• De la folie des #armes en Amérique
    https://metropolitiques.eu/De-la-folie-des-armes-en-Amerique.html

    Alors que les élections américaines ont lieu ce mardi, le romancier Paul Auster, disparu cette année, montre l’ampleur des morts liées aux armes à feu aux #États-Unis dans un essai qui s’appuie sur des photographies de Spencer Ostrander. Il souligne les menaces que ce phénomène fait peser sur les espaces publics et le vivre ensemble outre-Atlantique. Un collège dans l’Oregon (10 morts et 9 blessés en 2015). Une école en Pennsylvanie (6 morts et 5 blessés en 2006). Un temple sikh dans le Wisconsin (8 #Commentaires

    / #photographie, États-Unis, #violence, armes, #attentats, #démocratie, #espace_public, #terrorisme

  • IDF says it will launch strikes tonight on sites in Lebanon ’used to finance Hezbollah’s terror activity’ | The Times of Israel
    https://www.timesofisrael.com/liveblog_entry/idf-says-it-will-launch-strikes-tonight-on-sites-in-lebanon-used-to-f

    IDF Spokesman Rear Adm. Daniel Hagari says the military will soon issue evacuation orders to civilians in Lebanon to distance themselves from Hezbollah banks and other finance-related sites used by the terror group, ahead of airstrikes.

    “In a few minutes, we will issue early evacuation warnings to residents of Lebanon in Beirut and other areas, to evacuate from sites used to finance Hezbollah’s terror activity,” Hagari says.

    “I stress here, that whoever is near the sites that are used to finance Hezbollah’s terror activity is required to distance themselves from them immediately,” he says.

    “We will strike many sites in the coming hours, and more sites overnight. In the coming days, we will reveal how Iran finances Hezbollah’s terror activity using civilian institutions and associations as a cover,” Hagari continues.

    “We will strike them tonight, and update with the results in the coming days,” he adds.

    The strikes will target Al-Qard al-Hasan sites, an association known to be used by Hezbollah as a quasi-bank.

  • 8.2.2021 Journal officiel de l’Union européenne L 43/1 RÈGLEMENT D’EXÉCUTION (UE) 2021/138 DU CONSEIL
    https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:32021R0138


    Voilà la liste officielle des ennemis d’état en vigeur depuis le 5 février 2021.

    ... mettant en œuvre l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE) no 2580/2001 concernant l’adoption de mesures restrictives spécifiques à l’encontre de certaines personnes et entités dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et abrogeant le règlement d’exécution (UE) 2020/1128

    LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE,

    vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne,

    vu le règlement (CE) no 2580/2001 du Conseil du 27 décembre 2001 concernant l’adoption de mesures restrictives spécifiques à l’encontre de certaines personnes et entités dans le cadre de la lutte contre le terrorisme (1), et notamment son article 2, paragraphe 3,

    vu la proposition du haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité,

    considérant ce qui suit :

    (1)

    Le 30 juillet 2020, le Conseil a adopté le règlement d’exécution (UE) 2020/1128 (2) mettant en œuvre l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE) no 2580/2001, qui établit une liste actualisée de personnes, de groupes et d’entités auxquels s’applique le règlement (CE) no 2580/2001 (ci-après dénommée « liste »).

    (2)

    Le Conseil a fourni, lorsque cela a été possible en pratique, à l’ensemble des personnes, groupes et entités un exposé des motifs justifiant leur inscription sur la liste.

    (3)

    Par un avis publié au Journal officiel de l’Union européenne, le Conseil a informé les personnes, groupes et entités figurant sur la liste qu’il avait décidé de les y maintenir. Le Conseil a également informé les personnes, groupes et entités concernés qu’il était possible de lui adresser une demande en vue d’obtenir l’exposé des motifs du Conseil justifiant leur inscription sur la liste, si un tel exposé ne leur avait pas déjà été communiqué.

    (4)

    Le Conseil a procédé à une révision de la liste, comme l’exige l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE) no 2580/2001. Lors de cette révision, le Conseil a tenu compte des observations qui lui ont été présentées par les intéressés ainsi que des informations actualisées qui lui ont été communiquées par les autorités nationales compétentes concernant la situation des personnes, groupes et entités inscrites sur une liste au niveau national.

    (5)

    Le Conseil s’est assuré que les autorités compétentes visées à l’article 1er, paragraphe 4, de la position commune 2001/931/PESC du Conseil (3) ont pris des décisions à l’égard de toutes les personnes, de tous les groupes et de toutes les entités figurant sur la liste en raison de leur implication dans des actes de terrorisme au sens de l’article 1er, paragraphes 2 et 3, de la position commune 2001/931/PESC. Le Conseil a également conclu que les personnes, groupes et entités auxquels s’appliquent les articles 2, 3 et 4 de la position commune 2001/931/PESC devraient continuer à faire l’objet des mesures restrictives spécifiques prévues dans le règlement (CE) no 2580/2001.

    (6)

    Il convient de mettre la liste à jour en conséquence et d’abroger le règlement d’exécution (UE) 2020/1128,

    A ADOPTÉ LE PRÉSENT RÈGLEMENT :

    Article premier

    La liste prévue à l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE) no 2580/2001 figure à l’annexe du présent règlement.

    Article 2

    Le règlement d’exécution (UE) 2020/1128 est abrogé.

    Article 3

    Le présent règlement entre en vigueur le jour suivant celui de sa publication au Journal officiel de l’Union européenne.

    Le présent règlement est obligatoire dans tous ses éléments et directement applicable dans tout État membre.

    Fait à Bruxelles, le 5 février 2021.

    Par le Conseil

    Le président

    A. P. ZACARIAS

    (1) JO L 344 du 28.12.2001, p. 70.

    (2) Règlement d’exécution (UE) 2020/1128 du Conseil du 30 juillet 2020 mettant en œuvre l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE) no 2580/2001 concernant l’adoption de mesures restrictives spécifiques à l’encontre de certaines personnes et entités dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et abrogeant le règlement d’exécution (UE) 2020/19 (JO L 247 du 31.7.2020, p. 1).

    (3) Position commune 2001/931/PESC du Conseil du 27 décembre 2001 relative à l’application de mesures spécifiques en vue de lutter contre le terrorisme (JO L 344 du 28.12.2001, p. 93).

    ANNEXE

    LISTE DES PERSONNES, GROUPES ET ENTITÉS VISÉE À L’ARTICLE 1ER

    I. PERSONNES

    1.
    ABDOLLAHI Hamed (alias Mustafa Abdullahi), né le 11.8.1960 en Iran. Numéro de passeport : D9004878.

    2.
    AL-NASSER, Abdelkarim Hussein Mohamed, né à Al Ihsa (Arabie saoudite), citoyen saoudien.

    3.
    AL YACOUB, Ibrahim Salih Mohammed, né le 16.10.1966 à Tarout (Arabie saoudite), citoyen saoudien.

    4.
    ARBABSIAR Manssor (alias Mansour Arbabsiar), né le 6.3.1955 ou le 15.3.1955 en Iran. De nationalité iranienne et américaine. Numéro de passeport : C2002515 (Iran) ; Numéro de passeport : 477845448 (États-Unis d’Amérique). Numéro de pièce nationale d’identité : 07442833, date d’expiration : le 15.3.2016 (permis de conduire américain).

    5.
    ASSADI Assadollah, né le 22.12.1971 à Téhéran (Iran), de nationalité iranienne. Numéro de passeport diplomatique iranien : D9016657.

    6.
    BOUYERI, Mohammed (alias Abu ZUBAIR ; alias SOBIAR ; alias Abu ZOUBAIR), né le 8.3.1978 à Amsterdam (Pays-Bas).

    7.
    EL HAJJ, Hassan Hassan, né le 22.3.1988 à Zaghdraiya, Sidon, Liban, citoyen canadien. Numéro de passeport : JX446643 (Canada).

    8.
    HASHEMI MOGHADAM Saeid, né le 6.8.1962 à Téhéran (Iran), de nationalité iranienne. Numéro de passeport : D9016290, valable jusqu’au 4.2.2019.

    9.
    IZZ-AL-DIN, Hasan (alias GARBAYA, Ahmed ; alias SA-ID ; alias SALWWAN, Samir), Liban, né en 1963 au Liban, citoyen libanais.

    10.
    MELIAD, Farah, né le 5.11.1980 à Sydney (Australie), citoyen australien. Numéro de passeport : M2719127 (Australie).

    11.
    MOHAMMED, Khalid Shaikh (alias ALI, Salem ; alias BIN KHALID, Fahd Bin Adballah ; alias HENIN, Ashraf Refaat Nabith ; alias WADOOD, Khalid Adbul), né le 14.4.1965 ou le 1.3.1964 au Pakistan, numéro de passeport : 488555.

    12.
    ȘANLI, Dalokay (alias Sinan), né le 13.10.1976 à Pülümür (Turquie).

    13.
    SHAHLAI Abdul Reza (alias Abdol Reza Shala’i ; alias Abd-al Reza Shalai ; alias Abdorreza Shahlai ; alias Abdolreza Shahla’i ; alias Abdul-Reza Shahlaee ; alias Hajj Yusef ; alias Haji Yusif ; alias Hajji Yasir ; alias Hajji Yusif ; alias Yusuf Abu-al-Karkh), né vers 1957 en Iran. Adresses : 1) Kermanshah, Iran ; 2) base militaire de Mehran, province d’Ilam, Iran.

    14.
    SHAKURI Ali Gholam, né vers 1965 à Téhéran, Iran.

    II. GROUPES ET ENTITÉS

    1.
    « Organisation Abou Nidal » — « ANO » (également connue sous les noms de « Conseil révolutionnaire du Fatah », « Brigades révolutionnaires arabes », « Septembre noir » et « Organisation révolutionnaire des musulmans socialistes »).

    2.
    « Brigade des martyrs d’Al-Aqsa ».

    3.
    « Al-Aqsa e.V ».

    4.
    « Babbar Khalsa ».

    5.
    « Parti communiste des Philippines », y compris la « Nouvelle armée du peuple » — « NAP », Philippines.

    6.
    Direction de la sécurité intérieure du ministère iranien du renseignement et de la sécurité.

    7.
    « Gama’a al-Islamiyya » (également connu sous le nom de « Al-Gama’a al-Islamiyya ») (« Groupe islamique » — « GI »).

    8.
    « İslami Büyük Doğu Akıncılar Cephesi » — « IBDA-C » (« Front islamique des combattants du Grand Orient »).

    9.
    Hamas », y compris le « Hamas-Izz al-Din al-Qassem ».

    10.
    « Hizballah Military Wing » (« branche militaire du Hezbollah ») [également connu sous les noms de « Hezbollah Military Wing », « Hizbullah Military Wing », « Hizbollah Military Wing », « Hezballah Military Wing », « Hisbollah Military Wing », « Hizbu’llah Military Wing », « Hizb Allah Military Wing » et « Jihad Council » (« Conseil du Djihad ») (et toutes les unités placées sous son autorité, dont l’Organisation de la sécurité extérieure)].

    11.
    « Hizbul Mujahideen » — « HM ».

    12.
    « Khalistan Zindabad Force » — « KZF ».

    13.
    « Parti des travailleurs du Kurdistan » — « PKK » (également connu sous les noms de « KADEK » et « KONGRA-GEL »).

    14.
    « Tigres de libération de l’Eelam tamoul » — « LTTE ».

    15.
    « Ejército de Liberación Nacional » (« Armée de libération nationale »).

    16.
    « Jihad islamique palestinien » — « JIP ».

    17.
    « Front populaire de libération de la Palestine » — « FPLP ».

    18.
    « Front populaire de libération de la Palestine — Commandement général » (également connu sous le nom de « FPLP » — « Commandement général »).

    19.
    « Devrimci Halk Kurtuluș Partisi-Cephesi » — « DHKP/C » [également connu sous les noms de « Devrimci Sol » (« Gauche révolutionnaire ») et « Dev Sol »] (« Armée/Front/Parti révolutionnaire populaire de libération »).

    20.
    « Sendero Luminoso » — « SL » (« Sentier lumineux »).

    21.
    « Teyrbazen Azadiya Kurdistan » — « TAK » (également connu sous le nom de « Faucons de la liberté du Kurdistan »).

