from the Middle Ages to the twentieth century. “In the art of costume, the nature of the materials, their form and colour, combine to indicate, mostly by symbols, certain ideas: costume is far more revealing than nudity” is the basic thesis of this heavily illustrated guide to fashion. Cunnington demonstrates that clothes denote social rank, occupation, sex, and ideas.

      Ferretti, Massimo, editor. Roberto Capucci: I Percorsi della Creativita. Roma: Fabbri Editori, 1994.

      This is another glossy-paged Italian fashion text reproducing designs made by Roberto Capucci which were on display in Rome in 1994. Although not based on shoes, the Capucci collection makes one think of the meaning of fashion in general, demonstrating the twentieth century’s capacity to interpret design in a variety of ways by hundreds of artists in contrast to the Renaissance period, when fashion seems to have been more homogenous due to long ’fashion cycles,’ and when the importance of the individual designer seems to have counted less.

      Giacomoni, Silvia. L’Italia della Moda. Milano: Gabriele Mazzotta editore, 1984.

      This books reports on the current state of events (as of 1984) in the fashion world in Milan, Italy, focusing on brilliant designers: Versace, Armani, Cerruti, Fendi and Ferre. Giacomoni recounts public information on the world of Italian fashion while attempting to explain why the Italian look has been so successful worldwide. Giacomoni hypothesizes that the look was born in a traditionally poor country which finally liberated itself from elementary needs after the second world war, thus beginning to re-explore aesthetic realms.

      Grew, Francis and Margarethe de Neergaard. Shoes and Patterns: Medieval Finds from Excavations in London. London: Her Majesty’s Stationery Office, 1988.

      This academic text relates information on archaeological finds from ten separate excavations where footwear was discovered, mainly in thick anaerobic organic deposits, especially along the Thames. The author includes technical information on poulaines, additionally noting that the toes were stuffed with moss and that could be stitched in 4 or 5 different manners. Grew also dedicates chapters to wooden pattens, and shoes as represented in art and literature.

      Herald, Jacqueline. Renaissance Dress in Italy 1400-1500. ed. Aileen Ribeiro. London: Bell and Hyman, 1981.

      This is a comprehensive volume of fashion in Renaissance Italy which includes hundreds of reproductions of clothing-filled paintings. The author treats such subjects as: the importance of fashion and beauty in the Renaissance, dress as a narrative, extravagance at court, jewelry, and embroidery. An important glossary of Renaissance dress and textile terms follows and chopines here are interchangeably termed “pianelle,” which, however, seem to denote both slippers, as well as slippers mounted on platforms as part of chopine. Further, Carpaccio’s famous painting of two presumed courtesans is refuted to be just that—Herald upholds it to be a depiction of two Venetian ladies wearing typically Venetian styles. If one interprets contextual clues present in Carpaccio’s painting, including a peacock (representing vanity), doves (representing love; or birds as a sexual pun in Italian), and dogs (representing fidelity), removed chopines (representing availability), and a dwarf (representing sexuality), it is clear that the women are courtesans. Herald also lists the seven types of Renaissance Italian shoes, being: calcetto, calza, pedule, pianella, scarpe, stivale, and zoccolo. See Vocabulary section of this site for additional words and their meanings

      Heyraud, Bertrand. 5000 Ans de Chaussures. England: Parkstone Press, 1994

      This folio size glossy text illustrates and explains the general origins of shoes from the beginning of human history to the present, but is especially focused on twentieth century examples and developments.

      Jackson, Beverly. Splendid Slippers: One Thousand Years of an Erotic Tradition. Berkeley: Ten Speed Press, 1997.

      This book explains why tiny feet were so highly valued in Chinese culture for a period spanning roughly one thousand years. Although Jackson is particularly interested in lotus slippers as textile artifacts, she explains how footbinding was accomplished, why it was popular, and why small feet were regarded as erotic. Parallels between bound feet and chopines can easily be made from information present in this book.

      Kiernan, Matthew. “Stepping Out: Footwear in the Collection of the Museum of Fine Arts, Boston” in Dress, 1981: 9-29.

