• Gleich fünf neue Straßennamen in Spandau: Der Nazi-Name ist vom Berliner Straßenschild verschwunden
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/gleich-funf-neue-strassennamen-in-spandau-der-nazi-name-ist-vom-berline

    11.11.2022 von André Görke - Taxifahrer, aufgepasst! Berlin-Kenner, Augen auf! Hier kommt Idealer Stoff aus der beliebten Rubrik „Unnützes Spandau-Wissen“. Denn im Berliner Westen gibt’s im Herbst 2022 gleich fünf neue Straßennamen. Kommt ja auch nicht alle Tage vor. Der Text erschien natürlich wieder zuerst im Spandau-Newsletter vom Tagesspiegel, dessen aktuelle Ausgabe Sie kostenlos und in voller Länge hier lesen können: tagesspiegel.de/bezirke.

    Erna-Koschwitz-Weg

    „Es endlich geschafft: die Umbenennung ist vollzogen!“, schrieb mir Erich Wettwer aus Berlin-Hakenfelde, wo der Elkartweg endgültig Geschichte ist. Der alte Name erinnert an einen üblen Nazi. Nach, öhm, lediglich zwölf Jahren Debatte ist die Straße umbenannt, über die auch der beliebte Havelradweg verläuft.

    Jetzt wird auf dem Straßenschild Erna Koschwitz gewürdigt, die dort mit ihrer Lebensgefährtin gelebt hat. Das Haus steht bis heute, ist in der Berliner Denkmalliste eingetragen – und wird von Familie Wettwer gepflegt.

    Foto: Familie Wettwer 2017 vor der alten Laube, in der einst Erna Koschwitz lebte.

    „Meine Familie, insbesondere meine Eltern waren enge Freunde von Frau Koschwitz. Nach dem Krieg lebte sie mit ihrer Lebensgefährtin Anneliese Zech in ihrem nach 1945 zu einem Behelfsheim ausgebauten Wochenendhaus Am Fährweg 41/43 in Hakenfelde. Das Haus, das heute in meinem Besitz ist, wurde 2018 in die Denkmalliste von Berlin aufgenommen. Der Tagesspiegel hat seinerzeit darüber berichtet“, erzählte mir Wettwer. „Frau Koschwitz war seit 1919 in der Jugendwohlfahrtsarbeit in Charlottenburg tätig, nach 1945 wurde sie mit der Leitung der Abteilung Jugendfürsorge betraut.“ Und: „Sie erhielt Anfang der 60iger Jahre das Bundesverdienstkreuz, das sie aber später aus Protest an der Sozialpolitik der Stadt zurückgab.“

    Heinrich-Hertz-Straße

    Das geht in Berlin? Straßen, die nach Männern benannt werden? Dabei soll doch Geschlechtergleichheit hergestellt werden. In diesem Fall ist’s etwas tricky, denn bei der Straße handelt es sich um einen privaten Erschließungsweg im Neubaugebiet am Saatwinkler Damm.

    Foto: „Halske Sommergärten“ am S-Bahnhof Gartenfeld (links): Das Neubaugebiet für 3000 Menschen aus der Vogelperspektive.

    Auf der einstigen Siemens-Kleingartenkolonie entstehen bis 2024 1000 Wohnungen neben dem S-Bahnhof. Die Straße erinnert an den Physiker Heinrich Hertz. Na, hoffentlich verwechselt die keiner mit der Hertzallee am Bahnhof Zoo! Einwände müssen bis Mitte des Monats erfolgen, sonst erfolgt die Benennung am 10. Dezember. Quelle: Amtsblatt

    Elsa-Neumann-Straße

    Auch diese Straße liegt im Neubaugebiet „Halske Sommergärten“ am S-Bahnhof Gartenfeld (ab 2029 in Betrieb) und verläuft parallel zu den Schienen . Dort entstehen jene 1000 Wohnungen, die oben drüber schon Thema waren. Hier ein Screeshot aus dem Amtsblatt, wo die beiden Straßennamen verzeichnet sind.

    Foto: Blick ins Amtsblatt: Links unten der neue, alte S-Bahnhof Gartenfeld.

