En #Arctique, des #températures supérieures de 20°C aux normales saisonnières
▻https://reporterre.net/En-Arctique-des-temperatures-superieures-de-20oC-aux-normales-saisonnier
Les #arbres rafraîchissent l’#air des #villes tout en réduisant leur #pollution
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/11/03/les-arbres-rafraichissent-l-air-des-villes-tout-en-reduisant-leur-pollution_
... les arbres peuvent réduire de 20 % à 50 % les concentrations en #particules fines et offrir une diminution de #température de 0,5 °C et 2 °C.
Le choix des arbres a aussi son importance. Les types d’arbres plantés il y a 50 ou 100 ans (comme les platanes, ou les marronniers) ne répondent souvent pas aux besoins d’aujourd’hui car ils forment en se déployant un couvercle retenant au sol la pollution. En revanche, les arbres aux feuilles poilues, tels les bouleaux, sont efficaces pour la suppression des particules.
Cool, la prévalence de l’allergie au bouleau est de l’ordre de 10% à 20%…
Stallergenes et DBV Technologies signent une collaboration de recherche et développement dans l’allergie au pollen de bouleau – France Biotech
▻http://www.france-biotech.org/stallergenes-et-dbv-technologies-signent-une-collaboration-de-recher
Très présente en Europe du Nord, et plus particulièrement en Allemagne, aux Pays-Bas, en Norvège, en Suède et en Suisse,
la prévalence de la rhinite allergique au pollen de bouleau dans les populations d’Europe centrale et du Nord varie de 10% à
20%, mais dépasse 20% dans certaines grandes villes. Le pollen de bouleau est le plus allergisant des pollens d’arbres en
Europe centrale, du Nord et de l’Est.
Timeline : Earth’s average temperature
▻http://thebulletin.org/timeline-earths-average-temperature9894
A history of Earth’s average #temperature, provided courtesy of the amazing webcomic xkcd.com.
#2016 s’apprête à battre des records de #chaleur à l’échelle mondiale
Global warming has brought a hellish heatwave to the Middle East – and it’s coming to the rest of the world
Record-shattering temperatures this summer havescorched countries from Morocco to Saudi Arabia and beyond, as climate experts warn that the severe weather could be a harbinger of worse to come.
#climat #changement_climatique #chaleur #Moyen-Orient #température
Réchauffement climatique : les tristes records de l’année 2015 - Sciencesetavenir.fr
▻http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/climat/20160803.OBS5723/rechauffement-climatique-les-tristes-records-de-l-annee-2015.html
Les températures, la #montée_des_eaux et les #émissions_de_gaz_à_effet_de_serre ont atteint des niveaux records l’an dernier, faisant de 2015 la pire année de l’histoire moderne pour une série d’indicateurs clé, révèle un rapport international de référence publié mardi 2 août 2016. Recul des glaces, #sécheresse, #inondations... c’est un sombre portrait de la Terre que dresse ce rapport annuel sur l’état du climat ("State of the Climate"), un document de 300 pages auquel ont participé 450 scientifiques du monde entier. « Plusieurs marqueurs, comme les #températures au-dessus des terres et à la surface des océans, le niveau de la montée des mers et les émissions de gaz à effet de serre ont battu des records établis juste l’année précédente », soulignent ces scientifiques. « Clairement, le rapport sur 2015 montre non seulement que les températures sur la planète augmentent, et que tous les symptômes qui y sont liés s’aggravent aussi », a dit Thomas Karl, directeur de l’Agence nationale océanique et atmosphérique (NOAA).
#Températures, #gaz_à_effet_de_serre et montée des eaux à des niveaux records en 2015
Les températures, la montée des eaux et les émissions de gaz à effet de serre ont atteint des niveaux records l’an dernier, faisant de 2015 la pire année de l’histoire moderne pour une série d’indicateurs clé, révèle mardi un rapport international de référence.