    #Europe #législation #terrorisme #wtf

  • Francesca Albanese, UN Special Rapporteur oPt sur X :
    https://x.com/FranceskAlbs/status/1837473379940483276

    Let’s return to basics: killing anyone who poses no imminent threat & using violence to terrorize civilians are both crimes. We, #UNexperts, demand a swift #investigation into the attacks on #Lebanon, ensuring that those who ordered & executed these heinous acts are brought to justice, including through #UniversalJurisdiction in domestic courts.

    Together, we can overcome this alarming and dehumanizing chapter in history.

    #Liban #terrorisme_sioniste

  • Algérie : 2 bergers massacrés à Tlemcen & 2 terroristes abattus à Tébessa
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4661

    Certains citoyens politisés et responsables algériens attribuent la recrudescence des attaques armées à la « main étrangère », qui a des visées pour déstabiliser le pays. Une "théorie du complot" servant les tenants du pouvoir et qui refusent l’alternance. Des « services de renseignement étrangers hostiles », disent-ils, ciblent la sécurité du pays, avec une certaine opposition qui viserait, en interne, les institutions. Quand ces dernières sont corruption et incompétence, la violence politisée devient un canal et une offre aux jeunes qui ne quittent pas le pays par la mer… #nationale,_fait_politique,_une_et_première_page,_médias,_actualité,_pays,_france,_afrique,_maghreb

    / Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société , Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , Afrique, (...)

    #Maghreb,Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société #Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique, #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion #Journalisme,_presse,_médias

  • Todesangst im Libanon : « Mein Telefon könnte eine Zeitbombe sein »
    https://www.stern.de/politik/ausland/libanon---terror-aus-der-hosentasche--es-haette-jeden-treffen-koennen-35078734

    L’état d’Israel a peut-être réussi un coup contre l’organisation militaire du Hezbollah , mais il s’est montré brutal et sans scrupules par un acte de terrorisme contre la population du Liban. C"est ce qu’on peut lire dans la revue Stern , le Paris Match allemand. Il est de plus en plus difficile pour les cercles philosemites allemands de faire passer leur message de soutien sans condition à l’état juif. Quand on ajoute à ce problème l’opposition massive au stationnement de nouvelles fusées états-uniennes ultra rapides équipées de têtes nucléaires, on arrive à la conclusion que le gouvernement national agit contre l’opinion du peuple. Problème : il n’y a pas de mouvement pour la paix assez important pour le faire changer de politique..

    19.9.2024 von Susanne Nasr - Die explodierenden Pager sollten die Hisbollah treffen. Doch die Hisbollah ist überall. Vom furchtbaren Preis der neuen Kriegszüge Israels und von einem Land im Schockzustand.

    Die explodierenden Pager sollten die Hisbollah treffen. Doch die Hisbollah ist überall. Vom furchtbaren Preis der neuen Kriegszüge Israels und von einem Land im Schockzustand.

    Viel Schadenfreude, wenig Mitgefühl. Auf diese kurze Formel lässt sich bringen, wie Menschen im Libanon die internationalen Reaktionen auf den unfassbaren Horror empfinden, den sie am Dienstag und Mittwoch dieser Woche durchlebt haben. Mit Wörtern wie „raffiniert“, „erstaunlich“ und „beeindruckend“ hätten sogenannte „demokratische Medien“ die tausendfachen Explosionen „gefeiert“, die zu Dutzenden Toten und Tausenden von Verletzten vor allem im Südlibanon und in der Hauptstadt Beirut geführt haben, moniert auf Facebook der libanesische Journalist Habib Battah, Gründer der Webseite Beirutreport.com und Dozent an der American University of Beirut (AUB).
    Stattdessen wird die Technik bewundert

    „So kann man nur berichten, wenn man den Menschen, über die man berichtet, jegliches Menschsein abspricht.“ Würde ein solcher Angriff auf Israel oder die USA ähnlich kommentiert? „Nein“, ist sich der Journalist sicher, „die Opfer würden betrauert – aber da es um den Libanon geht, wird die Technik bewundert, die diesen Angriff ermöglicht hat.“

    Noch sind nicht alle Details bekannt, wie genau der israelische Geheimdienst es geschafft hat, die Lieferkette für tausende von der libanesischen Hisbollah bestellte und verteilte Pager und Funkgeräte zu infiltrieren und Geräte herzustellen und zu liefern, die simultan per Knopfdruck gesprengt werden konnten. Eines aber ist jetzt schon klar: Die Explosionen haben nicht nur enormes menschliches Leid verursacht, sondern ein Volk, das mit großer Resilienz seit Jahren einer Krise nach der anderen trotzt, in einen kollektiven Schockzustand gestürzt.

    Der israelische Verteidigungsminister spricht von der „nächsten Phase des Krieges“, und die Welt bestaunt „das Meisterstück des israelischen Geheimdiensts“ Mossad gegen den Erzfeind Hisbollah. Die Menschen im Libanon aber erleben einen apokalyptischen Endzeitfilm.

    „Die Menschen fielen einfach um. Ein kurzer Knall, und im Obstladen liegt ein Mensch blutüberströmt auf dem Boden“, beschreibt ein Freund aus Beirut eine Szene, die sich tausendfach im Land abspielte: an Supermarktkassen, in Apotheken, beim Metzger, auf der Straße. Der über lange Zeit hinweg vorbereitete Angriff mag vor allem Mitgliedern und Kämpfern der libanesischen Hisbollah-Miliz gegolten haben – durch die Art der Ausführung und das Timing haben die Angreifer jedoch bewusst in Kauf genommen, dass es jeden und jede im Libanon treffen konnte, überall.

    Warum musste die neunjährige Fatima sterben?

    Ein ganzes Volk als Kollateralschaden. Wie zum Beispiel erklärt ein Vater seinem zehnjährigen Sohn, warum auf einmal die rechte Hand des Mannes, der eben noch auf einem Motorrad im dichten Beiruter Verkehr neben ihnen fuhr, durch die Luft fliegt, vom Körper getrennt durch die Explosion des Pagers, den er aus der Tasche genommen hatte, weil er gepiept hatte?

    Warum musste die neunjährige Fatima Abdullah im südlibanesischen Dorf Saraain sterben? Ihr Verbrechen? Sie war gerade vom ersten Schultag in der 4. Klasse nach Hause gekommen, als sie den Pager ihres Vaters piepen hörte. Sie lief zu dem Gerät, um es ihm zu bringen, nahm es hoch – und es explodierte in ihrer Hand.

    Gezielter Angriff auf Terroristen? Wohl kaum. Regel Nr. 11 des Humanitären Völkerrechts besagt: „Unterschiedslose Angriffe sind verboten.“ Dazu gehören alle Angriffe, „bei denen Kampfmethoden oder -mittel angewendet werden, die nicht gegen ein bestimmtes militärisches Ziel gerichtet werden können“.

    Eine ferngesteuerte Zündung tausender Funkrufempfänger, wo oder in wessen Nähe auch immer diese sich gerade befinden, ist unterschiedslos. Was, wenn einer der Besitzer eines Pagers damit gerade zufällig an Bord eines Flugzeugs gewesen wäre? An einer Tankstelle sein Auto mit Benzin befüllt hätte? Einen Lastwagen durch ein belebtes Viertel oder auf einer Autobahn gesteuert hätte? Terror ist die Verbreitung von Angst und Schrecken durch Gewaltaktionen. Passender kann man die ferngesteuerte Zündung Tausender manipulierter Kommunikationsgeräte nicht beschreiben.

    Die Panik im Libanon ist allgegenwärtig und betrifft alle, egal ob Verbündeter oder Todfeind der Hisbollah. In Todesangst haben Menschen die Batterien für ihre Solarzellen vom Netz genommen, weil es Gerüchte gab, dass auch Solaranlagen ferngesprengt worden seien. Dabei ist der Solarstrom im Libanon angesichts des maroden und völlig überforderten staatlichen Stromnetzes der einzige Weg, einigermaßen verlässlich mit Strom versorgt zu sein.
    Libanon: Das Land, in dem Kommunikationsmittel zur Gefahr werden

    Auch Mobiltelefone, eigentlich ständige Begleiter fast aller Libanesen, machen Angst. „Schalte sofort dein Handy aus“, schrie in einer der unübersichtlichen Straßenszenen der letzten Tage eine Frau – in ihr Handy, der Person am anderen Ende zu, sich der Ironie der Szene sichtlich nicht bewusst.

    Denn was machen Menschen in einer unübersichtlichen Notlage mit vielen Verletzten, viel Angst und wenig verlässlichen Informationen? Sie versuchen, ihre Liebsten zu erreichen, wollen sich versichern, dass die Familie, die Kinder, der Ehemann unversehrt sind – was aber tun, wenn das Kommunikationsmittel selbst zur tödlichen Gefahr wird? Der ägyptische Satiriker Bassem Youssef drückte es so aus: „Und plötzlich sind mein Telefon, unsere Überwachungskamera, die Tablets unserer Kinder Zeitbomben, die auf Geheiß eines Landes explodieren. Ein ganzes Land als Geisel. Die ganze Welt als Geisel.“

    „Ich traue mich nirgendwo mehr hin“

    Vor einer unterschiedslosen Kriegsführung, das ist seit Monaten im Gazastreifen zu beobachten, gibt es keinen Schutz, kein Entkommen. Zivilisten, egal wie viele, egal ob Kinder oder Frauen, werden zum legitimen Kollateralschaden erklärt. „Hisbollah ist überall“, sagt Amal Hassan* aus der südlibanesischen Stadt Tyr, die nur knapp 30 Kilometer von der israelischen Nordgrenze entfernt liegt. „Ich traue mich nirgends mehr hin, nicht einmal ins Fitnessstudio, weil jeder jederzeit überall angegriffen werden kann.“

    Dabei war das Fitnessstudio über die vergangenen Monate eine letzte Zuflucht gewesen, seit sie wegen der ständig über Tyr kreisenden Drohnen das Joggen aufgegeben hat. „Das mag banal erscheinen – aber Sport war für mich ein Weg, nicht in eine Depression zu verfallen.“

    Nach einem israelischen Luftangriff steigt Rauch über Madschdal Zun auf, einem Dorf im Südlibanon

    Denn in Tyr und dem gesamten südlichen Libanon entlang der Grenze zu Israel herrscht seit fast einem Jahr praktisch Ausnahmezustand. Viele Dörfer stehen leer, weil die Bewohner bei Verwandten in nördlicheren Landesteilen Zuflucht gesucht haben. Über Monate hinweg lebte der Libanon eine geteilte Realität: Kriegsalltag mit Drohnen- und Raketenangriffen im Süden, Partysommer trotz Wirtschafts- und politischer Krise im Rest des Landes.

    Jetzt ist das Land wieder vereint: in der Angst vor dem Terror aus der Hosentasche.

    Zur Person

    Die Journalistin und Autorin Susanne Nasr berichtete viele Jahre aus Krisengebieten von Afghanistan bis Irak. Sie lebte acht Jahre lang im Libanon, wo sie Hunderte Journalisten aus 17 arabischen Staaten in digitaler Sicherheit schulte. Als Direktorin für die Region „Middle East and North Africa“ der Hilfs-Organisation „Internews“ arbeitet sie heute von Berlin aus .

    * Name von der Redaktion geändert.

    • De quelques approches de la notion de #terrorisme (et de son apologie) :

      Le terrorisme est l’emploi de la terreur2 à des fins idéologiques, politiques ou religieuses3.

      (chez Wikipedia)

      Tactique d’emploi de la violence (sabotages, attentats, assassinats, enlèvements, prise d’otages...) à des fins politiques, pour déstabiliser et frapper massivement l’opinion publique et les États concernés. Le terrorisme peut être le fait d’individus ou de groupes non-étatiques en lutte contre un régime politique, mais également constituer un mode de gouvernement par la terreur ; il s’agit alors de terrorisme d’État.

