• Armés de cônes de chantier, des militants bloquent les robots-taxis lessentiel.lu
    La ville de San Francisco s’oppose à l’État de Californie, qui pourrait autoriser les taxis autonomes à étendre leurs services, sur fond de militants qui ciblent ces robots-taxis. 

    Dans l’obscurité de San Francisco, un taxi sans chauffeur ralentit face à des silhouettes masquées qui l’encerclent, tel un animal traqué. L’un des hommes pose un cône sur le capot : interloquée, la voiture autonome allume ses feux de détresse et s’arrête en pleine voie. Cette semaine, ce curieux manège s’est reproduit des dizaines de fois dans la capitale de la tech. Un groupe de militants s’amuse à désactiver les robots-taxis la nuit pour protester contre leur prolifération, source de frictions entre l’État californien et les élus locaux.


    Des militants de Safe Street Rebel immobilisent un taxi autonome grâce à des cônes de chantier, à San Francisco le 11 juillet 2023. 

    « Nous pensons que toutes les voitures sont mauvaises, peu importe qui ou quoi conduit », balance à l’AFP Alex (prénom modifié), un idéaliste du collectif Safe Street Rebel, radicalement pro-piéton et pro-vélo. Pour lui, ce véhicule futuriste n’est « pas un nouveau mode de transport révolutionnaire », tout juste « un autre moyen d’asseoir la domination de la voiture ».

    Avec de simples cônes de chantier, le groupe arrive à immobiliser pendant de longues minutes les robots-taxis de Waymo et Cruise, les deux opérateurs autorisés à San Francisco, jusqu’à l’intervention d’un technicien. Leur action cumule des millions de vues sur les réseaux sociaux et attise la polémique, au moment-même où la Californie envisage d’autoriser ces entreprises à proposer un service payant dans la ville, 24 heures sur 24.

    Multiplication d’incidents
    La California Public Utilities Commission (CPUC), chargée de superviser les véhicules autonomes, pourrait prochainement permettre à Waymo et Cruise d’étendre leurs services. Elles fonctionneraient alors comme les applications Uber ou Lyft, mais sans chauffeurs. Une perspective qui fait grincer la municipalité. San Francisco a beau être le berceau des voitures autonomes – les premières ont commencé à y circuler dès 2014 avec un chauffeur « de sécurité » –, elle s’inquiète de la multiplication des incidents impliquant des robots-taxis. 

    Depuis un an, leur expérimentation ne requiert plus d’avoir un humain derrière le volant en cas d’imprévu. Croiser une Jaguar sans personne au volant fait partie du quotidien, pas de la science-fiction. La robotisation totale de l’expérimentation s’accompagne de désagréments. Voitures arrêtées sur la route, qui bloquent la file de bus ou s’incrustent sur une scène de crime face à des policiers irrités : les véhicules de Cruise et Waymo sont pointés du doigt, même si aucun accident fatal pour les humains n’a été répertorié.

    « Décision hâtive » 
    Début juin, un robot-taxi de Waymo a percuté un chien surgissant brusquement dans la rue. L’animal est mort. Quelques jours plus tard, un membre du conseil municipal de San Francisco, Aaron Peskin, a dénoncé « la décision hâtive de la CPUC d’autoriser une augmentation massive de la circulation (des robots-taxis) dans nos rues. » La ville s’oppose à l’État de Californie, seul décideur. Cet hiver, l’autorité des transports du comté de San Francisco a envoyé une lettre à la CPUC répertoriant 92 arrêts intempestifs de voitures autonomes.

    La polémique semble prendre : la CPUC, qui devait autoriser fin juin Waymo et Cruise à étendre leurs services, a reporté par deux fois sa décision, désormais attendue le 10 août. Actuellement, Cruise n’a le droit de faire payer ses courses qu’entre 22h et 6h du matin. Waymo ne peut pas facturer sans humain derrière le volant. Sous ce régime expérimental, les deux entreprises ont toutefois fidélisé des clients.

    La sécurité en débat
    Jaeden Sterling embarque ainsi quotidiennement à bord d’un robot-taxi. « Je les utilise surtout pour des raisons de commodité et de sécurité », raconte ce jeune homme de 18 ans. Depuis la banquette arrière d’une voiture Waymo, il surveille sur un écran les véhicules, piétons, et autres cyclistes détectés en temps réel par le logiciel. Cela lui inspire davantage confiance que la conduite « dangereuse » de nombreux chauffeurs VTC qui « sont pressés, car leur salaire est basé sur le nombre de courses qu’ils prennent. »

    Les arrêts intempestifs des véhicules autonomes lui apparaissent plutôt comme un gage de prudence. La sécurité est d’ailleurs l’argument principal martelé par Waymo et Cruise. Les robots-taxis de Waymo ont parcouru « plus d’un million de kilomètres » sans « aucune collision impliquant des piétons ou des cyclistes », rappelle ainsi l’entreprise à l’AFP. Quant aux collisions avec des véhicules, elles « impliquaient des violations des règles ou un comportement dangereux de la part des conducteurs humains. »

    Mais certains habitants restent méfiants. « Même si elles étaient vraiment plus sûres, quelle est la garantie qu’un bug vraiment dangereux n’apparaisse pas en production la semaine prochaine ? », s’interroge Cyrus Hall, 43 ans. Pour cet ingénieur informatique, les incidents actuels sont trop importants pour être ignorés. D’autant que San Francisco sert d’exemple, dans un pays où les voitures autonomes débarquent désormais à Los Angeles, Phoenix ou Austin. « Si elles sont autorisées à devenir un business à part entière, la bataille sera beaucoup plus difficile que de s’assurer d’avoir un bon cadre réglementaire dès maintenant », insiste-t-il. 

    #californie #activisme #voitures_autonomes #taxis #VTC

    Source : https://www.lessentiel.lu/fr/story/robots-taxis-586078186082

  • Parlamentarischer Abend des Bundesverbands: „Taxi-Branche braucht nicht nur Gesetz, sondern auch dessen Umsetzung!“ – Bundesverband Taxi und Mietwagen e.V.
    https://bundesverband.taxi/parlamentarischer-abend-des-bundesverbands-taxi-branche-braucht-nich

    3.7.2023 - Berlin. Auf dem Parlamentarischen Abend des Bundesverbands Taxi und Mietwagen am 22.Juni in Berlin debattierten die drei Verkehrspolitiker Martin Kröber (#SPD), Jürgen Lenders (#FDP) und Stefan Gelbhaar (#Bündnis90-Grüne) über die fehlende Umsetzung der Novelle des Personenbeförderungsgesetzes. Zudem gab es drei Schwerpunktthemen die von Bundesvizepräsidenten Hermann Waldner sowie die beiden Vorstandsmitglieder Bärbel von Teuffel und Gregor Beiner durch einen Impulsvortrag in die Podiumsdiskussion getragen wurden: Die ungleichen Bedingungen für Taxis und Mietwagen, Mobilität im ländlichen Raum sowie die fehlende Förderung der E-Mobilität für die hellelfenbeinfarbene Flotte.

    Gibt es das Taxi in einigen Jahren überhaupt noch?

    Bundesverband-Vizepräsident Hermann Waldner, zugleich auch Geschäftsführer von Taxi Berlin, kennt das Gewerbe wie seine Westentasche. Begonnen hat der Baden-Württemberger einst als Taxifahrer im geteilten Berlin, um sein Studium zu finanzieren. Mit unternehmerischem Können, mit viel Mut, Geschick und Engagement sowie mit noch mehr Arbeit hat er in den vergangenen Jahrzehnten am Erfolg des Taxigewerbes mitgearbeitet. Wer ihn jedoch heute trifft, bemerkt immer öfter Sorgenfalten in seinem Gesicht. Auf der Podiumsdiskussion stellte er eine Grafik vor. Der gelbe Balken symbolisiert die Taxibranche – und geht gen Null! Eine schwarze Linie in dieser Grafik zeigt kontinuierlich nach oben, sie zeigt die Zahl der Mietwagen auf Berlins Straßen. Waldners Fazit: „Wir haben für die Rückkehrpflicht für auftragslose Mietwagen gekämpft, sie steht auch in der Novelle des Personenbeförderungsgesetzes. Aber sie wird nicht umgesetzt!“ Denn müssten die Kunden auch nur 15 oder 30 Minuten auf einen Mietwagen warten, weil der dann erst nach Auftragseinsatz an seinem Betriebssitz losfahren dürfte, wären dem Taxi 80 Prozent mehr Kunden sicher. „Das Ding ist nicht zu Ende“, sagte Stefan Gelbhaar weiter mit Blick auf die PBefG-Novelle und bekam dafür Applaus. Bundesverbands-Präsident Herwig Kollar machte auf dem Podium deutlich: „Ist denn Disruption im Bereich der Daseinsvorsorge aus staatlicher Sicht und aus Sicht der Verbraucher überhaupt wünschenswert? Da habe ich meine großen Zweifel!“ In Deutschland werde über Lieferkettengesetze diskutiert, es gehe die Sorge um ein vernünftiges Auskommen der Menschen in Entwicklungsländern um. „Aber Verstöße gegen den Mindestlohn hierzulande werden nicht geahndet“, so die ernüchternde Bilanz.

    Wie komme ich vom Dorf in die Stadt?

    Ein altes Lied ist die Mobilität im ländlichen Raum. Aber dieses Lied wird immer weiter gespielt werden (müssen), wenn der Bus nur zweimal am Tag und am Wochenende gar nicht fährt. Bärbel von Teuffel, Unternehmerin aus dem Südschwarzwald und Bundesverbands-Vorständin, erklärte ihr Geschäft: „Wir machen alles – wie in einem Bauchladen. Schülerfahrten, Dialysepatienten und Inklusionstaxis. Auf uns ist Verlass, wir kommen! Aber wir sind das einzige Verkehrsmittel im ÖPNV, das sich ausschließlich aus Fahrgasteinnahmen speist“. Allerdings bei rasant steigenden Kosten durch Treibstoff, Mindestlohn, Versicherungen oder schlichtweg Inflation brauche das Taxi Unterstützung, schließlich könnten die Tarife nicht einfach in der Höhe angepasst werden. “Wir brauchen klare Richtlinien”, schlussfolgerte SPD-Mann Martin Kröber. “Das Taxi ist der Schlüssel zu barrierefreier Mobilität für alle. Ich komme von mir zu Hause auch nicht mit dem ÖPNV ins nächste Krankenhaus. Ich kann auch nicht für alles einen Krankenwagen rufen“, sagte Kröber und formulierte im schönsten Politsprech: „Wir müssen jetzt genau definieren und dann müssen wir es finanziell vernünftig ausgestalten“. Übrigens: Finanziell vernünftig heißt aus Sicht des Genossen, hier sei nicht nur der Bund gefragt, sondern auch die Kommunen. „Die sind auch nicht so pleite, wie sie immer sagen…“

    Saubere Mobilität – mit Strom von Tür zu Tür

    Gregor Beiner kann trotz seiner jungen Jahre durchaus als der „Godfather of E-Mobility“ in Deutschland bezeichnet werden. Denn der Taxiunternehmer aus München hat sich schon lange dem Thema verschrieben und ist mit einer respektablen Stromer-Flotte in Bayerns Landeshauptstadt unterwegs. „Alle sind sich einig: E-Taxis sind sauber, ökologisch und absolute Multiplikatoren. Aber auf dem Weg zu umweltfreundlicher Mobilität wird das Taxi leider allein gelassen“, konstatierte Beiner, der auch Vorstandsmitglied im Bundesverband ist. Der Bundesfahrplan e-Taxi, den der Verband aufgestellt hat, ist auch auf offene Ohren im Bundesverkehrsministerium gestoßen. Allerdings ruht der See seither still. Während Busbetreiber bis zu 80 Prozent Förderung für elektrische Busse erhalten, geht die Taxi- und Mietwagenbranche leer aus. Jürgen Lenders, für die Liberalen im Bundestag, sieht allerdings wenig Chancen auf finanzielle Unterstützung aus dem Bundeshaushalt: „Ich glaube, es ist nicht so richtig klug, auf diese Förderungen zu warten. Es handelt sich meist um eine Drittel-Finanzierung, bei der der Bund eben nur ein Drittel trage.“ Und Lenders warb noch einmal für die Idee der synthetischen Kraftstoffe, denn damit könnten auch Verbrenner klimaneutral fahren. Ein Vorteil für die Bestandsflotte.

    Das Fazit dieser Debatte: Der Taxi- und Mietwagenbranche brennen viele Themen unter den Nägeln und die Zeit drängt, dagegen sind die Lösung nicht immer einfach. Der Bundesverband wird weiter für seine Mitglieder kämpfen, damit sie auf deutscher und europäischer Ebene Gehör finden.

