• Actualité des #bétaillères : Un bateau de croisière échoué sur la côte dominicaine Jerome Wiss
    https://www.lessentiel.lu/fr/story/un-bateau-de-croisiere-echoue-sur-la-cote-dominicaine-753053418450

    Le Norwegian Escape, qui transporte 3 000 touristes et 1 600 membres d’équipage, s’est échoué lundi après avoir quitté le port de Puerto Plata en raison de vents puissants.

    Un bateau de croisière géant s’est échoué lundi sur la côte nord de la République dominicaine après avoir quitté le port de Puerto Plata (200 km de Saint-Domingue), ont confirmé les autorités. Selon la presse locale, il s’agit du Norwegian Escape qui transporte 3 000 touristes et 1 600 membres d’équipage. « Pour le moment, il n’y a pas de risques pour les passagers ou les membres de l’équipage », a assuré à la presse le vice-amiral Ramon Gustavo Betances Hernandez, indiquant que le navire s’était échoué en raison de « forts vents de 30 nœuds ».
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    Selon le site de l’armateur, le Norwegian Escape mesure plus de 300 m pour un tonnage de 165 000 tonnes. Il peut accueillir jusqu’à 4 200 passagers et 1 700 membres d’équipage.

    #tourisme #croisière #covid-19 #coronavirus #croisières #pollution #croisiere #ennui

    • Les obèses ont des droits eux aussi ! Un fan russe de McDonald’s s’enchaîne à un restaurant
      https://www.lessentiel.lu/fr/story/un-fan-russe-de-mcdonalds-s-enchaine-a-l-entree-de-l-etablissement-684380
      Pour tenter d’empêcher la fermeture de son restaurant favori, un Moscovite a employé les grands moyens, dimanche.


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      Dimanche, un Russe répondant au nom de Luka Safronov s’est enchaîné devant un restaurant de Moscou dans l’espoir d’empêcher sa fermeture. « Fermer est un acte d’hostilité contre moi et mes camarades citoyens ! » a martelé l’habitant, tandis que d’autres clients entraient dans l’établissement pour profiter d’un dernier Big Mac.

      L’action de Luka n’a pas eu l’effet escompté : la plupart des passants ont rigolé et la police a fini par l’embarquer. « La situation est extraordinairement difficile pour une marque mondiale comme la nôtre et il y a de nombreuses considérations à prendre en compte », avait indiqué mardi dernier le patron de McDonald’s, Chris Kempczinski. « Dans le même temps, respecter nos valeurs signifie que nous ne pouvons pas ignorer les souffrances humaines inutiles qui se déroulent en Ukraine », avait-il ajouté.
      Pendant ce temps, des petits malins profitent de la situation en revendant des repas McDo en ligne à des prix exorbitants.
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      #obésité #malbouffe #bêtise #alimentation #santé #junk_food #sucre #beurk #nutrition #mcdonald's #Russie

    • Faute d’approvisionnement, Volkswagen et BMW ferment temporairement des usines RTBF
      https://www.rtbf.be/article/guerre-en-ukraine-direct-la-production-de-milliers-de-vehicules-mercedes-bmw-et

      Après la pénurie de puces électroniques, la guerre en Ukraine risque d’avoir de lourdes conséquences sur l’industrie automobile européenne. Il devrait y avoir 700.000 voitures produites en moins en raison de fermetures d’usines en Ukraine, selon des estimations de l’analyste Colin Langan de Wells Fargo. L’Ukraine est un important producteur de faisceaux de câbles.

      En raison de problèmes d’approvisionnement, Volkswagen et BMW ont fermé temporairement des usines. L’usine VDL Nedcar à Born, où des voitures sont fabriquées pour BMW, a aussi été fermée pour les mêmes raisons. Mercedes-Benz a ralenti sa production dans une usine allemande.

  • Bulldozer contre têtes de pioches : les jardins familiaux de Tourcoing sèment la tourmente Brianne Cousin
    Malgré une pétition qui a recueilli plus de 36 000 signatures, les jardins familiaux de la rue des Martyrs, à Tourcoing, restent inaccessibles depuis septembre 2021. Dans un rétropédalage en règle, la mairie de la ville vient de renoncer à la vente du terrain. Entre guéguerre associative et histoire de gros sous, le sort des 14 000 mètres carrés de parcelles semble pourtant loin d’être scellé.


    En septembre 2021, les jardiniers de la rue des Martyrs ont vu un bulldozer débarquer sur leur terrain. Ils ont été priés de quitter les lieux. Photo : N.K

    « Ça fait 48 ans que je vis ici », raconte Fatma d’une voix calme, enfoncée dans son fauteuil, un mug à la main. Dans sa petite maison, au nord de Tourcoing, flotte une odeur de café chaud. Sur le canapé, un gros chat sommeille. On aperçoit un petit coin d’herbe par la fenêtre, et quelques arbres. « Ce sont des figuiers, sourit-t-elle, pas peu fière. J’ai aussi un abricotier et un noyer ! »
    Lorsqu’elle a emménagé avec son mari Slimane, il y a 48 ans, « c’était la campagne. Il y avait des champs de pommes de terres, de betteraves, de maïs. On avait deux fermes près de chez nous. Et c’est tout. » Puis, la promenade de Flandres et sa flopée de magasins ont débarqué au coin de sa rue, en 2017. « Ça nous a fait un coup, on ne pouvait rien y faire ! Avant, on avait la nature, aujourd’hui, on a Kiabi et Leroy Merlin ». Seule consolation pour Fatma et Slimane, les jardins familiaux de la rue des Martyrs, situés juste en face de leur maison. « Mon mari a eu un jardin pendant 30 ans, se remémore-t-elle, avec nostalgie. C’est le patrimoine du quartier. » 
     
    Quand nous rencontrons Fatma, en janvier 2022, les 14 000 mètres carrés de jardins familiaux de la rue des Martyrs sont inaccessibles. Un gros cadenas et de larges chaînes enserrent l’entrée.Certains en ont profité pour jeter leurs déchets par-dessus les grilles. Un matelas a pris possession d’une parcelle de terrain et gît, inerte, sous la pluie.

    Quelques mois plus tôt, début septembre 2021, Fatma et la cinquantaine de jardiniers amateurs qui cultivaient des légumes rue des Martyrs ont assisté, impuissants, à l’arrivée d’un bulldozer. Les grilles ont été scellées ; les habitants priés de quitter les lieux. « Ça faisait bientôt neuf ans que j’avais mes jardins. Au début du mois d’août, on a appris qu’on devait partir », se désole Cathy Vandamme, ancienne jardinière. « C’est vraiment dégueulasse !, renchérit son compagnon Guy Lemaire. Ils nous ont vraiment pris de court ! Ils nous ont virés comme des malpropres… » À l’origine de l’expulsion : un conflit vieux de dix ans, où s’entremêlent guéguerre associative et histoires de gros sous.


    Une cinquantaine de jardiniers amateurs cultivaient fruits et légumes dans les jardins familiaux de la rue des Martyrs. Photo : L.K

    La suite en activant le mode lecture de Firefox  : https://www.mediacites.fr/enquete/lille/2022/03/11/bulldozer-contre-tetes-de-pioches-les-jardins-familiaux-de-tourcoing-seme

    #Tourcoing #jardins_familiaux #associations #jardin #écologie #agriculture #france #jardinage #potager #urbanisme #agriculture_urbaine

    • #Lille Bois-Blancs : 400 familles de la cité des Aviateurs de nouveau poussées au départ Brianne Cousin
      Le documentaire Derrière les arbres donne la parole aux habitants de la cité des Aviateurs, implantée dans le quartier de Bois-Blancs, à Lille. Transportées depuis Saint-Sauveur dans les années 1960, 400 familles sont de nouveau poussées à l’exode par un vaste programme de renouvellement urbain.

      « C’est un quartier vachement vivant, convivial. » Brigitte Sulkowski habite la cité des Aviateurs, à Bois-Blancs, dans l’ouest lillois, depuis 1963. En décembre 2019, quelques jours avant Noël, elle apprend que son logement va être détruit. « On a tous nos souvenirs dans ce quartier. C’est une île dans Lille », confie-t-elle quelques mois plus tard. Ce coup de massue affecte aussi Fatima El Mizmizi, François Coliche ou encore Myriam Tigroudja, tous habitants du même quartier, qui ont accepté de livrer leur témoignage dans le documentaire Derrière les arbres https://auxboisblancs.fr/derriere-les-arbres , co-réalisé par Marc Duport et Christophe Giffard et diffusé mardi 8 mars au cinéma l’Univers, à Lille.


      Portrait d’une résidente de la cité des Aviateurs, dans le quartier Bois-Blancs, à Lille. Photo : Guillaume Cortade

      « Ce qui m’a donné envie de faire ce documentaire, ce sont les mots de Martine Aubry dans “Martine Aubry, la dame de Lille”www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/58548_1 , explique Marc Duport. C’est une réponse du peuple à la maire de la ville. » Dans cet autre documentaire, dont un extrait est d’ailleurs repris dans Derrière les arbres, la maire de Lille s’exprime sur la transformation du quartier de Bois-Blancs après l’implantation de l’incubateur de start-ups EuraTechnologies, en 2009 : « Il reste un micro-quartier qui pose problème, c’est le quartier des Aviateurs, un quartier d’habitat social. Et donc nous avons acquis le bout de cette presqu’île avec un promoteur social, et on va refaire du privé dans ce qui est aujourd’hui uniquement social. »

      « On fait tâche avec EuraTechnologies »
      Les 352 logements de la cité des Aviateurs ont vu le jour en 1960, pour reloger les habitants des anciennes courées de Saint-Sauveur, devenues insalubres. À l’époque, le quartier de Bois-Blancs abrite des ouvriers d’anciennes filatures — fermées depuis. Aujourd’hui, les habitants du quartier vivent la même histoire. « Tous les bâtiments des Aviateurs qui ne seront pas déconstruits feront l’objet d’une rénovation complète. L’ensemble des locataires actuels seront relogés avant le démarrage des travaux », explique la Métropole européenne de Lille (MEL) dans son dossier de concertation https://participation.lillemetropole.fr/uploads/decidim/attachment/file/1320/220308_Dossier_concertation-VERSION_COMPLETE.pdf . Soit 387 familles, selon les réalisateurs du documentaire.
      Demain, . . . . .


