• En #bretagne sans ma voiture
    http://carfree.fr/index.php/2022/07/01/en-bretagne-sans-ma-voiture

    Voyager sans sa voiture… réalité ou utopie ? Quand on sait que 82% des français préfèrent utiliser leur propre véhicule en #vacances, le pari de l’éco-mobilité semble difficile à gagner ! Et Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Ressources #Vie_sans_voiture #sans_voiture #tourisme #Vivre_sans_voiture

  • Drôme river is dead - Tourist go home please / La rivière Drôme est morte, touristes rentrez chez-vous svp
    https://ricochets.cc/Drome-river-is-dead-Tourist-go-home-please-La-riviere-Drome-est-morte-tour

    Message ironique d’anticipation (english below), ou pas, puis quelques remarques sur le fait que c’est le début de la fin pour le tourisme, l’avenir est au voyage virtuel et à tout ce qui va avec. Sécheresse hivernale et printanière puis canicule historique en juin, résultat, la rivière Drôme a perdu son eau, elle se transforme en cloaque à algues vertes et à microbes pas sympas. En aval de Crest plus grand chose ne coule. Le lit révèle ses os. A Crest actuellement ça fait la gueule, on se (...) #Les_Articles

    / #Technologie, Tourisme, idylle ou divorce ?, Tourisme, sports & loisirs, Humour, ironie, satire...

    #Tourisme,idylle_ou_divorce ? #Tourisme,_sports&_loisirs #Humour,_ironie,_satire...
    https://le-crestois.fr/index.php/journal-le-crestois/actus/5550-quand-la-secheresse-menace-le-tourisme-local
    https://reporterre.net/Le-mois-de-juin-sera-le-plus-orageux-depuis-au-moins-vingt-ans
    https://www.tdg.ch/le-po-agonise-sous-leffet-de-la-secheresse-203581479757
    https://reporterre.net/Gard-dans-la-riviere-assechee-les-poissons-se-meurent
    https://cinesium.blogspot.com/2011/07/soleil-vert-au-festival-lumiere-2011.html

  • Actualités de la peste touristique
    https://ricochets.cc/Actualites-de-la-peste-touristique.html

    Actualités de la peste touristique La belle saison revient, déjà, et, avec elle, comme chaque année, le même fléau du Diois s’abat sur le pays : ce n’est ni la peste, ni le choléra, ni le CoViD, mais bel et bien le tourisme. Il n’est plus possible de prendre à la légère ce phénomène qui tente même de se parer d’atours éco-responsables pour mieux cacher sa nocivité mortifère. Cette activité prend les allures innocentes d’un enfant de trois ans. Elle tire pourtant ses origines de cette classe historique qui a (...) #Les_Articles

    / #Vallée_de_la_Drôme, Tourisme, idylle ou divorce ?

    #Tourisme,_idylle_ou_divorce ?

  • Bassin versant de la Drôme, l’eau c’est vital : réunion de Commission Locale de l’Eau (CLE) le 28 juin
    https://ricochets.cc/Bassin-versant-de-la-Drome-l-eau-c-est-vital-reunion-de-Commission-Locale-

    Pour info, la Commission Locale de l’Eau (CLE) de la Drôme se réunit le mardi 28 juin, et on peut demander à y assister en tant qu’observateur. A l’heure de la sécheresse récurente et des canicules qui se multiplient, il est vital de se préoccuper de l’eau et des milieux aquatiques, pour nous et les autres vivants. A l’ordre du jour, plusieurs points très importants car ils ont trait à la « gestion » future de l’eau dans le bassin de la rivière Drôme : Etude prospective pour l’adaptation des usages (...) #Les_Articles

    / #Vallée_de_la_Drôme, #Ecologie, #Agriculture, #Le_monde_de_L'Economie, Tourisme, sports & (...)

    #Tourisme,sports&_loisirs
    https://ricochets.cc/IMG/pdf/reglement-cle-drome-ri_cle181212.pdf

  • Faire venir encore plus de voitures et motos dans le Vercors ?! La communication du Département de la Drôme mise en pièce
    https://ricochets.cc/Faire-venir-encore-plus-de-voitures-et-motos-dans-le-Vercors-La-communicat

    La FAUP interpelle à nouveau les élus majoritaires du Département de la #Drôme, le Vercors n’a pas besoin de voitures et de motos supplémentaires, il y en a déjà trop. Puis quelques remarques de bon sens. Droit de réponse de la FAUP au communiqué de presse du Département sur les Sublimes Routes du Vercors La Fédération des Amis et Usagers du Parc du Vercors souhaite répondre à plusieurs points cités par Marie-Pierre Mouton, présidente du Conseil Départemental de la Drôme dans son entretien donné à France (...) #Les_Articles

    / Drôme, #Ecologie, Tourisme, sports & loisirs

    #Tourisme,sports&_loisirs

  • #Crest : Motor show Monster Truck 17-18-19 juin, vroum vroum en pleine canicule
    https://ricochets.cc/Crest-Motor-show-Monster-Truck-17-18-19-juin-vroum-vroum-en-pleine-canicul

    Si vous habitez dans le crestois, vous avez du remarquer partout ces énormes pancartes de promo du « Motor show » annoncé avec fracas pour les 17-18-19 juin 2022 à Crest. Un gros show motorisé avec force bagnoles surgonflées au beau milieu d’une canicule historique Quelle bonne idée : un gros show motorisé avec force bagnoles surgonflées, pick-up de la mort à roues géantes, pétrole crâmé, motos pétaradantes, fumée et flammes de l’enfer au beau milieu d’une canicule historique à bientôt 40°C ! Une canicule très (...) #Les_Articles

    / Crest, Humour, ironie, satire..., #Le_monde_de_L'Economie, Tourisme, sports & loisirs

    #Humour,ironie,_satire... #Tourisme,_sports&_loisirs

  • Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/06/13/confusion-sur-l-organisation-du-pelerinage-a-la-mecque_6130038_3224.html

    Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    Une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par l’Arabie saoudite, sème le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle.
    Par Cécile Chambraud
    Publié hier à 01h55, mis à jour hier à 09h37
    Après deux ans de suspension en raison de la pandémie de Covid-19, les autorités saoudiennes ont rouvert les portes du royaume aux musulmans étrangers pour le grand pèlerinage à La Mecque, qui aura lieu cette année du 7 au 12 juillet. Mais à moins d’un mois du début de l’événement, une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par le pays hôte, sème la confusion et le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle, que les musulmans qui en ont les moyens doivent accomplir une fois dans leur vie. Elle désorganise le fonctionnement habituel – d’ailleurs passablement opaque – du marché du hadj (aussi appelé « grand pèlerinage »). Déjà fragilisées par deux années de disette liées à la situation sanitaire, certaines des agences de voyages françaises spécialisées craignent de devoir mettre la clé sous la porte.
    Comme l’a révélé le site d’information SaphirNews, le ministère saoudien du hadj a en effet annoncé, lundi 6 juin, que, désormais, pour espérer obtenir un visa spécifique, les candidats au grand pèlerinage établis en Europe, en Amérique et en Australie (dans les pays musulmans, la régulation appartient aux pouvoirs publics) devraient obligatoirement passer par une plate-forme numérique unique, Motawif.
    Après une semaine de flottement, les inscriptions en ligne ont ouvert vendredi 10 juin dans la soirée, pour trois jours. Pour faire acte de candidature, il faut avoir moins de 65 ans et posséder un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Dès mardi 14 juin, un tirage au sort déterminera qui, parmi les inscrits, aura droit à un visa. Au nombre d’environ 9 200 cette année pour la France, les places sont plus rares qu’avant la pandémie, où le nombre de visas accordés oscillait entre 22 000 et 25 000. Il s’agit d’un changement de logique. Jusqu’à présent, les visas étaient accordés par les autorités saoudiennes par le biais des agences de voyages, pourvu que celles-ci aient obtenu un agrément, renouvelable chaque année auprès des autorités saoudiennes. Ces visas étaient répartis de manière inégale. Trois ou quatre grosses agences en obtenaient plusieurs milliers, les autres nettement moins. Certaines, d’ailleurs, en rétrocédaient quelques-uns à des sous-traitants, alimentant une économie souterraine.Mais les agences de voyages n’attendent pas d’obtenir l’agrément et les visas pour verser des acomptes et réserver les prestations qui figurent dans le forfait vendu aux clients, à savoir les billets d’avion pour Djedda, les nuits d’hôtel à La Mecque et à Médine, les places dans les tentes de Mina, où les pèlerins passent trois ou quatre nuits, et les transports en bus entre les hôtels et les différents lieux du pèlerinage. Pour couvrir ces frais, les agences demandent donc une avance aux clients, qui leur sont souvent apportés (moyennant une commission) par des « rabatteurs ». En espérant avoir les visas.Pour ces agences et pour les clients, les sommes avancées sont importantes. En 2019, les forfaits de base se montaient à 4 400 euros par personne pour quinze jours et 6 000 euros pour trois semaines – les séjours s’étendent au-delà du pèlerinage stricto sensu, avec notamment une extension à Médine. Les versions haut de gamme, avec des prestations supérieures, peuvent monter bien au-delà. Cette année, selon SaphirNews, les prix de base auraient grimpé autour de 8 500 à 9 500 euros. Comme tous les ans, les agences ont donc engagé des frais, mais elles ne savent pas, aujourd’hui, si elles pourront fournir les prestations promises à leurs clients. Elles n’ont en effet toujours pas reçu l’agrément et savent qu’elles n’auront pas les visas. Les pèlerins tirés au sort auront-ils encore recours, malgré tout, à leurs services, ou choisiront-ils ceux offerts par la plate-forme saoudienne ? Cette incertitude les inquiète. D’autant que les prix proposés, à titre indicatif, par Motawif, démarrent plus bas et s’étagent de 6 300 à 9 900 euros. Pourquoi les autorités saoudiennes ont-elles procédé de manière aussi brusque ? Pour Leïla Seurat, chercheuse associée au Centre de recherches sociologiques sur le droit des institutions pénales, qui a conduit une étude sur le marché du hadj à la demande du bureau central des cultes du ministère de l’intérieur, elles ont « sciemment voulu provoquer la désorganisation et la fermeture de certaines agences. C’est un moment de rapport de force, avec pour objectif de faire un grand ménage dans les agences occidentales afin, à terme, de faire du pèlerinage une occasion de développer le tourisme dans le pays et d’en privatiser la gestion ». Il y a deux ans, cette réorganisation avait déjà été appliquée à la oumra – le « petit pèlerinage », plus court et qui peut être accompli tout au long de l’année –, que les musulmans peuvent désormais organiser à leur guise sans passer par les agences. La chercheuse inscrit ces réformes dans Vision 2030, le programme de modernisation et de diversification impulsé par le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman. « Aujourd’hui, quelque 3 millions de personnes participent au hadj chaque année, indique-t-elle. Le projet est de porter ce nombre à 30 millions. » Et de les faire rester plus longtemps, en tant que touristes.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#lamecque#sante#pandemie#pelerinage#religion#visa#tourisme#economie

  • Covid-19 : le Japon rouvre frileusement ses frontières aux visiteurs étrangers
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/06/13/covid-19-le-japon-rouvre-frileusement-ses-frontieres-aux-visiteurs-etrangers