      (chez Le Monde Diplomatique)

      Côté scientifique, le terrorisme demeure aussi objet de débat pour les chercheurs. Quelques critères déterminants peuvent cependant être retenus :

      L’usage ou la menace d’une forme de violence extrême, intentionnelle, disproportionnée, entraînant des destructions de vies, d’infrastructures, d’informations ;
      L’intention d’intimider ou de déstabiliser un système en place (État, société, groupe humain ou politique), pour le détruire ou le pousser à agir contre sa volonté ;
      Le caractère souvent organisé (cellule, mouvance, réseau…) d’un phénomène se réclamant d’une idéologie, même si l’acte peut être solitaire ;
      Une dimension spectaculaire, destinée à frapper l’opinion publique ;
      L’existence d’objectifs politiques, religieux, sociaux …
      Le rejet des lois nationales et internationales au nom d’une « légitimité » autre.

      (chez musee-memorial-terrorisme.fr)

      Vous avez trouvé sur le web ou dans la presse un contenu qui défend le terrorisme ou qui incite à commettre des actes terroristes ? Il s’agit de provocation ou d’apologie du terrorisme.

      (chez Service-Public.fr)

      Lutte contre le terrorisme

      Si le terrorisme peut revêtir de multiples formes, il trouve toujours ses origines dans une idéologie extrémiste qui adopte la violence comme mode d’action.

      (sur le site de la DGSI)

      #double_standart

      Se pencher aussi sur les tweets abjects apparus peu après l’opération israélienne notamment celui de Meyer Habib)

      image recyclée de cet autre article de presse :

      #salopards

  • Immigration : l’Allemagne assume de se replier sur elle-même

    La ministre de l’intérieur sociale-démocrate a annoncé lundi 9 septembre rétablir les contrôles aux frontières. Un sommet s’est tenu mardi pour discuter d’éventuelles mesures supplémentaires en matière migratoire, en présence des conservateurs de la CDU-CSU.

    En théorie, les contrôles aux frontières intérieures ne devraient pas avoir lieu au sein de l’Union européenne (UE). Mais ils sont exceptionnellement possibles, depuis une récente réforme du #code_Schengen, lorsqu’un pays estime que l’#ordre_public ou sa #sécurité_intérieure sont susceptibles d’être menacés.

    Il n’en fallait pas plus à l’Allemagne pour décider de rétablir les contrôles à ses frontières, et à Nancy Faeser, ministre de l’intérieur, pour l’annoncer publiquement, lundi 9 septembre. Ceux-ci démarreront le 16 septembre. « Nous renforçons la sécurité intérieure et poursuivons notre #ligne_dure contre l’immigration irrégulière », a assumé la ministre, mettant en avant les « #menaces actuelles du #terrorisme_islamiste et de la #criminalité_transfrontalière ».

    Le gouvernement a, selon elle, informé la Commission européenne et ses voisins directs de cette décision, qui semble surtout vouloir satisfaire le parti d’extrême droite AfD (Alternative für Deutschland, Alternative pour l’Allemagne) – arrivé en tête des dernières élections régionales en Thuringe et en Saxe, dans l’est du pays – mais aussi les conservateurs de la CDU-CSU.

    Mardi 10 septembre après-midi, un sommet sur les migrations se tenait pour acter cette mesure et trouver des compromis avec l’opposition, insatisfaite, réclamant toujours davantage de restrictions sur les mouvements migratoires. Si les conservateurs de la CDU-CSU n’étaient pas certains d’y participer jusqu’à la dernière minute, ils ont finalement annoncé leur présence au sommet mardi matin : « Nous verrons si nous avons le même point de vue et si nous pouvons agir ensemble », a glissé Friedrich Merz, chef du groupe, au journal Der Spiegel.

    Enfermer les exilés à la frontière

    Très vite, les Verts ont dénoncé des « tentatives de chantage tout simplement ridicules ». « Friedrich Merz se comporte comme un enfant rebelle », a estimé la cheffe du groupe parlementaire des Verts, Irene Mihalic. Les représentant·es de la CDU-CSU ont d’ailleurs décidé de claquer la porte, en pleine réunion, comme le rapporte Der Spiegel, estimant que les négociations avaient échoué.

    La principale mesure évoquée lors du sommet vise à créer des #centres pour y enfermer les personnes migrantes à la frontière en attendant d’examiner leur situation, et de les expulser si elles n’expriment pas le souhait de demander l’asile, ou de les renvoyer vers le premier pays de l’UE par lequel elles sont passées, responsable de leur demande d’asile en vertu du règlement Dublin. Si les capacités de #détention ne sont pas suffisantes, les intéressées pourraient être placées en #garde_à_vue, « en raison d’un #risque_de_fuite, afin de sécuriser la procédure et les empêcher de se cacher », précise Der Spiegel.

    Pour renforcer l’idée de « #fermeté » sur la question migratoire, le gouvernement a en effet annoncé lundi que des #refoulements seraient organisés aux frontières, pour empêcher les exilé·es d’accéder au territoire allemand de manière dite illégale. Une mesure demandée par le chef du groupe d’opposition, et qui peut être contraire au droit international et à la convention de Genève relative aux réfugié·es si les personnes concernées ne parviennent pas à demander l’asile alors qu’elles le souhaitent.

    La Commission européenne a réclamé des mesures « proportionnées » et « strictement exceptionnelles », estimant que le retour des contrôles aux frontières intérieures de l’UE était une possibilité. Elle a déjà annoncé qu’elle « évaluerait la situation » une fois toutes les mesures annoncées de manière officielle.

    Les pays voisins, de leur côté, voient déjà d’un mauvais œil que des exilé·es passé·es par leur territoire pour rejoindre l’Allemagne leur soient « retourné·es ». Dès lundi et l’annonce de ces mesures, le ministre autrichien de l’intérieur, Gerhard Karner, a prévenu que son pays n’accueillerait aucune personne migrante refoulée par l’Allemagne à la frontière. « Il n’y a pas de marge de manœuvre là-bas », a-t-il déclaré, cité par le journal Bild.

    30 000 personnes refoulées depuis octobre

    Mardi, le premier ministre polonais a qualifié la décision du gouvernement d’Olaf Scholz d’« inacceptable », précisant que dans les prochaines heures, il s’adresserait « aux autres pays affectés afin de se concerter d’urgence sur une réaction au sein de l’UE, avec tous les voisins de l’État allemand ». Donald Tusk a par ailleurs plaidé pour « la surveillance et la sécurisation des frontières extérieures » de l’UE, expliquant que c’était ce dont « la Pologne avait besoin ».

    Le revirement de l’Allemagne en matière migratoire en surprend plus d’un. Avec plus de deux millions de personnes accueillies depuis 2015 (sans parler des Ukrainien·nes, plus d’un million de réfugié·es pour cette seule nationalité), le pays suit aujourd’hui un schéma de #repli, poussé par les extrêmes droites européennes, faisant le lien direct entre #sécurité et #immigration et criminalisant les personnes exilées qui, dans l’écrasante majorité des cas, souhaitent trouver refuge en Allemagne et reconstruire leur vie après avoir connu la guerre ou la misère.

    Nancy Faeser s’est déjà targuée d’avoir permis de refouler près de 30 000 personnes migrantes depuis octobre 2023, notamment grâce à un renforcement des contrôles à ses frontières avec la Pologne, la #République_tchèque, la #Suisse et l’Autriche. Pire, l’Allemagne a également repris les #expulsions de ressortissant·es afghan·es en août dernier – soit trois ans après la prise de pouvoir par les talibans.

    Une première dans un tel contexte, visant à répondre à certains #attentats et crimes impliquant des exilés, comme l’attaque au couteau perpétrée dans la nuit du 23 au 24 août à Solingen par un Syrien faisant l’objet d’une mesure d’éloignement, ou celle de Mannheim, perpétrée par un jeune Afghan, en mai dernier.

    « Il s’agit de ressortissants afghans, tous condamnés par la justice et sans droit de rester en Allemagne et qui ont fait l’objet d’ordres d’expulsion », s’est justifié le porte-parole du gouvernement Steffen Hebestreit dans un communiqué.

    Celui-ci a expliqué avoir demandé à « des partenaires régionaux clés un soutien », sans toutefois préciser lesquels, pour faciliter ces expulsions vers l’Afghanistan, où de nombreux hommes et femmes risquent leur vie. Vingt-huit réfugiés afghans ont alors été éloignés.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/100924/immigration-l-allemagne-assume-de-se-replier-sur-elle-meme

    #contrôles_frontaliers #frontières #migrations #réfugiés #asile #fermeture_des_frontières #Autriche #refoulements #push-backs #Pologne #criminalisation_de_la_migration

  • First We Take Manhattan
    https://www.youtube.com/watch?v=W0rZ2CPCYBQ&t=21

    Il y a des monuments d’art dont on aimerait oublier la puissance dl’anticipation.

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/First_We_Take_Manhattan

    “First We Take Manhattan” is a song written by Canadian singer-songwriter Leonard Cohen. It was originally recorded by American singer Jennifer Warnes on her 1986 Cohen tribute album Famous Blue Raincoa
    ...
    The song’s oblique lyrics are suggestive of religious and end time themes, with references to prayer, meaningful birthmarks and signs in the sky. Writing for The Guardian in 2015, Ben Hewitt drew attention to the lyrics’ apocalyptic nature, imagining Cohen “greedily eyeing world domination like a Bond villain”. Rolling Stone magazine’s Mikal Gilmore similarly described the song as a threatening vision of “social collapse and a terrorist’s revenge”. The Daily Telegraph’s Robert Sandall likewise observed the prophetic character of the song, but emphasized the song’s political statement, placing it in the context of the last days of the Soviet Union.

    Cohen explained himself in a backstage interview at 1988: “I think it means exactly what it says. It is a terrorist song. I think it’s a response to terrorism. There’s something about terrorism that I’ve always admired. The fact that there are no alibis or no compromises. That position is always very attractive. I don’t like it when it’s manifested on the physical plane – I don’t really enjoy the terrorist activities – but Psychic Terrorism. I remember there was a great poem by Irving Layton that I once read, I’ll give you a paraphrase of it. It was ’well, you guys blow up an occasional airline and kill a few children here and there’, he says. ’But our terrorists, Jesus, Freud, Marx, Einstein. The whole world is still quaking.’”

    Paroles de First We Take Manhattan

    They sentenced me to twenty years of boredom
    For tryin’ to change the system from within
    I’m coming now, I’m coming to reward them
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    I’m guided by a signal in the heavens
    I’m guided by this birthmark on my skin
    I’m guided by the beauty of our weapons
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    I’d really like to live beside you, baby
    I love your body and your spirit and your clothes
    But you see that line there moving through the station?
    I told you, I told you, told you, I was one of those
    Ah you loved me as a loser, but now you’re worried that I just might win
    You know the way to stop me, but you don’t have the discipline
    How many nights I prayed for this, to let my work begin
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    I don’t like your fashion business, mister
    And I don’t like these drugs that keep you thin
    I don’t like what happened to my sister
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    I’d really like to live beside you, baby
    I love your body and your spirit and your clothes
    But you see that line there moving through the station?
    I told you, I told you, told you, I was one of those

    And I thank you for those items that you sent me
    The monkey and the plywood violin
    I practiced every night, now I’m ready
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    (I am guided)

    Ah remember me, I used to live for music (baby)
    Remember me, I brought your groceries in (ooh baby yeah)
    Well it’s Father’s Day and everybody’s wounded (baby)
    First we take Manhattan, then we take Berlin

    #musique #poésie #USA #Allemagne #Israel #terrorisme #apocalypse

  • Stop méga-bassines : De Saint-Sauvant à la Rochelle, Les rendez-vous et objectifs de la mobilisation - La Grappe
    https://lagrappe.info/?Stop-mega-bassines-du-16-au-21-juillet-Plus-de-120-organisations-appelle

    Acte 1 : du 16 au 21 juillet : Tous-tes au Village de l’Eau à Melle

    Toute la semaine et dès le mardi 16 juillet, le Village de l’Eau à Melle sera un lieu de débats, de convivialité politique, de formation et de fête. Une riche programmation (https://www.bassinesnonmerci.fr/bnm79/2023/11/09/20-21-juillet-2024-stop-mega-bassines-prochaine-mobilisation-internationale/#prog-stopbassines-2024) permettra d’échanger autour des luttes pour l’eau à travers le pays et le monde. Le village sera un lieu privilégié pour s’informer sur les luttes paysannes, écologistes et sociales en cours. Un espace pour se former à l’action collective et approfondir nos alliances internationales pour la justice sociale et climatique. Un moment pour préparer la rentrée sociale. Dès cet été, il s’agit de commencer à s’organiser pour amplifier et faire confluer nos forces contre les politiques néo-libérales, le ravage écologique, la précarité sociale et la montée de l’extrême droite.

