• Ungleichheit auf Social Media: Wie Elon Musk sich auf #Twitter die Promis gefügig macht
    https://www.tagesanzeiger.ch/wie-elon-musk-sich-auf-twitter-die-promis-gefuegig-macht-904599257510

    Das heisst: Die prominenten Nutzer profitieren, ohne den #BlockTheBlue-Anfeindungen ausgesetzt zu sein. Sogar Stephen King wirkte bei seinen letzten Tweets ungewohnt versöhnlich. Ohne Zweifel: Das war ein Geniestreich des Twitter-Chefs. Und auch wir, die wir von Musk nichts geschenkt bekommen haben, können uns glücklich schätzen: Wir dürfen nämlich in aller Öffentlichkeit miterleben, wie mit kleinen Zuwendungen ein Günstlingssystem geschaffen wird.

  • #126 - Elon Musk est en train de détruire #twitter
    https://www.ecosceptique.com/126-elon-musk-est-en-train-de-detruire-twitter/?ref=articles-de-decryptage-et-du-wiki-newsletter

    Voici un résumé de ce qui est arrivé à Twitter depuis son rachat par Musk en octobre 2022. Accrochez-vous, c’est édifiant. Extrait : Depuis octobre, Musk a licencié ou fait partir 75% des salariés de Twitter : d’environ 8000, ils ne sont désormais plus que 1500. Fin décembre, il a fait fermer sans préparation, puis rouvrir immédiatement, l’un des trois data centers de l’entreprise — une décision qu’il qualifie lui-même de « catastrophique » (source). Les équipes de modération, de lutte contre la pédopornographie et de sureté de la plateforme ont été décimées. Certaines des personnes licenciées ont fondé des entreprises rachetées par Twitter. Lors du rachat, elles ont négocié des clauses garantissant des versements de plusieurs dizaines de millions de dollars en cas de licenciement. Twitter a licencié au moins trois (...)

    #internet

  • Publier le #code_source ne suffit pas…
    https://framablog.org/2023/04/17/publier-le-code-source-ne-suffit-pas

    Un court billet où Nicolas #Kayser-Bril opère une mise au point : la loi européenne et les grandes entreprises du Web peuvent donner accès au code source, mais ce n’est qu’un facteur parmi d’autres qui s’avère souvent inutile à lui seul… … Lire la suite­­

    #Droits_numériques #Enjeux_du_numérique #Traductions #Algorithmwatch #CNAF #open_source #pull_request #Spaces #Twitter #Ukraine

  • Elon Musk crée une nouvelle entreprise spécialisée dans l’intelligence artificielle (IA), baptisée #X.AI

    Et Twitter s’appelle maintenant X Corp.

    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/04/15/elon-musk-cree-une-nouvelle-start-up-d-intelligence-artificielle_6169625_440

    Elon Musk a récemment changé le nom de #Twitter en « #X_Corp », et le siège du réseau social n’est plus dans le Delaware (où se trouvent la plupart des sociétés américaines) mais dans le Nevada. On le retrouve dans le prénom d’un de ses enfants, un garçon baptisé X Æ A- 12.

  • Twitter takes its algorithm ‘open-source,’ as Elon Musk promised - The Verge
    https://www.theverge.com/2023/3/31/23664849/twitter-releases-algorithm-musk-open-source

    Twitter has released the code that chooses which tweets show up on your timeline to GitHub and has put out a blog post explaining the decision. It breaks down what the algorithm looks at when determining which tweets to feature in the For You timeline and how it ranks and filters them.

    According to Twitter’s blog post, “the recommendation pipeline is made up of three main stages.” First, it gathers “the best Tweets from different recommendation sources,” then it ranks those tweets with “a machine learning model.” Lastly, it filters out tweets from people you’ve blocked, tweets you’ve already seen, or tweets that are not safe for work, before putting them on your timeline.

    The post also further explains each step of the process. For example, it notes that the first step looks at around 1,500 tweets and that the goal is to make the For You timeline around 50 percent tweets from people that you follow (who are called “In-Network”) and 50 percent tweets from “out-of-network” accounts that you don’t follow. It also says that the ranking is meant to “optimize for positive engagement (e.g., Likes, Retweets, and Replies)” and that the final step will try to make sure that you’re not seeing too many tweets from the same person.