▻http://www.courrierinternational.com/depeche/temperatures-gaz-effet-de-serre-et-montee-des-eaux-des-niveau
#climat #changement_climatique #2015
Spiralling global temperatures | Climate Lab Book
►http://www.climate-lab-book.ac.uk/2016/spiralling-global-temperatures
Commentaire de ▻http://www.ouest-france.fr/environnement/climat/climat-la-terre-se-rechauffe-un-rythme-croissant-4220794 :
Depuis 1850, date des premiers relevés météo officiels, la température moyenne à la surface de notre planète ne cesse d’augmenter.
Mieux qu’un long discours, ce Gif animé réalisé par Ed Hawkins, un spécialiste du climat à l’Université de Reading, au Royaume-Uni, montre l’inexorable montée du thermomètre – et son accélération dans les dernières décennies :
Cercle vicieux. La chaleur augmente, l’effet de serre croît – et la température monte encore. Nombre de scientifiques estiment que l’on n’est plus très loin du point de non-retour. Et la Cop21, qui a réuni 195 pays en décembre à Paris, avait d’ailleurs mis au premier rang de ses priorités la limitation de la hausse du réchauffement à 1,5°C.
Mais en regardant ce schéma, on peut se poser la question du réalisme de cet objectif. Les deux cercles rouges, en périphérie, montrent en effet la limite de 1,5°C et de 2°C, que les températures ne devraient pas atteindre si l’on ne veut pas s’exposer à une situation catastrophique et irrémédiable.
Le graphique, qui exploite de façon dynamique les données mensuelles de la température mondiale recueillies depuis 1850 par la météo britannique (UK Met Office), montre bien comment la courbe vient presque déjà tangenter le cercle de 1,5°C.
Il est intéressant de noter une certaine oscillation pendant les premières décennies : il y a certes croissance, mais aussi des mouvements de reflux. Puis les tendances de réchauffement claires se dessinent
Et inquiétant de voir confirmer, si besoin était, les chiffres impressionnants de l’année 2015 – la plus chaude jamais enregistrée - et de début 2016.
#Températures, #gaz_à_effet_de_serre et #montée_des_eaux à des niveaux records en 2015
▻http://information.tv5monde.com/en-continu/temperatures-gaz-effet-de-serre-et-montee-des-eaux-des-niveaux
Les concentrations de trois des principaux gaz à effet de serre —dioxyde de carbone (CO2), méthane et protoxyde d’azote— ont « atteint de nouveaux sommets en 2015 », indique le rapport, qui s’appuie sur des dizaines de milliers de relevés tirés de nombreuses bases de données indépendantes.
▻http://information.tv5monde.com/sites/info.tv5monde.com/files/styles/large/public/df8bd13d6060dca23f209e94542fd00195b00721.jpg?itok=ODaNiwYJ
Climate change killed Europeans in 2003 heat - Climate News NetworkClimate News Network
▻http://climatenewsnetwork.net/climate-change-killed-europeans-2003-heat
Hundreds of west Europeans were killed in the 2003 heat wave by human-induced climate change, scientists say in a ground-breaking report.
LONDON, 9 July, 2016 – British researchers say climate change was responsible for the deaths of more than 60 people in London in 2003, and over 500 in Paris. In a rare instance of direct attribution of human mortality to warming temperatures, they say that year’s European heatwave raised the risk of heat-related death by 20% in London, and in Paris by 70%.
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Heat is heading for new extremes - Climate News NetworkClimate News Network
▻http://climatenewsnetwork.net/heat-is-heading-for-new-extremes
Researchers warn that more areas of the world will swelter more often in potentially lethal heatwaves unless greenhouse gas emissions are drastically curtailed.
LONDON, 2 March, 2016 – Heatwaves that used to arrive once every 20 years or so could become annual events by 2075 across almost two-thirds of the planet’s land surface – if humans go on burning ever more fossil fuels and releasing ever more greenhouse gases.
Combien a-t-il fait chaud en 2015 ?