    Covid-19 : le Japon rouvre frileusement ses frontières aux visiteurs étrangers
    Depuis le 10 juin, le Japon accepte à nouveau des groupes de touristes étrangers, mais placés sous haute surveillance.
    Par Philippe Pons(Tokyo, correspondant)
    Publié aujourd’hui à 10h53, mis à jour à 13h47
    Après deux ans de fermeture pour enrayer la contamination par le Covid-19 – dont une période particulièrement sévère en restrictions à la suite de l’apparition du variant Omicron, en octobre 2021 –, le Japon met partiellement fin à un isolement qui le plaçait à la traîne des autres pays du G7 et le faisait figurer parmi les dernières destinations fermées. Il envisage d’autoriser l’entrée dans l’archipel de 30 000 visiteurs par jour (actuellement 20 000). Avant la pandémie, on comptait en moyenne 100 000 arrivées quotidiennes sur le sol japonais.Les nouvelles mesures, en vigueur depuis le 10 juin, s’appliquent aux touristes voyageant en groupe et aux membres de famille de résidents étrangers en cas de « circonstances exceptionnelles », y compris s’ils sont pacsés ou conjoints non mariés. Mais cette procédure est d’une rare complexité, sinon dissuasive. Depuis le 1er mars, le Japon délivre, en outre, à nouveau des visas aux étudiants et aux personnes désirant se rendre dans l’archipel pour des raisons professionnelles. Mais les touristes individuels ne sont toujours pas autorisés.Aux termes des nouvelles dispositions, les visiteurs étrangers sont classés en trois catégories – bleu, jaune et rouge – en fonction des risques de contamination que présente le pays dont ils sont ressortissants. Ceux qui appartiennent au groupe des 98 pays classé en bleu où le risque de contamination est faible – dont fait partie la France – sont exemptés d’un test à l’arrivée (exigé au départ) et de confinement. Dans le cas des autres groupes, les règles sont plus restrictives et peuvent aller, pour le groupe rouge, jusqu’à une quarantaine de trois à sept jours.
    Pendant la majeure partie de la pandémie, le Japon a interdit l’accès de son territoire aux touristes et, dans les périodes de forte circulation virale, il n’avait autorisé à revenir que les citoyens japonais et les résidents étrangers, qui tous étaient soumis à d’interminables vérifications à l’aéroport et une période de confinement.Le Japon a rouvert aux vols internationaux des aéroports de province, comme celui de Naha (Okinawa) et Chitose (Hokkaido). La réouverture de l’archipel devrait s’échelonner sur plusieurs mois en fonction des résultats de « circuits tests » qui viennent de s’achever auprès de petits groupes de touristes (venus d’Australie, des Etats-Unis, de Singapour et de la Thaïlande). Des tests destinés à évaluer les capacités de réaction des autorités en cas d’apparition de cas de contamination.Les touristes en groupes seront encadrés en permanence du début à la fin de leur séjour. Ils devront se plier au port du masque, toujours considéré comme une protection – les Japonais continuent à 99 % à le porter dans les rues, les transports, les magasins… – à une prise de température quotidienne et à des tests antigéniques réguliers. Ils devront, en outre, prendre une assurance médicale. Accompagnés en permanence de leurs guides, ils n’auront pas le droit d’utiliser les transports publics.
    Le gouvernement est d’autant plus prudent dans la réouverture du pays que l’opinion a longtemps été favorable à la restriction d’entrée des étrangers. Au début de la crise sanitaire, les atermoiements et cafouillages du gouvernement de Shinzo Abe puis de son successeur, Yoshihide Suga, obsédés tous deux par la tenue des Jeux olympiques de Tokyo, avaient mécontenté l’opinion et fait chuter leur cote de popularité. La tenue de ces JO, grevés par des investissements aussi colossaux que disproportionnés, dont la majorité des Japonais ne voulaient pas, a porté un coup fatal à M. Suga. Son successeur, Fumio Kishida, s’efforce de tenir compte des erreurs de jugement de ses prédécesseurs.Dès l’apparition du variant Omicron, à la fin de 2021, son gouvernement a suspendu les entrées d’étrangers. Une fermeture souhaitée par l’opinion japonaise : selon le sondage réalisé au début de décembre 2021 par le quotidien Yomiuri, 89 % des personnes interrogées étaient favorables à ces mesures estimant que ce filtrage des nouveaux arrivants était nécessaire. Depuis quelques semaines, la majorité est favorable à une réouverture progressive des frontières, mais 70 % approuvent la politique restrictive du gouvernement qui a permis d’enrayer la contagion. Le Japon recense actuellement quelque 15 000 cas par jour.
    Restauration et tourisme sinistrésLa prudence qui accompagne la stratégie de réouverture de M. Kishida s’explique par la tenue d’élections sénatoriales en juillet. Une reprise épidémique, quelle que soit son origine, serait aisément exploitée par l’opposition. Une fois passé le cap électoral, M. Kishida s’orientera probablement vers une levée des restrictions aux frontières, qui devrait faciliter une reprise des activités des secteurs sinistrés par la pandémie, la restauration et le tourisme.La relance du tourisme intérieur est attendue en juillet. L’afflux de touristes en provenance de l’étranger devrait, pour sa part, être favorisé par la dépréciation du yen, qui rend l’archipel plus attrayant en termes de coûts. Cette reprise du tourisme international comporte néanmoins un point noir : elle risque de provoquer à nouveau le mécontentement des habitants des régions les plus attractives. En une décennie, le nombre de touristes a quintuplé passant de 6,7 millions en 2009 à 32 millions en 2019.
    La chasse aux touristes étrangers lancée par le gouvernement nippon entraîne par ailleurs une dépendance accrue vis-à-vis de la Chine. En 2019, un tiers des visiteurs arrivant au Japon étaient chinois (la moitié, si on inclut Taïwan et Hongkong) et comptaient pour 34 % dans les revenus du secteur. Dans le climat de tension internationale actuelle, le poids de la Chine dans l’industrie touristique japonaise constitue un levier de pression de Pékin sur Tokyo.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#pandemie#tourisme#economie#frontiere#circulation#etranger#chine

  • A l’aube de l’été, la grande désertion des saisonniers du tourisme en Europe
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/06/09/a-l-aube-de-l-ete-la-grande-desertion-des-saisonniers-du-tourisme-en-europe_

    A l’aube de l’été, la grande désertion des saisonniers du tourisme en Europe
    Italie, Grèce, France, Espagne : toutes les destinations touristiques sont confrontées à la même disparition des serveurs, cuisiniers ou employés de ménage, rebutés par les bas salaires et un mode de vie déséquilibré. Les employeurs cherchent la parade.Cet été, vous allez attendre. Attendre votre crêpe. Attendre à l’aéroport. Attendre à l’hôtel. Car les bras ne seront pas assez nombreux pour vous servir, peu importe l’endroit où vous comptez partir : de Colmar à Héraklion, des Pouilles à Perros-Guirec, de Saint-Tropez à Séville et jusqu’en Amérique du Nord, le monde touristique occidental est concerné par la pénurie d’employés du tourisme, en particulier pour les contrats précaires de saisonniers et leurs tâches éreintantes. Ce qui fut absorbable lors des deux derniers étés, en raison de la baisse du nombre de touristes étrangers, devrait l’être plus difficilement cette année : tout indique que les Européens du Nord vont reprendre leur grande migration vers le soleil.Que trouveront-ils sur les plages du bord de l’Adriatique, où, en Emilie-Romagne, 83 % des professionnels ne trouvent pas de personnel ? Et sur les côtes espagnoles, où manquent 50 000 employés saisonniers ? Aux mêmes causes – connues de longue date –, les mêmes effets, quels que soient l’état du marché du travail ou son mode de régulation : les professionnels de l’hôtellerie-restauration font le constat du déficit d’attractivité de leur secteur, du manque de personnel qualifié et de la difficulté à les loger.Les trous dans les plannings se traduiront par des fermetures ponctuelles, une demande de polyvalence accrue pour les salariés ou une désorganisation pouvant nuire à la qualité de service, comme c’est déjà le cas dans les aéroports de Paris, de Londres ou d’Amsterdam. Ce dernier cas est symptomatique d’un secteur qui a préféré se séparer d’une partie de sa main-d’œuvre durant la pandémie de Covid-19, malgré les aides mises en place par les gouvernements. Peu d’employeurs s’attendaient à un rebond aussi rapide de l’activité et certains ont, faute de visibilité, préféré faire avec les moyens du bord à l’été 2020, sans réembaucher leurs saisonniers habituels. Le secteur des loisirs a été le dernier à recruter après la crise, dans un contexte général de manque de main-d’œuvre.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#economie#tourisme#maindoeuvre#saisonnier

  • A l’aube de l’été, la grande désertion des saisonniers du tourisme en Europe
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/06/09/a-l-aube-de-l-ete-la-grande-desertion-des-saisonniers-du-tourisme-en-europe_

