• Radio sauveur : vers une santé mentale émancipée
    https://radioparleur.net/2024/04/18/radio-sauveur-vers-une-sante-mentale-emancipee

    Arracher la santé aux spécialistes et aux institutions médicales c’est le point de départ de ce qu’on appel la santé communautaire. Prendre soin ensemble, finalement, pour faire face au système de santé et à la santé du système. Pour cette émission en direct du Saint-sauveur on conjugue santé mentale et santé communautaire avec Josep Rafanell […] L’article Radio sauveur : vers une santé mentale émancipée est apparu en premier sur Radio Parleur.

    #Au_fil_des_luttes #Débats_et_conférences #Toujours_en_lutte #Une_second_bandeau

  • Ce qui nous brûle
    https://radioparleur.net/2024/01/15/ce-qui-nous-brule

    Les survivant·es de violences sexuelles le savent : parler de ce qu’on leur a fait subir est un moment charnière. Un moment de libération et de soulagement qui laisse très vite place à un déchainement de violence symbolique. L’entourage s’emballe, s’empare du récit. Les injonctions plus ou moins contradictoires se multiplient et s’accumulent nourrissant chaque jour […] L’article Ce qui nous brûle est apparu en premier sur Radio Parleur.

    #Au_fil_des_luttes #Toujours_en_lutte #Une_second_bandeau

  • est peut-être une sale petite bourgeoise décadente mais elle croit qu’il n’y a jamais rien eu de plus triste au monde, toutes époques considérées et tous contextes confondus : les rat(e)s qui courent un peu partout dans la thébaïde ont fini par bouffer les yeux des quelques ourses en peluche qui avaient jadis miraculeusement survécu aux éventrements par la chienne — la vieille Garreau règne maintenant sur une armée de plantigrades énucléees avec des fils sortant des orbites, ça lui donne envie de pleurer.

    Elle essaie néanmoins de relativiser en se répétant qu’après tout « au pays des aveugles les borgnes sont premières ministres », comme on le dit dans certaine République bananière bien connue.

    #ToujoursPositive.

    • A rat done bit my sister Nell.
      (with Whitey on the moon)
      Her face and arms began to swell.
      (and Whitey’s on the moon)
      I can’t pay no doctor bill.
      (but Whitey’s on the moon)
      Ten years from now I’ll be payin’ still.
      (while Whitey’s on the moon)
      The man jus’ upped my rent las’ night.
      (’cause Whitey’s on the moon)
      No hot water, no toilets, no lights.
      (but Whitey’s on the moon)
      I wonder why he’s uppi’ me?
      (’cause Whitey’s on the moon?)
      I was already payin’ ’im fifty a week.
      (with Whitey on the moon)
      Taxes takin’ my whole damn check,
      Junkies makin’ me a nervous wreck,
      The price of food is goin’ up,
      An’ as if all that shit wasn’t enough
      A rat done bit my sister Nell.
      (with Whitey on the moon)
      Her face an’ arm began to swell.
      (but Whitey’s on the moon)
      Was all that money I made las’ year
      (for Whitey on the moon?)
      How come there ain’t no money here?
      (Hm! Whitey’s on the moon)
      Y’know I jus’ ’bout had my fill
      (of Whitey on the moon)
      I think I’ll sen’ these doctor bills,
      Airmail special
      (to Whitey on the moon)

  • Marlène Schiappa au tribunal par Sébastien Fontenelle | Politis
    http://www.politis.fr/articles/2022/07/marlene-schiappa-au-tribunal-44661

    quand elle découvre les tweets d’Isabelle Saint-Saëns, la ministre, moins « #ToujoursCharlie » qu’à son accoutumée, porte aussitôt plainte pour « injure publique envers un membre d’un ministère », et demande à l’impertinente militante la coquette somme de « 10 000 euros à titre de dommages et intérêts en réparation du préjudice subi du fait de la publication des propos poursuivis ».

    #migrants #justice #répression #ordure

    • #Marlène_Schiappa et la politique des ordures

      La ministre poursuit une militante, qui l’a traitée d’ordure, pour « injure publique ». On peut traiter des Roms ou des exilé·es comme des ordures, à condition que ce soit la politique du pays. C’est une question complémentaire qui est aujourd’hui posée à la justice. Des êtres humains n’ont-ils pas le droit de traiter d’ordures celles et ceux qui traitent comme des ordures d’autres êtres humains ?

      Le 19 août 2020, un jeune soudanais, Abdulfatah Hamdalla, est trouvé mort sur la plage de Sangatte, dans le Pas-de-Calais. Wajdi (c’est son surnom) avait essayé de traverser la Manche avec des pelles en guise de rames, mais le bateau gonflable avait chaviré ; son compagnon avait réussi à gagner la côte à la nage ; pas lui. Il était en France depuis un an et demi, mais l’asile venait de lui être refusé. Il voulait donc tenter sa chance en Angleterre. Or à Calais, c’est la politique répressive de la France, en même temps que de la Grande-Bretagne, qui rend la traversée de la Manche si dangereuse. Migreurop l’affirme avec force : Abdulfatah Hamdallah est « victime des politiques migratoires européennes ».