      Vue d’une rue entre deux barres HLM de la cité des Aviateurs, à Bois-Blancs (Lille). Photo : Guillaume Cortade

      La suite en activant le mode lecture de Firefox  : https://www.mediacites.fr/mediacites-a-vu-pour-vous/lille/2022/03/09/bois-blancs-400-familles-de-la-cite-des-aviateurs-de-nouveau-poussees-a-l

      #logement #inégalités #gentrification #urbanisme #expulsion #france #racisme #bobos #ps #lille #martine_aubry #MEL

    • Condamnation à l’unanimité pour le nouveau Palais de Justice de Lille Jacques Trentesaux
      Magistrats, avocats, greffiers crient à la catastrophe lorsqu’ils évoquent le futur bâtiment du tribunal judiciaire de Lille. En pointe dans ce combat, la bâtonnière du Barreau de Lille, Marie-Christine Dutat, nous explique les raisons de cette fronde.


      Marie-Christine Dutat, bâtonnière de l’Ordre des avocats de Lille, est vent debout contre le nouveau Palais de Justice. Image : OMA / ArtefactoryLab
      Les protestations prennent une ampleur inédite à propos du nouveau Palais de justice qui doit être construit à la lisière entre Lille et La Madeleine. Celles-ci sont sont très anciennes, mais on a l’impression que rien ne bouge alors que les travaux doivent normalement débuter en mai.
      Ce n’est pas qu’une impression ! En 2017, déjà, une pétition circulait pour critiquer le sous-dimensionnement du bâtiment. On nous avait alors promis une concertation mais rien n’est venu jusqu’en 2021. Et puis, on s’est aperçu qu’en plus du problème de la trop petite taille, le bâtiment prévoyait une séparation entre les magistrats et les justiciables. Ces derniers seraient reçus dans des salles d’audience partagées et anonymes. Ceci déshumanise la justice. Tous les professionnels de justice sont unis pour s’opposer au nouveau Palais de justice tel qu’il a été conçu. 

      Comment expliquer cette inadéquation architecturale ?
      Le souci est qu’on donne aux architectes le soin de concevoir des bâtiments alors qu’ils ne connaissent pas la réalité de nos métiers. Il y a aussi une recherche d’économies : le nouveau bâtiment prévoit par exemple 60 postes de magistrats supplémentaires, alors qu’on sait qu’il en manque beaucoup plus . Pour ce qui est des avocats, on nous a tout d’abord attribué 80 m2, puis 110 m2, alors qu’on dispose de 395 m2 aujourd’hui… C’est nettement insuffisant, ne serait-ce que parce que nous jouons un rôle d’auxiliaires de justice en tenant des permanences gratuites d’accès au droit. 
       


      Vue extérieure du nouveau Palais de justice de Lille. Image : OMA / ArtefactoryLab

      Pourtant, le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, est avocat. Il devrait être sensible aux conditions de travail de ses pairs…
      Je l’ai eu au téléphone et il nous a accordé 30 m2 de plus. Cela montre un degré de sensibilité très relat
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      La suite en activant le mode lecture de Firefox : https://www.mediacites.fr/interview/lille/2022/03/10/condamnation-a-lunanimite-pour-le-nouveau-palais-de-justice-de-lille

      #privatisation de la #justice en cours #travaux_inutiles #gaspillages #des_grands_projets..._inutiles_ #france

  • Il faut lire l’article pour savoir que le mort est le grutier...

    Bayonne : une grue tombe sur un immeuble et fait un mort
    https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/bayonne/bayonne-la-grue-d-un-immeuble-en-construction-s-effondre-sur-un-immeuble-vo

    Ce mercredi 9 mars en début d’après-midi, la grue positionnée sur le chantier d’un immeuble en construction s’est effondrée sur un immeuble voisin, boulevard Alsace-Lorraine, quartier Saint-Esprit à Bayonne. Le conducteur de l’engin de chantier est décédé.

    • #Belgique - #Tournai : Le casse-tête des ingénieurs pour extraire la grue encastrée dans le Centre Hospitalier Simon Gerard - RTBF
      https://www.rtbf.be/article/le-casse-tete-des-ingenieurs-pour-extraire-la-grue-encastree-dans-le-chwapi-109

      Elle va rester là « au moins 6 mois » estime Didier Lefevre, le directeur des infrastructures du centre hospitalier de Wallonie picarde. La grue qui s’est effondrée sur le nouveau bâtiment du Chwapi lors de la tempête de février dernier n’a pas bougé d’un pouce. Les ingénieurs n’ont pas encore trouvé la solution pour l’extraire. Impossible de la sortir par le haut. La grue est enchevêtrée dans la structure, ce qui a créé une sorte de mikado géant « tirer la grue vers le haut équivaudrait à soulever une partie du bâtiment, ce qu’aucune grue ne peut faire. »

      L’idée serait donc de couper la grue en petits morceaux. Mais la démarche est plus compliquée qu’il n’y paraît « on a des charges extrêmement importantes : il y a une charge de 30 tonnes à la limite de la façade et une charge de 20 tonnes au milieu du bâtiment. Elles pourraient facilement être déstabilisées. »

      Les ingénieurs ont une autre contrainte : l’enquête. Le centre hospitalier doit lancer ce vendredi une action en référé. Un expert doit être désigné « pour faire la lumière sur les causes de l’accident. » Notez qu’un expert mandaté par l’auditorat du travail est déjà descendu sur les lieux. Mais la direction du centre hospitalier n’a pas encore eu connaissance de ses conclusions.

  • Tourte au #Bœuf gras
    https://www.cuisine-libre.org/tourte-au-boeuf-gras

    Dans une sauteuse faites revenir l’oignon coupé en fines lamelles. Ajoutez les tomates pelées en quartiers et l’ail écrasé. Salez et poivrez, bouquet garni. Faites cuire 20 min en remuant jusqu’à obtention d’une pâte homogène. Habillez un moule beurré de 300 g de pâte feuilletée en débordant largement. Coupez le bœuf en cubes et garnissez le fond de la pâte. Préchauffez le #Four à 220°C. Ajoutez…

    Bœuf, #Tourtes_et pâtés_en croûte, #Pâtes_feuilletées / Four #carnaval #MardiGras #BœufGras

  • ‘Today we rejoined the world’: hugs, tears and Vegemite as Australia reopens international borders | Australia news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/australia-news/2022/feb/21/today-we-rejoined-the-world-hugs-tears-and-vegemite-as-australia-reopen
    https://i.guim.co.uk/img/media/cdc2546686ee1a7199bfe99db7bc413b6b89819b/0_195_8192_4918/master/8192.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    ‘Today we rejoined the world’: hugs, tears and Vegemite as Australia reopens international borders; There were tears, DJs, Vegemite and drag queens as families, friends and lovers reunited at Sydney airport after the resumption of all international travel to Australia.While a number of expert bodies including the US Centers for Disease Control and Prevention and the European Council have warned against travel to Australia due to soaring Covid-19 case numbers over summer, the federal government has vowed to keep the borders open.The federal minister for trade, tourism and industry, Dan Tehan, who was at the airport on Monday morning, said it was a “great day” for Australia’s tourism industry – battered by years of shutdowns.
    “It’s been a party out here at Sydney airport,” Tehan said, a bright blue T-shirt emblazoned with the words “Welcome back” visible underneath his suit jacket.“To see the way people have been united – the hugs, the tears – has been wonderful. The future is looking very, very bright.“I’ll do everything possible to keep the border open.”
    At 6.20am, a Qantas flight from Los Angeles was the first to touch down at Sydney airport, marking the end of 704 days of restrictions on international travel.Fifty-six flights were expected to arrive in Australia on Monday, more than half of them landing in Sydney.The New South Wales premier, Dominic Perrottet, said there was a “buzz and excitement” in the air as the state rejoined the world.“It’s been a long journey, a long journey through Covid,” he said.“But having our borders open, not just here, but around our country will make a real difference in people’s lives; we’re seeing families being reunited … international students return.“Today we rejoined the world, and what a positive thing it is.”At the arrivals hall, travellers were greeted with koala and kangaroo toys, Vegemite and eucalyptus sprigs, while a DJ atop a bus played Australian hits such as Men at Work’s Down Under and Yothu Yindi’s Treaty.(...)

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#pandemie#retour#tourisme#frontiere#circulation#famille#vaccination#zerocovid

  • Covid-19 : l’Australie rouvre ses frontières aux touristes vaccinés, après presque deux ans de fermeture
    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/02/20/covid-19-l-australie-rouvre-ses-frontieres-aux-touristes-vaccines-apres-pres

    Covid-19 : l’Australie rouvre ses frontières aux touristes vaccinés, après presque deux ans de fermeture. Seuls cinquante-six vols internationaux devraient atterrir dans le pays dans les vingt-quatre heures suivant la réouverture, bien en deçà des niveaux d’avant la pandémie.
    Le premier vol international vers l’aéroport de Sydney devait arriver de Los Angeles lundi à 6 heures, heure australienne (20 heures dimanche, heure de Paris). Ici à l’aéroport de Sydney, le 1er novembre 2021, lorsque des Australiens avaient été autorisés à voyager pour la première fois. Près de deux ans que les touristes ne peuvent plus franchir les frontières australiennes, bloquées par des restrictions sur les voyages parmi les plus sévères au monde pour lutter contre la propagation du Covid-19. Mais « l’attente est terminée », a déclaré dimanche soir le premier ministre australien, Scott Morrison, lors d’une conférence de presse. L’Australie a rouvert, lundi 21 février, ses frontières extérieures à tous les touristes vaccinés « Faites vos valises », a lancé M. Morrison aux visiteurs potentiels de l’île-continent, en ajoutant : « N’oubliez pas d’apporter votre argent avec vous, car vous trouverez de nombreux endroits pour le dépenser ». La fermeture des frontières a coûté chaque mois 2,27 milliards d’euros, selon la Chambre de commerce et d’industrie du pays.
    Le premier vol international vers l’aéroport de Sydney a atterri de Los Angeles lundi matin à 6 h 20, heure australienne (dimanche à 20 h 20, heure de Paris), suivi d’autres en provenance de Tokyo, de Vancouver ou encore de Singapour. Seuls cinquante-six vols internationaux devraient atterrir en Australie dans les vingt-quatre heures suivant la réouverture des frontières, bien en deçà des niveaux d’avant la pandémie. Scott Morrison a cependant dit n’avoir « aucun doute » sur le fait que ce nombre augmenterait avec le temps.Pour attirer les touristes, le gouvernement australien a lancé une campagne publicitaire de 40 millions de dollars australiens (25 millions d’euros). Mais le Conseil australien (ATEC) chargé du tourisme international a évoqué des « signes inquiétants » concernant une possible réticence des étrangers à revenir en Australie, en raison des diverses restrictions internes sur les voyages, et de l’image qu’aurait laissée la fermeture draconienne du pays depuis deux ans.
    Les voyageurs ne pourront par exemple pas rejoindre le vaste Etat d’Australie-Occidentale avant le 3 mars. Dans cette région, les autorités ont conduit ces derniers mois une politique particulièrement stricte dite « zéro Covid », la coupant du reste de l’Australie.L’Australie avait fermé ses frontières en mars 2020, essayant de tirer partie de son insularité pour se protéger de la pandémie. Dans un premier temps, pendant plusieurs mois, cette fermeture draconienne et une politique stricte de dépistage et de traçage ont permis de contenir les effets du virus.L’arrivée du variant Omicron du SARS-CoV-2 a ensuite aggravé la situation, conduisant à des dizaines de milliers de contaminations et des dizaines de morts par jour. Au total, en près de deux ans, le Covid-19 a fait 4 913 morts en Australie. Plus de 15 200 nouveaux cas y ont été recensés dimanche, très en dessous du pic historique des 277 619 cas du 30 janvier.Pendant ces deux années, les Australiens n’ont, la plupart du temps, pas été autorisés à sortir de leur pays, et seuls quelques visiteurs ont obtenu une dérogation pour entrer sur le territoire, ce qui a valu au pays le surnom de « forteresse Australie ». Ces restrictions ont séparé des familles, mis à mal le secteur du tourisme et suscité des débats sur le statut de l’Australie comme pays ouvert, moderne et tourné vers l’extérieur.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#pandemie#tourisme#economie#insularite#zerocovid#vaccination