    Erinnert werden soll auf dem Straßenschild ab 10. Dezember an Elsa Neumann, die 1899 als erste Frau im Fach Physik an der Berliner Universität promoviert hat. Alt wurde sie nicht: Die Physikerin starb im Alter von 29 Jahren an den Folgen eines Gift-Unfalls beim Experimentieren mit Blausäure. Quelle: Amtsblatt

    Jamaikaweg

    Okay, das ist simpel: Wo bis 2009 das große Berliner Kraftwerk Oberhavel mit 120-Meter-Schornstein (Foto) stand, leben heute Familien in der „Havel Marina“ (1000 Leute). Die dortigen Straßen im 1. Bauabschnitt (hier alle Namen im Spandau-Newsletter) tragen längst Namen wie Hawaiiweg, Seychellenring, Tongaweg und ab 10. Dezember auch Jamaikaweg. Aloahe! – Quelle: Amtsblatt

    Foto: Blick ins Amtsblatt, Teil II: Wo früher ein Kraftwerk am Fluss stand, leben heute Familien.

    Bahamasbogen

    Klingt nicht nach Hakenfelde, ist aber Hakenfelde – siehe oben „Jamaikaweg“. Der liegt nebenan. – Quelle: Amtsblatt

    #Berlin #Spandau #Bahamasbogen #Elsa-Neumann-Straße #Erna-Koschwitz-Weg #Elsa-Neumann-Straße #Hawaiiweg #Heinrich-Hertz-Straße #Jamaikaweg #Seychellenring #Tongaweg

  • Iles Tonga : des vivres envoyés depuis Tahiti par la Polynésie française
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/26/iles-tonga-des-vivres-envoyes-depuis-tahiti-par-la-polynesie-francaise_61110

    Iles Tonga : des vivres envoyés depuis Tahiti par la Polynésie française
    Un navire militaire australien, où un foyer de Covid-19 est apparu, a accosté mercredi dans cet archipel du Pacifique Sud afin d’y débarquer l’aide d’urgence attendue.
    Les secours continuent d’être acheminés vers l’archipel. La Polynésie française va envoyer vendredi de Tahiti des vivres, de l’eau et des vêtements vers les îles Tonga, meurtries par une éruption volcanique et un tsunami, ont annoncé, mercredi 26 janvier, les services de cette collectivité d’outre-mer.Ces missions d’assistance sont compliquées par le refus des Tonga d’entrer en contact avec les équipages, afin de se préserver du Covid-19, celui-ci n’ayant pas encore atteint ces îles reculées du Pacifique Sud.
    Lire aussi Iles Tonga : des images satellites montrent l’étendue des dégâts après l’éruption qui a fait au moins deux morts sur l’archipel. « J’essaie d’obtenir du premier ministre, Siaosi Sovaleni, qu’on descende pendant une heure, mais ils n’ont fait aucune exception, pour personne », a déclaré à l’Agence France-Presse Manuel Terai, délégué aux affaires internationales de la Polynésie française, et coordonnateur de cette mission pour la collectivité ultramarine.
    Le navire Tahiti Nui doit apporter 120 citernes d’eau potable de 500 à 2 000 litres, l’eau sur l’archipel ayant été polluée par les retombées de cendres. La Polynésie française livre aussi 210 bâches destinées à protéger les toits des maisons, ainsi que des tronçonneuses.Le gouvernement local a mobilisé les églises et la population pour des dons de vivres et de vêtements, pour un total d’un millier de mètres cubes de fret, a assuré Manuel Terai.Le voyage du Tahiti Nui, qui devrait durer quatre jours et demi, pourrait être perturbé, selon M. Terai, par une dépression tropicale attendue le 29 janvier et par les signes de réveil d’un autre volcan, dans les îles Vanuatu.
    Un patrouilleur français, l’Arago, a quitté Papeete vendredi avec 40 tonnes de fret à son bord pour une arrivée prévue le 29 janvier à Tonga. Il livrera notamment du matériel permettant de construire des abris d’urgence (500 tentes, des cordages, des outils), des kits d’hygiène et des lampes solaires, ainsi que de l’eau et des rations alimentaires.Un autre patrouilleur français, La Glorieuse, achemine dix tonnes de fret depuis la Nouvelle-Calédonie. Le matériel sera déposé sur une île de l’archipel, en fonction des besoins recensés sur place, avant d’être récupéré par les Tongiens.La France a aussi déployé mardi de Nouméa un avion Falcon Guardian pour un vol de reconnaissance sur les îles isolées, et un avion Casa devrait livrer des ressources d’urgence mercredi. En Océanie, l’assistance en cas de catastrophe humanitaire est déployée par le mécanisme Franz : la France, l’Australie et la Nouvelle-Zélande coordonnent leurs moyens, notamment militaires.
    Un navire militaire australien, où un foyer de Covid-19 est apparu, a accosté mercredi aux Tonga afin de débarquer l’aide d’urgence attendue par cet archipel. Le ministre tongien de la santé, Saia Piukala, a précisé que l’équipage du HMAS Adelaïde déchargera sa cargaison « sans contact », conformément aux mesures drastiques en vigueur dans ce royaume isolé de 100 000 habitants, qui reste l’un des rares pays au monde encore épargné par le Covid-19.L’Adelaide achemine environ 80 tonnes de produits de première nécessité, dont quelque 250 000 litres d’eau, des kits médicaux et du matériel technique. Tous les membres d’équipage du navire avaient été testés négatifs avant leur départ de Brisbane, mais 23 cas ont été découverts mardi. Ce nombre est passé mercredi à 29, selon M. Piukala.
    Le navire compte plus de 600 membres d’équipage, tous vaccinés. Le ministre australien de la défense, Peter Dutton, a expliqué mardi que les 23 personnes positives étaient asymptomatiques ou montrant des symptômes légers. Le bateau compte 40 lits d’hôpital, des blocs opératoires et un service de soins intensifs.