    #Twitter #Recommandation #Stratégie

  • Gazouillez, Twitter vous a bien eus ! - Le Temps
    https://www.letemps.ch/opinions/editoriaux/gazouillez-twitter-bien-eus

    ÉDITORIAL. Ce n’est pas le fait de rendre le célèbre réseau social payant qui est problématique, mais bien de l’avoir laissé gratuit si longtemps, annihilant ainsi toute concurrence
    Aline Bassin
    Publié vendredi 31 mars 2023 à 18:46

    Après bien des atermoiements, des gesticulations et des volte-face, Elon Musk est passé à l’acte. Il faudra dès ce samedi s’acquitter d’une dîme de 8 dollars par mois pour bénéficier d’un compte certifié sur Twitter.

    La mesure qui vise à générer de nouveaux revenus promet de faire couler encore bien du fiel, tant les modalités d’authentification des abonnés payants sont obscures. Ce nouvel abonnement présage surtout la création d’un réseau social à deux vitesses, puisque les utilisateurs qui n’accepteront pas de sortir leur carte de crédit perdront en visibilité et crouleront sous les publicités.

    Lire aussi : Avec sa certification payante, Twitter risque de plonger davantage encore dans le chaos

    Quoi de plus normal que de payer pour un service qu’on consomme ? C’est dans la réponse à cette interrogation naïve que réside toute l’ambiguïté du modèle d’affaires des Facebook, Twitter et autres TikTok. Ce n’est pas seulement en s’appuyant sur le caractère révolutionnaire de leur plateforme de discussion qu’ils ont conquis les foules, mais surtout en les accueillant à bras ouverts, gratuitement, monnayant au passage leurs données personnelles.
    Sans concurrence, pas de marché efficient

    La méthode est vieille comme le monde. Stimulée par des investisseurs très patients, elle a bien fonctionné pour les géants de la nouvelle économie qui ont berné des gouvernements et des régulateurs peu rompus à leurs innovations. Plus clairvoyants, ceux-ci n’auraient ainsi jamais toléré les rachats d’Instagram et de WhatsApp par Facebook, des transactions qui ont renforcé un oligopole problématique.

    En édifiant des barrières infranchissables pour de nouveaux venus, c’est la concurrence, clé de voûte de l’économie libérale, que les GAFAM ont assassinée. Dans un marché fluide, les mécontents de Twitter changeraient tout simplement de crémerie. Aujourd’hui, il ne leur reste qu’à aller gazouiller – plus précisément « pouéter » selon le jargon de ce réseau – sur Mastodon et ses quelque 7 millions d’utilisateurs (contre 450 millions pour Twitter). A trop tirer sur la corde, Elon Musk et Mark Zuckerberg finiront peut-être enfin par faire émerger des adversaires dignes de ce nom. C’est en tout cas tout le bien que l’on peut souhaiter à l’économie de marché, pour ne pas dire à l’humanité.

    #Twitter #Economie_numerique

  • Twitter Cannot Be Saved. It’s Time To Let It Die
    https://thefederalist.com/2023/03/29/twitter-cannot-be-saved-its-time-for-free-speech-proponents-to-let-it

    As someone who regularly uses Twitter to both publish and consume the news, I was hopeful Musk would be able to clean out the rot inside Twitter once he took over. I hoped he would make good on his promise to restore Twitter as a free-speech platform. I even ponied up the $8-per-month fee for his Twitter Blue service because I wanted to support his efforts. A lot of good that did.

    It’s now abundantly clear that despite spending a whopping $44 billion to acquire the company, Musk isn’t in charge of it.

    #Twitter #SocialMedia

  • Climatosceptiques : sur Twitter, enquête sur les mercenaires de l’intox | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/climatosceptiques-sur-twitter-enquete-sur-les-mercenaires-de-lintox

    Au sein du projet Climatoscope, David Chavalarias et ses collègues étudient la structure, les tactiques et les arguments des réseaux climatosceptiques sur Twitter. Des réseaux bien organisés, particulièrement actifs depuis quelques mois, dont l’objectif est de semer le doute sur la réalité du changement climatique, et de ralentir toutes les actions visant à réduire l’empreinte de l’humanité sur le climat.