    #Taxi #Uber #Deutschland #Politik #Mindestlohn #Personenbeförderungsgesetz

  • Fachkunde: Gestaltung der Online-Prüfung ist völlig offen - Personenbeförderungsrecht (auch PBefG), Taxifahrer | News | taxi heute - das unabhängige und bundesweite Taxi-Magazin - das unabhängige, bundesweite Taxi-Magazin
    https://www.taxi-heute.de/de/news/personenbefoerderungsrecht-auch-pbefg-taxifahrer_fachkunde-gestaltung-der

    30.03.2023 - Die Ausgestaltung der von den Verkehrsministern am 23. März beschlossenen Online-Prüfung für den Erwerb des sogenannten Kleinen Fachkundenachweises wird kaum vor Herbst 2023 feststehen.

    Wie aus Teilnehmerkreisen der Verkehrsministerkonferenz zu hören war, musste die Ende November 2022 eingesetzte Bund-Länder-Arbeitsgruppe allein zwei Mal tagen, um sich im Grundsatz auf eine bundesweite Online-Prüfung zu einigen und eine entsprechende Beschlussvorlage für die Minister zu schreiben. Einzelheiten sollen in weiteren Gesprächen unter Einbeziehung der Verbände festgelegt werden. Es gebe aber verfassungsrechtliche Bedenken, dass mit einer verpflichtenden Online-Prüfung möglicherweise ein Berufszugangshindernis geschaffen werde. Das werde das Bundesministerium für Digitales und Verkehr (BMDV) aber vor dem formalen Rechtssetzungsverfahren prüfen lassen.

    In Fachkreisen gibt es Zweifel, ob eine „Online-Prüfung“ ausreichend betrugssicher ist. Von den zu theoretischen Führerscheinprüfungen berechtigten Organisationen (TÜV, Dekra) ist zu hören, dass bei jeder 500. Prüfung ein Täuschungsversuch entdeckt wird; von einer hohen Dunkelziffer sei auszugehen. Vereinzelt wird auch bei der praktischen Prüfung getäuscht, indem eine fahr-erfahrene Person unter Vortäuschung einer falschen Identität für den eigentlichen Prüfling einspringt.

    Nicht abschließend geklärt ist auch, ob die Vorschriften für die Fachkundeprüfung in Form einer Verordnung erlassen werden. Das würde einen erneuten Verzug um mehrere Wochen oder gar Monate bedeuten, weil vorher Länder und Verbände angehört werden müssen. Das BMDV neigt aber nach Auskunft aus Verbandskreisen zu einer solchen Lösung.

    Alternativ zur Prüfung standen eine verpflichtende Schulung – gegebenenfalls online -, eine verpflichtende Schulung mit fakultativer Prüfung – je nach Entscheidung der nach Landesrecht zuständigen Behörde – oder gar keine Regelung zur Wahl. In diesem Fall hätten die Länder oder die Behörden selbst entscheiden können, wie der Fachkundenachweis zu erbringen ist. Matthias Roeser

    #Deutschland #Taxi #Ausbildung

  • Taxi-Überwachung: Berlin will sich an Hamburg orientieren - Taxithemen (allg.) | News | taxi heute - das unabhängige und bundesweite Taxi-Magazin - das unabhängige, bundesweite Taxi-Magazin
    https://www.taxi-heute.de/de/news/taxithemen-allg_taxi-ueberwachung-berlin-will-sich-hamburg-orientieren-24

    4.4.2023 - Auch die künftige Berliner Koalition aus CDU und SPD bekundet den Willen, Recht und Ordnung im Gelegenheitsverkehr wiederherzustellen.

    Die Berliner Koalitionspartner wollen die Arbeitszeiten des Taxi- und Mietwagen-Fahrpersonals und seine Entlohnung nach dem Hamburger Modell streng überprüfen. (Symbolfoto: Dietmar Fund)

    „Die Koalition wird den Gestaltungsspielraum für das Taxigewerbe nach dem Personenbeförderungsgesetz zum Schutz der Beschäftigten ausschöpfen und klare Regelungen für alle Verkehrsformen und Geschäftsmodelle im öffentlichen Verkehr vorgeben“, heißt es in dem am 3. April 2023 vorgestellten Entwurf für den Koalitionsvertrag. Der Satz steht allerdings nahezu wortgleich auch im bisherigen Koalitionsvertrag der rot-grün-roten Landesregierung. Deren Absicht, bis Mitte 2022 für Mietwagen-, gebündelte Bedarfsverkehre und Taxiverkehre unter anderem Vorgaben unter anderem zu Sozialstandards, Mindest- und Höchstpreisen, Festpreisen und Anteil barrierefreier Fahrzeuge zu machen, wurde allerdings bis heute nicht ansatzweise realisiert.

    Gänzlich neu ist hingegen die Forderung, dass die Unternehmen für jede Taxi- und Mietwagenkonzession die rechtskonforme Erfassung der Arbeitszeiten und die entsprechenden Lohnzahlungen nachweisen sollen. „Wir orientieren uns dabei an dem in Hamburg praktizierten Modell“, heißt es.

    Ein weiterer Dauerbrenner in den Berliner Koalitionsverträgen ist seit mindestens 2016 der Satz „In Verhandlungen mit dem Landkreis Dahme-Spreewald werden wir uns für ein Laderecht aller Berliner Taxen am Flughafen BER einsetzen.“ Bisher ist kein Ergebnis absehbar.

    Neu ist auch die Absicht, für bislang schlecht mit dem ÖPNV erschlossene Gebiete neben der Erprobung von „Kiezshuttles“ (das sind autonome Minibusse) gemeinsam mit dem Berliner Taxigewerbe den Einsatz von Ruftaxis zu prüfen. Der Koalitionsvertrag lässt allerdings offen, was darunter genau zu verstehen ist.

    Dass sich die Parteifarbe der für Verkehr zuständigen Senatsverwaltung ändern soll, steht ganz am Ende des Papiers: Zum ersten Mal seit 1996 soll sie wieder von der CDU geführt werden. Offensichtlich bleibt aber die unter Rot-Rot-Grün 2016 zusammengestellte Ressortstruktur in der künftigen „Senatsverwaltung für Mobilität, Verkehr, Klimaschutz und Umwelt“ weitgehend unverändert. Matthias Roeser

    #Berlin #Taxi #Regulierung #Politik

  • Notfallversorgung: In Berlin kommen die Bereitschaftsärzte der KV jetzt mit dem Taxi
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/kassenaerztliche-vereinigung-gesundheitssystem-notfallversorgung-in

    Ein Stück aus dem Tollhaus. LABO verweigert dem Fahrdienst der KV die Verlängerung seiner Konzessionen. Im Ergebnis erhalten die Taxifahrer, die nun Bereitschaftsärzte fahren, Mindestlohn oder mehr für die jeweilige Schicht. Wie schön. Eine Begründung des LABO steht aus. Man wird sie erfahren. Wir sind gespannt. Ganz nebenbei blamieren sich die mittlerweile ortskenntnisbefreiten Kutscher in der Öffentlichkeit durch völlige Ahnungslosigkeit. So it goes.

    16.6.2023 von Andreas Kopietz -Das Amt verwehrt dem Fahrdienst der Kassenärztlichen Vereinigung Berlin die Weiterfahrt. Die KV befürchtet Einschränkungen für Patienten.

    Die Bereitschaftsärzte der Kassenärztlichen Vereinigung (KV) haben einen Versorgungsauftrag des Berliner Senats. Doch die Fahrer, die die Ärzte zu den Patienten bringen, arbeiten unter teils prekären Bedingungen – und möglicherweise zeitweilig auch illegal. Zurzeit allerdings arbeiten sie gar nicht. Denn die Bereitschaftsärzte der KV Berlin müssen jetzt mit dem Taxi zu den Patienten fahren.

    Dabei stehen in der Tiefgarage der Kassenärztlichen Vereinigung Berlin 24 neue Elektroautos – gerade erst im vergangenen Monat angeschafft. Doch die weiß-orange lackierten Peugeot e-2008 mit der Aufschrift kvberlin.de und der Telefonnummer 116117 dürfen nicht fahren. Denn das Landesamt für Bürger- und Ordnungsangelegenheiten (Labo) hat mit Bescheid vom 2. Juni eine Verlängerung der Genehmigung für den Einsatz der Autos abgelehnt. Vor dem Hintergrund der ohnehin schon desolaten Notfallversorgung in Berlin rechnet die KV jetzt mit weiteren Einschränkungen für Patienten.

    „Momentan können wir nicht abschätzen, wann mit einer Wiederaufnahme unserer Fahrten gerechnet werden kann“, teilte die Firma Stölting, die im Auftrag der KV den Fahrdienst betreibt, ihren Mitarbeitern mit. „Deshalb werden wir Sie als Mitarbeiter erst mal bis einschließlich 15.06.23 in den Urlaub schicken“, heißt es. Hierbei handele es sich zunächst nur um diejenigen, die vom 7. bis 15. Juni laut Dienstplan für Dienste eingeteilt wurden. Weiter heißt es: „Zunächst werden daher alle Fahrten über Taxidienste abgedeckt.“ Seit Donnerstag ist klar, dass der „Urlaub“ bis zum 25. Juni verlängert wird. Und so warten jetzt die Taxis in langen Schlangen vor dem Gebäude der KV Berlin in der Masurenallee in Charlottenburg.

    320 Ärzte beteiligen sich am Hausbesuchsdienst der KV Berlin

    Der Ärztliche Bereitschaftsdienst für gesetzlich Versicherte ist rund um die Uhr über die Telefonnummer 116117 zu erreichen – vorausgesetzt, man bringt die Geduld auf, in der Warteschleife zu hängen. Im Gespräch kann dann der Beratungsarzt – seit Anfang des Jahres gibt es übrigens nur noch einen statt zwei – klären, ob ein Hausbesuch notwendig ist, oder auch den Rettungsdienst der Feuerwehr alarmieren. Der fahrende ärztliche Hausbesuchsdienst, an dem sich nach Darstellung der KV Berlin rund 320 Ärzte beteiligen, ist für gesetzlich und privat Versicherte rund um die Uhr zu Patienten unterwegs, die wegen der Schwere ihrer Erkrankung keine Praxis aufsuchen können beziehungsweise die nachts, am Wochenende oder an Feiertagen dringend medizinische Hilfe benötigen. Pro Werktag besuchen die Ärzte laut KV durchschnittlich 400 Erkrankte zu Hause, an Wochenenden etwa 700.

    Den Fahrdienst hatte über Jahre eine Firma betrieben, die 2020 insolvent gegangen ist. Die in Gelsenkirchen ansässige Stölting Service Group GmbH kaufte den Fahrdienst.

    Bislang waren die Fahrer der in Berlin ansässigen Zweigstelle mit den Ärzten in benzinbetriebenen Fahrzeugen unterwegs. Allerdings liefen die ersten für mehrere Jahre gewährten Konzessionen auf die einzelnen Fahrzeuge bereits im November vergangenen Jahres aus.
    Labo lehnt Antrag auf Verlängerung der Konzession ab

    Mehrere Fahrer (Namen sind der Redaktion bekannt) berichten, dass sie trotz abgelaufener Konzession hätten weiter fahren müssen. Der Berliner Zeitung liegen mehrere Genehmigungsurkunden über fünfjährige Konzessionen vor, die im November 2022 abgelaufen sind. „Jedes Taxiunternehmen wäre geliefert, wenn es ohne Konzession unterwegs wäre“, sagt einer der Beschäftigten. „Und als Taxifahrer läuft man Gefahr, dass man seine Genehmigung zur Personenbeförderung nicht verlängert bekommt.“ Auch ohne Tüv seien viele Fahrzeuge noch in diesem Jahr gefahren. Einige Fahrer seien deshalb auf die Barrikaden gegangen, heißt es. Sie wollten ihren P-Schein nicht verlieren, denn viele fahren nebenbei auch Taxi und sind auf den Verdienst angewiesen.

    Wer Personen befördert, ob Krankentransportunternehmer oder Taxibetrieb, darf dies nur mit vom Labo bewilligter Konzession. Diese gilt drei bis fünf Jahre und muss dann erneuert werden. Voraussetzung dafür sind unter anderem ein einwandfreier Leumund und keine Schulden beim Finanzamt oder der Krankenkasse.

