• La Malédiction du #pétrole

    Le pétrole est devenu indispensable à l’économie mondiale, c’est sa plus grande richesse, mais aussi sa plus grande malédiction. Retraçant l’histoire de ce paradoxe les auteurs se penchent avec acuité sur le sujet.
    Depuis près d’un siècle et demi, l’or noir a été le moteur de la croissance et la source des plus grands malheurs. Combien de temps cet état va-t-il durer alors que même la catastrophe écologique du réchauffement climatique ne semble pas peser dans la décision de s’en passer ? Mais à quand remonte cette course à l’abîme ? C’est ce que les auteurs entreprennent de raconter.

    https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-la-malediction-du-petrole/album-malediction-du-petrole

    #BD #bande_dessinée #livre

    #Caucase #Russie #Frères_Nobel #raffinerie #Branobel #Bakou #pipeline #steam-tanker #marée_noire #Rotschild #puits_de_pétrole #mer_Noire #Batoumi #Bnito #puits_de_Bibi-Heybat #histoire #compagnie_pétrolière #Mer_Caspienne #industrie_pétrolière #Pennsylvanie #Edwin_Drake #potion_Drake #Oil_Creek #Pithole #Devil_Bill #John_Davison_Rockfeller #Rockfeller #Standard_Oil_Company #7_soeurs #John_Rockfeller #Cleveland #raffinage #Massacre_de_Cleveland #Sumatra #Staline #Koba #grèves #Royal_Dutch_Shell #industrie_automobile #OPEP #moteur_à_explosion #Jamais_contente #Henry_Ford #Ford #Ford_Motor_Company #moteur_électrique #General_Motors #Ford_T #Detroit #USA #Etats-Unis #Indonésie #colonialisme #essence #énergie #progrès #Esso #Stocony #Socal #Gulf_oil #Texaco #Anglo-persian_oil #William_Knox_d'Arey #Perse #Plaine_du_Naphte #guerre #comité_des_vaisseaux_terrestres #tank #Irak #Compagnie_française_des_pétroles (#CFP) #Total #accords_Sykes-Picot #Moyen-Orient #simple_ligne_de_sable #désert_arabique #Rub_al-khali #Standard_oil_of_California #Ras_Tanura #Harry_St_John_Bridger_Philby #Sheikh_Abdullah #Quart_vide #Kim_Philby #Philby #Arabie_Saoudite #Saoud #WWI #WWII #première_guerre_mondiale #seconde_guerre_mondiale #Canal_de_Suez #Red_Bell_Express #Pacte_de_Quincy #Algérie #Sahara_algérien #extractivisme #CIA #Saddam_Hussein #Arabian_American_oil_company (#ARAMCO) #Ghawar #combine_en_or #Venezuela #optimisation_fiscale #Iran #ENI #Libye #Italie #Pier_Paolo_Pasolini #Enrico_Mattei #guerre_du_Kippour #choc_pétrolier #Conférence_de_Bagdad (1960) #Juan_Pablo_Pérez_Alfonzo #Abdullah_al-Tariki #King_Hubbert #Trente_Glorieuses #premier_choc_pétrolier #Exxon_Mobile #BP-Amoco #pétrole_de_schiste #plateformes_offshore #groupe_Carlyle #Carlyle #schiste #fisc

    #pétrole #BD #malédiction

  • Quand « ton » agriculteur de « ton » #AMAP t’écrit en début de saison...

    Bonjour à tous,

    Avec ce magnifique temps d’automne, c’est la rentrée des classes pour nous aujourd’hui ! Après deux mois et demi de pause nous voilà de retour !

    On espère que vous avez la forme, et on a hâte de vous retrouver. On est heureux de voir que beaucoup d’entre vous ont renouveler leur contrat, c’est une vrai #reconnaissance pour nous ! Merci !

    Grâce à vous, quasiment la moitié de notre production est vendu d’avance. La vente en Amap représente environ 40% de notre chiffre d’affaire. Ainsi nous avons une #trésorerie saine et on est capable de se projeter sur une saison en terme d’#investissement. C’est aussi pour nous une #sécurité en terme de revenu, même si une année est moins bonne à cause de la météo, ou autre. Je me dégage 1300€ de revenu par mois et j’arrive à mettre 400€ / mois de coté pour ma #retraite (car les #retraites_agricoles sont vraiment petites). Grâce à vous on embauche un salarié un gros mi temps sur l’année pour nous aider à la ferme et on cotise pour la retraite de Marie qui est conjointe collaboratrice sur la ferme (Marie a un autre travail à 80% par ailleurs). Voilà vous savez presque tout.

    Depuis 2014, année de notre installation, le chemin parcouru fut long et semé d’embûche, mais nous avons cheminé main dans la main dans un #partenariat qui prend d’autant plus de sens d’année en année. Depuis toutes ces années, on se connaît maintenant presque tous et j’ai parfois le sentiment qu’on fait tous parti de la même famille, avec des #valeurs communes de #partage, d’#entraide, de #solidarité. Alors même si parfois au cœur de l’hiver, on a marre de manger des choux et des navets et que moi même j’ai des moments de doute ; je continue à croire que ce modèle a de l’avenir car il est garant d’une agriculture « saine », écologique et équitable.

    Reçu par email le 19.05.2021

    #agriculture #ça_fait_du_bien #salaire #France

  • #Mapping the #deforestation footprint of nations reveals growing threat to #tropical_forests | Nature Ecology & Evolution
    https://www.nature.com/articles/s41559-021-01417-z

    https://www.theguardian.com/environment/2021/mar/29/average-westerners-eating-habits-lead-to-loss-of-four-trees-every-year

    Average westerner’s eating habits lead to loss of four #trees every year
    Research links consumption of foods such as coffee and chocolate to global deforestation

    https://www.economist.com/graphic-detail/2021/03/29/how-rich-countries-cause-deforestation-in-poor-ones

    How rich countries cause deforestation in poor ones
    Such losses cannot be offset by planting more trees at home

  • Focalboard: Open source alternative to #Trello, Asana, and Notion
    https://www.focalboard.com

    Focalboard is an open source, self-hosted alternative to Trello, Notion, and Asana.

    It helps define, organize, track and manage work across individuals and teams. Focalboard comes in two editions:

    – Focalboard Personal Desktop: A stand-alone desktop app for your #todos and personal projects
    – Focalboard Personal Server: A self-hosted server for your team to collaborate

    #kanban

  • Opel Rekord C als Taxi-Langversion
    http://graf-vlad.de/inhalt/alte_kisten/typenspezifisches/rekord-c/vogt-taxi/_inhalt-01.html


    Werksfoto Opel, 30.03.1967 Der rückseitige Bildtext zu diesem Pressefoto:
    »Die „Taxi-Sonderausführung“ der viertürigen Opel Rekord Limousine ist durch den langen Radstand von 2 868 mm (normal 2 668 mm) gekennzeichnet. Trotz eingebauter Trennwand ist weder der Fahrgastraum, noch der Beinraum der Fahrgäste eingeschränkt — Diese Opel-Entwicklung für das Taxen-Gewerbe verbindet Sicherheit mit Gebrauchswert«

    Scheinbar haben Mitte der sechziger Jahre die Übergriffe auf Taxifahrer so dramatisch zugenommen, dass die Bundesregierung per Erlass eine Trennwand zwischen Fahrgast und Taxifahrer vorgeschrieben hatte. Um den Fahrgästen noch ausreichende Beinfreiheit im Fond zu bieten, hatte der Opel-Händler Vogt in Neuenahr neue und gebrauchte Taxen zu Langversionen umgebaut. Die Kosten des Umbaus beliefen sich auf ca 2.000 DM. Ausgehend von einem Fahrzeugbasispreis unter 8.000 DM und einem monatlichen Durchschnittsnettoeinkommen von unter 1.000 DM wird deutlich, wie teuer dieser Umbau war!

    Nach massiven Protesten des Taxi-Gewerbe wurde diese Trennscheibenverordnung dann übrigens 1970 wieder gekippt. Am 25.12.1971 trat eine neue Verordnung in Kraft, welche die Taxifarbe auf Hellelfenbein (RAL 1015) festlegte.

    Opel war offenbar der einzige Hersteller, der Fahrzeuge mit Trennscheiben angeboten hat. Insgesamt wurden drei verschiedene Varianten der Limousine angeboten:

    Viertürige Limousine mit verlängerte B-Säule (+ 200 mm, siehe Bild oben)
    Viertürige Limousine mit den Vordertüren der zweitürigen Limousine (+ 220 mm)
    Viertürige Limousine mit den Vordertüren der zweitürigen Limousine und verlängerter B-Säule (+ 232 mm)
    Es soll auch ein einzelnes Exemplar des Caravan als Langversion gebaut worden sein. So wie es scheint, war dies ein fünftüriger Caravan mit langen Vordertüren.

    Die gebauten Langversionen, die dann über das Händlernetz bezogen werden konnten, wurden nur eine relativ kurze Zeit gebaut. Diese Kooperation mit Opel bezüglich dem Bau von Sonderkarossen ist nicht vom Himmel gefallen, Vogt baute schon seit den frühen Fünfzigern Opel-Sonderkarosserien. In den späten Sechzigern wurde dieser Geschäftszweig deutlich ausgebaut. Neben eigenen Konstruktionen verlängerte Vogt auch Karosserien für die Firma Miesen in Bonn.

     
    Bekannte Daten
    Besonderheiten
    Verlängerter Radstand (200, 220 oder 232 mm)
    Gepanzerte Trennscheibe
    Geänderte Batteriehalterung
    Dreispeichenlenkrad
    Dreigang-Getriebe
    Graue Innenausstattung mit verstärkter Polsterauflage
    Servolenkung auf Wunsch

    Motor: 1,5 Ltr. mit 58 PS oder 1,7 Ltr. mit 67 PS
    Getriebe: Dreigang-Lenkradschaltung
    Produktionsdauer: 09/1967 – ...
    Stückzahl: Circa 240 (alle drei Versionen)
    Kaufpreis: 9.450 DM


    Quelle: Eckhart Bartels, Jahrbuch Opel 2001, Brilon 2001, S. 78, Hier ist die Taxi-Langversion mit den Vordertüren des Rekord-C-Zweitürers zu sehen. Diese Variante wurde um 220 mm verlängert.


    Diese Trennwand ist der Grund für den ganzen Aufwand: Passagiere sollten trotz der zeit-weilig vorgeschriebenen Trennwand ausreichende Beinfreiheit haben.

    #Taxi #Fahrzeug #Geschichte #Opel #Trennscheibe #Hellelfenbein #Taxifarbe

  • Salade de pommes de terre au #Trèfle
    https://www.cuisine-libre.org/salade-de-pommes-de-terre-au-trefle

    Cueillir une bonne quantité de feuilles de trèfle, jeunes et appétissantes. Les laver et laisser sécher avant de les hacher grossièrement. Couper le lard en morceaux et les cuire à la poêle jusqu’à ce qu’ils soient dorés et croustillants. Laisser refroidir. Peler et couper le céleri en petits cubes. Détailler de même les pommes de terre en cubes ou en billes. Émincer les champignons. Dans un saladier, fouetter l’huile et le vinaigre. Ajouter les autres ingrédients, saler, poivrer et mélanger.…

    #Pomme_de terre, Trèfle, #Salades_de patates #SaintPatrick / #Sans œuf, #Sans gluten

  • Villes et pays continuent d’être rebaptisés en Afrique afin d’effacer le lien colonial

    En #Afrique_du_Sud, #Port_Elizabeth s’appellera désormais #Gqeberha. Les changements de nom de lieux sont étroitement liés à la #décolonisation ou aux fluctuations de régime politique.

    L’Afrique n’est pas une exception. De tout temps, les changements de toponymie ont été des marqueurs de l’histoire, souvent pour la gloire des vainqueurs, avec la volonté de tourner la page d’un passé fréquemment honni. L’exemple de l’Afrique du Sud, qui vient d’entériner le remplacement du nom de la ville de Port Elizabeth, illustre la volonté d’effacer le passé colonial du pays. Celle-ci portait en effet le nom de l’épouse du gouverneur du Cap, Sir Rufane Donkin, « fondateur » de la ville en 1820, à l’arrivée de quelques 4 000 migrants britanniques.

    Les initiateurs de ce changement de toponymie le revendiquent. Rebaptiser la ville est une manière d’inscrire le peuple noir dans l’histoire du pays et de rendre leur dignité aux communautés noires. Port Elizabeth s’appelle désormais Gqeberha qui est le nom, en langue Xhosa, de la rivière qui traverse la ville, la #Baakens_River. Mais c’est aussi et surtout le nom d’un de ses plus vieux Townships.

    #Uitenhage devient #Kariega

    La ville voisine d’Uitenhage est elle aussi rebaptisée Kariega. Les tenants de ce changement ne voulaient plus de référence au fondateur de la ville, #Jacob_Glen_Cuyler. « Nous ne pouvons pas honorer cet homme qui a soumis notre peuple aux violations des droits de la personne les plus atroces », explique Christian Martin, l’un des porteurs du projet.

    https://www.youtube.com/watch?v=TJLmPSdNh-k&feature=emb_logo

    Jusqu’à présent, rebaptiser les villes en Afrique du Sud s’était fait de façon indirecte, notamment en donnant un nom à des métropoles urbaines qui en étaient jusqu’ici dépourvues. Ainsi, Port Elizabeth est-elle la ville centre de la Métropole de #Nelson_Mandela_Bay, qui rassemble plus d’un million d’habitants.

    Si Pretoria, la capitale de l’Afrique du Sud, a conservé son nom, la conurbation de près de trois millions d’habitants et treize municipalités créée en 2000 s’appelle #Tshwane. Quant à #Durban, elle appartient à la métropole d’#eThekwini.

    Un changement tardif

    Ces changements de nom se font tardivement en Afrique du Sud, contrairement au reste du continent, parce que quoiqu’indépendante depuis 1910, elle est restée contrôlée par les Blancs descendants des colonisateurs. Il faudra attendre la fin de l’apartheid en 1991 et l’élection de Nelson Mandela à la tête du pays en 1994 pour que la population indigène se réapproprie son territoire.

    Pour les mêmes raisons, la #Rhodésie_du_Sud ne deviendra le #Zimbabwe qu’en 1980, quinze ans après l’indépendance, lorsque le pouvoir blanc des anciens colons cédera la place à #Robert_Mugabe.
    Quant au #Swaziland, il ne deviendra #eSwatini qu’en 2018, lorsque son fantasque monarque, #Mswati_III, décidera d’effacer la relation coloniale renommant « le #pays_des_Swatis » dans sa propre langue.

    Quand la politique rebat les cartes

    Une période postcoloniale très agitée explique aussi les changements de nom à répétition de certains Etats.

    Ainsi, à l’indépendance en 1960, #Léopoldville capitale du Congo est devenue #Kinshasa, faisant disparaître ainsi le nom du roi belge à la politique coloniale particulièrement décriée. En 1965, le maréchal #Mobutu lance la politique de « #zaïrisation » du pays. En clair, il s’agit d’effacer toutes traces de la colonisation et de revenir à une authenticité africaine des #patronymes et toponymes.

    Un #Zaïre éphémère

    Le mouvement est surtout une vaste opération de nationalisation des richesses, détenues alors par des individus ou des compagnies étrangères. Le pays est alors renommé République du Zaïre, ce qui a au moins le mérite de le distinguer de la #République_du_Congo (#Brazzaville), même si le nom est portugais !

    Mais l’appellation Zaïre était elle-même trop attachée à la personnalité de Mobutu. Et quand le dictateur tombe en 1997, le nouveau maître Laurent-Désiré Kabila s’empresse de rebaptiser le pays en République démocratique du Congo. Là encore, il s’agit de signifier que les temps ont changé.

    Effacer de mauvais souvenirs

    Parfois le sort s’acharne, témoin la ville de #Chlef en #Algérie. Par deux fois, en 1954 puis en 1980, elle connaît un séisme destructeur. En 1954, elle s’appelle encore #Orléansville. Ce nom lui a été donné par le colonisateur français en 1845 à la gloire de son #roi_Louis-Philippe, chef de la maison d’Orléans.

    En 1980, l’indépendance de l’Algérie est passée par là, la ville a repris son nom historique d’#El_Asnam. Le 10 octobre 1980, elle est une nouvelle fois rayée de la carte ou presque par un terrible #tremblement_de_terre (70% de destruction). Suite à la catastrophe, la ville est reconstruite et rebaptisée une nouvelle fois. Elle devient Chlef, gommant ainsi les références à un passé dramatique...

    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/villes-et-pays-continuent-d-etre-rebaptises-en-afrique-afin-d-effacer-l

    #colonisation #colonialisme #noms_de_villes #toponymie #toponymie_politique #Afrique

  • « Free WiFi Berlin » : Standorte der WLAN-Hotspots in Berlin
    https://www.berlin.de/wlan/4445570-4236202-standorte-der-wlanhotspots-in-berlin.html

    Status am 21.1.2021 laut Berlin.de

    Alle Hotspots nach Bezirk

    #Charlottenburg-Wilmersdorf

    Amtsgericht Charlottenburg
    Amtsgerichtsplatz 1
    14057 Berlin
    Berliner Landeszentrale für politische Bildung
    Hardenbergstraße 22-24
    10623 Berlin
    Bröhan-Museum
    Schloßstraße 1A
    14059 Berlin
    C & A
    Wilmersdorfer Straße 124
    10627 Berlin
    Chic
    Bismarckstraße 10
    10825 Berlin
    Finanzamt Charlottenburg + Finanzschule
    Bismarckstraße 48
    10627 Berlin
    Finanzamt für Körperschaften I
    Bredtschneiderstraße 5
    14057 Berlin
    Finanzamt für Köperschaften III
    Volkmarstraße 13
    12099 Berlin
    Finanzamt Wilmersdorf
    Albrecht-Achilles-Straße 61-64
    10709 Berlin
    Fischereiamt
    Havelschaussee 149-151
    14055 Berlin
    Gartenarbeitsschule Ilse Demme
    Dillenburger Straße 57
    14199 Berlin
    Gesundheitsamt
    Hohenzollerndamm 174
    10713 Berlin
    Landgericht Berlin
    Tegeler Weg 17-20
    10589 Berlin
    McDonald’s Franchise-Nehmer
    Kantstraße 111
    10627 Berlin
    Musikschule City-West (Prinzregentenstraße)
    Prinzregentenstraße 72
    10715 Berlin
    Oberverwaltungsgericht Berlin-Brandenburg
    Hardenbergstraße 31
    10623 Berlin
    Stadtbad Wilmersdorf
    Mecklenburgische Straße 80
    10713 Berlin
    Stadtbad Wilmersdorf 2
    Fritz-Wildung-Straße 2
    14199 Berlin
    Standesamt Charlottenburg-Wilmersdorf
    Alt-Lietzow 28
    10587 Berlin
    UCW & Atelierhaus
    Sigmaringer Straße 1
    10713 Berlin
    Villa Oppenheim
    Schloßstraße 55
    14059 Berlin
    Wilmersdorfer Arcaden
    Wilmersdorfer Straße 46
    10627 Berlin
    Wohnhaus
    Am Volkspark 73
    10715 Berlin
    Wohnhaus
    Bundesplatz 12
    10715 Berlin
    Wohnhaus
    Hildegardstraße 9
    10715 Berlin
    Wohnhaus
    Koblenzerstraße 1
    10715 Berlin

    #Friedrichshain-Kreuzberg

    Alia Mädchenzentrum
    Wrangelstraße 84A
    10997 Berlin
    Amerika Gedenkbibliothek
    Blücherplatz 1
    10961 Berlin
    Amtsgericht Tempelhof-Kreuzberg
    Möckernstraße 128-130
    10963 Berlin
    AWO Begegnungszentrum
    Adalbertstraße 23A
    10997 Berlin
    Bayouma-Haus
    Frankfurter Allee 110
    10247 Berlin
    Begegnungsstätte Charlottenstraße
    Charlottenstraße 85
    10969 Berlin
    Begegnungsstätte Falckensteinstraße
    Falckensteinstraße 6
    10997 Berlin
    Begegnungsstätte Gitschiner Str. 38
    Gitschiner Straße 38
    10969 Berlin
    Berlinische Galerie
    Alte Jakobstraße 124-128
    10969 Berlin
    Bürgeramt Friedrichshain-Kreuzberg
    Schlesische Straße 27 A
    10997 Berlin
    Bezirksamt Friedrichshain-Kreuzberg
    Frankfurter Allee 35-37
    10247 Berlin
    Familien- und Nachbarschaftszentrum Wrangelkiez
    Cuvrystraße 13
    10997 Berlin
    Familienzentrum FamoX
    Scharnweberstraße 23
    10247 Berlin
    Familienzentrum Mehringdamm
    Mehringdamm 114
    10965 Berlin
    FHXB Friedrichshain-Kreuzberg Museum
    Adalbertstraße 95a
    10999 Berlin
    Finanzamt Friedrichshain Kreuzberg II Mehringdamm 110-112
    10965 Berlin
    Friedhof der Märzgefallenen
    Ernst-Zinna-Weg 1
    10249 Berlin
    Gesundheitsamt Friedrichshain-Kreuzberg
    Urbanstraße 24
    10967 Berlin
    Günter-König-Sportplatz
    Blücherstr. 46/47
    10961 Berlin
    HAU Hebbel am Ufer (HAU2)
    Hallesches Ufer 32-38
    10963 Berlin
    Haus des Sports Friedrichshain-Kreuzberg
    Böcklerstraße 1
    10969 Berlin
    Hebbel-Theater Berlin
    Stresemannstraße 29-31
    10963 Berlin
    Hellweg Sportplatz
    Yorkstraße 38
    10965 Berlin
    JFE Die Nische
    Rudolfstraße 15B
    10245 Berlin
    Jugendamt am Halleschen Ufer
    Frankfurter Allee 35-37
    10247 Berlin
    Jugendamt Friedrichshain-Kreuzberg (Adalbertstraße)
    Adalbertstraße 23b
    10997 Berlin
    Jugendamt Friedrichshain-Kreuzberg (Mehringdamm)
    Mehringdamm 114
    10965 Berlin
    Jugendclub Feuerwache
    Marchlewskistraße 6
    10243 Berlin
    Jugendclub Liebig 19
    Liebigstraße 19
    10247 Berlin
    Jugend Kunst- und Kulturhaus (S27)
    Schlesische Straße 27 B
    10997 Berlin
    Kiez-Café
    Petersburger Straße 92
    10247 Berlin
    Kunstquartier Bethanien
    Mariannenplatz 2
    10997 Berlin
    Kurt-Ritter-Sportplatz
    Gürtelstr. 20
    10247 Berlin
    LABO Kfz-Zulassungsstelle Friedrichshain-Kreuzberg
    Jüterboger Straße 3
    10965 Berlin
    Lasker-Sportplatz
    Persiusstr. 7 b
    10245 Berlin
    Lilli-Henoch-Sportplatz
    Askanischer Platz 7
    10963 Berlin
    Neues Wohnen im Kiez GmbH
    Kopernikusstraße 23
    10245 Berlin
    Ordnungsamt Friedrichshain-Kreuzberg
    Petersburger Straße 86-90
    10247 Berlin
    Park am Gleisdreieck
    Möckernstraße 26
    10963 Berlin
    Phantalisa Mädchentreff
    Kadiner Straße 9
    10243 Berlin
    Schwimmhalle Holzmarktstraße
    Holzmarktstraße 51
    10243 Berlin
    Science Center Spectrum des Deutschen Technikmuseums Berlin
    Möckernstraße 26
    10963 Berlin
    Senatskanzlei-Wissenschaft-Forschung
    Warschauer Straße 41
    10243 Berlin
    Senatsverwaltung für Integration, Arbeit und Soziales
    Oranienstraße 106
    10969 Berlin
    Sportplatz Körtestraße
    Körtestr. 13
    10967 Berlin
    Sportplatz Lobeckstraße + Lobeckhalle
    Lobeckstr. 62
    10969 Berlin
    Sportplatz Lohmühleninsel + Flatowsporthalle
    Vor dem Schlesischen Tor 1
    10997 Berlin
    Sportplatz Waldeckpark
    Alte Jakobstr. 40
    10969 Berlin
    Sportplatz Wiener Straße
    Wiener Str. 59 a – g
    10999 Berlin
    Sportplatz Züllichauer Straße
    Züllichauer Str. 1 – 7
    10965 Berlin
    Sportplatz Alt-Stralau
    Alt-Stralau 40/41
    10245 Berlin
    Sportplatz Virchowstraße
    Virchowstraße 1 – 7
    10249 Berlin
    Volkshochschule
    Wassertorstraße 4
    10969 Berlin
    Willi-Boos-Sportplatz
    Baerwaldstr. 34
    10961 Berlin
    Willy-Kressmann-Stadion
    Dudenstr. 40
    10965 Berlin