    #CNRS #climatoscepticisme #réseaux_sociaux #Twitter

  • Le #Fediverse n’est pas #Twitter, mais peut aller plus loin
    https://framablog.org/2023/02/17/le-fediverse-nest-pas-twitter-mais-peut-aller-plus-loin

    Maintenant que #mastodon a suscité l’intérêt d’un certain nombre de migrants de Twitter, il nous semble important de montrer concrètement comment peuvent communiquer entre eux des comptes de Mastodon, #PeerTube, #Pixelfed et autres… c’est ce que propose Ross Schulman dans … Lire la suite­­

    #Communs_culturels #Peer.tube #Traductions #Bookwyrm #Funkwhale #migration #Writefreely

  • #écologie

    🛑 Sur #Twitter, le boom des #climatosceptiques. Depuis l’été 2022, une communauté de 10 000 comptes climatosceptiques s’est structurée sur le réseau social. On retrouve nombre d’#antivax, de #prorusses ou de proches de l’#extrêmedroite... 💩

    ▶️ Lire le texte complet…

    ▶️ https://reporterre.net/Sur-Twitter-le-boom-des-climatosceptiques

  • Opinion | The 25 Tweets That Show How Twitter Changed the World - The New York Times
    https://www.nytimes.com/interactive/2023/02/10/opinion/twitter-all-time-tweets.html

    On Wednesday, Twitter announced that users who pay extra will be able to send their thoughts into the world in tweets of up to 4,000 characters, instead of 280 or less. A few hours later, the site glitched. Users couldn’t tweet; they couldn’t DM; #TwitterDown began trending. All of it — the muddled sense of identity, the breakdown of basic function — confirmed the sense that Twitter, a site that has hosted the global conversation for almost two decades, had become a rickety shell of itself, that its best days were behind it and that it would never be as significant again.

    But what, exactly, is being lost? We wanted to capture the ways that Twitter — a platform used by a tiny percentage of the world’s population — changed how we protest, consume news, joke and, of course, argue. So we set ourselves to the task of sorting through the trillions of tweets sent since 2006 to determine which were just noise and which deserved a place in the history books. And then we asked: Could we maybe even … rank them?

    What you see below is our list, compiled with the help of experts, of the 25 most important tweets. Like all such rankings, we hope it can serve as a starting point for discussions and arguments, both on Twitter and off. What was ranked too high? Too low? What did we leave off?

    Yes, we know: There’s something a little absurd about this exercise. Twitter contains such a wide range of humanity: How do you rank the tweet that got Justine Sacco canceled against the tweet that ignited #MeToo?

    And yet this list tells a bigger story about how 17 years of messy, vibrant, sometimes ugly, always lively conversation has shaped the world. Just where did “Hope I don’t get AIDS. Just kidding. I’m white!” land compared with “If you’ve been sexually harassed or assaulted write ‘me too’ as a reply to this tweet”? You’ll have to scroll to find out.

    How We Did It: To compile this ranking, Times Opinion rounded up a group of panelists with widely varied backgrounds but one thing in common: They know a lot about Twitter. (The full list of panelists is at the bottom of the article.) We asked them to submit tweets they thought were good candidates for the most important of all time, with the only criterion being that the tweets had to be in English. We used these to create a list, then sent that list back out to our panelists with instructions to rank the tweets in order of importance and to share their insights about them: why they thought a tweet was important or why it wasn’t. We then crunched the numbers and compiled their insights, edited for content and clarity, into the list you see here.

    #Twitter #Histoire_numerique

  • Google annonce la suppression de 12 000 emplois dans le monde – Libération
    https://www.liberation.fr/economie/economie-numerique/google-annonce-la-suppression-de-12-000-emplois-dans-le-monde-20230120_LK
    https://www.liberation.fr/resizer/HTiOpW0DZ3l7TeByXtSd6PIoZPo=/1200x0/filters:format(jpg):quality(70):focal(1021x1102:1031x1112)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/VLNJLPA2BFAZRCTWOT7U4IXVL4.jpg

    En virant plus de 5 % de ses employés, Microsoft compte « faire plus avec moins ». Meta, maison mère de Facebook, a quant à elle annoncé en novembre retirer 11 000 salariés de sa liste d’amis, soit 13 % de ses emplois. Peu de temps après, Amazon a fait tomber le couperet en révélant 18 000 licenciements. Et que dire de la violente purge menée par Elon Musk chez Twitter ? Interviewé par Libération en novembre 2022, l’analyste Diego Ferri, directeur de la stratégie d’EY Fabernovel, entreprise spécialiste du conseil en transformation stratégique, annonçait : « Nous arrivons à la fin d’un cycle d’innovation ».