      « Depuis 1999, au moins 275 personnes [sont] mortes dans cette zone transfrontalière : mortes noyées en tentant de traverser la Manche ou de monter à bord d’un ferry dans le port de Calais, mortes écrasées par la cargaison d’un camion dans lequel elles s’étaient cachées, électrocutées par les caténaires de l’Eurostar ou tout simplement victimes des défaillances dans l’accès aux soins ou de l’absence de dispositifs d’accueil ». Comme en Méditerranée, même si c’est à moins grande échelle, les morts se multiplient ; pourtant, sous couvert de lutte contre les passeurs, en même temps qu’aux exilé·es, c’est au militant·es solidaires qui leur apportent une aide que s’en prend l’État.

      Il n’empêche : le jour-même, Marlène Schiappa, alors ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur chargée de la citoyenneté, sur Twitter, faisant part de son « immense tristesse », en profitait pour justifier la politique gouvernementale : « Ce drame insupportable nous mobilise encore plus avec Gérald Darmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d’êtres humains ! » Et qu’importe si cette tragédie n’implique aucun passeur ?

      En réponse, Marlène Schiappa était bien sûr taxée d’hypocrisie. La sociologue et écrivaine Kaoutar Harchi s’exclamait ainsi : « Se servir d’un drame humain pour justifier la poursuite d’un programme politique anti-migrant à l’origine du drame survenu et de tous ceux à venir, c’est d’un cynisme »…

      L’avocate engagée Caroline Mécary dit en substance la même chose : « Quelle tartufferie chère Marlène Schiappa qui avez : - Cautionné la loi Asile et Immigration ! – Démantelé les camps de migrants sans jamais proposer de solution alternative ! – Criminalisé les associations de secours en mer. #OnVousVoit ! »

      Dans les deux cas, Isabelle Saint-Saëns, militante de longue date aux côtés des migrants, accompagne son retweet d’un mot cinglant : « ordure ! » Et c’est encore ce mot qu’elle répète une troisième fois (mais au pluriel), en découvrant que Priti Patel, l’homologue britannique de Gérald Darmanin, également en charge de la politique migratoire, retweete Marlène Schiappa : « Il s’agit de la perte bouleversante et tragique d’une jeune vie. Cet horrible incident nous rappelle brutalement l’existence des odieux gangs criminels et des passeurs qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter. » C’est le même discours, sur le même ton.

      Vendredi 8 juillet 2022, Isabelle Saint-Saëns est convoquée au tribunal : comme le rapporte dans Politis Sébastien Fontenelle, Marlène Schiappa a déposé plainte contre elle pour « injure publique envers un membre d’un ministère », en demandant à la retraitée militante 10 000 euros en réparation du préjudice subi. Il est vrai que les trois tweets de ce compte suivi par 1300 abonnés ont totalisé 5 likes et 1 partage... Gageons donc que le procès donnera associera davantage le mot « ordure » au nom de la ministre : c’est le célèbre effet Streisand. Mais n’est-ce pas le but recherché ? Si l’admiratrice de Cyril Hanouna désire la publicité à tout prix, s’agit-il bien d’une injure ?

      Selon l’article 29 alinéa 2 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. » Il n’y aurait donc pas injure, à l’inverse, quand le mot qui offense, loin d’être une insulte gratuite, s’avère une critique politique de faits qui ont à voir avec l’ordure. Si je me pose la question, c’est que j’ai écrit en 2014, dans Roms & riverains, sur la politique de l’ordure menée par la France à l’égard des migrant·es roms, que les politiques publiques condamnent à vivre dans des conditions sanitaires sordides, près de décharges, sans ramassage d’ordures ni toilettes. « Ce n’est pas un hasard si “les Roms” sont aussi couramment associés, avec toute la violence de ce que nous avons qualifié de politique scatologique, aux décharges publiques, aux excréments et aux ordures. À peine bons à jeter, ils sont constitués en figure économique du déchet. »

      Le traitement de ces populations sur le mode du rebut participe, écrivais-je alors, d’une « politique de la race » : « C’est une politique qui justifie de traiter des êtres humains de manière inhumaine sans pour autant se sentir moins humain. Si “les Roms” étaient pleinement humains, alors, il faudrait se conduire à leur égard avec humanité ; mais puisqu’on les traite comme on le fait, et d’autant qu’on le sait, c’est bien qu’ils ne le sont pas tout à fait. Montesquieu avait pareillement démonté la folle rationalité de l’esclavage dans L’Esprit des lois : “Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.” La déshumanisation des Roms est ainsi la condition nécessaire pour sauvegarder notre humanité malgré ce que nous leur faisons. »

      Dans cette politique de la race, il ne s’agit pas seulement des Roms. Les pratiques de harcèlement par les pouvoirs publics « ne leur sont pas réservées ; par exemple, on les connaissait déjà dans la “jungle” de Calais – et pour les mêmes raisons : à force de tracasseries, il s’agit de décourager les migrants, dans l’espoir qu’ils renoncent et finissent par partir sans qu’il soit besoin de les expulser. » C’est ce que j’appelais ironiquement « l’auto-expulsion » : une politique de persécution à l’encontre des exilé·es, de la jungle de Calais à la Porte de la Chapelle, où leurs tentes sont lacérées, leurs sacs de couchage confisqués et leurs visages aspergés de gaz au poivre. La puissance publique a pris au pied de la lettre la formule qui lui était naguère opposée : « immigration jetable ».