    #Covid-19#migrant#migration#tonga#polynesie#france#australie#nouvellezelande#pacifiquesud#frontiere#circulation#insularité#humanitaire#catastrophenaturelle#circulationthérapeutique

  • Tonga : alerte au tsunami dans le Pacifique après l’éruption d’un volcan - YouTube – Le HuffPost
    https://www.youtube.com/watch?v=3nTGqt5D04E

    PACIFIQUE - Les habitants des îles Tonga fuyaient ce samedi 15 janvier vers les hauteurs face au tsunami provoqué par une nouvelle éruption massive - entendue jusqu’à des centaines de kilomètres - du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai.

    Un tsunami de 1,20 m a été observé à Nuku’alofa”, la capitale du pays, a annoncé le Bureau australien de Météorologie. Le précédent tsunami n’avait pas dépassé 30 cm. Et l’alerte venait d’être levée lorsque le volcan a à nouveau fait éruption.

    C’était une explosion massive”, a expliqué au site d’informations Stuff une habitante, Mere Taufa, qui se trouvait à ce moment-là chez elle, en train de préparer le dîner. “Le sol a tremblé, la maison entière était secouée. Ca venait par vagues. Mon jeune frère pensait que des bombes explosaient près de chez nous”, a-t-elle raconté.

    Quelques minutes plus tard, l’eau a envahi leur maison, et elle a vu le mur d’une maison voisine s’écrouler.

    Nous avons tout de suite su que c’était un tsunami, avec cette eau qui jaillissait dans la maison. On pouvait entendre des cris partout autour, et tout le monde a commencé à fuir vers les hauteurs”, a-t-elle ajouté.

    Se mettre à l’abri, se protéger et protéger les réserves d’eau
    Le roi des Tongas Tupou VI a été évacué du palais royal de Nuku’alofa et emmené vers une villa éloignée des côtes. L’éruption a duré huit minutes, et était si forte qu’elle a été entendue “comme un bruit de tonnerre lointain” sur les îles Fidji, à plus de 800 km de là, ont déclaré des responsables des Fidji. Ceux-ci ont également averti les habitants de couvrir les réserves d’eau pour les protéger de pluies ou de cendres acides.

    Victorina Kioa, de la Commission des Services publics des Tongas, a appelé la population à “s’éloigner de tous les endroits menacés, c’est-à-dire les plages, les récifs et toutes les côtes plates”.

    Les autorités ont par ailleurs conseillé à l’ensemble de la population de rester autant que possible à l’intérieur, de porter des masques s’ils doivent sortir et, là aussi, de protéger toutes les réserves d’eau.