    #Lichtenberg

    Begegnungsstätte Judith Auer
    Judith-Auer-Straße 8
    10369 Berlin
    Bezirksamt Lichtenberg Bürgeramt 1
    Egon-Erwin-Kisch-Straße 106
    13059 Berlin
    Christliches Sozialwerk Berlin e.V.
    Landsberger Allee 225
    13055 Berlin
    Egon-Erwin-Kisch-Bibliothek
    Frankfurter Allee 149
    10365 Berlin
    Finanzamt für Körperschaften IV + II
    Magdalenenstraße 25
    10365 Berlin
    Finanzamt Lichtenberg
    Josef-Orlopp-Straße 62
    10365 Berlin
    Gebäudekomplex Alt-Friedrichsfelde 60
    Alt-Friedrichsfelde 60
    10315 Berlin
    JFE Betonoase (Indoor)
    Dolgenseestraße 11
    10319 Berlin
    JFE Eastside
    Volkradstraße 6
    10319 Berlin
    JFE Future
    Schweriner Ring 27
    13059 Berlin
    JFE Full House
    Ribnitzer Straße 30
    13051 Berlin
    JFE Holzwurmhaus
    Falkenberger Chaussee 141
    13059 Berlin
    JFE Kontaktladen V.i.P.
    Rüdickenstraße 29
    13053 Berlin
    JFE Leos Hütte
    Grevesmühlener Straße 43
    13059 Berlin
    JFE Linse (Indoor)
    An der Parkaue 25
    10367 Berlin
    JFE Mikado
    Egon-Erwin-Kisch-Straße 1a
    13059 Berlin
    JFE Napf
    Hauffstraße 13
    10317 Berlin
    JFE NTC / EFB
    Erieseering 4 - 6
    10319 Berlin
    JFE OCB
    Werneuchener Straße 15 B
    13055 Berlin
    JFE Orange Flip
    Gensinger Str. 56
    10315 Berlin
    JFE Rainbow
    Hönower Straße 30
    10318 Berlin
    JFE Trialog
    Ahrenshooper Str. 5/7
    13051 Berlin
    JFE Tube
    Herzbergstr. 160
    10367 Berlin
    JFE Welseclub
    Vincen-van-Gogh-Straße 36
    13057 Berlin
    Jugendfreizeitclub Ausblick
    Zum Hechtgraben 1
    13051 Berlin
    Jugendklub Rainbow
    Hönower Str. 30
    10318 Berlin
    JuFaZ
    Eitelstraße 19
    10317 Berlin
    Jugendamt Bezirksamt Lichtenberg
    Große-Leege-Straße 103
    13055 Berlin
    Jugendfreizeitclub Ausblick
    Zum Hechtgraben 1
    13051 Berlin
    Jugendklub Zwergenhöhle
    Spittastraße 40
    10317 Berlin
    Kiezspinne
    Schulze-Boysen-Straße 38
    10365 Berlin
    Kommunale Begegnungsstätte Neustrelitzstraße
    Neustrelitzer Straße 63
    13055 Berlin
    Kommunale Begegnungsstätte Rusche 43
    Ruschestraße 43
    10367 Berlin
    KultSchule
    Sewanstraße 43
    10319 Berlin
    LABO Kfz- Zulassungsstelle Lichtenberg
    Ferdinand-Schultze-Str. 55
    13055 Berlin
    Mädchensportzentrum Pia Olymp
    Am Berl 25
    13051 Berlin
    Museum Lichtenberg
    Türrschmidtstraße 24
    10317 Berlin
    Nachbarschaftshaus
    Ribnitzer Straße 1B
    13051 Berlin
    Nachbarschaftshaus KultSchule
    Sewanstraße 43
    10319 Berlin
    Naturschutzstation Malchow
    Dorstraße 35
    13051 Berlin
    Rathaus Lichtenberg
    Möllendorffstraße 6
    10367 Berlin
    Schwimmhalle Anton-Saefkow-Platz
    Anton-Saefkow-Platz 1
    10369 Berlin
    Schwimmhalle Sewanstraße
    Sewanstraße 229
    10319 Berlin
    Schwimmhalle Zingster Straße
    Zingster Straße 16
    13051 Berlin
    Seniorenbegegnungsstätte Hönower Straße
    Hönower Straße 30A
    10318 Berlin
    Sozialdiakonische Arbeit Lichtenberg-Oberspree
    Pfarrstraße 97
    10317 Berlin
    Sportforum Berlin (Lili-Henoch-Halle, Eisschnelllaufhalle, Große Halle, Olympiastützpunkt, Trainingshalle)
    Weißenseer Weg 53
    13053 Berlin
    SportJugendBildungsZentrum Lücke
    Lückstraße 18
    10317 Berlin
    Sportkomplex
    Paul Heyse Straße 25
    10407 Berlin
    Volkshochschule Lichtenberg
    Paul-Junius-Straße 71
    10369 Berlin

    #Marzahn-Hellersdorf

    Amt für Soziales
    Riesaer Straße 94
    12627 Berlin
    Ausstellungszentrum Pyramide
    Landsberger Allee 366
    12681 Berlin
    Bezirksamt
    Premnitzerstraße 11
    12681 Berlin
    Bezirksmuseum
    Alt-Marzahn 51
    12685 Berlin
    Bezirkszentralbibliothek Mark Twain
    Marzahner Promenade 52-54
    12679 Berlin
    Bibliothek Kaulsdorf-Nord
    Cecilienplatz 12
    121619 Berlin
    Bibliothek Mahlsdorf
    Alt-Mahlsdorf 24-26
    12623 Berlin
    Bockwindmühle Marzahn
    Hinter der Mühle 4
    12685 Berlin
    Bürgerhaus Südspitze
    Marchwitza Straße 24-26
    12681 Berlin
    Caspar-David-Friedrich Schule
    Alte Hellersdorfer Straße 7
    12629 Berlin
    Ehm-Welk-Bibliothek
    Alte Hellersdorfer Straße 125
    12629 Berlin
    Erich-Weinert-Bibliothek
    Helene-Weigel-Platz 4
    12681 Berlin
    Ernst-Haeckel-Gesamtschule
    Luckenwalder Straße 53
    12629 Berlin
    Finanzamt Marzahn-Hellersdorf
    Allee der Kosmonauten 29
    12681 Berlin
    Freizeitforum Marzahn
    Marzahner Promenade 55
    12679 Berlin
    Gärten der Welt
    Blumberger Damm 44
    12685 Berlin
    Galerie M
    Marzahner Promenade 46
    12679 Berlin
    Georg-Klingenberg-Schule
    Alberichstraße 24
    12683 Berlin
    Gesundheitsamt Marzahn-Hellersdorf - Kinder und Jugendgesundheitsdienst
    Janusz-Korczak-Straße 32
    12627 Berlin
    Hans-Werner-Henze Musikschule
    Maratstraße 182
    12683 Berlin
    Haus der Begegnung M3
    Mehrower Allee 3
    12687 Berlin
    Haus des Sports
    Eisenacher Straße 121
    12685 Berlin
    Heinrich-von-Kleist-Bibliothek
    Havemannstraße 17
    12689 Berlin
    Helleum
    Kastanienallee 59
    12627 Berlin
    Informationszentrum Marzahn-Hellersdorf / Touristinformation
    Hellersdorfer Str. 159
    12619 Berlin
    Johann-Strauß-Grundschule
    Cecilienstraße 81
    12683 Berlin
    Jugendclub Balzer-Platz
    Köpenicker Straße 184
    12683 Berlin
    Jugendclub Klinke
    Bruno-Baum-Straße 56
    12685 Berlin
    JFE Fair
    Marzahner Promenade 51
    12679 Berlin
    JFE Kompass
    Kummerower Ring 42
    12619 Berlin
    JFH Hellersdorfer Straße
    Hellersdorfer Straße 27
    12621 Berlin
    JFH Tangermünder Straße
    Tangermünder Straße 2
    12627 Berlin
    Jugendclub Rudolf-Leonhard-Straße
    Rudolf-Leonhard-Straße 2
    12679 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Betonia
    Wittenberger Straße 78
    12689 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Anna Landsberger
    Prötzeler Ring 13
    12685 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung „U5“
    Auerbacher Ring 25
    12619 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Joker
    Alte Hellersdorfer Straße 3
    12629 Berlin
    Jugendfreizeitheim Lubminer
    Lubminer Straße 38
    12619 Berlin
    Kienbergpark
    Hellersdorfer Straße 159
    12619 Berlin
    Kinderbad Platsch
    Max-Hermann-Straße 7
    12687 Berlin
    Kinder-, Jugend- und Familienzentrum Marzahn-Mitte
    Sella-Hasse-Straße 19/21
    12687 Berlin
    KulturGut
    Alt-Marzahn 23
    12685 Berlin
    KJFZ Hellersdorf-Süd
    Peter-Huchel-Straße 39/39a
    12619 Berlin
    Kleintierhof Marzahn
    Alt-Marzahn 63
    12685 Berlin
    Kulturring in Berlin e.V.
    Carola-Neher-Straße 1
    12619 Berlin
    Kunsthaus Flora
    Florastraße 113
    12623 Berlin
    Musikschule
    Maratstraße 182
    12683 Berlin
    NFZ Kiek in - Soziale Dienste gGmbH
    Rosenbecker Straße 25/27
    12689 Berlin
    Rathaus Marzahn-Hellersdorf
    12591 Berlin
    Rudolf-Virchow-Oberschule
    Glambecker Ring 90
    12679 Berlin
    Schloß Biesdorf
    Alt-Biesdorf 55
    12683 Berlin
    Schwimmhalle Helmut Behrendt
    Helene-Weigel-Platz 9
    12681 Berlin
    Schwimmhalle Kaulsdorf
    Clara-Zetkin-Weg 13
    12619 Berlin
    Sozialamt
    Riesaer Straße 94
    12627 Berlin
    Stadtteilzentrum Biesdorf - Ball e.V.
    Alt Biesdorf 15
    12683 Berlin
    Stadtteilzentrum Hellerdorf Süd - Klub 74
    Am Baltenring 74
    12619 Berlin
    Stadtteilzentrum Kaulsdorf - Mittendrin leben e.V.
    Brodauer Straße 27-29
    12621 Berlin
    Stadtteilzentrum Marzahn Mitte - Volkssolidarität LV Berlin e.V.
    Marzahner Promenade 38
    12627 Berlin
    Stadtteilzentrum Marzahn Süd „Mosaik“ - Wuhletal gGmbH
    Altlandsberger Platz 2 (Eingang über Pritzhagener Weg)
    12685 Berlin
    Stadtteilzentrum Marzahn NordWest - Kiek in gGmbH
    Ahrensfelder Chaussee 148
    12689 Berlin
    Ulmen-Grundschule
    Ulmenstraße 79-85
    12621 Berlin
    Volkshochschule Marzahn-Hellersdorf
    Mark-Twain-Straße 27
    12627 Berlin

    #Mitte

    Atze Musiktheater
    Luxemburger Straße 20
    13353 Berlin
    Amtsgericht Tiergarten + Landesgericht Berlin
    Turmstraße 91
    10559 Berlin
    Amtsgericht Wedding
    Brunnenplatz 1
    13357 Berlin
    Begegnungsstätte Haus Bottrop
    Schönwalder Straße 4
    13347 Berlin
    Berliner Ensemble
    Bertolt-Brecht-Platz 1
    10117 Berlin
    Berliner Fernsehturm
    Panoramastraße 1a
    10178 Berlin
    Berlin Pavillon
    Scheidemannstrasse 1
    10557 Berlin-Tiergarten
    Bibliothek am Luisenbad
    Travemünder Straße 2
    13357 Berlin
    Bibliothek Tiergarten Süd
    Lützowstraße 27
    10785 Berlin
    Brandenburger Tor (Outdoor)
    Pariser Platz 8
    10117 Berlin
    Brunnenplatz
    Brunnenplatz 1
    13357 Berlin
    Bruno-Lösche-Bibliothek
    Perleberger Straße 33
    10559 Berlin
    Bundeskanzler-Willy-Brandt-Stiftung (Outdoor)
    Unter den Linden 62
    10117 Berlin
    Café Marlene
    Kastanienallee 103
    10435 Berlin
    Dalí Berlin
    Leipziger Platz 7
    10117 Berlin
    Fanny Hensel Musikschule
    Wallstraße 42
    10179 Berlin
    Finanzamt Mitte (Tiergarten)
    Neue Jakobstraße 6-7
    10179 Berlin
    Finanzamt Wedding
    Osloer Straße 37
    13359 Berlin
    Fortbildungsinstitut für die pädag. Praxis
    Kluckstraße 11
    10785 Berlin
    Friedrichstadt-Palast (Outdoor)
    Friedrichstraße 107
    10117 Berlin
    Gendarmenmarkt (Konzerthaus Berlin)
    Gendarmenmarkt 3-4
    10117 Berlin
    Gesundheitsamt Sozialpsychologische Beratung
    Reinickendorfer Straße 60b
    13347 Berlin
    Hansabibliothek (Outdoor)
    Altonaer Straße 15
    10557 Berlin
    Haus Holon
    Schwarzspechtweg 32-36
    13505 Berlin
    Haus der Statistik
    Karl-Marx-Allee 1
    10178 Berlin
    Jugendeinrichtung DR Kongo
    Kongostraße 28
    13351 Berlin
    Kinder- und Jugendclub go
    Schönhauser Allee 165
    10435 Berlin
    Kombibad Seestraße
    Seestraße 80
    13347 Berlin
    Komische Oper
    Behrenstraße 55
    10117 Berlin
    Kunstverein Tiergarten
    Turmstraße 75
    10551 Berlin
    LABO Standesamt I
    Schönstedtstr. 5
    13357 Berlin
    Landesamt für Gesundheit und Soziales
    Turmstraße 21
    10559 Berlin
    Landesarbeitsgericht Berlin-Brandenburg + Arbeitsgericht Berlin
    Magdeburger Platz 1
    10785 Berlin
    Landgericht Berlin + Amtsgericht Mitte
    Littenstraße 12-17
    10179 Berlin
    MiK-Jugendkunstschule
    Schönwalder Straße 19
    13347 Berlin
    Museum Mitte
    Pankstraße 47
    13357 Berlin
    Palais Podewil
    Klosterstr. 68
    10179 Berlin
    Philipp-Schaeffer-Bibliothek (Outdoor)
    Brunnenstraße 181
    10119 Berlin
    Polizeiwache am Alexanderplatz (Container) Alexanderplatz
    10178 Berlin
    Ribbeck-Haus
    Breite Straße 35
    10178 Berlin
    Rotes Rathaus (Outdoor)
    Jüdenstraße 1
    13597 Berlin
    Schwimmhalle Fischerinsel
    Fischerinsel 11
    10179 Berlin
    Selbst-Hilfe im Vor-Ruhestand e.V.
    Schönwalder Straße 4
    13347 Berlin
    Senatsverwaltung für Finanzen
    Klosterstraße 59
    10179 Berlin
    Senatsverwaltung für Integration, Arbeit und Soziales
    Potsdamer Straße 65
    10785 Berlin
    Seniorenfreizeitstätte 1
    Eichborndamm 215-239
    13437 Berlin
    Seniorenhaus (nicht öffentlich)
    Armenische Straße 12
    13349
    Sommerbad Humboldhain
    Wiesenstr. 1
    13357 Berlin
    Stadtbad Mitte
    Gartenstraße 5
    10115 Berlin
    Stadtbad Tiergarten
    Seydlitzstraße 7
    10557 Berlin
    Spy Museum Berlin
    Leipziger Platz 9
    10117 Berlin
    Theaterhaus Mitte
    Wallstraße 32
    10179 Berlin
    Torstraße
    Torstraße 139
    10119 Berlin
    Verwaltungsakademie (VAK)
    Turmstraße 86
    10559 Berlin
    Volksbühne
    Rosa-Luxemburg-Platz
    10178 Berlin
    Volkshochschule Mitte 1
    Linienstraße 162
    10115 Berlin
    Volkshochschule Mitte 2
    Antonstraße 37
    113347 Berlin
    Weinmeisterhaus
    Weinmeisterstraße 15
    10178 Berlin
    Wohnhaus
    Ackerstraße 105
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Ackerstraße 113
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Ackerstraße 115
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Bellermannstraße 73
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Bornemannstraße 14
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Buttmannstraße 15
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Gartenplatz 4
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Gartenstraße 57
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Gartenstraße 60
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Gartenstraße 63
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Gartenstraße 65
    13355 Berlin
    Wohnhaus
    Gerichtstraße 12
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Groninger Straße 48
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Holländer Straße 112
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Luxemburger Straße 1
    13353 Berlin
    Wohnhaus
    Luxemburger Straße 5
    13353 Berlin
    Wohnhaus
    Maxstraße 11
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Nazarethkirchstraße 49a
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Schulstraße 5
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Schulstraße 24
    13347 Berlin
    Wohnhaus
    Stockholmer Straße 24
    13359 Berlin
    Wohnhaus
    Schwyzer Straße 13
    13349 Berlin
    Wohnhaus
    Sparrstraße 19
    13353 Berlin
    Wohnhaus
    Syrische Straße 12
    13349 Berlin
    Wohnhaus
    Uferstraße 19
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Ungarnstraße 83
    13349 Berlin
    Wohnhaus
    Wiesenstraße 62
    13357 Berlin
    Wohnhaus
    Zechliner Straße 8
    13359 Berlin

    #Neukölln

    Abenteuerspielplatz Wildhüterweg
    Wildhüterweg 1
    12353 Berlin
    Alte Dorfschule Rudow
    Alt Rudow 60
    12355 Berlin
    Amtsgericht Neukölln (Karl-Marx-Straße)
    Karl-Marx-Straße 77
    12043 Berlin
    Bezirksamt Neukölln
    Blaschkoallee 32
    12359 Berlin
    Bezirksamt und Kinder Jugendgesundheitsdienst
    Neuköllner Straße 333
    12355 Berlin
    Britzer Garten
    Sangerhauser Weg 1
    12349 Berlin
    Bürgeramt Zwickauer Damm
    Zwickauer Damm 52
    12353 Berlin
    Finanzamt Neukölln
    Thiemannstraße 1
    12059 Berlin
    Gemeinschaftshaus Gropiusstadt
    Bat-Yam-Platz 1
    12353 Berlin
    Gesundheitsamt Neukölln Sozialpsychiatrischer Dienst
    Gutschmidtstraße 31
    12359 Berlin
    Jugendamt Neukölln
    Karl-Marx-Straße 83
    12043 Berlin
    Jugendclub Feuerwache (Indoor)
    Hannemannstraße 74
    12347 Berlin
    Jugendclub NW80 (Indoor)
    Neudecker Weg 80
    12355 Berlin
    Jugendclub Trapez
    Käthe-Frankenthal-Weg 12
    12355 Berlin
    Jugendclub UFO (Indoor)
    Lipschitzallee 27
    12351 Berlin
    Jugendzentrum Grenzallee
    Grenzallee 5
    12057 Berlin
    Jugendzentrum „Wilde Rübe“
    Wildenbruchstraße 25
    12045 Berlin
    Jugendzentrum Yo!22
    Oderstraße 22
    12051 Berlin
    Kombibad Gropiusstadt
    Lipschitzallee 27-33
    12351 Berlin
    Nachbarschaftszentrum
    Wutzkyallee 88
    12353 Berlin
    Ordnungsamt Neukölln
    Juliusstraße 67
    12051 Berlin
    Rathaus Neukölln
    Karl-Marx-Straße 83-85
    12043 Berlin
    Schloss Britz
    Alt-Britz 73
    12359 Berlin
    Sozialgericht Berlin
    Invalidenstraße 52
    10557 Berlin
    Volkshochschule Neukölln 1
    Elfriede Kuhr Straße 11
    12355 Berlin
    Volkshochschule Neukölln 2
    Werbellinstraße 77
    12053 Berlin
    Volkshochschule Neukölln 3
    Karlsgartenstraße 6
    12049 Berlin