2015 restera dans les annales comme une des années les plus chaudes en Suisse et dans le monde. Si l’été 2015 a été particulièrement torride en Suisse, jamais les montagnes helvètes n’avaient connu un mois de décembre aussi doux. Illustration du phénomène avec plus de 150 années de relevés météorologiques.
Combien a-t-il fait chaud en 2015 ?
2015 restera dans les annales comme une des années les plus chaudes en Suisse et dans le monde. Si l’été 2015 a été particulièrement torride en Suisse, jamais les montagnes helvètes n’avaient connu un mois de décembre aussi doux. Illustration du phénomène avec plus de 150 années de relevés météorologiques.
►http://www.swissinfo.ch/fre/climat_a-quel-point-a-t-il-fait-chaud-en-2015-/41877788
#Suisse #visualisation #infographie #chaleur #température #climat
Climate change makes past five-year period the warmest on record: WMO | Environment | The Guardian
▻http://www.theguardian.com/environment/2015/nov/25/climate-change-makes-past-five-year-period-the-warmest-on-record-wmo
Climate change made 2011-2015 the warmest five-year period on record, according to the World Meteorological Organisation’s (WMO) state of the global climate report.
This year is set to be the single hottest ever registered, with planetary temperatures passing the symbolic milestone of 1C above pre-industrial levels.
Période hivernale : comment les écoutants du 115 font face à la crise
▻http://www.huffingtonpost.fr/2015/11/01/periode-hivernale-ecoutant-115-crise_n_8324784.html
SANS-ABRIS - Chaque année, l’histoire se répète. À l’ouverture de la période hivernale au 1er novembre, on promet des places d’#hébergement_d'urgence supplémentaires pour faire face à l’augmentation des demandes. Fin septembre, le préfet de Paris a donc annoncé 2.000 places en plus venues s’ajouter aux 75.000 destinées aux sans-abris que compte l’Île de France toute l’année (hors gymnases).
Mais derrière ces promesses, il y a des hommes et des femmes qui s’occupent de répondre aux #SDF, de les orienter vers des centres d’hébergement d’urgence, quand il ne s’agit pas de leur signifier que -ce soir- les initiales DNP (pour « demande non pourvue ») s’inscriront sur leur dossier. #Vacataires, titulaires à temps plein ou à #mi-temps, les écoutants du #115 sont en première ligne face à la hausse des demandes d’hébergements en cette période.
Aux premières loges des frustrations aussi, lorsqu’il est malheureusement question d’informer l’intéressé qu’il devra passer la nuit dehors. Ce qui arrive, hélas, très souvent, pesant ainsi sur le moral des troupes déjà échaudées par les insultes des désespérés criant leur détresse au téléphone. Alors que la crise migratoire devrait faire augmenter le nombre de demandes (les démarches administratives des réfugiés se faisant essentiellement sur Paris), les écoutants du Samu Social ne cachent pas leur inquiétude. Contactés par Le HuffPost, certains d’entre-eux ont accepté de se confier.
« On met notre vie de côté »
Augustin* est coordinateur au Samu Social de Paris, c’est à dire que son travail consiste -entre autres- à recruter, former et gérer les écoutants. À quelques jours de l’ouverture de la période hivernale, il ne cache pas son scepticisme concernant les annonces qui ont été faites. « On ne sait pas vraiment ce qu’on va avoir comme moyen », indique-t-il mettant l’accent sur le hiatus existant entre la communication institutionnelle et les dispositifs mis en place sur le terrain. Malgré les renforts qui sont sollicités pour cette période, Augustin explique que le navire chancelant de l’hébergement d’urgence continue de naviguer à vue. "Au final, c’est très incertain parce que ça dépend des #températures, donc on reste dans l’improvisation, dans l’adaptation permanente" , explique-t-il précisant que cette situation a tendance à générer des tensions et du stress chez certains écoutants. Car si les équipes du Samu sont habituées à réagir dans l’urgence, le facteur « température » peut être un motif de colère exprimé chez certains. "On ne sait pas le matin combien de places on aura le soir, pourtant, c’est au petit matin que les hébergés appellent, parce qu’on leur a dit la veille que c’était plus facile... Sauf que, en réalité, on n’est pas en mesure d’apporter une solution" , poursuit-il.