    L’alerte tsunami levée pour Wallis-et-Futuna
    Des alertes au tsunami ont également été lancées pour les îles Fidji et Samoa, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Wallis-et-Futuna a également été concernée par une alerte avant qu’elle ne soit finalement levée un peu plus tard.

    Les autorités australiennes ont averti la population de Sydney et de sa région, les Nouvelles Galles du Sud, de “sortir de l’eau, et de s’éloigner du bord de l’eau”.

    Le Hunga Tonga-Hunga Ha’apai se trouve sur une des îles inhabitées des Tongas, à environ 65 km de la capitale Nuku’alofa.

  • #Côte_d’Ivoire : #Barrick_Gold cherche un investisseur pour la #mine d’#or de #Tongon

    Le groupe minier Barrick Gold, qui exploite la plus grande mine d’or de Côte d’Ivoire, à Tongon dans le Nord, prépare une cession d’une partie de ses actifs. La transaction devrait se concrétiser avant la fin de l’année.

    https://www.jeuneafrique.com/815936/economie/cote-divoire-barrick-gold-cherche-un-investisseur-pour-la-mine-dor-de-

    #mines #extractivisme

    ping @albertocampiphoto @daphne

  • #Niger, part 3 : Guns won’t win the war

    After an ambush killed four US special forces and five local soldiers in #Tongo_Tongo, a village in the northern part of the #Tillabéri region close to Niger’s border with Mali, Boubacar Diallo’s phone rang constantly.

    That was back in October 2017. Journalists from around the world were suddenly hunting for information on Aboubacar ‘petit’ Chapori, a lieutenant of #Islamic_State_in_the_Greater_Sahara, or #ISGS – the jihadist group that claimed the attack.

    Diallo, an activist who had been representing Fulani herders in peace negotiations with Tuareg rivals, had met Chapori years earlier. He was surprised by his rapid – and violent – ascent.

    But he was also concerned. While it was good that the brewing crisis in the remote Niger-Mali borderlands was receiving some belated attention, Diallo worried that the narrow focus on the jihadist threat – on presumed ISGS leaders Chapori, Dondou Cheffou, and Adnan Abou Walid Al Sahrawi – risked obscuring the real picture.

    Those concerns only grew later in 2017 when the G5 Sahel joint force was launched – the biggest military initiative to tackle jihadist violence in the region, building on France’s existing Operation Barkhane.

    Diallo argues that the military push by France and others is misconceived and “fanning the flames of conflict”. And he says the refusal to hold talks with powerful Tuareg militants in #Mali such as Iyad Ag Ghaly – leader of al-Qaeda-linked JNIM, or the Group for the support of Islam and Muslims – is bad news for the future of the region.

    Dialogue and development

    Niger Defence Minister Kalla Moutari dismissed criticism over the G5 Sahel joint force, speaking from his office in Niamey, in a street protected by police checkpoints and tyre killer barriers.

    More than $470 million has been pledged by global donors to the project, which was sponsored by France with the idea of coordinating the military efforts of Mauritania, Mali, #Burkina_Faso, Niger, and Chad to fight insurgencies in these countries.

    “It’s an enormous task to make armies collaborate, but we’re already conducting proximity patrols in border areas, out of the spotlight, and this works,” he said.

    According to Moutari, however, development opportunities are also paramount if a solution to the conflict is to be found.

    "Five years from now, the whole situation in the Sahel could explode.”

    He recalled a meeting in the Mauritanian capital, Nouakchott, in early December 2018, during which donors pledged $2.7 billion for programmes in the Sahel. “We won’t win the war with guns, but by triggering dynamics of development in these areas,” the minister said.

    A European security advisor, who preferred not to be identified, was far more pessimistic as he sat in one of the many Lebanese cafés in the Plateau, the central Niamey district where Western diplomats cross paths with humanitarian workers and the city’s upper-class youth.

    The advisor, who had trained soldiers in Mali and Burkina Faso, said that too much emphasis remained on a military solution that he believed could not succeed.