    Une innovation qui, chez Google, est depuis quelques mois parfois sacrifiée sur l’autel de la réduction des coûts. En septembre, l’entreprise a révélé qu’elle ne développerait plus d’ordinateurs Pixelbook. En outre, rien que mercredi, elle a fini d’enterrer Stadia, son équivalent Netflix du jeu vidéo.

    • Amazon : 27 000 licenciements en deux mois
      https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/03/23/amazon-27-000-licenciements-en-deux-mois_567774.html

      #Amazon, le géant du commerce en ligne dont le PDG est #Jeff_Bezos, a annoncé le #licenciement de 9 000 employés supplémentaires. En janvier, il avait déjà jeté à la rue 18 000 salariés, soit au total 27 000 travailleurs en deux mois.

      En février, Amazon avait pourtant annoncé des ventes en hausse de 9 %, un chiffre d’affaires de 137,4 milliards de dollars et un bénéfice net doublé à 14,3 milliards de dollars. Cette entreprise, qui avait eu un développement exceptionnel durant le ­Covid, a vu entre fin 2019 et fin 2021 son nombre de salariés passer de 800 000 à 1,6 million, en faisant le deuxième employeur du monde. Mais aujourd’hui les perspectives dans le domaine de la high-tech seraient moins bonnes – une « incertitude économique quant à l’avenir proche » d’après Amazon. Et dans le secteur, 503 entreprises ont annoncé le licenciement de 139 000 salariés depuis le début 2023, Amazon bien sûr mais aussi #Google, #Paypal, #Yahoo, #Twitter, etc.

      Alors, pour Bezos, ces #licen­ciements sont un message envoyé aux investisseurs pour indiquer qu’il y a « un pilote dans l’avion » et qu’ils peuvent continuer à investir sans crainte dans son entreprise. Pour Bezos, qu’il y ait 10 000, 20 000 licenciements ou plus peut-être dans les mois qui viennent, ce n’est rien ; mais pour tous ces #travailleurs c’est un drame. D’autant plus que c’est sur leur travail et celui de tous les salariés d’Amazon, dans des conditions dénoncées partout et pour des #salaires de misère, que Jeff Bezos, devenant l’homme le plus riche du monde, a construit sa fortune. Estimée à 100 milliards de dollars, que ne sert-elle pas à maintenir les emplois chez Amazon ?

      #licenciement_de_masse

  • Is Black Twitter Dead ? And What Is Its Future ?
    https://www.refinery29.com/en-us/the-future-of-black-twitter

    Brock, who refers to Black Twitter as a “discourse collective,” posits that Black users will not be pushed to leave the platform until legal or regulatory interference eliminates other options. “The fact that somebody racist takes charge of a space that we inhabit, doesn’t necessarily mean that we’ll flee. We don’t do white flight,” Brock says. “While there will be a trickle of folk who can afford to, and don’t mind what they will lose when they leave Black Twitter…we’re going to be here for years.”

    À lire aussi sur le sujet, cet article de Meredith Clark de 2015
    https://www.theatlantic.com/technology/archive/2015/04/the-truth-about-black-twitter/390120

    #twitter #blacktwitter #mastodon

  • HubertineAuclert : « #Musk a suspendu un nombre con… » - Framapiaf
    https://framapiaf.org/@HubertineAuclert@piaille.fr/109522037835666068

    #Musk a suspendu un nombre conséquent de journalistes US qui le critiquaient (des journalistes du Washington Post, du New York Times). Il vient également de suspendre le compte officiel de #Mastodon

    CrimethInc. Ex-Workers : « Today, Twitter suspended It’s … » - Framapiaf
    https://framapiaf.org/@CrimethInc@todon.eu/109520407651502372

    Today, Twitter suspended It’s Going Down (@igd_news), a longtime anarchist and anti-fascist news source that had never previously run afoul of the Twitter rules. At the time of their suspension, they had 108,000 followers.

    Ça vire les wokistes, cette engeance qui ne respecte pas le véritable free speech.