Par exemple, quand un soir il ne fait pas « assez » froid pour que la préfecture décide de débloquer des places (gymnase, anciens centres etc.), les équipes « restent sans solution en attendant que ça se débloque », explique-t-il. Pourtant, le nombre d’appels aura augmenté, tout comme les réponses négatives formulées dans la douleur par les écoutants se seront multipliées. « On est censés être le dernier recours pour les gens, alors passer sa soirée à dire ’oui, allo ? Désolé, vous allez dormir dehors’, c’est pas évident », poursuit notre « coordi » qui explique que durant cette période, lui et ses collègues « mettent leurs vies de côté » pour rester sur le qui-vive. Mais alors, pourquoi tant de frustration si des renforts sont recrutés et si des places supplémentaires sont promises ? Concernant les annonces faites par le préfet (7500 places en plus ndlr), notre interlocuteur tranche sévèrement :"je n’y crois pas une seconde". Pour ce qui est des renforts, ce dernier est tout autant sceptique. « Bah, la plupart n’ont pas encore vécu de période hivernale, le #turn_over étant tel, que cette année une majorité d’écoutants vivront leur première », confie-t-il. « Nous sollicitons beaucoup de vacataires, donc les conditions de travail se dégradent. Au bout d’un moment, cette #précarisation des écoutants se répercute sur les gens qui appellent », regrette également Augustin.
« Enormément de stress »
Pour Léa* (écoutante), cette période génère énormément de stress chez les écoutants. « Personnellement, ce stress s’est traduit par des urticaires », explique-t-elle notant au passage que ce qui pèse notamment, c’est de repenser à toutes ces fois où l’on a dit « non » à un sans-abris, « alors que l’on rentre chez soi et que le thermomètre affiche 0° ». Surtout que, « quand tu rentres chez toi, tu les croises, ou du moins t’as l’impression de les croiser, ce qui fait que les heures passées au téléphone ne te quittent pas d’une semelle même des heures après avoir quitté ton poste », détaille Léa. Précision très importante à ses yeux, « la période hivernale n’est pas ’pire’ pour les écoutants ». Selon elle, la période estivale génère autant -voire plus- de malaise. Comment ? « Nous recevons toujours autant d’appels l’été, sauf que les places se sont considérablement réduites et que des centres ouverts d’urgence pour l’hiver ferment leurs portes », déplore-t-elle.
Claude Lorius, une vie sur la glace
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/claude-lorius-une-vie-sur-la-glace
Ce pionnier de la glaciologie est le héros de « La glace et le ciel », le film de Luc Jacquet qui sort demain sur les écrans. Il a révélé que les glaces antarctiques contenaient la mémoire du climat du passé et mis en évidence le rôle des gaz à effet de serre dans le réchauffement climatique.
New Study Shows How Climate Change Is Already Reshaping The Earth | ThinkProgress
▻http://thinkprogress.org/climate/2015/09/03/3697620/expanding-global-dry-semi-arid-zones
A landmark study in the journal #Nature documents an expansion of the world’s dry and semi-arid climate regions since 1950 — and attributes it to human-caused global warming.
[...]
The study uses the Köppen–Geiger climate classification system:
A: Tropical/megathermal climates
B: Dry (arid and semiarid) climates
C: Temperate/mesothermal climates
D: Continental/microthermal climates
E: Polar and alpine climates
This map shows how the world is broken down by climate and sub-climate regime :
Map of the world’s climate regimes. A new study finds the dry zones (B) are expanding while the polar/tundra zones (E) are shrinking. University of Melbourne via Wikipedia.The study looks at changes in #temperature and #precipitation to determine changes to the various climate zones over time. A region can shift to a drier B climate zone if precipitation drops — or if temperature rises. Higher temperatures cause more evaporation and dry out soil.
