#tom_wolfe

  • #Le_Corbusier : Complete Works in 8 Volumes (1930-70) [French/English/German] — Monoskop Log

    https://monoskop.org/log/?p=11309

    Plus je lis des textes de ce mec plus je le déteste, mais bon, pour ceux qui sont intéressés, il y a ceci :

    Published between 1930 and 1970, in close collaboration with Le Corbusier himself the eight volumes comprise a comprehensive record of the buildings, projects, sketchbooks, manifestos, drawings, and texts of one of the 20th century’s most influential architect.

    Volumes 1-2, 4-7 edited by Willy Boesiger; Volume 1 co-edited by Oscar Stonorov, Volume 3 edited by Max Bill
    Publisher: Les Éditions d’Architecture, Zurich

    #architecture #réactionnaires

    • Mon premier est un gratte-ciel. Mon deuxieme est un grand ensemble. Mon troisieme est une banque, ou une ecole, ou un bureau de poste. Mon tout se trouve a New York, Sarcelles, Rotterdam ou la Defense. C’est...le style international, a qui nous devons cubes de beton, facades en verre fume et ces interieurs beige-noir-blanc casse a quoi semble se reduire l’architecture moderne. Comment en est-on arrive la ? Pour #Tom_Wolfe, tout commence en Allemagne, aux lendemains de la Premiere guerre mondiale, avec le #Bauhaus, qui regroupe les jeunes Turcs de la nouvelle architecture sous la direction de Walter Gropius. Leur devise : aneantir l’architecture bourgeoise. Marxistes, ils revent de balayer les decombres de la vieille Europe decadente, baroque et neo-classique, pour y edifier un monde rigoureux et abstrait, celebrant les noces de l’Art et de la Technologie. Chasses par la montee du nazisme, ils se refugient aux Etats-Unis. Et c’est alors que se produit le miracle : subjuguee, la classe dirigeante americaine confia a un groupe de theoriciens le soin de definir son art officiel. Entre-temps, #Le_Corbusier en France et le groupe de Stijl en Hollande occupaient le terrain, propageant des idees analogues qui, formant un nouvel academisme, devaient inspirer le travail de trois generations d’architectes, d’un bout a l’autre de la planete. Oui, il court, il court le Bauhaus. Et nul ne sait ou s’arretera l’invasion de ce style international, abstrait et incolore. Parce que la beaute est inseparable d’un certain art de vivre, Tom Wolfe s’attaque avec une ferocite tonique a cette nouvelle scolastique, denoncant ses devots, ses clercs et ses dieux.

    • Intéressante approche pour le Bauhaus, je ne voyais pas le mouvement sous cet angle, et les textes critique que j’ai pu lire ne défendaient pas cette thèse... Mais je prends acte et je continue les lectures...