    Acte 2 : 19 juillet - Saint-Sauvant - Pas de méga-bassines ni dans la Vienne ni ailleurs !

    Le vendredi 19/07, nous vous donnons rendez-vous dans la Vienne à 12h00 dans la forêt de Saint-Sauvant, ancien maquis de la résistance Francs Tireurs Partisans, pour une grande marche populaire et un convoi de vélos. Cette journée marquera notre détermination à empêcher le démarrage de tout nouveau chantier de bassines, notamment celui annoncé pour septembre 2024 à Saint-Sauvant. Elle aura aussi pour objectif de visibiliser des coopératives agro-industrielles de la Vienne à la Limagne, qui militent activement pour les méga-bassines. Le démarrage des travaux en Vienne engendrerait inévitablement une escalade de la tension. Il est encore temps de faire « bassine arrière » alors même que ce chantier est fragilisé par le recours juridique contre le permis d’aménager dont l’audience se tiendra le 16 juillet.

    Acte 3 : 20 juillet – La Rochelle - Terminal agro-industriel portuaire de la Pallice - Bloquons les méga-bassines à la source !

    Le samedi 20/07, rendez-vous à 10h00 à La Rochelle pour une manifestation fleuve. Nous confluerons massivement en direction du terminal agro-industriel du port de La Pallice, dans une ambiance de carnaval. Nous appelons à prendre kayaks, paddle et autres bateaux gonflables pour l’encercler et le bloquer joyeusement. À la croisée des importations de soja et des exportations de céréales, des flux de pesticides et d’engrais chimiques, le port est le dernier maillon de la chaîne du système-bassines. La prolifération des méga-bassines en amont et l’agrandissement du port en aval sont les deux faces d’une même pièce d’un business juteux capturé par les méga-coopératives, telles que Sica Atlantique ou Océalia ou les autres acteurs majeurs du port comme Total, Lafarge ou Bolloré. Le port est le point nodal d’un système qui fait primer la spéculation financière et le libre échange sur la préservation des communs que sont la terre et l’eau, la juste rétribution des travailleur-euses de la terre, la défense de la biodiversité, l’accès populaire à une alimentation qualitative et la solidarité internationale. En confluant sur le port de La Pallice, le mouvement contre les méga-bassines entend remonter à la source du ravage.

  • Comment Israël cible les #journalistes à Gaza : « Le gilet presse nous met désormais en danger »
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/25/comment-israel-cible-les-journalistes-a-gaza-le-gilet-presse-nous-met-desorm

    Les bombardements israéliens sur #Gaza ont causé la mort de 108 journalistes depuis le 7 octobre. Une enquête menée par la plate-forme Forbidden Stories et douze médias internationaux, dont « Le Monde », suggère qu’une partie de ces frappes était délibérée.

    #sionisme #terrorisme #impunité

  • Lettre au défunt Matoub Lounes.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4638

    Assassiné le 25 juin 1998, le chantre des libertés en Algérie avait la personnalité qui collait au parcours des militants résolus à l’érection de la démocratie pour « Tamurt » (le pays). Dix ans auparavant, en octobre 1988, il était contre le saccage des biens publics. Il a été blessé par les gendarmes, par erreur... 5- Correspondances : De nos correspondants permanents et occasionnels.

    / Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , fait divers, société, fléau, délinquance, religion , Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,, #arts,_culture,_littérature,_cinéma,_critique,_performances,_styles, Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, (...)

    #5-_Correspondances_:De_nos_correspondants_permanents_et_occasionnels. #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique, #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion #Afrique,Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #Maghreb,_Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société

  • « Gaza Project » : comment Forbidden Stories a enquêté sur la mort de plus de 100 journalistes à Gaza

    25 juin 2024 – Par Cécile Andrzejewski, Léa Péruchon et Phineas Rueckert - Forbidden Stories
    https://forbiddenstories.org/fr/gaza-project-comment-forbidden-stories-a-enquete-sur-lassassinat-d

    « C’est l’une des attaques les plus flagrantes contre la liberté de la presse que j’ai jamais connues. L’impact dans ce domaine à Gaza, dans la région et dans le reste du monde est quelque chose que nous ne pouvons pas accepter. »

    Le directeur du programme du Comité pour la protection des journalistes (CPJ) Carlos Martínez de la Serna ne mâche pas ses mots à propos du bilan meurtrier infligé à la profession par le conflit à Gaza.

    Bien que les chiffres varient, les premières estimations du CPJ dénombrent 103 journalistes palestiniens parmi les plus de 37 000 morts de la guerre d’Israël contre Gaza depuis le 7 octobre 2023. Ce jour-là, des membres du Hamas, considéré comme organisation terroriste selon les États-Unis et l’Union Européenne, avaient attaqué Israël, tuant plus de 1 100 personnes, dont 767 civils, et prenant au moins 200 otages. Cinq autres journalistes – deux Israéliens et trois Libanais – font également partie des victimes, ce qui porte le nombre total de décès de journalistes à 108 en moins d’un an, selon le CPJ.

    Réagissant à ce nombre record, Forbidden Stories, dont la mission est de poursuivre le travail de journalistes tués, a enquêté sur le ciblage de professionnels de l’information à Gaza, mais aussi sur d’autres cas de membres de la presse qui auraient été visés, menacés ou blessés depuis le 7 octobre.

    #Génocide

  • Guerra e tecnica: l’umano gesto sotto attacco
    https://radioblackout.org/2024/06/guerra-e-tecnica-lumano-gesto-sotto-attacco

    Era il 1970 quando gli Stati Uniti lanciarono l’operazione Iglù bianco: un aereo della marina lanciò decine di migliaia di microfoni per cogliere i passi dei guerriglieri, rilevatori d’attività sismica per cogliere vibrazioni minime sul terreno, sensori olfattivi per cercare l’ammoniaca presente nell’urina umana. Dispositivi di raccolta dati direttamente legati ai bombardamenti a tappeto in […]

    #L'informazione_di_Blackout #cibernetica #guerra_all'umano #guerra_totale
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2024/06/guerratecnica.mp3

  • Espace Schengen : l’Union européenne adopte de nouvelles règles pour les contrôles aux frontières
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/05/24/espace-schengen-l-union-europeenne-adopte-de-nouvelles-regles-pour-les-contr

    Espace Schengen : l’Union européenne adopte de nouvelles règles pour les contrôles aux frontières
    Publié le 24 mai 2024 à 19h58, modifié le 24 mai 2024 à 19h59
    L’Union européenne a adopté, vendredi 24 mai, une réforme du code Schengen, destinée notamment à clarifier le cadre prévu pour la réintroduction des contrôles aux frontières intérieures de l’espace de libre circulation, et à harmoniser les restrictions en cas d’urgence sanitaire. La réforme, sur laquelle les négociateurs avaient trouvé un accord en février, vise aussi à contrôler les mouvements migratoires au sein de l’espace Schengen et à répondre aux situations d’instrumentalisation des migrants par des pays tiers.
    Elle permet à un Etat membre de « transférer les ressortissants de pays tiers appréhendés dans la zone frontalière et séjournant illégalement sur son territoire vers l’Etat membre d’où ils sont directement arrivés ». « L’arrestation devra avoir lieu dans un cadre de coopération bilatérale », précise dans un communiqué le Conseil de l’UE représentant les Vingt-Sept.
    Afin de lutter contre les tentatives de pays tiers d’orchestrer l’arrivée de migrants dans le bloc, comme la Biélorussie et la Russie ont été accusées de le faire à des fins de déstabilisation, les nouvelles règles permettront notamment aux Etats membres de limiter le nombre de points de passage aux frontières. Elles permettent aussi de prendre des mesures contraignantes au niveau européen pour restreindre l’accès de ressortissants de pays tiers au bloc en cas d’urgence sanitaire de grande ampleur. Pendant la pandémie de Covid-19, Bruxelles n’avait pu émettre que des recommandations non contraignantes à l’intention des Etats membres pour tenter d’harmoniser les restrictions imposées aux voyageurs entrant dans l’UE. La réforme du code Schengen a été proposée en décembre 2021 par la Commission européenne pour tirer les leçons de la crise du Covid-19, qui avait donné lieu à des restrictions en pagaille. Selon les nouvelles règles, le Conseil de l’UE pourra aussi imposer des tests et des mesures de quarantaine.
    Au sein de l’espace Schengen, qui regroupe 27 pays – dont 23 Etats membres de l’UE plus l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse –, plus de 400 millions de personnes peuvent en principe circuler sans être soumises à des contrôles. Depuis mars, deux autres pays, la Bulgarie et la Roumanie, ont partiellement rejoint ce groupe.
    Mais depuis 2015, invoquant la pression migratoire ou la menace terroriste, un certain nombre de pays ont réintroduit des contrôles d’identité à leurs frontières. Ils sont actuellement huit à le faire (la Slovénie, l’Italie, l’Allemagne, l’Autriche, la France, la Norvège, le Danemark, la Suède). Ces contrôles sont autorisés par le code Schengen à titre exceptionnel, en cas de menace grave pour l’ordre public ou la sécurité intérieure d’un Etat, mais de manière provisoire. La Cour de justice de l’UE avait rappelé en avril 2022 qu’ils ne devaient pas excéder six mois.
    La réforme prévoit qu’en cas de menace grave à sa sécurité un Etat peut autoriser des contrôles à ses frontières pour une durée maximale de deux ans, avec une prolongation possible d’un an. Ces Etats devront évaluer la nécessité et la proportionnalité de ces contrôles et déterminer si les objectifs poursuivis ne peuvent être atteints par des mesures alternatives.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#espaceschengen#pressionmigratoire#securite#terrorisme#frontiereinterieure#droit#sante

  • The Israel-Affiliated Organization Leading the Backlash Against Student Protests
    [The Israeli-American Council has worked in tandem with Israeli intelligence agencies for years. Last month, its leaders vowed to shut down the encampment at UCLA.]
    https://www.thenation.com/article/activism/israeli-american-council

    Key to their US operations was a highly sophisticated intelligence unit that targeted innocent Americans around the country. It was described to the IAC members in 2016 by Sagi Balasha, a former senior Israeli official who was the CEO of the IAC from 2011 to 2015. He then moved back to Israel and took over Concert, a secretive front organization operated by the Ministry of Strategic Affairs where he calls Vaknin-Gill, “my partner.” And among its projects was Israel Cyber Shield. “We started to establish a project called Israel Cyber Shield,” he said. “This is actually a civil intelligence unit that collects, analyzes and acts upon the activists in the BDS movement, of its people, organizations, or events. And we give it everything we collect. We are using the most sophisticated data system, intelligence system in the Israeli market.”

    And everything they collect, according to Vaknin-Gil, includes surveillance on students, churchgoers, and laborers around the country—any group that might support or be sympathetic to the Palestinian and boycott causes. Describing the various elements of the covert operations, she said, “The first one is intel, intelligence.… What we’ve done is mapped and analyzed the whole [pro-Palestinian] phenomena globally. Not just the United States, not just campuses, but campuses and intersectionality, labor unions and churches.” And secrecy was critical. “We are a different government working on a foreign soil, and we have to be very, very cautious,” she said.

    There was good reason for Israel’s secrecy. Among the key targets was Linda Sarsour, a leader in both the Palestinian movement and Black Lives Matter, which endorsed the boycott in 2016. She was also one of the primary organizers of the Women’s March following President Donald Trump’s inauguration. According to an investigation by the Israeli newspaper Haaretz, among the material the Cyber Shield unit was able to secretly obtain from Sarsour was a password-protected file “containing information on her parents, and another file with more than 10 pages all marked ‘Confidential.’… The dossier concluded with an executive summary that highlighted her apparent weak points.” Once collected, the data was then turned over for use by another secretive Israeli unit targeting Americans, one known as Act.IL, that could then exploit Sarsour’s “weak points.” Act.IL had an unusual birth.

  • Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4612

    Extrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. » #nationale,_fait_politique,_une_et_première_page,_médias,_actualité,_pays,_france,_afrique,_maghreb

    / Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société , Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, (...)

