#trombinoscope

  • J’ai comme une envie de montrer que les LREM sont des salopards..., Résistance FI (Je me lève et je me casse ! ) sur touiteur

    https://threadreaderapp.com/thread/1346391421117464576?refresh=1610017986

    https://twitter.com/lab58/status/1346391421117464576

    Je commence, le député LREM Stéphane Trompille condamné pour harcèlement sexuel.

    [...]
    Affaire Françoise Nyssen ancienne ministre.
    L’enquête porte sur l’agrandissement du siège parisien d’Actes Sud, à l’époque où l’ancienne ministre de la Culture dirigeait la maison d’édition. En utilisant l’argent des contribuables. Sans autorisation...

    #LREM #palmares #trombinoscope

  • Facebook , gangster aux 55 milliards de dollars Pia de Quatrebarbes - 21 Juin 2019 - Solidaire
    https://www.solidaire.org/articles/facebook-gangster-aux-55-milliards-de-dollars

    Un chiffre d’affaire de plus de 55 milliards de dollars en 2018 : en quinze ans, le réseau aux 2,2 milliards « d’amis » a engrangé un paquet de fric sur nos informations, quitte à s’asseoir sur quelques lois. Un « #gangster_numérique », a tranché le parlement britannique dans un rapport au vitriol... Comment le réseau social qui voulait « rendre le monde meilleur » en est-il arrivé la ?


    Photo Wachiwit /iStock

    En 2008, quand Facebook débarque en France, c’est la ruée sur les « murs ». On y voit alors un formidable moyen de communiquer, partager des photos, personne ne s’y informe encore, mais on y dissémine naïvement des informations aux quatre vents : scolarité, opinion, statut amoureux....et déjà on #like. Rien de grave a priori, #Mark_Zuckerberg, le concepteur du réseau souhaite alors « rendre le monde meilleur ». Pas « le conquérir, seulement rendre les gens plus ouverts et connectés ».

    L’histoire est typique des innovations du web. 4 ans auparavant, dans sa chambre de Harvard, à Boston, le petit génie veut rencontrer des filles, il crée alors avec des camarades un #trombinoscope des étudiants, « The Facebook ». Les universités américaines s’y branchent, puis les lycées et collèges – Il suffit d’avoir 13 ans et une adresse mail. Et bientôt le monde entier : 2,2 milliards d’utilisateurs, un chiffre d’affaires de 55 milliards de dollars, et le 3e site internet le plus visité.

    De ses utilisateurs, il sait à peu près tout !
    Mais 15 ans après, sa firme est devenue un « gangster numérique au dessus des lois ». La sentence est venue mi-février de la Commission du numérique, de la culture et des médias du #Parlement_britannique. Pendant 18 mois, elle a planché sur le scandale #Cambridge_Analytica. Une centaine de témoins ont été auditionnés, mais le PDG de Facebook, lui, a refusé... A la lecture des 110 pages, on comprend pourquoi et comment #Mark_Zuckerberg a choisi « le profit avant la vie privée ».

    Comprenons bien : Que Facebook sait-il de ses utilisateurs ? A peu près tout ! « La pratique la plus problématique, c’est la captation systématique de nos données personnelles », explique Sylvain Steer, enseignant en droit et membre de l’association la Quadrature du Net. Pour les « amis », ce sont donc les contenus publics, les messages privés sur #Messenger, la listes des personnes, pages et groupes suivis, la façon dont on utilise le service et accède aux contenus et les informations sur l’appareil (adresse IP, fichiers présents, mouvements de la souris, accès au GPS et à l’appareil photo).

    Pour ceux qui n’ont pas de compte, la firme de Palo Alto a la solution : le « profil fantôme ». Les #cookies, les boutons « J’aime » et « Partager » affichés sur de nombreux sites, transmettent à Facebook les informations de navigation... En bref, Facebook s’accorde un pouvoir de surveillance de masse.

    Et quand Mark Zuckerberg répète à tout va, « Facebook ne vend pas les données », le parlement Britannique répond : il ment. En cause, le modèle économique : « la gratuité » pour l’utilisateur contre la monétisation de ses données. « Facebook vend aux annonceurs des catégories de publicité. Ce sont l’ensemble des caractéristiques sociales, économiques et comportementales que le réseau associe à chaque utilisateur afin de mieux le cibler », explique Sylvain Steer. « Avec l’argument fallacieux que c’est pour nous proposer des contenus de la façon la plus adaptée : sous entendu la plus subtile ». Facebook est donc avant tout « une #régie_publicitaire », analyse Yann Le Pollotech, chargé des questions numériques au PCF. 98 % de son chiffre d’affaires mondial provient de la publicité ciblée.