      En France, il est donc permis de traiter des êtres humains comme des ordures. En revanche, celles et ceux qui mènent cette politique veulent interdire qu’on les traite d’ordures : ils voudraient n’en être pas comptables. On peut poursuivre une militante pour le mot « ordure », mais pas un ou une ministre pour une politique de l’ordure. La question s’est posée à propos de Manuel Valls : lorsqu’il a été poursuivi pour ses propos racistes tenus sur les Roms alors qu’il était ministre de l’Intérieur, la justice a considéré qu’ils ne posaient pas problème, puisqu’ils reflétaient la politique de la France. Je m’interrogeais alors : « Faut-il en conclure que la politique de l’État, par définition, ne saurait être raciste ? Ou bien qu’elle peut l’être impunément, parce que le gouvernement de la France serait au-dessus des lois ? » Peut-on traiter des gens comme des ordures, à condition que ce soit la politique du pays ?

      C’est une question complémentaire qui est aujourd’hui posée à la justice. Des êtres humains n’ont-ils pas le droit de traiter d’ordures celles et ceux qui traitent comme des ordures d’autres êtres humains ? Il s’agit pourtant bien d’un discours politique des premiers sur les seconds, retournant l’abjection subie par les exilé·es contre les politiques qui la leur font subir. Les juges pourraient donc se montrer sensibles à l’évolution de la langue : aujourd’hui, on utilise souvent le verbe « traiter » comme un intransitif absolu : « il me traite », autrement dit, « il m’injurie » – mais aussi : « il me traite mal ». C’est mettre sur le même plan traiter de et traiter comme. En revanche, si la justice devait donner raison à la ministre, permettant de traiter comme tout en interdisant de traiter de, alors, il conviendrait qu’elle réponde à une autre question : comment peut-on qualifier, sans encourir les foudres judiciaires, les responsables d’une politique de la race qui traite de manière inhumaine des êtres humains sans pour autant se sentir moins humains ? Quels autres mots sont-ils adéquats pour dire, avec justesse et justice, cette abjection politique ? Car enfin, peut-on pratiquer une politique de l’ordure sans être ou devenir soi-même une #ordure ?

      https://blogs.mediapart.fr/eric-fassin/blog/080722/marlene-schiappa-et-la-politique-des-ordures

      #Schiappa #Isabelle_Saint_Saëns

  • Neuer Hashtag : Neue und und Nazistraßen in Berlin
    Dies ist eine editorische und archivarische Anmerkung

    Neue Straßen aus der Nachkriegszeit

    Das Schlagwort #neue_Straßen bezeichnet vor allem Artikel in denen Straßen vorkommen, die nach 1945 angelegt wurden und nicht dem historischen Layout folgen. „Alte“ Straßen sind die, welche aus den vormaligen Dorfstrukturen entstanden sind oder z.B. Teil des Hobrechtplans sind. Sie werden mit dem explizit gekennzeichnet, weil sie eine Änderung des geographischen Kontext und der damit zusammenhängenden Lebenswirklichkeit zur Folge hatten.

    Beispiel: #Penzberger_Straße
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Penzberger-Strasse-10779-Berlin
    https://www.openstreetmap.org/way/25042583

    Straßen als echte Nazierbschaft

    Die heute noch existierenden Straßen, die in der Nazizeit neu und vor allem als Teil der Vorarbeiten für die Errichtung der Welthauptstadt Germania angelegt wurden, werden als #Nazistraßen gekennzeichnet. Das gilt auch, wenn sie heute anders heißen. Dann erhalten sie außerden das Schlagwort #Straßenumbenennung

    Beispiel: #Olympischer_Platz
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Olympischer-Platz-14053-Berlin
    Beispiel: Hanns-Braun-Straße
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hanns-Braun-Strasse-14053-Berlin

    Straßen als Naziopfer

    Durch die Kombination der Hashtags #Nazis und #Straßenumbenennung werden Straße gekennzeichnet, deren Name in der Nazizeit geändert wurden, und die vorher schon existierten und vielleicht nach 1945 einen anderen Namen trugen. Das Schlagwort #Nazistraßen ist für diese Straßen nicht gedacht.

    Beispiel: #Reichskanzlerplatz -> #Adolf-Hitler-Platz -> #namenloser_Platz -> #Reichskanzlerplatz -> #Theodor-Heuss-Platz
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Theodor-Heuss-Platz-14052-Berlin

    Nazis heute

    Die Kombination der Hashtags #Nazis und #Straßenumbenennung wird auch für Straßen verwendet, die heute noch ihren von den Nazis gewidmeten Namen tragen, es sei denn, es handelt sich um #Nazistraßen.

    Mit den Begriffen #immernoch oder #toujours wird die Nichterfüllung der Aufforderung #nie_wieder bezeichnet. Sie kennzeichnen von Nazis gewidmete Straßen und andere Überbleibsel der Nazizeit. Das können Begriff aus dem Wörterbuch des Unmenschen ebenso sein wie immer noch gültige Gesetze und Verwaltungsvorschriften und vieles mehr.