    #Maghreb,Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société #Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique, #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion #Journalisme,_presse,_médias

  • Gefangenensolidarität : »Sie ist in eine andere Zelle verlegt worden« 
    https://www.jungewelt.de/artikel/474888.gefangenensolidarit%C3%A4t-sie-ist-in-eine-andere-zelle-verlegt-wor


    Gefangenensolidarität : In Berlin demonstrierten Hunderte Personen für Daniela Klette (9.3.2024) Christophe Gateau

    Un conseil : si tu vies en Allemagne n’affiche jamais ta solidarité avec les prisonniers politiques. Tu perdras ton travail et aucun syndicat de taille te défendra.

    7.5.2024 von Annuschka Eckhardt - Solidarität für das mutmaßliche Ex-RAF-Mitglied Daniela Klette. Ein Gespräch mit Ariane Müller

    Vergangene Woche wurde der 1. Mai mit großer gewerkschaftlicher Beteiligung begangen. Was ist Ihnen als Betriebsrätin passiert?

    Ich bin Krankenschwester im größten Bremer Krankenhaus, im Klinikum Bremen-Mitte. Ich war dort freigestellte Betriebsrätin. Am 17. März, im Kontext des Tags der politischen Gefangenen, hatte ich vor dem Frauengefängnis in Vechta eine Kundgebung angemeldet aus Solidarität für die inhaftierte Daniela Klette, mutmaßlich ehemaliges RAF-Mitglied. Wir sind solidarisch mit ihr und haben auch dort gegen ihre Haftbedingungen protestiert, denn sie war dort über zwei Monate lang in Einzelisolationshaft, durfte nur alleine Hofgang machen, wurde videoüberwacht und hatte kein natürliches Tageslicht in ihrer Zelle, da eine Metallblende vor ihrem Fenster angebracht war. Sie war vollkommen abgeschottet. Dies ist für mich weiße Folter.

    Dann brach ein Shitstorm gegen mich persönlich aus. Irgend jemand aus dem Krankenhaus muss es den Medien gesteckt haben, dass ich die Solidaritätskundgebung angemeldet hatte. Mein Betriebsrat hatte nichts Besseres zu tun gehabt, als mich von der Freistellung als Betriebsrätin abzuwählen. Dies war die Voraussetzung, dass die Geschäftsführung der Klinik mich dann von der Arbeit am Patientenbett freistellen konnte. Ich darf das Krankenhaus nicht mehr betreten, außer mittwochs, wenn wir die Betriebsratssitzung haben, einfaches Betriebsratmitglied bin ich ja noch. Ich darf keinen Kontakt zu den Kolleginnen und Kollegen halten. Meine E-Mail-Adresse ist gesperrt worden. Das ist praktisch ein Berufsverbot, nicht nur als Krankenschwester, sondern auch als Betriebsrätin. Mein konsequenter Einsatz für die Kollegen ist dem übrigen Betriebsrat und der Geschäftsführung schon seit langem ein Dorn im Auge.

    Wie sieht Ihr Vertrauen in gewerkschaftliche Organisation momentan aus?

    Gespalten. Ich habe ein gespaltenes Verhältnis wegen meiner persönlichen Geschichte, die ich eben schilderte. Der zuständige Gewerkschaftssekretär ist auf meiner Seite. Einige weitere Gewerkschaftssekretäre von Verdi haben mir zwar unter vier Augen ihre Solidarität erklärt, ein offizielles Statement vermisse ich allerdings.

    Was gedenken Sie jetzt zu tun?

    Meine Anwältin verhandelt gerade mit dem Anwalt der Gegenseite. Und das Ergebnis, was dabei rauskommt, wie es jetzt für mich weitergeht, das werde ich wahrscheinlich in den nächsten Tagen erfahren.

    Sie haben das Solidaritätsnetzwerk für Daniela Klette mitgegründet und sind dort sehr aktiv. Was hat die Öffentlichkeit bislang bewirkt?

    Die beiden Kundgebungen vor dem Frauengefängnis in Vechta konnten bewirken, dass Danielas Haftbedingungen im April gelockert wurden. Sie ist in eine andere Zelle verlegt worden, ohne Videoüberwachung, und es kommt auch Tageslicht herein. Ich denke, das ist auf den Druck der Öffentlichkeit durch die Kundgebungen und durch weitere solidarische Aktionen zurückzuführen. Auch Danielas Anwalt Lukas Theune hat ihre Isolationshaft immer wieder in den Medien angeprangert. Ich habe schon mehrere Besuchsanträge gestellt, um Daniela in der JVA zu sehen, die werden einfach nicht bearbeitet. Sie möchte unbedingt, dass ich sie besuche. Briefe brauchen wochenlang, bis sie Daniela erreichen. Also, da ist noch sehr viel Luft nach oben.

    Haben Sie schon eine Nachricht aus dem Gefängnis von Daniela Klette bekommen?

    Ich habe kürzlich einen ersten Brief von ihr erhalten. Das war natürlich total toll. Sie hat unter anderem beschrieben, wie sie den Alltag in Vechta erlebt.

    Was steht jetzt noch an in der Soli­darität mit Daniela Klette?

    Wir machen natürlich weiter! In Abständen werden wir weiterhin Kundgebungen vor dem Frauengefängnis in Vechta abhalten, damit Politik und Justiz sehen: Wir lassen nicht locker! Wir befürchten, dass sich sonst ihre Haftbedingungen wieder verschärfen. Unsere nächste Veranstaltung wird am 10. Mai in Hamburg stattfinden unter dem Motto »Solidarität mit Daniela Klette«, eine Podiumsdiskussion, bei der ich auch sprechen werde.

    Ariane Müller ist Krankenschwester und Aktivistin in der Solidaritätsarbeit zu politischen Gefangenen

    Veranstaltung: Freitag, 19 Uhr, Centro Sociale, Sternstr. 2, 20357 Hamburg

    #Allemagne #terrorisme #répression

    • Comment l’a t on retrouvée ?

      Le 26 février 2024, Koray Freudenberg, procureur de la ville de Verden, annonce que Daniela Klette, désormais âgée de 65 ans, est arrêtée à Berlin-Kreuzberg, ou elle vivait sous un faux nom depuis environ 20 ans, après une cavale de plus de 25 ans.

      Daniela Klette a été retrouvée grâce à des outils d’intelligence artificielle utilisés par un podcast télévisé allemand. La police et les services de sécurité allemands sont, eux, liés par des lois strictes sur la vie privée qui limitent leur capacité à utiliser ces types d’outils améliorés par l’intelligence artificielle. La police a trouvé une arme antichar, un fusil Kalachnikov et un pistolet-mitrailleur dans son appartement.

    • C’était une combinaison de délation, de progrès technique et d’acharnement de la police politique. Elle a commencé á ne plus fait attention aux règles essentielles de la clandestinité, compte facebook, photos sur internt etc.
      Qu’est-ce que tu veux, avec le temps on s’épuise et aime oublier ce que disait le procureur Herold en 76/77

      wir kriegen sie alle.

      https://www.youtube.com/watch?v=a7E7NLKU3VA

      https://de.m.wikipedia.org/wiki/Horst_Herold

      Seine auf die damaligen Terroristen der RAF und der Bewegung 2. Juni gemünzte Ankündigung „Wir kriegen sie alle“ wurde mehrmals künstlerisch verarbeitet, unter anderem zu hören auf dem „Verschwende Deine Jugend“-Sampler („Horst Herold – Wir kriegen euch alle“), auf dem „Gang nach Canossa II“-Sampler („D.Werk – Wir kriegen sie alle“) und als Endlosrille auf der LP Amok Koma der Gruppe Abwärts.

      Dans cet article se trouve l’explication de Herold d’une nouvelle méthode de pour identifier les adresses de personnes en clandestinité.

      Unter der Leitung von Horst Herold wurde im Zuge des innenpolitischen Kampfes gegen den Terror der RAF die Rasterfahndung eingeführt. Horst Herold erläuterte das Vorgehen 1986 so:

      „1979 unterhielt die RAF in Frankfurt am Main eine oder mehrere unter Falschnamen angemietete konspirative Wohnungen, die Polizei wußte nur nicht, wo. Da die Terroristen die Stromrechnung nicht von Konto zu Konto bezahlen konnten, war anzunehmen, daß ihre Falschnamen sich in der Gruppe derer befinden müßten, die ihre Stromrechnung bar bezahlen. Dies waren seinerzeit etwa 18000. Wie kann man die gesuchten Falschnamen der Terroristen aus einer solchen Menge herausfinden? Die Antwort ist einfach: indem man alle legalen Namensträger so lange aus der Menge der barzahlenden Stromkunden herauslöscht, bis nur noch die Träger von Falschnamen übriggeblieben sein können. Sonach wurden aus dem richterlich beschlagnahmten Magnetband aller barzahlenden Stromkunden alle Personen herausgelöscht, deren Namen als legale Namen feststanden: die gemeldeten Einwohner, die Kfz-Halter, die Rentner, die Bafög-Bezieher, die im Grundbuch verzeichneten Eigentümer, die Brandversicherten, die gesetzlich Krankenversicherten und so weiter – jede Datei mit Legalnamen kann als ‚Radiergummi‘ dienen. Erst dann, wenn anzunehmen ist, daß alle Legaldaten herausgelöscht sein könnten, wird der Restbestand des Magnetbandes ausgedruckt. Im Falle Frankfurt fanden sich am Ende der allerdings auch manuell unterstützten Prozedur nur noch zwei Falschnamen: der eines Rauschgifthändlers und der des gesuchten Terroristen Heißler, der in seiner dadurch ermittelten konspirativen Wohnung kurz darauf festgenommen wurde.

      Daniela Klatte n’était pas formée en informatique et ne pouvait pas estimer l’importance du rôle de la reconnaissance faciale parmi les méthodes de recherche. Elle s’est faite répérer en parallèle par un amateur et la police sur les photos d’elle qui la montrent pendant le carnaval des cultures à Berlin.

  • Siedlerterror: Hass in den Augen
    https://www.jungewelt.de/artikel/473332.siedlerterror-hass-in-den-augen.html

    15.4.2024 von Anne Herbst, Ramallah - Siedlermobs morden und brandschatzen im Norden des Westjordanlands

    Dichte Rauchschwaden stiegen am Freitag nachmittag bei pogromartigen Ausschreitungen gegen palästinensische Dörfer auf. Bis an die Zähne bewaffnete Siedlerhorden fielen in Al-Mughayyir, Al-Mazra‘a ash-Sharqiya, Khirbet Abu Falah, Turmus Ayya und weitere Orte, darunter auch Flüchtlingslager wie Al-Jalazoon, im Regierungsbezirk Ramallah, und Al-Bireh ein. Sie eröffneten das Feuer und warfen Steine auf die Bewohner, zündeten Häuser und Autos an. Angriffe gab es auch in der Umgebung von Nablus. »Kinder, Alte und andere Bewohner flohen aus Angst vor dem Terror und übernachteten in der Kälte in den Bergen«, berichtet ein palästinensischer Aktivist, der seit Jahren zivilgesellschaftlichen Widerstand gegen die Besatzung organisiert, aus Tubas gegenüber jW.

    Sogar auf israelische Journalisten wurde Jagd gemacht. »Sie brachen mir die Finger und verbrannten meine Ausrüstung«, so Shaul Golan, ein Fotograf, der unter anderem für die Tageszeitung Jedi’ot Acharonot arbeitet, über Siedlerattacken in Duma. Die Angreifer warfen den 70jährigen Mann zu Boden, traten ihn gegen den Kopf und in den Magen. »Sie hatten Hass in ihren Augen«, sagt Golan. Als er israelische Soldaten um Hilfe rief, musste er feststellen, dass diese zu dem 20- bis 30-köpfigen Lynchmob gehörten. Kein Einzelfall. Dass die Siedler bei ihren Aktionen nicht mehr nur Rückendeckung von den Besatzungsstreitkräften bekommen, sondern mit diesen gemeinsam – häufig in IDF-Uniformen – agieren, wird seit Monaten verstärkt aus allen Teilen des Westjordanlands vermeldet.