    L’accès aux données des téléphones
    Le réseau ouvre aussi ses données à des développeurs tiers contre rémunération « 250 000 dollars de publicités par an », écrivait le PDG dans un mail obtenu par les parlementaires britanniques. Facebook nie, explique que l’idée n’avait jamais été appliquée. En 2015, pourtant il restreint l’accès sauf pour une liste de 150 entreprises, dont Apple, Amazon, Netflix, ou Airbnb ou encore le site de rencontre #Tinder. Et là, c’est open bar ! Et Zuckerberg écrivait : « je ne vois pas de cas où des données ont été diffusées de développeurs à développeurs et ont causé un réel problème pour nous »... Raté ! 3 ans après, Cambridge Analytica allait prouver le contraire. La société, basée à Londres, a siphonné les données de 87 millions de comptes. La cheville ouvrière de la campagne numérique de Donald Trump en 2016, a réalisé un micro ciblage des électeurs.

    Parmi les autres pépites du rapport : l’accès aux données des téléphones. En 2015, la nouvelle version de l’application sur mobiles #Android pouvait avoir accès au journal des appels téléphoniques. Un cadre de Facebook s’inquiète dans un mail interne que les utilisateurs s’en rendent compte. « Ça serait très risqué : des journalistes (..) qui écrivent des articles sur “Facebook qui utilise sa mise à jour pour espionner votre vie privée” », écrit le cadre. Car le but de la firme, est bel et bien de tout savoir.... Pour cela, il faut capturer l’utilisateur et faire en sorte qu’il y reste. Et le pousser à partager toujours plus d’informations.

    Les #Fake_News rentrent dans cette catégorie. C’est parce qu’elles sont beaucoup plus partagées que Facebook les laisse se propager... Le sociologue Dominique Cardon limite leur portée dans un livre salvateur (1). Pendant la campagne américaine, ces « fake news » ont été le plus consultées par les 10% des électeurs les plus convaincus, y écrit-il. Pour Yann Le Pollotech aussi, « il faut se méfier de ce concept. Depuis que les hommes communiquent, il y a de la #désinformation. Mais ici, il y a aussi une sorte de racisme social : les fake news ne concerneraient que les moins diplômés.. et les gilets jaunes ! A chacun ses Fakes news ; celle des #CSP_+ [cadres supérieurs, NdlR], c’est que les cheminots partent à la retraite à 50 ans avec un pont d’or. Mais ce n’est pas à Facebook de décider ce qui est de l’ordre du complot ou de la #vérité. La seule manière de les éviter : c’est la délibération, le débat démocratique ».

    Mais ce n’est pas le programme du géant. Lui, il a un autre objectif : « enfermer les internautes dans son monde, son univers. Plus que du gangster, cela relève de la #mafia, au sens où c’est aussi une organisation sociale », continue Yann Le Pollotech. Dans ce système, Facebook compte aussi la messagerie #Whatsapp (1,5 milliard d’utilisateurs) et le site de partage de photos et vidéos #Instagram (1 milliard). Et avec elles, toutes leurs données ! En 2014, au moment du rachat de Whatsapp pour 19 milliards de dollars, Zuckerberg promettait « de ne pas combiner les données des comptes Facebook et Whatsapp. Bien sûr, il l’a fait deux ans après », continue Sylvain Steer.

    Depuis les scandales continuent : le 20 mars, Facebook reconnaissait ne pas protéger les #mots_de_passe de centaines de millions de comptes. En février, d’autres applications donnaient accès à Facebook à leurs données : une application pour suivre son cycle menstruel, de sport, de santé... En septembre, 50 millions de comptes étaient piratées.

    Un modèle basé sur l’illégalité
    Que font les législateurs ? En Europe, ils ont franchi une première étape avec le Règlement général pour la protection des données ( #RGPD ), entré en vigueur le 28 mai dernier. Ce dernier impose des formes de consentement éclairé et libre. Mais « Facebook continue de violer les textes, car tout son modèle économique est illégal », rappelle Sylvain Steer. Une plainte collective a été déposée, la CNIL Irlandaise – là où est le siège social de Facebook en Europe- l’examine. Sauf qu’elle prend son temps. « Bien sûr, Facebook comme les autres, fait un lobbying pour retarder sa mise en conformité et prolonger son business », continue-t-il.

    Le Parlement britannique veut la fin du far west... Sauf que Facebook, comme #Google « à force de ne pas être réglementés, se sont imposés comme des autorités centralisatrices sur internet. Les États au lieu de le limiter, continuent à lui déléguer des pouvoirs ». La France en tête, « les gouvernements, demandent à ces plateformes géantes de devenir juges et modérateurs des contenus en ligne. Ce qui devrait être de l’ordre de la justice ou du service public », poursuit Sylvain Steer ... Ou comment les gouvernements donnent à Facebook les clés de la censure. Zuckerberg, lui, s’excuse, encore une fois, et promet « de changer ». En attendant, le nombre d’utilisateurs recule, les jeunes désertent la plateforme... Mais pour Instagram. Et restent ainsi dans le monde clos de Facebook.