      This article includes photographs and explanations of shoes (including fourteen pairs of Venetian chopines) held at Boston’s Museum of Fine Arts. Several dates and places of origin of shoes mentioned in this article have been disputed by June K. Swann, an authority of footwear history. Although this article is not always factually reliable, it speculates (among other things) about the origin of chopines, which, according to Kiernan, came from Spain and were there known as “cow’s feet” due to their hoof-like base.

      Lawner, Lynne. Lives of the Courtesans: Portraits of the Renaissance. New York: Rizzoli, 1987.

      This folio sized text contains reproductions of nearly all surviving images of courtesans, prostitutes, and paintings of Venus, the goddess of love. Lawner reproduces primary sources on courtesans including examples of their poetry, sumptuary legislation aimed at their class, and foreigner’s impressions of them upon visiting Venice. These primary sources are interpreted throughout the book between chapter-length discussions on the courtesan in Rome and Venice, the courtesan in literature, the courtesan’s image in art, and the courtesan in Venetian, French, and Northern European painting.

      Laver, James. Costume and Fashion. London: Thames and Hudson, 1969.

      Laver’s book is a concentration on the forms and materials used to make clothing throughout the ages. Laver divides his discussion of costume into categories which include male and female, fitted and draped, and tropical and arctic. He notes that clothes were first worn in Genesis by Adam and Eve for reasons of modesty, but with time became reasons in themselves for display. He states as well that ancient Greek courtesans wore extravagant, gilded footwear, the soles of which were often studded with nails leaving a footprint which literally read, “FOLLOW ME.”

      Ledger, Florence E. Put Your Foot Down. Wiltshire, U.K.: C. Venton, 1985.

      This general text covers the story of shoes from Ancient Egypt to the present, while focusing heavily on English sources. In relation to chopines, they are said to have reached Europe via the Orient by way of Venice. However, similar platform shoes are said to have been worn by tragic actors in ancient Greek drama. Ledger hypothesizes that the style could have been adopted in France by Anne of Brittany (1477-1514) to hide her limp. Generally, they were worn under long gowns and went unseen. The author also notes the difficulty encountered by Venetian ladies wearing the style since they had to climb into and out of gondolas with their stilt-like platforms.

      Mazza, Samuele. Scarperentola. Milano: Idea Books, 1993.

      This small-sized book is a collection of color photographs of sculpture based on the form of the shoe. The Italian artists who designed the photographed objects demonstrate much flexibility with regard to their various interpretations of the foot as an object aesthetically appealing in itself, independent of the idea of a shoe as an utilitarian foot covering.

      McDowell, Colin. Shoes: Fashion and Fantasy. London: Thames and Hudson, 1989.

      McDowell talks about fads in fashion, and lists the chopine as one of the earliest examples of such. McDowell claims that the chopine originated in the East, was subsequently worn by Greek actors (whose shoes were called ’cothurni,’) and later became the Venetian ’chopine.’

      Mulassano, Adriana. The Who’s Who of the Italian Fashion. Firenze: Edizioni G. Spineli & C., 1979.

      This text describes Italian high fashion, which supposedly came into existence in Florence in 1951, because of an extraordinary designer named Giorgini. The text then explores the image and careers, in alphabetical order, of forty protagonists of the ’Italian look’ which caught hold in America after 1956. Seeing many famous designers in photos reproduced here dating from the 1970s is amusing, as well as reading outdated information about their goals, ambitions, and the future of the fashion world.

      Origo, Iris. The Merchant of Prato. London: Penguin Books, 1957.

      This is a kind of ’case-study’ of the crafty merchant, Francesco Datini, of Prato. Information on the Tuscan merchant class, and on goods which circulated in and around Prato can be found here.

      Pellizzari, Piero. Multilingual Footwear Dictionary.

      Pellizzari’s dictionary includes hundreds of Western shoe-related terms, and is cross-referenced between five modern European languages.

      Pizzati, Gino, editor. I Mestieri della Moda a Venezia. Venice: Stamperia di Venezia, 1988.