    Warum das Labo die Konzession für die Firma Stölting nicht verlängerte, bleibt unklar. „Ein Erstkontakt wurde von uns bereits im Januar 2022 zum Landesamt für Bürger- und Ordnungsangelegenheiten aufgenommen, um frühzeitig die Verlängerung der Genehmigung vorzubereiten“, teilt Boris Westerfeld, Geschäftsführer der Stölting Service Group, schriftlich mit. „Völlig überraschend ist der von uns gestellte Antrag auf Verlängerung der Konzession vom Labo nach unserer Ansicht unverständlicherweise abgelehnt worden.“
    Stölting: „Alle Fahrzeuge verfügen über eine gültige Hauptuntersuchung“

    Die Firma Stölting will gegen diesen Bescheid Rechtsmittel einlegen. „Seit rund 25 Jahren leisten wir für die Kassenärztliche Vereinigung in Berlin beanstandungslos, zuverlässig und für die Patienten erfolgreich den Fahrdienst“, so Westerfeld. „Zuvor gab es keine Beanstandungen hinsichtlich des Vorliegens der Voraussetzungen für den Erhalt und die Fortführung der entsprechenden Konzession. Umstände, dass sich dies geändert hätte, waren diesseits nicht ersichtlich.“ Nach Erhalt des Bescheids habe man – bisher vergeblich – erneut versucht, mit dem Labo in Kontakt zu treten.

    Über die Gründe für die Ablehnung, ob diese vielleicht etwas mit den Vorwürfen der Mitarbeiter zu tun haben könnten, ist auch beim Labo nichts in Erfahrung zu bringen. Die Behörde äußert sich bisher nicht. Allerdings ist von überschäumender Zufriedenheit bei den 60 Fahrern nicht viel zu spüren. Sie beziehen Mindestlohn und erhalten nach eigenen Angaben wesentlich niedrigere Nachtzuschläge als andernorts. Neben dem Arbeitsvertrag mussten sie einen Dienstwagen-Überlassungsvertrag unterschreiben. Danach müssen sie für einen Unfallschaden mit 500 Euro haften.

    Dass Fahrzeuge ohne Tüv gefahren seien, weist der Geschäftsführer zurück: „Bei unserer Fahrzeugflotte handelt es sich um neuwertige Fahrzeuge, die alle über eine gültige Hauptuntersuchung verfügen“, so Westerfeld.
    Firma Stölting: Der Einsatz von Taxis ist mit erheblichen Kosten verbunden

    Zum Vorwurf des angeblichen Fahrens ohne Konzessionen sagt er: „Zurzeit überprüfen wir die Vorwürfe aus dem Ablehnungsbescheid des Labo auch hinsichtlich eventueller Fahrten ohne Konzession. Wir können jetzt schon sagen, dass der Großteil der Vorwürfe nicht zutreffend ist.“

    Zu Vorwürfen über angebliche Dumpinglöhne antwortet Westerfeld: „Wir vergüten unsere Mitarbeitenden ordnungsgemäß nach dem Stundenlohn, der sich an dem Landesmindestlohngesetz Berlin orientiert, einschließlich der Nachtzuschläge.“

    Für jede der drei Schichten pro Tag müssen nun sechs Taxis zur Verfügung stehen. Die Fahrer lassen nach Angaben von Mitarbeitern ihre Taxameter mitlaufen, während die Ärzte in der Wohnung den Patienten versorgen.

    Abgerechnet wird bei Stölting. „Wir versuchen so im Interesse der Berliner Bevölkerung die Versorgung sicherzustellen“, so Geschäftsführer Westerfeld. „Richtig ist, dass der Einsatz von Taxiunternehmen mit erheblichen Kosten verbunden ist, sodass eine dauerhafte Durchführung dieser Notlösung nicht garantiert werden kann. Wir können nicht ausschließen, dass es zu Einschränkungen bei der Versorgung kommen kann.“ Weil es vom Labo noch immer nichts Neues gibt, müssen die Fahrer laut Westerfeld auch über den 15. Juni hinaus noch im Urlaub bleiben.
    Kassenärztliche Vereinigung Berlin befürchtet Einschränkungen bei Versorgung

    Einschränkungen bei der Versorgung befürchtet auch die Kassenärztliche Vereinigung Berlin. „Weshalb der Firma Stölting, die bislang den Fahrdienst zuverlässig für die KV Berlin durchgeführt hat, nunmehr seitens des Labo keine Genehmigung erteilt wird, ist für die KV Berlin nicht nachvollziehbar“, teilt eine Sprecherin auf Anfrage mit. Für die KV Berlin habe es oberste Priorität, den Hausbesuchsdienst auch zukünftig sicherzustellen. „Aufgrund der nicht erteilten Genehmigung sind zukünftige Einschränkungen bei der Versorgung immobiler Patienten allerdings nicht mehr auszuschließen.“

    Das scheint jetzt schon der Fall zu sein. Von Ärzten ist zu hören, dass sie pro Schicht bis zu 20 Hausbesuche geschafft hätten, dank geschickter Routenplanung durch die Stammfahrer. Jetzt seien nur noch sechs Besuche drin, unter anderem wegen fehlender Ortskenntnis mancher Taxifahrer. Verbunden seien damit auch finanzielle Einbußen für die Ärzte. Derweil bangen die Fahrer um ihre Arbeitsplätze für den Fall, dass die Konzession ausbleibt.

    #Berlin #Taxi #Fahrdienst

  • Landgericht Berlin: Wertlose Digitaldrucke als Meisterwerke verkauft – Bande vor Gericht
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/landgericht-berlin-wertlose-digitaldrucke-als-meisterwerke-verkauft

    Fahrgäste die ordentlich Trinkgeld geben, aber nur wenn sie besoffen sind: Der falsche Kunsthändler

    Diese Leute treffen wir öfter, wenn sie - wichtig, wichtig - auf dem Weg zu Tagesterminen sind oder nach getaner Arbeit bestgelaunt, noch im alkoholseligen Überschwang ihres Barbesuchs mit richtig Reichen, in den Fond der Kutsche stolpern. Im Grunde sind sie völlig harmlos, nicht bewaffnet, weil sie mit Worten und Psychologie arbeiten, aber als pathologische Lügner nie einer kleinen Grenzüberschreitung abgeneigt sind. Anfassen deshalb nur mit Glacéhandschuhen oder Kneifzange.

    Das Problem: Die Halbweltler sind schwer vom ehrlichen Geschäftsmann zu unterscheiden. Indizien: Businessmänner und andere Manger sind selten richtig betrunken und sehr fokussiert. Wenn sie zu mehreren auftreten, ähneln sie ihren Halbweltausgaben jedoch zum Verwechseln, denn sie pflegen die gleichen Männlichkeitsrituale und die selbe vorgespielte Liebe zu den schönen Künsten und Frauen. Der Hochstapler und Betrüger imitiert sie perfekt, weil er der gleichen Erfolgssucht im kapitalistischen Biotop verfallen ist.

    Das Abendgeschäft hat mir zu viele Exemplare aus beiden Welten ins Auto gespült, seitdem fahre ich lieber Omi zum Arzt. Und die Justiz mag diese Typen auch nicht, wie der Artikel beschreibt.

    14.6.2023 von Katrin Bischoff - Kopf der Bande soll Stephan W. sein, der einst Ex-Tennisstar Boris Becker einen Diplomatenpass der Zentralafrikanischen Republik besorgte.

    „Nila Brenninkmeijer“ soll Inhaberin einer großen Sammlung von Fotografien namhafter Fotokünstler gewesen sein und Werke von Cindy Sherman, Helmut Newton, Nan Goldin und Robert Mapplethorp besessen haben. Ihr niederländischer und ihr litauischer Pass, die interessierten, kaufwilligen Kunstliebhabern der Fotosammlung vorgelegt wurden, waren jedoch gefälscht. Eine Nila Brenninkmeijer gab es nicht. Das Foto in den Pässen, so ermittelte es die Berliner Polizei, zeigte keine Kunstsammlerin, es zeigte auch keine Frau aus Holland oder Litauen, sondern eine Ärztin aus Australien.

    Seit Mittwoch müssen sich vor dem Berliner Landgericht drei Männer verantworten, die die falschen Pässe genutzt haben sollen, um wertlose Digitaldrucke als wertvolle Kunst zu verkaufen. Die Staatsanwaltschaft wirft dem 55-jährigen Stephan W. und dem 73-jährigen Arnold V. bandenmäßigen Betrug, Verstoß gegen das Urhebergesetz und Urkundenfälschung vor. Dem 48-jährigen Denis M. wird Beihilfe zur Last gelegt. Zwei weitere Angeklagte, die 32-jährige Inna K. und der 60-jährige Carsten H., sind wegen Geldwäsche angeklagt.

    Stephan W., Arnold V. und Denis M. sollen sich im Oktober 2020 zusammengeschlossen haben, um mehrere Fotosammlungen von Digitaldrucken „international bekannter und hochpreisig gehandelter Künstler mit nachträglich angebrachten falschen Künstlersignaturen, Provenienzangaben und Stempeln“ zu veräußern, wie es die Staatsanwältin sagt. Dabei hätten sie die Drucke als handsignierte Fotoabzüge der Künstler ausgegeben. Ziel sei es gewesen, betrügerische Gewinne in Millionenhöhe zu erlangen.

    Als Eigentümerin der Sammlungen sollen Stephan W. und Arnold V. „Nila Brenninkmeijer“ genannt haben und bei den Verkaufsverhandlungen die notariell beglaubigten Kopien der Pässe der Frau vorgelegt haben. In der Anklage sind acht Fälle aufgelistet, in denen der Betriebswirt Stephan W. und der Rechtsanwalt Arnold V. die Sammlungen an Interessierte in Berlin, Köln und dem hessischen Kelsterbach angeboten haben sollen – für 1,5 bis 6,6 Millionen Euro. Dem gelernten Automechaniker Denis M. wird vorgeworfen, die Bilder zu den Besichtigungsterminen gebracht und dort einen „erdachten Transportbeleg“ von spezialisierten Kunstspeditionen vorgelegt zu haben.

    Käufer zahlte 1,5 Millionen Euro für wertlose Abzüge

    Lediglich in einem Fall gelang es den Männern laut Anklage, die wertlosen Abzüge zu veräußern. Dafür aber für einen hohen Preis. Der Käufer zahlte 1,5 Millionen Euro – zunächst auf ein Notaranderkonto. Nachdem der Kaufvertrag unterzeichnet war, sei das Geld auf das Konto von Arnold V. transferiert worden. Er soll dann Beträge hin und her überwiesen haben, auch auf Konten von Inna K. und Carsten H. Selbst die Mutter von Stephan W. soll 10.000 Euro bekommen haben.

    Andere Kaufinteressenten sprangen ab, weil ihre Anwälte offenbar dazu geraten hatten. Schließlich war es wohl ein verdeckter Ermittler, der als angeblicher Kunstinteressent das Verfahren ins Rollen brachte. Laut Anklage trug er den „Arbeitsnamen Stefan Wolter“. Der Angeklagte Stephan W. soll ihm eine Fotosammlung in den Räumen einer Frankfurter Kunstspedition gezeigt haben.

    An diesem ersten Verhandlungstag kommt die Staatsanwältin nicht dazu, die vollständige Anklage zu verlesen. Der Vorsitzende Richter Knut Weyand muss die Verhandlung am Mittag unterbrechen, weil es Stephan W. nicht gut geht. Er ist der einzige der Angeklagten, der in Untersuchungshaft sitzt. Erst vor wenigen Tagen wurde er operiert. Den Antrag seiner Verteidiger, das Verfahren aus gesundheitlichen Gründen einzustellen und den Beginn um vier Wochen zu verschieben, lehnte das Gericht zu Beginn des Prozesses ab. Der Angeklagte sei verhandlungsfähig, so die Begründung. Zudem werde er durch drei Anwälte vertreten.

    Stephan W. gilt als Kopf der mutmaßlichen Betrügerbande. Ende März dieses Jahres wurde er am Flughafen festgenommen, als er von einer Auslandsreise zurückgekehrt war. W. gilt als umtriebiger Geschäftsmann mit einem großen Netzwerk. Bei Wikipedia wird er Diplomat genannt. In Berichten gilt er als „Mann der ungeahnten Möglichkeiten“ – „Markenzeichen Rollkoffer“. Er war es auch, der Boris Becker im Jahr 2018 einen Diplomatenpass der Zentralafrikanischen Republik beschaffte, der den einstigen Tennisstar vor einem Insolvenzverfahren und einer Haftstrafe schützen sollte.

    Die Verteidiger von Stephan W. bestreiten den Tatvorwurf. „Wir werden herausarbeiten, dass die Ermittlungen sehr einseitig geführt wurden“, sagt Marcel Börger. Der Ermittlungsführer habe nicht von seinem roten Faden abweichen wollen. Dabei gehe aus den Akten ganz klar hervor, dass Stephan W. nicht zentraler Kopf einer Betrügerbande sei.

