Et ce n’est pas de la pulpe-fiction... #musique #tarantino ▻https://youtu.be/73jJLspL8o8
Et ce n’est pas de la pulpe-fiction... #musique #tarantino ▻https://youtu.be/73jJLspL8o8
Kill Bill est-il un film féministe ? – ex cursus
▻https://excursusblog.wordpress.com/2018/01/25/kill-bill-est-il-un-film-feministe/#more-2620
Poser la question du féminisme éventuel de Kill Bill, rare film d’action à avoir une femme pour protagoniste, n’est pas peu courant. Les principaux arguments sont souvent les mêmes : Kill Bill est un film qui met en scène le girl power et l’empowerment. Quentin Tarantino serait ainsi un féministe d’une espèce quelque peu particulière : un féministe que les féministes n’aimeraient pas – alors que le film n’est, finalement, pas si mentionné que cela par la communauté. Ce serait la violence et la masculinité du personnage féminin qui, croit-on savoir, poseraient problème au féminisme ; il s’agirait plus, comme le démontre l’article de Maxime Cervulle pour Nouvelles Questions féministes, de voir s’affronter postféminisme et féminisme, notamment autour de la question du male gaze et du slasher. Si le slasher me paraît bien un genre intrinsèquement lié à l’objectivation du corps féminin au profit du male gaze, comme le montrent, parfois malgré eux, les différents opus de Scream, je pense néanmoins que le genre peut aussi être retourné, quasi depuis ses origines, par l’originalité de sa cinématographie, comme le montre Halloween. Il faut donc revoir le film.
Au contraire, en réclamant un postféminisme individualiste fondé sur une violence féministe aussi fantasmé qu’inatteignable – qui survit à tout cela ? –, le film renvoie les femmes à un double standard de maternité et de violence, de force, de confiance et d’humilité dans un même temps. La jouissance que l’on peut éprouver, en tant que femme, à s’imaginer capable d’une telle vengeance trop souvent désirée, anesthésie les capacités politiques sans remettre en question les fondements du patriarcat, responsable de féminicides sans esthétisation.
Quentin Tarantino alimente-t-il la culture du viol? | Slate.fr
▻http://www.slate.fr/story/112509/tarantino-culture-viol
Une scène de récit de viol dans « Les Huit Salopards » relance le débat autour de la complaisance du cinéaste américain pour ce type de violence. Une polémique complexe, mais nécessaire.
Plus interessant que cet article celui ci est mentionné sur slate :
Quentin Tarantino et le (post)féminisme. Politiques du genre dans Boulevard de la mort
par Maxime Cervulle
▻http://www.cairn.info/revue-nouvelles-questions-feministes-2009-1-page-35.htm
il y a aussi celui ci sur @le_cinema_est
Deathproof & Django Unchained : Tarantino, ou le Boulevard du mépris
►http://www.lecinemaestpolitique.fr/deathproof-2007-django-unchained-2012-tarantino-ou-le-boulevard
et celui ci en anglais sur le Mail & Guardian :
Tarantino’s rape fantasy
▻http://mg.co.za/article/2008-02-15-tarantinos-rape-fantasy
« Les 8 Salopards » : #Tarantino et le sang de l’Histoire
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/060116/les-8-salopards-tarantino-et-le-sang-de-lhistoire
Kurt Russel et Jennifer Jason Leigh. Huit hommes contraints par le froid de partager le même espace. Au milieu d’eux, une femme qu’on s’apprête à pendre. Le deuxième western de Quentin Tarantino ne ressemble pas au premier, Django Unchained : c’est son film le plus noir et le plus négateur, celui aussi où la répétition de sa manière prête le plus à malentendu.
« Les Huit Salopards » : Quentin #Tarantino et le sang de l’Histoire
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/060116/les-huit-salopards-quentin-tarantino-et-le-sang-de-lhistoire
Kurt Russell et Jennifer Jason Leigh Huit hommes contraints par le froid de partager le même espace. Au milieu d’eux, une femme qu’on s’apprête à pendre. Le deuxième western de Quentin Tarantino ne ressemble pas au premier, Django Unchained : c’est son film le plus noir et le plus négateur, celui aussi où la répétition de sa manière peut sans doute aussi prêter le plus à malentendu.