    “In Niger, when new attacks happen at one border, they are suddenly labelled as jihadists and a military operation is launched; then another front opens right after… but we can’t militarise all borders,” the advisor said. If the approach doesn’t change, he warned, “in five years from now, the whole situation in the Sahel could explode.”

    Tensions over land

    In his home in east Niamey, Diallo came to a similar conclusion: labelling all these groups “jihadists” and targeting them militarily will only create further problems.

    To explain why, he related the long history of conflict between Tuaregs and Fulanis over grazing lands in north Tillabéri.

    The origins of the conflict, he said, date back to the 1970s, when Fulani cattle herders from Niger settled in the region of Gao, in Mali, in search of greener pastures. Tensions over access to land and wells escalated with the first Tuareg rebellions that hit both Mali and Niger in the early 1990s and led to an increased supply of weapons to Tuareg groups.

    While peace agreements were struck in both countries, Diallo recalled that 55 Fulani were killed by armed Tuareg men in one incident in Gao in 1997.

    After the massacre, some Fulani herders escaped back to Niger and created the North Tillabéri Self-Defence Militia, sparking a cycle of retaliation. More than 100 people were killed in fighting before reconciliation was finally agreed upon in 2011. The Nigerien Fulani militia dissolved and handed its arms to the Nigerien state.

    “But despite promises, our government abandoned these ex-fighters in the bush with nothing to do,” Diallo said. “In the meantime, a new Tuareg rebellion started in Mali in 2012.”

    The Movement for Oneness and Jihad in West Africa (known as MUJAO, or MOJWA in English), created by Arab leaders in Mali in 2011, exploited the situation to recruit among Fulanis, who were afraid of violence by Tuareg militias. ISGS split from MUJAO in 2015, pledging obedience to ISIS leader Abu Bakr al-Baghdadi.

    Diallo believes dialogue is the only way out of today’s situation, which is deeply rooted in these old intercommunal rivalries. “I once met those Fulani fighters who are the manpower of MUJAO and now of ISGS, and they didn’t consider themselves as jihadists,” he said. “They just want to have money and weapons to defend themselves.”

    He said the French forces use Tuareg militias, such as GATIA (the Imghad Tuareg Self-Defence Group and Allies) and the MSA (Movement for the Salvation of Azawad), to patrol borderlands between Mali and Niger. Fulani civilians were killed during some of these patrols in Niger in mid-2018, further exacerbating tensions.

    According to a UN report, these militias were excluded from an end of the year operation by French forces in Niger, following government requests.

    ‘An opportunistic terrorism’

    If some kind of reconciliation is the only way out of the conflict in Tillabéri and the neighbouring Nigerien region of Tahoua, Mahamadou Abou Tarka is likely to be at the heart of the Niger government’s efforts.

    The Tuareg general leads the High Authority for the Consolidation of Peace, a government agency launched following the successive Tuareg rebellions, to ensure peace deals are respected.

    “In north Tillabéri, jihadists hijacked Fulani’s grievances,” Abou Tarka, who reports directly to the president, said in his office in central Niamey. “It’s an opportunistic terrorism, and we need to find proper answers.”

    The Authority – whose main financial contributor is the European Union, followed by France, Switzerland, and Denmark – has launched projects to support some of the communities suffering from violence near the Malian border. “Water points, nurseries, and state services helped us establish a dialogue with local chiefs,” the general explained.

    “Fighters with jihadist groups are ready to give up their arms if incursions by Tuareg militias stop, emergency state measures are retired, and some of their colleagues released from prison.”

    Abou Tarka hailed the return to Niger from Mali of 200 Fulani fighters recruited by ISGS in autumn 2018 as the Authority’s biggest success to date. He said increased patrolling on the Malian side of the border by French forces and the Tuareg militias - Gatia and MSA - had put pressure on the Islamist fighters to return home and defect.

    The general said he doesn’t want to replicate the programme for former Boko Haram fighters from the separate insurgency that has long spread across Niger’s southern border with Nigeria – 230 of them are still in a rehabilitation centre in the Diffa region more than two years after the first defected.

    “In Tillabéri, I want things to be faster, so that ex-fighters reintegrate in the local community,” he said.

    Because these jihadist fighters didn’t attack civilians in Niger – only security forces – it makes the process easier than for ex-Boko Haram, who are often rejected by their own communities, the general said. The Fulani ex-fighters are often sent back to their villages, which are governed by local chiefs in regular contact with the Authority, he added.