    Die vermeintlichen Kunstwerke seien schon Jahre zuvor von „ganz anderen Leuten“ aus den Niederlanden und Belgien angeboten worden. Das Verfahren gegen sie sei jedoch abgetrennt worden. Laut Börger sei Stephan W. lediglich wegen seiner guten Kontakte zu internationalen und reichen Leuten gefragt worden, ob er für die Fotos Interessenten hätte. „Er ist ein ausgenutzter Vermittler mit guten Kontakten.“

    Stephan W. ist jedoch auch vorbestraft. Nach Auskunft seines Verteidigers wurde sein Mandant allerdings vor 13 Jahren letztmalig verurteilt. Derzeit wird gegen den 55-Jährigen in München ermittelt – wegen Betrugsvorwürfen in Investmentsachen. In dem Verfahren passiere jedoch seit zwei Jahren nichts, sagt Börger. Stephan W. habe eine hohe Kaution bezahlt, um aus der Untersuchungshaft entlassen zu werden.

    Nun sitzt er seit fast drei Monaten in Berlin in Untersuchungshaft. Nicht etwa, weil er fliehen könnte. Haftgrund ist Wiederholungsgefahr. Eine Haftbeschwerde hat das Kammergericht erst am Montag verworfen.

    Weshalb gibt das nur richtig Schmalz, wenn es besoffen ist? Lest den Puntila, dann wisst ihr es. Außerdem kommt das Betrügerle aus einfachen Verhältnissen, nicht aus der Großbourgeoisie und ist deshalb im tiefsten Inneren geizig. Fettes Trinkgeld wird gegeben, weil es die Rolle des Wohlhabenden ein bischen zu gut spielt. Das Reiche ist nämlich auch geizig, sonst wäre es nicht reich. Nur ist das bei ihm kein Charakterfehler sondern Kalkül aus tiefsitzendem Klassenbewußtsein.

    #Berlin #Justiz #Kunst #Hochstapler #Taxigeschichten #life_on_a_string

  • Ukraine-Krieg: Zeitgleiche Drohnenangriffe auf Kiew und Moskau
    https://www.telepolis.de/features/Ukraine-Krieg-Zeitgleiche-Drohnenangriffe-auf-Kiew-und-Moskau-9069366.html

    30.5.2023 von Bernhard Gulka - ..

    Militärischer Wert gering, da meist nicht im Ziel

    Somit sind die Beschädigungen und Verluste durch die Drohnenangriffe nicht groß. Nach Moskau scheint jetzt jedoch auch Kiew zunehmend auf die Attacken unbemannter Fluggeräte auf das feindliche Hinterland zu setzen. Zwar werden tatsächlich die meisten der Drohnen unterwegs abgeschossen oder durch Jammen von ihren eigentlichen Zielen abgelenkt.

    Moskauer Taxifahrer meldeten auch den Ausfall von Satellitennavigationssystem im Umfeld des Angriffs, was auf die Versuche, die Zielsysteme der anfliegenden Drohnen zu stören zurückzuführen sein dürfte.

    https://t.me/breakingmash/44479

    #Taxi #Rußland #Ukraine #Krieg #Moskau

  • Comment les #entreprises_polluantes ont transformé les #quotas gratuits de #CO₂ en un marché de plusieurs milliards d’euros
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/05/30/comment-les-entreprises-polluantes-ont-transforme-les-quotas-gratuits-de-co-

    C’est une histoire de trente ans qui se chiffre en milliards d’euros. Trente longues années qui ne resteront pas dans les annales de l’Union européenne (#UE) comme étant les plus glorieuses dans sa lutte contre le réchauffement climatique. Trois décennies au cours desquelles les #industries les plus #polluantes du Vieux Continent – l’acier, le ciment, le pétrole, l’aluminium et d’autres – auront reçu gratuitement des quotas d’#émissions_de_CO2, sortes de « droits à polluer » supposés être réduits dans le temps, afin de les inciter à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

    Or, le dispositif a rapidement été détourné de son objet pour devenir un outil financier permettant à ses bénéficiaires d’augmenter leurs profits, grâce à la revente de ces quotas. Rien qu’entre 2013 et 2021, estime le Fonds mondial pour la nature, les plus grosses industries émettrices ont empoché 98,5 milliards d’euros et n’ont consacré qu’un quart de cette somme (25 milliards d’euros) à l’action climatique.

    Le système des #quotas_gratuits, lancé le 1er janvier 2005 et toujours en vigueur, est appelé à disparaître en 2034. Le 18 avril, le Parlement européen a en effet adopté un nouveau plan pour le climat prévoyant son remplacement progressif par un « mécanisme d’ajustement carbone aux frontières » de l’Union, dans le but de verdir, cette fois, les importations des secteurs les plus émetteurs de CO2. L’UE, en optant pour un dispositif plus simple, n’a pas fait officiellement son mea culpa. Mais c’est bien de cela qu’il s’agit.

    Détournement « légal »
    Comme nous le révélons au terme de huit mois d’enquête avec le soutien financier du fonds Investigative Journalism for Europe (IJ4EU), ce système, qui se voulait bienveillant à l’égard des industriels, a été détourné de son but initial. Nous nous sommes intéressés aux sidérurgistes et aux cimentiers de France et d’Espagne, deux secteurs qui font partie des plus gros bénéficiaires.

    L’analyse approfondie des transactions financières enregistrées par ces acteurs sur le système d’échange de quotas d’émissions (SEQE-EU-ETS en anglais) confirme ce que certains supposaient depuis longtemps : les entreprises ont revendu une partie de leurs quotas gratuits pour des centaines de millions d’euros, parfois des milliards. Mais, contrairement à l’énorme fraude à la TVA qui avait ébranlé le dispositif à ses débuts, faisant perdre 6 milliards d’euros aux pays de l’UE et donnant lieu à des condamnations en justice bien des années après, le détournement dont il est question s’opère de façon légale.

  • En Israël, l’exil parfois amer des escrocs de la taxe carbone
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/05/24/planques-or-en-israel-l-exil-parfois-amer-des-escrocs-du-carbone_6174571_322

    Reportage
    Une trentaine de Franco-Israéliens, condamnés en France pour leur participation en 2008-2009 à une gigantesque fraude à la TVA sur le carbone, profitent de la lourdeur des procédures d’extradition pour vivre en Israël. « Le Monde » a enquêté sur cette communauté où l’argent, a priori, ne fait pas le bonheur.

    On pourrait croire que c’est un type qui promène son chien, mais c’est un roi de l’escroquerie en cavale. Au milieu des bikinis et des joueurs de raquettes, dans les effluves d’aubergines grillées et de crème solaire, Cyril Astruc arpente la plage de Herzliya (au nord de Tel-Aviv, Israël), silhouette fine, chemise à fleurs, peau tannée et lunettes noires, malinois au bout de la laisse, dix-neuf années de prison et trois mandats d’arrêt internationaux au-dessus de la tête. S’il posait un pied dans l’Hexagone, cet homme né en France il y a cinquante ans serait « coffré » instantanément. Mais pour l’instant, il a les deux dans le sable israélien, et il promène son chien.

    Le personnage est courtois, d’un abord facile, mais il décline notre demande d’entretien – « Vous comprenez que, dans ma situation, la discrétion est ma meilleure alliée » – et confie, avant de prendre congé, que les chances de le voir rentrer en France de son plein gré sont assez minces : « Je n’ai rien contre l’Etat français, je n’ai rien contre la justice française, simplement c’est compliqué de se rendre pour aller faire dix-neuf ans [de prison], je pense que vous comprenez. Dix-neuf ans, c’est quand même beaucoup. A ce prix-là, j’aurais pu commettre un assassinat. »

    Cyril Astruc n’a tué personne ; la justice française se contente de lui reprocher un rôle majeur dans l’« escroquerie du siècle » : la fraude à la TVA sur le carbone qui, en quelques mois de 2008 et 2009, a permis à une poignée de carambouilleurs particulièrement dégourdis de délester le Trésor public de 1,6 milliard d’euros. L’entourloupe consistait à monter des sociétés fictives pour acheter, hors taxe et à l’étranger, des quotas de carbone, ou droits à polluer, puis à les revendre à une société française à un prix incluant la TVA, sans reverser celle-ci à l’Etat. (...)

    #Paypal
    #Mafia_du_CO2. #taxe_carbone

  • Die Politik der Rackets - Zur Praxis der herrschenden Klassen
    https://www.dampfboot-verlag.de/shop/artikel/die-politik-der-rackets

    Kai Lindemann, ISBN : 978-3-89691-067-7, 155 Seiten, Preis : 16,00 € Erschienen : 2021

    Daniel Bratanovic, Wir sind hier nicht in Chicago, Max
    https://www.ca-ira.net/verlag/rezensionen/daniel-bratanovic-wir-sind-hier-nicht-in-chicago-max

    Bandenherrschaft. Über Brauchbarkeit und Grenzen der Fragment gebliebenen Racket-Theorie Horkheimers

    Die Rackets und die Souveränität
    https://antideutsch.org/2018/10/19/die-rackets-und-die-souveraenitaet/?amp=1

    2018, Vortrag und Diskussion mit Thorsten Fuchshuber und Gerhard Scheit an der Universität Göttingen

    Verwaltete Welt
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Verwaltete_Welt

    von Theodor W. Adorno 1950 geprägter Begriff der Kritischen Theorie, das die Gesellschaft nach dem Zweiten Weltkrieg beschreibt

    Der Begriff verwaltete Welt wird auf Theodor W. Adorno zurückgeführt. Er benutzte ihn unter anderem im Untertitel Musik in der verwalteten Welt seines Werks Dissonanzen (Erstausgabe 1956).[1][2] Adorno gebrauchte den Begriff als eine synonyme Bezeichnung für die spätkapitalistische, genauer: nachliberale und nachfaschistische Gesellschaft, in der die „Allherrschaft des Tauschprinzips“ von der „Allherrschaft des Organisationsprinzips“ überlagert werde.[3] Karl Korn hat ihn dann wenige Jahre später für den Buchtitel seiner kritischen Sprachanalysen – Sprache in der verwalteten Welt (Erstausgabe 1959) – aufgegriffen.

    Grundform der Herrschaft
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1169915.kritische-theorie-der-rackets-grundform-der-herrschaft.html

    In kriselnden Staaten tritt die Gewalt hervor, aus der diese entstanden sind. »Rackets« machen daraus ein Geschäftsmodell, erklärt Thorsten Fuchshuber

    Interview: Peter Nowak 06.01.2023

    Überall Rackets
    https://taz.de/Ueberall-Rackets/!5628167

    5.10.2019 - Max Horkheimer wollte mit dem Racket-Begriff einst Herrschaft analysieren. Thorsten Fuchshuber versucht den Ansatz zu systematisieren

    Thorsten Fuchshuber: „Rackets. Kritische Theorie der Bandenherrschaft“, Ca Ira Verlag, Freiburg 2019, 674 Seiten, 29 Euro

    Von Jakob Hayner

    Racket (Herrschaftskritik), Begriff der Kritischen Theorie
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Racket_(Herrschaftskritik)

    Geld regiert die Welt
    https://www.ipg-journal.de/rubriken/demokratie-und-gesellschaft/artikel/geld-regiert-die-welt-5664

    20.01.2022 | Kai Lindemann
    Skandale wie der Cum-Ex-Betrug sind keine Einzelfälle. Hinter ihnen verbirgt sich eine strukturelle Bedrohung durch privilegierte Beutegemeinschaften.

    #impérialisme #criminalité #racket #Horkheimer #Adorno #Uber #internet #Taxi #mondialisation

  • Getöteter Taxifahrer in Berlin: Verdächtiger war bereits wegen Tötungsdelikt in Belgien flüchtig
    https://www.rbb24.de/panorama/beitrag/2023/04/schweigeminute-spendensammlung-fuer-getoeteten-taxifahrer-berlin.html

    11.4.2023 von P. Höppner - Im Fall des niedergestochenen Taxifahrers in Berlin-Grunewald gibt es neue Details über den mutmaßlichen Täter: Der 24-Jährige war bereits wegen eines Tötungsdelikts in Belgien auf der Flucht, die belgische Justiz hat seine Auslieferung beantragt.

    Mutmaßlicher Täter war bereits wegen Tötungsdelikt in Belgien auf Flucht
    Spendenaktion für Familie des Taxifahrers bei Film-Premiere
    Schweigeminute abgehalten
    Taxifahrer fahren mit Trauerflor am Fahrzeug

    Der Verdächtige im Fall des getöteten Taxifahrers in Berlin soll bereits wegen eines anderen Tötungsdelikts in Belgien auf der Flucht gewesen sein. Gegen den 24-Jährigen sei bei der Kölner Generalstaatsanwaltschaft ein Auslieferungsverfahren anhängig, sagte ein Behördensprecher am Dienstag.

    Ein 49-jährige Berliner Taxifahrer war am Donnerstagmorgen nach einer Messerattacke im Berliner Villenviertel Grunewald gestorben. Ein Passant hatte ihn gefunden. Zeugen versuchten noch, den Mann zu retten. Der Taxifahrer starb jedoch im Krankenhaus.