    A l’aube de l’été, la grande désertion des saisonniers du tourisme en Europe
    Italie, Grèce, France, Espagne : toutes les destinations touristiques sont confrontées à la même disparition des serveurs, cuisiniers ou employés de ménage, rebutés par les bas salaires et un mode de vie déséquilibré. Les employeurs cherchent la parade.Cet été, vous allez attendre. Attendre votre crêpe. Attendre à l’aéroport. Attendre à l’hôtel. Car les bras ne seront pas assez nombreux pour vous servir, peu importe l’endroit où vous comptez partir : de Colmar à Héraklion, des Pouilles à Perros-Guirec, de Saint-Tropez à Séville et jusqu’en Amérique du Nord, le monde touristique occidental est concerné par la pénurie d’employés du tourisme, en particulier pour les contrats précaires de saisonniers et leurs tâches éreintantes. Ce qui fut absorbable lors des deux derniers étés, en raison de la baisse du nombre de touristes étrangers, devrait l’être plus difficilement cette année : tout indique que les Européens du Nord vont reprendre leur grande migration vers le soleil.Que trouveront-ils sur les plages du bord de l’Adriatique, où, en Emilie-Romagne, 83 % des professionnels ne trouvent pas de personnel ? Et sur les côtes espagnoles, où manquent 50 000 employés saisonniers ? Aux mêmes causes – connues de longue date –, les mêmes effets, quels que soient l’état du marché du travail ou son mode de régulation : les professionnels de l’hôtellerie-restauration font le constat du déficit d’attractivité de leur secteur, du manque de personnel qualifié et de la difficulté à les loger.Les trous dans les plannings se traduiront par des fermetures ponctuelles, une demande de polyvalence accrue pour les salariés ou une désorganisation pouvant nuire à la qualité de service, comme c’est déjà le cas dans les aéroports de Paris, de Londres ou d’Amsterdam. Ce dernier cas est symptomatique d’un secteur qui a préféré se séparer d’une partie de sa main-d’œuvre durant la pandémie de Covid-19, malgré les aides mises en place par les gouvernements. Peu d’employeurs s’attendaient à un rebond aussi rapide de l’activité et certains ont, faute de visibilité, préféré faire avec les moyens du bord à l’été 2020, sans réembaucher leurs saisonniers habituels. Le secteur des loisirs a été le dernier à recruter après la crise, dans un contexte général de manque de main-d’œuvre.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#economie#tourisme#maindoeuvre#saisonnier

  • La Drôme ne peut pas accueillir tous les riches du monde !
    https://ricochets.cc/La-Drome-ne-peut-pas-accueillir-tous-les-riches-du-monde_maisons-secondair

    Deux articles édifiants et documentés sur les Alpes envahis par le béton, la gentrification, les maisons secondaires... Une épuration sociale légale qui sélectionne par la fortune qui peut habiter. En #Drôme et d’autres régions, même phénomène délétère, anti-social et anti-écologique (voir plus bas). 1. Les Alpes ne peuvent pas accueillir toute la richesse du monde ! - Les Alpes ne peuvent accueillir toute la richesse de France, ni tous les projets destructeurs…. Depuis des années, les Alpes, attirent de (...) #Les_Articles

    / Drôme, Tourisme, sports & loisirs, #Le_monde_de_L'Economie, La propriété, #Logement

    #Tourisme,sports&_loisirs #La_propriété
    https://blogs.mediapart.fr/jean-ganzhorn/blog/140222/les-alpes-ne-peuvent-pas-accueillir-toute-la-richesse-du-monde
    https://blogs.mediapart.fr/jean-ganzhorn/blog/190122/dans-les-alpes-epuration-sociale-en-cours-coup-de-maisons-secondaire

  • Japan eases borders for tourists but worries about foreign ‘bad manners’ triggering coronavirus | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179728/japan-eases-borders-tourists-worries-about-foreign-bad-manners

    Japan eases borders for tourists but worries about foreign ‘bad manners’ triggering coronavirus. Relaxing strict Covid measures took months of pressure from travel trade because government feared public backlash if infections spiked. There are concerns visitors who don’t wear masks or use hand sanitiser could spread infections again; against backdrop of economic woes
    Published: 6:03pm, 30 May, 2022
    Japan’s easing of a two-year ban on foreign tourists seeks to balance the enormous economic importance of tourism with concerns that travellers would trigger a Covid outbreak, insiders say.The decision means Japan will allow in a limited number of foreign tourists on package tours starting June 10. Last week a few “test tours”, mainly of overseas travel agents, started to arrive

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#tourisme#economie#etranger#politiquesanitaire

  • Coronavirus: Japan test tour by 4 Thai people cancelled after Covid infection | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179862/coronavirus-japan-test-tour-4-thai-people-cancelled-after-covid

    Coronavirus: Japan test tour by 4 Thai people cancelled after Covid infection. The traveller was in Oita when his or her infection was confirmed on Monday; three other close contacts have all tested negative and are isolating in a hotel. The small-scale test tour was part of the government’s programme for when Japan continues easing Covid-19 border controls and accepts foreign tourists in Jun
    Published: 5:05pm, 31 May, 2022
    A test tour for inbound travellers in Japan has been cancelled after one of four Thais taking part tested positive for the coronavirus, Japan’s tourism agency has said.The traveller was in the southwestern prefecture of Oita when his or her infection was confirmed on Monday. The three other participants were deemed close contacts but have all tested negative. They are currently isolating in a hotel, the agency said. The route of the infection is unknown

    #Covid-19#migrant#migration#japon#thailande#sante#circulation#frontiere#tourisme#depistage#cascontact#etranger

  • Le sport, c’est comme le capitalisme, une compétition mortifère
    https://ricochets.cc/Le-sport-c-est-comme-le-capitalisme-une-competition-mortifere.html

    Le sport est toujours une des vaches sacrées indéboulonables de la civilisation, qu’il est mal vu de critiquer dans ses principes mêmes. Dans le sport moderne comme dans le capitalisme, les corps deviennent des machines à compétition ou à profit, des mécaniques à gagner, les personnes n’existent pas : Le sport n’est pas ce que je croyais - Valentin Sansonetti a dédié une partie de sa jeunesse au tennis de haut niveau. Puis, il en a entrepris la critique méthodique, en proposant un autre horizon, (...) #Les_Articles