    Einige Bewohner von Orten, die von Siedlertrupps, später auch von regulären israelischen Einheiten umzingelt oder gestürmt wurden, verbreiteten via Smartphonevideos verzweifelte Aufrufe zum militanten Widerstand. In der Nacht zum Sonntag rissen Palästinenser ein von der Besatzerarmee nach dem 7. Oktober errichtetes Eisentor nieder. Sie stießen über die Straße von Al-Bireh in Nachbarorte vor, um diese gegen die Siedler zu verteidigen.

    Bisher hat das Gesundheitsministerium der Palästinensischen Nationalbehörde zwei Tote registriert. Die Zahl der Verwundeten ist unbekannt, dürfte aber bei mehreren Hundert liegen – viele sollen Schussverletzungen erlitten haben. Die rechten Gewaltexzesse könnten sich in der gesamten Westbank wie ein Lauffeuer ausbreiten – die Siedler haben zum Sturm auf die Al-Aksa-Moschee in Jerusalem aufgerufen. »Die Angriffe sind geplant und organisiert, ihr eigentliches Ziel ist ethnische Säuberung«, meint Mustafa Barghouti, Generalsekretär der Palästinensischen Nationalen Initiative, der als Nachfolger vom Mahmud Abbas gehandelt wurde.

    Zwar gibt es mit dem Tod eines 14jährigen israelischen Hirtenjungen aus der zionistischen Siedleraußenposten Malachi Hashalom in der Nähe von Ramallah, der mutmaßlich von Palästinensern ermordet wurde (der israelische Geheimdienst Schin Bet ermittelt noch), einen Anlass für die Eskalation, doch seit die ultrarechte Netanjahu-Regierung mit Beteiligung von fanatischen Kahanisten an der Macht ist, findet eine Entgrenzung der Siedlergewalt statt.

    In Turmus Ayya gebe es wöchentlich Zwischenfälle, erklärte Lafe Shalapy, Bürgermeister des Dorfes im Interview mit jW. So hatte am 21. Juni 2023 ein Mob – den Anhängern der berüchtigten »Hügeljugend« zugerechneten – von 300 bis 400 Rechtsradikalen aus der benachbarten Siedlung Schilo 30 Häuser niedergebrannt, 60 Fahrzeuge abgefackelt, einen Mann erschossen und weitere 15 Bewohner verletzt. Er habe die zuständige israelische Polizei und Armee aufgefordert, die Gewalt zu stoppen. Aber statt die Zivilisten zu beschützen, hätten die Soldaten die Zufahrtswege blockiert und die Ambulanz und Feuerwehr an der Durchfahrt gehindert, so Shalapy. »Sie wollen uns das ganze Land wegnehmen, um darauf ihre Häuser zu bauen und Schilo auszuweiten.«

    Am Sonntag nachmittag waren noch einige Dörfer von der Armee eingeschlossen. Die Siedlerbanden haben sich aber weitgehend zurückgezogen. »Das ist nur vorübergehend wegen des Drohnen- und Raketenangriffs aus dem Iran«, so die Einschätzung von Nasser Sharayaa, Generaldirektor des Exekutivbüros des Volkskomitees für Flüchtlinge gegenüber jW. »Die Lage ist nach wie vor schlimm.«

    #Israël #Jordanie #Palestine #terrorisme #colons

  • Japanese Red Army - FIlms
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Japanese_Red_Army

    Sekigun – PFLP. Sekai Sensō Sengen, Red Army – PFLP: Declaration of World War, 1971, shot on location in Lebanon, produced by Kōji Wakamatsu. Patricia Steinhoff translates its title Manifesto for World Revolution which makes perhaps more sense. A propaganda film for the Red Army sympathisers in Japan.

    One of the people showing the film around Japan with the producer was Mieko Toyama, a close friend of Fusako Shigenobu. She was murdered in the winter training camp massacre.

    Jitsuroku Rengō Sekigun, Asama sansō e no michi, United Red Army (The Way to Asama Mountain Lodge), 2007, shows the horrors of the United Red Army winter camp, but also the history of the militant Japanese student movement. See also United Red Army (film)
    Suatu Ketika... Soldadu Merah (Once Upon A Time... Red Soldier), an 8 episode Malaysian TV drama series based on the Japanese Red Army attack in Kuala Lumpur, Malaysia 1975. Produced by NSK Productions (Malaysia), the series was shot in 2009 and currently airs on Malaysia’s local cable channel, ASTRO Citra 131. Read Hostage Drama article by TheStar newspapers.
    In 2010, Fusako Shigenobu and Masao Adachi were featured in the documentary Children of the Revolution, which tells the story of Shigenobu and the Japanese Red Army through the eyes of Mei Shigenobu.
    In the 2010 French-German TV Film Carlos, members of the Japanese Red Army feature when they stormed the French Embassy in The Hague and associating with the PFLP and the German Revolutionary Cells.
    The 2011 Bangladeshi film The Young Man Was, Part 1: United Red Army by visual artist Naeem Mohaiemen is about the 1977 hijacking of JAL 472 and the subsequent consequences inside Bangladesh.
    Rabih El-Amine’s documentary Ahmad the Japanese, Lod-Roumié-Tokyo made in 1999 tells Okamoto’s story from the perspective of five major personalities that knew him in Beirut.
    Philippe Grandrieux and Nicole Brenez’s documentary Masao Adachi. Portrait – First episode of the collection The Beauty May Have Strengthened Our Resoluteness, 2012, shot on location in Tokyo, which tells the daily life of Adachi and his reminiscences.

    #Japon #Liban #histoire #terrorisme #gauchisme #cinéma

  • Last Stand: The Hostage Crisis That Ended Japan’s Red Army
    https://unseen-japan.com/red-army-asama-sanso-lodge

    The disintegration of a far-left paramilitary group led to a standoff that was watched on live TV by 90% of the country - and that changed Japanese politics for decades.

    It was February 19th, 1972. Muta Yasuko, wife of the caretaker of the Asama-Sanso lodge near Karuizawa, Nagano Prefecture, was terrified.

    She lay against a wall, her hands and legs tied. Five ragged men ransacked the lodge whose upkeep she had put so much work into. They ripped up the tatami flooring and upended the furniture, using every available item to barricade the doors and windows. One of the intruders had commented on the copious foodstuffs found in the lodge’s pantry. It was clear they were here for the long term.

    Twenty-five-year-old Bando Kunio had taken on the most active role amongst the bunch. He had been relieved to find no one else in the lodge.

    He and the four others were members of Japan’s violent far-left radical student group, the recently-christened United Red Army.

    Table of Contents

    The Crisis Begins
    An attempt at glory goes wrong
    The Battle Intensifies
    Psychological warfare
    The Last Stand
    The end of the assault
    The Fall of the Red Army
    Proper punishments?
    The fate of the hostage
    The end of the URA…and the beginning of the JRA
    Next In This Series
    Previously In This Series
    Sources

    The Crisis Begins

    Their organization had been born in the heady and chaotic days of the late 1960s. Students were enraged by curtailments on the new democratic rights granted to Japanese citizens following World War II. They were further frustrated by Japan’s tacit involvement in American-led imperialistic military action in Vietnam and other parts of the world.

    Hundreds of thousands of young Japanese university students had taken to the streets. At first, there was mass support from the Japanese population for these large-scale protests. But as violence rose, the police cracked down, and many far-left student groups were pushed underground.

    The Red Army Faction was the URA’s parent organization and the brainchild of the international revolution-minded Shiomi Takaya. It had made a name for itself by attacking police officers. The group also committed Japan’s first airline hijacking, commandeering a Japan Airlines flight and forcing it to fly to North Korea.

    Notoriety led to greater police surveillance and rounds of arrests. Soon, the Red Army Faction found itself left in the hands of hapless member Mori Tsuneo. A need for weapons led Mori to merge his crew with a separate group led by the sadistic Nagata Hiroko.

    Their new joint group, the United Red Army, experienced growing pains. One of the Mori’s best and brightest, Shigenobu Fusako, left Japan to form an international terrorist wing of the Red Army in Lebanon.

    Back in Japan, Mori and Nagata convened a training camp for their radicals at an isolated cabin in the depths of the snowy mountains of Gunma Prefecture. He chose the location partially to hide out from police. There, amidst the heightened emotions and intensive rhetoric of self-criticism, meant to inspire revolutionary zeal, something unbelievably grotesque had occurred.
    Murder and flight

    The gathered United Red Army members committed a heinous and horrific purge of their membership. They tortured and killed twelve of the twenty-nine individuals there assembled. With their comrades now buried in cold, shallow graves, the surviving core membership of the Red Army had fled the encroaching police, taking flight into the mountain passes on foot.

    Bando’s crew included Sakaguchi Hiroshi. Sakaguchi was the recently spurned husband of United Red Army leader Nagata. She had just announced her intended marital union with her co-leader, Mori, only days before the two were arrested attempting to link up the rest of their fleeing entourage.

    There were also the two surviving Kato brothers. Both had participated in the murder of their older brother in the URA bloody purge. They split off from the rest of the fleeing URA survivors as they neared the border with Nagano Prefecture.

    The police had been close behind. Bando and Sakaguchi had spied officers clambering through the snow in the pass below them and had unloaded bullets in their direction before continuing their flight.
    A Fateful Decision

    Nearing the mountain resort town of Karuizawa, Bando had thought to steal a car at gunpoint. But the sight of a strange, almost fortress-like building had changed his mind.

    When he and his men had entered the three-storied, arrow-shaped lodge and discovered only Mrs. Muta to be present, Bando made up his mind. There could be no better spot for a last stand than a fortified building clinging to the side of a mountain which, like some medieval castle, commanded the heights.

    In the valley below, the police amassed. The officers they had shot at had called in reinforcements. The revolutionaries’ intrusion into the lodge had not gone unnoticed.

    Unknown to Bando or his crew, the leaders of their movement had just been arrested in Gunma. And police had apprehended four of their fellow escapees at a nearby train station. The stench and bedraggled appearance of the rugged radicals had caused a newspaper stand owner to connect the dots to the stories in the papers she sold. The police arrived shortly after she called them.

    The First Victim

    Back at the Asama-Sanso lodge, tensions were rising. There were now well over a thousand specialized riot police who had gathered at the scene. They stood in long, dark rows, the black of their helmets and flack jackets contrasting with the white snow.

    Armored trucks had managed to snake their way up the mountain path as well, creating a natural barrier behind which the police could take cover. They stationed sharpshooters on the ridges. Other cops set up roadblocks to prevent any possible escape.

    Then there were the news crews, covering what was becoming an unbelievable story. The images they streamed into Japanese living rooms almost non-stop would go on to have great effects on Japanese society. Some cultural critics think that iconic images of the waiting riot police slurping down instant ramen helped popularize it as an emergency foodstuff.

    Occasionally, gunfire would ring out from the lodge as the police encroached too near. The hostage’s husband watched it all with mounting anxiety. He had been out showing the lodge guests around at the time when the United Red Army had chosen his hotel to make their last stand.

    He worried for his anemic wife. And he begged time and again to the police to let him switch places with her. But the radicals in the lodge never responded.
    An attempt at glory goes wrong

    The unchanging monotony of the standoff was soon shattered. Tanaka Yasuhiro, a young snack bar owner from neighboring Niigata Prefecture, had been moved by the near-constant media coverage of the ongoing hostage crisis.

    Inspired in a way that seemed almost manic, he made his way to the scene. There, he attempted to push his way through the police line. The police, of course, would have none of this civilian interference and arrested him.

    But when he was released later that day, Tanaka simply decided to try a different method. Climbing the slopes north of the lodge, he ran onto the scene. Somehow, he managed to sprint through police barricades before they could stop him. He bore with him a bento box, perhaps hoping to open a line of communication with the radicals by ingratiating himself with them.

    Alas, he had seriously misread the situation. As he tried to push the box through a small opening into the building, a shot rang out. He staggered backward.

    The hostage-takers had shot him in the head.

    The injury proved fatal. Tanaka, who had perhaps dreamed of somehow becoming a hero, instead became the first casualty of the Asama-Sanso Incident.

    The Battle Intensifies

    On the third day of the hostage crisis, February 21st, the police were becoming anxious. They’d made little progress. The radicals had managed to kill one manic civilian and shoot two police officers non-fatally. The entire Japanese public was watching, waiting for them to act.