    Der Verdächtige befindet sich laut Berliner Staatsanwaltschaft seit vergangenem Samstag in Schleswig-Holstein in Untersuchungshaft. Von der Flensburger Justiz hieß es am Dienstag, der 24-Jährige sei nach einer Anordnung des Amtsgerichts Flensburg festgenommen worden. Dies erfolgte im Zusammenhang mit dem Auslieferungsverfahren, das bei der Kölner Justiz läuft, wie es hieß. Nach Informationen der Deutschen Presse-Agentur soll der 24-Jährige am 4. April in Belgien seine Lebensgefährtin umgebracht haben und geflohen sein.
    Tötungsdelikt in Berlin hat Vorrang für deutsche Justiz

    Parallel ist der 24-Jährige von den Ermittlern in Berlin als Verdächtiger im Fall des getöteten Taxifahrers identifiziert worden. Die Staatsanwaltschaft Berlin will nun nach Angaben eines Sprechers einen weiteren Haftbefehl gegen den Mann beantragen, damit er nach Berlin überstellt wird.

    „Unser Verfahren wird dann in den Hintergrund treten“, erklärte der Sprecher der Generalstaatsanwaltschaft Köln. Zunächst müssten die Vorwürfe der Berliner Staatsanwaltschaft geklärt werden, bevor das Auslieferungsersuchen aus Belgien weiter geprüft werden könne.

    Schweigeminute und Spendenaktion für Taxifahrer

    Am Dienstagabend wurde im Cinema Paris eine schon länger geplante Vorführung des französischen Films „Im Taxi mit Madeleine“ zur Erinnerung an den 49-Jährigen genutzt. Unter anderem gab es eine Schweigeminute. Von Seiten des Kinos hieß es, dass knapp 200 Menschen teilnahmen.

    Es wurde dazu aufgerufen, für die Hinterbliebenen des Getöteten zu spenden. Zugesagt seien bisher 5.000 Euro vom Gustav-Hartmann-Unterstützungsverein und 20.000 Euro von der Taxistiftung-Deutschland. Das Unternehmen Taxi Berlin will nach Angaben des Geschäftsführers 5.400 Euro spenden.

    Zuvor hatte die Berliner Taxi-Innung angekündigt, der Familie des Taxifahrers mit einer Spendenaktion zu helfen. Taxifahrerinnen und Taxifahrer würden auch mit Trauerflor an ihren Fahrzeugen an das Opfer erinnern, sagte der Vorsitzende der Berliner Taxi-Innung, Leszek Nadolski, am Dienstag der rbb24 Abendschau.

    Sendung: rbb24 Inforadio, 11.04.2023, 16:00 Uhr

    #Berlin #Charlottenburg-Wilmersdorf #Grunewald #Brahmsstraße #Kurfürstendamm #Kino #Taxi #Arbeit #Kriminalität

  • Haftbefehl nach tödlicher Messerattacke auf Taxifahrer
    https://www.rbb24.de/panorama/beitrag/2023/04/berlin-taxifahrer-tot-messerattacke-haftbefehl-grunewald.html


    Mitarbeiter der Berliner Polizei steht vor einem Taxi in Berlin-Grunewald in dem es zu einer tödlichen Messerattacke kam

    13.4.2023 von Natascha Gutschmidt - Berlin-Grunewald - Haftbefehl nach tödlicher Messerattacke auf Taxifahrer

    Eine Woche nach der tödlichen Messerattacke auf einen Taxifahrer im Berliner Grunewald hat das Amtsgericht Flensburg Haftbefehl wegen Totschlags gegen einen 24-Jährigen erlassen.

    Das Gericht sei damit dem Antrag der Berliner Staatsanwaltschaft gefolgt, teilte ein Sprecher am Donnerstag der Deutschen Presse-Agentur auf Anfrage mit. Der Beschuldigte solle nun nach Berlin überstellt werden. Der Mann war am vergangenen Samstag in Schleswig-Holstein festgenommen worden und befindet sich seitdem in Untersuchungshaft.

    Verdächtiger war bereits wegen anderem Delikt flüchtig

    Hintergrund war zunächst ein Auslieferungsverfahren wegen eines anderen Tötungsdelikts, das bei der Generalstaatsanwaltschaft Köln anhängig ist. Der Mann soll am 4. April seine Lebensgefährtin in Belgien getötet haben und nach Deutschland geflohen sein. Am 6. April soll er dann in Berlin den 49 Jahre alten Taxifahrer getötet haben.

    Das Opfer war von einem Passanten im Grunewald gefunden worden. Zeugen versuchten noch, den Mann zu retten. Der Taxifahrer starb jedoch im Krankenhaus. Die Familie hat am Donnerstag bei einer Beerdigungszeremonie in der Sehitlik-Moschee in Berlin-Neukölln Abschied von ihm genommen. Bestattet werden soll der Vater eines 14-jährigen Sohnes und einer 22 Jahre alten Tochter in seinem Heimatdorf am Schwarzen Meer, wie seine Nichte sagte.

    Sendung: rbb24 Abendschau, 13.04.2023, 19:30 Uhr

    #Berlin #Charlottenburg-Wilmersdorf #Grunewald #Brahmsstraße #Taxi #Arbeit #Kriminalität

  • Unterwegs für Uber, Bolt und Freenow in Berlin: Betrug bei Mietwagen nimmt immer größere Ausmaße an
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/unterwegs-fur-uber-bolt-und-freenow-in-berlin-betrug-bei-mietwagen-nimm

    16.4.2023 von Christian Latz - Erneut verhängt das Land Berlin hohe Bußgelder, weil Firmen im Namen von Uber oder Bolt Menschen durch die Stadt fahren – allerdings oftmals ohne Genehmigung.

    Wegen Betrügereien in der Mietwagenbranche hat das Land Berlin gegen mehrere Fahrdienste, die über Uber, Bolt und Freenow tätig sind, sechsstellige Bußgelder verhängt. Das teilte die Senatsverkehrsverwaltung auf Tagesspiegel-Anfrage mit. Die Strafen für die Firmen lägen demnach „zwischen 265.000 und 550.000 Euro“. Zunächst hatte der Tagesspiegel-Newsletter Checkpoint darüber berichtet.

    In einem ähnlichen Fall hatte das Land bereits im August 2022 ein Bußgeld von 500.000 Euro gegen ein Unternehmen wegen eines „besonders schwerwiegenden Falls von illegalem Mietwagen-Betrieb“ verhängt. Damals hatte die Firma zwischen August 2021 und März 2022 mehr als 100.000 Fahrten mit rund 160 Fahrzeugen durchgeführt, ohne die dafür nötige Genehmigung zu besitzen.

    Unternehmen fahren ihre Kunden ohne Genehmigung

    Ähnlich lauten die Vorwürfe auch in den neuen Fällen. „Wie bereits in dem ersten Fall, konnte auch hier nachgewiesen werden, dass durch die jeweiligen Unternehmen Mietwagen-Fahrten durchgeführt wurden, ohne dass den Unternehmen hierfür eine entsprechende Genehmigung erteilt wurde“, teilte die Sprecherin der Senatsverkehrsverwaltung, Sara Lühmann, mit.

    In der öffentlichen Wahrnehmung wird das taxiähnliche Mietwagengeschäft von den großen Anbietern Uber, Bolt und Freenow geprägt, auch weil viele Autos mit deren Schriftzügen in der Stadt unterwegs sind. Jedoch führen die Unternehmen selbst keinerlei Fahrten durch. Die Plattformen treten lediglich als Vermittler zwischen den Nutzern und Mietwagenfirmen auf, die in ihrem Auftrag fahren.

    Offenbar geschieht es jedoch immer wieder, dass den Mietwagenfirmen die dafür vom Landesamt für Ordnungsangelegenheiten notwendige Genehmigung fehlt. „Die Nachweisführung dieser illegalen Aktivitäten ist deshalb besonders schwierig, weil die Unternehmen gegenüber den Mobilitätsplattformen falsche Angaben zu den Fahrzeugen machen“, sagte Lühmann.

    Weitere Verfahren wegen Betrugs bei Mietwagen laufen bereits

    Da die Plattformbetreiber mit dem Land Berlin kooperieren und dessen Ermittlungen unterstützen würden, könnten die Machenschaften jedoch „sukzessive aufgedeckt und in der Folge auch geahndet werden“.

    Die neuerlichen Betrugsfälle dürften allerdings nicht die letzten in der oftmals kritisierten Branche gewesen sein. „Es sind noch weitere Ordnungswidrigkeitsverfahren wegen des Verdachts der ungenehmigten Personenbeförderung anhängig, in denen die Ermittlungen aber noch andauern“, so die Sprecherin.

    In Berlin gibt es aktuell 4321 Mietwagen. Seit Ende 2021 ist ihre Zahl damit relativ stabil geblieben. Anders beim Berliner Taxigewerbe. Auch wegen der stetig wachsenden Konkurrenz durch Uber und andere Fahrdienste sank die Zahl der Fahrzeuge in den vergangenen Jahren um mehrere tausend. Derzeit sind noch 5406 Taxis auf Berlins Straßen unterwegs.

    #Berlin #Taxi #Uber #Mietwagen #Statistik

  • Berlin: Duo soll Taxifahrer mit Trick bestohlen haben
    https://www.berliner-zeitung.de/news/polizei-berlin-tiergarten-zwei-maenner-stehlen-portemonnaie-von-tax

    3.4.2023 von David Vilentchik - Zwei Männer stehen unter Tatverdacht, einem Taxifahrer das Portemonnaie geklaut zu haben. Einer der beiden mutmaßlichen Diebe konnte geschnappt werden.

    Ein Taxifahrer ist in der Nacht zum Montag in Berlin-Tiergarten bestohlen worden. Wie die Polizei mitteilte, soll gegen 23.30 Uhr ein junger Mann am Taxistand im Bereich Pohlstraße Ecke Potsdamer Straße an seinem Wagen geklopft und auch gestikuliert haben.

    Daraufhin soll er den 51-Jährigen Fahrer aufgefordert haben, aus dem Taxi auszusteigen. Als der Taxifahrer dies tat, bemerkte er, wie eine weitere Person sich in die Fahrerkabine gelehnt und sein Portemonnaie ergriffen haben soll. Kurz darauf sollen die Tatverdächtigen geflüchtet sein.

    Polizisten konnten anschließend in unmittelbarer Nähe zum Tatort einen 20-Jährigen festnehmen, der den Taxifahrer zum Verlassen des Wagen aufgefordert hat. Bei der Befragung machte der Mann widersprüchliche Angaben und wurde zu einer Polizeistation gebracht. Wo sich die zweite Person befindet, ist bislang unklar. Die Ermittlungen dauern an.

    #Berlin #Taxi #Kriminalität

  • Rumpler-Tropfenwagen
    https://de.wikipedia.org/wiki/Rumpler-Tropfenwagen#Fahrzeug

    Wegen technischer Probleme – der Sechszylindermotor war unzuverlässig und die Lenkung mangelhaft konstruiert – und des fehlenden Kofferraumes war das Fahrzeug kein kommerzieller Erfolg, weswegen bis 1925 nur etwa 100 Exemplare in den Rumpler-Werken in Berlin-Johannisthal gebaut wurden. Die meisten davon liefen in Berlin als Taxis.

    Metropolis
    https://de.wikipedia.org/wiki/Metropolis_(Film)#Sonstiges

    Für die Dreharbeiten kaufte die Ufa den bankrotten Rumpler-Werken die Restbestände des legendären futuristischen Tropfenwagens als Requisiten ab. Die Fahrzeuge sind gegen Ende des Films in einer Straßenszene zu sehen und wurden in der finalen Szene zerstört – sie dienten als Sockel des Scheiterhaufens, auf dem der Maschinen-Mensch verbrannt wird.

    #Berlin #Taxi #Geschichte #Aerodynamik

  • Beerdigung eines ermordeten Berliner Taxifahrers am 13.4.2023

    Der Kollege ist am 6. des Monats zu Tode gekommen. (cf. https://seenthis.net/messages/998698). Die Trauerfeier und die anschließende Überführung konnten erst am 13. des Monats geschehen, da zuvor kriminaltechnische Untersuchungen gemacht wurden.

    Zur Trauerfeier nach islamischem Ritus gekommen waren der Botschafter der Türkei, 50 bis 80 Taxikollegen und Mitglieder des Vorstand von zwei Taxiverbänden.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Islamische_Bestattung#Das_Totengebet

    Das Totengebet kann zu jeder Zeit, nur nicht beim Aufgang oder beim Untergang der Sonne gesprochen werden. Dies geschieht nach der abgeschlossenen Herrichtung des Verstorbenen für Allah. Für die Schiiten ist dazu der Erbberechtigte oder ein von ihm Beauftragter verpflichtet. Nach der sunnitischen Tradition kann dies von der verstorbenen Person schon zu Lebzeiten bestimmt worden sein. Das Totengebet kann auch von dem Scheich des Viertels übernommen werden.