    Beispiel: #Zobeltitzstraße
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Zobeltitzstrasse-13403-Berlin
    https://www.openstreetmap.org/way/241859198
    #Wacholderstraße -> #Zobeltitzstraße
    Beispiel: #Rumeyplan
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Rumeyplan-12101-Berlin
    https://www.openstreetmap.org/way/711137875
    #Preußenring -> #Rumeyplan

    #Verschlagwortung #Berlingeschichte

  • Kahane returns to the Knesset
    Feb 21, 2019 3:36 AM – Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/opinion/editorial/kahane-returns-to-the-knesset-1.6957376

    Prime Minister Benjamin Netanyahu’s lust for power knows no limits. The pressure he brought to bear on Habayit Hayehudi and National Union – including a promise of the housing and education ministries, two seats in the security cabinet and a reserved spot on the Likud list for one of their members – bore fruit. Rabbi Rafi Peretz responded to Netanyahu’s call to unite with the Otzma Yehudit party, comprised of followers of the late Rabbi Meir Kahane, which will receive slots No. 5 and No. 8 on the joint ticket.

    Thus, under the sponsorship of a prime minister who is prepared to sacrifice every principle and smash every institution in his battle to entrench his regime, the followers of Kahane will return to the Knesset riding like the Messiah on the donkey of religious Zionism.

    Kahane’s Kach party, which championed the deportation of the Arabs from all of “Eretz Israel,” was disqualified from contending for Knesset in 1988 because its platform contained racist incitement. It held a Knesset seat from 1984 until 1988. After the massacre by Baruch Goldstein, a Kach activist, at the Tomb of the Patriarchs in 1994, the government declared the Kach and Kahane Chai movements illegal terror organizations. Kach is also on the American and EU lists of terror groups. But none of this matters to Netanyahu, who is determined to win at any price.

    Otzma Yehudit is the political home of Kahane’s students and admirers, extreme Arab-haters who believe in Jewish supremacy, among them the founder of the Lehava movement, the radical-right group that opposes personal relationships between Jews and non-Jews. The Kahanists followed the “advice” of the party’s rabbis – Rabbi Dov Lior, Rabbi Shmuel Eliyahu and Rabbi Yehuda Kroizer – who told them to accept the compromise because the fate of the Land of Israel is at stake. (...)

    #toujourspire

  • Les barbelés de clôtures, abandonnés par l’#Espagne mais maintenus par le #Maroc ?

    Alors que le gouvernement espagnol a annoncé vendredi qu’il abandonnera les barbelés de clôtures séparant #Ceuta et #Melilla du Maroc, ce dernier serait en train de mettre en place une nouvelle clôture autour des deux enclaves..

    Le gouvernement espagnol a approuvé vendredi un plan de modernisation visant à supprimer les barbelés de clôtures séparant Ceuta et Melilla du Maroc.

    Selon le média espagnol Info Libre, cette annonce intervient sept mois après que le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, s’était prononcé contre ce dispositif. La même source rappelle que ces barbelés de clôtures causent de graves blessures aux migrants qui tentent d’accéder illégalement aux deux enclaves espagnoles.

    Le gouvernement espagnol pour des moyens « plus surs mais moins sanglants »

    « Le retrait des clôtures et leur remplacement par de nouveaux équipements avec une technologie de pointe permettra de renforcer la sécurité sans blesser » ces migrants, poursuit-on de même source. Cette opération concernera d’abord les « zones frontalières les plus vulnérables ».

    Malgré l’insistance de l’opinion publique espagnole, Grande-Marlaska n’a pas précisé en quoi son ministère rendrait les clôtures plus sûres, mais il a cité un rapport technique du gouvernement de Rajoy. Ce document, cité par les médias espagnols, avait établi que les barbelés n’étaient plus dissuasifs pour les migrants, ce qui justifie la décision de les remplacer par des moyens « plus sûrs mais moins sanglants ».

    Toutes les actions seront développées en coordination avec le Royaume du Maroc, chargé de la surveillance de l’autre côté de la frontière, a précisé le ministre. Ce dernier a indiqué aussi que les travaux commenceront cette année par l’installation d’un nouveau système de surveillance en circuit fermé.

    « L’amélioration du réseau de fibre optique ou l’extension du circuit fermé de vidéosurveillance jusqu’au territoire marocain sont également prévues, tout comme l’adaptation des zones de transit de personnes à Tarajal (Ceuta) et d’autres passages frontaliers et l’installation de dispositifs de reconnaissance faciale », poursuit le média espagnol.

    Les « concertinas » maintenus par le Maroc ?

    Avec ces actions, le gouvernement montre sa volonté de prendre « très au sérieux la sécurité des migrants et le respect des droits de l’Homme », a déclaré Grande-Marlaska. Cette mesure intervient dans le cadre d’un large plan annoncé par le gouvernement pour l’amélioration des infrastructures de sécurité de l’Espagne, conclut Info Libre.

    De son côté, le média local Ceuta Actualidad a rapporté ce samedi que le Maroc serait en train d’installer, au niveau sa frontière avec Ceuta, une clôture avec des fils barbelés concertinas. « Pour le moment, les travaux ont commencé dans la région de Finca Berrocal. La clôture, plus petite que celle des Espagnols, sera située à quelques mètres de celle-ci », précise-t-il.

    « Avec cette mesure, un migrant qui veut accéder à Ceuta devra d’abord franchir la barrière marocaine puis un deuxième obstacle. De cette manière, il sera très difficile pour un migrant de pénétrer sur le territoire espagnol sans être intercepté à mi-parcours », détaille-t-il.