The authors note that of all their results, “the most conspicuous feature is a worldwide expansion of B climate (mainly semiarid) at the expense of C and midlatitude D climate” (see figure below):
Linear trends in areas of 5 major climate types for 1950–2003; asterisks denote significant trends at the 5% level. A positive trend of high-latitude (north of 55°N) D climate and a negative midlatitude (south of 55°N) D climate are over-plotted in blue with the net negative trend of D climate in dark blue
Earth has warmed as usual, with no slowdown - Climate News Networ
▻http://www.climatenewsnetwork.net/earth-has-warmed-as-usual-with-no-slowdown
By Tim Radford
US scientists re-examine the collection of data which seemed to show global warming slowing since 1998 and say temperatures have continued to rise steadily.
LONDON, 7 June, 2015 − Forget about the so-called “hiatus” in global warming. The planet’s average temperatures are notching up as swiftly now as they did 20 or 30 years ago.
A team of US researchers has looked again not just at the data for the last 60 years but at how it has been collected, and done the sums again. They conclude, in the journal Science, that the “estimate for the rate of warming during the first 15 years of the 21st century is at least as great as the last half of the 20th century. These results do not support the notion of a ‘slowdown’ in the increase of global surface temperature rise.”
Rich nations urged to cut temperature rise targets - Climate News Network
▻http://www.climatenewsnetwork.net/rich-nations-urged-to-cut-temperature-rise-targets
By Tim Radford
Senior scientist says voices of poorer nations must be heard in the political tussle over reducing the “utterly inadequate” global warming limit.
LONDON, 31 March, 2015 − The official target of limiting global warming to a 2˚C rise has been described by a senior scientist as “utterly inadequate” to protect the people most at risk from climate change.
That’s the conclusion reached by one of the authors of the recent Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) assessment report, in an analysis of the political tussle between rich and poor nations at last December’s UN conference on limiting temperature rise.
Richer countries were happy to limit global average temperature rises to 2˚C, while middle and low-income nations would have preferred to contain warming within 1.5˚ C or lower.
#climat #mondialisation #riches #pauvres #richesse #pauvreté #température
Why #Fahrenheit is Better than #Celsius • see things differently
▻http://isomorphism.es/post/3767526267/fahrenheit-versus-celsius
In a sentence: Fahrenheit uses its digits more efficiently than Centigrade. Centigrade adopts the decimal convention but then throws away 70% of the range. Fahrenheit’s gradations are so well tuned that it only requires {0,1,2,3,4,5,6,7,8,9} × {low, medium, high}, for a cognitive savings of 7 unneeded numbers in each of 9 decades.
Par contre moi je disqualifie le Fahrenheit juste parce que c’est trop compliqué à écrire.
La Russie produit massivement des véhicules neufs sur roues et sur chenilles pour l’Arctique
▻http://www.brujitafr.fr/2014/12/la-russie-produit-massivement-des-vehicules-neufs-sur-roues-et-sur-chenill
Le Trekol 39294 est conçu comme un SUV pour l’Arctique, étant propulsé par un moteur turbo diésel 2.4 l. Le véhicule a la capacité de transporter 8 passagers et une charge de 700 kg, se déplaçant avec une vitesse maximale de 80 km/h.
Le corps comprend également des matériaux composites ou de fibres de verre qui constituent une résistance élastique à la température de – 60 ° C. Le Trekol 39294 utilise six gros pneus sans chambre à air, de fabrication spéciale, qui lui permettent de rouler sur le sable, la neige et dans des marécages sans s’embourber. Ce qui fait de Trekol un véhicule amphibie, étant capable de flotter sur l’eau, avec une vitesse de 10 km/h. L’armée #russe, qui souhaite acheter un tel véhicule et l’utiliser dans l’Arctique, l’a testé récemment dans la péninsule de Rybatchi, à 200 km de (...)