      Pizzati’s is an excellent text describing the artisan and guild world relating to fashion production in Renaissance and early modern Venice. An entire section is dedicated to shoe production and repair carried out by the ’Calegheri’ and the ’Zavateri’ respectively. Numerous photographs of extraordinary chopines, zoccole, and other Venetian shoes made by masters of the craft fill these pages. Information about the guild structure, a glossary of shoe terms used in the Venetian past, sumptuary legislation relating to shoe styles, tools used by the guild, and all other relevant surviving documentation is included.

      Rosenthal, Margaret F. The Honest Courtesan: Veronica Franco, Citizen and Writer in Sixteenth-Century Venice. Chicago: University of Chicago Press, 1992.

      Rosenthal writes about the social and sexual climate in Venice before focusing her theme on the life and works of the talented courtesan, Veronica Franco. Rosenthal explains why Franco had enemies (and what they wrote about her), as well as interpreting what Franco herself wrote and published in sixteenth-century Venice.

      Ruggiero, Guido. Binding Passions: Tales of Magic, Marriage and Power at the End of the Renaissance. New York: Oxford University Press, 1993.

      This book is a collection of five tales dedicated to the kinds of people which usually go unmentioned in standard history books of the Renaissance period including: fortune tellers, courtesans and prostitutes, and practitioners of black magic.

      Ruggiero, Guido. The Boundaries of Eros: Sex Crime and Sexuality in Renaissance Venice. New York: Oxford University Press, 1985.

      This text is a helpful guide to understanding human relationships in fifteenth-century Venice by highlighting the line drawn between normal and abnormal sexuality (as determined by the ruling class).

      Ruggiero, Guido, editor. La Storia della Prostituzione. Firenze: Giunti, 1988.

      This colorful booklet gives a brief history of prostitution as well as illustrates Italian courtesan fashion. Text includes reproductions of a painting by Carpaccio, and of Vecellio’s etchings in which chopines and courtesans are present.

      Severa, Joan and Merrill Horswill. “Costume as Material Culture” in Dress: The Annual Journal of the Costume Society of America. Earlsville, MD: . Vol. 15, 1989: 51-64.

      This article is relevant to the creation of a methodology for studies pertaining to clothing as an example of material culture. The article starts by mentioning some familiar names in the field: Prown, Ames, Ferguson, Kubler, Fleming, and others. The authors note how costumes reveal information about a person’s attitudes, beliefs, and assumptions about their culture. The authors state that scholars in the field agree on the following ideas: 1) a formal study may be made of either verbal or non-verbal documents; 2) the study of objects is pursued by setting up a series of questions which can be asked of and answered by the objects themselves; 3) methodology for study must vary according to the subject matter studied, the object type, and the information one desires to extract from the material culture. Next, a detailed methodology for the study of costume is proposed, and then applied to three similar dresses from ca. 1840. For a methodology designed specifically for the study of Renaissance footwear, please see the section of this site entitled Artifact Analysis and Methodology.

      Thornton, J.H. “A Glossary of Shoe Terms” in Costume: The Journal of the Costume Society. London: Published for the Society. Vol. 11, 1977: 29-32.

      A brief yet helpful glossary for novices entering the world of shoe making and design where technical terms abound.

      Trasko, Mary. Heavenly Shoes: Extraordinary Twentieth Century Shoes. New York: Abbeyville Press, 1989.

      This text attempts at explaining the meaning of shoes on different levels. It includes numerous color pictures of shoes, especially those created by contemporary designers such as Yantourney, Ferragamo, Vivier, Perugia, Chanel, Prada, etc. Roger Vivier is quoted on footwear, which he considers to be “a sculptural problem in which the center is always void.” Another designersee them as our “spiritual contact with the earth.” Trasko herself calls shoes “capable of inspiring imaginative caprice and private longing on an extravagant and exultant scale.” Her basic thesis is that some of the greatest, most creative and inspiring designs can be found throughout history in shoe form. She also notes that for centuries women’s feet and their coverings have held an “oddly exalted position” and that psychologists maintain “a fascination with feet and shoes is the most common form of sexual fetishism in Western society.”