    / #Le_monde_de_L'Economie, Tourisme, sports & loisirs

    #Tourisme,sports&_loisirs
    https://www.frustrationmagazine.fr/sport

  • Japan to reopen to foreign tourists after two-year pandemic closure | Japan | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2022/may/27/japan-to-reopen-to-foreign-tourists-after-two-year-pandemic-closure
    https://i.guim.co.uk/img/media/888cb8f738988e79f918af974dab020b5fa2069d/506_78_5248_3149/master/5248.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Japan to reopen to foreign tourists after two-year pandemic closure
    Government to allow in tourists from 98 countries and regions next month – but only as part of tour groups
    Agence France-Presse
    Fri 27 May 2022 04.20 BST
    Japan has announced it will end a two-year pandemic closure and reopen to tourists from 98 countries and regions next month, but travellers will only be allowed in as part of tour groups.The decision comes after the government last week said it would test allowing small group tours with visitors from the US, Australia, Thailand and Singapore from this month.
    On Thursday, the government revised border controls to resume accepting package tours from the 98 countries and regions – including Britain, the US, France, Spain, Canada and Malaysia – starting on 10 June.Japan will also expand the number of airports that accept international flights to seven, adding Naha in its southern Okinawa prefecture and New Chitose near Sapporo in northern Hokkaido.
    Japanese tourists at the entrance to Kiyomizu-dera temple in Kyoto
    Covid robbed Kyoto of foreign tourists – now it is not sure it wants them back. For most of the pandemic Japan has barred all tourists and allowed only citizens and foreign residents entry, though even the latter have periodically been shut out.All arrivals have to test negative to Covid before travel to Japan and many must be tested again on arrival, though triple-vaccinated people coming from certain countries can skip the additional test as well as a three-day quarantine required for others.Tour groups are expected to take responsibility for ensuring visitors respect Japan’s near-universal mask-wearing and other measures that have helped keep the toll from Covid comparatively low.Just how many people will be able to take advantage of the careful reopening is unclear as Japan is planning to double a daily entry cap, but only to 20,000.The prime minister, Fumio Kishida, has said he wants to ease border control measures, but moves are expected to proceed slowly, with strong public support for the current restrictions.Japan welcomed a record 31.9 million foreign visitors in 2019 and had been on track to achieve its goal of 40 million in 2020 before the pandemic hit.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#pandemie#tourisme#frontiere#economie#circulation

  • Japan to start reopening to foreign tourists from June 10; package tours to two airports | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3179324/japan-start-reopening-foreign-tourists-june-10-package-tours

    Japan to start reopening to foreign tourists from June 10; package tours to two airportsWill begin with the admission of tourists on guided package tours, allowing international flights to New Chitose airport in Hokkaido and Naha airport in Okinaw Already announced it will double its cap on arrivals from overseas to 20,000 a day starting next month, though it remains far below pre-pandemic levels
    Published: 8:34pm, 26 May, 2022
    Japan is set to allow in some package-tour tourists from overseas starting June 10, Prime Minister Fumio Kishida said Thursday, ending a ban that was introduced about two years ago as part of the country’s virus control programme.“Active exchanges between people are the foundation of the economy and society,” Kishida said in a speech at the Future of Asia conference in Tokyo. “From the 10th of next month we will restart the admission of tourists on guided package tours.”He added that preparations would begin to allow international flights to land at New Chitose airport in Hokkaido and Naha airport in Okinawa starting in June.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#tourisme#frontiere#circulation

  • Coronavirus: Japan to ease Covid border controls in June allowing for more overseas arrivals | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/east-asia/article/3178568/coronavirus-japan-ease-covid-border-controls-june-allowing-more

    Coronavirus: Japan to ease Covid border controls in June allowing for more overseas arrivals. Those arriving from about 80 per cent of countries and regions will no longer be required to take virus tests on arrival or undergo quarantine Japan effectively closed its doors to non-resident foreign nationals to prevent a surge in infections driven by the highly transmissible Omicron variant
    Japan will relax its Covid border restrictions from June 1, including by doubling its daily cap on the number of international arrivals allowed to 20,000, Chief Cabinet Secretary Hirokazu Matsuno said on Friday.
    The government will also ease Covid-19 testing and quarantine rules for people arriving in Japan, dividing countries and regions into three groups according to the infection situation.Travellers from the lowest-risk “blue” group will be exempt from testing upon arrival in Japan and quarantining at home, Chief Cabinet Secretary Hirokazu Matsuno told a press conference. They will still need to show a pre-departure negative test result.
    Travel sector ‘very happy’ as Japan reopens to tours from 4 countries
    17 May 2022Around 80 per cent of entrants are likely to be from countries and regions that fall into that group, Matsuno said, adding that the breakdowns will be announced next week.People arriving from countries and regions placed in the highest-risk “red” group will be asked to take Covid-19 tests when they enter Japan and stay for three days at quarantine facilities.Those in the remaining “yellow” group need to be tested for Covid-19 upon arrival and stay for three days at home or quarantine facilities, according to the government. But this does not apply to people who have received their third vaccine dose.“We believe [the review] will make the entry of visitors smooth,” he said.
    Ski resorts in Japan bankrupted by Covid-19 ban on arrivals from overseas
    28 Feb 2022Matsuno did not specify when Japan will start accepting foreign tourists again, saying only that preparations are under way to do so.Prime Minister Fumio Kishida has said his government will further relax border controls to bring them in line with other Group of Seven nations in June.
    The review comes as Japan has seen the infection situation stabilise in recent weeks. The government changed its stance on masks, saying Friday that wearing them when outdoors is not always necessary, provided people are not conversing.The number of Covid-19 cases in Japan has been lower than in other G7 members such as Britain, Germany, France and the United States, according to a tally by Johns Hopkins University.Japan effectively closed its doors to non-resident foreign nationals to prevent a surge in infections driven by the highly transmissible Omicron variant of the coronavirus late last year. The measure drew criticism at home and abroad that it was too strict.In recent months, the government has gradually increased the number of people allowed to enter Japan in stages, with the current daily cap at 10,000.Japan has already said it would allow small groups of tourists on package tours to visit on a trial basis starting this month.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#frontiere#tourisme#fermeture#residentetranger#omicron#etranger

  • Covid-19 : des milliers d’habitants de Pékin placés de force en quarantaine
    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/05/21/covid-19-des-milliers-d-habitants-de-pekin-places-de-force-en-quarantaine_61