#Arctique #résistance #température #recherche #sauvetage #gouvernement
Here’s How Climate Change Has Altered Life On Earth In The Past 20 Years
▻http://www.businessinsider.com/how-climate-change-has-altered-life-on-earth-2014-12
WILD WEATHER
Since 1992, there have been more than 6,600 major climate, weather and water disasters worldwide, causing more than $1.6 trillion in damage and killing more than 600,000 people, according to the Centre for Research on the Epidemiology of Disasters in Belgium, which tracks the world’s catastrophes.
While climate-related, not all can be blamed on man-made warming or climate change. Still, extreme weather has noticeably increased over the years, says Debby Sapir, who runs the center and its database. From 1983 to 1992 the world averaged 147 climate, water and weather disasters each year. Over the past 10 years, that number has jumped to an average 306 a year.
(...)
#TEMPERATURE
It’s almost a sure thing that 2014 will go down as the hottest year in 135 years of record keeping, meteorologists at NOAA’s National Climatic Data Center say. If so, this will be the sixth time since 1992 that the world set or tied a new annual record for the warmest year.
The globe has broken six monthly heat records in 2014 and 47 since 1992. The last monthly cold record set was in 1916.
So the average annual temperature for 2014 is on track to be about 58.2 degrees (14.6 degrees Celsius), compared with 57.4 degrees (14.1 degrees Celsius) in 1992. The past 10 years have averaged a shade below 58.1 degrees (nearly 14.5 degrees Celsius) — six-tenths of a degree warmer than the average between 1983 and 1992.
(...)
THE #OCEANS
The world’s oceans have risen by about 3 inches since 1992 and gotten a tad more acidic — by about half a percent — thanks to chemical reactions caused by the absorption of carbon dioxide, scientists at NOAA and the University of Colorado say.
Every year sea ice cover shrinks to a yearly minimum size in the Arctic in September — a measurement that is considered a key climate change indicator. From 1983 to 1992, the lowest it got on average was 2.62 million square miles. Now the 10-year average is down to 1.83 million square miles, according to the National Snow and Ice Data Center.
That loss — an average 790,000 square miles since 1992 — overshadows the slight gain in sea ice in Antarctica, which has seen an average gain of 110,000 square miles of sea ice over the past 22 years.
ON LAND
The world’s population in 1992 was 5.46 billion. Today, it’s nearly a third higher, at 7.18 billion. That means more carbon pollution and more people who could be vulnerable to global warming.
The effects of climate change can be seen in harsher fire seasons. Wildfires in the western United States burned an average of 2.7 million acres each year between 1983 and 1992; now that’s up to 7.3 million acres from 1994 to 2013, according to the National Interagency Fire Center.
And some of the biggest climate change effects on land are near the poles, where people don’t often see them. From 1992 to 2011, Greenland’s ice sheet lost 3.35 trillion tons of ice, according to calculations made by scientists using measurements from NASA’s GRACE satellite. Antarctica lost 1.56 trillion tons of ice over the same period.
THE #AIR
Scientists simply point to greenhouse gas emissions, mostly carbon dioxide, that form a heat-trapping blanket in our air.
There’s no need to average the yearly amount of carbon dioxide #pollution: It has increased steadily, by 60 percent, from 1992 to 2013. In 1992, the world spewed 24.9 billion tons of carbon dioxide; now it is 39.8 billion, according to the Global Carbon Project, an international consortium.
China has tripled its emissions from 3 billion tons to 11 billion tons a year. The emissions from the U.S. have gone up more slowly, about 6 percent, from 5.4 billion tons to 5.8 billion tons. India also has tripled its emissions, from 860 million tons to 2.6 billion tons. Only European countries have seen their emissions go down, from 4.5 billion tons to 3.8 billion tons.