  • Werftenpleite: Regierung gibt Eignern Schuld - ZDFheute
    https://www.zdf.de/nachrichten/wirtschaft/mecklenburg-vorpommern-mv-werften-insolvenzantrag-100.html

    https://nrodlzdf-a.akamaihd.net/none/zdf/22/01/220110_kapinos_h17/1/220110_kapinos_h17_2128k_p18v15.webm

    10.01.2022 - Vergeblich wurde um ein Rettungspaket gerungen: Die MV Werften sind insolvent. Betroffen sind fast 2.000 Mitarbeiter. Die Regierung gibt den Eignern aus Hongkong die Schuld.

    Ein großer Verlust für den Schiffbau in Mecklenburg-Vorpommern: Die MV Werften haben Insolvenz beantragt. An drei Standorten mit fast 2.000 Beschäftigten droht nun das Aus.

    Schlechte Nachrichten für den deutschen Schiffbau: Die MV Werften in Mecklenburg-Vorpommern und die Bremerhavener Lloyd-Werft haben Insolvenz angemeldet. Beide Unternehmen gehören zum Mischkonzern Genting aus Hongkong, der in Schwierigkeiten steckt. Der Handel mit Genting-Aktien ist in Hongkong seit Freitag ausgesetzt.

    Bei den MV Werften geht es um rund 1.900 Beschäftigte, bei dem Bremerhavener Schiffbaubetrieb um etwa 300. Bundeswirtschaftsminister Robert Habeck und Mecklenburg-Vorpommerns Ministerpräsidentin Manuela Schwesig hätten am Freitag vergeblich versucht, einen Ausweg zu finden, sagte ein MV-Werften-Sprecher.

    Bund: Eigentümer haben Angebot ausgeschlagen

    Die Schuld für die Insolvenz sieht Habeck bei Genting: „Als Bundesregierung haben wir alle Hebel in Bewegung gesetzt, um die Insolvenz der MV Werften zu vermeiden und so die Arbeitsplätze zu retten. Allerdings haben die Eigentümer unser Hilfsangebot ausgeschlagen“, sagte der Grünen-Politiker. Das sei eine bittere Nachricht.

    Ähnlich äußerte sich die neue Koordinatorin der Bundesregierung für Maritime Wirtschaft und Tourismus, Claudia Müller: Der Bund sei bereit gewesen, sich deutlich stärker als bisher zu engagieren - mit einem Volumen von 600 Millionen Euro für den Fertigbau des Kreuzfahrtschiffs „Global Dream“.

    #Allemagne #Mecklembourg-Poméranie-Occidentale #Wismar #travail #industrie #faillite #multinationales #chantier_naval #crise #tourisme #croisière

  • „Die jungen Leute brauchen eine Perspektive“ – KATAPULT MV
    https://katapult-mv.de/artikel/interview-daniel-friedrich

    17.2.2022 von Peter Scherrer - Ein klassischer Antrittsbesuch, wie nach einer Regierungsbildung üblich, war das sicherlich nicht: MVs neuer Wirtschaftsminister Reinhard Meyer (SPD) traf am Mittwoch Gewerkschaftsfunktionär Daniel Friedrich. Die Pleite der MV-Werften beschäftigt Gewerkschaften, Wirtschaftsverbände und die Politik seit Wochen. Direkt danach sprach KATAPULT MV mit dem Leiter des Bezirks Küste der IG Metall über die Transfergesellschaft, die Zukunft von Angestellten und Auszubildenden und die industriellen Kerne von MV.

    KATAPULT MV: Herr Friedrich, Sie hatten einen Termin mit Wirtschafts- und Arbeitsminister Meyer. Sicherlich ging es auch um die Werften. Können wir davon ausgehen, dass die Beschäftigten ab dem 1. März bei den Transfergesellschaften in Lohn und Brot stehen?

    Daniel Friedrich: Zum heutigen Zeitpunkt tun wir alles dafür, dass uns das gelingt. Aber da müssen noch Finanzierungen sichergestellt und letzte rechtliche Unklarheiten beseitigt werden. Und dann hoffen wir, dass wir diese Nachricht, dass die Beschäftigten bei den Transfergesellschaften angestellt sind, am Ende der nächsten Woche bekommen. Ansonsten heißt es am ersten März: Arbeitslosigkeit.

    Wird es gelingen, die Auszubildenden in der Transfergesellschaft zu halten?

    Die Auszubildenden werden erst einmal nicht in die Transfergesellschaft gehen. Unser Ziel ist es, im März eine Lösung zu finden, wie und wo sie ihre Ausbildung beenden können. Das ist ein großes Thema – neben der Transfergesellschaft. Auch daran wird hart gearbeitet, weil die jungen Leute eine Perspektive brauchen.

    Wird es gelingen, das Know-how und die hochqualifizierten Beschäftigten über ein, zwei, drei Jahre zu halten?

    Das ist schon eine lange Zeit. Wir haben jetzt erst mal eine Transfergesellschaft, bei der reden wir von vier Monaten. Da sehen wir, wie weit ein, zwei, drei Jahre davon weg sind.

    Ich glaube, wir müssen Investoren erst mal zeigen: Die Mannschaft bleibt zusammen. Und wenn wir Investoren haben, für die wir dann auch die Beschäftigten zusammenhalten können – auch über diese vier Monate hinaus –, dann brauchen wir sowieso die Verlängerung der Transfergesellschaft. Und am Ende des Tages müssen wir natürlich wissen, wo dauerhafte Beschäftigung entstehen kann, und dahin müssen wir die zeitliche Brücke bauen. Aber drei, vier Jahre wird keine Transfergesellschaft gehen.

    Die Frage ist: Wie können wir trotzdem Perspektiven aufzeigen? Wie können wir peu à peu wieder Arbeit schaffen, Leute wieder übernehmen? Klar ist, wer erst mal weg ist – in Hamburg, Baden-Württemberg oder Bayern –, kommt schwer zurück. Was wir doch alle gemeinsam nicht wollen, ist, dass die Arbeitskräfte Mecklenburg-Vorpommern verlassen. Das können wir nicht wollen.

    Die IG Metall sagt: Wir müssen die industriellen Kerne sichern. Was sind die industriellen Kerne von Mecklenburg-Vorpommern?

    Der stärkste Kern ist die maritime Wirtschaft mit den Werften und den Zulieferern. Darüber hinaus haben wir natürlich ein bisschen Mischindustrie. Wir haben ein wenig Automobilindustrie: In Laage mit „ZF“ ein großes Werk, in Wismar mit „Lear“, „Webasto“ in Neubrandenburg; da geht es um die Frage der Transformation. Und wir haben das Thema Luftfahrt mit „Flamm“ in Schwerin, wo man sich auch hinentwickeln kann.

    Wir haben also nicht so eine geballte Kraft wie Baden-Württemberg mit der Automobilindustrie. Hier verteilt sich die Industrie mehr, aber das Rückgrat ist und waren die Werften und da haben wir auch die Ausbildung und Qualifizierung. Daran hängen auch technische Hochschulen et cetera. Wenn die Werften ihre Beschäftigung verlieren, stellt sich die Frage, wie wir insgesamt industrielle Beschäftigung langfristig sichern können.

    Es wird immer davon geredet, dass erneuerbare Energien Arbeitsplätze schaffen können, besonders in einem deutschen Küstenland. Wer wäre da Ihrer Meinung nach möglicher Investor?

    Wir haben ein großes Interesse an dem Thema „Offshore-Industrie“. Die Energieunternehmen haben schon im Sommer sehr deutlich gesagt: Wir wollen eigentlich, dass in Deutschland unsere Plattformen gebaut werden. Und wir wissen, dass das an der Ostsee – in Wismar, in Warnemünde, in Stralsund – schon gelungen ist. Da müssen wir ansetzen. Die Amprions dieser Welt suchen Firmen, die das mit ihnen gemeinsam machen, und da gibt es eine Perspektive.

    Aber selbst, wenn wir heute damit anfangen, würde die Produktion erst in zwei Jahren beginnen. Die Zeit davor würde erst mal Konstruktion bedeuten. Das ist zwar eine lange Zeit, aber das sind die Firmen, die wir hierherholen müssen.

    Und der Bundeswirtschaftsminister hat bei seinem Besuch in Wismar gesagt: Deutschland braucht einen Offshore-Standort. Und der müsste aus meiner Sicht in Mecklenburg-Vorpommern liegen.