    Wer das Totengebet verrichtet, steht an der rechten Seite am Kopfende der Bahre und gibt zunächst seine Absicht bekannt. Die verschiedenen Glaubensrichtungen des Islam kennen unterschiedliche Wortlaute. Die Männer des Trauergefolges stellen sich in Richtung Mekka auf und vollziehen diese Gebete anders als beim fünfmaligen täglichen Pflichtgebet stehend mit.

    Das Islamische Totengebet • Wie schaut das genau aus?
    https://www.islamische-bestattungen-muenchen.de/islamisches-totengebet

    Das islamische Totengebet, auch (arabisch: Salat-ul-Janazah, türkisch: cenaze namazi) genannt, ist eine Pflicht der Muslime gegenüber Ihrem verstorbenen Glaubensbruder bzw. Glaubensschwester, und kann minimum von einer Person verrichtet werden. Es ist erwünschenswert, dass die zuständige muslimische Gemeinschaft so viele betende Muslime wie möglich zur Verrichtung des islamischen Totengebets eingeladen werden, da der Prophet Mohammed (Friede und Segen auf ihm) sagte: "Wenn ein Muslim stirbt, und 40 Leute (oder drei Reihen) am Totengebet teilnehmen,so wird Gott deren Fürsprache und Bittgebete annehmen (Ihm seine Sünden vergeben, und ins Paradies eintreten lassen)."Hierzu listen wir Ihnen die wichtigsten Fragen und Antworten zum islamischen Totengebet bei einer islamischen Bestattung.

    Wann verrichtet man das Totengebet?

    Das islamische Totengebet wird üblicherweise kurz vor der Beerdigung verrichtet.

    Wo findet das islamische Totengebet gewöhnlicherweise statt?

    Gewöhnlicherweise wird das Totengebet in einer nahe liegenden Moschee oder am Grab verrichtet.

    Müssen die Muslime etwas spezielles beachten, um am Totengebet teilzunehmen?

    Wenn ein Muslim an einem islamischen Totengebet teilnehmen möchte, muss dieser sich in einem rituell reinen Zustand befinden. Von daher muss man die Gebetswaschung vorher durchführen.

    Wie läuft eine islamische Totengebet ab?

    Nachdem einige der muslimischen Gemeinschaft mit ihrem Vorbeter, auch (Imam | Hodscha) genannt sich am Gebetsplatz versammelt haben, wird die Verstorbene Person in Richtung Mekka (Qibla genannt) aufgestellt. Der Imam stellt sich in Kopfhöhe vor dem Leichnam und hinter ihm in mehreren Reihen gestellt die muslimischen Teilnehmer.

    Anschließend erinnert der Imam die Teilnehmer an die Bittgebete, und erklärt kurz noch den Gebetsablauf bevor es anfängt.

    Daraufhin wendet sich der Imam dem Leichnam wieder zu , sodass er mit dem Rücken zu den betenden steht, und ruft mit erhobenen Händen als Gebetsanfang „Allahu Akbar“ Gott ist groß. Und dies vier mal im ganzen Totengebet. Das islamische Totengebet besteht auf vier Takbirat (4 Gebetseinheiten), wobei jede Gebetseinheit mit „Allahu Akbar“ anfängt und endet.

    Gebetseinheit: Das rezitieren der eröffneten Sura vom Koran (Surat Al-Fatiha)
    Gebetseinheit: Das rezitieren der Friedens- und Segenswünsche auf den Propheten Abraham und Mohammed.
    Gebetseinheit: Aufrichtige Bittgebete von jedem betenden an den Verstorbenen.
    Gebetseinheit: Der Abschlussgruß rechts dann links. Man sagt: „As-salamu-aleikum-wa-rahmatullah“.

    Daraufhin wird der /die Verstorbene sofort beerdigt, und es werden vom Imam einige Verse vom Koran rezitiert und zum Abschluss eine Grabrede gehalten. Somit ist das islamische Totengebet erfolgreich beendet.

    Der Leichenzug
    https://de.wikipedia.org/wiki/Islamische_Bestattung#Der_Leichenzug

    Der Tote auf der Bahre in seinem Leichentuch kann noch mit einem feinen Teppich bedeckt werden. Die Bahre wird auf den Schultern oder bloß mit den Händen in der Kniehöhe getragen. Es ist im Islam für den Mann Pflicht, sich dem Leichenzug anzuschließen und den Toten sogar ein paar Schritte mitzutragen. Der Leichenzug mit dem Imam geht voran, ihm folgt der Tote. Fortwährend wird die Schahada laut wiederholt.

    Heute wird bei den weiten Entfernungen zwischen den Wohnungen und den Friedhöfen die Bahre auf ein dafür bestimmtes Auto gesetzt. Die Teilnehmer folgen dann im Auto oder auf dem Motorrad.

    Der Gottesdienst und das Begräbnis
    https://de.wikipedia.org/wiki/Islamische_Bestattung#Der_Gottesdienst_und_das_Begr%C3%A4bnis

    Der Tote soll innerhalb eines Tages begraben werden. Heute werden dafür meistens hygienische Gründe genannt. Der ursprüngliche Sinn für diese Eile liegt darin, dass der Todesengel die Seele nach dem Tode zum Himmel geleitet, damit sie dort eine Art Zwischengericht erfahren und anschließend wieder zum Körper ins Grab zurückzukehren kann. Tritt der Tod am Abend oder in der Nacht ein, soll das Begräbnis am kommenden Morgen erfolgen. In muslimischen Ländern wird der Verstorbene nach dem Anlegen des Totengewandes in die Moschee gebracht oder vor der Moschee aufgebahrt.

    In den Moschusduft oder in den von Kampfer oder Rosenöl mischt sich der Weihrauch durch das Abbrennen von Räucherstäbchen. Mitunter wird über den Toten noch eine kostbare Decke gelegt, die allerdings nicht ins Grab gegeben wird.

    Dann spricht der Imam, der islamische Geistliche, viermal aus der Sure 17 den Vers 111. Das ist der Beginn des täglichen Pflichtgebetes. Die üblichen Verbeugungen unterbleiben, die Anwesenden bleiben stehen. Diese Sure erinnert an die Nachtreise Mohammeds von der Kaaba nach Jerusalem, an seine Himmelsreise. Die Rezitation wird durch das persönliche Gebet „O Gott vergib ihm, sei ihm gnädig“ bzw. „O Gott vergib ihr und sei ihr gnädig“ unterbrochen. Für kleine Kinder, die als noch nicht für ihr Tun verantwortlich gelten, enthält das Totengebet keine Bitte um Sündenvergebung.

    Nach einem kurzen Trauergottesdienst begleitet der Imam die vier Männer, die den Verstorbenen auf einer Bahre gewöhnlich auf der Schulter tragen, und diejenigen, die ihm das Geleit geben, zum Grab. Wird eine Frau zu Grabe getragen, nehmen an ihrem Begräbnis nur Männer teil. Eine öffentliche Totenklage der Frauen ist nach der Scharia, dem islamischen Recht, nicht zulässig.

    #Taxi #Berlin #Arbeit #Beerdigung #Islam

  • Schweigeminute und Spendenaktion für getöteten Taxifahrer - dpa - FAZ
    https://www.faz.net/agenturmeldungen/dpa/schweigeminute-und-spendenaktion-fuer-getoeteten-taxifahrer-18813072.html

    11.4.2023 - Die Berliner Taxi-Innung gedenkt des getöteten Taxifahrers und will dessen Familie mit einer Spendenaktion helfen. Taxifahrerinnen und Taxifahrer würden mit Trauerflor an ihren Fahrzeugen an das Opfer erinnern, sagte der Vorsitzende der Innung, Leszek Nadolski, am Dienstag. Bei einer Veranstaltung am Abend sei eine Schweigeminute geplant. Zuvor hatte die «Berliner Zeitung» berichtet. Der Gustav-Hartmann-Unterstützungsverein werde Spenden sammeln, sagte Nadolski. Er habe die Zusage, dass auch die Taxistiftung helfen wolle. Die Organisationen helfen Taxifahrern, die Opfer einer Straftat geworden sind.

    Den Aufruf zum Spenden will der Chef der Taxi-Innung bei der Preview des französischen Kinofilms «Im Taxi mit Madeleine» im Cinema Paris bekanntgeben. Die Veranstaltung ist laut Nadolski seit längerem geplant. Nun werde das Treffen, zu dem auch Politiker erwartet würden, genutzt zur Erinnerung an den getöteten Kollegen. Der 49-Jährige sei kein Innungsmitglied gewesen und nach seiner Kenntnis erst seit zwei bis drei Monaten Taxi gefahren in Berlin.

    Der Mann war am Donnerstagmorgen nach einer Messerattacke im Berliner Villenviertel Grunewald gestorben. Ein Passant hatte ihn zuvor gefunden. Zeugen versuchten noch, den Mann zu retten. Der Taxifahrer starb jedoch im Krankenhaus. Der mutmaßliche Täter befindet sich in Schleswig-Holstein in Untersuchungshaft. Nach Angaben der Berliner Staatsanwaltschaft wurde der 24-Jährige am Sonntag in Norddeutschland festgenommen. Gegen ihn habe bereits ein Haftbefehl vorgelegen. Die Staatsanwaltschaft will nun einen weiteren Haftbefehl gegen ihn beantragen, damit er nach Berlin überstellt wird.

    #Berlin #Taxi #Arbeit #Kriminalität #Taximord

  • View of street showing segregated taxi cab sign
    https://digitalcollections.nypl.org/items/9e8d39a4-cf9b-7f26-e040-e00a18066977

    Date Created 1935 - 1965
    Division Schomburg Center for Research in Black Culture, Photographs and Prints Division
    Image ID 2015165
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    #Rassismus #USA #Taxi

  • Getöteter Taxifahrer: Verdächtiger soll auch Partnerin umgebracht haben
    https://www.berliner-zeitung.de/news/berlin-grunewald-getoeteter-taxifahrer-verdaechtiger-soll-auch-part

    11.04.2023 - Der 24-Jährige soll am 4. April in Belgien seine Lebensgefährtin getötet haben und geflohen sein. Er war bereits zur Fahndung ausgeschrieben.

    Der Verdächtige im Fall des getöteten Taxifahrers in Berlin soll nach einem anderen Tötungsdelikt in Belgien auf der Flucht gewesen sein. Gegen den 24-Jährigen sei bei der Kölner Generalstaatsanwaltschaft ein Auslieferungsverfahren anhängig, sagte ein Behördensprecher am Dienstag auf Anfrage. Es gehe um den Vorwurf eines Tötungsdelikts. Weitere Angaben wollte der Sprecher mit Verweis auf die zuständige Justiz in Brüssel nicht machen.

    Nach dpa-Informationen soll der 24-Jährige am 4. April in Belgien seine Lebensgefährtin umgebracht haben und geflohen sein. Seit dem 5. April war er zur Fahndung ausgeschrieben. Am 6. April soll er dann in Berlin den Taxifahrer getötet haben.

    Neues zum Grunewalder Taximörder: Was wir über Tat und Täter wissen

    Der 49-Jährige war am Donnerstagmorgen nach einer Messerattacke im Berliner Villenviertel Grunewald gestorben. Ein Passant hatte ihn gefunden. Zeugen versuchten noch, den Mann zu retten. Der Taxifahrer starb jedoch im Krankenhaus.

    Verdächtiger in Schleswig-Holstein U-Haft

    Der Verdächtige befindet sich laut Berliner Staatsanwaltschaft seit vergangenem Samstag in Schleswig-Holstein in Untersuchungshaft. Von der Flensburger Justiz hieß es am Dienstag, der 24-Jährige sei nach einer Anordnung des Amtsgerichts Flensburg festgenommen worden. Dies erfolgte im Zusammenhang mit dem Auslieferungsverfahren, das bei der Kölner Justiz läuft, wie es hieß.

    Parallel ist der 24-Jährige von den Ermittlern in Berlin als Verdächtiger im Fall des getöteten Taxifahrers identifiziert worden. Die Staatsanwaltschaft Berlin will nun nach Angaben eines Sprechers einen weiteren Haftbefehl gegen den in Tunesien geborenen Mann beantragen, damit er nach Berlin überstellt wird.