  • Twitter Suspends Over 25 Accounts That Track Billionaires’ Private Planes - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2022/12/14/technology/twitter-private-jet-accounts-suspended.html

    Twitter on Wednesday suspended more than 25 accounts that track the planes of government agencies, billionaires and high-profile individuals — including one that followed the movements of the social media company’s owner, Elon Musk, who has said he was committed to “free speech.”

    Jack Sweeney, a 20-year-old college student and flight tracking enthusiast, said he woke up on Wednesday to find that his automated Twitter account, @ElonJet, had been suspended. In recent months, the account amassed more than 500,000 followers by using public flight information and data to post the whereabouts of Mr. Musk’s private plane. Twitter later reinstated the @ElonJet account before suspending it again.

    Mr. Musk had been aware of @ElonJet for months. After buying Twitter for $44 billion in October, he said that he would allow the account to remain on the platform. “My commitment to free speech extends even to not banning the account following my plane, even though that is a direct personal safety risk,” Mr. Musk tweeted last month.

    My commitment to free speech extends even to not banning the account following my plane, even though that is a direct personal safety risk
    — Elon Musk (@elonmusk) November 7, 2022

    Mr. Sweeney’s personal Twitter account was also suspended on Wednesday, along with the other accounts that he runs that track the planes of tech billionaires such as Mark Zuckerberg, Jeff Bezos and Bill Gates. Mr. Sweeney shared a message that he had received from Twitter, which said his account had been suspended for violating rules “against platform manipulations and spam.”

    `#Twitter #Elon_Musk #Liberté_expression

  • Elon Musk’s Twitter is fast proving that free speech at all costs is a dangerous fantasy | Nesrine Malik | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2022/nov/28/elon-musk-twitter-free-speech-donald-trump-kanye-west
    https://i.guim.co.uk/img/media/8051a251af3be54847bef8e863a9d679a537febb/0_81_3872_2325/master/3872.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    The ultimate cause of that demise will be the failure of Musk to understand that for some speech to be free, other speech has to be limited. It is generally true that if a service is free then it is by definition exploitative of its users – if you are not paying for a product, the axiom goes, then you are the product. But in the case of social media, the regulation of your speech is the product. If a platform becomes too toxic, then it is useless for anyone except those who want an extremist ghetto of agitators. In that sense, social media is very much like society in general. Political and legal authorities are in the business of content moderation, in order to make our shared space as stable and safe as possible for a majority of people. The public and other stakeholders, such as the press, businesses and social media companies themselves, are in constant negotiations with these authorities on what those limits should be – for instance, whether religious dress is protected speech, or what constitutes incitement to violence.

    Old Twitter was far from perfect, and by its own admission its algorithms favoured rightwing accounts. But it was improving because of the drag that advertisers, regulators and users were putting on its algorithmic urge to encourage antagonistic activity. The high-speed destabilisation of Musk’s Twitter should be a warning to free speech absolutists. The set of curbs they object to are those that make users’ experience of social media, and life in general, possible; they protect against, among other jeopardies, libel, impersonation, plagiarism, misinformation and grooming. In essence, all our free speech arguments are about finessing, rather than obliterating a system of functional restrictions.

    Those with power have more leeway to define what free speech is, but they can rarely do so without limitation. Twitter’s chance of survival is dependent on whether Musk chooses to accept that, like freedom of speech, his power is not absolute.

    #Twitter #Free_speech

  • Crise et licenciements à la Silicon Valley, les géants de la tech dans la tourmente Feriel Mestiri - RTS
    https://www.rts.ch/info/economie/13613479-crise-et-licenciements-a-la-silicon-valley-les-geants-de-la-tech-dans-l

    Chutes en bourse, licenciements collectifs et investissements fantasques, les géants de la Silicon Valley, que l’on disait plus puissants que des Etats, vivent une période agitée. Faut-il craindre une crise structurelle ?

    La région de San Francisco est sous le choc après les licenciements collectifs des géants de la Silicon Valley. Le premier à faire les gros titres était Twitter, début novembre. L’entreprise, qui perdait quelque 4 millions de dollars par jour, selon son nouveau patron Elon Musk, a renvoyé la moitié des employés. Soit 3700 personnes au total.