    #Allemagne #Mecklembourg-Poméranie-Occidentale #Wismar #travail #industrie #faillite #multinationales #chantier_naval #crise #tourisme #croisière

  • Au nom de l’attractivité métropolitaine
    https://metropolitiques.eu/Au-nom-de-l-attractivite-metropolitaine.html

    Comparant deux projets de #renouvellement_urbain à #Lille et Hambourg, Clément Barbier montre que la mise en scène de l’attractivité par les pouvoirs locaux contraste avec leur impuissance à attirer entreprises et nouveaux habitants, cette politique n’étant par ailleurs pas sans effets sur les espaces populaires concernés. Depuis le début des années 1990 en Europe, l’injonction à promouvoir « l’attractivité des territoires » semble s’être généralisée à tous les niveaux de gouvernement. Dans plusieurs #Terrains

    / attractivité, #politiques_territoriales, renouvellement urbain, #métropole, #projet_urbain, #quartiers_populaires, #Hamburg, #Roubaix, Lille, (...)

    #attractivité #Tourcoing
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-barbier2.pdf

  • Tentative d’épuisement d’un lieu planétaire : Un événement perecquien sur Twitter le 3 mars 2022

    http://liminaire.fr/liminaire/article/tentative-d-epuisement-d-un-lieu-planetaire

    Le 3 mars prochain marquera les 40 ans de la mort de Georges Perec. À cette occasion, célébrons son esprit encore vivace, le temps d’une performance collective éphémère, inspirée de son œuvre.

    Jeudi 3 mars 2022, de 12h30 à 13h30 heure de Paris, participez à la « Tentative d’épuisement d’un lieu planétaire ». [1]

    Mode d’emploi : chacun(e) se poste dans un lieu de son choix et décrit, à la manière « infraordinaire », ce qu’il voit et perçoit, le banal, le quotidien, et le poste en série sur Twitter. Chacun des tweets est accompagné systématiquement d’un hashtag donnant le nom de la ville où il/elle se trouve (#Kinshasa #Malakoff #Paris #Bruxelles #Poitiers #Tours #Marseille #Montevidéo #NewYork #Montréal #Rome #Madrid #Tokyo...), et du hashtag de l’événement #Perec40. (...) #Perec, #Écriture, #Histoire, #Langage, #Livre, #Lecture, #Récit, #Poésie, #Hommage, #Performance, #Twitter (...)

  • Australia to reopen international border on 21 February | Australia news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/australia-news/2022/feb/07/australia-to-reopen-international-border-on-21-february
    https://i.guim.co.uk/img/media/2664d0cff25d891c85577f2d0c90662810ad033b/0_113_5568_3341/master/5568.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Australia to reopen international border on 21 February
    Scott Morrison announces all fully vaccinated visa holders will be able to enter, two years after Covid border closure
    Australia will open its border for fully vaccinated tourists and all visa holders, a decision branded “bittersweet” by those who have missed funerals in recent weeks due to ongoing restrictions.Scott Morrison on Monday announced the nation would open to all fully vaccinated visa holders, including tourists, on 21 February, almost two years after borders were first closed.The borders have been progressively opening since November, but some groups including bridging visa holders, some immediate family members and tourists were yet to be allowed exemption-free travel.The announcement on Monday provoked mixed emotions among those who have remained trapped by ongoing restrictions in recent months, including for Gold Coast resident Amy Jade Newsome, who is on a bridging visa while she waits a decision on a skilled worker visa.
    Newsome was denied a compassionate exemption to attend her aunt’s funeral in the UK last month, meaning she would have been trapped abroad if she had left Australia.“It’s bittersweet and almost like the timing, it just couldn’t be any worse, I guess,” Newsome told Guardian Australia.
    “I’m happy to be able to go home, but it’s been just over a month and now I can go? It’s a huge amount of emotions. Anger, happiness, frustration – I’m happy for everyone else and myself, I suppose, that we can go home.”
    Bridging visa holders were the last temporary visa category subject to a closed border, forcing them to apply for travel exemptions. Freedom of information data showed about 70% of bridging visa holders’ exemption applications were being rejected.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#circulation#retour#visa#tourisme#visatravail

  • Coronavirus: New Zealand braced for more variants after Omicron, PM says | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3166226/coronavirus-new-zealand-braced-more-variants-after-omicron-pm

    Coronavirus: New Zealand braced for more variants after Omicron, PM says;
    Updated: 2:50pm, 8 Feb, 2022
    The Covid-19 pandemic will not end with the Omicron variant and New Zealand will have to prepare for more variants of the virus this year, Prime Minister Jacinda Ardern said on Tuesday in her first parliamentary speech for 2022.Ardern’s warning came as hundreds of protesters gathered outside the parliament building in the capital Wellington, demanding an end to coronavirus restrictions and vaccine mandates. Ardern’s government has enforced some of the toughest pandemic restriction in New Zealand for the last two years, as the government tried to keep the coronavirus out.
    But it also angered many who faced endless home isolation, and tens of thousands of expatriate New Zealanders who were cut off from families back home as the borders remained sealed. The measures have also been devastating for businesses dependent on international tourists. Ardern’s approval ratings plummeted in the latest 1News Kantar Public Poll released last month, as the public marked her down for the delays in vaccinations and in removing restrictions. Hundreds of anti-vaccine mandate and anti-government protesters gathered outside the parliament demanding an end to all pandemic restrictions, part of a series of protests undertaken in recent months. The mostly unmasked protesters that converged on Wellington on Tuesday had driven from around the country, and their vehicles clogged the capital’s streets for hours as they got out to meet and speak on parliament’s forecourt. The government said last week that the country will reopen its borders to the rest of the world in phases only by October.Omicron cases in the country have been steadily rising since some of the social distancing measures were eased recently. New Zealand recorded its largest ever one-day case number with 243 cases on Saturday.
    Ardern told Radio New Zealand that the country’s Omicron peak could be in March with daily cases ranging between 10,000 to 30,000.

    #Covid-19#migrant#migration#nouvellezelande#sante#frontiere#circulation#tourisme#restrictionsanitaire

  • Covid-19 dans le monde : l’Australie rouvrira ses frontières aux touristes le 21 février
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/02/07/covid-19-dans-le-monde-l-australie-rouvrira-ses-frontieres-aux-touristes-le-

    Covid-19 dans le monde : l’Australie rouvrira ses frontières aux touristes le 21 février
    L’Australie rouvrira ses frontières aux touristes entièrement vaccinés le 21 février, a annoncé lundi 7 février le premier ministre, Scott Morrison, après avoir imposé des restrictions d’entrée sur le territoire parmi les plus strictes au monde.La pandémie de Covid-19 a fait officiellement plus de 5,7 millions de morts dans le monde depuis la fin de décembre 2019, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse (AFP) dimanche 6 février à midi.
    « Si vous êtes doublement vaccinés, nous avons hâte de vous accueillir de nouveau en Australie », a déclaré lundi le premier ministre australien, Scott Morrison, à l’issue d’une réunion de cabinet sur la sécurité nationale. « Cela fait presque deux ans que nous avons décidé de fermer les frontières de l’Australie », a-t-il expliqué, précisant que le pays « rouvrira[it] ses frontières à tous les détenteurs de visa le 21 février ».
    L’immense île continent a fermé ses frontières en mars 2020, essayant de tirer parti de son insularité pour se protéger de la pandémie. Pendant ces deux dernières années, les Australiens n’ont, la plupart du temps, pas été autorisés à sortir de leur pays et seuls quelques visiteurs ont obtenu une dérogation pour entrer sur le territoire. Ces restrictions ont séparé des familles, mis à mal le secteur du tourisme et suscité des débats sur le statut de l’Australie comme pays ouvert, moderne et tourné vers l’extérieur.
    Peu à peu, les restrictions ont été assouplies pour les Australiens, les résidents de longue durée et les étudiants. Cette nouvelle ouverture s’inscrit dans l’abandon de la politique draconienne « zéro Covid » longtemps en vigueur avant d’être dépassée par la vague du variant Omicron du SARS-CoV-2.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#circulation#zerocovid#tourisme#economie#visa#omicron

  • La fièvre du lithium gagne le Portugal
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/04/la-fievre-du-lithium-gagne-le-portugal_6112250_3234.html

    « Nous n’avons rien d’autre que cette nature et, en même temps, nous avons tout ce dont nous avons besoin, souffle cette agricultrice de 43 ans, qui élève, avec son mari, vingt-six vaches de la race autochtone barrosa, dont la viande est réputée dans tout le pays. Il n’y a pas de boutiques, pas de cinéma, mais ce paysage n’a pas de prix, de même que la qualité des produits de la terre et la pureté de l’eau des rivières. Avec 500 euros, nous vivons mieux que ceux qui, en ville, en gagnent 1 500. Mais si la mine vient, nous perdrons tout et nous devrons partir… »

    #paywall 😶

    • Sur le promontoire rocheux qui domine « sa » vallée, Aida Fernandes ouvre les bras en grand, comme pour embrasser les collines verdoyantes qui lui font face, où serpentent des chemins de campagne. Rien ne vient troubler le silence qui règne sur ce paysage idyllique de bocages. Pas même le bruit des vaches à longues cornes, que l’on croise, plus souvent que les hommes, sur les routes en lacet qui mènent à #Covas_do_Barroso, hameau de 180 âmes du nord du Portugal.

      « Nous n’avons rien d’autre que cette nature et, en même temps, nous avons tout ce dont nous avons besoin, souffle cette agricultrice de 43 ans, qui élève, avec son mari, vingt-six vaches de la race autochtone barrosa, dont la viande est réputée dans tout le pays. Il n’y a pas de boutiques, pas de cinéma, mais ce paysage n’a pas de prix, de même que la qualité des produits de la terre et la pureté de l’eau des rivières. Avec 500 euros, nous vivons mieux que ceux qui, en ville, en gagnent 1 500. Mais si la mine vient, nous perdrons tout et nous devrons partir... »

      Alors que la #Serbie a annoncé par surprise, le 20 janvier, qu’elle mettait un terme au projet d’exploitation de mines de lithium le long de la rivière #Jadar, dans l’ouest du pays, par l’entreprise anglo-australienne #Rio_Tinto, après des mois de manifestations massives, le Portugal est sur le point de faire l’inverse. Lisbonne pourrait débloquer dans les prochaines semaines le projet de la plus grande mine à ciel ouvert d’Europe de l’Ouest de ce minerai stratégique, utilisé dans la fabrication des batteries des voitures électriques, sur les terres peu habitées de la région de #Barroso, classée au #Patrimoine_agricole_mondial, à 150 kilomètres au nord-est de Porto.