    Authorities cut the lodge’s heat and water, which had formerly been left on for the sake of the comfort of the hostage. As the interior of the lodge became more frigid and inhospitable, the parents of some of the radicals were brought in. (Unknown at the time was that the child of one of these parents had already been killed in the purge). The parents, horrified by what their progeny were engaged in, used loudspeakers to implore their children to come to their senses. No response was forthcoming.

    On the fourth day, the police used force. Two armored vehicles moved in on the lodge. Police crouched behind them and fired tear gas through the building’s windows. The hostage-takers, holding rags to their mouths, fired at the police. They took cover as bullets whizzed by and ricocheted off their vehicles.

    Psychological warfare

    The police backed off. But by night they began employing a new tactic: psychological warfare. Loudspeakers blared disturbing noise, preventing sleep. Recorded sounds of chainsaws, protests, sirens, and more.

    The sounds would persist and then suddenly stop, only to start up again once enough time had passed to allow the targets to perhaps drift to sleep. (This sort of sleep torture is reportedly still being used as a Japanese police interrogation method. That may help explain high conviction rates in the country). Later, they employed floodlights to turn the night skies to day and a baseball pitching machine that would pelt rocks at the building to keep the occupiers from getting any rest.

    The next morning, untimely winds that blew away smoke screen cover foiled an attempted invasion by a brigade of policemen. They switched out their initial plan for one in which they aimed high-powered water hoses at the living quarters of the lodge. The jets of water burst forth, smashing through windows, knocking over barricades, and inundating the rooms.

    Tear gas canisters followed. The noxious fumes pushed the hijackers deeper into the recesses of the building.

    As night fell and the water inside the lodge froze solid, the assault of sound and noise began again.

    The Last Stand

    Finally, the morning dawned on February 28th, the tenth day of the hostage situation. The loudspeakers blared a few final pleas to the radicals to lay down their arms. As always, there was no response.

    Ambulances arrived at the scene in preparation for what was about to ensue. Police piled protective sandbags had been piled high into the air. They also strung a net in front of the building entrance to prevent the throwing of grenades from within the lodge.

    At last, the final order came in. The assault commenced.

    As the police approached, the radicals let loose a volley of bullets. The police took cover as water jets were shot back into the building.

    Next came the wrecking crew. They moved a crane laboriously into position and swung its wrecking ball directly at the entrance of the building, completely demolishing it.

    Other police leaped forward with chains and hacksaws, creating openings in the lower floors. A special police task force brought up from Tokyo entered through the newly made openings. They faced no opposition on the first, ruined floor.

    As the Tokyo police made their way to the stairs, a shot rang out from above, though not aimed at them. One of the radicals had spotted a police superintendent in the valley below who had been motivating his men from outside of cover. The revolutionaries had shot him squarely in the eye. The United Red Army had killed its first police officer.

    As the officers inside the lodge cleared the second floor and ascended to the third, another officer was shot dead as he peered around a corner. His fellows now un-holstered their guns.
    The end of the assault

    The assault had now lasted five long hours. In homes across Japan, viewers sat on the edges of their seats, awestruck at the country’s first-ever marathon live television broadcast. By 6:26 PM, viewership rankings for the broadcast would reach an unheard-of 89.7% of houses with televisions. The entire country stood in rapt attention.

    A handmade incendiary exploded near the invading police, injuring over ten of them, although not fatally. Finally, the officers on the top floor breached the last of the barricades and apprehended one of the Kato brothers.

    The remaining four radicals were buried under a pile of protective futons in the final room, still brandishing weapons. As the police approached them, Bando shot the closest officer in the eye. The man staggered over, but incredibly, he would survive. In the chaos, the other police leaped at the radicals.

    When the dust had settled, all five hostage-takers were in handcuffs. The siege of Asama-Sanso had ended. Muta Yasuko had been saved.

    The Fall of the Red Army

    So ended the dark saga of the United Red Army. The organization spawned by the mind of the founder of its parent organization, Shiomi Takaya, would cease to plague Japan.

    By the time the bodies of the twelve purged youth had been discovered at the foothills of the mountains in Gunma, popular sentiment in Japan had been turned away not only from violent activists, but also from political activism in general. The JAL hijacking, the purges, the siege of Asama-Sanso – all shook Japan to its core. It was clear that there would be a great deal of soul-searching in the offing.

    Japan’s Minister of Education spoke up following the disinterment of the bodies. He harshly criticized the teachers and professors of Japan for failing their youth by creating a system in which such violence had been allowed to fester. Universities were no longer to be a place of radicalization. Rather, they were to take their intended form as a stepping stone to careers and life employment within the ordered system of Japanese society.

    Proper punishments?

    In the eyes of the public, the judicial sentencing that soon followed for the radical perpetrators of these crimes befitted the evil that had occurred. Nagata, Mori, and Sakaguchi were all sentenced to death. Mori committed suicide a year later, strangling himself with a bed sheet in his prison cell.

    The other two had trials and appeals that continued for decades and held off their final days of judgment. Nagata passed away of brain cancer while still imprisoned in 2011, four decades after she led her grisly purge. Her husband, Sakaguchi, remains alive. As of 2019, he is still awaiting execution.

    Bando Kunio, who led the five invaders into the Asama-Sanso lodge, and who killed a policeman in the ensuing battle, was spared death. But he still received an extremely long jail sentence. His father, upon seeing confirmation that his son had been one of the hostage-takers on TV, immediately committed suicide. Despite his jail sentence, Bando’s days in the revolutionary field were far from over.

    The fate of the hostage

    The hostage from the Siege of the Asama-Sanso Lodge, Muta Yasuko, returned to her daily life. Her captivity granted her national fame. Her picture had been broadcast innumerable times during the event. And she broke the previous modern Japanese record for hours taken hostage many times over.

    However, she declined all requests for interviews after her initial rescue. She claimed her captors had treated her kindly, despite tying her to a bed. One had even given her an omamori, a temple charm, that he said would help keep her safe.

    The end of the URA…and the beginning of the JRA

    With the vast majority of their core membership dead or imprisoned, and having lost even an ounce of public support, the United Red Army ceased to exist. Japan’s police force was increasingly militarized, skilled, and vigilant. With no public backing, groups like the URA could no longer functionally operate in Japan.

    After twenty years, the mass student movement in Japan had come to a horrifying, distressing end. The youth of Japan remain apathetic to politics. Their civic engagement remains low. The shock caused by the URA is just one among many phenomena that led to these trends. But it’s one that’s hard to ignore.

    And yet, despite all this, the movement that began with the Red Army Faction had not yet been snuffed out. In faraway Lebanon, Shigenobu Fusako was still fighting for her cause, more passionate than ever. Soon she would have a small militia of hardened, trained revolutionaries to call her own.

    Escaping the chaos and self-destruction of the United Red Army in Japan, Shigenobu was about to emblazon the name of her movement across the world. She would do so by turning to terrorism of a type her revolutionary brothers and sisters back in Japan could barely imagine. For the next two decades, she would make the imperialist world fear the name of the Japanese Red Army.

    Sources

    Steinhoff, Patricia G. “Hijackers, Bombers, and Bank Robbers: Managerial Style in the Japanese Red Army.” The Journal of Asian Studies, vol. 48, no. 4, 1989, pp. 724–740.

    Farrell, William R. “Blood and Rage: The Story of the Japanese Red Army.” Lexington Books, 1990.

    「山岳ベース事件」。フリー百科事典『ウィキペディア(Wikipedia)』。https://ja.wikipedia.org/wiki/山岳ベース事件

    「あさま山荘事件」。フリー百科事典『ウィキペディア(Wikipedia)』。https://ja.wikipedia.org/wiki/あさま山荘事件

    #Japon #histoire #terrorisme #gauchisme

  • #Palestine & Israël, même dessein de solution finale : extermination.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4595

    Le logiciel sioniste n’a pas tenu le 7 octobre 2023. La démonstration des islamistes palestiniens, de résistance à la colonisation, a montré la méthode pour démolir la suprématie militaire de l’Etat hébreu qui a pour finalité la spoliation des Palestiniens. L’attaque surprise composée de plusieurs engins, n’a été qu’une démonstration pour que les prochaines frappes se déroulent entièrement et en profondeur et d’Israël, mais ce qui justifie de nouvelles atrocités et génocides plus féroces. Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / Netanyahou, Israël , #USA,_Maison_Blanche,_CIA, Palestine, Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , journaliste, poète, livre, écrits, Israël, Proche-Orient, droits de l’homme, (...)

    #Grands_événements_:Gigantisme_de_l’inattendu. #Netanyahou,_Israël #Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique,_ #_journaliste,_poète,_livre,_écrits #Israël,_Proche-Orient,_droits_de_l’homme,_ONU

  • Voici un nouveau point sur l’actu :
    #ISRAEL_PALESTINE Après des mois de « silence assourdissant », le Conseil de sécurité de l’ONU a pour la première fois exigé un « cessez-le-feu immédiat » à Gaza, les Etats-Unis s’étant cette fois abstenus.

    #TERRORISME Gabriel Attal a indiqué que deux projets d’attentat avaient été « déjoués » depuis janvier, ajoutant que 4 000 militaires supplémentaires de la force Sentinelle étaient désormais mobilisables.

    Les journalistes du quotidien La Provence ont voté la fin de la grève, après le retour en poste de leur directeur de la rédaction, Aurélien Viers. Ce dernier avait été suspendu vendredi en raison d’une une sur la venue d’Emmanuel Macron à Marseille.

    #RUSSIE Trois suspects soupçonnés d’avoir eu un rôle dans l’attentat ayant fait 137 morts dans la banlieue de Moscou ont été placés en détention provisoire. Ces trois hommes sont accusés de « terrorisme » et encourent la prison à perpétuité, selon l’agence d’Etat Ria Novosti.

  • Stasi-Akte der RAF : Wie die DDR die West-Terroristen der Roten Armee Fraktion sah
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/stasi-akte-der-raf-wie-die-ddr-die-west-terroristen-der-roten-armee

    Rien de nouveau, cet article est comme une introduction d’un épisode d’une série télévisée du style « ce que vous avez peut-être manqué ».

    17.3.2024 von Maritta Adam-Tkalec - Zwischen Roter Armee Fraktion und Stasi herrschte ein spannungsvolles Verhältnis. Ein Blick in die Stasi-Akten nach dem Auffliegen von Daniela Klette.

    Eine Panzerfaust mit Gefechtskopf, eine Kalaschnikow, in Tupperdosen sortierte scharfe Munition, eine Pistole mit zwei gefüllten Magazinen, ein Störsender, eine Sturmhaube, mehrere Handys und Ausweise, 40.000 Euro in bar, 1,2 Kilogramm Gold. Die Ausstattung der 40 Quadratmeter kleinen Kreuzberger Sozialwohnung von Daniela Klette spricht gegen die Vorstellung, sie sei eine Terroristen-Rentnerin gewesen. Die RAF-Frau war voll einsatzfähig. Ihre jüngste Aktion ist auch noch gar nicht so lange her: Am 25. Juni 2016 war sie mutmaßlich dabei, als mit einer Panzerfaust und einem Sturmgewehr in Cremlingen ein Geldtransport überfallen wurde. Die Täterinnen und Täter erbeuteten 400.000 Euro.

    Daniela Klette ist mein Alter. Auf unterschiedlichen Seiten des Eisernen Vorhanges aufgewachsen, lebten wir in derselben Zeit in zwei Universen. Doch in der Welt geschahen dieselben Dinge. Zum Beispiel in Lateinamerika: Ein bewaffneter Aufstand junger Revolutionäre in Kuba endete 1959 mit dem Wechsel solch charismatischer Helden wie Fidel Castro und Che Guevara vom Busch in die Machtzentralen. Posterboy „Che“ trug die Revolution weiter nach Bolivien. Ihm folgte Tania, La Guerrillera, eine junge Frau aus der DDR. Beide starben den Heldentod.

    Die DDR-Medien berichteten kontrolliert und sparsam

    Spannender als FDJ-Nachmittage. Ich begann 1974 Lateinamerikawissenschaften zu studieren, hörte dort von der antiimperialistischen Tupamaro-Stadtguerilla. Als Ulrike Meinhof, Andreas Baader, Gudrun Ensslin und Horst Mahler 1970 nach diesem Vorbild die Rote Armee Fraktion (RAF) gründeten, spielte das in meinem Leben keine Rolle – der von den USA angezettelte Putsch in Chile 1973 aber eine umso größere.