    #Pankow

    Abenteuerlicher Bauspielplatz Kolle 37
    Kollwitzstraße 35
    10405 Berlin
    Abenteuerspielplatz Marie
    Marienburger Straße 46
    10405 Berlin
    Aktivspielplatz Franz B.
    Blankenfelder Str. 106
    13127 Berlin
    Albatros GmbH - Stadtteilzentrum im Turm
    Busonistraße 136
    13125 Berlin
    Amtsgericht Pankow - Weißensee I
    Kissingenstraße 5-6
    13189 Berlin
    Amtsgericht Pankow - Weißensee II
    Parkstraße 71
    13086 Berlin
    ASP Inge Abenteuerspielplatz Karow
    Ingwäonenweg 62
    13125 Berlin
    Begegnungsstätte An der Panke im Stadtteilzentrum
    Schönholzer Straße 10a
    13187 Berlin
    Begegnungsstätte Husemannstraße 12
    Husemannstraße 12
    10435 Berlin
    Begegnungsstätte Paul-Robeson-Straße
    Paul-Robeson-Straße 15
    Atelierhaus Prenzlauer Promenade
    Prenzlauer Promenade 149-152
    13189 Berlin
    Begegnungsstätte Tollerstraße 5
    Tollerstraße 5
    13158 Berlin
    Bildungszentrum am Antonplatz
    Bizetstraße 27
    13088 Berlin
    Botanischer Volkspark Blankenfelde
    Blankenfelder Chaussee 5
    13159 Berlin
    Brotfabrik
    Caligariplatz 1
    13086 Berlin
    Bürgeramt Karow (Buch)
    Franz-Schmidt-Straße 8-10
    13125 Berlin
    Bürgeramt Pankow
    Breite Straße 24a-26
    13187 Berlin
    Bürgeramt Prenzlauer Berg
    Fröbelstraße 17
    10405 Berlin
    Bürgeramt Weißensee
    Berliner Allee 252-260
    13088 Berlin
    Bürgerhaus BüHa gGmbH - Amtshaus Buchholz
    Berliner Straße 24
    13127 Berlin
    Club Atelier 89
    Hanns-Eisler-Straße 7
    10409 Berlin
    Der Alte
    Wiltbergstraße 27
    13125 Berlin
    Der Würfel - Netzwerk Spielkultur
    Wolfgang-Heinz-Straße 45
    13125 Berlin
    Eliashof
    Senefelderstraße 6
    10407 Berlin
    Experimentalbox-Jugendmedienclub
    Hosemannstraße 14
    10409 Berlin
    Familienzentrum - Der Blankenburger
    Gernroder Straße 6
    13129 Berlin
    Schabracke (Indoor)
    Pestalozzistraße 8 A
    13187 Berlin
    Familienzentrum Upsala
    Upsalaer Str. 6
    13189 Berlin
    Finanzamt Pankow (Weißensee) + Finanzamt Prenzlauer Berg
    Storkower Straße 134
    10407 Berlin
    Galerie Pankow
    Breite Straße 8
    13187 Berlin
    Gartenhaus an der Marie
    Winsstraße 49
    10405 Berlin
    Haus der Jugend Bunte Kuh
    Bernkasteler Straße 78
    13088 Berlin
    Heinz-Brandt-Schule (Schülerklub)
    Langhansstr. 120
    13086 Berlin
    JFE Fallobst (Indoor)
    Ibsenstraße 17
    10439 Berlin
    JFE Oktopus
    Parkstraße 12/14
    13137 Berlin
    Jugendclub Maxim (Indoor)
    Charlottenburger Straße 117
    13086 Berlin
    Jugendfarm Moritzhof (Indoor)
    Schwedter Straße 90
    10437 Berlin
    Jugendförderung Pankow Info
    Berliner Allee 252
    13088 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung K14
    Achillesstraße 14
    13125 Berlin
    Jugenfreizeiteinrichtung M24
    Mahlerstraße 20
    13088 Berlin
    Jugendfreizeitstätte M24 (Indoor)
    Mühlenstraße 24
    13187 Berlin
    Jugendfreizeitstätte M24 Garage Pankow
    Hadlichstraße 3
    13187 Berlin
    Jugendhaus Königstadt (Indoor)
    Saarbrücker Straße 22
    10405 Berlin
    Jugendnetzwerk Lambda
    Sonnenburger Straße 69
    10437 Berlin
    JUP - Unabhängiges Jugendzentrum Pankow
    Florastraße 84
    13187 Berlin
    Kinderclub - Der Würfel (Netzwerk Spielkultur)
    Wolfgang-Heinz-Straße 45
    13125 Berlin
    Kinderfreizeiteinrichtung Kulti (Indoor)
    Majakowskiring 58
    13156 Berlin
    Kinderfreizeiteinrichtung Rakäthe (HvD)
    Esmarchstraße 27
    10407 Berlin
    Kinderkiezclub Rangeburg
    Brixener Straße 40
    12187 Berlin
    Kinderring Berlin e.V. (Indoor)
    Langhansstraße 23
    13086 Berlin
    Kinder- u. Jugendfreizeiteinrichtung Toller (Indoor)
    Tollerstraße 31
    13158 Berlin
    Kinder- und Jugendzentrum W24
    Wichertstraße 24
    10439 Berlin
    Kulturbrauerei
    Schönhauser Allee 36
    10435 Berlin
    Landhaus Rosenthal (Indoor)
    Hauptstraße 94
    13158 Berlin
    Machmit! Museum für Kinder
    Senefelderstraße 5
    10437 Berlin
    Max-Schmeling-Halle
    Falkplatz 1
    10437 Berlin
    Musikschule Béla Bartók
    Am Schloßpark 20
    13187 Berlin
    OSZ Gastgewerbe
    Buschallee 23a
    13088 Berlin
    Pädagogisch betreuter Spielplatz -ASP Franz B.
    Blankenfelder Straße 106
    13127 Berlin
    Prater (Biergarten) (Outdoor)
    Kastanienallee 7
    10435 Berlin
    Schwimmhalle Ernst-Thälmann-Park
    Lilli-Henoch-Straße 20
    10405 Berlin
    Schwimmhalle Thomas-Mann-Straße
    Thomas-Mann-Straße 3
    10409 Berlin
    Sebastian-Haffner-Zentrum
    Prenzlauer Allee 227
    10405 Berlin
    Selbsthilfe- und Nachbarschaftshaus Frei-Zeit-Haus e.V.
    Pistoriusstraße 23
    13088 Berlin
    Seniorenclub Hermsdorf
    Berliner Straße 105-107
    13467 Berlin
    Sommerbad Pankow
    Wolfshagener Straße 91-93
    13187 Berlin
    SportJugendClub Buch
    Karower Chaussee 169C
    13125 Berlin
    SportJugendzentrum
    Lychener Straße 75
    10437 Berlin
    Stadtteilzentrum am Teutoburger Platz
    Fehrbelliner Straße 92
    10119 Berlin
    Zeiss-Großplanetarium
    Prenzlauer Allee 80
    10405 Berlin

    #Reinickendorf

    Bürgeramt Heiligensee
    Ruppiner Chaussee 268
    13503 Berlin
    Bürgeramt Tegel
    Berliner Straße 35
    13507 Berlin
    Finanzamt Reinickendorf
    Eichborndamm 208
    13403 Berlin
    Freizeitclub Tegel
    Alt-Tegel 43
    13507 Berlin
    Freizeitclub Heiligensee
    Alt-Heiligensee 39
    13503 Berlin
    Freizeitzentrum für Senioren und Behinderte
    Adelheidallee 5
    13507 Berlin
    Gesobau-Zentrale
    Wilhelmsruher Damm 142
    13439 Berlin
    Gesobau-Zentrale Rückseite
    Wilhelmsruher Damm 142
    13439 Berlin
    Jugendamt Reinickendorf
    Nimrodstraße 4-14
    13469 Berlin
    Märkisches Zentrum – Brunnenplatz
    Senftenberger Ring 3
    13435 Berlin
    Märkisches Zentrum – Marktplatz
    Senftenberger Ring 13
    13435 Berlin
    Ordnungsamt Reinickendorf
    Lübener Weg 26
    13407 Berlin
    Paracelsus-Bad
    Roedernallee 200-204
    13407 Berlin
    Ribbeck-Haus
    Senftenberger Ring 54
    13435 Berlin
    Seniorenfreizeitstätte 2
    Stargardtstraße 3
    13407 Berlin
    Spielplatz Finsterwalder Straße
    Finsterwalder Straße 68A
    13435 Berlin
    Spielplatz
    Wilhelmsruher Damm 111
    13439 Berlin
    Spielplatz Wilhelmsruher Damm
    Wilhelmsruher Damm 139
    13439 Berlin
    Sportplatz Aroser Allee (Outdoor)
    Aroser Allee 184
    13407 Berlin
    Sportplatz Berliner Straße
    Berliner Straße 75
    13507 Berlin
    Sportplatz Elchdamm
    Elchdamm 171
    13503 Berlin
    Sportplatz Finsterwalder Straße (Outdoor)
    Finsterwalder Straße 58
    13435 Berlin
    Sportplatz Freiheitsweg
    Freiheitsweg 20-26
    13407 Berlin
    Sportplatz Göschenstraße (Outdoor)
    Göschenstraße 7
    13437 Berlin
    Sporthalle Hatzfeldtallee
    Hatzfeldtallee 19-25
    13509 Berlin
    Sportplatz Hatzfeldtallee (Outdoor)
    Hatzfeldtallee 33
    13509 Berlin
    Sportplatz Stadt Reinickendorf (Outdoor)
    Heidenheimer Straße 53
    13467 Berlin
    Sportplatz Kienhorststraße
    Kienhorststraße 170
    13403 Berlin
    Sportplatz Welzower Steig (Outdoor)
    Königshorster Straße 13
    13439 Berlin
    Sportplatz Ollenhauer Straße
    Ollenhauerstr. 64 E
    13403 Berlin
    Sportanlage am Schäfersee
    Rütlistraße 19
    13407 Berlin
    Sportplatz Schluchseestraße
    Schluchseestraße 73
    13469 Berlin
    Sportanlage Schönfließer Straße (Outdoor)
    Schönfließer Straße 19
    13465 Berlin
    Sportplatz Seebadstraße
    Seebadstraße 38
    13467 Berlin
    Sportanlage Thurgauer Straße
    Thurgauer Str. 55
    13407 Berlin
    Sportplatz Tietzstraße
    Tietzstraße 33-41
    13509 Berlin
    Sportanlage Scharnweberstraße
    Uranusweg 34
    13405 Berlin
    Stadtbad Märkisches Viertel
    Wilhelmsruher Damm 142D
    13439 Berlin
    Tourismuspavillon Tegel
    Alt-Tegel
    13507 Berlin
    VHS + Musikschule Frohnau
    Fuchssteiner Weg 13-19
    13465 Berlin
    Wohnhaus
    Borsigwalder Weg 24
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Borsigwalder Weg 44
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Conradstraße 41
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Finsterwalder Straße 13
    13435 Berlin
    Wohnhaus
    Klinnerweg 59
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Räuschstraße 40
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Senftenberger Ring 12
    13435 Berlin
    Wohnhaus
    Senftenberger Ring 44e
    13435 Berlin
    Wohnhaus
    Senftenberger Ring 70
    13435 Berlin
    Wohnhaus
    Tietzstraße 55
    13509 Berlin
    Wohnhaus
    Wilhelmsruher Damm 228
    13435 Berlin

    #Spandau

    Amtsgericht Spandau
    Altstädter Ring 7
    13597 Berlin
    Bürgerbüro Wasserstadt
    Hugo-Cassirer-Straße 48
    13587 Berlin
    Bürodienstgebäude
    Klosterstraße 36
    13581 Berlin
    Carlo-Schmid-Oberschule
    Lutoner Straße 15
    13581 Berlin
    Christian-Morgenstern-Grundschule
    Räcknitzer Steig 12
    13593 Berlin
    DG Galenstraße (Ordnungs-, Sozial u. Gesundheitsamt)
    Galenstraße 14
    13597 Berlin
    DG Jugendamt
    Hermann-Schmidt-Weg 8
    13589 Berlin
    DG Jugendamt Goldbeckweg
    Goldbeckweg 25
    13599 Berlin
    Finanzamt Spandau
    Nonnendammallee 21
    13599 Berlin
    Fredy-Stach-Sportpark
    Ruhlebener Straße 175
    13597 Berlin
    Freiherr vom Stein Gymnasium
    Galenstraße 40-44
    13597 Berlin
    Helmut-Schleusener-Stadion
    Falkenseer Chaussee 280
    13583 Berlin
    JFE Nachbarschaftshaus Kladow
    Parnemannweg 22
    14089 Berlin
    Jonas’ Haus (Indoor)
    Schulstraße 3
    13591 Berlin
    Klubhaus - Spandau (Indoor)
    Westerwaldstraße 13
    13589 Berlin
    Kombibad Spandau-Süd
    Gatower Straße 19
    13595 Berlin
    Kunstremise Alte Stadtmauer
    Jüdenstraße 1
    13597 Berlin
    Martin-Buber-Oberschule
    Im Spektefeld 33
    13589 Berlin
    Rathaus Spandau
    Carl-Schurz-Straße 2/6
    13597 Berlin
    Seniorenklub Hakenfelde
    Helen-Keller-Weg 10
    13587 Berlin
    Seniorenklub Lindenufer
    Mauerstraße 10A
    13597 Berlin
    Seniorenklub Südpark
    Weverstraße 38
    13595 Berlin
    Seniorenwohnhaus (Indoor)
    Rockenhausener Straße 12
    13583 Berlin
    Seniorenwohnhaus Wilhelmstadt (Indoor)
    Adamstraße 27
    13595 Berlin
    Sportanlage Grüngürtel
    Askanierring 149
    13585 Berlin
    Sportanlage Hakenfelde
    Hakenfelder Straße 29
    13587 Berlin
    Sportanlage Haselhorst
    Daumstraße 35
    13599 Berlin
    Sportanlage Jaczostraße
    Sandheideweg 29
    13595 Berlin
    Sportanlage Neuendorfer Straße
    Askanierring 86
    13587 Berlin
    Sportanlage Spandauer Straße
    Spandauer Straße 80
    13591 Berlin
    Sportanlage Spektefeld
    Im Spektefeld 27
    13589 Berlin
    Sportpark Staaken
    Am Kurzen Weg 9
    13591 Berlin
    Sportanlage Staaken West
    Brunsbütteler Damm 441
    13591 Berlin
    Sportanlage Teltower Schanze
    Elsengrabenweg 19
    13597 Berlin
    Sportanalage Werderstraße
    Goltzstraße 41
    13587 Berlin
    Sportanlage Wilhelmstraße
    Wilhelmstraße 10
    13595 Berlin
    Sporthalle der Linden-Grundschule
    Staakener Feldstraße 6-8
    13591 Berlin
    Sporthalle der Martin-Buber-Oberschule
    Im Spektefeld 33
    13589 Berlin
    Stadtbad Spandau-Nord
    Radelandstr. 1
    13589 Berlin
    Wassersportheim Gatow
    Alt-Gatow 5-7
    14089 Berlin
    Wohnhaus
    Schönwalderstraße 1
    13585 Berlin
    Zitadelle Spandau (Outdoor)
    Am Juliusturm 64
    13599 Berlin

    #Steglitz-Zehlendorf

    Bibliothek Lankwitz
    Bruchwitzstraße 37
    12247 Berlin
    Bürgeramt Lankwitz
    Gallwitzallee 87
    12249 Berlin
    Bürgeramt Zehlendorf
    Kirchstraße 1/3
    14163 Berlin
    Bürgertreff Lichterfelde West
    Hans-Sachs-Straße 4
    12205 Berlin
    Ernst-Reuter-Sportfeld
    Onkel-Tom-Straße 40
    14169 Berlin
    Finanzamt Steglitz
    Schloßstraße 58-59
    12165 Berlin
    Finanzamt Zehlendorf
    Martin-Buber-Straße 20-21
    14163 Berlin
    Haus am Waldsee
    Argentinische Allee 30
    14163 Berlin
    Haus der Jugend Zehlendorf
    Argentinische Allee 28
    14163 Berlin
    Haus der Musik
    Grabertstraße 4
    12169 Berlin
    Haus der Wannsee Konferenz
    Am Großen Wannsee 56
    14109 Berlin
    Hertha-Müller-Haus
    Argentinische Allee 89
    14163 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Düppel
    Haus 9
    Lissabonallee 6/9
    14129 Berlin
    Kommunikationszentrum am Ostpreußendamm
    Ostpreußendamm 52
    12207 Berlin
    Kunsthaus Dahlem
    Käuzchensteig 8-12
    14159 Berlin
    Leo-Borchard-Musikschule
    Martin-Buber-Straße 21
    14163 Berlin
    Museumsdorf Düppel
    Clauertstraße 11
    14163 Berlin
    Ordnungsamt Steglitz-Zehlendorf
    Unter den Eichen 1
    12203 Berlin
    Rathaus Lankwitz
    Hanna-Renate-Laurien-Platz 1
    12247 Berlin
    Schwartzsche Villa
    Grunewaldstraße 55
    12165 Berlin
    Schwimmhalle Finckensteinallee
    Finckensteinallee 73
    12205 Berlin
    Schwimmhalle Hüttenweg
    Hüttenweg 41
    14195 Berlin
    Seniorenclub Lankwitz (Maria-Rimkus-Haus)
    Gallwitzallee 53
    12249 Berlin
    Seniorenfreizeitstätte Hans-Rosenthal-Haus (Indoor)
    Bolchener Straße 5
    14167 Berlin
    Seniorenfreizeitstätte Süd (Indoor)
    Teltower Damm 226
    14167 Berlin
    Seniorenclub Steglitz
    Selerweg 18-22
    12169 Berlin
    Seniorengruppe Griechische Gemeinde Berlin
    Mittelstraße 33
    12167 Berlin
    Stadion Lichterfelde
    Ostpreußendamm 3-11
    12207 Berlin
    Stadtbad Lankwitz
    Leonorenstaße 39
    12247 Berlin
    Strandbad Wannsee
    Wannseebadweg 25
    14129 Berlin
    Volkshochschule Steglitz-Zehlendorf Rondellstraße
    Rondellstraße 5
    14163 Berlin
    Volkshochschule Zehlendorf
    Markgrafenstraße 3
    14163 Berlin
    Werk 9
    Markgrafenstraße 26
    10117 Berlin
    Wichura-Club
    Wichurastraße 59
    12249 Berlin
    Wohnungsamt Steglitz-Zehlendorf
    Auf dem Grat 2
    14195 Berlin

    #Tempelhof-Schöneberg

    Amtsgericht Schöneberg I
    Grunewaldstraße 66-67
    10823 Berlin
    Bereitschaftsgericht
    Tempelhofer Damm 12
    12101 Berlin
    Café Pink (Indoor)
    Goltzstraße 40
    10781 Berlin
    Finanzamt für Fahndung und Strafsachen
    Ullsteinstraße 66
    12109 Berlin
    Finanzamt Schöneberg + Finanzamt Steglitz
    Sarrazinstraße 4
    12159 Berlin
    Finanzamt Tempelhof
    Tempelhofer Damm 234-236
    12099 Berlin
    Gebäude auf dem Tempelhofer Feld
    Columbiadamm 10
    12101 Berlin
    Haus am Kleistpark Musikschule Schöneberg
    Grunewaldstraße 6/7
    10823 Berlin
    Haus of fun (Indoor)
    Tirschenreuther Ring 67
    12279 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Bungalow (Indoor)
    Mariendorfer Damm 117
    12109 Berlin
    Jugendfreizeiteinrichtung Hessenring (Indoor)
    Hessenring 47
    12101 Berlin
    Jugendclub Sonnetreff
    Am Hellespont 6
    12109 Berlin
    Juxikus
    Barbarossastraße 65
    10781 Berlin
    Kammergericht
    Elßholzstraße 30-33
    10781 Berlin
    Kombibad Mariendorf
    Ankogelweg 95
    12107 Berlin
    Natur-Park Schöneberger Südgelände
    Prellerweg 47-49
    12157 Berlin
    Planetarium und Wilhelm-Foerster-Sternwarte am Insulaner
    Munsterdamm 90
    12169 Berlin
    Senatsverwaltung für Justiz, Verbraucherschutz und Antidiskriminierung
    Salzburger Straße 21-25
    10825 Berlin
    Senatsverwaltung für Wirtschaft, Energie und Betriebe
    Martin-Luther-Straße 105
    10825 Berlin
    Seniorenfreizeitstätte (Indoor)
    Boelckestraße 102
    12101 Berlin
    Sport- und Lehrschwimmhalle Schöneberg
    Sachsendamm 11
    10829 Berlin
    Tempelhofer Feld
    Tempelhofer Damm
    12101 Berlin
    Tempelhofer Feld
    Tempelhofer Damm
    12101 Berlin
    Tempelhof Museum
    Alt-Mariendorf 43
    12107 Berlin
    Volkshochschule-Kolleg
    Nürnberger Straße 63
    10787 Berlin

    #Treptow-Köpenick

    Abenteuerspielplatz Köpenick (Outdoor)
    Alte Kaulsdorfer Straße 18
    12555 Berlin
    Abenteuerspielplatz Waslala
    Venusstraße 88
    12524 Berlin
    Amt für Soziales
    Hans-Schmidt-Straße 18
    12489 Berlin
    Archenhold Sternenwarte
    Alt-Treptow 1
    12435 Berlin
    Bezirksamt Treptow-Köpenick Jugendamt
    Hans-Schmidt-Straße 10
    12489 Berlin
    Bölscheclub
    Bölschestraße 67
    12587 Berlin
    Bürgerhaus Altglienicke
    Ortolfstraße 184
    12524 Berlin
    Dokumentationszentrum NS-Zwangsarbeit
    Britzer Straße 5
    12439 Berlin
    Esswirtschaft Forum
    Rudower Chaussee 24
    12489 Berlin
    FEZ-Berlin (Indoor)
    Straße zum FEZ 0
    12459 Berlin
    Finanzamt Treptow-Köpenick
    Seelenbinderstraße 99
    12555 Berlin
    Gesundheitsamt Treptow-Köpenick
    Hans-Schmidt-Straße 16
    12489 Berlin
    Haus der Jugend Köpenick
    Seelenbinderstraße 54
    12555 Berlin
    Innovations- und Gründerzentrum
    Rudower Chaussee 29
    12489 Berlin
    JFE Bude
    Alfred-Randt-Straße 60
    12559 Berlin
    JFE Fairness
    Ehrenfelder Straße 25
    12524 Berlin
    JFE WK 14
    Weiskopffstraße 14
    12459 Berlin
    Johannes-Bobrowski-Bibliothek
    Peter-Hille-Straße 1
    12587 Berlin
    Joseph-Schmidt Musikschule
    Hans-Schmidt-Straße 6-8
    12489 Berlin
    Jugendamt Treptow-Köpenick
    Groß-Berliner-Damm 154
    12489 Berlin
    JuJo Jugendzentrum Johannisthal (Indoor)
    Winckelmannstraße 56
    12487 Berlin
    Kietz Klub Köpenick
    Köpenzeile 117
    12557 Berlin
    Modellpark Wuhlheide
    An der Wuhlheide 81
    12459 Berlin
    Myliusgarten
    12587 Berlin
    Nachbarschaftszentrum Grünau
    Wassersportallee 34
    12527 Berlin
    Ordnungsamt Treptow-Köpenick
    Salvador-Allende-Straße 80 A
    12559 Berlin
    Schutzhülle EV
    Rinkartstraße 13
    12437 Berlin
    Schwimmhalle Allendeviertel
    Pablo-Neruda-Straße 5
    12559 Berlin
    Schwimmhalle Baumschulenweg
    Neue Krugallee 209
    12437 Berlin
    Sozio-Kulturelles Zentrum Ratz-Fatz
    Schnellerstraße 81
    12439 Berlin
    Spreepark Info-Pavillon
    Kiehnwerderallee 1
    12437 Berlin
    Wista Hauptgebäude
    Rudower Chaussee 17
    12489 Berlin
    Zentrum für Biotechnologie und Umwelt 1
    Volmerstraße 7
    12489 Berlin
    Zentrum für Biotechnologie und Umwelt 2
    Magnusstraße 11
    12489 Berlin
    Zentrum für IT und Medien
    Albert-Einstein-Straße 14
    12489 Berlin
    Zentrum für Photovoltaik und Erneuerbare Energien
    Johann-Hittorf-Straße 8
    12489 Berlin

    #Berlin #WiFi #WLAN #kostenlos

  • Pour la suite du monde par Pierre Perrault, Michel Brault - ONF
    https://www.onf.ca/film/pour_la_suite_du_monde

    Documentaire poétique et ethnographique sur la vie des habitants de l’Isle-aux-Coudres rendue d’abord par une langue, verte et dure, toujours éloquente, puis par la légendaire pêche au marsouin, travail en mer gouverné par la lune et les marées. Un véritable chef-d’oeuvre du #cinéma_direct. Pierre Perrault, Michel Brault et Marcel Carrière ont fait ce film.