      Vecellio, Cesare. Vecellio’s Renaissance Costume Book: All 500 Woodcut Illustrations from the Famous Sixteenth Century Compendium of World Costume. New York: Dover Publications, 1977. (originally: Habiti Antichi et Moderni. Venice: Damian Zenaro, 1590.)

      This book is a reprint of Vecellio’s late sixteenth century fashion guide composed of ca. 500 woodcuts relating to world costume, with particular focus on the author’s native land. Being a cousin of the great painter Tiziano, Vecellio accessed the art world by creating woodcuts, which have become one of our most reliable guides to fashion of his day. Vecellio’s guide represents the century’s greatest achievement in costume anthologies and does include numerous Venetian ladies wearing chopines. Both aristocratic women as well as courtesans don the shoe style, as well as near identical hairstyles, dresses, and fans. The modern-day publisher states in the introduction, “The sixteenth century was the golden age of the costume book. The great wealth of the mercantile classes was reflected not only in conspicuous consumption, clothes being a principle article [shoes as a part of clothing can fairly be interpreted here], but also in a great wave of travel and exploration in search of markets and raw materials, with the concomitant discovery of exotic modes of dress” (p.iii) which applies wholeheartedly to the presence of the extravagantly luxurious chopines in merchant-class Venice whose journeymen returned home with an Eastern prototype.

      Villa, Nora. Le Regine della Moda. Milano: Rizzoli Editore, 1985.

      This is a general book on contemporary Italian fashion and its place in Italian life. Villa examines four dominant names of the 1980s: Laura Biagiotti, Fendi, Missoni and Krizia and discusses their ability and capacity to find the best forms for fashion design.

      Wedeck, Harry E. Pictorial History of Morals. New York: Philosophical Library, 1963.

      This is a book of moral/immoral behavior as depicted in paintings in early modern Europe. Examples include a naked woman standing next to a pair of chopines by Jacob Jordaens (1593-1678) and a newlywed bride approaching her reclining husband while delicately stepping toward him in a pair of moderately-tall, exquisite chopines, painted by Giovanni da San Giovanni.

      Wilcox, Ruth Turner. The Mode in Footwear. New York: C. Scribner’s Sons, 1948.

      This is a general book on footwear fashions from the beginning of history to the present. Although some scholars do not interpret the information in this text as factual, Wilcox’s speculation is valuable and makes one question a more narrow kind of academic research, based on often scant textual documentation. Wilcox notes anecdotes and freely gives her opinions throughout, such as, “The Greeks felt more dignified to walk barefooted in order to freely enjoy the rhythmic movement of one’s body when walking.”

      Wilson, Eunice: A History of Shoe Fashions. London: Pitman, 1969.

      This academic text on shoes is based on information taken from books, paintings, sculpture, statuary, written evidence, and focuses mainly on the Anglophone world, tracing shoe history from pre-Roman Britain to English-speaking North America. One full chapter is dedicated to chopines, and illustrations represent the different kinds of uppers and soles designed. Wilson states that chopines “restricted a woman in her walking...and this itself served as a status symbol [since servants had to accompany these women; and since these women could not do any manual labor while wearing platform shoes]; they rendered her stance unstable and therefore added to the men’s feeling of superiority.” Wilson definitely believes that chopines originated in Venice (in contradiction to Anderson’s belief that they definitely developed in Spain). Chopines were the first European heeled shoe.

      Yalom, Marilyn. A History of the Breast. New York: Alfred A. Knopf, 1997.

      This book helps one understand the importance of breasts in relation to ideas about feminine beauty in Renaissance culture (and how these ideas evolved from the concept of the breast as a sacred, life-giving organ to an erotic one). The importance of the breast in Western culture can be seen in contrast to an Eastern symbol of beauty and eroticism, the foot.

      Yriarte, Charles. La Vie d’un Patricien de Venise au XVIe siecle. Paris: J. Rothschild Editeur, 1874.

      This nineteenth-century book is dedicated to presenting the noble Barbaro clan and their estates located throughout the Veneto. While describing the family, the author sidesteps by illuminating Venetian women of the sixteenth century, the Venetian government (including the Grand Council, the Senate, the Doge), and the Ponte Rialto which served as the commercial center of the city.