    Même les concierges se retrouvent sur le carreau. La RTS a rencontré Juana Laura Chavero Ramirez, une ex-concierge chez Twitter, parmi des manifestants devant le siège du groupe. Selon elle, la nouvelle entreprise de nettoyage les a remplacés par des travailleurs non-syndiqués : « Nous sommes 87 employés à nous retrouver sans travail dans cette période de Noël », déplore-t-elle dans le 19h30.

    Licenciement brutal
    Du côté des « cols blancs », Melissa Ingle est l’une des rares ingénieurs de Twitter à accepter de parler. Elle a compris qu’elle était licenciée juste avant Thanksgiving, lorsqu’une alerte est apparue sur son téléphone lui indiquant que son code d’accès avait été supprimé.

    Même pour la Silicon Valley, la méthode est brutale : « Des licenciements étaient sans doute inévitables. Mais d’autres entreprises le font de manière prudente et bien gérée. Ce que Monsieur Musk a fait, c’est sabrer la moitié des effectifs, sans réfléchir aux fonctions et aux talents des employés », souligne-t-elle.

    Chez Meta, des milliards mal investis
    Il n’y a pas que Twitter qui dégraisse ses effectifs. Meta, l’entreprise qui possède Facebook, Instagram et WhatsApp, congédie 11’000 personnes. Cela représente 13% de ses employés.

    En cause, notamment, des investissements hasardeux. Depuis le début de la pandémie, l’entreprise de Mark Zuckerberg a investi quelque 26 milliards de dollars, dont 10 dans le Metavers, un monde virtuel qui peine à séduire.

    Le boom temporaire d’Amazon durant la pandémie
    Amazon annonce également des coupes dans son personnel, de l’ordre de 10’000 licenciements. Tout comme ses congénères, ce géant de la vente en ligne vit une période d’ajustement, après la croissance qui a suivi le Covid.

    Selon Russell Hancock, le président de Joint Venture Silicone Valley, un bureau d’analyse sur l’économie de la Silicon Valley, « quand le monde entier s’est confiné, cela a créé une demande énorme pour les services des géants des nouvelles technologies. Ils ont pensé que ce serait la nouvelle norme. Mais aujourd’hui, alors que la pandémie se dissipe, on réalise que cette demande était temporaire », note-t-il.

    Crainte d’une perte de talents
    Pour San Francisco et sa région, on est loin du krach qui a succédé à l’explosion de la bulle internet du début des années 2000. La situation n’en reste pas moins critique, particulièrement pour les travailleurs expatriés.

    L’avocate Sophie Alcorn est en contact avec des ingénieurs indiens qui risquent l’expulsion : « S’ils sont renvoyés par leur employeur, ils ont une fenêtre de 60 jours pour trouver un nouvel emploi. S’ils n’y parviennent pas, ils doivent quitter le pays. »

    Cette vague de départs pourrait être dommageable pour les Etats-Unis, qui perdent des cerveaux parmi les plus brillants du monde.

    Un repli à relativiser
    A lire les gros titres annonçant des dizaines de milliers de licenciements, on pourrait craindre des faillites de géants de la tech à venir. Mais selon Benoît Bergeret, directeur exécutif du Metalab for data, technology and society à l’ESSEC Business School en France, la crise n’est pas d’une magnitude qui soit inquiétante sur le plan structurel :

    « Finalement, les 20’000 à 40’000 licenciements identifiés, sur les 900’000 emplois de la tech dans la Silicon Valley, ne représentent pas un pourcentage énorme », affirme-t-il, dans une interview accordée au podcast Le Point J.

    Si Twitter a effectivement sabré la moitié de ses effectifs, les 11’000 emplois supprimés chez Meta ne représentent « que » 13% des postes, tandis que les 10’000 personnes licenciées chez Amazon ne constituent qu’un petit pour cent des équipes.

    En d’autres termes, il ne s’agit pas d’un effondrement, mais bien d’un ralentissement du secteur, qui voit la fin d’un cycle d’hyper croissance.

    Entre les rentrées publicitaires en baisse, un contexte macroéconomique fragile, l’inflation et la concurrence de nouveaux acteurs comme le chinois TikTok, les entreprises de la Silicon Valley veulent désormais gagner en rentabilité pour rassurer les investisseurs. Alors elles écrèment.