      Six nouvelles zones

      La société #Savannah_Resources, implantée à Londres, travaille sur le projet depuis 2017. Elle a obtenu le permis d’exploration et déjà réalisé les prospections qui lui ont permis d’identifier des gisements de #spodumène, des #minéraux très riches en lithium, renfermant près de 287 000 tonnes du précieux #métal. De quoi produire les #batteries de 500 000 #véhicules_électriques par an pendant une dizaine d’années, grâce à un projet de #mine_à_ciel ouvert de 542 hectares, comprenant quatre cratères profonds et un immense terril.

      Il reste encore à cette société d’investissement britannique à rédiger la version définitive de l’étude de faisabilité, qui doit déterminer la #rentabilité du projet, le #coût de la production étant considérablement plus élevé que celui des bassins d’évaporation des saumures dont est extrait le lithium d’Amérique latine, où se trouvent les principales réserves mondiales. Et elle n’attend plus que l’avis des autorités portugaises sur l’étude d’#impact_environnemental. Les conclusions, imminentes, ont été repoussées après les élections législatives anticipées, qui ont eu lieu dimanche 30 janvier au Portugal.

      S’il n’y a pas de contretemps, #Savannah espère commencer à produire du lithium dans deux ans, et promet pour cela 110 millions d’euros d’investissement. Elle n’est pas la seule à avoir flairé le filon. Les réserves de lithium ont éveillé l’appétit de nombreuses compagnies nationales et internationales, en particulier australiennes, qui ont déposé des demandes de prospections, ces dernières années. Et ce mercredi 2 février, le ministère de l’environnement portugais a donné son accord pour que des prospections soient lancées dans six nouvelles zones du pays. Leurs droits seront attribués grâce à un appel d’offres international dans les deux prochains mois.

      Non seulement le gouvernement portugais du premier ministre socialiste, Antonio Costa, qui vient d’être reconduit au pouvoir avec une majorité absolue à l’Assemblée, est favorable à la production de lithium, considéré comme essentiel à la #transition_énergétique. Mais, assis sur des réserves confirmées de 60 millions de tonnes, les plus importantes de l’Union européenne, il souhaite qu’une #industrie_métallurgique de pointe se développe autour des mines. « Le pays a une grande opportunité économique et industrielle de se positionner sur la chaîne de valeur d’un élément crucial pour la #décarbonation », a encore déclaré, en décembre 2021, le ministre de l’environnement, Joao Pedro Matos Fernandes, qui espère qu’ « aucun gramme de lithium ne s’exportera .

      L’enjeu est prioritaire pour le Portugal. Et pour l’Union européenne, qui s’est fixé comme objectif d’atteindre 25 % de la production mondiale de batteries d’ici à 2030, contre 3 % en 2020, alors que le marché est actuellement dominé par la Chine. Et les #fonds_de_relance européens #post-Covid-19, qui, pour le Portugal, s’élèvent à 16,6 milliards d’euros, pourraient permettre de soutenir des projets innovants. C’est, en tout cas, ce qu’espère la compagnie d’énergie portugaise #Galp, qui, en décembre 2021, s’est unie au géant de la fabrication de batterie électrique suédois #Northvolt pour créer un joint-venture, baptisé #Aurora, pour la construction, d’ici à 2026, de « la plus importante usine de transformation du lithium d’Europe », à #Sines ou à #Matosinhos.

      Avec une capacité de production annuelle de 35 000 tonnes d’hydroxyde de lithium, cette usine de #raffinage pourrait produire 50 gigawattheures (GWh) de batteries : de quoi fournir 700 000 #voitures_électriques par an. Le projet, qui espère bénéficier des fonds de relance européens et aboutir en 2026, prévoit un investissement de 700 millions d’euros et la création de 1 500 #emplois directs et indirects. « C’est une occasion unique de repositionner l’Europe comme leader d’une industrie qui sera vitale pour réduire les émissions globales de CO2 », a souligné le président de Galp, Andy Brown, lors de la présentation. « Cette initiative vient compléter une stratégie globale basée sur des critères élevés de #durabilité, de #diversification des sources et de réductions de l’exposition des #risques_géopolitiques », a ajouté le cofondateur de #Northvolt, Paolo Cerruti. La proximité de mines serait un atout.

      Résistance

      D’autres projets de #raffinerie sont en cours de développement, comme celui de l’entreprise chimique portugaise #Bondalti, à #Estarreja, au sud de Porto, qui a annoncé en décembre 2021 s’être associée à la compagnie australienne #Reed_Advanced_Materials (#RAM). Mais, dans les régions convoitées, la #résistance s’organise et les élus se divisent sur la question. Le maire de la commune de #Boticas, à laquelle est rattachée Covas de Barroso, du Parti social-démocrate (PSD, centre droit), doute publiquement de sa capacité à créer de la richesse localement, et craint qu’elle ne détruise le #tourisme rural, la #gastronomie et l’#agriculture. Tandis qu’à 25 kilomètres de là, à #Montalegre, où la compagnie portugaise #Lusorecursos entend construire une mine à ciel ouvert sur une surface de 825 hectares avec une raffinerie, le maire socialiste, Orlando Alves, y est a priori favorable, à condition qu’elle obtienne la validation de son étude d’impact environnemental .

      « C’est une occasion de combattre le #dépeuplement, explique-t-il. La réalité actuelle du territoire, c’est que les gens émigrent ou s’en vont dans les grandes villes, que les jeunes partent pour faire leurs études et ne reviennent pas. Sans habitant, il n’y aura plus de #tourisme_rural ni d’agriculture... » Au gouvernement, on essaie aussi de rassurer en rappelant que le pays compte déjà vingt-six mines de #feldspath « semblables à celle du lithium » .

      « Près de 125 exploitations agricoles et la réserve de biosphère transfrontalière #Gerês-Xures se trouvent dans un rayon de 5 kilomètres autour du projet de #Montalegre. Et, ces derniers temps, des jeunes reviennent pour devenir apiculteurs ou produire des châtaignes... », rétorque Armando Pinto, 46 ans, professeur et coordinateur de la plate-forme #Montalegre_com_Vida (« Montalegre vivante »). Le 22 janvier, près de 200 personnes ont manifesté dans les rues de cette commune dominée par les ruines d’un château médiéval.

      Conscient de l’importance de rallier l’opinion publique, lors d’une conférence sur les « #mines_vertes » , organisée en mai 2021, le ministre Matos Fernandes a insisté sur l’importance « d’aligner les intérêts de l’#économie et de l’#industrie en général avec ceux des communautés locales », pour qu’elles perçoivent des « bénéfices mutuels . Pour y remédier, le directeur général de Savannah, #David_Archer, a assuré qu’il tâchera de recycler l’#eau utilisée sur place, qu’il investira près de 6 millions d’euros pour construire une #route de contournement du village, qu’il créera 200 #emplois_directs, ou qu’il versera des #fonds_de_compensation de 600 000 euros par an pour les communautés affectées par la mine. Sans parvenir à convaincre les habitants de Covas, dont le village est parsemé de graffitis clamant « #Nao_a_minas » (« non aux mines »).

      « Pas de #sulfure »

      « Il y a toujours des impacts, mais si le projet est bien bâti, en utilisant les dernières technologies pour le traitement et l’#exploitation_minière, elles peuvent être très acceptables, estime l’ingénieur Antonio Fiuza, professeur émérite à l’université de Porto. L’avantage est que les roches qui renferment le lithium sont des #pegmatites qui ne contiennent pas de sulfures, ce qui rend le risque de #contamination de l’eau très limité. » Selon ses calculs, si l’intégralité des réserves connues de lithium du Portugal est exploitée, elles pourraient permettre la construction de batteries pour 7,5 millions de véhicules électriques.

      « Pour nous, un projet si grand pour un si petit territoire, c’est inconcevable. Nous sommes tous des petits fermiers et il n’y a pas d’argent qui compense la destruction des montagnes », résume Aida Fernandes. Ses deux jeunes enfants sont scolarisés à Boticas, à une vingtaine de kilomètres de là. Il n’y a que quatre autres enfants à Covas do Barroso, un hameau sans école, ni médecin. « Il y a bien sûr des problèmes dans les villages de l’intérieur du pays, mais les mines ne peuvent pas être une solution, dit Nelson Gomes, porte-parole de la plate-forme Unis en défense de Covas do Barroso. On n’est pas des milliers ici et personne ne voudra travailler dans des mines. Des gens viendront d’ailleurs et nous, on devra partir. Quand les cours d’eau seront déviés et pollués, les terres agricoles détruites et que la mine fermera, douze ans plus tard, que se passera-t-il ? Ils veulent nous arracher un bras pour nous mettre une prothèse... »

      https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/04/la-fievre-du-lithium-gagne-le-portugal_6112250_3234.html

      #lithium #Portugal #mines #extractivisme
      #green-washing #Europe

  • Dans le sud de l’Algérie, la pandémie de Covid-19 encourage un tourisme local
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/02/01/algerie-dans-le-sud-du-pays-la-pandemie-de-covid-19-encourage-un-tourisme-lo