      Zorzi, Alvise. Cortigiana Veneziana: Veronica Franco e i Suoi Poeti. Milano: Camunia, 1986.

      I read this book hoping to find references to what Veronica Franco (one of the most famous Venetian courtesans of sixteenth-century Venice) wore on her feet. Unfortunately, I found no such reference, but, the text helped me understand (along with Margaret F. Rosenthal’s The Honest Courtesan and Pietro Aretino’s Sei Giornate) what the life of the courtesan was like, and how it compared to that of the Venetian patrician.

    • Depuis des siècles, les hommes placent les femmes sur des piédestaux. La mode, aussi parfois jusqu’au ridicule. Au XVIe siècle, à Venise, des chaussures appelées chopines élèvent les femmes à des hauteurs atteignant 75 cm, on dit que plus une femme était noble, plus ses Chopines étaient vertigineuses. Ces plates-formes de lèges ou de bois étaient habituellement recouverte de cuir ou de velours cousu de pierres précieuses et assortis à la chaussure. Dérivée d’un style de chaussures si répandu dans l’Espagne du XVe siècle que les ressources de liège du pays furent presque épuisées, la chopine vénitienne devient le symbole même de la richesse et de l’aristocratie. Il faut l’aide de deux domestiques pour marcher dans ces chaussures ridiculement peu pratique mais qui font l’orgueil des élégantes, en dépit des moqueries des voyageurs accourant à Venise pour voir ces femmes statufiées sur leurs piédestaux.

      La mode des chopines atteint la France et l’Angleterre. Là aussi, les femmes tanguent stoïquement sur des plates-formes trop élevées pour sortir sans assistances. Ces « escabeaux », comme on les appelle alors, tombent en désuétude deux siècles plus tard, quand on découvre qu’il suffit d’abaisser l’avant de la chopine pour pouvoir marcher. Le talon est né et les talons rouges allaient remplacer les chopines dans leur fonction symbolique. Les plates-formes n’atteindront plus jamais les hauteurs de la chopine mais réapparaissent périodiquement au XXe siècle, à des intervalles de vingt ans environs.

      Les chopines furent interdites après qu’un nombre impressionnant de Vénitiennes aient été victimes de fausses couches à la suite de chutes. Dans le reste de l’Europe, la vogue continua néanmoins jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.

      Les maris vénitiens auraient imposé les chopines à leurs épouses pour les empêcher de s’égarer…

      L’église, par ailleurs peu soucieuse d’encourager les excès vestimentaires, voyait d’un bon œil le port de la chopine, en gênant le mouvement, décourageait certaines activités condamnables comme la danse.

      Surnommées « sabots de vaches » ou « gueules de bœuf », tournées en dérision par les contemporains, les chopines peuvent se classer parmi les monstruosités de la chaussure.

      Dans l’Angleterre du XVIe siècle, un mariage pouvait être annulé si la fiancée avait triché sur sa taille en portant des chopines.

      http://www3.sympatico.ca/blackpearl/italie.html

    • Impossible de retrouvé ce « suspenseur de princesse de venise » dont M.Debord mon prof de morphologie m’avait parlé et montré une diapo aux beaux-arts.
      Je sais pas si tu connais cet objet @simplicissimus mais voici un dessin que j’ai fait de mémoire de la chose


      C’etait en bois tourné avec un aspect assez fragile et instable avec des petites roulettes qui devaient pas être très efficaces pour se déplacé. Les pieds de la princesse étaient sensé flotté dans le vide.
      Ca semble être un objet unique, seule la princesse de venise avait droit à ce suspenseur. Ca devait être pratique à Venise entre les pavés et les gondoles !

      Sinon pour les chopines le mot viens du nom vénitien de ces plat-formes - « zoppieggi ».