    #économie #rentabilité #tech #silicon_valley #start-ups #Twitter #paradis_fiscaux #startup #méta #Metavers #multinationales #crise #bourse #multinationales #croissance #dividendes #rentabilité #San_Francisco #concierges #Amazon #cerveaux

  • https://www.alternatives-economiques.fr/stopper-elon-musk/00105194

    Y a-t-il encore une limite à la puissance des multimilliardaires ? Le rachat de Twitter pour 44 milliards de dollars par l’homme le plus riche du monde illustre les possibilités offertes par une accumulation extrême de richesse.

    A la tête d’une fortune oscillant entre 200 et 300 milliards de dollars, composée très majoritairement d’actions Tesla dont le cours s’est envolé, Elon Musk a un patrimoine équivalent au produit intérieur brut (PIB) du Portugal. Et il s’achète une entreprise valant deux fois le budget du ministère de l’Intérieur français.

    Musk a dorénavant la haute main sur une plate-forme où échangent plus de 400 millions de personnes. Un réseau possédant un fort impact sur le débat public, car prisé au sein des milieux politiques, économiques et médiatiques. Une semaine après son rachat, l’entrepreneur, fidèle à son goût de la disruption, a licencié 3 500 personnes, soit la moitié des salariés de l’entreprise. Et il commence à mettre en place ses réformes.

    « En devenant l’actionnaire majoritaire, Elon Musk n’a pas vraiment de contre-pouvoir. C’est pareil au sein du groupe Meta qui possède Facebook, Instagram et WhatsApp. La plupart des réseaux sociaux sont des entreprises avec une gouvernance très centralisée et opaque », pointe Anne Bellon, politiste à l’université technologique de Compiègne.

    Quelles sont les motivations de ce rachat ? « Il y a une dimension idéologique à ne pas sous-estimer. Elon Musk a une vision absolutiste de la liberté d’expression, stipulant que plus de liberté signifie moins d’intervention », complète Anne Bellon. Soit une modération des contenus réduite au minimum légal.

    Musk reproche à l’ancienne direction de Twitter une intervention excessive et des biais anticonservateurs. Et il regrette les suspensions de comptes opérées sur le réseau, comme celle concernant Donald Trump. A l’instar de l’ancien Président dont le compte a déjà été rétabli, plusieurs personnes précédemment bannies pourraient faire leur retour. La conséquence de cette politique devrait être une brutalisation accrue du débat au travers d’une plus grande diffusion de contenus jugés problématiques, parce que haineux ou relayant de fausses informations.
    DSA, rempart européen ?

    Le multimilliardaire l’a cependant assuré : il respectera la loi. Si la législation américaine comporte très peu de contraintes en la matière, la réglementation européenne est plus stricte et la Commission le répète : sur le Vieux Continent, Twitter devra la respecter. Bruxelles s’érige en rempart, en mettant en avant son nouvel outil pour réguler les contenus des plates-formes numériques : le Digital Services Act (DSA).

    Une partie de ce dispositif européen pourrait entraver les ambitions de l’américain. Le DSA oblige en effet les grandes plates-formes à prendre en compte les « risques systémiques », qui englobent aussi bien le harcèlement sexiste que les « effets négatifs » sur les élections ou la sécurité publique.

    Il les contraint ainsi à suivre finement ce qui se passe sur leur réseau et à ne pas se contenter de supprimer quelques messages clairement illégaux (pédopornographie, apologie du terrorisme, etc.). Mais avec le licenciement de la moitié de ses salariés, la capacité de modération humaine de Twitter est réduite à peau de chagrin.

    « Elon Musk a une croyance très forte dans la technologie et va sûrement renforcer le rôle des outils algorithmiques dans la modération, pense Anne Bellon. Une telle évolution rendrait les décisions de modération plus opaques, réduisant ainsi leur possible contestation. »

    Elle exigerait aussi des régulateurs qu’ils montent en compétence pour entrer dans la boîte noire de la technologie de la plate-forme. Les grands projets d’Elon Musk pour Twitter concernent cependant principalement les Etats-Unis. Le reste du monde semble être secondaire dans ses plans, même s’il représente l’immense majorité de l’activité de l’entreprise.
    Reprise chaotique

    Au-delà de l’aspect idéologique, y a-t-il une logique économique au projet d’Elon Musk ?