    A member of the Nigerien security forces who was not authorised to speak publicly and requested anonymity said that since November 2018 some of these Fulani defectors have been assisting Nigerien security forces with border patrols.

    However, Amadou Moussa, another Fulani activist, dismissed Abou Tarka’s claims that hundreds of fighters had defected. Peace terms put forward by Fulani militants in northern Tillabéri hadn’t even been considered by the government, he said.

    “Fighters with jihadist groups are ready to give up their arms if incursions by Tuareg militias stop, emergency state measures are retired, and some of their colleagues released from prison,” Moussa said. The government, he added, has shown no real will to negotiate.

    Meanwhile, the unrest continues to spread, with the French embassy releasing new warnings for travellers in the border areas near Burkina Faso, where the first movements of Burkinabe refugees and displaced people were registered in March.

    https://www.thenewhumanitarian.org/special-report/2019/04/15/niger-part-3-guns-conflict-militancy
    #foulani #ISIS #Etat_islamique #EI #Tuareg #terrorisme #anti-terrorisme #terres #conflit #armes #armement #North_Tillabéri_Self-Defence_Militia #MUJAO #MOJWA #Movement_for_Oneness_and_Jihad_in_West_Africa #Mauritanie #Tchad

    @reka : pour mettre à jour la carte sur l’Etat islamique ?
    https://visionscarto.net/djihadisme-international

  • Las chanclas ponen al descubierto el lado oscuro de la globalización
    http://theconversation.com/las-chanclas-ponen-al-descubierto-el-lado-oscuro-de-la-globalizacio

    El mercado más grande de chanclas se encuentra en los países con rentas bajas. Etiopía, un estado sin litoral del este de África, es uno de los mayores consumidores de chanclas baratas. Seguí los contenedores de chanclas desde la costa de la región de Somalilandia y por la frontera de Etiopía y descubrí que muchas de las rutas de las chanclas se diseñan para evadir los impuestos de importación.

    Una matriz cambiante de contrabandistas muy especializados mueve estos contenedores asumiendo un gran riesgo personal. Cuando llegan al Mercato, el gran mercado central de Adís Abeba, las chanclas de contrabando y las importadas de forma legal son indistinguibles, salvo por su precio: las de contrabando son más baratas y atraen a una población que vive con esmero de unos recursos escasos.

    La sandale de plage, métaphore de la #mondialisation.

  • La #découverte de l’ #Australie et de la #Nouvelle-Zélande - #Persée
    https://www.persee.fr/doc/caoum_0373-5834_1970_num_23_90_2553

    Cet #article extrait des #Cahiers_d'Outre-Mer de #Christian_Huetz_de_Lemps en #1970 nous informe de l’importance #géographique des #découvertes de #Tasman dans le #Pacifique_Sud. Ainsi l’ #explorateur est envoyé à la recherche de la séparation entre la #Nouvelle_Guinée et l’Australie, mais en même temps chargé de nouvelles découvertes à la recherche d’ #or et d’ #argent sur ces #territoires inexplorés.

    Tasman décida alors de remonter un peu au Nord et de suivre en gros le 44’ parallèle. Le 24 novembre apparut une terre élevée que l’on contourna, observa et dénomma Terre de Van Diemen : il s’agissait du Sud-Ouest de la #Tasmanie. Continuant vers l’Est, le 13 décembre 1642 les #Hollandais virent une haute terre qu’ils entreprirent de longer vers le Nord : c’était l’île Sud de la Nouvelle-Zélande qu’ils nommèrent île des Etats. Dans la baie Golden, Tasman essaya de prendre contact avec les indigènes dont les nombreuses pirogues suivaient les évolutions des Européens, mais le seul résultat fut la perte de quatre hommes et d’une chaloupe, attaqués par surprise dans cette « baie des Assassins ». L’expédition suivit ensuite la côte de l’île Nord de la Nouvelle-Zélande, toucha aux #Tonga, aux #Fidji et gagna la côte Est de la Nouvelle-Guinée avant de rentrer à #Batavia. Le résultat de l’entreprise fut jugé médiocre dans la mesure où elle n’ouvrait guère de perspectives commerciales.