    #film #documentaire

    • Cinéma direct

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma_direct

      [...]

      Le cinéma direct , à proprement parler, naît à #Montréal (province de #Québec), au siège social de l’ONF, au sein du « studio français », et ce, en plein synchronisme historique de ce qu’on appellera la « révolution tranquille ». Cette période d’émancipation culturelle et économique peut se comprendre succinctement par la convergence de trois phénomènes : le courant de #décolonisation_mondial, le développement de l’#État-providence accompagné d’une #laïcisation_institutionnelle, ensemble rendu possible par la croissance économique des #Trente_Glorieuses et par le #baby_boom québécois.

      Le résultat de ces trois mouvements qui chamboulent complètement la société québécoise est une myriade de points de vue contradictoires dont rend compte l’article sur Les Raquetteurs de Michel Brault (1958). La contribution du cinéma québécois au direct est probablement la plus importante contribution faite au cinéma mondial par cette cinématographie nationale.

      Au début des années 1960, des amitiés importantes se lient entre des réalisateurs québécois et français. Claude Jutra qui séjourne en France sera proche de François Truffaut. Pour sa part, Gilles Groulx entretient un lien avec Jean-Luc Godard.

      [...]

      #documentaire #cinéma
      #Canada

      Trente Glorieuses: https://fr.wikipedia.org/wiki/Trente_Glorieuses

  • Il racconto dell’omicidio di #Agitu_Ideo_Gudeta evidenzia il razzismo democratico dei media italiani

    L’imprenditrice #Agitu Ideo Gudeta è stata uccisa il 29 dicembre nella sua casa a #Frassilongo, in provincia di Trento. Da subito si è ipotizzato si trattasse dell’ennesimo femminicidio (72 donne dall’inizio del 2020), anche in ragione del fatto che in passato la donna era stata costretta a querelare un uomo per #stalking. In quell’occasione Gudeta aveva chiesto di considerare l’aggravante razziale, dato che l’uomo, un vicino di casa, la chiamava ripetutamente “negra”, ma il giudice aveva respinto la richiesta del suo avvocato. Il giorno successivo all’omicidio, il suo dipendente #Adams_Suleimani, – un uomo ghanese di 32 anni – ha confessato il crimine, aggravato dal fatto che l’ha violentata mentre era agonizzante. Il movente sarebbe un mancato pagamento.

    Gudeta era nata ad Addis Abeba, in Etiopia, 42 anni fa. Non era più una “ragazza”, come hanno scritto alcune testate. La sua prima permanenza in Italia risale a quando aveva 18 anni, per studiare nella facoltà di Sociologia di Trento. Era poi tornata in Etiopia, ma nel 2010 l’instabilità del Paese l’ha costretta a tornare in Italia. Nello Stato africano si è interrotto solo pochi giorni fa il conflitto tra il Fronte di Liberazione del Tigré e il governo centrale etiope – i tigrini sono una minoranza nel Paese, ma hanno governato per oltre trent’anni senza far cessare gli scontri tra etnie – cha ha causato violazioni dei diritti umani, massacri di centinaia di civili e una grave crisi umanitaria.

    Proprio le minacce dei miliziani del Fronte di Liberazione avevano spinto Agitu Ideo Gudeta a tornare in Italia. La donna aveva infatti denunciato le politiche di #land_grabbing, ossia l’accaparramento delle terre da parte di aziende o governi di altri Paesi senza il consenso delle comunità che le abitano o che le utilizzano per mantenersi. Per questo motivo il governo italiano le ha riconosciuto lo status di rifugiata. In Trentino, dove si era trasferita in pianta stabile, ha portato avanti il suo impegno per il rispetto della natura, avviando un allevamento di ovini di razza pezzata mochena, una specie autoctona a rischio estinzione, e recuperando alcuni ettari di terreni in stato di abbandono.

    Il caseificio che aveva aperto rivelava già dal nome – La capra felice – il suo credo ambientalista e il suo antispecismo, ricevendo riconoscimenti da Slow Food e da Legambiente per l’impegno promosso con la sua azienda e il suo negozio. Agitu Ideo Gudeta era un nome noto nel movimento antirazzista italiano, ma oggi viene usata – persino dai Verdi – per presentare il Trentino come terra di accoglienza, in un tentativo di nascondere la xenofobia di cui era oggetto. Le origini della donna e del suo assassino stupratore sono sottolineate da tutti e precedono la narrazione della violenza, mettendola in secondo piano, salvo evidenziarla in relazione alla provenienza dell’omicida, che per una volta non è un italiano, né un compagno o un parente.

    Alla “ragazza” è stata affibbiata in tutta fretta una narrazione comune a quella che caratterizza altre donne mediaticamente esposte, come le attiviste Greta Thunberg e Carola Rackete, la cooperante Aisha Romano o la giornalista Giovanna Botteri, basata su giudizi e attacchi basati perlopiù su fattori estetici. Razzismo, sessismo e classismo si mescolano in questa storia in cui la violenza – quella del vicino di casa, quella del suo assassino, quella del governo etiope – rischiano di rimanere sullo sfondo, in favore del Grande gioco dell’integrazione. A guidarlo è come sempre un trionfalismo tipico dei white saviour (secondo una definizione dello storico Teju Cole del 2012), come se esistesse un colonialismo rispettabile: insomma, in nome della tolleranza, noi italiani doc abbiamo concesso alla donna un riparo da un Paese povero, di una povertà che riteniamo irrimediabile. Usiamo ormai d’abitudine degli automatismi e un lessico che Giuseppe Faso ha definito razzismo democratico, in cui si oppongono acriticamente migranti meritevoli a migranti immeritevoli, un dualismo che sa vedere solo “risorse” o “minacce all’identità nazionale”.

    Così il protagonismo di Agitu Ideo Gudeta viene improvvisamente premiato, trasformando lei in una migrante-eroina e il suo aguzzino nel solito stupratore non bianco, funzionale solo al “Prima gli italiani”. Ma parlare di Agitu Ideo Gudeta in termini di “integrazione” è un insulto alla sua memoria. Considerarla un simbolo in questo senso conferma che per molti una rifugiata sarà rifugiata per sempre e che una “migrante” non è altro che una migrante. La nostra stampa l’ha fatto, suggerendo di dividere gli immigrati in buoni e cattivi, decorosi e indecorosi, e trattando i lettori come se fossero tutti incapaci di accogliere riflessioni più approfondite.

    Parallelamente però, un governo che come i precedenti accantona la proposta di legge sulla cittadinanza favorisce un racconto privo di sfumature, che rifiuta in nome di una supposta complessità non affrontabile nello sviscerare questo tema. Forse se avessimo una legge sulla cittadinanza al passo con i tempi, e non una serie di norme che escludono gli italiani di seconda generazione e i migranti, potremmo far finalmente progredire il ragionamento sulla cosiddetta convivenza e sulla coesione sociale ed esprimerci con termini più adeguati. Soprattutto chi è stato in piazza a gridare “Black Lives Matter”, “I can’t breathe” e “Say Their Names” oggi dovrebbe pretendere che la notizia di questo femminicidio venga data diversamente: in Trentino una donna di nome Agitu Ideo Gudeta è stata uccisa e violentata. Era diventata un’imprenditrice di successo nel settore caseario dopo essersi opposta alle politiche di land grabbing in Etiopia. Era un’attivista e un’ambientalista molto conosciuta. Mancherà alla sua comunità.

    https://thevision.com/attualita/agitu-gudeta-razzismo

    #féminicide #racisme #Italie #meurtre #femmes #intersectionnalité #viol #réfugiés #accaparement_des_terres #Trentin #éleveuse #élevage #Pezzata_Mòchena #chèvrerie #chèvres #La_capra_felice #xénophobie
    #white_saviour #racisme_démocratique
    –-

    Le site web de la #fromagerie de Agitu Ideo Gudet :


    http://www.lacaprafelice.com

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    NB :
    Grâce à une amie qui connaissait Agitu je viens de connaître une autre facette de cette histoire. Un drame dans le drame, dont je ne peux/veux pas parler ici.

    • Murdered Agitu Ideo Gudeta, an example of environmental preservation and female entrepreneurship in Italy.

      Agitu was found dead in her home in #Val_dei_Mocheni, Trentino, Italy. The entrepreneur and shepherdess from Ethiopia would turn 43 on January 1st.
      An employee of her company confessed the murder followed by rape.

      One of the main news in the Italian media, the murder of Agitu brought much indignation. Especially among women. In Italy, a woman is murdered every three days, according to a report from Eures.

      “When will this massacre of women end? When? Today, feminicide has extinguished the smile of a dear and sweet sister. Rest in peace Agitu. We will miss you a lot”, twitted the Italian writer with SomaIi origin Igiaba Sciego.

      Agitu, originally from Addis Ababa, was born into a tribe of nomadic shepherds. She went to Rome to study Sociology when she was 18 years old and returned to Ethiopia. However, she left her country again in 2010, fleeing threats for her commitment by denouncing “land grabbing” by multinationals.

      In Italy, in Valle dei Mocheni, Trentino, she began to preserve a goat species in extinction, the #Mochena goat.

      An example of female entrepreneurship, she set up the company “La capra felice” (The happy goat) producing cheeses and cosmetic products with goat’s milk.

      She has become an example of organic and sustainable production.

      Agitu’s work has been recognized throughout Italy, her story published in many medias, she attended different events and has been rewarded for her commitment to preserving goats and her production of organic products. One of the awards was the Slow Cheese Resistenza Casearia award, in 2015.

      It was not the first time that Agitu had her life under threat in the hands of men. She publicly denounced her neighbour for stalking, racially motivated threats and aggression. For months she was threatened by a man and one of the reasons was that she offered work and apprenticeship for refugees from African origins. “This neighbour does not like the colour of our skin and does what it can to create confusion,” she said at an interview.

      On December 29, her life was taken by a man who worked for her, shepherding her goats. According to him, for financial reasons. The man confessed to the crime and also revolted that he had committed rape after the attack. The man beat her in her head with a hammer. He was arrested.

      Agitu was found lifeless after friends called the police because they thought it was strange that she didn’t come to a meeting and didn’t answer the phone.

      The murder is a tragic end for a woman who brought so many good things into the world.

      Until when will we lose our sisters to violence?

      Rest in peace Agitu. We will never forget your legacy.

      https://migrantwomenpress.com/agitu-ideo-gudeta-murdered/amp/?__twitter_impression=true

      #montagne

    • Grâce à une amie qui connaissait Agitu je viens de connaître une autre facette de cette histoire. Un drame dans le drame, dont je ne peux/veux pas parler ici.

    • Le féminicide d’Agitu Ideo Gudeta choque l’Italie

      Ce 29 décembre, Agitu Ideo Gudeta, une réfugiée éthiopienne de 42 ans, a été retrouvée morte à son domicile, dans le nord de l’Italie, annonce La Repubblica. Elle était connue dans tout le pays grâce à son activité, couronnée de succès, d’éleveuse de chèvres et avait été à de nombreuses reprises médiatisée.

      Une célèbre bergère

      Selon le quotidien local Il Dolomiti, Agitu Gudeta était devenue « la bergère la plus célèbre des vallées du Trentin ». Et son histoire n’était pas banale. En 2010, elle avait dû fuir l’Éthiopie à cause de son activité de militante environnementaliste. Elle subissait des menaces de poursuites judiciaires et des menaces de mort car elle s’opposait à l’accaparement des terres par certaines multinationales.

      A 30 ans, toute seule dans un nouveau pays et dans la région réputée inhospitalière du Trentin, elle avait commencé une autre vie, avec ses 180 chèvres et sa propre entreprise prospère de fromages bio baptisée « La Capra Felice », la chèvre heureuse. Elle avait choisi de protéger une espèce rare, la chèvre Mochena, qui survit dans cette vallée isolée.
      Insultes et menaces racistes

      Avec sa réussite, c’est à d’autres menaces qu’elle avait dû faire face : des menaces et insultes racistes de la part de ses voisins. Elle avait été agressée physiquement également. Elle avait porté plainte contre l’un d’eux qui avait été condamné en janvier à 9 mois sous liberté conditionnelle.

      https://www.youtube.com/watch?v=CF0nQXrEJ30&feature=emb_logo

      https://www.rtbf.be/info/dossier/les-grenades/detail_le-feminicide-d-agitu-ideo-gudeta-choque-l-italie?id=10664383

    • Trentino, uccisa in casa Agitu Gudeta, la rifugiata etiope simbolo dell’integrazione

      Scappata dal suo Paese, aveva fondato l’azienda agricola «La capra felice» nella Valle dei Mocheni dove allevava animali a rischio di estinzione.

      L’hanno trovata senza vita all’interno della sua casa di Frassilongo (Trentino), colpita con violenza alla testa. Un omicidio, hanno confermato i carabinieri che nel tardo pomeriggio sono giunti sul posto, chiamati dai vicini e stanno lavorando per ricostruire l’accaduto.

      È finito così - forse con un colpo di martello - il sogno di Agitu Ideo Gudeta, pastora etiope che avrebbe compiuto 43 anni il giorno di Capodanno e che si era data l’obiettivo di salvare dall’estinzione (e anche dagli attacchi dell’orso) la capra mochena, una specie che sopravvive in una valle isolata della Provincia di Trento dove la donna aveva trovato casa.

      Ma il suo problema - aveva denunciato un paio di anni fa - più che gli orsi erano i vicini: «Mi insultano, mi chiamano brutta negra, dicono che me ne devo andare e che questo non è il mio posto» aveva denunciato ai carabinieri, raccontando anche pubblicamente la sua storia. Le indagini perà si concentrerebbero su un giovane africano dipendente dell’azienda ’La Capra Felice’. A quanto pare, l’uomo - che non è quello che l’aveva minacciata ed aggredita - avrebbe avuto dissidi con Agitu per motivi economici. A dare l’allarme ai carabinieri sono stati alcuni vicini a loro volta chiamati da un uomo con il quale la vittima aveva un appuntamento al quale non si era presentata.

      Sul caso delle minacce arrivò la solidarietà del presidente della giunta provinciale, all’epoca Ugo Rossi: «Il fatto che Agitu, da rifugiata, abbia avviato la sua attività agricola sul nostro territorio dimostra che il Trentino crede nell’accoglienza e nella solidarietà». Una storia di minacce e danneggiamenti, finita in tribunale con la condanna a 9 mesi per lesioni di un uomo del posto che aveva sempre liquidato la faccenda come una lite fra vicini: «Il razzismo non c’entra». La donna quindi aveva ripreso a girare i mercati del Trentino per vendere i prodotti realizzati con il latte delle sue cinquanta capre, con il furgone che sulla fiancata riportava il nome dell’azienda agricola: «La capra felice».

      Agitu Gudeta era fuggita in Italia nel 2010 e aveva ottenuto lo status di rifugiata e dopo qualche anno era riuscita ad avviare la sua azienda agricola a Frassilongo scommettendo sulle capre mochene. Nel 2017 aveva partecipato all’incontro «Donne anche noi», raccontando la sua storia di migrante arrivata in Italia. Originaria della capitale Addis Abeba, era stata costretta a lasciate l’Etiopia perché a causa del suo impegno contro l’accapparramento delle terre da parte di alcune multinazionali era stata oggetto di minacce di morte.

      https://www.repubblica.it/cronaca/2020/12/29/news/trentino_trovata_morta_agitu_gudeta_donna_42enne_simbolo_di_integrazione_

    • Tributes paid to Ethiopian refugee farmer who championed integration in Italy

      Agitu Ideo Gudeta, who was killed on Wednesday, used abandoned land to start a goat farming project employing migrants and refugeesTributes have been paid to a 42-year-old Ethiopian refugee and farmer who became a symbol of integration in Italy, her adopted home.

      Agitu Ideo Gudeta was attacked and killed, allegedly by a former employee, on her farm in Trentino on Wednesday.

      Gudeta had left Addis Ababa in 2010 after angering the authorities by taking part in protests against “land grabbing”. Once in Italy, she tenaciously followed and realised her ambition to move to the mountains and start her own farm. Taking advantage of permits that give farmers access to abandoned public land in depopulated areas, she reclaimed 11 hectares (27 acres) around an old barn in the Mòcheni valley, where she founded her La Capra Felice (The Happy Goat) enterprise.

      Gudeta started with a herd of 15 goats, quickly rising to 180 in a few years, producing organic milk and cheese using environmentally friendly methods and hiring migrants and refugees.

      “I created my space and made myself known, there was no resistance to me,” she told Reuters news agency that year.

      “Agitu brought to Italy the dream she was unable to realise in Ethiopia, in part because of land grabbing,” Gabriella Ghermandi, singer, performer, novelist and friend of Gudeta, told the Guardian. “Her farm was successful because she applied what she had learned from her grandparents in the countryside.

      “In Italy, many people have described her enterprise as a model of integration. But Agitu’s dream was to create an environmentally sustainable farm that was more than just a business; for her it also symbolised struggle against class divisions and the conviction that living in harmony with nature was possible. And above all she carried out her work with love. She had given a name to each one of her goats.”

      In a climate where hostility toward migrants was increasing, led by far-right political leaders, her success story was reported by numerous media outlets as an example of how integration can benefit communities.

      “The most rewarding satisfaction is when people tell me how much they love my cheeses because they’re good and taste different,” she said in an interview with Internazionale in 2017. “It compensates for all the hard work and the prejudices I’ve had to overcome as a woman and an immigrant.”

      Two years ago she received death threats and was the target of racist attacks, which she reported to police, recounting them on her social media posts.

      But police said a man who has confessed to the rape and murder of the farmer was an ex-employee who, they said, allegedly acted for “economic reasons”.

      The UN refugee agency said it was “pained” by Gudeta’s death, and that her entrepreneurial spirit “demonstrated how refugees can contribute to the societies that host them”.

      “Despite her tragic end, the UNHCR hopes that Agitu Ideo Gudeta will be remembered and celebrated as a model of success and integration and inspire refugees that struggle to rebuild their lives,” the agency said.

      “We spoke on the phone last week’’, said Ghermandi. “We spent two hours speaking about Ethiopia. We had plans to get together in the spring. Agitu considered Italy her home. She used to say that she had suffered too much in Ethiopia. Now Agitu is gone, but her work mustn’t die. We will soon begin a fundraising campaign to follow her plan for expanding the business so that her dream will live on.”

      Gudeta would have turned 43 on New Year’s Day.

      https://www.theguardian.com/global-development/2021/jan/01/tributes-paid-to-ethiopian-refugee-farmer-who-championed-integration-in

    • Dalla ricerca di eroi alla costruzione di progetti comunitari. Perché è importante cambiare narrazione

      Del bisogno di eroi

      La storia del passato, così come la cronaca quotidiana, pullula di storie di eroi che troneggiano nell’immaginario collettivo. Quello di eroi ed eroine è un bisogno antico, che riflette la necessità di costruire cognitivamente il mondo reale per mezzo di narrative che ci permettano di affidare ruoli e connotati chiari a singoli individui e gruppi sociali, soddisfacendo il nostro bisogno di certezze che affonda le radici tanto nella mitologia classica quanto nel pensiero cristiano e che sostengono la costruzione della nostra moralità culturale e senso dell’etica.

      Si tratta però di un bisogno che è ancora largamente presente nelle società contemporanee, a dispetto dei progressi indotti dal processo di formazione del diritto moderno, che ha portato a distinguere in maniera netta tra ciò che è lecito e ciò che lecito non è. Questo processo non è infatti riuscito, se non in astratto attraverso artifici teorici, a superare la dimensione individualistica (Pisani, 2019). Di qui il perdurare del bisogno di eroi, che continua a essere percepito come rilevante perché offre un’efficace e facile via di fuga. Consente, talvolta inconsapevolmente, di banalizzare situazioni e fenomeni complessi, interpretarli in maniera funzionale alla nostra retorica e giustificare l’inazione.