    Dans le sud de l’Algérie, la pandémie de Covid-19 encourage un tourisme local
    De nombreux Algériens de la classe moyenne, empêchés de passer leurs vacances en Europe, en Tunisie ou en Turquie, se sont tournés vers une offre locale.
    Sur la place du souk, le marché de Ghardaïa, les négociations vont bon train pour l’acquisition de produits locaux, en particulier les tapis en laine faits à la main par les femmes de la région. Les touristes, qui viennent d’Alger, d’Oran ou encore d’Annaba, portent déjà le chèche, long foulard typique des régions du sud, pour se protéger du soleil. Ils ont fait plusieurs heures de route ou pris l’un des vols affrétés par la compagnie nationale Air Algérie pour se rendre dans cette ville du nord du Sahara connue pour ses palmeraies et ses cinq ksour, ces citées fortifiées où vit la communauté berbérophone des Mozabites.« Habituellement, nous allons en Europe, mais c’était trop cher et contraignant à cause du nombre limité de vols et du Covid », explique Lina, une enseignante de la banlieue algéroise. Elle et son mari sont venus passer leurs vacances à Ghardaïa, dans la vallée du Mzab, à 600 kilomètres au sud d’Alger. « Ici, la saison touristique débute au mois d’octobre et se termine vers avril », précise Anas, un habitant. Durant la saison haute, ce diplômé en architecture de 26 ans devient guide touristique pour les « nordistes » à qui il fait découvrir cette région classée au patrimoine mondial par l’Unesco depuis 1982. Preuve du succès qu’il rencontre, son téléphone ne cesse de sonner. Au bout du fil, des agences de voyage du nord le chargent de trouver un hébergement de dernière
    En Algérie, où la relance – régulièrement annoncée – du secteur touristique s’apparente à un vœu pieux, plus de deux millions de ressortissants ont l’habitude de se rendre chaque année en Tunisie pour y passer des vacances. Mais, depuis la crise sanitaire, la frontière terrestre avec le voisin de l’est – par laquelle transitait 90 % du flux touristique – est fermée. Elle a été partiellement rouverte le 5 janvier mais seulement pour les résidents. L’Europe et la Turquie, deux autres destinations prisées, sont également devenues plus difficilement accessibles. Alors, comme Lina et son mari, de nombreux Algériens de la classe moyenne se sont tournés vers l’offre locale, dans le désert du sud, mais aussi dans les montagnes de l’est du pays. Non sans créer quelques difficultés, car si certains ont organisé eux-mêmes leur séjour, d’autres sont passés par des agences pas toujours en règle.
    La baisse d’activité due au Covid-19 a conduit à la fermeture temporaire ou définitive d’agences de voyage ayant pignon sur rue, ce qui a profité « à certaines organisations parasitaires », déplore Saïd Boukhelifa, président du Syndicat national des agences de tourisme (SNAT). « Certaines se débrouillent pas trop mal mais, pour la majorité, c’est l’aventure : elles louent un autocar, prennent un accompagnateur et se dirigent vers Tikjda et le Djurdjura [région montagneuse du nord-est du pays] ou vers le sud, notamment à Taghit », explique-t-il. Cette petite oasis de la région de Béchar (sud-ouest) – qui ne devrait pas recevoir plus de 1 000 touristes à la fois, selon M. Boukhelifa – est régulièrement au centre de polémiques à cause de la dégradation de gravures rupestres millénaires et de la pollution des lieux dues à l’afflux d’estivants. Durant le réveillon 2022, des milliers de personnes ont convergé vers la grande dune de Taghit, site majestueux qui surplombe la palmeraie, tiré des feux d’artifices et laissé leurs déchets dans le sable. « Cela fait trois années consécutives que l’on assiste à un massacre écologique. L’Etat doit réglementer l’accès à ces sites », dénonce le président du SNAT.La ville de Ghardaïa, où les coutumes et modes de vie sont préservés depuis des siècles, n’a pas connu ce problème. Les visites dans les cinq cités fortifiées y sont étroitement réglementées. A l’entrée de chacune d’entre elles, un bureau associatif géré par des habitants forme de petits groupes de touristes et leur met à disposition un membre de la communauté mozabite chargé de les diriger dans les ruelles étroites.
    Même encadrement strict à l’intérieur de la vieille ville où il est interdit de fumer et de photographier les habitants sans leur autorisation, notamment les femmes qui apparaissent furtivement drapées de leur haïk, un long tissu blanc en laine qui laisse entrevoir un seul œil.Mais durant ces vacances de fin d’année, les associations locales ont rapidement été dépassées par l’affluence de visiteurs, explique Anas. « C’était du jamais vu. Elles ont été obligées de former des groupes de plus de vingt personnes, ce qui est inhabituel pour les lieux. Après deux ans de vide à cause du Covid, ça fait du bien de voir Ghardaïa animée et c’est bon pour l’économie locale », se réjouit le jeune homme. A l’échelle du pays, cet afflux de touristes nationaux est toutefois « très relatif », tient à nuancer Saïd Boukhelifa. Si les capacités hôtelières ont connu une augmentation en milieu urbain, elles restent très limitées dans les zones où le tourisme est saisonnier, avec « moins de 2 000 lits en montagne et 8 000 lits dans le sud », précise-t-il. Pas de quoi accueillir convenablement l’ensemble des nationaux ni les touristes étrangers, seulement « 5 000 à visiter annuellement le pays », regrette cet ancien cadre de l’Office national algérien du tourisme (ONAT).

    #Covid-19#migrant#migration#algerie#sante#tourisme#economie#crisesanitaire#circulations#frontiere

  • #Lille : Aucun métro à la suite d’une panne électrique, le tram reprend progressivement dans la métropole lilloise
    Ceci n’est pas un exercice !
    https://www.lavoixdunord.fr/1132675/article/2022-01-27/metropole-lilloise-aucun-metro-ni-tramway-ce-jeudi-matin-la-suite-d-une

    – Un accident technique majeur provoque l’interruption totale du métro et du tramway dans la métropole lilloise ce jeudi.
    – Le tram a repris depuis 7h15. Le métro est toujours interrompu.

    6h30. Impossible de donner une heure de reprise
    « Il nous est, pour le moment, impossible de fournir une estimation de l’heure de reprise » du trafic, a indiqué Ilévia dans un message envoyé à 6h30

    6h. Les rames évacuées
    À la suite d’un « dysfonctionnement technique », la circulation du métro et du tramway est totalement interrompue pour une durée indéterminée, a annoncé ce jeudi matin Ilévia dans un communiqué.
    « Aucune rame ne circule sur les deux lignes de métro et les deux lignes de tramway et ce dans les deux sens de circulation » , indique le réseau.
    Vers 6 heures, les agents d’Ilévia procédaient à l’évacuation des rames.
    Sur les réseaux sociaux, Ilévia évoque un « défaut d’énergie majeur » . « Il nous est, pour le moment, impossible de fournir une estimation de l’heure de reprise » du trafic poursuit le réseau dans un message envoyé à 6h30.
    « Les équipes ilévia sont pleinement mobilisées pour rétablir au plus vite le trafic. »
    #Roubaix #Tourcoing #Métro #Tramway #Electricité #Energie

  • Malgré la pandémie, le Sud tunisien renouvelle son offre touristique
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/01/20/malgre-la-pandemie-le-sud-tunisien-renouvelle-son-offre-touristique_6110170_

    Malgré la pandémie, le Sud tunisien renouvelle son offre touristique
    Les hôtels et maisons d’hôtes de Tozeur ont fait le plein de visiteurs pour les fêtes de fin d’année. Un signe que les affaires reprennent, après plusieurs saisons sinistrées.
    Plantés aux portes du désert tunisien, les appartements et les suites couleur sable de l’hôtel Anantara s’ouvrent sur une mer de dunes. Un complexe haut de gamme qui a donné un nouveau souffle à l’offre touristique de la région de Tozeur, après plusieurs saisons plombées par les crises politique et économique, puis par la pandémie. Après un démarrage difficile – le lieu a dû fermer à peine trois mois après son ouverture, en 2019, alors que la première vague du Covid-19 déferlait sur l’Europe –, les protocoles sanitaires et la vaccination ont permis « une reprise en douceur », selon le directeur général, Jesus Arnedo.
    Le pari de l’Anantara était risqué. Depuis la révolution de 2011, plus de la moitié des établissements hôteliers n’ont pas rouvert dans cette partie du pays. Certaines bâtisses de la ville ne sont plus que des ruines. Même si 80 % des employés de l’Anantara sont originaires de la région, le taux de chômage touche un actif sur quatre, et la plupart des jeunes refusent de travailler dans le tourisme. « Ils n’y croient plus », déplore Mondher Ben Soltane, propriétaire de la maison d’hôtes Saida Beya, à quelques encablures de la médina de Tozeur. Pourtant, les modèles proposés par l’Anantara et Saida Beya ont su se maintenir grâce à une proposition différente du tourisme de masse, dominant en Tunisie pendant des décennies et aujourd’hui remis en question. « Les touristes ou la diaspora, qui viennent à l’Anantara, cherchent une expérience atypique, en plus du luxe, des excursions personnalisées dans le désert, le coucher de soleil sur les dunes, des promenades à vélo dans la palmeraie », énumère Jesus Arnedo. Mondher Ben Soltane, lui, a choisi de ne pas bâtir de piscine « pour encourager les touristes à sortir, se balader et non pas rester entre quatre murs », à l’inverse des offres « all-inclusive » de nombreux établissements balnéaires, et propose à ses hôtes des mets traditionnels du Sud à base de viande de dromadaire. Les opérateurs se disent confiants. Alors que la haute saison 2020 avait été percutée par la pandémie, le mois de décembre 2021 a été faste à Tozeur. La totalité des hôtels et maisons d’hôtes ont accueilli des visiteurs pendant la semaine des vacances scolaires et de célébrations du réveillon, soit une augmentation de 78 % par rapport à l’année précédente, selon le gouverneur de la ville, Aymen Bejaoui. Pour remonter la pente après la crise sanitaire, ce dernier a misé sur la vaccination massive, en encourageant la population à s’inscrire rapidement.
    Tozeur s’est aussi ouverte à de nouvelles activités. La ville a accueilli pendant plus d’un mois, en octobre et novembre 2021, un événement de saut en parachute dans le désert et le festival de musique soufie Rouhaniyet, qui a drainé des milliers de visiteurs. Et c’est encore ici qu’ont été délocalisés, début décembre 2021, les défilés de la Tunis Fashion Week.
    Malgré l’arrivée du variant Omicron, Akram Miadi, 47 ans, qui tient sa boutique de souvenirs depuis trois décennies, estime que le pire est derrière lui. « Aujourd’hui, même si la clientèle internationale manque encore à l’appel, les Tunisiens viennent en masse, on sent qu’ils redécouvrent leur pays », affirme-t-il. Les rares étrangers présents sont aussi friands de ces voyages hors des sentiers battus. Ce nouveau tourisme saharien, qui n’est pas encore réglementé par un cahier des charges précis, attire les initiatives de jeunes Tunisiens, comme Elyes Sassi, 30 ans, rentré il y a trois ans du Royaume-Uni où il avait une entreprise de production documentaire pour développer des parcours sur-mesure et complètement programmables en ligne avec son agence Saharansky, « à l’inverse des agences vieille école qui utilisent encore le téléphone ou les fax », plaisante-t-il. Un modèle qu’il a déjà dupliqué au Maroc et s’efforce d’implanter en Arabie saoudite.Malgré son enthousiasme, le jeune entrepreneur déplore, comme d’autres opérateurs touristiques, certaines défaillances du Sud tunisien.