  • Bonne présentation - CQFD
    http://cqfd-journal.org/Bonne-presentation

    L’autre jour, je suis entrée dans un magasin spécialisé dans les vêtements professionnels. Depuis que je suis serveuse en extra dans les restaurants, je me cherche des chaussures dans lesquelles je pourrais rester sept heures de suite sans avoir les pieds qui explosent. Le vendeur m’amène devant un rayon « service ». Là, pour les femmes, il n’y a que des chaussures à talons. Je lui dis : « Vous n’avez pas des chaussures plates ? Avec les talons, j’aurai trop mal au dos en fin de service. » Il me répond : « Ah ben non, vous savez, les chaussures plates, ce n’est pas conseillé si vous voulez avoir une bonne présentation… »

    #talons #travail #féminité

  • Pour ou contre les talons pour petites filles ? - L’Express
    http://www.lexpress.fr/styles/mode/pour-ou-contre-les-talons-pour-petites-filles_1271352.html

    Selon une étude publiée dans le New York Times, de plus en plus de fillettes réclameraient à leurs parents des chaussures à talons pour copier le style de leurs stars préférées. Au départ réservée à une élite d’enfants de célébrités (Beyoncé a récemment offert une paire de Louboutin et de Tom Ford sur-mesure à Blue Ivy, sa fille de 18 mois), l’étrange tendance se démocratise et s’étend aux rayons enfants des marques de prêt-à-porter.

    Un mouvement en partie lancé par Suri Cruise, sept ans, la fille de Katie Holmes et Tom Cruise, qui arbore depuis ses trois ans une impressionnante collection d’escarpins et autres chaussures compensées.

    L’analyste américain Marshal Cohen, du cabinet d’études de marché new-yorkais NPD group, explique que les petites filles veulent de plus en plus ressembler à leur maman, qui les laissent faire leurs propres choix vestimentaires.

    « Les pieds des enfants n’attendent pas la fin de la crise », ironise-t-il. D’après les statistiques, les achats de chaussures à talons pour petites filles auraient augmenté de 9% l’an dernier, après une hausse de 5% l’année précédente.

    #talons

  • Des hommes en talons aiguilles pour la bonne cause
    http://french.peopledaily.com.cn/Photos/7970684.html

    « Un millier d’hommes en talons hauts », l’événement annuel canadien organisé par la Campagne du ruban blanc (CRB) est une marche internationale pour mettre fin aux agressions à caractère sexuel et à la violence faite aux femmes et qui a réuni près d’un millier hommes et de jeunes garçons sur un parcours de 1.6 km.

    #talons #WhiteRibbon #RubanBlanc

  • Les gnanganteries de « Marie-Claire » - Olympe et le plafond de verre
    http://blog.plafonddeverre.fr/post/Les-gnanganteries-de-Marie-Claire

    Marie-Claire (le magazine) a trouvé 8 hommes célèbres pour s’engager contre le sexisme.

    Il semblerait que de nos jours lutter contre le sexisme signifie : 1/ s’indigner de constater qu’existent encore des inégalités importantes 2/ marchez aux cotés des femmes dans la lutte contre les inégalités et pour cela chausser des talons « symboles de l’ultra féminité » (c’est la directrice de la rédaction qui le dit)

    Le tout sponsorisé par Sarenza comme il se doit (Sarenza, la marque qui a organisé à plusieurs reprises une course en escarpins)

    #femmes #presse_féminine #sexisme #talons

    • C’est pas ce que j’appellerais des gnangnanteries, mais bien du sexisme carracterisé de la part de Marie-claire. Je suis d’ailleurs certaine que ce torchon compte sur les féministes pour faire le buzz autour de leur réclame pour les escarpins. Ça me fait le même effet que si pour la journée international de lutte contre le racisme, minute faisait des photos de 8 blancs en pagne et leur demandait des anecdotes sur les noirs qu’ils connaissent.

    • Mais je doute qu’en mettant des talons le temps d’une photo un homme puisse changer sa vision du monde (même si certains ont remarqué que c’était difficile de se déplacer avec).

      Pour moi, ça a marché, vraiment. Mais c’était pas le temps d’une photo, c’était plus long... D’abord content d’être plus grand de quelques centimètres, j’ai vite compris l’entrave que c’est sur quelques centaines de mètres...