LAPD backs NYPD boycott of Quentin #Tarantino films
▻http://www.msnbc.com/msnbc/lapd-backs-nypd-boycott-quentin-tarantino-films
▻http://www.msnbc.com/sites/msnbc/files/styles/ratio--3-2--1_5x-1245x830/public/ap192379229439_copy_0.jpg?itok=F9M0Lj1M
The Los Angeles Police Protective League has come out in support of a call for a boycott of the “Pulp Fiction” director’s films after he appeared in an anti-police brutality protest organized by RiseUpOctober on Saturday in New York City. “I’m a human being with a conscience,” he said at the time. “If you believe there’s murder going on then you need to rise up and stand up against it. I’m here to say I’m on the side of the murdered.”
Tarantino’s use of the word “murder” led to a backlash from the New York Benevolent Association. “It’s no surprise that someone who makes a living glorifying crime and violence is a cop-hater, too,” Patrick J. Lynch, the union’s president, said in a statement this past weekend. He went on to call for New Yorkers to avoid buying tickets to Tarantino films.
#Etats-Unis. La #police veut boycotter les #films de #Tarantino | Courrier international
▻http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-la-police-veut-boycotter-les-films-de-tarantino
Pulp Fiction in Chronological Order | Visual.ly
▻http://visual.ly/pulp-fiction-chronological-order
Si tu t’es toujours égaré dans le récit « déconstructiviste » du film, voilà un cheat-sheet pour en sortir.
Mort de Rémi Fraisse : l’État à l’épreuve - La Vie des idées
►http://www.laviedesidees.fr/Mort-de-Remi-Fraisse-l-Etat-a-l.html
À mes yeux, c’est donc moins un saut qualitatif dans l’usage de la violence protestataire qui explique la débauche de force par les pouvoirs publics, que le rapport des protestataires au politique et leur appropriation de la durée.
J’améliore mon Francais (sans cédille) á l’aide de #seenthis :
grenade à main de désencerclement
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenade_de_d%C3%A9sencerclement
Ces grenades, aussi nommées « Hornet’s Nest » (Nid de frelon) dans les pays anglophones, sont basées sur le fonctionnement des grenades à fragmentation. Cependant, au lieu de contenir une coque de métal destinée à exploser en shrapnel, elles contiennent du caoutchouc dur. A l’explosion, elles projettent des billes de caoutchouc afin d’étourdir les personnes présentes dans son champ d’action.
Hornets’ Nest
▻http://en.wikipedia.org/wiki/Hornet%27s_Nest
In Northern Italy in 1944, the entire population of the village of Reanoto is massacred by the SS under the command of the cruel Sturmbannführer Taussig (Jacques Sernas) for helping the Italian resistance movement. The only survivors are a group of young boys in ages from 7 to 14 led by Aldo (Mark Colleano, son of Bonar Colleano and Susan Shaw[1]) who witness the mass execution and vow revenge.
...
Ah, te revoilà cher Quentin ...
▻http://en.wikipedia.org/wiki/Aldo_Raine
Inglourious Basterds (2009) is a German-American[2][3][4] war film written and directed by Quentin Tarantino and starring Brad Pitt, Christoph Waltz, Mélanie Laurent, Michael Fassbender, Eli Roth and Diane Kruger. The film tells the fictional alternate history story of two plots to assassinate Nazi Germany’s political leadership, one planned by a young French Jewish cinema proprietor (Laurent), and the other by a team of Jewish-American soldiers led by First Lieutenant Aldo Raine (Pitt).
Conclusion : les policiers en service au barrage de Sivens se croyaient-ils en face d’hordes SS camouflées ... ?
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Barrage_de_Sivens
#film #linguistique #tarantino
Comme quoi aujourd’hui l’apprentissage du #Francais (sans cédille) passerait-t-il par la maîtrise de l’Anglais ?