    Covid-19 : des milliers d’habitants de Pékin placés de force en quarantaine
    La capitale est confrontée à sa plus forte flambée de contaminations depuis le début de la pandémie. Le variant Omicron a infecté plus de 1 300 personnes depuis la fin d’avril, entraînant la fermeture indéfinie des restaurants, des écoles et des sites touristiques. Sur les réseaux sociaux chinois, certains évoquent des scènes d’évacuation rappelant la guerre. Des milliers d’habitants de Pékin – 21 millions d’habitants – ont été envoyés de force en quarantaine dans la nuit de vendredi 20 à samedi 21 mai, après la découverte de 26 cas de Covid-19 dans leur résidence, selon des images et un avis officiel largement partagés sur les réseaux sociaux. Plus de 13 000 habitants du complexe résidentiel Nanxinyuan, dans le sud-est de la capitale, bien que testés négatifs au virus, ont été transportés dans la nuit vers des hôtels d’isolement et menacés de représailles s’ils résistaient.
    « Les experts ont décidé que tous les résidents de Nanxinyuan seront soumis à une quarantaine à partir de minuit le 21 mai pour sept jours », peut-on lire dans une annonce des autorités sanitaires du district de Chaoyang. « Veuillez coopérer, sinon vous subirez les conséquences légales », ont-elles ajouté. Des photos sur les sociaux montrent des centaines de personnes faisant la queue avec leurs bagages dans l’obscurité pour monter dans des autocars devant la résidence. « Certains d’entre nous ont été enfermés pendant vingt-huit jours depuis le 23 avril, et nous avons tous été testés négatifs depuis », s’est plaint un résident sur Weibo. « Beaucoup de mes voisins sont âgés ou ont de jeunes enfants. » Les habitants ont été priés d’emballer leurs vêtements et leurs biens essentiels, et informés que leurs logements allaient être désinfectés, selon des discussions sur Weibo.
    Pékin est confrontée à sa plus forte flambée de contaminations depuis le début de la pandémie. Le variant Omicron a infecté plus de 1 300 personnes depuis la fin d’avril, entraînant la fermeture indéfinie des restaurants, des écoles et des sites touristiques. La Chine mène une politique draconienne de « zéro Covid » : fermeture des frontières, tests massifs, confinements de villes entières et quarantaines forcées pour les cas contact. Le mois dernier, des milliers de résidents de Shanghaï avaient été envoyés dans des centres de quarantaine improvisés à des centaines de kilomètres de là, alors que la métropole de 25 millions d’habitants combattait une flambée épidémique. Sur Weibo, des internautes exprimaient samedi leur inquiétude de voir Pékin adopter une approche similaire à celle de Shanghaï, où les habitants subissent un confinement parfois chaotique, qui a privé de nombreuses personnes d’un accès adéquat à la nourriture et aux soins.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#pekin#sante#zerocovid#isolement#quarantaine#cascontact#resident#frontiere#deplacementforce#tourisme

  • Les élus majoritaires du département Drôme fêtent la nature ...tout en multipliant les projets ravageurs du vivant
    https://ricochets.cc/Les-elus-du-departement-Drome-fetent-la-nature-tout-en-multipliant-les-pro

    Alors que la fête de la nature 2022 est annoncée en grande pompe sur le site web du département de la #Drôme présidé par Marie-Pierre MOUTON, on voit par ailleurs que les projets écocidaires, anti-écologiques et archaïques continuent de plus belle en Drôme comme ailleurs, comme par exemple les « aménagements » routiers. Le département de la Drôme veut même en imposer de nouveaux, comme les « sublimes routes du Vercors », concoctées en secret par une clique d’élus persistant à se croire au dessus de tout du (...) #Les_Articles

    / Drôme, Tourisme, sports & loisirs, #Le_monde_de_L'Economie

    #Tourisme,sports&_loisirs
    https://www.ladrome.fr/actualites/fetedelanature
    https://www.ladrome.fr/actualites/carrefour-des-couleures-les-travaux-continuent

  • Amid Covid-19 lockdowns, Chinese tourism turns inward, giving rise to camping and suburb tours; or nothing at all | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/people-culture/article/3176852/amid-covid-19-lockdowns-chinese-tourism-turns-inward-giving

    Amid Covid-19 lockdowns, Chinese tourism turns inward, giving rise to camping and suburb tours; Statistics show that Chinese people are still travelling, but they are mostly staying within their city or province And in doing so, spending has fallen off a cliff, with travellers only spending 45 per cent of pre-pandemic levels
    Local tourism made up 40 per cent of all business during the recent Labour Day holiday, marking a “considerable increase” from the same period in both 2021 and 2020, leading online travel agency Ctrip said in a report earlier this week.Depending on regional definitions, local tourism is defined as travel within a city or province.One activity that has grown dramatically in popularity is camping, which has become something of a lifestyle trend for Chinese urbanites. Ctrip searches for the term “camping” surged by 90 per cent on the first day of the holiday, the company said.The spectre of Covid-19 hovers over the changing dynamics, as the potential consequence of getting locked out of China, or their home city, has made international tourism for most Chinese people almost impossible.Lvmama, another e-tourism website, said orders for camping products on its platform grew by 70 per cent compared with the same period last year.Ann Xu, an outdoor enthusiast in Hangzhou, Zhejiang province in eastern China, said: “It seems half of the people in my WeChat contact list went camping this past weekend.”“A few years ago, only outdoor enthusiasts would go camping, but now it has become a leisure and social activity for everybody. I think travel restrictions have catalysed this change,” she said.In Shanghai, which has endured a high-profile lockdown for over a month, some residents have taken camping to an extreme, deciding to take a “holiday” within their complex. Amid the lockdown, many people in Shanghai are only allowed freedom of movement within their building, but they cannot leave the complex.“Spring is so beautiful. We must make full use of it even if we cannot exit our community gate,” said Lily Yang, a woman in Shanghai who had just camped on the ground floor of her building.According to the Ctrip report, other popular options included sightseeing in the suburbs and visiting museums and art exhibits as residents simply cannot travel beyond their city limits.However, despite surges in out-of-the-box trips, the reality is that most people are staying at home.Nationwide, the number of tourist trips over the five-day Labour Day holiday dropped by over 30 per cent from last year, standing at 160 million, according to Ministry of Culture and Tourism data.Tourism revenue dropped by about 43 per cent compared to 2021, standing at 64.68 billion yuan (US$9.7 billion), it showed.Compared to pre-pandemic numbers in 2019, the number of trips dropped by 18 per cent, but Chinese people only spent 44 per cent of what they did before the pandemic.The Ministry attributed the drop to Covid prevention and control policies, which are widely adopted across the country.Dozens of mainland cities have imposed total or partial lockdowns to combat the largest Covid outbreak China has experienced, driven by the Omicron variant.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#tourisme#deplacementinterne#sante#confinement#pandemie#omicron

  • Ethiopie : Lalibela, la « Jérusalem d’Afrique », pleure ses touristes disparus
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/04/ethiopie-lalibela-la-jerusalem-d-afrique-pleure-ses-touristes-disparus_61246