    Culture numérique, Dominique Cardon, Les presses de Sciences Po, sorti en février, 19 euros, 428 pages
    (Article paru dans le journal L’Humanité -Dimanche du 28 mars 2019)

    #facebook #surveillance #internet #algorithme #censure #réseaux_sociaux #publicité #données #bigdata #profiling #manipulation #marketing #domination #web #voleur de vies #escroc #gangster #fric

  • Pour une militante LREM, les habitants des campagnes n’ont pas besoin d’hôpitaux
    http://www.revolutionpermanente.fr/Pour-une-militante-LREM-les-habitants-des-campagnes-n-ont-pas-b

    « De toutes façons il faut comprendre qu’on ne peut pas habiter dans un univers extraordinaire, avec la pelouse, les montagnes, une vue pas possible, et avoir un hôpital à côté et une pharmacie en bas de chez soi : ça c’est pas possible. On peut pas être à la campagne et à la ville ; nous on vit dans une ville super polluée, mais oui on a les hôpitaux. »

    #voilà_voilà #projet_de_société #mépris #territoire

  • François Fillon reçoit le prix d’homme politique de l’année La Provence
    http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4305807/francois-fillon-recoit-le-prix-dhomme-politique-de-lannee-2016.html

    Le hasard du calendrier ! En plein Penelope Gate, l’ex-Premier ministre s’apprête à recevoir ce jeudi soir, le prix d’homme politique de l’année 2016. Ce prix est décerné par la revue politique « Le Trombinoscope ». Composé de journalistes politiques de renom, le jury doit honorer les hommes et les femmes politiques qui se sont « particulièrement illustrés durant l’année écoulée ».

    Après son triomphe à la primaire de la droite et du centre, François Fillon devient rapidement le favori dans la course à l’Elysée 2017. François Fillon cochait toutes les cases de l’homme politique parfait jusqu’à ce que l’affaire des emplois fictifs présumés ne pollue sa campagne.

    Voici le communiqué de presse officiel du Trombinoscope, justifiant ce prix de l’homme politique de 2016 : « Suite à une carrière en constante progression depuis son élection à lʼAssemblée nationale en 1981, François Fillon sʼinstalle dans la posture de lʼéternel second. Jusquʼà sa victoire à la primaire de la droite et du centre. Trois conversions sont à lʼorigine de ce succès : la conversion au travail, la conversion au libéralisme et enfin, la conversion identitaire. »

    A noter que François Fillon ne sera pas présent (meeting oblige) à cette 25e cérémonie des prix du Trombinoscope.

    #fillon #médias #trombinoscope

  • VIDEO. Le couple Macron utilise-t-il la presse people pour se mettre en scène ?
    http://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/video-le-couple-macron-utilise-t-il-la-presse-people-pour-se-mettre-en-

    Emmanuel Macron veut peut-être renouveler la politique, mais pour occuper l’espace médiatique, il utilise une technique vieille comme le monde : se mettre en scène, dans la presse people, au bras de sa compagne. Le ministre de l’Economie et son épouse Brigitte posent en une du magazine VSD, jeudi 1er septembre, deux jours après que lui ait démissionné du gouvernement, et trois semaines à peine après leur apparition très commentée en une de Paris Match, les pieds dans l’eau. 

    Une tactique qu’il n’a pas toujours assumée. En avril, quand Paris Match avait décroché les confessions de Brigitte Macron sur leur couple, l’ex-ministre de l’Economie s’était désolidarisé de son épouse et évoqué « une bêtise ». Ce qui ne l’a pas empêché d’apparaître en une du même magazine quatre mois plus tard. 

    Quant à VSD, il semble que ce soit la publication privilégiée du couple Macron pour ce type d’exercices de communication : le numéro du 1er septembre est le sixième dont Emmanuel Macron fait la une, et il y est presque toujours accompagné de son épouse.

    avec un joli montage de toutes ces couvertures
    #pour_les_amateurs

    • VSD et beaucoup d’autre médias semblent frappés de #macronnite_aigue depuis la démission du ministre de l’économie.
      Sur le site de francetvinfo #Macron n’est pas encore dans leur impeccable #trombinoscope des 82 candidats déjà déclarés à l’élection présidentielle de 2017.
      Pour s’y retrouver dans cette jungle des candidatures, franceinfo a établi un trombinoscope des prétendants à l’Elysée. Cliquez sur la photo de chacun des candidats pour découvrir son profil détaillé. Filtrez et triez cette liste selon les critères de votre choix.

      http://www.francetvinfo.fr/politique/les-republicains/primaire-de-la-droite/enquete-franceinfo-decouvrez-qui-sont-les-82-candidats-deja-declares-a-
      Cette longue liste de candidats compte bon nombre de figures de la vie politique –Nicolas Sarkozy, Arnaud Montebourg, Cécile Duflot, Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen, pour ne citer qu’eux–, mais aussi beaucoup d’inconnus du grand public qui se verraient pourtant bien chef de l’Etat. On trouve ainsi pêle-mêle un ancien concurrent du jeu télévisé « Pékin Express », un fleuriste parisien ou un général à la retraite. Des « petits candidats » qui ont souvent lancé leur propre mouvement et font campagne sur leur temps libre, mais dont les chances d’obtenir les 500 parrainages sont bien minces. De l’extrême gauche à l’extrême droite, toutes les tendances politiques sont représentées. Le plus jeune des candidats a 22 ans, le plus âgé en a 78.
      #pour_les_amateurs
      à propos du #suffrage_universel, #Bakounine déclarait :

      « L’exhibition à la fois la plus large et la plus raffinée du charlatanisme politique de l’état »