      Demandons leur plutôt ce que ça fait d’être un homme, de relire les contes de leurs enfance ou de regarder la télé en pointant ce qu’ils y ont appris du masculin et du féminin, de faire attention à ce que leurs enfants lisent, de chronométrer les temps de paroles de chacun en réunion etc...

      Très bonne idée !

  • From Manly to Sexy: The History of the High Heel - Sociological Images
    http://thesocietypages.org/socimages/2013/02/05/from-manly-to-sexy-the-history-of-the-high-heel

    http://static.thesocietypages.org/socimages/files/2013/01/Screenshot_6.png

    Why do women wear high heels? Because men did.

    Men were the first sex to don the shoe. They were adopted by the European aristocracy of the 1600s as a signal of status. The logic was: only someone who didn’t have to work could possibly go around in such impractical footwear. (Interestingly, this was the same logic that encouraged footbinding in China.)

    #talons #femmes #mode

  • Les pétasses, l’abêtissement et les éditeurs – Des croûtes aux coins des yeux (août 2011)
    http://tanxxx.free-h.fr/bloug/archives/4961

    Si j’ai des héroïnes, elles sont comme Louise Michel, ou Frida Kahlo, ou une de ces chieuses comme les cons aiment appeler les femmes qui se laissent pas monter sur les pieds par eux.

    Bon, tout le monde ne peut pas être Louise Michel, je vous le concède. Mais entre Louise Michel et Pénélope Bagieu, il y a tout de même un putain de monde, bordel, alors pourquoi les éditeurs s’acharnent-ils à publier des greluches décervelées qui causent de leur dernière jupe à la con ? ça fait un sacré bout de temps que je fulmine en voyant la énième coconne à sortir un bouquin sur ses talons et ses recettes de cupcakes dont tout le monde se branle. Aujourd’hui, ça a été la goutte d’eau, à la lecture de cette chronique merdique à propos de cette daube infâme. Et quand on lit ce genre d’horreur, je suis désolée, je peux pas rester là à rien faire, les bras ballants, abasourdie par tant de connerie. T’uses pas avec ces trucs, me dit-on, mais MERDE.

    #femmes #bd

    • Sur mon supposé saphisme > on me le dit très souvent, voir à chaque fois, ou on me le fait comprendre, que je « suis lesbienne ». Parce que oui, certes, je n’ai pas l’allure d’une pin up, je me conduis en garçon manqué, je jure comme une charretière, je bois de la bière par litres. Et je gueule, surtout, c’est ce qui fait dire à un paquet de gens que je dois « être de l’autre bord ». Imaginez un peu ce que ça sous entend : une vraie femme ferme sa gueule, une lesbienne n’est pas une vraie femme, une femme doit se comporter comme l’image d’épinal qu’on a de la femme, si tu prends pas particulièrement soin de toi, t’es pas une femme, etc, etc. Les gens ne se rendent même plus compte qu’en réfléchissant avec de si gros raccourcis, ils continuent à véhiculer d’énormes clichés sexistes et homophobes de surcroit. Et ça vient parfois, assez souvent même, de personnes qu’on ne soupçonnerait pas être aussi manichéennes.
      Attention, femme qui ouvre ta bouche : tu es lesbienne ou moche ou vieille fille. Une femme canon et hétéro n’a jamais à se plaindre de son sort, puisqu’elle vit avec un homme (le bonheur !) et elle est joli (la chance !), et que ça suffit pour avoir une vie de femme bien remplie.

    • C’est ce que je dis : en fait de modernité et de liberté, notre société ne sécrète plus que des normes archaïques et impératives, qui nous limite à quels archétypes antédiluviens. On est sommés de rentrer dans les petites cases, de ne pas avoir une idée ou un poil qui dépasse sous peine d’excommunication immédiate.
      Je trouve ce conformisme totalitaire absolument insupportable.