    „Unser Verfahren wird dann in den Hintergrund treten“, erklärte der Sprecher der Generalstaatsanwaltschaft Köln. Zunächst müssten die Vorwürfe der Berliner Staatsanwaltschaft geklärt werden, bevor das Auslieferungsersuchen aus Belgien weiter geprüft werden könne.
    Taxi-Innung in Berlin gedenkt ihres getöteten Kollegen

    In Berlin gedenkt unterdessen die Taxi-Innung des getöteten Kollegen und will dessen Familie mit einer Spendenaktion helfen. Taxifahrer und Taxifahrerinnen würden mit Trauerflor an ihren Fahrzeugen an das Opfer erinnern, sagte der Vorsitzende der Innung, Leszek Nadolski, am Dienstag. Bei einer Veranstaltung am Abend sei eine Schweigeminute geplant.

    Der Gustav-Hartmann-Unterstützungsverein werde Spenden sammeln, sagte Nadolski. Er habe die Zusage, dass auch die Taxistiftung helfen wolle. Die Organisationen helfen Taxifahrern, die Opfer einer Straftat geworden sind.

    Den Aufruf zum Spenden will der Chef der Taxi-Innung bei der Preview des französischen Kinofilms „Im Taxi mit Madeleine“ im Cinema Paris bekanntgeben. Die Veranstaltung ist laut Nadolski seit längerem geplant. Nun werde das Treffen, zu dem auch Politiker erwartet würden, genutzt zur Erinnerung an den getöteten Kollegen. Der 49-Jährige sei kein Innungsmitglied gewesen und nach seiner Kenntnis erst seit zwei bis drei Monaten Taxi gefahren in Berlin.

    #Berlin #Taxi #Arbeit #Kriminalität #Taximord

  • Neues zum Grunewalder Taximörder: Was wir über Tat und Täter wissen

    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/neues-zum-taximoerder-was-wir-ueber-den-mord-in-grunewald-und-den-t

    10.4.2023 von Katrin Bischoff - Gegen den mutmaßlichen Mörder des in Grunewald getöteten Mannes soll Haftbefehl beantragt werden. Es geht um Heimtücke-Mord. Was mittlerweile bekannt ist.

    Die Brahmsstraße in Grunewald liegt in einem ruhigen Villenviertel. An diesem Montagvormittag sind nur wenige Passanten auf den Gehwegen unterwegs, obwohl die Sonne scheint. Meist sind es Hundebesitzer, die mit ihren Tieren Gassi gehen. Oder Gäste des Schlosshotels by Patrick Hellmann, das sich in dieser Straße befindet.

    Auf dem Bürgersteig gegenüber der Fünf-Sterne-Herberge liegen Gerbera, Tulpen und weiße Rosen neben drei Grablichtern. Darüber hängt an einem Laternenpfahl ein in Druckbuchstaben verfasstes Schreiben: „An dieser Stelle starb am 06.04.2023 mein Onkel“, ist dort zu lesen. Er sei ein lustiger, weltoffener und liebevoller Mensch gewesen, schreibt offenbar seine Nichte. Nusstorte habe er geliebt und ihr keine Bitte abgeschlagen.

    Eine ältere Frau mit Hund bleibt stehen, sie liest das zwei Seiten lange Schreiben. „Furchtbar“, sagt sie und fügt hinzu, dass das hier eigentlich eine ruhige Gegend sei. Am Donnerstag jedoch war die Brahmsstraße abgesperrt, machten sich Polizisten und Spürhunde auf Spurensuche.

    Denn dort, wo die Blumen liegen, wurde am vergangenen Donnerstag gegen 8.30 Uhr ein 49-jähriger Taxifahrer in seinem Fahrzeug offenbar mit einem Messerstich in den Hals lebensgefährlich verletzt. Ein Passant fand den Mann. Er alarmierte Polizei und Feuerwehr. Trotz sofort eingeleiteter Rettungsmaßnahmen und einer Notoperation verstarb der Taxifahrer in einer Klinik. Das Taxi wurde zur Untersuchung auf Spuren sichergestellt.

    Sehr schnell konnten die Ermittler der 2. Mordkommission den Tatverdächtigen ausmachen. Er war offenbar am Bahnhof Südkreuz in das Taxi gestiegen und hatte sich in die neun Kilometer weit entfernte Brahmsstraße fahren lassen. Nach der Messerattacke soll er zum Bahnhof Südkreuz zurückgekehrt sein.

    Der Mann sei durch Spezialbeamte der Polizei, sogenannte Super-Recognizer, identifiziert worden, so berichtete es die BZ. Die Beamten haben besondere Fähigkeiten, Gesichter zum Beispiel auf Videomaterial wiederzuerkennen. Sie wurden auch bei den Ermittlungen zu den Silvesterkrawallen eingesetzt.

    Bei dem mutmaßlichen Mörder des Taxifahrers handelt es sich nach Angaben der Berliner Generalstaatsanwaltschaft um einen 24-jährigen Mann. Der Tatverdächtige sei zwei Tage nach der Tat in Flensburg wegen eines bereits bestehenden Haftbefehls in anderer Sache festgenommen und dort einem Ermittlungsrichter vorgeführt worden, sagt Sebastian Büchner, der Sprecher der Generalstaatsanwaltschaft, am Montag.

    Derzeit sitzt der Mann in Untersuchungshaft. Warum der Tatverdächtige den Taxifahrer angegriffen habe, sei noch völlig unklar, erklärt Büchner. Dass sich der Geschädigte und sein Fahrgast um die Höhe des zu zahlenden Beförderungsgeldes gestritten hätten, könne er nicht bestätigen. „Das sind wilde Spekulationen“, sagt Büchner zu entsprechenden Medienberichten. Bisher sei ihm zu den Tatvorwürfen aus Berlin noch kein rechtliches Gehör gewährt worden.

    Indes sorgt die Bluttat für Trauer und Entsetzen unter den Kollegen des getöteten Taxifahrers. Von einer Tragödie spricht Leszek Nadolski, der Vorsitzende der Berliner Taxi-Innung. Einmal mehr habe sich gezeigt, wie gefährlich die Arbeit der Taxifahrer sei, sagt er. Immer wieder komme es vor, dass Kolleginnen oder Kollegen überfallen werden. „Aber ein Tötungsdelikt, mit solcher Brutalität ausgeführt, gab es in Berlin lange nicht mehr“, sagt Nadolski der Berliner Zeitung.

    Bei dem getöteten Taxifahrer handelt es sich nach seinen Informationen um den Vater zweier Kinder – 19 und 20 Jahre alt. „Wir werden die Familie unseres Kollegen unterstützen“, sagt Nadolski. Dafür werde der Gustav-Hartmann-Unterstützungsverein Spenden sammeln. Der Verein hilft Taxifahrerinnen und Taxifahrern, die Opfer einer Straftat geworden sind. „Ich rechne damit, dass wir 4000 bis 5000 Euro an Spenden zusammenbekommen“, erklärt der Chef der Taxi-Innung.

    Den Aufruf zum Spenden wird Nadolski am Dienstagabend bekannt geben – zur Preview des französischen Kinofilms „Im Taxi mit Madeleine“ im Cinema Paris. „80 bis 100 Taxifahrer werden bei der Veranstaltung dabei sein und Leute aus der Politik. Wir werden dabei auch eine Schweigeminute für unseren getöteten Kollegen einlegen“, sagt Nadolski. Taxifahrerinnen und Taxifahrer würden zudem mit Trauerflor an den Fahrzeugen an das Opfer erinnern.

    Bessere Sicherheitsvorkehrungen wie etwa Trennscheiben, die den Fahrer gegen hinten sitzende Fahrgäste abschirmen könnten, nennt Nadolski keine gute Lösung. „So eine Scheibe ist für Fahrgäste, die hinten nicht angeschnallt sind, bei Vollbremsungen gefährlich“, erklärt er.

    Und der Tatverdächtige? „Wir werden im Laufe der Woche Haftbefehl gegen den 24-Jährigen beantragen“, sagt Sebastian Büchner. Wegen eines Heimtücke-Mordes. Die Staatsanwaltschaft geht davon aus, dass der mutmaßliche Täter frühestens Ende dieser Woche von Flensburg nach Berlin überstellt wird.

    Am Tatort hat eine junge Frau ein Grablicht angezündet. Dann studiert sie den Brief, der mit „Deine Nichte“ unterzeichnet ist. Ihr Onkel sei IT-Mann gewesen, ist über den Toten zu lesen. Jede Woche habe er eine neue Idee gehabt, „was man arbeiten könnte, was man lernen könnte, was man leben könnte. Er entschied sich, Taxi zu fahren nebenbei. Das wurde ihm zum Verhängnis.“

    #Berlin #Taxi #Arbeit #Kriminalität #Taximord

  • Hätten Sie das gedacht? Berlin hat angeblich den besten Nahverkehr der Welt
    https://www.berliner-zeitung.de/news/aktuelle-umfrage-bvg-deutsche-bahn-nahverkehr-oeffentliche-verkehrs

    Eigentlich ist egal, ob es stimmt, dass Berlin so toll ist. Es kommt nur darauf an, wie man sich fühlt.

    Was fehlt? Viele Taxis, die bei niedrigen Preisen gutes Geld verdienen, weil sie ordentlich zu tun haben.

    Was es zuviel gibt? Überfüllte Nachtbusse, in denen ausser dem Fahrer kaum jemand Deutsch spricht. Wer nachts zum Dienst oder von der Arbeit nach Hause muss, leidet unter den Touristenmassen, die sich in den wenigen für vereinzelte Nachtarbeiter und Nachtschwärmer ausgelegten Bussen drängeln.

    Wie das zu ändern wäre? Wir brauchen Taxigutscheine für alle, die zwischen 22:00 und 06:00 Uhr Schichtbeginn oder -ende haben.

    Teuer sowas? Wo Milliarden Sondervermögen fürs Kriegführen drin sind, sollten Peanuts für systemrelevante Nachtarbeiter kein Problem sein, oder liebe neue Koalition?

    Ausserdem wäre das nichts Neues. RIAS, SFB, Post und viele Industriebetriebe zahlten bis 1989 ihren Gästen, Mitarbeitern und vor allem ihren Mitarbeiterinnen das Nachttaxi. Warum nicht heute? Schickt man die jungen Frauen einfach so in die Nacht? Die Stadt ist nicht ungefährlicher geworden als zu Mauerzeiten.

    Angeblich sind Fachkräfte selten, und man bemüht sich um sie. Ist dem wirklich so?

    6.4.2023 von Maria Windisch - Laut einer aktuellen Umfrage sind die Bewohner Berlins vom öffentlichen Nahverkehr der Stadt regelrecht entzückt. 97 Prozent sehen demnach nur Vorteile.

    Berlin ist für viele Dinge berühmt. Menschen aus aller Welt schwärmen für Kultur, Szene-Kieze und Currywurst. Nun verrät eine aktuelle Umfrage, dass die Hauptstadt Deutschlands mit noch etwas auftrumpfen kann – nämlich dem Nahverkehr.

    Wer in Berlin von A nach B kommen möchte, kann auf zahlreiche Transportmittel zurückgreifen. Das Netz aus Tram, Bus, Bahn oder auch Fähre ist offenbar so gut ausgebaut, dass zahlreiche Umfrageteilnehmer es als das beste der Welt bewerten. Time Out, der Herausgeber globaler Stadtführer, befragte dazu laut einem CNN-Bericht 20.000 Menschen in 50 Städten. Diese sollten dann erklären, wie sie über das jeweilige Nahverkehrssystem ihrer Stadt denken.

    Auf dem Treppchen – und auch den dahinterliegenden Plätzen – landen dabei ausschließlich europäische und asiatische Städte. Erst ab Platz 15 gesellt sich die amerikanische Großstadt New York hinzu.

    Um überhaupt in die Liste des Stadtführers aufgenommen zu werden, muss der Großteil der Befragten von Nützlichkeit und Vorteilen des öffentlichen Nahverkehrs überzeugt sein. Wie CNN schreibt, mindestens 80 Prozent der befragten Einwohner.

    Diesen Daten zufolge sind satte 97 Prozent der Berlinerinnen und Berliner zufrieden mit dem öffentlichen Nahverkehr. Die Infrastruktur ist demnach gut ausgebaut, zuverlässig, komfortabel und sicher.

    Diese Städte haben den besten Nahverkehr der Welt

    1. Berlin, Deutschland
    2. Prag, Tschechische Republik
    3. Tokio, Japan
    4. Kopenhagen, Dänemark
    5. Stockholm, Schweden
    6. Singapur
    7. Hongkong
    8. Taipeh, Taiwan
    9. Schanghai, China
    10. Amsterdam, Niederlande
    11. London, Vereinigtes Königreich
    12. Madrid, Spanien
    13. Edinburgh, Vereinigtes Königreich
    14. Paris, Frankreich
    15. New York City, USA
    16. Montreal, Kanada
    17. Chicago, USA
    18. Peking, China
    19. Mumbai, Indien

    #Berlin #ÖPNV #Taxi

  • „Eine S-Klasse und ein 7er BMW dürften im Carsharing-Geschäft eher unrentabel sein“
    https://www.wiwo.de/unternehmen/dienstleister/mobilitaets-app-von-mercedes-und-bmw-eine-s-klasse-und-ein-7er-bmw-duerften-im-carsharing-geschaeft-eher-unrentabel-sein/29053214.html

    28.3.2023 von Stephan Knieps - Freenow heißt die App, die von Mercedes’ und BMWs Träumen als Mobilitätsdienstleister geblieben ist. Im Interview erklärt Firmenchef Thomas Zimmermann, wie der ÖPNV bei seinen Kunden ankommt und warum er gegen Uber stichelt.