      Se l’obiettivo è però innescare profondi cambiamenti sociali all’insegna di una maggiore giustizia sociale e lotta alle profonde disuguaglianze del nostro tempo, allora non è di singoli eroi che si dovrebbe andare alla ricerca, ma di una diversa narrazione che faccia assegnamento sull’impegno autentico delle comunità. Comunità locali che sono sempre più chiamate a svolgere un ruolo rilevante nella costruzione sia di sistemi di welfare di prossimità, sia di nuovi modelli di produzione a larga partecipazione, in risposta a una pluralità di bisogni e sfide incompiute che spaziano dall’inclusione di persone vulnerabili fino alla gestione di beni comuni come la salute, il territorio, l’energia.[1]

      Quest’articolo prende le mosse da una convinzione di fondo. Nonostante il ruolo importante che svolgono nel generare benessere sociale, le comunità locali stentano ad essere riconosciute come protagoniste di un processo di cambiamento.

      Responsabile della loro scarsa visibilità e incisività non è solo l’insufficiente riconoscimento politico, ma anche una narrazione incoerente di cui si fanno sovente portatrici anche le organizzazioni di terzo settore che gli interessi delle comunità promuovono. Una narrazione spesso incentrata sul culto di singole personalità che, mettendo in ombra l’ancoraggio comunitario, rischia di incrinare l’impatto generativo del terzo settore.

      Dopo una riflessione sul perché bisognerebbe diffidare delle narrazioni idealizzate e sugli effetti del pathos degli eroi, l’articolo si sofferma su un caso specifico, quello di Agitu Ideo Gudeta, assassinata sul finire del 2020 da un suo collaboratore. Quindi, prendendo le mosse da questa drammatica vicenda, gli autori si soffermano sulle ragioni che farebbero propendere per la sostituzione degli eroi con progetti collettivi, sollecitando le organizzazioni di terzo settore, in primis, a cambiare narrazione.
      Pathos degli eroi

      Gli esempi di persone, professionisti e politici che sono stati idealizzati in virtù di reali o presunti talenti o gesta sono molteplici e coinvolgono frange della società civile – sia conservatrici e reazionarie, sia progressiste – così come il mondo della politica. Eroi che, spesso in virtù di altrettante semplificazioni, da figure mitologiche sono stati di punto in bianco trasformati in demoni o in capri espiatori, lasciando volutamente in ombra la complessità dei contesti, le relazioni, le fragilità, le emozioni e i comportamenti, spesso controversi, che accompagnano ogni essere umano, sia nei momenti di gloria, sia in quelli più bui.

      Nell’ambiente conservatore spicca la parabola di Vincenzo Muccioli, santificato negli anni ’80 come salvatore di migliaia di giovani spezzati dall’eroina, e poi demonizzato dai mezzi di informazione, prescindendo da un’analisi approfondita della sua controversa iniziativa. Tra gli esempi di persone e professionisti che sono stati santificati e poi travolti da un’onda di retorica colpevolista vi sono gli infermieri e i medici, celebrati come supereroi allo scoppio della pandemia Covid-19, passati nel secondo lockdown ad essere additati come appestati e untori, quando non complici di una messa in scena.[2]
      Emblematico è anche il caso dei volontari, portati puntualmente alla ribalta della cronaca come angeli durante catastrofi e crisi naturali, per poi svanire nel nulla in tempi non emergenziali, a dispetto del loro prezioso contributo quotidiano per migliorare la qualità della vita delle persone più vulnerabili.[3]
      Con riferimento all’ambiente più militante e progressista si distingue Mimmo Lucano, ex sindaco di Riace, passato dall’essere innalzato a mito dell’accoglienza dalla stampa e dal sistema SPRAR, in virtù dell’esperienza pionieristica sperimentata dal suo Comune, a essere abbandonato e attaccato da una parte dei media. Il cambio di atteggiamento nei confronti di Lucano coincide con la controversa vicenda giudiziaria che lo vede coinvolto per favoreggiamento dell’immigrazione e per la gestione di progetti di accoglienza, dopo che il suo Comune è stato per anni pressato dal Viminale e dalla Prefettura affinché ospitasse un gran numero di richiedenti asilo, rifiutati da altri progetti di accoglienza (Procacci, 2021). Nel mondo della politica istituzionale primeggia l’attuale santificazione di Mario Draghi, acclamato come unico possibile salvatore di un Paese al collasso dopo essere stato considerato un simbolo dei poteri finanziari forti negli anni della crisi economica globale (Dominjanni, 2021).
      Perché diffidare degli eroi?

      Le ragioni che portano a diffidare degli eroi sono molteplici. I riflettori accesi esclusivamente sulla dimensione dell’eccellenza[4]
      distolgono l’attenzione da tutto ciò che condiziona le azioni dell’eroe, come i contesti istituzionali e ambientali, incluso il bagaglio di risorse, non solo economiche ma anche sociali e culturali, su cui il singolo fa assegnamento. A influenzare i percorsi che portano alle presunte gesta eccezionali di chi viene incoronato come eroe, ci sono comunità e organizzazioni, più o meno coese, composte da una pluralità di individui che si relazionano tra di loro per contribuire, in base al ruolo ricoperto, al raggiungimento di obiettivi condivisi. Anche le scelte dell’imprenditore più autoritario e accentratore, sono condizionate dalle persone e dall’ambiente con cui è interconnesso. Il potenziale innovativo non è quindi un dono che gli dei fanno a pochi eletti (Barbera, 2021), ma un processo complesso che per essere compreso appieno presuppone un’analisi articolata, che ricomprende una pluralità di elementi economici, sociali e relazionali. Elementi che le analisi fondate sugli eroi nella maggior parte dei casi ignorano, riconducendo sovente il successo dell’iniziativa idealizzata esclusivamente a un’intuizione del singolo.

      A fomentare una narrazione personalistica ha contribuito lo storytelling che ha fatto dell’innovazione il mantra dominante (Barbera, 2021). Responsabile è principalmente la retorica di stampo neoliberista, incentrata sul mito dell’imprenditore individuale, che ha assoggettato la maggior parte dei campi del sapere, arrivando a giustificare le disuguaglianze poiché conseguenti a un processo liberamente accettato dove ognuno ha pari opportunità di accesso al mercato e alla proprietà (Piketty, 2020). Di qui la riconversione del cittadino in homo oeconomicus, orientato non più allo scambio come nel liberismo classico, bensì alla valorizzazione di sé stesso in quanto capitale umano (Dominjianni, 2017). Una parte della letteratura sul management del terzo settore ha introiettato questa logica, proiettandola nella figura eroica dell’imprenditore sociale (Waldron et al., 2016; Miller et al., 2012; Dacin et al., 2011; Short et al., 2009; Zahra et al., 2009; Bornstein, 2007; Martin, Osberg, 2007; Austin et al., 2006).[5]
      Sottolineando il connubio tra tratti etici e competenze creative e leadership, che permetterebbero all’imprenditore sociale di assumersi i rischi necessari a raggiungere obiettivi sociali straordinari, questa letteratura ha trascurato i processi organizzativi e decisionali che sono alla base del funzionamento delle diverse organizzazioni (Petrella, Battesti, 2014).

      Il culto degli eroi ha così contribuito ad allontanare l’attenzione da alcune caratteristiche precipue di associazioni e cooperative, tra cui in primis l’adozione di modelli di governo inclusivi ad ampia partecipazione, che dovrebbero favorire il coinvolgimento di una pluralità di portatori di interesse nei processi decisionali, in rappresentanza dei diversi gruppi sociali che abitano un territorio (Sacchetti, 2018; Borzaga e Galera, 2016; Borzaga e Sacchetti, 2015; Defourny e Borzaga, 2001).[6]
      Ciò si verifica, ad esempio, quando una organizzazione di terzo settore costituita su basi democratiche, è identificata con il nome di un singolo eroe: un fondatore, un religioso che – anche quando non ricopra effettivamente cariche formali apicali – si riconosce come ispirazione e figura carismatica. Sono casi in cui talvolta il percorso di sviluppo dell’ente passa in secondo piano rispetto a quello di un singolo individuo il cui nome è di per sé evocativo dell’intera organizzazione.
      Gli effetti delle narrazioni eroicizzate

      L’immediata spendibilità comunicativa delle narrazioni fondate su figure eroiche spiega perché esse siano largamente preferite da una parte rilevante della politica, da molti osservatori e dalla quasi totalità degli operatori dell’informazione rispetto a studi analitici volti a comprendere i fenomeni sociali e a rendere conto ai cittadini e agli attori esterni delle scelte di policy compiute. Di qui l’incapacità di comprendere le problematiche che affliggono la società contemporanea e la proiezione artificiale in una figura erta a simbolo, non senza implicazioni negative.
      Allontanano dall’individuazione di possibili soluzioni

      Oltre a offuscare il contesto di appartenenza, la retorica dell’azione straordinaria allontana l’attenzione da quello che dovrebbe essere il corretto funzionamento di qualsiasi sistema, a livello macro, così come a livello micro. Nelle narrazioni incentrate sugli eroi non c’è spazio né per analisi valutative comparate, né tantomeno per riflessioni su come dovrebbe funzionare, ad esempio, un’organizzazione.

      Scoraggiando la correttezza analitica su temi di rilevanza pubblica e disincentivando qualsiasi tipo di studio volto a misurare l’efficacia di singole iniziative di welfare o il loro impatto sull’occupazione e il benessere della collettività, le narrazioni eroicizzate impediscono di indagare la realtà in maniera approfondita. Di conseguenza, non consentono di comprendere le implicazioni, non solo economiche ma anche in termini di efficacia, che sono connesse alle diverse soluzioni di policy.

      La tendenza ad analizzare la realtà in maniera superficiale, spesso in nome di un’imperante “politica del fare”, ci allontana quindi dall’individuazione di possibili soluzioni ai problemi che affliggono le società contemporanee. I riflettori accesi su una singola esperienza nel campo delle dipendenze hanno per molto tempo impedito un confronto serio sull’efficacia degli interventi di riabilitazione sperimentati dalle diverse realtà di accoglienza, non solo in termini di disintossicazione, ma anche di reinserimento nel tessuto sociale delle persone accolte. L’esaltazione della figura di Vincenzo Muccioli ha contribuito a trascurare negli anni ‘80 le oltre 300 iniziative di accoglienza di tossicodipendenti che in quegli stessi anni stavano sperimentando percorsi di riabilitazione alternativi basati sull’ascolto individuale, la responsabilità e la condivisione comunitaria. Realtà che, basandosi su uno scambio tra contributi volontari e competenze professionali (sociologici, psicologi, educatori, psichiatri, ecc.), prendevano le mosse a partire dall’esperienza di organizzazioni già radicate come il Gruppo Abele, San Benedetto al Porto e la Comunità di Capodarco, così come nuove esperienze, tra cui il Ceis, Exodus, Saman, Villa Maraini a Roma e la comunità Betania a Parma (De Facci, 2021). Tra le tante comunità di accoglienza e recupero nate tra gli anni ’70 e ’80, particolarmente interessante è quella trentina di Camparta, che è stata recentemente raccontata da alcuni dei suoi protagonisti. Promossa su iniziativa di uno psicoterapeuta d’impronta basagliana e animata da ideali libertari e comunitari, Camparta ha sperimentato un metodo di riabilitazione olistico, fondato su un percorso di ricerca interiore, confronto e rifondazione culturale a tutto campo (I ragazzi di Camparta, 2021).

      La narrazione fortemente polarizzata tra posizioni idealizzate pro e anti migranti continua a impedire un’analisi rigorosa e sistematica del fenomeno migratorio che possa fornire utili indicazioni di policy su come andrebbe gestita l’accoglienza di richiedenti asilo e rifugiati entro una visione di sviluppo locale piuttosto che secondo una logica emergenziale. L’idealizzazione di Mimmo Lucano ha distolto l’attenzione dalle tante altre esperienze di accoglienza di cui l’Italia è ricca. Iniziative che, prendendo in alcuni casi ispirazione dall’iniziativa pionieristica di Riace, hanno saputo innescare processi di sviluppo a livello locale grazie ad una proficua collaborazione tra enti di terzo settore e enti locali (Galera, Borzaga, 2019; Lucano, 2020).

      Coprendo le nefandezze e le carenze di un sistema sanitario al collasso, la celebrazione di medici e infermieri come angeli durante il primo lockdown ha ritardato una riflessione quanto mai necessaria su come dovrebbe essere riformato il sistema sanitario per renderlo maggiormente in grado di gestire le attuali sfide socio-sanitarie, così come quelle all’orizzonte per effetto dell’allevamento industriale intensivo, del massiccio impiego di antibiotici in allevamento e dei cambiamenti climatici (Galera, 2020; Tamino, 2020).

      A livello organizzativo, le narrazioni incentrate sull’azione straordinaria degli eroi imprenditori incoraggiano sistematicamente sia l’adozione di strumenti di management, sia l’adesione a culture organizzative che, svilendo la componente della partecipazione, indeboliscono la capacità del terzo settore di incidere a livello locale; e influenza, in modo negativo, pure le politiche, laddove, ad esempio nelle scelte di finanziamento, venga privilegiata l’idea “innovativa”[7]
      rispetto alla capacità di costruire legami di comunità e di rafforzare soggetti collettivi e inclusivi.

      A livello di sistema, l’impatto generativo del terzo settore è nondimeno minato dall’incapacità – insita in ogni idealizzazione – di discernere tra elementi non trasferibili, perché legati a particolari condizioni congiunturali e di contesto favorevoli, ed elementi “esportabili”. Tra questi, ad esempio, modelli di servizio, strumenti di lavoro, strategie di collaborazione o forme dell’abitare che, essendo stati sperimentati con esiti positivi, potrebbero essere modellizzati e replicati su più ampia scala, qualora liberati dal giogo dell’eroe.
      Forniscono l’alibi per rifugiarsi nell’inazione

      Tra i gruppi idealizzati rientrano i volontari e gli operatori impegnati in prima linea nelle situazioni emergenziali generate da catastrofi naturali. Nel caso dei volontari, la tendenza predominante è mitizzarne il coinvolgimento durante le emergenze e ignorarne sistematicamente il contributo nella vita quotidiana a sostegno delle persone più vulnerabili o del territorio che abitiamo per contenerne la fragilità.

      Tra gli esempi di mobilitazioni di volontari idealizzate vi sono quelle avvenute in occasione di nubifragi e terremoti. Tra queste l’alluvione che nel 1966 cosparse Firenze di acqua e fango, causando gravissimi danni sia alle persone sia al patrimonio artistico (Silei, 2013). Ulteriori esempi di mobilitazioni comunitarie sono rappresentati dal terremoto del 2012 in Emilia e dall’alluvione di Genova nel 2014. Catastrofi naturali che hanno attivato una catena di solidarietà in grado di compensare, almeno in parte, l’assenza di un’organizzazione centralizzata capace di gestire opportunamente le emergenze.

      L’uso di espressioni improprie come “angeli” e “eroi” mette tuttavia in ombra la normalità dell’azione di milioni di cittadini che nelle associazioni o individualmente nei loro posti di lavoro, in strada o su internet, chiedono l’attenzione delle istituzioni, anche prima delle emergenze, denunciano gli abusi e si battono per i propri diritti (Campagna #nonsonoangeli, 2014).[8]
      La mitizzazione dei volontari nei momenti di crisi non solo svilisce il loro prezioso contributo nella quotidianità. Appigliandosi al pretesto che l’impegno sia appannaggio di pochi eletti, l’idealizzazione offre ai così detti “cittadini ordinari” l’alibi per rifugiarsi nell’inazione.
      Scoraggiano la costruzione di un sistema valoriale alternativo

      Il pathos suscitato dagli eroi offre nondimeno la scorciatoia per non impegnarsi nella costruzione di un sistema valoriale coerente con i principi e i valori dichiarati. Il sistema di riferimenti valoriali riprodotto dall’eroe permette, infatti, di aggregare consenso in maniera immediata, senza alcuna fatica. Diversamente, un percorso di produzione valoriale sociale in grado di innescare cambiamenti consapevoli richiederebbe sia un impegno rilevante in termini di ascolto, confronti e negoziazioni volti a tracciare un itinerario di azione condiviso, sia tempi considerevoli.

      Di qui l’effimera illusione che l’eroe, consentendo di conseguire approvazione e sostegno nel breve termine, possa aiutarci a sostenere il nostro sistema valoriale in maniera più efficace. Le storie di eroi ci mostrano, invece, come i sistemi basati sull’idealizzazione siano nel medio e lungo periodo destinati a produrre l’effetto contrario. Creando una frattura netta tra gli eroi e i non eroi, influenzano in senso antisociale i comportamenti collettivi e individuali (Bonetti, 2020). E così facendo, ci allontanano da quello che dovrebbe essere il modello di società più rispondente al sistema valoriale che vorremmo promuovere.
      Incoraggiano la polarizzazione tra “buoni” e “cattivi”

      Di conseguenza, oltre a non contribuire a risolvere spinosi problemi sociali, le narrazioni idealizzate favoriscono una polarizzazione tra “buoni” e “cattivi” in cui le posizioni contrapposte si alimentano a vicenda, compromettendo il dialogo e la gestione dei conflitti.

      La tendenza a polarizzare è una prassi diffusa nel settore dell’informazione, incline a esaltare o distruggere personaggi simbolo (Sgaggio, 2011), così come tra opinionisti, osservatori, ricercatori, esperti e tra le organizzazioni della società civile.

      Quella della polarizzazione e categorizzazione è tuttavia una tendenza a cui siamo tutti soggetti, spesso inconsapevolmente. Siamo attratti maggiormente da notizie e informazioni che siano in grado di confermare le nostre interpretazioni del mondo, mentre siamo respinti magneticamente da tutto ciò che mette in discussione le nostre certezze o alimenta dubbi. Elaborare messaggi che si allineano con le nostre ideologie richiede, non a caso, uno sforzo cognitivo considerevolmente minore rispetto alla messa in discussione delle nostre sicurezze (Michetti, 2021).

      L’inclinazione a semplificare e categorizzare è in una certa misura una reazione incontrollata, indotta dall’esigenza di difenderci dal bombardamento di informazioni a cui siamo sottoposti sistematicamente. Una reazione che rischia di essere esasperata dallo stato emotivo di vulnerabilità a livello individuale e collettivo in cui ci troviamo a causa della pandemia. L’essere più fragili ci rende, infatti, più facilmente preda di abbagli e simboli in cui proiettare paure, ambizioni e desideri di cambiamento in positivo.
      Esasperano le fragilità delle persone idealizzate

      In mancanza della consapevolezza di essere oggetto di idealizzazione, la mitizzazione può avere conseguenze deleterie anche sulla persona idealizzata. Come alcune storie di eroi ci mostrano, l’idealizzazione può portare a una progressiva esasperazione di fragilità latenti e, nei casi estremi, a una dissociazione cognitiva. Di qui lo sviluppo – nelle persone borderline – di disturbi narcisistici e megalomani, che possono accelerare la caduta del mito, sempre al varco quando vi è un processo di santificazione in atto.[9]

      A prescindere dall’evoluzione dell’idealizzazione, delle competenze, talenti o accuse di cui può essersi macchiato il presunto eroe, si tratta di un percorso a termine, nella maggior parte dei casi destinato a lasciare spazio alla solitudine non appena la stagione della gloria si esaurisce, talvolta accompagnata dalla dissacrazione della figura dell’eroe.
      Il caso della pastora Agitu Ideo Gudeta e della “Capra Felice”

      La recente idealizzazione della pastora etiope Agitu Ideo Gudeta, titolare dell’azienda agricola “La Capra Felice”, esaltata a seguito della sua uccisione, confermano il bisogno compulsivo di eroi che affligge una rilevante fetta di società, in questo caso quella più militante e attenta alla giustizia sociale, ai valori della solidarietà e dell’antirazzismo. La sua storia è molto conosciuta.

      Agitu Ideo Gudeta nasce nel 1978 in Etiopia. Emigra in Italia per motivi di studio ma, appena laureata, torna nella sua terra d’origine per combattere contro il land-grabbing. Dopo aver ricevuto pesanti minacce per il suo impegno contro le multinazionali, rientra come rifugiata in Italia e avvia in Trentino un allevamento di ovini di razza pezzata mòchena, una specie autoctona a rischio di estinzione, e un caseificio, La Capra Felice, i cui prodotti biologici e gli intenti ambientalisti la portano ad ottenere riconoscimenti anche da Slow Food e da Legambiente. Per la sua attività Agitu Ideo Gudeta recupera un pascolo di oltre 10 ettari in stato di abbandono e occupa nel corso degli anni numerosi giovani richiedenti asilo e rifugiati.

      Quello di Agitu Ideo Gudeta è un racconto ineccepibile di cui tanti attivisti si sono innamorati, estrapolando pezzi della sua storia che calzavano a pennello con la loro retorica. Il suo percorso ha trovato terreno fertile nelle narrazioni sull’inclusione, nelle analisi di buone pratiche di imprenditoria migrante e femminista, nelle storie di rivitalizzazione di aree interne, negli esempi di recupero di specie animali autoctone a rischio di estinzione, e nella lotta contro il land-grabbing.

      La maggior parte delle analisi, in particolare quelle realizzate dopo la sua uccisione, si è tuttavia limitata ad una descrizione superficiale che ha sottovalutato le caratteristiche di un contesto contraddistinto da una molteplicità di sfide e criticità legate in primo luogo al settore di attività, la pastorizia, notoriamente a rischio di sfruttamento per le caratteristiche intrinseche a tutte le attività agricole. Si tratta di attività esposte a una molteplicità di fattori di incertezza; a quelli produttivi e di mercato si aggiungono rischi climatici, ambientali e istituzionali legati al cambio di normative e regolamenti, che condizionano fortemente le entrate economiche, specie delle aziende agricole di piccole dimensioni.

      Tra le caratteristiche di contesto rientra anche il tipo di territorio: la Valle Dei Mòcheni, un’area alpina periferica dove esistono ancora regole antiche che governano i rapporti tra i membri della comunità. Infine, un ulteriore elemento di complessità è legato alla tipologia di lavoratori impiegati dalla Capra Felice: richiedenti asilo e rifugiati, ovvero persone fragili che mostrano, in generale, un’alta vulnerabilità spesso dovuta a disturbi post-traumatici da stress (Barbieri, 2020).[10]
      Queste sfide e criticità si sono intrecciate con le difficoltà legate a un processo di sviluppo imprenditoriale che la Capra Felice ha intrapreso in un momento di grave instabilità e recessione economica.