Revue de presse sur la #Chine semaine du 29.04.13
Django Unchained sortira finalement bien en Chine
Quasiment quatre mois après la sortie française de #Django-Unchained, le long-métrage de Quentin #Tarantino n’est toujours pas diffusé en Chine. Après avoir dû passer par la case #censure, le film devait être projeté dans les cinémas du pays le 11 avril. Mais le jour de la sortie, surprise, le #western avait été retiré des salles au dernier moment en laissant les spectateurs totalement stupéfaits.
ENFIN !
▻http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Django-Unchained-sortira-finalement-bien-en-Chine-3746201
All the Deaths in Quentin Tarantino’s Movies, Charted | Vanity Fair
▻http://www.vanityfair.com/hollywood/2013/02/quentin-tarantino-deaths-movies
Ratatiner Tarantino - Cause toujours !
▻http://grosse.fatigue.free.fr/causetoujours/spip.php?article174
Pour travestir l’histoire au nom d’une forme esthétique de la liberté d’auteur, il faut être américain. Et Tarantino est le pire de l’Amérique : on l’aime.
(...)
Il est interdit de détester Tarantino, parce que c’est une icône, un style, c’est un type unique. On le reconnaît entre mille. En cela, on croit qu’il est universel alors que c’est sa seule spécificité : faire sans cesse le même film à grosses ficelles, hémoglobine et démagogie.
Edit : tarentino->tarantino
C’est un peu à la mode de lui tomber dessus, en ce moment, et par ailleurs, il s’écrit « Tarantino ».
Passé la sidération, l’intellect revient. Ça t’étonne ?
Depuis Kill Bill (premier opus), je suis à la mode.
Putain Tarantino ! L’écrire avec un « e », mais j’ai honte !
Ça faisait comme « tarentule ». Y-a aussi les gens qui écrivent « Mélanchon » pour « Mélenchon ». Mais c’est dans un autre domaine. Et là pas d’arachnide pour tenter une explication subliminale...
Bon, une fois n’est pas coutume, je suis allé voir aussi le dernier #film de #Tarantino. Mais j’y allais explicitement pour ne penser à rien et voir du sang, comme regarder un film catastrophe un dimanche soir. J’ai jamais été fan de ce qu’il fait. C’était évidemment pas un film « génial », mais c’était amusant tous ces nègres en sang (HAHAHA facho !) et ça a rempli le rôle que je voulais. Ouais, merde, on peut pas regarder que des films excellent tout le temps, hein.
C’est bien ça : une longue excuse esthétisante pour montrer des gens se faire massacrer. Quoi d’autre ?
Voici quelque chose d’autre sur Django : ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/quelques-reflexions-sur-django-unchained
Kill Bill vu comme un mashup :
►http://vimeo.com/19469447
C’est une vidéo consacrée spécifiquement à Kill Bill, en marge du documentaire Everything Is A Remix :
►http://www.everythingisaremix.info
Exactement. Je référence d’ailleurs cette vidéo consacrée à Kill Bill plutôt que les deux « Everyting Is a Remix » eux-mêmes, parce que je trouve leur démonstration très légère (notamment : tu prends quelques films emblématiques de la culture mashup, dont Tarantino, pour conclure que « tout est remix »). Alors que le travail sur Kill Bill est nickel et sans « démonstration ».
Juste le plaisir de cinéphile de trouver les références aux films de genre de Tarantino (c’est important, dans ses films). Comme quand j’ai découvert The Lions and the Cucumber tiré du Vampiros Lesbos de Jess Franco dans la bande son de Jackie Brown. Après, un copain m’a dit qu’il croisait de temps en temps Tarantino à Paris à la séance Bis de la Cinémathèque. J’aime l’idée que le gars est un authentique fan de cinéma de genre européen et asiatique, et un véritable esthète de la série B bien barrée.
Bon, OK, le Jess Franco (#cinéma_barré), sa bande annonce allemande est en ligne, alors faut pas se priver :