    Freenow wurde 2009 in Hamburg unter dem Namen „one touch Taxi“ gegründet, kurz darauf erfolgte die Umbenennung in „Mytaxi“: Anfangs digitalisierte die Anwendung bloß die Taxibestellung. 2014 übernahm Mercedes die Mehrheit an Mytaxi; 2019 verschmolzen Mercedes und BMW ihre Mobilitätsdienstleistungen in einem Gemeinschaftsunternehmen namens Freenow. Heute kann man über die App neben Taxifahrten auch Elektroroller, Elektrofahrräder sowie Chauffeur-Dienste buchen. Freenow beschäftigt rund 1000 Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter und operiert in zehn Ländern. In Hamburg und Barcelona unterhält die Firma je einen Tech Hub. Seit April 2022 ist Thomas Zimmermann (39) der Freenow-CEO.

    Wirtschaftswoche: Herr Zimmermann, Sie haben mit der „Rheinbahn“ und dem Verkehrsverbund Rhein-Ruhr (VRR) vor vier Monaten erstmals den ÖPNV auf Ihrer Plattform integriert. Wie läuft das Experiment bislang?

    Thomas Zimmermann: Es ist noch relativ früh für ein Fazit. Mit diesem Testpiloten wollen wir erstmals zeigen, wie gut wir als Mobilitätsplattform die komplette Bandbreite urbaner Verkehrsmittel abbilden können. Darüber hinaus ging es uns auch um die Frage, wie die technische Integration funktioniert. Wir machen das zusammen mit Tranzer, einem niederländischen Dienstleister für Programmierschnittstellen, spezialisiert auf Mobilitätsapps. Die ÖPNV-Unternehmen verfügen nämlich oftmals nicht über allzu große Tech-Abteilungen. Also: Die technische Integration klappt gut.

    Wie viele VRR-Tickets haben Sie über Freenow bisher verkauft?

    Absolute Zahlen kann ich noch nicht nennen. Aber klar ist: Die Leute, die ihre VRR-Monatskarte haben, sind nicht unsere Hauptzielgruppe. Sondern eher diejenigen, die den ÖPNV eher noch sehr sporadisch nutzen, oder Touristen und Geschäftsreisende, die Einzelfahrt- oder Tagestickets kaufen. Und da sehen wir, dass es gut angenommen wird. Im Vergleich zu den ersten beiden Monaten sehen wir aktuell ein Wachstum von knapp 90 Prozent bei den verkauften Tickets. Zwei Drittel aller verkauften Tickets entfallen dabei auf Neukäufer. Dies verdeutlicht, wie wir auch neue Kundengruppen für den ÖPNV erschließen können. Wobei wir anfangs lernen mussten: Es ist vielen Leuten nicht klar, dass man über eine überregionale App wie Freenow auch ÖPNV-Tickets buchen kann. Das sogenannte Ride-Hailing via App, also das digitale Buchen von Taxi- und Mietwagenfahrten, ist mittlerweile gelerntes Verhalten – aber der Kauf einer Straßenbahn-Fahrkarte über dieselbe App noch nicht. Wir sehen hier aber auf jeden Fall eine wachsende Adaptionskurve.

    Wann folgen die nächsten Verkehrsverbunde?

    Wir möchten natürlich weitere deutsche und europäische Verbunde auf unserer Plattform haben, aber das liegt nicht allein in unserer Hand. Die Verkehrsverbunde haben auch ihre Eigeninteressen. Größere Städte haben inzwischen eigene Verkehrs-Apps, die sie pushen wollen. Wir argumentieren in den Verhandlungen, dass wir die Mobilitätswende nur gemeinsam schaffen, und ganz sicher nicht mit staatlich geschützten Monopolstellungen. Und daneben gibt es noch besagte technische Integration, deren Umsetzung sich zum Teil stark von Stadt zu Stadt unterscheidet. Also: Wir sind mit mehreren ÖPNV-Verbunden in Gesprächen und sind optimistisch, dass wir zeitnah weitere Integrationen vermelden können.

    Sie sind in zehn Märkten aktiv. Wie sieht es diesbezüglich außerhalb Deutschlands aus?

    Es gibt leichte Unterschiede. In England und zum Teil auch in Italien setzt sich mehr und mehr das Bezahlen mit dem Handy durch. In London verdrängt es etwa langsam die bekannte Oyster-Karte. Also: Beim Ein- und Aussteigen der Tube hält man das Handy vor den Kartenleser und via Apple-Pay oder Google-Pay wird der Betrag abgebucht. Die technischen Details unterscheiden sich also zu jenen in Deutschland. Aber bezogen auf die Prozesse: Es sticht in den europäischen Märkten, in denen wir aktiv sind, kein Land besonders hervor, wo die Integration des ÖPNV super einfach ist. Sonst wären wir dort gestartet mit unserem ÖPNV-Test.

    In Deutschland soll es bald aber sehr viel einfacher werden: mit dem berühmten 49-Euro-Ticket. Wird man das Ticket über Freenow kaufen können?

    Das hoffe ich! Wir arbeiten daran, es anbieten zu dürfen. Der Grund für das 49-Euro-Ticket ist ja, das Verkehrsnutzungsverhalten der Leute positiv zu verändern. Das gelingt am besten, wenn man es auf möglichst vielen Kanälen zur Verfügung stellt.

    Mit wem verhandeln Sie hierzu?

    Natürlich nicht mit allen deutschen ÖPNV-Verbünden, es reicht ja, wenn einer es uns technisch ermöglicht, denn das Ticket gilt ja deutschlandweit. Wir sprechen aber auch mit der Deutschen Bahn. Die sind ja das einzige Unternehmen in Deutschland, das das Ticket außerhalb der ÖPNV-Verbunde auch noch verkaufen darf.

    Wird man eines Tages auch ICE-Tickets bei Freenow kaufen können?

    Wir konzentrieren uns ganz klar auf die urbane Mobilität und nicht auf den Fernverkehr. Ähnlich wäre es bei Tickets für Fernverkehrsbusse, die wir ebenfalls nicht anbieten. Zudem ist die Bahn bei ICE-Tickets auch eher restriktiv. Wir haben jüngst mit unserer Mobility Benefits Card ein Produkt an den Start gebracht, mit dem es auch jenseits von unserer App möglich ist, sämtliche Mobilitätsangebote über Freenow zu buchen, auch ICE-Tickets.

    Freenow vermittelt Taxifahrten, E-Scooter, Elektroräder, Carsharing-Fahrzeuge sowie Mietwagen mit lizenzierten Fahrern, das sogenannte Ride-Hailing. Wie viel steuert jedes Segment zum Gesamtumsatz bei, was ist das wichtigste Segment?

    Unser Rückgrat ist definitiv das Taxi- und Ride-Hailing-Geschäft. Damit ist das Unternehmen vor 14 Jahren gestartet, und das macht zwischen 70 und 80 Prozent unseres Umsatzes aus. Das Geschäft ist im vergangenen Jahr um rund 50 Prozent gewachsen. Gleichzeitig ist der neue Mobilitätsbereich, zum Beispiel in Deutschland, um mehr als das Dreifache gewachsen. Die Verteilung kommt dabei stark auf die Stadt und die Saison an. Bei schlechtem Wetter werden Taxi und Carsharing stärker nachgefragt. Bei gutem Wetter sind es Elektro-Scooter und Elektro-Räder.

    Inzwischen haben sich viele Autohersteller wieder von der Idee verabschiedet, Mobilitätsdienstleister zu werden. Vergangenes Jahr haben sowohl BMW und Mercedes ihr Carsharing-Angebot „Share Now“ an Stellantis verkauft, als auch VW sein Unternehmen „Weshare“ an das Berliner Carsharing-Unternehmen Miles Mobility. Sind Sie froh, nur eine Vermittler-Plattform zu betreiben, ohne Verantwortung für all die E-Scooter, Autos und Räder übernehmen zu müssen? Wenn wieder mal E-Scooter aus dem Rhein gefischt werden müssen, ist das nicht Ihre Aufgabe.

    Das ist richtig. Unsere Stärke liegt in der Vermittlung von Mobilitätsdienstleistungen. Wir haben uns bewusst dazu entschieden, keine eigenen Fahrzeuge zu betreiben. Und zu den genannten Beispielen: BMW und Mercedes sind Premium-Hersteller. Eine S-Klasse und ein 7er BMW dürften im Carsharing-Geschäft eher unrentabel sein. Daher verstehe ich die strategische Entscheidung zum Verkauf.

    BMW und Mercedes sind auch die Eigentümer Ihrer Firma. Wieso haben die mit „Share Now“ eigentlich einen Wettbewerber aufgebaut, der auch noch sehr ähnlich klingt? Wie sinnvoll ist das?

    Als Wettbewerber betrachte ich Share Now keineswegs. Das Unternehmen ist ein wichtiger Partner in ganz Europa. Richtig ist, dass es mit „Charge Now“, „Reach Now“ und auch „Park Now“ eine komplette Markenfamilie gegeben hat, die es in dieser Form heute nicht mehr gibt. Mercedes hatte „Car2Go“ und BMW hatte „Drivenow“. 2019 haben sie beide Unternehmen zusammengelegt, daraus ist „Share Now“ entstanden. Da gab es uns ja schon zehn Jahre, allerdings als reinen Anbieter fürs Ride-Hailing-Geschäft. Über unsere App kann man die Carsharing-Flotte von „Share Now“ buchen – für uns spielt es demnach keine Rolle, ob das Unternehmen nun BMW und Mercedes oder Stellantis gehört. Das gleiche gilt übrigens auch für Miles und die „Weshare“-Flotte. Wir wollen einfach möglichst viele Angebote in unserer App zur Auswahl bereitstellen.

    Andere Anbieter betrachten Sie aber sehr wohl als Wettbewerber. Zusammen mit dem Taxiverband forderten Sie kürzlich zahlreiche deutsche Stadtverwaltungen auf, die dort tätigen Vermittlungsplattformen von Mietwagen zu überprüfen, ob sie die Vorgaben des Personenbeförderungsgesetzes einhalten. Diese Spitze zielte doch eindeutig auf Uber. Wollen Sie so den Konkurrenten loswerden?

    Wir appellieren daran, dass sich alle Marktteilnehmer an die gültigen Regeln halten. Freenow setzt seit jeher auf den engen Dialog und Austausch mit Vertretern der Städte, um gemeinsam die bestmöglichen Lösungen zu finden. Andere versuchen es hingegen mit dem Vorschlaghammer, Dumping-Preisen oder mit Geschäftsmodellen, die eben nicht im Einklang zur hiesigen Gesetzeslage stehen.

    Es hieß, „Share Now“ wie auch „Weshare“ sollen Verluste geschrieben haben. Wie ist es bei Ihnen?

    Der Großteil unserer Märkte ist profitabel. Unser Ziel ist es, im nächsten Jahr insgesamt als Unternehmen profitabel zu werden.

    Passend dazu erhöhen Sie zum 1. April die Gebühren.

    Hier muss man unterscheiden: Die Preise der Taxis sind ja geregelt übers Taxameter und werden festgelegt vom Staat oder den Kommunen. Zurzeit werden die Taxipreise in vielen europäischen Ländern erhöht, darauf haben wir keinen Einfluss. Bei Fahrten mit Privatfahrern gibt es eine gewisse Preisflexibilität: Hier legt der Mietwagenunternehmer den Preis fest. Wir flexibilisieren ab April unsere Gebühr für die Vermittlung solcher Fahrten, einen kleinen Aufschlag beim Endverbraucher. Das machen wir sowohl für private als auch für geschäftliche Fahrten in verschiedenen Ländern. Im Übrigen ermöglicht uns die aktuelle Anpassung, die Servicegebühr je nach Marktlage auch nach unten zu korrigieren, um mitunter die Nachfrage nach Taxifahrten kurzfristig zu stimulieren.

    Welcher ist Ihr stärkster Markt?

    Deutschland gehört zur Spitze, aber auch England, Irland und – von der Anzahl der Fahrten – Polen.

    Vor der Pandemie erwirtschafteten Sie rund zwei Milliarden Euro. Wieviel ist es heute?

    Oberhalb einer Milliarde Euro.

    #Deutschland #Uber #FreeNow #Taxi #Business