      A dispetto delle drammatiche circostanze in cui i fatti si sono svolti, la retorica che potremmo chiamare della beatificazione seguita all’uccisione di Agitu Ideo Gudeta non ha lasciato alcuno spazio alla riflessione critica. Non solo le istituzioni pubbliche e gli operatori dell’informazione, ma anche molti politici e organizzazioni di terzo settore si sono rifugiati nella facile consacrazione dell’eroina, piuttosto che interrogarsi sulle fragilità dell’ambiente in cui Agitu Ideo Gudeta operava, sulle difficoltà incontrate da lei e dai suoi collaboratori, e persino sulle concause che potrebbero aver portato alla sua uccisione.

      Mentre si sono sprecate le parole per “eroicizzarla”, nessuno si è interrogato sulla qualità del lavoro, sul tipo di relazione lavorativa che la Capra Felice instaurava con i giovani richiedenti asilo e sull’esito dei loro percorsi di integrazione.

      Chi erano e che ruolo avevano i collaboratori della Capra Felice? Quanti richiedenti asilo hanno lavorato nel corso degli anni e in che misura e da chi erano seguiti nei loro percorsi di inclusione? Qual era il turn over dei lavoratori stranieri? Che rapporto avevano i collaboratori della Capra Felice con il territorio e la comunità locale? Dove vivono e lavorano ora gli ex lavoratori? Nel caso di lavoratori particolarmente fragili, qual era il ruolo dei servizi sociali e sanitari? Il percorso di sviluppo imprenditoriale della Capra Felice è stato seguito da qualche incubatore di impresa e, in caso negativo, perché no?

      Queste sono solo alcune delle domande su cui si sarebbe dovuto a nostro avviso interrogare qualsiasi osservatore non superficiale, interessato a comprendere e a sostenere i percorsi di accoglienza e inclusione sociale e lavorativa delle persone fragili.
      Progetti collettivi al posto di eroi e eroine

      La storia tragica di Agitu Ideo Gudeta sembra essere anche la storia di una società debole e fallimentare nel suo complesso, non solo di un’onda retorica che ha attraversato i mezzi di informazione e i social network per creare al suo centro l’eroina.

      Il fatto che la sua morte abbia generato un bisogno di santificazione e una gogna mediatica nei confronti dell’accusato, invece che sollecitare cordoglio e un esame di coscienza collettiva, smaschera un vuoto su cui forse varrebbe la pena riflettere.

      Un vuoto che può essere riempito solo con azioni concrete e durevoli, che siano il frutto di progetti collettivi a livello comunitario. A questo scopo, servono iniziative di autentica condivisione che aiutino a governare la complessità, a riconoscere le situazioni di fragilità e a prevenire e gestire i conflitti che inevitabilmente abitano i contesti sociali (Sclavi, 2003). A supporto di queste iniziative, c’è bisogno di una nuova narrazione, autentica e costruttiva, che sia innanzi tutto capace di apprendere dagli errori e dai fallimenti affinché le falle del nostro tessuto sociale non permettano più il perpetrarsi di simili tragedie. Quindi, una narrazione che non rifugge il fallimento e non lo percepisce come un pericolo da mascherare a qualsiasi costo, ma come un’opportunità di crescita e di cambiamento.

      Rispetto a quella che nutre gli eroi, è un tipo di narrazione di senso, incline ad alimentare una responsabilità collettiva e una nuova consapevolezza sociale, che può favorire un ribaltamento valoriale in senso solidale. È però una narrazione molto più faticosa da sviluppare. Presuppone, infatti, un’azione collettiva impegnativa in termini di relazioni, negoziazioni e confronti, che deve giocoforza poggiare sulla creazione di spazi di aggregazione e di collaborazione. Questa nuova narrazione non può che nascere da un rinnovato impegno civico di ciascuno di noi, in quanto cittadini responsabili che, praticando la solidarietà, prefigurano un cambiamento e un futuro possibile dove la cittadinanza attiva non è l’eccezione ma la costante.[11]

      Di qui la necessità di sostituire l’emulazione verbale e la ben sedimentata narrativa dell’eroe, normativamente accettata da un uso millenario, con un nuovo ordine normativo significante della realtà.
      Come sostenere la creazione di comunità accoglienti e inclusive

      La crisi della democrazia rappresentativa, la sfiducia nei partiti e l’allontanamento dalla politica hanno da tempo acceso i riflettori sulla società civile, organizzata e non, in quanto spazio di discussione e confronto, finalizzato non solo ad elaborare efficaci strategie in risposta a bisogni sempre più complessi, ma anche a prevenire e gestire le fragilità umane e i conflitti tra gruppi sociali contrapposti.

      Di fronte alla crisi epocale dei modelli politici e produttivi tradizionali, sono sempre più numerosi i dibattiti su come, in quale misura e attraverso quali strumenti, le comunità locali possano intervenire concretamente sulle profonde disuguaglianze economiche, sociali, territoriali che affliggono il nostro Paese, ribaltando i paradigmi dominanti e innescando cambiamenti profondi a vantaggio dei più deboli e della collettività.

      La storia, quella più lontana e quella più recente, ci mostra come spesso la forza della comunità risieda nel bagaglio di valori, tradizioni e relazioni fiduciarie, che sono radicati nel tessuto sociale e vissuto collettivo. Ed è questo bagaglio relazionale e valoriale che ha permesso in moltissimi casi alle comunità di sopravvivere e rigenerarsi nel corso della storia, spesso a seguito di eventi traumatici come calamità naturali, crisi economiche e sanitarie. Ma la storia ci riporta anche molti esempi di comunità in cui la valorizzazione delle identità locali ha originato fenomeni di chiusura particolaristica. Comunità esclusiviste che si sono e in molti casi continuano a identificare l’altro con il male (Bonomi, 2018; Langer, 1994).

      La comunità locali sono, quindi, lontane dall’essere sempre e comunque virtuose.

      Cosa fa pertanto la differenza tra una comunità e l’altra? Per diventare accoglienti e inclusive, le comunità devono potersi esprimere attraverso quelle organizzazioni della società civile che sono proiettate verso il bene comune e si avvalgono del coinvolgimento di una pluralità di portatori di interesse, in rappresentanza dei diversi pezzi di società che abitano un territorio. Sono quindi le organizzazioni di terzo settore maggiormente radicate sul territorio che andrebbero sostenute dalle politiche pubbliche all’interno di una cornice collaborativa in cui, anziché gestire prestazioni per conto dell’ente pubblico (Borzaga, 2019), il terzo settore dovrebbe configurarsi come un attivatore di risposte sociali innovative, che fanno leva sulla prossimità ai territori e alle persone, incluse quelle vulnerabili e disinformate, normalmente ai margini delle dinamiche di cambiamento (Manzini, 2018).

      Se è vero, come da più parti sottolineato, che la politica è in gran parte responsabile dello scarso riconoscimento della società civile organizzata, l’insufficiente apprezzamento del suo valore aggiunto è ascrivibile anche ad alcune prassi, culture e comportamenti organizzativi messi in atto dalle stesse organizzazioni di terzo settore. Tra questi, una retorica – quella degli eroi – incoerente con la loro natura, che ha generato atteggiamenti autoreferenziali e ha alimentato uno scollamento di molte organizzazioni di terzo settore dalle loro comunità di appartenenza. Una delle sfide che il terzo settore dovrebbe far propria è, quindi, a nostro avviso l’archiviazione, una volta per tutte, della retorica dell’eroe e dell’eroina e la sua sostituzione con una narrazione autentica e costruttiva che sia in grado di alimentare un’attiva partecipazione della cittadinanza alla gestione del bene comune.

      DOI: 10.7425/IS.2021.02.10

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      Note

      La nozione di bene comune fa riferimento all’insieme delle risorse necessarie allo sviluppo della persona ed all’esercizio dei suoi diritti fondamentali. Presuppone condizioni di eguaglianza nell’accesso o utilizzo degli stessi. Sul concetto di beni comuni si rimanda ai lavori di E. Olstrom [tra cui: Olstrom E. (1990), Governing the Commons: The Evolution of Institutions for Collective Action, Cambridge University Press, Cambridge UK]. Nel sistema italiano una definizione di riferimento è quella formulata dalla Commissione Rodotà nel 2008: “Cose che esprimono utilità funzionali all’esercizio dei diritti fondamentali nonché al libero sviluppo della persona”.
      https://nti.apet118.it/home
      “Quanto vale il volontariato in Italia? Istat, CSVnet e FVP lanciano la prima sperimentazione del Manuale ILO sul lavoro volontario”: https://www.csvnet.it/csv/storia/144-notizie/1226-quanto-vale-il-volontariato-in-italia-istat-csvnet-e-fvp-lanciano-i-dati
      Di qui l’elogio di chi ce la fa e “merita” (Piketty, 2020). Per un’analisi critica del “merito” si rimanda a Sandel (2020).
      Con riferimento alle critiche si veda John McClusky (2018).
      Modelli di governance che sono supportati da vincoli normativi o statutari – come il vincolo alla non distribuibilità degli utili (non-profit distribution constraint) e l’asset lock – pensati per garantire la sopravvivenza nel tempo dell’inclusività e dell’interesse generale perseguito.
      Approccio che vede l’intervento sociale in analogia all’innovazione tecnologica, dove una mente geniale, chiusa nel suo garage, inventa qualcosa che rivoluziona la vita di tutti.
      La campagna #nonsonoangeli prese avvio all’indomani dell’ultima alluvione di Genova dall’esigenza di ridefinire il ruolo del volontariato e della percezione di questi per i media, promuovendo da un lato una comunicazione meno stereotipata dell’impegno dei cittadini, in caso di emergenza e non, per il bene comune, e dall’altro una conoscenza del volontariato e della solidarietà così come queste si manifestano. https://nonsonoangeli.wordpress.com/2016/06/08/roma-8-giugno-2016-on-sono-angeli-il-volontariato-tra-stere
      Si veda a questo proposito: https://socialimpactaward.net/breaking-the-myth-of-hero-entrepreneurship - http://tacklingheropreneurship.com
      Si veda anche: https://mediciperidirittiumani.org/studio-salute-mentale-rifugiati - https://archivio.medicisenzafrontiere
      https://www.cesvot.it/comunicazione/dossier/hanno-detto-di-nonsonoangeli

      https://www.rivistaimpresasociale.it/rivista/articolo/dalla-ricerca-di-eroi-alla-costruzione-di-progetti-comunitari

      #héros #narration #imaginaire_collectif #récit #moralité_culturelle #éthique #justice_sociale #contre-récit #communautés_locales #pathos #individualisation #Lucano #Mimmo_Lucano #Domenico_Lucano #excellence #storytelling #innovation #néo-libéralisation #libéralisme #management #leadership #figure_charismatique #charisme #Riace #idéalisation #polarisation #simplification #catégorisation #fragilisation #solitude #Capra_Felice #responsabilité_collective #société_civile

  • #En_découdre - paroles ouvrières en roannais

    Après la deuxième guerre mondiale, l’industrie textile emploie des milliers d’ouvrières sur le territoire Roannais. Elles produisent des vêtements de luxe dont la qualité est reconnue dans la France entière. A travers une série d’entretiens, ce film retrace l’histoire de ces femmes rentrant souvent jeunes à l’usine. Elles y découvrent des conditions de travail difficiles, le paternalisme patronal, mais également la solidarité ouvrière. Relatant les inégalités qui se jouent entre ouvriers et ouvrières, elles décrivent surtout la rencontre avec la culture syndicale et leur volonté d’en découdre avec l’exploitation. Des promesses d’émancipation de « mai 1968 » jusqu’aux combats contre la fermeture des usines et les destructions de leurs emplois à partir des années 1980, ces paroles ouvrières livrent une mémoire à la fois personnelle et politique des grandes mutations du monde contemporain.

    https://vimeo.com/330751537


    #ouvrières #femmes #industrie #femmes_ouvrières #France #industrie #histoire #industrie_textile #textile #témoignages #histoire_ouvrière #CGT #syndicat #syndicalisme #usines #bruit #paternalisme
    #film #film_documentaire #salaires #sainte_Catherine #cadeaux #droit_de_cuissage #inégalités_salariales #émancipation #premier_salaire #désindustrialisation #métallurgie #conditions_de_travail #horaire #horaire_libre #grève #occupation #Rhônes-Alpes #délocalisation #toilettes #incendies #chantage #treizième_salaire #plans_sociaux #outils_de_travail #Comité_national_de_la_Résistance (#CNR) #chronométrage #maladie_du_travail #prêt-à-porter #minutage #primes #prime_au_rendement #solidarité #compétition #rendement_personnel #esprit_de_camaraderie #luttes #mai_68 #1968 #licenciement #ARCT #financiarisation #industrie_textile

  • 4 nov. 2020 : réveil en sursaut par un de pigeon souhaitant me laisser une jolie trace sur la fenêtre !
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/50569714353

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    . [#LesPetitesPhotos] [Co-vide] . #trace #mark #rastro #oiseau #bird #pájaro #pigeon #dove #paloma #arbre #tree #arbol #automne #autumn #fall #otoño #confinement #confinamiento . ☆ autres photos : frama.link/valk ☆ infos / audios : archive.org/details/@karacole ☆ oripeaux : frama.link/kolavalk ☆ me soutenir : liberapay.com/ValK

  • Trump amplifie ses menaces de violence et de #dictature - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/fr/articles/2020/10/20/pers-o20.html
    https://www.wsws.org/asset/9d43285f-6e47-4c94-a6df-8e1d44b259b1?rendition=image1280

    Il a ensuite proclamé sa détermination à rester en fonction pendant « quatre ans, huit ans, 12 ans, 16 ans », bien au-delà de la limite constitutionnelle de deux mandats. Il s’est moqué de ses détracteurs dans les médias, en disant : « Vous les rendrez vraiment fous si vous dites 12 ans de plus. Ensuite, ils disent que c’est un fasciste ». La foule de plusieurs milliers de personnes a répondu par des chants : « 12 ans de plus, 12 ans de plus ». Trump a ajouté : « Maintenant, l’histoire des fausses nouvelles sera : “C’est un fasciste !” »

    En réalité, les médias patronaux ont refusé d’appliquer l’étiquette « fasciste » à Trump, malgré ses efforts de plus en plus ouverts pour développer un mouvement armé, violent et antidémocratique centré sur lui et sa famille. Ni ses adversaires Démocrates pour l’élection du 3 novembre, Joe Biden et Kamala Harris, ni les Démocrates du Congrès à Washington n’ont osé utiliser ce terme, bien qu’il soit indéniable que c’est là la trajectoire de la campagne de Trump et du Parti républicain dans son ensemble.

    #Fascisme #théocratie

  • Le séisme au Teil en Ardèche est totalement inédit en France selon une étude
    Jeudi 27 août 2020 - Par Willy Moreau, France Bleu Drôme Ardèche
    https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/le-seisme-au-teil-en-ardeche-est-totalement-inedit-en-france-souleve-une-

    (...) Une faille jugée jusqu’à présent inactive

    L’autre point que soulève cette étude et qui rebat complètement la carte des risques sismiques en France, c’est la localisation du séisme. Le tremblement de terre au Teil a pris son départ de la faille de La Rouvière non cartographiée comme active. « On considère une faille active, explique Jean-François Ritz, si elle a généré des séismes dans la période récente au niveau géologique. Autrement dit, sur la période du quaternaire, c’est-à-dire sur les deux derniers millions d’années ».

    Des travaux de paléosismicité devront montrer si oui ou non d’autres séismes ont eu lieu il y a plusieurs centaines voire milliers d’années. « En tout cas, nous pensions avoir une cartographie des failles actives en France mais cette étude nous donne un tout autre éclairage », renchérit Jean-François Ritz.

    L’étude ne permet pas en revanche de comprendre ce qui a déclenché le séisme. L’hypothèse d’une carrière de calcaire qui aurait pu avoir contribué à son déclenchement reste aussi envisageable que d’autres processus géologiques comme la poussée lointaine de la plaque africaine ou un effet latéral de la remontée des Alpes suite au phénomène de la fonte des glaces. (...)

    #séisme #faille #failles #tremblement_de_terre

  • #Earthquake_Tourism by #Left_Hand_Rotation_Collective

    On 1 November 1755 an earthquake destroyed the city of Lisbon.
    Its impact was such that it displaced man from the center of creation. Its ruins legitimized Enlightened Despotism.
    Lisbon today is trembling again, shaken by a tourist earthquake that transforms the city at cruising speed.
    Its impact displaces the inhabitant of the center of the city. What new absolutisms will find their alibi here?
    As the right to the city collapses, drowned by the discourse of identity and the authentic, the city creaks announcing the collapse and the urgency of a new way of looking at us, of reacting to a transformation, this time predictable, that the despair of the Capitalism pretends inevitable.

    Left Hand Rotation is a collective based in Lisbon since 2011.
    #Terremotourism is a subjective portrait of a city and its transformation during the last 6 years.

    –—

    Pour voir le #film :
    https://vimeo.com/195599779

    J’ai découvert ce film par une affiche qui annonçait sa projection à Athènes, en juillet 2019 :

    #Lisbonne #Portugal #tourisme #tremblement_de_terre #droit_à_la_ville #urban_matter #villes #géographie_urbaine #transformation #documentaire #film_documentaire #capitalisme

  • Serie Berliner Doppelstraßen: Immer schön am Rand lang - Kultur - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/kultur/serie-berliner-doppelstrassen-immer-schoen-am-rand-lang/26016786.html

    Dieser Artikel funktioniert ein bischen nach dem Prinzip „reim dich oder ich fress dich“. Die Autorin schnappt sich den #Grenzweg im Ortsteil #Baumschulenweg als „Doppelstraße“ für die #Grenzallee in #Neukölln. Das nenne ich künstlerische Freiheit. Als Kutscher würde ich bei so einer Präzision verhungern. Warum hat die gute Christtiane Peitz sich nicht gleich lieber den Grenzweg als Doppel- oder Vielfachstraße vorgenommen? Den gibt es immerhin siebenmal und eine Brücke des Namens kommt noch gratis obendrauf.

    Straßenverzeichnis Berlin – Strassen und Plätze mit »G« - KAUPERTS
    https://berlin.kauperts.de/Strassenverzeichnis/G

    Grenzweg Falkenberg
    Grenzweg Baumschulenweg
    Grenzweg Charlottenburg-Nord
    Grenzweg Lichtenrade
    Grenzweg Oberschöneweide
    Grenzweg Rahnsdorf
    Grenzweg Rosenthal
    Grenzwegbrücke Rahnsdorf

    Hier also die Betrachtungen über eine Straße und ein Sträßchen mit fast ganz gleichen Namen.

    Serie Berliner Doppelstraßen

    Als Groß-Berlin vor 100 Jahren geschaffen wurde, wuchs das Stadtgebiet von 66 auf 878 Quadratkilometer. Neben Lichtenberg, Schöneberg, Wilmersdorf, Charlottenburg, Neukölln und Spandau gehörten nun auch 59 Umlandgemeinden und 27 Gutsbezirke zur neuen Metropole. Kein Wunder also, dass es im Stadtplan viele Straßennamen doppelt oder sogar mehrfach gibt.

    Gäbe es einen Wettbewerb der hässlichsten Straßen Berlins, die Grenzallee in Neukölln hätte Chancen auf einen Hauptpreis. Vielleicht liegt es auch nur daran, dass es an diesem Nachmittag wie aus Kübeln schüttet. Innenstadt, Außenstadt, Berlin kennt viele solcher Zwischengegenden, die als Gewerbegebiete genutzt werden. Auf gut eineinhalb Kilometern markiert die Straße die historische Grenze zwischen Rixdorf und Britz, von der Sonnenallee bis zur Karl-Marx-Straße. Im 19. Jahrhundert hieß sie noch Britzer Damm.

    Aber dann macht dieser unwirtliche Ort einem schnell wieder Laune: Erweist die Straße ihrem Namen doch gleich am unteren Ende alle Ehre. Wenige Schritte neben der Arbeitsagentur Neukölln liegt die Kleingartenanlage „Steinreich“. Die beiden trennt nur die S-Bahn-Brücke und ein hinter Büschen verstecktes Jugendzentrum. Arbeitslos, steinreich, wo lägen mehr Welten dazwischen?

    Okay, Adresse und Eingang des Jobcenters mit Corona-Hinweisen in acht Sprachen gehören eigentlich zur Sonnenallee. Und vor 50 Jahren hieß die Grenzallee auf diesem Stück auch noch Dammweg, wie die Straßenfortsetzung Richtung Nordosten. Mit dem stattlichen Gründerzeit-Mietshaus samt Kupferturmaufsatz und Teepavillon jenseits der Kreuzung setzt der heutig Dammweg sofort einen unmissverständlichen Kontrapunkt: In die Grenzallee würde so ein hübsches Gebäude nicht passen.

    Man kennt sie hauptsächlich aus dem Verkehrsfunk. Fast sechs Jahre war die Grenzallee wegen des Tunnels für die verlängerte A 100 gesperrt. Mittlerweile kann die vierspurige Trasse wieder genutzt werden, teils nur auf zwei Fahrbahnen. Fußgänger und Radfahrer können gucken, wo sie bleiben, sehen sich zum Slalom mit mehrfachem Seitenwechsel gezwungen. Wobei sich ohnehin kaum jemand in den unwirtlichen Straßenabschnitt rund um das Einkaufscenter „Neukölln Carree“ verirrt. Unsereins ersteht im Drogeriemarkt erstmal einen Schirm.

    Im Hof lockt eine Wiese zum Chillen

    Weiter geht’s, vorbei an Neubauruinen, Busparkplatz, Postverteilerzentrum, Gebrauchtwagenhändlern, Kfz-Werkstätten und einer Storage-Halle. Bonjour tristesse. Das Jugendzentrum an der S-Bahn-Brücke, das auf www.grenzallee.com für Sommerworkshops wirbt – Seifenkisten- Bau, Graffitikurse, Radtouren – und etwas weiter das Gelände der Jugendhilfe-Vereinigung bilden die rühmlichen Ausnahmen.

    Vor 70 Jahren wurde der Verein von Hans Spänkuch und anderen gegründet, um arbeitslosen Jugendlichen eine Ausbildung zur ermöglichen. Heute beherbergt das Hans-Spänkuch-Haus Menschen mit und ohne Beeinträchtigungen, samt Werkstätten und Seminarhaus.