  • Opération « Investissez dans des fringues chères pour être une winneuse » sur le blog de Garance Doré
    http://www.garancedore.fr/2012/10/23/9-to-5

    Quelques mois plus tard, dèj avec Rihanna. Elle a changé de job, elle est radieuse, et elle est super bien sapée – mais genre super, super bien sapée, la fille sur mon dessin, quoi – la counasse !

    Je la couvre de compliments, et elle me dit :

    “Non, mais j’ai écouté tes conseils, et tu sais quoi, je ne me suis même pas vraiment ruinée. J’ai acheté quelques pièces… Et arrangé un peu ma façon de me coiffer et de me maquiller. J’ai décidé de jouer le jeu, quoi.

    Et, en quelques semaines, tout a changé. C’est comme si les gens, voyant que je prenais du temps pour prendre soin de moi, étaient prêts à me donner plus de leur temps… Et j’ai même changé de job, certainement grâce à ça.

    Et le pire du pire de l’ironie, tu sais ce que c’est ? Maintenant, je bosse dans une maison où j’ai un budget fringues. Je n’ai même pas eu à le demander… Je peux même emprunter des fringues quand j’en ai besoin ! ”

    Florilège de réactions à ce post le lendemain :
    http://www.garancedore.fr/2012/10/24/on-9-to-5

    Je suis journaliste et si j’ai toujours aimé les vêtements, je n’en ai pas toujours eu les moyens. Mais par contre, j’ai très vite compris combien cela importait dans une carrière. J’ai donc patiemment investi dans ma garde robe de grandes marques : “Dress for the job you want”. Cela contribue toujours largement à mes promotions et mes différents rédacteurs en chef ne s’en cachent pas. Mes capacités ne sont pas remises en cause mais mon style me distingue et signifie pour mes employeurs : elle est capable de plus, elle peut incarner notre rédaction à l’antenne ou lors de conférences.

    Drôle de mélange - des idées défendables (s’habiller bien par plaisir et par politesse envers les autres, la médecin qui reste en jean et baskets pour moins intimider ses patients), et des gros clichés sur le lien entre réussite et apparence pour les femmes, sans compter la promotion d’une féminité caricaturale avec talons obligatoires.

    Surtout, la justification de dépenses élevées par la notion d’"investissement" est irrecevable dans une société de consommation, où tout est mis en œuvre pour qu’une tentation chasse l’autre à un rythme effréné. On pourrait assumer la dépense somptuaire pour elle-même, mais elle aussi est illusoire dans un système où la manipulation publicitaire est omniprésente et rend un choix « libre » à peu près impossible.

    En tout cas on peut se demander si ce n’est pas le genre de philosophie qui mène à la case « surendettement » beaucoup plus sûrement qu’à la case « job de rêve ».

    #mode #femmes #féminité #travail #talons

  • The Scariest Shoes of All Time
    http://shine.yahoo.com/the-thread-how-to/scariest-shoes-time-173900092.html

    via @anti_sexism sur Twitter

    We’ve seen many ugly shoes in our day, but a new pair dubbed “Scary Beautiful” is definitely the most treacherous footwear we’ve ever seen. The massive heels appear backwards on the foot, so the wearers feet point straight down the back, as if in ballet shoes, with their shin leaning against the front “heel” end of the design to balance. The shoes are a collaboration between artist Leanie van der Vyver and Dutch shoe designer René van den Berg, and serve as a commentary on today’s impossible standards of beauty.

    #talons

  • Talons
    http://hyperbate.fr/voir/2012/07/04/talons

    On voit tout de suite que le corps change complètement de forme. Les jambes se tendent et se galbent, les fesses remontent, le dos et le ventre se creusent, la cage thoracique part en arrière, faisant pointer les seins vers le haut. Cela ne se voit pas sur la photo, mais le port de tête change aussi et devient plus altier.

    En dehors du maintien, on remarque que tous les caractères féminins sont exacerbés : taille, poitrine, hanches, fesses. J’ai tenté de le montrer par le dessin. Le résultat est approximatif mais on voit que les directions du corps sont modifiées et provoquent une attitude de séduction, de tension musculaire et de dynamisme.

    (Ne pas manquer la photo d’Isadora Duncan dans le forum)

    #talons #féminité