    Et Ceuta Actualidad de conclure : « Désormais, les #concertinas (#fils_barbelés, ndlr) seront placées du côté marocain » de la frontière.

    https://www.yabiladi.com/articles/details/73546/barbeles-clotures-abandonnes-l-espagne-mais.html

    #murs #barbelés #barrières_frontalières #frontières #asile #migrations #réfugiés #fil_barbelé

    • Le Maroc remplace les #lames_coupantes retirées des clôtures espagnoles de Ceuta et Melilla

      « Il sera désormais presque impossible pour les immigrants d’arriver à Ceuta ou à Melilla, et avec l’argent européen, nous protégeons nos frontières », a déclaré une source autorisée du ministère de l’Intérieur à El Mundo. Et pour cause, révèle la même source, le financement de 140 millions d’euros promis par l’Union européenne au Maroc et dont plus de 30 millions ont d’ores et déjà été injectés dans le budget du « cordon de sécurité », servira en priorité à ériger une double barrière hérissée de lames coupantes et d’un profond fossé en amont de la clôture espagnole.

      Le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, avait, quant à lui, annoncé que les lames, qui avaient suscité une vive polémique en Espagne après de graves blessures infligées à des migrants subsahariens, seraient retirées des « zones les plus vulnérables » des clôtures de Ceuta et Melilla.

      Comme l’avait expliqué Marlaska, le système de protection espagnol « sera renforcé, mais sans moyens sanglants », simplement parce-que ces « moyens sanglants » sont désormais pris en charge… par le Maroc. « Nous sommes prêts à jouer à nouveau le mauvais rôle tant que l’Espagne et l’Europe respectent ce qu’elles ont promis. Si elles ne veulent pas d’immigrants, elles doivent nous procurer plus d’argent, de moyens et de formation », a expliqué à El Mundo, le haut responsable du ministère de l’Intérieur. Résultat : les lames de la partie espagnole vont disparaître. Mais le Maroc les remplace…


      https://mobile.ledesk.ma/encontinu/le-maroc-remplace-les-lames-coupantes-retirees-des-clotures-espagnoles

    • Migration : l’Espagne augmentera la #hauteur des #clôtures frontalières à #Ceuta

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a annoncé samedi 23 février sa volonté de renforcer sa frontière à Ceuta en élevant la hauteur de sa clôture. “La hauteur de la clôture sera augmentée de 30%, atteignant les dix mètres, là où se sont produites le plus d’entrées”, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, lors d’une visite à Ceuta, selon un communiqué de son ministère.

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a également indiqué que les barbelés au sommet des clôtures seraient remplacés par un autre matériel non blessant qui “garantira la sécurité sans blesser tout le long de la clôture”.

      Toujours selon la même source, les travaux de renforcement de cette clôture à Ceuta commenceront dans un mois et demi environ.

      Le but, selon le ministre, est d’avoir “une frontière plus sûre, plus moderne et dotée de moyens technologiques plus sophistiqués”. Ce dernier a évoqué notamment des systèmes de reconnaissance faciale aux passages frontaliers et l’amélioration des systèmes de vidéo-surveillance.

      Selon les chiffres du ministère espagnol de l’Intérieur, 726 migrants sont entrés illégalement dans les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla entre le 1er janvier et le 13 février par voie terrestre.

      Pendant la même période, 4.889 autres migrants ont accosté sur les côtes espagnoles à bord d’embarcations. Les côtes espagnoles constituent la principale voie d’entrée par mer dans l’Union européenne (UE) des migrants en situation irrégulière.

      Rappelons que Ceuta et Melilla ont été plusieurs fois le théâtre de passages en force de migrants africains qui souhaitaient pénétrer dans les enclaves espagnoles, constituant la seule frontière terrestre entre l’Afrique et l’UE.

      https://www.huffpostmaghreb.com/entry/migration-lespagne-augmentera-la-hauteur-des-clotures-frontalieres-
      #toujours_plus_haut #tout_aussi_inutile

    • ’A bloody method of control’: the struggle to take down Europe’s razor wire walls

      You could barely see that it was a finger. “The wound was large, with several deep cuts into the flesh. He had tried to climb the fence and was up there when he was caught by police in the middle of the night,” says András Léderer, advocacy officer for the Hungarian Helsinki Committee, a Budapest-based NGO.

      “He lost his balance. The wound was so horrific because as he fell, he tried to grab the razor wire – and also, he said, touched the second layer of the fence, which is electrified.”

      The unnamed Pakistani refugee in his 30s had attempted to cross the fence near Sombor, Serbia, to get into Hungary in 2016. The coils of metal that lacerated his finger are ubiquitous at the perimeters of “Fortress Europe” and can be found on border fences in Slovenia, Hungary, Macedonia, Bulgaria, Spain and France.

      Razor wire is cut from galvanised steel, and unlike barbed wire, which was devised to tangle and impede movement, it is designed to maim.

      It is one of the most visible symbols of the fortification of the EU’s borders. Thousands of migrants have already paid with their lives while attempting to get around those borders: by crawling through pipes, suffocating in the back of lorries, or drowning in the Mediterranean.

      In September 2005, a Senegalese man reportedly bled to death from wounds inflicted by deadly razor wire coils topping the fence in Ceuta, one of Spain’s two exclaves on the north African coast.

      Migrants from African countries regularly attempt to scale the six-metre high barriers separating these port cities from Morocco. They do so at great personal risk; after mass attempts to cross, Spanish medical staff regularly attend to deep cuts from razor wire, from which migrants’ bloodstained clothes are sometimes left dangling.