    #Covid-19#migrant#migration#tunisie#sante#pandemie#tourisme#retour#diaspora#economie

  • Covid-19 : les voyageurs dispensés de quarantaine en Thaïlande à partir du 1er février
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/20/covid-19-les-voyageurs-dispenses-de-quarantaine-en-thailande-a-partir-du-1er

    Covid-19 : les voyageurs dispensés de quarantaine en Thaïlande à partir du 1er février
    Craignant la propagation du variant Omicron, le pays avait rétabli, à la fin de décembre, une quarantaine obligatoire. Mais seuls quelques milliers de cas sont recensés officiellement chaque jour, et la courbe des décès reste stable.La Thaïlande va de nouveau dispenser les voyageurs vaccinés de quarantaine à partir du 1er février, ont annoncé, jeudi 20 janvier, les autorités. Cette décision suscite l’espoir au sein de l’industrie du tourisme, exsangue depuis plusieurs mois.Craignant la propagation du variant Omicron, le pays avait rétabli une quarantaine obligatoire à la fin de décembre. Mais seuls quelques milliers de cas sont recensés officiellement chaque jour, et la courbe des décès reste stable. Ces données ont poussé les autorités à réévaluer la situation.
    A partir du 1er février, les visiteurs vaccinés devront fournir un test de dépistage du SARS-CoV-2 dont le résultat est négatif, effectué dans leur pays d’origine. Puis ils seront contraints d’en faire un deuxième à leur arrivée, et un dernier le cinquième jour suivant leur entrée sur le territoire, a fait savoir Taweesin Visanuyothin, porte-parole du centre de gestion du coronavirus.Les tests pratiqués sur le sol thaïlandais devront être effectués dans un hôtel homologué. Si le résultat est négatif, le voyageur pourra circuler librement dans le pays. « En cas d’augmentation des cas, la situation sera de nouveau réévaluée », a précisé Taweesin Visanuyothin.
    Après plus de dix-huit mois de fermeture, le royaume avait rouvert ses frontières au début de novembre aux touristes vaccinés sur présentation d’un simple résultat négatif de test PCR. Quelques dizaines de milliers de visiteurs avaient profité de cet allégement des restrictions.Avant la pandémie, le pays était l’un des plus visités au monde, avec près de 40 millions d’entrées sur le territoire en 2019. Le ministère du tourisme espère accueillir 5 millions de visiteurs cette année.

    #Covid-19#migrant#migration#thailande#sante#pandemie#tourisme#economie#vaccination

  • Assaisonnement dukkah
    https://www.cuisine-libre.org/assaisonnement-dukkah

    Faire griller les noisettes dans une poêle sèche sans les faire brûler. Faire griller le sésame sans le faire brûler. Faire griller les graines de #Tournesol, de coriandre, de #Cumin. Retirer du feu quand on sent le parfum des épices. Hacher grossièrement les noisettes au couteau. Piler au mortier le sésame, les graines de tournesol, de coriandre et de cumin, avec le sel et le poivre. Attention : concasser, ne pas écraser. Mélanger les graines et les noisettes avec le… Tournesol, Cumin, Coriandre (en graines), #Mélanges_d'épices, #Noisette_décortiquée, #Graines_de sésame, #Égypte / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans lactose, Végétalien (vegan), Sans (...)

    #Coriandre_en graines_ #Végétalien_vegan_ #Sans gluten

  • Derrière le procès d’un squatteur, la difficulté croissante pour les plus pauvres de se loger en Bretagne

    Pascal Bordier, saisonnier de 45 ans, était jugé pour avoir occupé une maison de vacances à Belle-Ile-en-Mer. Il revendique une « réquisition », guidée par la « nécessité ».

    Pascal Bordier ne sait que faire de ses mains. Il les frotte contre son pantalon, les tord, puis les coince finalement dans son dos au moment d’affronter la barre du tribunal correctionnel de Lorient (Morbihan). C’est la première fois que ce saisonnier de 45 ans est convoqué par un tribunal. Ce jeudi 13 janvier, il comparaît pour avoir squatté une demeure à Bangor, une des quatre communes de Belle-Ile-en-Mer, pendant deux semaines, avant d’être délogé par le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie.

    Désormais installé à Toulouse, le quadragénaire ne regrette pas cette « réquisition », guidée par « la nécessité » puis par « le besoin » d’alerter sur les difficultés à se loger sur ce confetti de terre de 17 kilomètres de long, ancré au large de Quiberon.

    Face à la présidente du tribunal, Pascal Bordier s’explique d’une voix chevrotante. L’affaire commence en juin 2021, lorsqu’il débarque à Belle-Ile-en-Mer. Le saisonnier connaît les lieux pour y avoir travaillé les étés précédents. Il trouve une place de serveur rémunéré au noir dans un restaurant, puis plante sa tente dans un champ, avec d’autres salariés estivaux.

    Pascal Bordier décrit ensuite les maux de dos et la pluie qui viennent contrarier le début de l’été. Sur l’île, il se murmure que plusieurs dizaines de maisons gardent les volets fermés toute l’année. Avec une poignée d’autres travailleurs, le serveur en repère une qu’il juge abandonnée. Le lierre ronge les murs extérieurs de la demeure. Les ronces serpentent dans le jardin.

    Les saisonniers y pénètrent, font le ménage puis s’y installent, avant de prévenir gendarmerie et mairie. « On ne voulait pas déranger. Il n’était pas question de régler notre problème en en causant d’autres », explique-t-il, avant de contester l’effraction ainsi que la consommation d’eau et d’électricité sur place.

    Muriel Corre, la juge, coupe : « Vous avez causé du tort à la propriétaire de 86 ans, qui n’est pas venue dans sa maison à cause de la pandémie puis d’une fracture du col du fémur. Monsieur, êtes-vous un habitué de ces occupations sans droit ni titre ? » Pascal nie de la tête. Vincent Mailly, procureur de la République, ne le croit pas et dénonce des manières de « corsaire engagé dans une démarche militante »[les procs savent tourner les compliments, mais les font payer cher, ndc]. Il requiert trois mois d’emprisonnement avec sursis et 100 euros d’amende afin de « prévenir et dissuader » de nouvelles réquisitions.

    « L’histoire de Pascal, c’est la nôtre »

    La pénurie de logements sur le littoral breton, en particulier sur les territoires insulaires, s’impose comme un problème récurrent dans la péninsule. Les responsables de Pôle emploi y voient l’une des raisons du manque de main-d’œuvre constaté chaque été par les professionnels du tourisme. « Belle-Ile-en-Mer traverse une crise du logement qui touche plus largement les insulaires et les plonge dans une grande tristesse, reprend Julia Delalez, avocate de Pascal Bordier. Cette affaire est le symptôme d’une réalité sociale. Moi-même, je dois partager mon cabinet avec une ostéopathe, faute de locaux disponibles. »

    Dehors, une vingtaine de personnes résidant à l’année à Belle-Ile-en-Mer, majoritairement des trentenaires, se sont regroupées sur le parvis du tribunal pour faire entendre l’envers de la carte postale belliloise. « L’histoire de Pascal, c’est la nôtre. Nombre de travailleurs galèrent toute l’année. J’ai par exemple vécu dans une cabane de jardin plusieurs mois. Par rapport à d’autres, j’avais la chance d’avoir eau et électricité… », souffle Cathy Hay, femme de ménage sur l’île.

    Marine Aubertin, pépiniériste, reprend : « On s’habitue à la misère. Moi, j’ai déménagé neuf fois en cinq ans. Je dois libérer mon appartement l’été pour que les propriétaires le louent plus cher à des vacanciers. Je ne me plains pas. J’ai des propriétaires “sympas”. » Beaucoup se contentent de proposer leur bien à la location quelques semaines par an à des touristes, via #Airbnb.

    A Belle-Ile-en-Mer, six logements sur dix sont des résidences secondaires, d’après l’Insee. Depuis la pandémie, le marché immobilier flambe. Les acheteurs en quête d’une maison de vacances surenchérissent pour acquérir les rares biens en vente. La moindre bicoque se négocie à des prix parisiens. Des tarifs qui excluent du marché immobilier les autochtones, souvent contraints d’accepter des emplois saisonniers et d’assumer le surcoût de la vie insulaire. A la pompe belliloise, le prix d’un litre d’essence culmine actuellement à 2 euros.

    D’une voix douce, Bertille, qui ne souhaite pas communiquer son nom, peste : « La situation est très difficile à vivre. Nous acceptons les petits boulots et les petits salaires parce que nous voulons vraiment habiter ici. En retour, l’été, nous affrontons la condescendance et l’arrogance de nombre de résidents secondaires. Belle-Ile devient le terrain d’une nouvelle lutte des classes ! »

    Aux yeux des insulaires présents à Lorient ce jeudi, Pascal Bordier est un « lanceur d’alerte ». Lui aimerait que son histoire serve d’« électrochoc politique ». Le débat sur la nécessité d’une intervention des élus pour juguler la loi du marché immobilier divise autant qu’il rassemble. Lors de l’élection régionale de juin 2021, la liste écologiste, comptant des militants autonomistes de l’Union démocratique bretonne, avait défendu la création d’un statut de résident sur les territoires en tension. Ce projet réclamant à tout acquéreur d’avoir vécu au moins une année sur place pour y acheter une demeure avait électrisé la campagne.

    Une fausse bonne idée à un vrai problème, selon Loïg Chesnais-Girard. Le président (Parti socialiste) de la région Bretagne plaide pour un meilleur usage des outils déjà disponibles, à l’image du méconnu Etablissement public foncier de Bretagne, qui permet aux maires de préempter plus facilement et, ainsi, de mieux maîtriser les aménagements à venir. La solution ne convainc pas les Bellilois, qui guettent la sortie du tribunal de Pascal Bertier. Le jugement du saisonnier a été mis en délibéré au jeudi 3 février.