    Ethiopie : Lalibela, la « Jérusalem d’Afrique », pleure ses touristes disparus
    Célèbre pour ses églises taillées dans le roc, la ville sainte a doublement souffert de la pandémie de Covid-19 et de l’occupation des rebelles tigréens.Par Noé Hochet-Bodin(Lalibela, Ethiopie, envoyé spécial)
    Publié hier à 07h00, mis à jour hier à 07h00
    Les chambres du Panoramic Hotel restent désespérément vides. A la réception, la dizaine d’employés joue aux cartes, plongés dans l’obscurité à cause d’une panne d’électricité qui s’éternise. « En quatre mois, un peu moins d’une cinquantaine de personnes ont séjourné chez moi, et encore, je fais partie des chanceux », indique Tesfaye Getinet, le gérant de cet établissement de Lalibela, petite ville d’Ethiopie célèbre pour ses églises taillées dans le roc au XIIIe siècle. Autrefois, son hôtel accueillait presque vingt clients par jour. Autrefois, c’est-à-dire avant la pandémie de Covid-19 et l’éclatement de la guerre civile qui, ensemble, ont mis un brusque coup d’arrêt au tourisme dans cette bourgade de la région Amhara, dans le nord du pays. En conflit avec le gouvernement d’Abiy Ahmed, les rebelles tigréens du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) ont contrôlé la zone d’août à décembre 2021.Dans cette cité sainte de l’orthodoxie éthiopienne, « au moins 80 % de la population dépend de l’argent du tourisme », estime Tesfaye Getinet. Aujourd’hui, les habitants vivent sur la corde raide. (...) Les deux cents guides que compte la ville avaient pour habitude de faire la chasse aux touristes autour de la place pavée qui mène aux églises rupestres. Ils ne sont aujourd’hui que deux sur le parvis, en train de tuer le temps. (...) Assis à côté, le père Assefa, l’un des 1 200 prêtres de Lalibela, végète lui aussi, enroulé dans son gabi traditionnel. Habituellement chargé de la vente des tickets pour visiter les églises, Assefa estime à une centaine le nombre de touristes étrangers depuis le début d’année : « Environ un par jour. » Un chiffre impossible à vérifier car les statistiques officielles des deux dernières années n’existent plus. Les archives de la mairie ont été détruites par les insurgés tigréens. En 2019 cependant, 75 053 visiteurs s’étaient rendus sur ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.
    Autrefois jalousés, les guides de Lalibela songent désormais à quitter la profession. Certains partent vers la capitale Addis-Abeba pour tenter leur chance, d’autres deviennent chauffeurs de tuk-tuk. (...) Pourtant, l’horizon se dégage un peu. Quelques touristes locaux se sont déplacés à Lalibela pour l’Epiphanie et la Pâques éthiopienne en janvier puis en avril. Dans sa carte de conseils aux voyageurs, le ministère français des affaires étrangères a récemment retiré la ville de la zone rouge fortement déconseillée. Si Lalibela espère un retour au calme, les autorités se préparent néanmoins à toutes les éventualités. Près de mille jeunes de la ville viennent d’achever un entraînement militaire prodigué pendant trois mois par les milices nationalistes amhara Fano et se sont vus distribuer des armes, dans l’hypothèse où les insurgés investiraient à nouveau la ville sainte.

    Covid-19#migrant#migration#ethiopie#lalibela#sante#pandemie#economie#tourisme#guerre

  • Coronavirus: New Zealand reopens, welcomes back tourists – but not from India or China | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3176243/coronavirus-new-zealand-reopens-welcomes-back-tourists-not

    Coronavirus: New Zealand reopens, welcomes back tourists – but not from India or China. New Zealand reopened on Monday to about 60 visa-waiver countries, including Singapore, Malaysia and Japan. Tourists from elsewhere are still barred from entry More than 90,000 people booked flights to New Zealand in the seven weeks since the reopening was announced, Prime Minister Jacinda Ardern said
    Published: 3:15pm, 2 May, 2022
    New Zealand welcomed tourists from the US, Canada, Britain, Japan and more than 50 other countries for the first time in more than two years on Monday after dropping most of its remaining pandemic border restrictions.
    The country has long been renowned for its breathtaking scenery and adventure tourism offerings such as bungee jumping and skiing. Before the spread of Covid-19, more than 3 million tourists visited each year, accounting for 20 per cent of New Zealand’s foreign income and more than 5 per cent of the overall economy.But international tourism stopped altogether in early 2020 after New Zealand imposed some of the world’s toughest border restrictions.A sunny day on the shore of Lake Wanaka in the South Island. International tourism to New Zealand stopped altogether in early 2020 amid the pandemic. Photo: Dreamstime/TNS
    The border rules remained in place as the government at first pursued an elimination strategy and then tried to tightly control the spread of the virus. The spread of Omicron and vaccinations of more than 80 per cent of New Zealand’s 5 million population prompted the gradual easing of restrictions.
    New Zealand reopened to tourists from Australia three weeks ago and on Monday to about 60 visa-waiver countries, including Singapore, Malaysia and much of Europe. Most tourists from India, China and other non-waiver countries are still not allowed to enter.
    Tourists will need to be vaccinated and to test themselves for the virus before and after arriving.“Today is a day to celebrate, and is a big moment in our reconnection with the world,” said Tourism Minister Stuart Nash.
    At Auckland Airport, flights bringing in tourists began landing from early in the morning, coming in direct from places including Los Angeles, San Francisco, Kuala Lumpur, and Singapore.The border reopening will help boost tourism ahead of New Zealand’s upcoming ski season. But the real test of how much the tourism industry rebounds will come in December, when the peak summer season begins in the Southern Hemisphere nation.
    Prime Minister Jacinda Ardern said more than 90,000 people had booked flights to New Zealand in the seven weeks since the reopening was announced and 21 international flights were scheduled to land Monday in Auckland.“Our tourism industry have felt the effects of the global pandemic acutely, and are working hard to prepare,” she said.Ardern said there were no immediate plans to ease virus testing and vaccination requirements for tourists

    #Covid-19#migrant#migration#nouvellezelande#sante#frontiere#economie#tourisme#vaccination#pandemie