      Like the rest of Spain, Ceuta and Melilla have been under lockdown during the coronavirus pandemic. But tighter Moroccan border controls linked to the pandemic have not stopped migrants and refugees from coming: 1,140 people succeeded in crossing the frontier into Ceuta and Melilla in the first three months of this year.

      The Spanish authorities started removing the razor wire from these fences last December as part of a review of border security. The wire was first installed in 2005, removed two years later and restored by the centre-right government of Mariano Rajoy in 2013. The socialist government led by Pedro Sanchez had a chance to make good on repeated promises of a more humanitarian migration policy after June 2018. And throughout 2018 and 2019, Spanish officials stated their determination to remove the razor wire and, in the words of the interior minister, Fernando Grande-Marlaska, move beyond “bloody methods” of border control.

      Spain’s humanitarian policy has become largely redundant, though, given that Moroccan authorities have started installing razor wire along their own border fence with Ceuta. And Grande-Marlaska announced recently that fences around the two Spanish exclaves would be raised by 30 metres to deter incomers.

      These apparent double standards are part of a pattern, says Karl Kopp, of the German NGO Pro Asyl.

      “The European style is to outsource this more vicious, older style of border control with its razor wire and multiple fences to third countries. At home, it’s about drones, surveillance and technical cooperation to identify migrants approaching the EU border before they even reach it. Meanwhile, violent border policing is kept farther afield: out of sight, out of mind. So the Moroccans build an ‘ugly’ fence which can be criticised, while the Spanish create a more ‘humanitarian’ alternative,” says Kopp.

      Public pressure elsewhere has led some governments to reconsider the use of razor wire as experts brand it both inhumane and ineffective. Others even wonder about the legality of its use.

      “On the one hand, legislation about borders states that crossing anywhere other than an official checkpoint is illegal. On the other hand, the notion of crossing a border illegally is usually voided under international refugee law if making an asylum claim,” says Bernd Kasparek, a researcher at Border Monitoring, a German NGO that tracks pushbacks of refugees. “So there is a legal tension at the EU’s borders. Sometimes it is very necessary to cross the border irregularly in order to lodge an asylum claim. Fortified borders like these interfere with that legal right, particularly in places where it’s an open secret that 99% of asylum claims lodged with border guards are rejected,” Kasparek adds.

      Recent successful attempts at removing razor wire from Europe’s borders have not been motivated by legal or humanitarian concerns but by ecological ones. In Slovenia, environmentalists’ fears of the impact of razor wire on wildlife led in 2016 to the removal of the coils from sections of its border with Croatia. In light of legal constraints in several European states on the deployment of razor wire in rural areas, some manufacturers even indicate the wildlife-friendly credentials of their razor wire.

      One difficulty in mounting a challenge is the near impossibility of establishing the true scale of the injuries inflicted specifically by razor wire at borders. According to Kate Dearden, project officer at the I nternational Organization for Migration’s Missing Migrants Project, many governments only keep records on deaths at borders, rather than deaths that occur later as a result of injuries during attempts to cross them.

      Moreover, it can be hard to discover exactly which portions of Europe’s fences are topped by razor wire and who supplied it; in recent years many governments have classified detailed information about fences as state security issues. Nevertheless, some manufacturers have refused to sell to border fences on humanitarian grounds. In 2015, Talat Deger, director of the Berlin-based company Mutanox, refused to do a deal with the Hungarian government. In an interview last year, Deger’s successor, Efekan Dikici, said that he and his staff have kept to the principle.

      “We want to sell razor wire, of course, but only for the right purposes: to secure property, factories, jails, or for example on the railings of ships to prevent piracy. For those purposes it’s justified; but when it’s being used against humans who need help, that’s awkward,” said Dikici. “Most of our workers have a foreign background themselves, so I think we all feel this a bit more.”
      That stance is costly. Dikici stressed that it can be genuinely difficult for razor wire suppliers to establish the end use of their product, given that they often deal with middlemen and procurement agencies. “If you’re selling to a government, razor wire could be used for a prison or a border. But if a request for a really huge amount comes in, we do wonder whether it’s for a border fence. Even large private properties need a few hundred metres, not kilometres. I ask myself, if we got a request from the US for the Mexico border, would we give them a quote?”

      Other companies do not appear to have these scruples – after all, there is a brisk trade to be done in razor wire, which is not to be confused with barbed wire. Razor wire is cut from single sheets of galvanised steel, and most commonly sold in folding coils known in the industry as concertinas. The sharp razors come in various sizes; most seen by the Guardian at four European border fences are of the BTO-22, BTO-20 and BTO-10 varieties – straight razor edges affixed to a metal coil.

      There are even more formidable options: CBT-60 includes “harpoon” style hooked razor heads that can embed themselves in the flesh of those trying to cross them. Some razor wire manufacturers seemingly flaunt the effects in their brochures; for example, Chinese manufacturer Hebei Jinshi advertises its CBT-65 long blade as a “vicious product” whose “extra long blade razors produce[s] [a] frightening effect.”

      However, some European producers have discovered that selling razor wire to border fences comes at the cost of bad press, even in times of rising xenophobic sentiment.

      When Hungary’s prime minister, Viktor Orbán, decreed in 2015 that a fence be raised on Hungary’s border with Serbia, the Malaga-based manufacturer European Security Fencing (ESF) provided the razor wire. ESF, a subdivision of Mora Salazar, has delivered coils for fences in Austria, Slovenia, Bulgaria and France, and proudly presents itself as one of Europe’s leading razor wire suppliers.