    Cependant cette entreprise peut être considérée comme fructueuse pour le #géographe car les explorations de Tasman consignées dans son journal de bord sont celles d’un grand #découvreur. L’intérêt géographique de ses découvertes a bien été reconnu plus tard par ses concitoyens hollandais qui ont reconnu l’apport d’ #informations que leur a fourni l’explorateur en incorporant dans leurs #cartes ses découvertes.

  • La tong de la discorde entre Havaianas et des chefs tribaux | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2015/02/18/la-tong-de-la-discorde-entre-havaianas-et-des-chefs-tribaux

    La célèbre marque brésilienne #Havaianas se retrouve au cœur d’un imbroglio sur la propriété intellectuelle, relate El País Brasil, édition brésilienne du quotidien espagnol El País. La très ethnique collection des célèbres #tongs, Havaianas Tribos, a irrité des militants de la tribu indienne yawalapiti, qui vit dans la réserve du Haut-Xingu, dans le Mato Grosso, dans le sud de l’Amazonie brésilienne. Les #graphismes utilisés pour décorer les Havaianas s’inspirent directement de divers symboles propres à cette communauté.

    Or, bien que l’entreprise qui exploite la marque Havaianas, Alpargatas, ait souhaité faire les choses en bonne et due forme avec son agence publicitaire, Almap BBDO, pour créer cette collection, elle n’a pas pensé à tout. L’agence a bien signé un contrat avec un membre des Yawalapitis qui a dessiné les symboles, mais ce dernier n’avait pas l’aval des chefs de tribu pour ce projet, et se voit désormais accusé d’atteinte aux #droits_du_patrimoine_visuel des #Yawalapitis.

  • An #interview with Ghanaian artist #Sarkodie in the lead-up to his new album
    http://africasacountry.com/an-interview-with-ghanaian-artist-sarkodie-in-the-lead-up-to-his-ne

    Few rappers on the continent have been as prolific as Sarkodie this year. The Ghanaian emcee has released a steady stream of songs and videos, all in the lead-up to his album which will be titled #Sarkology. So we found it necessary to touch base with him during a #VIDEO shoot in Johannesburg for “Pon […]

    #MUSIC #Ghana #Illimunati #Joey_B #Rapperholic #Tonga

  • Perpetual Motion Test Could Amend Theory of Time
    https://www.simonsfoundation.org/features/science-news/perpetual-motion-test-could-amend-theory-of-time

    Physicists plan to create a “time crystal” — a theoretical object that moves in a repeating pattern without using energy — inside a device called an ion trap …

    Source: Simons Foundation: Advancing Research in Basic Science and Mathematics

    #perpetual_motion #time #quantum_mechanics #time_crystals #physics #frank_wilczek #patrick_bruno #hartmut_häffner #jakub_zakrzewski #xiang_zhang #tongcang_li #physics #quantum_mechanics #time #time_crystals

  • Perpetual Motion Test Could Amend Theory of Time
    https://simonsfoundation.org/features/science-news/perpetual-motion-test-could-amend-theory-of-time

    Physicists plan to create a “time crystal” — a theoretical object that moves in a repeating pattern without using energy — inside a device called an ion trap …

    Source: Simons Foundation: Advancing Research in Basic Science and Mathematics

    #perpetual_motion #time #quantum_mechanics #time_crystals #physics #frank_wilczek #patrick_bruno #hartmut_häffner #jakub_zakrzewski #xiang_zhang #tongcang_li #physics #quantum_mechanics #time #time_crystals

  • Elections à Tonga : la dernière marche vers un gouvernement démocratique : Yannick Fer
    http://yannickfer.hautetfort.com/archive/2010/11/28/tonga.html

    « Avec les élections de jeudi dernier, 25 novembre 2010, les Tongiens ont franchi une nouvelle étape dans le processus de démocratisation ouvert après la mort du roi Tupou IV (en septembre 2006) et l’accession au trône de son fils aîné George Tupou V, officiellement couronné en août 2008 (en photos ici). »

    Parce que toi aussi tu veux savoir ce qui se passe à Tonga, île principale : Tongatapu.
    #tonga #pacifique #élections