  • Songs, tears and reunions: New Zealand welcomes back visitors as border reopens after two years | New Zealand | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2022/may/02/songs-tears-and-reunions-new-zealand-welcomes-back-tourists-as-border-r
    https://i.guim.co.uk/img/media/9afee430ab09d0e72c4d2519ce6367e877a10d1a/116_58_4741_2845/master/4741.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Songs, tears and reunions: New Zealand welcomes back visitors as border reopens after two years
    Vaccinated people from about 60 visa-waiver countries now able to enter as part of pandemic reopening plan
    Eva Corlett in Wellington
    @evacorlett
    Mon 2 May 2022 01.46 BST
    Last modified on Mon 2 May 2022 04.09 BST
    Māori songs, tearful embraces and a beloved New Zealand chocolate bar awaited international visitors arriving in New Zealand on Monday – the first foreign guests, other than Australians, to set foot in Aotearoa in more than two years.Since March 2020, the arrival terminals at New Zealand’s international airports have been desolate as the country swiftly closed the border to prevent the arrival of Covid-19.On Monday morning, the border reopened to vaccinated visitors from about 60 visa-waiver countries as part of the government’s phased reopening plan.The first travellers and returning New Zealanders touched down just after 6am at Auckland international airport from Los Angeles, with another flight from San Francisco arriving shortly after.
    (...) Vaccinated international visitors can enter New Zealand if they have had a negative pre-departure Covid test. On arrival, they must self-test for coronavirus, and unless it comes back positive there is no requirement quarantine or self-isolate. All other international visitors will be allowed to enter New Zealand from October, unless the government decides it is safe to do so earlier.
    The tourism minister, Stuart Nash, who greeted arrivals at the gate with a Whittaker’s Peanut Slab chocolate bar, told 1News the reunions “almost bring a tear to the eye”.“People haven’t seen each other for a long, long time – family and friends,” he said. “We have also, of course, got international business people [who] are able to reconnect and they are coming back.”Nash said that while the country is not yet quite back to normal, the reopening was another step towards it.“This has been a long time [coming] – this sends a signal we are now open for business … it is fantastic to see,” Nash said.“Today marks a milestone for visitors from our key northern hemisphere markets in the USA, UK, Germany, South Korea, Japan, Singapore, Malaysia, Canada and others, who can now jump on a plane to come here.”More than 30,000 people are arriving into the country each week – an increase on numbers throughout the pandemic, but well below pre-Covid levels, which were close to 25,000 people each day.
    Nash said international flight searches to New Zealand were running 19% higher than in pre-Covid times.Auckland airport’s chief executive Carrie Hurihanganui said 9,000 passengers would be arriving and departing on 43 international flights on Monday – three times the number in March. The airport has boosted its staff by 40 people, and will continue to do so in the coming months, she said.Hurihanganui said the reunions were giving her “goosebump moments”.“It’s been a pleasure to be here today, and the fact we can play a role in welcoming people back to Aotearoa is fantastic,” she told 1News outside the arrivals gate.

    #Covid-19#migrant#migration#nouvellezelande#frontiere#sante#ouverture#pandemie#vaccination#tourisme

  • Les Calanques, c’est fini
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?article1671

    Nous avons reçu du Platane une enquête sur la clôture électronique des Calanques. Le Platane, c’est le nom qu’ils se sont donné parce que c’est là qu’ils se réunissent, à Marseille. On peut résumer l’affaire en trois mots : on ne pourra plus, désormais, aller se promener à sa guise dans les calanques, il faudra au préalable obtenir un QR code de l’administration du Parc. On peut aussi la détailler : la technocratie dirigeante organise « l’attractivité du territoire », le TGV arrive à Marseille, 100 millions de touristes visitent la France chaque année, et pourquoi voudriez-vous qu’une partie d’entre eux ne transforme pas les calanques en dépôt d’ordures, ravagé de temps à autre par un incendie. Ayant organisé la catastrophe, il ne reste plus qu’à organiser le Parc pour en gérer les nuisances. D’où le (...)

    #Faits_divers
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/l_e_cologie_des_gestionnaires_-_une_impasse_-_le_cas_des_calanq

  • Le Sri Lanka placé en état d’urgence
    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/03/le-sri-lanka-place-en-etat-d-urgence_6120365_3210.html

    Le Sri Lanka placé en état d’urgence
    La situation est insurrectionnelle sur l’île, traversée par une crise économique inédite. La population, qui vit depuis des mois au rythme des pénuries de biens essentiels et des coupures de courant, réclame le départ du président.
    Par Sophie Landrin(New Delhi, correspondante)
    Publié hier à 11h35, mis à jour à 08h16

    Temps de Lecture 3 min.

    Sélections

    Partage
    Le Sri Lanka s’enfonce dans la crise. Après de violentes manifestations dans tout le pays pour réclamer le départ du président Gotabaya Rajapaksa et de son frère Mahinda, qui occupe le poste de premier ministre, le gouvernement a décrété l’état d’urgence vendredi 1er avril. L’armée dispose désormais de pouvoirs étendus pour assurer l’ordre public et peut arrêter et détenir des personnes sans mandat. Un couvre-feu de trente-six heures a également été imposé jusqu’à lundi, pour tenter de prévenir de nouvelles manifestations. La population a interdiction de sortir, de se trouver sur une voie publique, dans un parc, dans un train ou sur le bord de mer, à moins d’avoir une autorisation écrite des autorités. Dimanche, le ministère de la défense a ordonné la suspension de tous les réseaux sociaux.
    Ces mesures autoritaires ont été prises après que des centaines de personnes ont tenté de s’introduire dans le domicile du président à Colombo, la capitale, dans la nuit de jeudi à vendredi aux cris de « Va-t’en, Gota ». et que d’autres bloquaient la circulation dans plusieurs villes, mettant le feu à des bus militaires et des véhicules de police. Le président a tenté de réduire ces protestations à « des forces extrémistes appelant à un printemps arabe ».
    La colère des Sri-Lankais est bien plus profonde, nourrie par la crise économique très grave que traverse le pays depuis deux ans. La baisse de la fréquentation touristique due à l’épidémie Covid-19, à la diminution des transferts de revenus de la diaspora durant la crise sanitaire et aux décisions prises complètement à contre-temps par le gouvernement comme la baisse de la TVA et la suppression de plusieurs taxes ont asséché les caisses d’un Etat qui croule sous une dette de 51 milliards de dollars.
    Le Sri Lanka ne dispose plus de réserves de change et de dollars pour importer les biens nécessaires au fonctionnement de l’île. Le pays manque de tout et vit au rythme des pénuries et des coupures d’électricité depuis le mois de février. Il n’y a plus d’essence, plus de gaz, plus de médicaments, les étagères des magasins alimentaires sont vides et l’inflation bat chaque mois des records (18,7 % en mars). Il ne reste quasiment plus une goutte de carburant dans les stations-service et le transport des biens et des personnes à travers le pays est gravement perturbé.
    (...) Le gouvernement a été incapable de faire face à la crise de la dette et s’est refusé de demander l’aide du FMI. Il est également pointé du doigt par les Nations unies sur le plan du respect des droits de l’homme et des minorités. Alors que les touristes, revenus depuis peu, commencent à fuir, les coupures d’électricité devraient s’atténuer dans les jours prochains, du moins temporairement. L’Inde a envoyé 40 000 tonnes métriques de diesel, samedi 2 avril. C’est la quatrième fois que le voisin expédie du carburant, dans le cadre d’une ligne de crédit de 500 millions de dollars ouvert par New Delhi pour acheter des biens essentiels et du pétrole en provenance du sous-continent.

    #Covid-19#migrant#migration#srilanka#sante#crise#diaspora#tourisme#pandemie#transfert