      Nevertheless, after the installation of its razor wire on the Hungarian border, ESF spokesmen told the Spanish press that they had been unaware of the product’s final use by the Hungarian clients. In September 2015, the company deleted its official Twitter account following the backlash provoked by a tweet boasting of ESF’s leading role in the European razor wire industry.

      Today, ESF appears to have competition in the form of Polish company GC Metal, which now refers to itself as Europe’s leading seller of razor wire. The company’s website indicates that it may have been involved in supplying concertina wire for the Bulgarian-Turkish border fence. Neither ESF nor GC Metal responded to requests for comment about the end use of their products or their humanitarian implications.

      Europe’s fortified borders are here to stay, even if borders in decades to come may be unrecognisable in comparison to today’s crude fences. Razor wire, much like fortified borders in general, is both inhumane and ineffective, concludes Kopp, though its removal may not necessarily be a bellwether for a more humanitarian migration policy. Seismic sensors, night vision cameras and surveillance drones have all come to play a greater role in border policing – with hi-tech solutions like these, will razor wire become redundant?

      “There’s a high symbolic value to razor wire, like fences,” says Mark Akkerman, a researcher at the Transnational Institute and author of a recent report on Europe’s border-industrial complex. “Simply put, they allow governments to show the public, the press, their voters, and the world that they’re ‘doing something’ about migration.”

      https://www.theguardian.com/global-development/2020/may/13/a-bloody-method-of-control-the-struggle-to-take-down-europes-razor-wire

  • Exclusive: #Walmart in talks to buy more than 40 percent of India’s Flipkart - sources
    https://www.reuters.com/article/us-flipkart-walmart/exclusive-walmart-in-talks-to-buy-more-than-40-percent-of-indias-flipkart-s
    https://s4.reutersmedia.net/resources/r/?m=02&d=20180216&t=2&i=1232029344&w=1200&r=LYNXNPEE1F0FY

    MUMBAI (Reuters) - Walmart Inc is in talks to purchase a stake of more than 40 percent in Indian e-commerce firm Flipkart, a direct challenge to Amazon.com Inc in Asia’s third-largest economy, two sources familiar with the matter said on Friday.

    #commerce #multinationales #toujours_plus_gros

  • Chômage, déficit, PIB... Dessinez vous-même le bilan de François Hollande en 9 #graphiques
    http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/02/16/chomage-deficit-pib-dessinez-vous-meme-le-bilan-de-francois-hollande-en-9-gr

    Quel sera, selon vous, le bilan de cinq années de présidence de Hollande en matière de chômage, de niveau d’imposition, de taux de pauvreté ou de décrochage scolaire ?

    Surprenant (pour la forme et pour les résultats)

    #les_graphiques_dont_vous_êtes_les_héros

  • Petite visite au musée d’Orsay cet aprèm. Les enfants ont trouvé que les femmes des tableaux de Lautrec étaient « un peu » vulgaires et ont aussi trouvé rigolo que tous les messieurs de la salle de rédaction du « Journal des Débats » soient habillés en noir « sans aucune couleur » signe que les temps devaient être très chiants (dixit les mômes)

    Ce tableau est l’œuvre de Jean Béraud et semble avoir été peint en 1889.
    En regardant bien, on a l’impression que les femmes ne débattaient pas beaucoup à l’époque...

  • Michel Camdessus, qui a brisé l’Afrique, continu son entreprise de démolition.

    "l’Afrique « a intérêt à ce que la COP soit un succès »" - RFI

    http://www.rfi.fr/emission/20151129-michel-camdessus-afrique-interet-cop21-soit-succes-france-rechauffement

    Ça me tue que ’il se trouve encore des journalistes pour penser que Michel Camdessus a quelque chose d’autre à promouvoir que ses politiques de mort, lui qui en son temps à dépouiller l’Afrique à l’aide de ses copains du secteur privé, et ça me tue que Kofi Annan ait trouvé efficace de s’entourer de crapules de cette espèce. Voilà, je l’ai dit.

    Michel Camdessus : l’Afrique « a intérêt à ce que la COP soit un succès »

    #grosses_crapules #toujours_les_mêmes #désespérance Et avec Blair c’est pareil.

  • How the NSA Converts Spoken Words Into Searchable Text ~ The Intercept
    https://firstlook.org/theintercept/2015/05/05/nsa-speech-recognition-snowden-searchable-text

    Top-secret documents from the archive of former #NSA contractor Edward #Snowden show the National Security Agency can now automatically recognize the content within phone calls by creating rough transcripts and phonetic representations that can be easily searched and stored.

    The documents show NSA analysts celebrating the development of what they called “Google for Voice” nearly a decade ago.

    Though perfect transcription of natural conversation apparently remains the Intelligence Community’s “holy grail,” the Snowden documents describe extensive use of keyword searching as well as computer programs designed to analyze and “extract” the content of voice conversations, and even use sophisticated algorithms to flag conversations of interest.
    https://www.facebook.com/DIA/posts/10152405356825919

    La #voix automatiquement transformée en #texte brut, voilà qui pourrait inspirer les #radios et notamment #Radio_France pour indexer les émissions dans les #moteurs_de_recherche et ainsi faire des #podcasts de vraies ressources documentaires, ce qu’elles sont déjà mais de manière plus ou moins confidentielles (selon l’énergie dépensée à renseigner les pages de chaque émission).