WHAT SCIENTISTS SAY
“Overall, what really strikes me is the missed opportunity,” Andrew Dessler, a climate scientist at Texas A&M University, said in an email.
“We knew by the early 1990s that global warming was coming, yet we have done essentially nothing to head off the risk. I think that future generations may be justifiably angry about this.”"The numbers don’t lie," said Michael Mann, a climate scientist at Penn State. "Greenhouse gases are rising steadily and the cause is fossil fuel burning and other human activities. The globe is warming, ice is melting and our climate is changing as a result.
La température de l’océan Atlantique continue d’augmenter | ICI.Radio-Canada.ca
▻http://ici.radio-canada.ca/regions/atlantique/2014/11/17/010-temperature-ocean-atlantique-augmentation-canada.shtml#
La transition énergétique est aussi bénéfique pour l’#environnement
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/10/09/la-transition-energetique-est-aussi-benefique-pour-l-environnement_4502813_3
L’équipe de chercheurs, dirigée par Edgar Hertwich et Thomas Gibon, de l’Université norvégienne de science et technologie, a mis face à face deux scénarios de l’Agence internationale de l’#énergie (AIE). Le premier, dit « Baseline », perpétue le modèle énergétique actuel. Il prévoit une hausse de 134 % de la production mondiale d’#électricité entre 2007 et 2050, les ressources #fossiles conservant une part prépondérante (environ deux tiers du total) avec, en particulier, une augmentation de 149 % de la production d’électricité à partir de #charbon.
Le second, « Blue Map », vise à limiter à 2° C la hausse des #températures au milieu du siècle, conformément à la préconisation du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (#GIEC). Il repose sur le développement des #énergies_renouvelables, du stockage-captage du #CO2 et de l’efficacité énergétique, celle-ci conduisant à une demande en électricité inférieure de 13 % à celle du premier scénario.
SANTÉ HUMAINE
Dans le second cas, les émissions de CO2 sont réduites de 62 % par rapport au premier. Mais ce n’est pas le seul bénéfice. Les rejets de particules #toxiques dans l’#atmosphère baissent de 40 %. Et la #pollution des eaux douces de près de 50 %. « Les effets positifs en termes de #santé humaine sont clairs, commente Edgar Hertwich. Poursuivre nos objectifs de réduction des gaz à #effet_de_serre limitera les impacts sur la santé humaine et celle des #écosystèmes, alors que ne rien faire les augmentera significativement. »
Le gain environnemental, ajoute Thomas Gibon, ira croissant puisque, dans « une boucle vertueuse », les installations renouvelables, au fur et à mesure qu’elles seront mises en service, pourront fournir l’électricité « propre » nécessaire à la construction des suivantes.
DEMANDE EN MATÉRIAUX
La mutation de la production d’électricité vers des technologies bas #carbone à faible pollution entraînera toutefois, soulignent les chercheurs, une demande accrue en #matières_premières. Car la durée de vie d’un parc solaire ou éolien est inférieure à celle d’une centrale thermique. Leur production est intermittente. Et ces installations, souvent décentralisées, nécessitent des raccordements. Pour produire au final 1 kilowattheure, un parc photovoltaïque nécessite ainsi, selon les auteurs, entre 11 et 40 fois plus de cuivre, pour les câblages, qu’une centrale fossile. Et un parc éolien, pour les turbines, entre 6 et 14 fois plus de fer.
Une pression sur les #matériaux que les chercheurs jugent « non négligeable mais réaliste », la quantité de cuivre nécessaire pour mettre en place l’ensemble des systèmes photovoltaïques de la planète en 2050 représentant « environ deux fois la production mondiale de 2011 ». Les besoins en fer et en acier, eux, augmenteraient de 10 %, tandis que ceux en aluminium baisseraient au contraire.
Au final, estiment les auteurs, « un futur où la production mondiale d’électricité n’émettra que peu de carbone, non seulement est réaliste en termes de demande de matériaux, mais encore réduira la pollution de manière significative ».
