#todo_aller_à_la_bibliothèque

La citation me fait penser à une étude déjà ancienne (fin des années 1990 je dirais) dont je ne retrouve pas de trace web (c’était avant l’euro mais je me souviens assez précisément des chiffres en francs belges, ici convertis à la louche). Les interrogés/sondés indiquaient leur niveau de ressources financières et leur statut professionnel. Par la suite, ils étaient invités à donner leur idée subjective de la richesse en terme de ressources financières et de statut pofessionnel lié.

Pour les sous :
– les minimexés (rmi-stes) estimaient en moyenne le revenu d’un riche à 1500€ nets par mois. Un isolé touchait (ménage d’une seule personne), alors mensuellement de l’ordre de 525€ ; un ménage, de l’ordre de 600€ + allocations familiales.
– les « riches » (ménages ou isolés aux revenus supérieurs à 5000€ nets mensuels) estimaient le revenu de pauvreté à... 1500€ nets par mois.

Pour les statuts :
– les universitaires avaient tendance à trouver que le niveau de revenu était lié au mérite (et incluaient l’obtention de diplômes dans ce cadre) et à la responsabilité exercée.
– les personnes à « faible niveau de qualification » trouvaient elles que le niveau de revenu dépendait du niveau de qualification...

Faut que je retrouve cette étude...

#todo_aller_à_la_bibliothèque

On est riche dès que l’on peut mettre de l’argent de côté. On est pauvre dès que nos moyens ne nous suffisent plus.

La richesse n’est indécente que parce que la pauvreté continue d’exister.