    Ca rappelle un peu le projet de l’IRI, « Ligne de temps » :
    http://www.iri.centrepompidou.fr/outils/lignes-de-temps

    Reste bien sûr à arracher cette techno au secret des services, toujours pionniers en matière d’#innovation.

    #reconnaissance_vocale
    cc @latrive @thbaumg @sparf @xporte

  • To Ensure Robust Post-Ebola Economic Recovery: African Leaders Urge Debt Waiver | The Liberian Observer
    http://www.liberianobserver.com/news/ensure-robust-post-ebola-economic-recovery-african-leaders-urge-de

    if the debts of Liberia, Guinea and Sierra Leone are waived it would put them on a better path for direct, immediate and robust economic recoveries.

    It is no secret that the outbreak of the Ebola scourge has shattered the economies of these three worst affected countries and in order for them to be put on the right trajectory for economic recovery measures like these need to be instituted

    #dette #ebola #toujours_pas !

  • Apple mise sur la santé et la maison - RTBF Chroniques Alain Gerlache
    http://www.rtbf.be/info/chroniques/detail_apple-mise-sur-la-sante-et-la-maison?id=8283429

    Pour #Apple, qui a #toujours une longueur d’avance dans l’intégration des applications les #plus diversifiés, ces orientations sont clairement #stratégiques.

    Journalisme « sponsorisé » sur le service public ?

    Donc :
    1. si vous dites « je vais me coucher » à votre #machine, elle pourra provoquer la fermeture des volets (et en informer la NSA). Hyper créatif, super. J’y aurais pas pensé. J’espère qu’ils ont déposé le brevet.
    2. si vous avez un contrôleur électronique dans ou sur le corps, votre machine pourra recevoir un signal (et en informer la #NSA). Hyper #créatif, super. J’y aurais pas pensé. J’espère qu’ils ont déposé le #brevet.

  • Plus de 300 responsables allemands toujours espionnés par la NSA
    http://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/02/23/plus-de-300-responsables-allemands-toujours-espionnes-par-la-nsa_4371992_651

    L’agence américaine de renseignement NSA, qui a mis en place un système d’espionnage à l’échelle planétaire et a notamment été montrée du doigt pour avoir espionné le portable de la chancelière Angela Merkel, écoute encore 320 responsables politiques et économiques allemands, dont le ministre de l’intérieur Thomas de Maizière, affirme le quotidien Bild dimanche 23 février.

    « Nous avons pour ordre d’éviter toute déperdition d’informations depuis que nous n’avons plus le droit d’espionner directement les communications de la chancelière », affirme un « employé de haut rang des services secrets américains », cité dans le Bild am Sonntag (en abonnés).
    Selon les informations de l’édition dominicale du journal le plus lu d’Allemagne, 297 employés de la NSA sont stationnés en Allemagne pour espionner 320 personnes, « principalement des décideurs politiques, mais aussi économiques ».

    Parmi eux, le ministre de l’intérieur, et proche de la chancelière, Thomas de Maizière. « Nous voulions nous assurer que c’est un allié fiable », a commenté le responsable américain auprès du Bild à son sujet.

    RELATION ETATS-UNIS-ALLEMAGNE PROFONDÉMENT AFFECTÉE

    La NSA est au cœur d’un vaste scandale d’espionnage depuis l’été 2013, les révélations de son ancien collaborateur Edward Snowden ayant mis en lumière des pratiques d’espionnage à grande échelle, notamment de dirigeants étrangers dont la chancelière allemande.....

    #Allemagne
    #espionnage
    #NSA
    #Angela-Merkel
    #libre-échange ?
    #toujourspartant ?

  • Dorénavant pour le Pentagone, les drapeaux américains seront « made in USA »
    http://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/dorenavant-pour-le-pentagone-les-drapeaux-americains-seront-americains_

    Une nouvelle loi impose désormais au département de la Défense de n’acheter que des bannières produites aux Etats-Unis. Le Pentagone est un gros consommateur de drapeaux, qu’ils flottent sur la poupe des navires, dans les bases, ou soient utilisés lors de célébrations ou de cérémonies d’inhumation de militaires tués au combat.

    Sous pression notamment de l’élu démocrate Mike Thompson, dont la circonscription abrite un fabricant de drapeaux, le Congrès a voté un amendement draconien pour que la fabrication mais aussi l’encre et le tissu utilisés soient fabriqués aux Etats-Unis. « Nos hommes et femmes en uniforme devraient servir sous des drapeaux faits aux Etats-Unis », a-t-il plaidé sur page Facebook.

    Le sous-secrétaire à la Défense chargé des achats, Richard Ginman, a mis en œuvre cette nouvelle politique d’achat dans un mémorandum envoyé vendredi 21 février aux différents services, selon le Pentagone. Cette disposition sur les drapeaux ne concerne que le département de la Défense et non l’ensemble du gouvernement américain. Elle a été intégrée à l’"Amendement Berry" de 1941 qui impose au Pentagone, sauf dérogation, de se fournir exclusivement aux Etats-Unis pour toute une série de produits, notamment la nourriture ou les uniformes.

    #États-Unis
    #Accord Europe/États-Unis
    #libre-échange ?
    #toujourspartant ?