    Im Hof lockt eine Wiese zum Chillen samt Bocciabahn, an der Fassade des Hochhauses hängt ein Transparent mit der Aufschrift „Stop violence. Open the borders“. Für Grenzallee-Bewohner eine denkbar angemessene Forderung.

    Kurz vor der U-Bahn Grenzallee – deren Eingang in der Karl-Marx-Straße liegt, als scheue selbst die BVG das ungemütliche Pflaster – tauchen doch noch ein paar Mietskasernen auf. Einige mit bröckelndem Putz, einige in kräftigen Farben, Dottergelb und Ochsenblutrot. In den verwilderten Gärten wechseln Küchenkräuter und Sperrmüll, vor Hausnummer 69 dümpelt ein Einkaufswagen mit kaputter Mikrowelle. Bis in die 1930er Jahre fungierte die U-Bahn-Station noch als Endbahnhof, für die Züge aus dem Wedding.

    Am Möbelcenter hat der Wind die A-100-Baustellenzäune umgepustet, nur die blauen Rohre der oberirdischen Wasserleitung bringen etwas Farbe ins Straßenbild. Immerhin wurde der Allee eine neue Kanalbrücke verpasst. Wasserstraßen, Hafenflair, Weitblick, hier atmet die Grenzallee auf.

    Hinter der Schleuse des Hafens Neukölln und dem Schrottplatz, dessen blitzender Altmetallberg einen futuristisch spröden Charme verbreitet, schimmert in der Ferne die himmelwärts schräge Fassade des Estrel Convention Center, dem größten Hotel der Republik. Geht doch, ein Hauch von Weltniveau. Im Herbst soll dann noch mit dem Bau des 175 Meter hohen Estrel Tower begonnen werden, Berlins höchstem Haus.

    Wir hier, die dort. Grenzstraßen markieren seit jeher das Ende der Stadt, des Dorfs, der Region. Weil Berlin sich bekanntlich aus einem Konglomerat aus Groß- und Kleinstädten, Gemarkungen und Landgemeinden zusammensetzt, hat die franselige Metropole im märkischen Sand reichlich davon zu bieten. Mein alter Falkplan verzeichnet alleine drei Grenzalleen, drei Grenzstraßen und sechs Grenzwege, von Grenzpfaden, Grenzbergeweg und Grenzgrabenstraße zu schweigen. Ein Hauptschauplatz: die Kleingartenanlagen.

    Hunde sind an der kurzen Leine zu führen

    Also auf nach Treptow, zur KGA neben dem Wasserwerk Johannisthal. Die Verlängerung des Hasenstegs entpuppt sich jedoch nicht als Grenzallee, sondern als Grenzweg. Zwischen den Kolonien „Gemütliches Heim“ und „Neu-Seeland“ plätschern Aufstellpools, hinter Thujahecken gedeihen Johannisbeeren und Tomaten. Die Sackgasse endet an einem Zaun. Alles sehr gepflegt, sehr verschlossen.

    Grenzallee Nummer 3 liegt in den Gartenanlagen von Mariendorf; südlich der Gradestraße zweigt sie von der Rixdorfer Straße ab. Sie gehört zum Britz-Buckower-Weg, einem der grünen Korridore der Stadt, der Spaziergängern und Radfahrern die Route vom Tempelhofer Feld über Lichtenrade bis hinaus nach Großziethen weist. Am Kirchhof Mariendorf heißt sie allerdings noch Asternweg. Hundebesitzer werden aufgefordert, ihre Vierbeiner an der Kurzleine zu führen, „Hinterlassenschaften sind zu beseitigen“.

    Dann wird der Weg linkerhand von der Kolonie „Alpental“ gesäumt, rechterhand vom „Marienglück“. Ahornhecken, Jägerzäune, Sauerkirschen, zwei stattliche Nussbäume – wer sich hierher verirrt, wird von den Anwohnern nachbarschaftlich gegrüßt. Aber anders als im Stadtplan findet sich auch hier keine Grenzallee, nur eine als Grenzweg beschilderte Straße.

    Freundliche Laubenpieper

    „Wen suchen Sie, kann ich helfen?“ Der freundliche Besitzer der als „Remer Ranch“ ausgewiesenen Parzelle lehnt sich über das mit bepflanzten Holzschuhen geschmückte Gartentor und gibt bereitwillig Auskunft. Ja, der Weg hier hat viele Namen. Asternweg, Grenzallee, Grenzweg, alles dasselbe. Das „Alpental“ liegt auf Senatsgrund, das „Marienglück“ auf Kirchengrund, daher die Grenz-Bezeichnung.

    Ein kleiner, feiner Unterschied: Die Marienglück-Kolonialisten, zu denen auch die Remer-Rancher gehören, schlafen etwas ruhiger als die Alpentaler. Denn es heißt ja immer mal wieder, das Land Berlin erwäge zwecks Wohnungsbau den Verkauf der ein oder anderen Laubenkolonie. Die Kirche hat das nicht vor.

    Gartenkolonien haben Tradition in Berlin. Als die Remers ihr Häuschen renovierten, kamen unter der Tapete Zeitungen aus der Nazi-Zeit zum Vorschein; sie haben sie aufgehoben. Und Richtung Kirchhof, dort, wo heute das Fortbildungswerk für Garten- und Landschaftsbauer seine Beete unterhält, konnten die Laubenpieper früher kleine Felder und Äcker bestellen. Auf der Parzelle zog man kein Gemüse, sondern ließ Blumen sprießen.

    Hier erholsam, dort unwirtlich, hier die Oase, dort die Abstellkammer der Stadt. Mitunter hat man ohnehin den Eindruck, dass es sich bei Berlin abseits der City mit ihren diversen Zentren um eine einzige, 900 Quadratkilometer große Fusion von Datschenkolonien und Industriebrachen handelt.

    Das Gesumm der Bienen mischt sich einträchtig mit dem Rauschen der Autobahn. Gegensätze verbinden: Nördlich der Kolonie „Alpental“ führt ein Zubringer auf die A 100. Zur Grenzallee nach Neukölln sind es nur wenige Minuten.

    Weitere (u.a.) Artikel der Reihe

    Frühstück bis nachmittags um vier (Kastanienallee, 7 Exemplare)
    https://www.tagesspiegel.de/kultur/serie-berliner-doppelstrassen-5-fruehstueck-bis-nachmittags-um-vier/26037380.html

    Vom Waterlooufer zur Wuhle ( Zossener Straße, gibt es echt nur zweimal)
    https://www.tagesspiegel.de/kultur/serie-berliner-doppelstrassen-6-vom-waterlooufer-zur-wuhle/26057690.html

    #Berlin #Grenzallee #Neukölln #Grenzweg #Treptow-Köpenick

    • #Torino, prima città rifugio in Italia di chi difende i diritti umani

      Decolla il progetto del Comune con #Amnesty_International. Anche un polo per formare sull’accoglienza.

      Trovano casa a Torino gli attivisti di Amnesty International, ma anche tutti quelli che ogni giorno sono minacciati per la loro battaglia per i diritti umani. L’assessore ai Giovani, Marco Giusta, ha siglato un accordo che la trasforma nella prima “#shelter_city” d’Italia, cioè luogo di rifugio e accoglienza per chi si batte per i diritti umani e per questo è minacciato nel proprio Paese. Il progetto prevede un periodo di ospitalità che va da tre mesi a un anno, a seconda delle necessità: “Si tratta della messa a punto di un lavoro di tre anni e mezzo – racconta Giusta - Torino è davvero diventata la Capitale dei Diritti. Le conoscenze sono fuori dal Palazzo, costruire ponti e collaborazioni con chi lavora ogni giorno sul tema è stato fondamentale. Servivano spazi di codecisione amministrativi e li abbiamo creati al fine di lanciare programmazioni concrete e permanenti per la Città”.
      Il patto prevede da un lato la creazione di una rete d’accoglienza, ma anche il rafforzamento di progetti come #Open_011, la Casa della mobilità giovanile di corso Venezia. Una realtà nato nel 2006 durante le Olimpiadi Invernali e che oggi punta a diventare un Training Centre di livello internazionale. Sarà qui infatti la sede operativa di #JHREP, il Programma di Educazione ai Diritti Umani che Amnesty International Italia, Cifa Onlus e la rete internazionale #Hreyn intendono sviluppare per promuovere l’organizzazione di momenti formativi, training e study session nazionali e internazionali sul territorio torinese. “Torino sui diritti non deve essere arroccata, deve passare all’attacco – chiarisce l’assessore - Attacco non violento, ma strategico: serve una strategia per aggredire il fenomeno di violenza di genere, l’antisemitismo, il razzismo, il fascismo. La nostra strategia è sempre la stessa: serve diffondere valori e temi nella cittadinanza. Una città dei diritti, per me, è una città in cui le persone scelgono di venire a vivere e in cui scelgono di rimanere. In cui i e le giovani mettono alla prova i propri talenti e ambizioni. In cui ogni persona ha la possibilità di lavorare e il diritto di sentirsi a casa. In cui tutti i quartieri beneficiano di nuove opportunità e si sviluppano”.
      Già da luglio è attiva la nuova convenzione ventennale per la gestione dello spazio che prevede un ulteriore innalzamento degli standard qualitativi e l’introduzione di tariffe calmierate riservate a progetti sostenuti dalla Città o finanziati dal programma “#Erasmus_plus” e dal Consiglio d’Europa.

      https://torino.repubblica.it/cronaca/2019/12/10/news/torino_prima_citta_rifugio_in_italia_di_chi_difende_i_diritti_uman
      #Turin #citoyenneté

    • Padova sarà presto la seconda città-rifugio per i difensori dei diritti umani

      L’Italia diventa sempre più sensibile al tema della protezione degli human rights defenders, i difensori dei diritti umani. Tanto che, dopo Trento, anche Padova sarà presto una pioniera delle città-rifugio.

      Grazie ad una campagna lanciata un anno e mezzo fa dalla rete In difesa di formata da oltre 40 associazioni italiane, anche il nostro Paese avrà le sue shelter-cities, luoghi protetti per avvocati, blogger, attivisti in pericolo. La provincia autonoma di Trento ha già approvato una mozione a riguardo, e presto seguirà la provincia di Padova.

      «Ma entro fine anno contiamo di arrivare a cinque enti locali trasformati in shelter cities italiane», anticipa a b-hop Francesco Martone, portavoce della rete «#In_difesa_di…» (www.indifesadi.org)

      Ma cosa sono esattamente le città-rifugio? Luoghi sicuri e protetti nei quali i perseguitati in patria per via del loro essere schierati per professione a difesa dei diritti dei più vulnerabili (pensiamo a chi protegge i popoli indigeni in America Latina o agli avvocati e blogger in Cina, o ancora agli attivisti per diritti degli omosessuali in Africa), potranno vivere tranquilli ma in attività per un periodo circoscritto della loro vita.

      E continuare a lavorare anche a distanza, per portare a compimento la loro missione.

      «Sono due le città italiane che iniziano a muoversi in questa direzione per esser accreditate come shelter city: una è Trento, che ha annunciato di recente il suo coinvolgimento in questo meccanismo – assicura Martone – e l’altra è Padova, che ancora non ha formalizzato l’impegno, ma presto lo farà».

      «Stiamo lavorando anche su Prato e poi con la Regione Lazio e il comune di Milano», dice.

      Ma come si fa a candidarsi per essere una città che protegge chi nel proprio Paese ha dei problemi a proseguire con il lavoro di attivista? Ricordiamo che solo nel 2017 sono morte 312 persone, assassinate perché combattevano per i diritti umani. Parliamo spesso di regimi, altre volte di democrazie a rischio, Stati come la Colombia, la Mauritania, l’Iraq, l’Eritrea.

      Intanto, per accogliere, bisogna avere una “vocazione” già avviata, spiega Martone. Ad esempio, una società civile che abbia già preso a cuore una causa specifica.

      Poi ci si deve collegare ad un protocollo d’intesa che nel frattempo va avanti a livello nazionale. Bisogna cioè manifestare l’interesse ad ospitare un “perseguitato” e prendersi anche dei rischi o la responsabilità di tutelare la sua identità. Certo, l’Italia rispetto ad altri Paesi è indietro ma comincia a muovere passi importanti.

      «Il tema human rights defenders in Italia è relativamente nuovo – spiega Martone– In Germania o Olanda, invece, già esistono gli shelter e funzionano bene. Per i nostri enti locali questo è un uovo di colombo, adesso ci dicono: “finalmente per la prima volta quando parliamo di diritti umani sappiamo esattamente cosa possiamo fare per tutelare le persone“».

      Si tratta di attivare anzitutto un sistema di relazioni diplomatiche abbastanza solido e multi-livello.

      «Necessariamente il nostro lavoro nella Campagna italiana coinvolge le ambasciate e il ministero degli esteri. Noi siamo da due anni in dialogo con la Farnesina su questo», spiega ancora l’attivista.

      E i risultati si vedono: nonostante l’incertezza politica l’Italia è ormai ingaggiata.

      «La Farnesina ha risposto per ora organizzando un mega convegno a Roma sulle buone pratiche.

      Il 18 giugno prossimo saranno presenti alla Farnesina, attivisti dall’area euro-mediterranea, l’Ong Frontline defenders, e Justice & Peace, una Ong olandese che gestisce il programma locale di protezione e molti altri.

      «Questa roba qui in Italia non è stata mai fatta. Intanto creiamo le premesse perché si possa iniziare a capire come fare: incontriamo soggetti che già fanno opera di protezione».

      In effetti ad Amsterdam, Groningen, l’Aja, Maastricht, Middelburg, in Olanda, esistono convenzioni e strutture dove le persone perseguitate possono riprendere fiato, cercare alleanze, ricaricare le energie. Lavorare da avvocati, giornalisti, blogger, attivisti.

      Un esempio? Amsterdam. Dove «puoi essere ciò che sei, amare chi vuoi e pensare e credere in ciò che desideri. Libertà e tolleranza sono parte integrante della città. Ed è questo che rende Amsterdam una shelter city per eccellenza». Così si legge sul sito olandese.

      Lookkaté, ad esempio, è un’attivista che viene dalla Thailandia dove promuove i diritti civili e politici del popolo Thai. Ora si trova in Olanda dove ha trovato momentanemente un po’ di pace. E di alleati.

      «L’altra grande sfida è in effetti quella di trovare terreno fertile: una società civile locale che non solo accolga ma che collabori con lo human rights defender», spiega ancora Martone.

      «Quando un attivista minacciato tende a lasciare il paese d’origine prima ci sono dei protocolli da seguire, dei visti da ottenere, uno status di protezione internazionale temporanea per esempio», spiega infine Martone.

      https://www.b-hop.it/primo-piano/anche-padova-le-citta-rifugio-difensori-dei-diritti-umani
      #Padoue

    • Il Comune di Montegrotto Terme diventa Città Rifugio per i difensori dei diritti umani

      Il Consiglio Comunale di #Montegrotto_Terme ha approvato una mozione per aderire al progetto “Città Rifugio”.

      Si tratta di un progetto pilota di accoglienza temporanea e supporto per difensori dei diritti umani minacciati, in grado di raccogliere le diverse disponibilità territoriali per la relocation degli Human Rights Defenders, da attivare di concerto con la rete "In Difesa Di - per i diritti umani e chi li difende”, con gli altri Enti locali italiani interessati, le organizzazioni della società civile presenti ed attive sul territorio, e il Centro di Ateneo per i Diritti Umani “Antonio Papisca” dell’Università di Padova.

      Il Comune di Montegrotto Terme va ad aggiungersi ai Comuni di #Trento, Padova, #Cadoneghe, #Ponte_San_Nicolò, #Rubano, #Noventa_Padovana, #Asiago, Torino e alla Provincia Autonoma di Trento che hanno già aderito all’iniziativa.

      Con l’approvazione della mozione il Comune di Montegrotto Terme si impegna inoltre a:

      promuovere occasioni di studio, formazione e scambio di esperienze tra amministrazioni territoriali, organizzazioni della società civile e università sul ruolo degli enti locali nella protezione dei difensori dei diritti umani e le Città-Rifugio;
      promuovere nelle scuole di ogni ordine e grado iniziative di sensibilizzazione sui difensori dei diritti umani intese come educazione all’assunzione di responsabilità per lo svolgimento di ruoli di cittadinanza attiva e democratica;
      sollecitare il Governo nazionale affinché attivi programmi di protezione per i difensori dei diritti umani, rafforzando l’iniziativa del corpo diplomatico italiano nell’attuazione delle linee-guida UE ed OSCE, ed aderendo alla Temporary Relocation Platform dell’Unione Europea;
      prevedere attraverso gli strumenti della cooperazione decentrata iniziative di supporto a programmi e progetti di sostegno e protezione dei difensori dei diritti umani in paesi terzi, centrale per il perseguimento degli Obiettivi di Sviluppo Sostenibile;
      inviare la rispettiva mozione all’ANCI ed alla Conferenza Stato-Regioni al fine di diffonderla presso altri Enti locali sollecitandone l’impegno per la protezione dei difensori dei diritti umani e la creazione di opportunità di rifugio temporaneo per attivisti a rischio e di programmi di cooperazione decentrata nei paesi terzi.

      L’iniziativa intende dare attuazione alla Dichiarazione “sul diritto e la responsabilità degli individui, dei gruppi e degli organi della società di promuovere e proteggere le libertà fondamentali e i diritti umani universalmente riconosciuti” (Dichiarazione sui Difensori dei diritti umani), adottata dall’Assemblea generale delle Nazioni Unite il 9 dicembre 1998; alle Linee Guida sui Difensori dei diritti umani, adottate dal Consiglio dell’Unione Europea nel 2004 e aggiornate nel 2008, volte ad orientare il lavoro delle rappresentanze diplomatiche dell’Unione e degli Stati Membri e la “Piattaforma UE di coordinamento per l’asilo temporaneo dei difensori dei diritti umani”; nonché alle Linee Guida sulla protezione dei Difensori dei diritti umani, adottate dall’Organizzazione per la Sicurezza e la Cooperazione in Europa (OSCE) nel 2014.

      L’art. 1 della Dichiarazione sui Difensori dei diritti umani stabilisce che “tutti hanno il diritto, individualmente ed in associazione con altri, di promuovere e lottare per la protezione e la realizzazione dei diritti umani e delle libertà fondamentali a livello nazionale ed internazionale”.

      L’Unione Europea nell’ambito della “Piattaforma di coordinamento per l’asilo temporaneo dei difensori dei diritti umani” (European Union Human Rights Defenders RE location Platform, EUTRP), ha implementato dei programmi di training in modo da garantire la necessaria sicurezza del Difensore; l’obiettivo è dunque un approccio di sviluppo e potenziamento delle capacità (capacity building), affinché i difensori dei diritti umani acquisiscano gli strumenti per mitigare i rischi che corrono e che risultano determinanti affinché possano elevare il loro livello di sicurezza e la qualità del loro lavoro.

      Nel Rapporto presentato quest’anno dal Relatore Speciale delle Nazioni Unite sui difensori dei diritti umani è stata riaffermata la centralità degli Enti locali in un sistema integrato di protezione e sostegno ai difensori dei diritti umani che preveda anche un maggior impegno da parte della diplomazia, attraverso le ambasciate in paesi terzi e nei consessi internazionali quali il Consiglio Diritti Umani delle Nazioni Unite.
      Nel medesimo Rapporto sono indicati i principi che devono informare le iniziative a sostegno dei programmi di ricollocamento temporaneo dei difensori dei diritti umani: che siano fondate sui diritti umani, che includano difensori e difensore di differenti background, integrino la dimensione di genere, siano fondate su un approccio olistico alla sicurezza, siano orientate alla protezione di individui e collettivi, prevedano la partecipazione dei difensori e difensore nella scelta delle misure di protezione e siano flessibili al fine di soddisfare i bisogni specifici dei difensori e delle difensore.

      L’iniziativa “Città Rifugio-Shelter City” fu lanciata per la prima volta nel 2012 dai Paesi Bassi. Essa prevede che, quando i difensori dei diritti umani sono seriamente minacciati a causa del loro operato da attivisti, possono richiedere un alloggio temporaneo alle città olandesi di: Amsterdam, Groningen, L’Aja, Maastricht, Middelburg, Nijmegen, Tilburg, Utrecht. Il periodo di permanenza di un difensore dei diritti umani è ridotto (dai 3 ai 6 mesi), questo perché la ratio è di fornirgli un periodo di “rest and respite” (riposo e tregua) al di fuori del suo paese, per poi poter affrontare nuovamente la lotta nonviolenta per i diritti umani quando le minacce saranno cessate.
      L’iniziativa olandese è stata in grado di amplificare un forte segnale al governo dei paesi di origine, all’opinione pubblica e agli eventuali responsabili delle minacce al difensore dei diritti umani: sostenendo pubblicamente il difensore, l’iniziativa dimostra che le violazioni sui diritti umani denunciate dall’attivista minacciato, sono prese seriamente in considerazione da parte della comunità internazionale. A tal riguardo, particolarmente vulnerabili, risultano essere le cosiddette Women Human rights Defenders, donne attiviste minacciate, e le loro famiglie.

      In Italia, sotto impulso della rete “In Difesa Di - per i diritti umani e chi li difende” alcuni Enti locali italiani stanno lavorando alla creazione di programmi di accoglienza temporanea e rifugio per difensori e difensore dei diritti umani a rischio.

      La mozione approvata dal Comune di Montegrotto Terme è disponibile al link sottostante.

      https://unipd-centrodirittiumani.it/it/news/Il-Comune-di-Montegrotto-Terme-diventa-Citta-Rifugio-per-i-difensori-dei-diritti-umani/4969

  • Si vous n’avez pas suivi toute l’affaire des failles de sécurité #Ripple20 (une faille dans la pile TCP/IP de la société #Treck, pile utilisée par de nombreux objets connectés), ou bien seulement sur BFM TV, voici les articles originaux :

    #JSOF, la société qui a découvert les failles : https://www.jsof-tech.com/ripple20

    #ForeScout, la société qui a cherché les nombreuses boites utiilisant le logiciel de Treck : https://www.forescout.com/company/blog/identifying-and-protecting-devices-vulnerable-to-ripple20

    Copie de la liste ici, au cas où : https://gist.github.com/SwitHak/5f20872748843a8ad697a75c658278fe

    Bon, sinon, ZDnet a fait un bon résumé : https://www.zdnet.com/article/ripple20-vulnerabilities-will-haunt-the-iot-landscape-for-years-to-come

    Et la vidéo faite par JSOF (sensationnaliste et pas très intéressante techniquement mais rigolote) : https://www.youtube.com/watch?v=jkfNE_Twa1s&feature=emb_logo

  • Thread // La génération volée de #La_Réunion : Les #enfants_de_la_Creuse

    Je tiens à m’excuser d’avance si y’a des fautes, j’ai pas pu tout corriger. Et les rt sont appréciés, j’y ai mis du temps 😭
    J’ai pas su où le mettre dans le thread mais les familles d’accueil étaient bien évidemment payées pour accueillir les jeunes réunionnais. Bref let’s go
    On est en 1962. L’île est dans une situation socio-économique très tendue. La Réunion est considérée comme une île du tiers monde et les réunionnais vivent dans des conditions de précarité extrêmes.
    Ils habitent dans des cazes en tôle, la Réunion est en pleine explosion démographique, les revenus sont très faibles voir inexistant.