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/01/14/a-belle-ile-en-mer-le-proces-d-un-squatteur-met-en-lumiere-les-problemes-de-

    #logement #Squat #tourisme #saisonniers #justice

  • Coronavirus: Hong Kong extends stricter social-distancing measures, flight bans on 8 countries through Lunar New Year, will provide HK$3.57 billion in subsidies to hard-hit businesses | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/hong-kong-economy/article/3163344/hong-kong-social-distancing-ban-evening-dine

    Coronavirus: Hong Kong extends stricter social-distancing measures, flight bans on 8 countries through Lunar New Year, will provide HK$3.57 billion in subsidies to hard-hit businesses.Hong Kong’s ban on evening dine-in services will be extended for two more weeks, through the Lunar New Year holiday, while industries hit hard by the coronavirus pandemic will be offered HK$3.57 billion in subsidies.Confirming an earlier Post report, Chief Executive Carrie Lam Cheng Yuet-ngor also announced on Friday a flight ban currently imposed on Australia, Canada, France, India, Pakistan, the Philippines, Britain and the United States would also be extended until February 4. The ban was first introduced on January 8.
    With the measures in place, Lam was still hopeful the long-awaited reopening of the border with mainland China was on the cards after the outbreak of the highly transmissive Omicron variant had stalled the plan.
    “The latest assessment is Covid-19 is not yet under control, there’s still a risk of a large-scale outbreak,” Lam told a press briefing on Friday evening. “If there is no major outbreak on February 4, we will restore business operations but they will be subject to vaccination requirements.”She said applications for the subsidies would open as soon as next week with the fifth round of pandemic relief focusing on two main groups.The first is businesses directly affected by the latest curbs such as restaurants, which cannot offer night-time dine-in services, and the beauty industry as well as hard-hit individuals such as gym instructors and freelance artists.
    The second group is industries that have remained “frozen” during the pandemic, such as the tourism sector and cross-border transport industry.
    Lam said that as the curbs would be in place for four weeks compared with up to 158 days for some industries during the fourth wave, the subsidy amount for businesses this time would be half of that during the previous round of relief. And for individuals, it would be two-thirds of that amount.
    The latest offerings add to the government’s subsidies of HK$162.3 billion via an anti-epidemic fund directly benefiting more than 20 industries in 2020 and 2021.The extension will put a damper on Hongkongers’ traditional festive dinners out, requiring them to instead celebrate at home until at least the fourth day of Lunar New Year – one day after the public holiday ends. Large-scale events, such as the Lunar New Year Fair, will also be affected. Stricter social-distancing measures, initially meant to last two weeks, were reimposed on January 5 in the wake of the emergence of an ongoing fifth wave of coronavirus infections.

    #Covid-19#migration#migrant#hongkong#sante#circulation#frontiere#zerocovid#tourisme#business#restrictionsanitaire#economietransfrontaliere

  • Les résidents du Royaume-Uni vaccinés contre le Covid-19 pourront venir en France sans motif impérieux
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/13/les-residents-du-royaume-uni-vaccines-contre-le-covid-19-pourront-venir-en-f

    Les résidents du Royaume-Uni vaccinés contre le Covid-19 pourront venir en France sans motif impérieux. « Pour les personnes vaccinées, on met aussi fin à la période d’isolement de quarante-huit heures. On demandera seulement un test négatif de moins de vingt-quatre heures au départ », a annoncé jeudi le ministre délégué chargé du tourisme et des PME, Jean-Baptiste Lemoyne. Les personnes vaccinées venant du Royaume-Uni seront autorisées à partir de vendredi à entrer en France sans présenter de motif impérieux, a annoncé, jeudi 13 janvier, le ministre délégué chargé du tourisme et des petites et moyennes entreprises (PME), Jean-Baptiste Lemoyne.« Pour les personnes vaccinées, on met aussi fin à la période d’isolement de quarante-huit heures. On demandera seulement un test négatif de moins de vingt-quatre heures au départ. On pourra à nouveau se déplacer depuis le Royaume-Uni pour des motifs de loisirs et [pour] aller skier » dans les stations françaises, a ajouté le ministre sur TV5 Monde.
    « La contrainte est plus forte sur les personnes non vaccinées qui gardent des motifs impérieux et ne peuvent pas venir pour des motifs de loisirs. Le vaccin fait la différence », a complété M. Lemoyne. Afin de limiter la propagation du variant Omicron, le gouvernement avait annoncé mi-décembre un durcissement des conditions d’accès en France. Les ressortissants de pays extérieurs à l’Union européenne (UE) devaient avoir un « motif impérieux » pour entrer sur le territoire et transiter vers un autre pays de l’UE. Or, depuis le Brexit, les Britanniques sont des ressortissants d’un pays tiers. « Tous les voyageurs, vaccinés ou non, devront présenter au départ un test négatif [PCR ou test antigénique] de moins de vingt-quatre heures », a précisé dans la foulée le cabinet du premier ministre dans un communiqué. Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, avait annoncé mercredi que Paris assouplirait « dans les tout prochains jours » les restrictions appliquées aux frontières avec le Royaume-Uni. « La clientèle britannique, c’est 15 % de la clientèle des stations de ski françaises », a ajouté M. Lemoyne, alors que depuis deux ans l’Etat a soutenu à hauteur de 38 milliards d’euros les acteurs du tourisme victimes des conséquences économiques de la crise sanitaire. « Avant crise, il y avait 90 millions de touristes internationaux par an en France, aujourd’hui, c’est plutôt 45 millions », a rappelé M. Lemoyne. « La saison [de sports d’hiver] est bien engagée, a-t-il estimé. Par rapport à 2019, on est à − 8 % mais on commence à se rapprocher de niveaux intéressants. Dans les Pyrénées, il y a du + 10 %, + 30 %. » « C’est plus compliqué pour certaines grandes stations en Savoie, qui dépendent de cette clientèle internationale, notamment des Britanniques », a cependant reconnu M. Lemoyne. « La décision de ce matin va permettre un rattrapage, j’espère. La première semaine de janvier, on est à + 5 % par rapport à 2019 grâce aux Belges et aux Néerlandais. »

    #Covid-19#migrant#migration#france#grandebretagne#sante#tourisme#vaccination#frontiere#circulation#UE#crisesanitaire

  • #Tournai (Belgique) : Actuellement, le nombre de patients diminue chaque semaine au CHwapi.
    https://www.notele.be/it18-media108457-covid-le-chwapi-s-attend-a-une-hausse-des-hospitalisations-d

    Avec 16 patients Covid, le CHwapi a repris ses activités normales. Néanmoins, l’arrivée d’Omicron laisse les médecins perplexes quant à la capacité du centre hospitalier d’avoir suffisamment de personnel. En effet, depuis la 4ème vague, il a été observé que le taux d’absentéisme s’élève à 15% chez le personnel soignant. Ce taux s’explique par l’enchainement des vagues Covid depuis bientôt 2 ans, forçant le personnel à travailler sans relâche.


    Pourtant, avec la 5ème vague qui approche, l’hôpital s’organise et anticipe avec la création d’une unité Covid en pédiatrie. « Omicron diffère des autres variants à bien des égards. La nouveauté est qu’il touche tout le monde. Les personnes âgées ne sont plus les seules à être impactées, bon nombre d’enfants comme de femmes enceintes le sont également. De plus, sa durée d’incubation passe à 3 jours contre 5 auparavant », explique Mélanie Delvallée, infectiologue.

    Suivant les inquiétudes que cette nouvelle vague procure, la dose booster est fortement conseillée. Il a été observé qu’elle diminuerait les chances d’hospitalisation et permettrait une guérison plus rapide.
    Caroline Colard

    #tests #dépistage #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #soignants #enfants

  • Au Maroc, les voyagistes appellent à la réouverture des frontières
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/01/05/au-maroc-les-voyagistes-appellent-a-la-reouverture-des-frontieres_6108262_32

    Au Maroc, les voyagistes appellent à la réouverture des frontières. Environ 200 professionnels ont manifesté devant le ministère du tourisme, à Rabat, pour exiger des mesures de soutien face à l’effondrement du secteur depuis le début de la pandémie de Covid-19. Menacés de faillite à cause de la fermeture des frontières, les voyagistes marocains ont appelé à « sauver » le tourisme, secteur vital de l’économie du royaume, quasiment à l’arrêt à la suite de la reprise de la pandémie de Covid-19. Mardi 4 janvier à Rabat, environ 200 professionnels représentant des agences de voyage ont manifesté devant le siège du ministère du tourisme pour exiger des mesures de soutien à leurs activités et une réouverture des frontières, ont constaté des journalistes de l’AFP. Patrons comme salariés de tour-opérateurs ont également réclamé l’ouverture d’un dialogue avec les autorités face à « l’effondrement dramatique » du secteur depuis le début de la pandémie. « Ayez pitié de l’économie et du peuple », pouvait-on lire sur une pancarte.Tous les vols de passagers au départ et à destination du Maroc sont suspendus depuis le 29 novembre et au moins jusqu’au 31 janvier en raison de la flambée du variant Omicron. « La dernière fermeture des frontières est un coup fatal. D’autres pays concurrents en ont profité, comme la Turquie, l’Egypte ou les Emirats », se désole auprès de l’AFP Raja Ould Hamada, propriétaire d’une agence de voyage à Marrakech. « Nous n’avons reçu aucun soutien, ni matériel ni moral. Nous demandons aux responsables du ministère de nous écouter et d’entendre nos difficultés », plaide-t-elle, s’inquiétant de « la déstabilisation et de la perte de crédibilité du secteur auprès des compagnies aériennes internationales et des investisseurs étrangers ». « Tout le monde sait que la situation est catastrophique ! La question est : que fait le gouvernement ? », renchérit auprès de l’AFP Lahcen Zelmat, président de la Fédération nationale de l’industrie hôtelière. Celle-ci demande « le report des crédits bancaires et la prise en charge des intérêts par l’Etat, et surtout qu’on nous laisse travailler en rouvrant les frontières », détaille-t-il. Face aux critiques, la ministre du tourisme, Fatima-Zahra Ammor, s’est engagée à appliquer urgemment un vaste plan de soutien. Une aide mensuelle de 2 000 dirhams (environ 190 euros) a été promise aux salariés du secteur pour le dernier trimestre de 2021. Sous l’effet des restrictions, les pertes du secteur touristique ont été évaluées à « au moins 1 milliard de dirhams » pour la saison des fêtes de fin d’année, selon un opérateur cité le mois dernier par le site d’information économique Medias24. Les autorités justifient ces mesures drastiques « pour préserver les acquis du Maroc dans la lutte contre la pandémie ».

    #Covid-19#migrant#migration#maroc#sante#economie#tourisme

  • Escapades #sans_voiture en Wallonie
    http://carfree.fr/index.php/2022/01/04/escapades-sans-voiture-en-wallonie

    Lâchez la pédale d’accélérateur et découvrez la Wallonie en mode slow. Explorez la région avec des transports doux : en train, à #Vélo et à pied. Votre escapade démarre toujours d’une Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Marche_à_pied #Transports_publics #Vie_sans_voiture #Villages_sans_voitures #Ville_sans_voitures #Belgique #bruxelles #liège #mons #tourisme #Vivre_sans_voiture #voyage