Deux degrés de plus, "un désastre"pour James Hansen
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/08/deux-degres-de-plus-un-desastre-pour-james-hansen_1615047_3244.html
Deux degrés de plus, "un désastre"pour James Hansen
LE MONDE | 08.12.2011 à 15h23 • Mis à jour le 30.01.2012 à 13h57 |
Par Stéphane Foucart - San Francisco Envoyé spécial
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/08/deux-degres-de-plus-un-desastre-pour-james-hansen_1615047_3244.html
Deux petits degrés Celsius de plus par rapport aux températures préindustrielles seraient déjà « un #désastre ». Présentant de nouvelles données au congrès d’automne de l’American Geophysical Union (AGU), qui se tient à San Francisco (Etats-Unis), le climatologue #James_Hansen a adressé, dans une conférence donnée mercredi 7 décembre, une sévère mise en garde aux négociateurs réunis à Durban (Afrique du Sud).
Selon le chercheur, célèbre pour avoir été le premier scientifique, en 1988, à tirer le signal d’alarme sur la question climatique, le seuil des 2 0C de réchauffement fixé par la communauté internationale ne permet pas de protéger les sociétés sur le long terme. Le directeur du Goddard Institute for Space Studies (GISS), principal laboratoire d’études climatiques de la NASA, présentait une reconstruction de l’évolution des #températures au cours des 5 millions d’années écoulées. « Nous sommes aujourd’hui tout près des températures de la période de l’éémien, il y a 130 000 ans, ou du holsteinien, il y a 400 000 ans, a déclaré M. Hansen. Or, à ces deux périodes, nous savons que le niveau moyen des mers était de 4 à 6 mètres plus élevé qu’aujourd’hui. »
Ses travaux, menés avec Makiko Sato (GISS), montrent qu’avec un degré de plus qu’aujourd’hui - c’est-à-dire 1,7 0C de plus par rapport au niveau préindustriel -, la #Terre excéderait les températures atteintes au cours de ces deux récents pics de chaleur. Elle atteindrait sa période la plus chaude depuis environ 3,2 millions d’années. « Dépasser ce réchauffement renverrait le climat à ce qu’il était au début du pliocène », lorsque les océans étaient environ 25 m au-dessus de leur hauteur actuelle, ajoute le chercheur. « Si la teneur en CO2 venait à doubler, précise-t-il, cela reviendrait à augmenter la température moyenne d’environ 3 0C (par rapport au niveau préindustriel) et cela renverrait la planète à un état où la cryosphère (l’ensemble des glaces de mer et des glaciers continentaux) n’existait pas. »
Fonte des calottes
La hausse des températures ne fait pas monter les océans instantanément : le système se met lentement à l’équilibre. Mais, selon M. Hansen, les données paléoclimatiques montrent que le rythme d’élévation des mers peut atteindre 1 m à 2,5 m par siècle, en raison de la fonte des calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique.
Le seuil de 2 0C au-dessus des niveaux préindustriels est la certitude d’un « désastre à long terme », conclut M. Hansen. Même si « nous ne savons pas précisément à quel terme ». Pour le chercheur, connu pour ses positions très tranchées et jouissant d’un grand prestige dans la communauté scientifique, « pour conserver un climat qui ressemble à peu près à celui de l’holocène, la période au cours de laquelle la civilisation s’est développée », il faut « maintenir la concentration de #CO2 atmosphérique sous les 350 parties par million (ppm) ». Elle était de 270 ppm au XIXe siècle et elle est aujourd’hui de 390 ppm.
Mais, ajoute le directeur du GISS, il est possible de la faire baisser « en supposant que la reforestation peut pomper 100 milliards de tonnes de carbone » et « en réduisant les émissions de 6 % par an, en commençant dès l’an prochain ». Or, rappelle-t-il, « si nous avions commencé il y a seulement cinq ans, une baisse de 3 % par an aurait suffi ».