    Pendant ce temps, la France est au beau milieu des #trente_glorieuses et les campagnes se vident.

    #Michel_Debré (alors député de la Réunion) a une idée, avec l’aide du #Bureau_pour_le_développement_des_migrations_dans_les_départements_d’outre_mer (Le #Bumidom), il lance un plan massif de #repeuplement des #campagnes_métropolitaines.

    Dans les années 60, la plupart des réunionnais n’avaient pas eu l’occasion de s’instruirent et étaient illettrés.
    Pour la majorité des cas, Michel Debré envoyait des assistantes sociales dans les familles pauvres (souvent des familles nombreuses et/ou monoparentale).
    On leurs faisait miroiter une bonne situation pour leurs enfants, qu’ils iraient à l’école, qu’ils deviendraient médecins ou avocats, en bref que leurs vie seraient meilleure mais surtout, que les enfants reviendraient tous les ans.

    D’autres fois, les parents confiaient leurs enfants pour quelques mois à la D.A.S.S, le temps de se rétablir de maladies ou d’économiser un peu d’argent et à leurs retour, les enfants avaient disparus.

    Après ça, on amenait les enfants dans une #pouponnière de St Denis de la Réunion, là bas ils pouvaient rester des années avant qu’ils ne soient considérés comme « adoptables ». Ils pouvait être très jeunes (2/3 ans) comme un peu plus vieux (15/16 ans)

    On les mettait dans l’avion en direction d’Orly et là bas il y avait un #tri. Les enfants étaient placés dans des groupes vers le #Tarn, le #Gers, les #Pyrénées-Orientales, La #Lozère et la #Creuse.

    C’est ici que le cauchemar commence réellement.
    Arrivés en Métropole les enfants sont déclarés #pupilles_de_l’Etat alors même que la majorité avaient encore des parents à La Réunion.

    Les enfants envoyés en Creuse étaient transférés au #foyer_de_Guéret, selon les témoignages ils y avaient tellement de matelas par terre qu’il était difficile de passer.
    Les enfants sont directement couper de leurs cultures et n’ont plus le droit de parler créole.

    Et il y a de nouveau un tri : certaines filles sont envoyées chez les religieuses, les garçons les plus costauds sont envoyé dans les familles d’accueil et les autres peuvent continuer « l’école » (une professeur de l’époque a avouer qu’ils faisaient plus du gardiennage)

    [TW #esclavage, #torture, #viol]
    Je vous partage trois témoignages qui seront beaucoup plus parlants que tous les mots que je pourrais employer pour décrire leurs maux.

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1273736383190962177/pu/vid/492x270/hKM1B9Wq7v_rmkJK.mp4?tag=10

    [Tw esclavage]

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1273736735973945346/pu/vid/750x406/fZDHi26kSeLrkD5o.mp4?tag=10

    [Tw torture]
    Celui là est vraiment très très dur, d’ailleurs je vous invite à regarder le témoignage en entier (le lien sera dans les sources plus bas)

    On estime que 15 à 20% des réunionnais exportés ont été victimes de #violences.
    Déjà à l’époque des voix se lèvent pour dénoncer cette injustice dans le journal Témoignages et même jusqu’en France métropolitaine dans Libération.

    Traduction de « mi ça va pas - mi ça va pas » au cas où y’en a qui ont pas compris : « J’y vais pas ! J’y vais pas ! »
    Les personnes qui osaient s’indigner de la situation étaient renvoyés à l’image du défunt Alix Hoair (je savais pas trop où mais fallait que je me mette ce grand monsieur quelque part)

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1273738986062852097/pu/vid/498x270/30Jk92A8U1_ysGH4.mp4?tag=10

    Il a été viré après avoir demandé plusieurs fois à ce que les enfants puissent rentrer en vacances sur leurs île.
    Aujourd’hui on sait que sur le bureau de Michel Debré il y avait des piles de dossiers qui démontraient que le programme était un échec.
    #Debré ou la définition même du négationnisme. Voici sa réponse à une lettre de #Pierre_Denoix (Directeur régional de la santé à l’époque) qui condamne la « #déportation » des réunionnais
    « [...] L’envoi des pupilles est une action marginale. Elle n’est pas moins forte utile pour des enfants dont l’avenir dans cette île est incertain. Et a donné au cours de ces dernières années les meilleurs résultats. »

    Le programme de déportation est arrêté en 1984 sous Mitterand, on estime que pendant ces 22 années 2150 enfants ont été ramenés dans les campagnes métropolitaines (ce chiffre est revu à la hausse très souvent).
    Que deviennent les ex mineure de la Creuse aujourd’hui ?

    Oh et for the culture : on dit « enfants de la Creuse » pour parler de tous les deportés même ceux qui étaient pas en Creuse. C’est parce que le premier réunionnais qui a porté plainte (Jean Jacques Martial) été en Creuse
    En 2002, un réunionnais Jean-Jacques Martial porte plainte contre l’Etat pour séquestration, maltraitance et déportation.
    (Achetez son livre.)

    Le 18 février 2014, grâce à #Ericka_Bareigts l’assemblée national reconnaît la #responsabilité_morale de la France.

    Le 18 Février 2016, une commission d’information et de recherche sur les enfants de la Creuse est ouverte. Le but est de mettre en lumière les détails de l’histoire.
    En 2019 et après deux ans d’enquête, la commission « d’un point de vu judiciaire » n’a pas pu « trouver d’éléments probatoires de rafles, de déportation, de vol d’enfants ». 🤡

    [Tw #suicide, hp]

    Beaucoup d’ex mineure de la Creuse (déjà a l’époque) se sont suicidés suite au traumatisme, énormément d’entres eux sont en hôpital psychiatrique et d’autres se sont retrouvés à la Rue.
    Nb : Les mineures de la Creuse avaient énormément de troubles (les adolescents par exemple faisaient encore pipi au lit)
    En 2013, une #statue à la #mémoire des enfants de la Creuse est érigé devant l’aéroport Roland Garros. On y voit une petite fille qui tiens une valise en étant tournée vers la mer. Selon Valérie Andanson (porte parole des enfants déracinés d’outre-mer) « ça signifie le départ »

    À l’heure où je vous parle beaucoup d’ex mineure de la Creuse n’ont toujours pas retrouvé leurs familles.
    //Fin du thread//
    Je tiens à dire qu’il y a énormément de détails dont je n’ai pas parlé sinon le thread aurait été trop long, je vous invite à checké les sources si vous voulez absolument tout savoir
    Je vous invite aussi à follow, je prépare d’autre thread du genre (coucou la stérilisation et l’avortement forcé des femmes qu’il y a eu pendant la période Debré, j’arrive pour vous)
    Sources : - mes connaissances personnelles oups
    – Les enfants de La Réunion un scandale d’Etat oublié :
    https://www.youtube.com/watch?v=pRRzeWyiAF0&feature=emb_logo


    – Le vol d’identité des enfants de la Creuse, le témoignage de Valérie Andanson :
    https://youtu.be/hRdiZGiapoU

    Une enfant de la Creuse témoigne brut :
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=75upsqKjQLQ&feature=emb_logo

    – Les enfants perdus de La Réunion :
    https://www.youtube.com/watch?v=dResl03P1oE&feature=emb_logo

    (Celui là me fait particulièrement mal au cœur)
    –Témoignage d’une enfant de la Creuse :
    https://www.youtube.com/watch?v=ni5WeHkaK5g&feature=emb_logo

    À ABSOLUMENT REGARDER.
    – « Loin... si Loin » : le débat - Guéret 21 juin 2017 :
    https://www.youtube.com/watch?v=-k1cghs7myA&feature=emb_logo

    – Interview d’#Alix_Hoair sur les enfants de La Creuse - Creuse 2003 :
    https://www.youtube.com/watch?v=aKnrlWRiGv8&feature=emb_logo

    J’ai oublié une autre source my bad (elle est pas si importante que ça mais quand même)
    –Remise du rapport sur les réunionnais de la Creuse :
    https://www.youtube.com/watch?v=UOVVzMA9V1M&feature=emb_logo

    Et aussi, regardez la #propagande de l’époque sur le foyer de Guéret :
    https://www.youtube.com/watch?v=O1pPdBK0U0A&feature=emb_logo

    https://threadreaderapp.com/thread/1273729717275951104.html
    https://twitter.com/ChildOfSeshat/status/1273729717275951104

    #France #colonialisme #enfants #enfance #enfants_volés #immigrés_de_force #Réunion #histoire #histoire_coloniale #DASS #adoption #créole #langue #violence

    ping @isskein @karine4 @reka

  • La #Suisse sous couverture - Agents infiltrés (1/5)

    En 1955, les #services_de_renseignement américains et l’entreprise suisse #Crypto_AG concluent un accord confidentiel qui permettra l’#espionnage des communications de 130 pays. Durant des décennies, un pan de l’industrie helvétique sera impliqué dans ces activités, malgré la « #neutralité » du pays et avec la bénédiction du Conseil fédéral.

    https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-agents-infiltres-15?id=10868165

    #histoire #USA #guerre_froide #Crypto #William_Friedman #cryptographie #technologie #espions #renseignements #Boris_Hagelin #neutralité #espionnage #affaire_Buehler #Hans_Buehler #Nora_Makabee #BND #Siemens #Loèches #Valais

    ping @simplicissimus @etraces

    • La Suisse sous couverture - Les grandes oreilles de la Confédération (2/5)

      A #Loèche, #Swisscom, le Département fédéral de la défense et des entreprises privées proches de la #National_Security_Agency (#NSA) gèrent un parc d’antennes pour les communications satellitaires entre la Suisse et l’étranger. En l’an 2000, ce site stratégique devient la porte d’entrée privilégiée de Washington pour espionner les communications dans le monde entier.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-les-grandes-oreilles-de-la-confederation-25-?id=108681
      #neutralité #télécommunication #satellites #ONYX #services_de_renseignement #USA #Etats-Unis #Jean-Paul_Rouiller #signalhorn #Treasure_Map serveurs_clandestins #déni

    • La Suisse sous couverture - #Genève, nid d’espions (3/5)

      Des salons de l’#ONU truffés de micros, des antennes camouflées dans les missions diplomatiques et des agents russes ou américains infiltrés partout... A Genève, où Edward Snowden travaillait pour la #CIA, le petit monde du renseignement grenouille discrètement et les espions chassent en meute.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-geneve-nid-despions-35?id=10868210
      #Snowden #Nations_Unies #Special_collection_service (#SCS) #organisations_internationales #système_d'écoute #site_C #Wiesbaden #Fort_Meade #NSA #Russie

    • La Suisse sous couverture - Le secret bunker suisse (4/5)

      Nos données numériques personnelles sont une mine d’or d’informations qu’il faut protéger des regards indiscrets. En Suisse, une législation déficiente – elle date de 1992 – permet à des puissances étrangères d’accéder à ces données. Dans le dossier du « big data », c’est la souveraineté de la Confédération qui est en jeu.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-le-secret-bunker-suisse-45?id=10868236

      #big_data #données_numériques #coffre-fort_numérique #réduit_national_4.0 #stockage #RGPD #protection_des_données #cloud_act

    • La Suisse sous couverture - Crypto révolution (5/5)

      D’un côté, Google et consorts contrôlent les canaux et le stockage de l’information. De l’autre, une puissante mouvance de hackers tente de rendre cette information publique, en piratant des systèmes informatiques. L’enjeu de cette guerre ? La défense de libertés fondamentales, aussi bien sur internet que dans la société.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-crypto-revolution-55?id=10868255

      #activisme #résistance #hackers #Digital_Gesellschaft #droits_humains #chaos_computer #club #surveillance #économie_de_la_surveillance

    • La CIA s’est servie d’une entreprise suisse pour espionner plus de 100 pays

      Une affaire d’espionnage secoue la Suisse : pendant des décennies, les services de renseignement américains et allemands ont secrètement utilisé une entreprise suisse et sa technologie pour espionner de nombreux États. Que savaient les autorités suisses à ce sujet ?

      Vue de l’extérieur, la firme zougoise Crypto AG était une entreprise suisse sérieuse, spécialisée dans la technologie de pointe. Elle fabriquait un produit peu utilisé par la plupart des gens : des appareils de chiffrement. Ses clients étaient des États ainsi que leurs armées et services secrets voulant rendre leurs communications secrètes illisibles, c’est-à-dire les crypter ou les chiffrer.

      Cependant, Crypto AG n’était une entreprise normale et respectant les valeurs ayant cours en Suisse que côté pile. Côté face, elle possédait une structure cryptique – au sens propre – car ses propriétaires agissant dans l’ombre étaient, à partir de 1970, l’agence centrale de renseignement américaine (CIA) et le service de renseignement allemand (BND). Les deux services secrets firent en sorte que la technologie de cryptage « swiss made », réputée infaillible, soit munie d’une porte dérobée.

      Grâce à ces manipulations ciblées, la CIA et le BND ont pu espionner 148 États – ennemis ou alliés – pendant des dizaines d’années. Tous ces pays avait investi des millions pour obtenir la technologie de ce pays neutre et digne de confiance qu’était la Suisse. Autrement dit, ils ont payé eux-mêmes les appareils qui les ont trahis.

      Les faits ont été dévoilés à la mi-février par la télévision suisse alémanique SRF, la chaîne allemande ZDF et le « Washington Post » à l’issue d’une enquête commune. L’équipe de recherche s’est appuyée sur des dossiers de la CIA qu’on lui a fait passer en douce, et sur des entretiens avec d’anciens employés de Crypto AG et leurs proches.

      L’ampleur du « coup du siècle des services secrets » – ce sont les termes de la CIA – paraît énorme. L’affaire met en lumière les tensions de l’époque de la guerre froide. La complicité de la CIA et du BND éclaire d’un nouveau jour bon nombre d’événements historiques de ces 50 dernières années. Jusqu’où faut-il réécrire l’histoire mondiale récente ? Seule une étude approfondie des CryptoLeaks le déterminera. L’histoire suisse doit-elle, elle aussi, être révisée ? C’est la question qui fait tant de vagues aussi en Suisse. On se demande ce que les autorités suisses savaient, et si l’État suisse était au courant des agissements des services de renseignement étrangers sur son sol et les a couverts.
      « Le programme a dépassé les espérances les plus folles »

      Dans quelle mesure les activités d’espionnage de la CIA et du BND, s’appuyant sur la technologie truquée de l’entreprise Crypto AG, ont-elles abouti ? Le succès des espions est toujours un échec pour ceux qui en sont victimes : la réponse dépend donc du point de vue adopté. Celui de la CIA, d’après les sources publiées, est le suivant : « Cela a été le projet d’espionnage à la fois le plus productif et le plus long depuis la Seconde Guerre mondiale. » Ainsi, entre 80 et 90 % des communications secrètes de l’Iran ont pu être déchiffrées. D’après la source de la CIA, « le programme a dépassé les espérances les plus folles de ses inventeurs. »

      Ces écoutes ont permis aux États-Unis d’influencer l’issue de tous les grands conflits ou presque à leur profit. Un exemple : selon l’état actuel des sources, le coup d’État militaire au Chili (1973) a été soutenu par les États-Unis sur la base des écoutes. En même temps, la CIA et le BND ont épié les conversations du régime militaire alors parvenu au pouvoir et n’ont donc jamais rien ignoré des méthodes de persécution et de torture qui coûtèrent la vie à 30 000 opposants au régime.
      Beaucoup de questions, premières réponses

      Les révélations sur Crypto AG font beaucoup de vagues, mais il n’est pas encore possible d’en tirer des conclusions définitives. Les grandes questions qu’elles posent esquissent cependant la portée de l’affaire pour la Suisse.

      Pourquoi la CIA et le BND ont-ils utilisé la couverture discrète d’une entreprise suisse ?

      Crypto AG a été fondée en 1952 par le cryptologue suédois Boris Hagelin. Il n’a pas implanté son entreprise en Suisse par hasard : « Lorsqu’on travaillait dans un domaine aussi sensible que la cryptographie, il valait mieux rechercher la protection d’un pays neutre mais faisant preuve de peu de scrupules moraux », indique la source de la CIA. Boris Hagelin a vendu son entreprise en 1970 à une société-écran de la CIA et du BND.

      Ce sont la CIA et le BND qui se sont livrés à ces activités d’espionnage. Pourquoi l’affaire est-elle perçue en Suisse comme un scandale « suisse » ?

      Du point de vue suisse, il est déterminant de savoir si les autorités du pays connaissaient les intentions, le modus operandi et la portée des activités d’espionnage, et si elles les ont tolérées, voire même favorisées.

      Des employés de Crypto AG soupçonnèrent que des puissances étrangères s’étaient immiscées dans les rouages de leur parfaite technique. Ils en ont informé la justice suisse. Que s’est-il passé ensuite ?

      Il est prouvé qu’au milieu des années 1970, un employé a informé des instances officielles que les appareils vendus étaient « dotés de générateurs de clés manipulés permettant aux services d’espionnage allemands et américains de déchiffrer les messages » : c’est ce que dit une fiche des Archives fédérales du 24 juillet 1977. Le problème est que les dossiers relatifs à cette fiche ont en partie disparu…

      La police fédérale suisse a enquêté sur la base de ces accusations, mais sans résultat. Des témoins de l’époque affirment aujourd’hui que les interrogatoires menés par la police ne l’ont été que « pour la forme »...

      Toute l’affaire ne sent-elle pas un peu le réchauffé de l’époque de la guerre froide ?

      Il est vrai que les premières accusations ont été lancées au milieu des années 1970. Et que Hans Bühler, ancien employé de Crypto, a accusé ouvertement son entreprise de collaborer avec des services secrets étrangers (Hans Bühler, soupçonné d’espionnage, a passé neuf mois dans une geôle iranienne, et a publié ses accusations dans un livre paru en 1994). Mais toute la portée de l’affaire n’éclate au grand jour que maintenant, car des preuves ont été fournies par des sources de la CIA. De plus, les activités d’espionnage ont perduré jusqu’en 2018, soit bien après la fin de la guerre froide. Le BND s’en est toutefois retiré en 1993 déjà, à la suite de la réunification de l’Allemagne.

      Dans l’état actuel des connaissances, que savait le Conseil fédéral de ces activités d’espionnage ?

      C’est une question clé. On ne sait pas encore dans quelle mesure des conseillers fédéraux étaient au courant de ces activités. Les documents de la CIA impliquent l’ancien conseiller fédéral Kaspar Villiger (PLR). Aujourd’hui âgé de 79 ans, ce dernier nie vigoureusement avoir été informé des détails.

      Pourquoi est-ce si important de savoir si le Conseil fédéral était au courant des activités d’espionnage ?

      S’il devait s’avérer que le Conseil fédéral, ou certains conseillers fédéraux, connaissaient ces activités d’espionnage, des questions sérieuses se posent : le gouvernement les a-t-il tolérées ? Ou les a-t-il couvertes ? A-t-il accepté que la neutralité suisse serve de leurre ? Et si la Suisse a été complice, a fermé les yeux ou couvert les faits : comment justifier l’espionnage contre des pays belligérants lorsqu’on affiche une politique de neutralité ?

      Comment le Conseil fédéral et le Parlement réagissent-ils à l’affaire ?

      La présidente de la Confédération, Simonetta Sommaruga, a dit très tôt que le gouvernement allait réunir tous les faits et était favorable à une enquête. La ministre de la Défense Viola Amherd a confirmé que son département abrite des documents laissant penser que son prédécesseur Kaspar Villiger était au courant. Désormais, l’affaire fait l’objet d’une enquête de la Délégation des Commissions de gestion des chambres fédérales. Cet organe de contrôle entend déterminer ce que la Suisse savait de ces activités d’espionnage, et si les renseignements suisses en ont même éventuellement même.

      L’affaire des CryptoLeaks met-elle en péril le rôle actuel de la Suisse ?

      La Suisse joue un rôle d’intermédiaire dans de nombreux conflits. Elle propose même ses « bons offices » dans les régions du monde sous tension. Ainsi, elle joue actuellement le « rôle du facteur » entre les États-Unis et l’Iran. La Suisse ne peut endosser ce rôle diplomatique que si sa crédibilité d’État neutre est intacte. C’est précisément cette crédibilité qui est en jeu maintenant. Ajoutons que l’Iran a été particulièrement touché par l’espionnage permis par la technologie « swiss made » truquée et vendue par le représentant de Crypto, Hans Bühler.

      Ce sont les États-Unis et l’Allemagne qui ont espionné d’autres pays. Pourquoi la réputation de la Suisse en souffrirait-elle ?

      L’avenir dira si la perception extérieure de la Suisse a subi des dommages. Mais la perception intérieure de la Suisse est de toute façon affectée : l’image de pays neutre à laquelle tiennent tant de Suisses est endommagée. L’affaire des CryptoLeaks pourrait jeter un discrédit total sur la neutralité suisse (voir aussi le commentaire de notre invité, p. 15).

      Crédibilité, confiance, image de soi : ce sont des facteurs subjectifs. L’affaire menace-t-elle aussi des intérêts économiques tangibles ?

      La Suisse possède une branche technologique en plein essor, qui dépend aussi de l’image de marque du pays. De plus, la Suisse souhaite se vendre comme une « place numérique propre », et promeut une initiative internationale dans le domaine de l’éthique. L’affaire des #CryptoLeaks tombe très mal.

      https://www.revue.ch/fr/editions/2020/03/detail/news/detail/News/la-cia-sest-servie-dune-entreprise-suisse-pour-espionner-plus-de-100-pays