    Aus dem Westfernsehen wusste man in der DDR von der „Baader-Meinhof-Bande“, von Attentaten, Morden, Festnahmen, Befreiungsversuchen, Unterstützern, Hungerstreiks, Selbstmorden im Gefängnis. DDR-Medien berichteten äußerst sparsam. Meldungen wie die vom 1. März 1975 in der Berliner Zeitung (wortgleich in allen anderen politischen Medien) waren wie immer in solchen heiklen Fragen zentral von der für Propaganda zuständigen Abteilung des SED-Zentralkomitees über die Nachrichtenagentur ADN übermittelt: „Entführer von Lorenz stellen Forderungen, Täter verlangen Freilassung von Mitgliedern der Baader-Meinhof-Gruppe und ein Flugzeug.“

    Peter Lorenz, Landesvorsitzender der Berliner CDU, war am 27. Februar 1975, drei Tage vor der Wahl zum Abgeordnetenhaus, von der West-Berliner Stadtguerilla Bewegung 2. Juni (benannt nach dem Todestag von Benno Ohnesorg) entführt worden. Die Erpressung endete erfolgreich: Inhaftierte Terroristen kamen frei, die meisten wurde in den Jemen ausgeflogen. Als sich der „2. Juni“, dieses West-Berliner Gewächs, 1980 auflöste, schlossen sich einige klandestine Kampfgrüppler, darunter Inge Viett und Juliane Plambeck, der RAF an, um den „bewaffneten Kampf“ weiterzuführen.

    So karg die Informationen für die Ost-Öffentlichkeit blieben, so intensiv befasste sich das Ministerium für Staatssicherheit (MfS) mit der Terrorszene. Wie man nach 1990 aus deren Akten nachvollziehen konnte, sorgten sich die DDR-Behörden, der Terror könnte überschwappen und der Staat DDR so wie die BRD erpresst werden.

    Terrorgefahr für die DDR abwehren

    Beispielhaft sei aus dem Eröffnungsbericht zur OPK (operative Personenkontrolle) „Klausen, Gerhard“ gegen Wolfgang Grams vom 21. Januar 1985 zitiert. Man wolle Informationen über das Mitglied der sogenannten dritten Generation der RAF (zu der auch Daniela Klette gehört) sammeln. Unter Punkt 3 steht, Ziel der OPK sei insbesondere „die Aufklärung von Aktivitäten, die sich gegen die DDR und die anderen sozialistischen Länder richten“ könnten, „um daraus entstehende Gefahren und Risiken für die DDR oder die anderen sozialistischen Länder abzuwehren“.

    Neu war die MfS-Befassung mit der RAF im Jahr 1985 mitnichten. Ende der 1970er-, Anfang der 1980er-Jahre gab es immer wieder Anlass für höchste Wachsamkeit. Ein in den Stasi-Unterlagen gefundenes Dokument vom 30. November 1977 vergleicht die Entführung von Arbeitgeberpräsident Hanns Martin Schleyer (5. September 1977) und die des CDU-Politikers Peter Lorenz zwei Jahre zuvor. Besorgt konstatiert die Stasi gesteigerte Brutalität des Vorgehens, die wiederholte Erpressung des Staates und das „Vorhandensein eines offensichtlich gut organisierten Systems des Zusammenwirkens von Terrorgruppen verschiedener Länder“.

    Vom 1. April 1981 datiert das Dokument „Eröffnungsbericht zum Operativ-Vorgang, Stern I‘“, der die RAF operativ bearbeiten sollte und zum Ziel hatte „Sicherheitsrisiken und Gefahren für die DDR und ihre Verbündeten“ einzuschränken beziehungsweise zu verhindern. Nach einer Zusammenfassung der Terrorakte der ersten RAF-Generation ging es im Wesentlichen um die sogenannte zweite Generation, die nach der Zerschlagung der ersten die „terroristische Tätigkeit“ wieder aufgenommen und sich mit der Bewegung 2. Juni zusammengeschlossen habe. Konkret nennt der Bericht fünf Personen, darunter Christian Klar und Inge Viett.

    Mit Letzterer war das MfS zu jenem Zeitpunkt schon persönlich bekannt: Inge Viett reiste häufig über den Flughafen Berlin-Schönefeld ein und aus. Viele Reisen führten in den Nahen Osten. Im Frühjahr 1978 sprach sie Oberst Harry Dahl, Leiter der für Terrorabwehr zuständigen Hauptabteilung, an. Der kannte ihre wahre Identität, sie staunte. Man redete zwei Stunden miteinander. Viett durfte weiterreisen.

    Stasi-Leute holen RAFler aus Prager Haft

    Als sie und zwei Mit-Terroristinnen nach einer weiteren Gewaltaktion mit falschen Papieren in Prag festgenommen wurden, verlangte Viett Kontaktaufnahme mit der Stasi. Das MfS schickte drei Mann nach Prag. In einem Dokument vom 30. Juni 1978 ist nachzulesen, wie das tschechische Innenministerium und die DDR-Geheimdienstler beschließen, „auf keinen Fall eine Auslieferung dieser Personen an die BRD vorzunehmen“. Die drei Frauen reisten über den Grenzübergang Schmilka in die DDR ein. MfS-Offiziere fuhren sie von dort in das konspirative Objekt 74, ein Forsthaus nahe Briesen. Dort ergab sich Gelegenheit zu umfangreicher Informationsabschöpfung, hochinteressant, so kurz nach dem „Heißen Herbst“ 1977.

    Weitere im Bundesarchiv lagernde MfS-Akten belegen, wie genau die Stasi über die RAF informiert war, wie sie die identifizierten Terroristen über Jahre, sogar mit Waffen, unbehelligt reisen ließ und sie gelegentlich unterstützte. Als Grund wird Angst angeführt: Die DDR habe nicht selbst ins Visier der RAF geraten wollen.


    Sechs Frauen und zwei Männer zeigt das Fahndungsplakat nach der Ermordung von Arbeitgeberpräsident Hanns Martin Schleyer. Von links oben nach rechts unten: Inge Viett, Juliane Plambeck, Angelika Speitel, Susanne Albrecht, Sigrid Sternebeck, Willy Peter Stoll, Adelheid Schulz, Christoph Wackernagel. Viett, Albrecht und Sternebeck gehörten zu den Aussteigern, die in der DDR untertauchten.

    Inge Viett traf ihren Bekannten, Oberst Dahl, Ende Mai 1980 wieder. Acht RAF-Leute wollten aussteigen, man suchte nach einem Ort im Ausland, vielleicht in Afrika. Dahl trug das Problem Minister Erich Mielke vor. Dass der persönlich entschied, diese sollten in der DDR bleiben, klingt plausibel.

    Zu den ersten acht, die mit neuer Identität in die DDR-Gesellschaft eingegliedert wurden, kamen zwei Jahre später auch Inge Viett und Henning Beer. Alle zehn waren schrecklichster Gewalttaten überführt. Insgesamt 34 Morde und mehr als 200 Verletzte gehen auf das Konto der RAF. Die der westdeutschen Justiz entzogenen Aussteiger dienten der DDR-Staatssicherheit nun als Faustpfand, falls die noch aktiven Terroristen sich gegen die DDR richten sollten. (Übrigens mied man in den DDR-Medien die Bezeichnung Rote Armee Fraktion – womöglich, um keine Assoziation mit den sowjetischen Befreiern zu erzeugen.)
    Romantische Erinnerung an bewaffneten Kampf gegen Nazis

    Man kann vermuten, dass neben der Sorge um die Sicherheit der DDR die Erinnerung ihres männlichen Spitzenpersonals an die eigene Jugend im Widerstand eine Rolle gespielt hat. Viele hatten im Untergrund gelebt, mit der Waffe gekämpft – ob in Spanien, der Resistance oder im Innern. Erich Mielke selber konnte nach der Wende vor Gericht nachgewiesen werden, dass er und sein Mittäter Erich Ziemer am 9. August 1931 auf dem Berliner Bülowplatz (heute Rosa-Luxemburg-Platz) im Auftrag der KPD die beiden Polizisten Paul Anlauf und Franz Lenck mit Pistolen aus vier bis fünf Metern hinterrücks erschossen hatten. Das war ein Anschlag auf die Republik. Die Mörder entkamen nach Moskau.


    Harry Dahl, Leiter der Terrorabwehr des MfS, am 19.Februar 1997 im Kriminalgericht Berlin-Moabit. Er war wegen Strafvereitelung angeklagt und wurde schließlich freigesprochen.

    Aber wie bewertete die DDR-Führung den linken Terrorismus? Die MfS-Dokumente bleiben im sachlichen Ton, nennen Terror ausdrücklich Terror – keine Beschönigung, keine Relativierung. Was man von der RAF zu halten hatte, gab ein ganz besonderer Meinungsbeitrag vor, den die Berliner Zeitung am 20. Mai 1973 aus der Literaturnaja Gaseta (leicht gekürzt) nachdruckte. Dort war er am 4. April erschienen. Solch ein Text kam niemals auf Initiative der Redaktion ins Blatt. Das kam von ganz, ganz oben. Man darf davon ausgehen, dass in den Wochen dazwischen auf allerhöchsten Ebenen über die Publikation debattiert worden war.

    Der Autor Michail Basmanow beschäftigt sich unter der Überschrift „Wem nützt der revolutionäre Extremismus“ mit linksradikalen maoistischen, trotzkistischen und anarchistischen Strömungen in der Welt, die „vorgeben, den Kampf der Arbeiterklasse zu führen, dabei aber objektiv zu Feinden und Verrätern der Sache des Sozialismus werden“. Er nennt sie Bombenwerfer und Banditen, die ihr Tun als revolutionär ausgeben.

    Zum Schaden der sozialistischen Sache

    Basmanow nennt Horst Mahler einen anarchistischen Ideologen, der zum „Schlag gegen das Nervensystem des Kapitalismus“ aufgerufen hatte, praktisch aber habe es sich um Banküberfälle und Raub gehandelt. Dass Andreas Baader und Ulrike Meinhof mit Sprengstoffanschlägen „revolutionäres Bewusstsein“ schaffen würden, bezweifelt er.

    Angesichts ähnlicher Gruppen in Japan, Spanien, Frankreich, Kanada, China et cetera fragte er, wie es zu solchen „Rückfällen“ kommen könne, wo doch „die revolutionäre Weltbewegung stark und reif ist wie nie zuvor“. Schließlich fügte die „Diversions- und Terrortätigkeit“ der „Superrevolutionäre“ dem „kapitalistischen System nicht einmal Kratzer“ zu, vielmehr brächte sie die „revolutionäre, antiimperialistische Bewegung überhaupt in Misskredit“.

    Die These vom „Terroristen-Hort DDR“ – so lautete der Spiegel-Titel 25/1995 – widerlegen die Akten. Die Ex-Terroristen waren aus dem Verkehr gezogen und ruhiggestellt. Der Bundesgerichtshof sprach Oberst Dahl 1998 von Vorwürfen wie Strafvereitelung frei.

    Daniela Klette, seit 1975 in linksextremen Gruppen unterwegs, unter anderem in der Anti-Nato-Bewegung und der Roten Hilfe, kam in den 1980ern mit Mitgliedern der RAF in Kontakt und startete ihre Laufbahn als Terroristin 1989/1990. Die DDR als sichere Zuflucht hörte zu jener Zeit gerade auf zu existieren, die Aussteiger flogen auf.

    Als die RAF 1998 ihre Selbstauflösung erklärte, fand Daniela Klette im Kreuzberger Antiimperialisten-Milieu Zuflucht. Ende der 1980er hatte die Grüne Antje Vollmer eine Kampagne zur Freilassung der Inhaftierten gestartet, „Leute, mit deren Irrtümern ich generationenverhaftet bin“, wie sie 1995 im Interview mit der Berliner Zeitung sagte. Inge Viett, die in der DDR gelebt hatte, wurde 1992 wegen versuchten Mordes zu 13 Jahren Haft verurteilt, kam nach fünf Jahren wieder in Freiheit, betätigte sich als linke Aktivistin und starb 2022 in Falkensee. Andere leben heute noch und schweigen bis ins Grab.

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