    « Ce rachat peut paraître paradoxal, car Twitter a toujours eu du mal à trouver un modèle économique et affiche une fragilité en décalage avec la portée de ce réseau, qui voit intervenir des personnes d’influence mondiale, qu’elles soient chefs d’Etat ou dirigeants de grandes firmes », pointe Julien Nocetti, chercheur au centre Geode (Géopolitique de la datasphère).

    Le réseau à l’oiseau bleu a certes un impact fort sur les termes du débat public, mais il ne pointe qu’à la 16e place des réseaux sociaux les plus utilisés au monde et ses comptes oscillent selon les années entre le rouge et le vert.

    Elon Musk l’a d’ailleurs affirmé mi-novembre : « La perspective d’une banqueroute n’est pas à exclure. » Quatre jours après son rachat, 875 000 utilisateurs avaient désactivé leur compte – le double du rythme habituel –, selon la société Bot Sentinel. De leur côté, General Motors, Dyson, Disney, Coca-Cola ou encore Stellantis ont tour à tour suspendu leur campagne publicitaire sur le réseau.

    « Les annonceurs peuvent jouer un rôle de contre-pouvoir car ils préfèrent ne pas voir leurs messages à côté de contenus jugés problématiques. Une faillite n’est effectivement pas impossible », estime Annabelle Gawer, professeure d’économie numérique à l’université du Surrey.

    Un risque aggravé par la saignée opérée dans les effectifs, à laquelle s’ajoutent a minima plusieurs centaines de départs sur les salariés ­restants. Ceux-ci quittent le navire à cause des méthodes autoritaires du nouveau patron qui leur demande de se donner « à fond, inconditionnellement » et de « travailler de longues heures à haute intensité ».

    Le milliardaire affiche cependant comme ambition de trouver un nouveau modèle économique au réseau, qui repose aujourd’hui quasi exclusivement sur les revenus publicitaires. C’est pourquoi il a lancé mi-­novembre un abonnement à 8 dollars par mois pour obtenir une certification de compte, ouvrant la voie à une meilleure visibilité des contenus.

    Cette option était jusqu’alors proposée gracieusement aux personnalités ou entreprises dont l’identité avait été vérifiée. Véritable aubaine pour les trolls, l’offre a rapidement été suspendue après l’imposture de nombreux utilisateurs usurpant l’identité d’entreprises ou de personnalités publiques. Malgré ce fiasco initial, l’offre devait faire son retour fin novembre, « corrigée des bugs ». Ouvrant ainsi la voie à un modèle partiellement payant.

    Tesla, présentée aujourd’hui comme une success story, a frôlé la faillite plusieurs fois à la fin des années 2010

    Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk fait emprunter un chemin périlleux à une entreprise qu’il dirige. Tesla, présentée aujourd’hui comme une success story, a frôlé la faillite plusieurs fois à la fin des années 2010, enchaînant notamment retards de livraison et difficultés d’approvisionnement.

    Le fabricant de voitures électriques haut de gamme a d’ailleurs été accusé d’avoir supprimé un test de sécurité pour accélérer la production ou d’avoir minimisé d’autres problèmes pour éviter des rappels de véhicules qui auraient pu être destructeurs pour ses finances. La méthode Musk est connue.

    A plus long terme, le rêve du nouveau patron de Twitter est d’en faire une « app universelle ». Sur le mode du WeChat chinois, une application qui concentre un maximum d’usages : tweeter, commander un taxi, un repas, prendre un ­rendez-vous médical, etc.

    « La X App de Musk est un écosystème technologique total, en l’occurrence totalement fermé sur lui-même, où tous les services numériques seraient disponibles et interconnectés, concentrant ainsi l’ensemble des usages. Un effet système sans couture qui organiserait l’enfermement algorithmique et permettrait une captation sans discontinuité des données. Le socle techno­logique primaire de la X App serait donc basé sur l’architecture existante de Twitter », détaille l’enseignante à Sciences Po Asma Mhalla, dans un article du Grand Continent.

    Avec le réseau à l’oiseau bleu, Elon Musk attrape aussi un puissant outil informationnel pour s’immiscer encore davantage sur la scène géopolitique. Le milliardaire a en effet déjà « offert » – moyennant le concours financier de l’Etat américain – aux autorités ukrainiennes un accès à sa constellation de satellites Starlink, la plus grande au monde, permettant une connexion à Internet via l’espace en évitant ainsi les infrastructures terrestres mises à mal par les combats.
    Aussi puissants que des États

    De sa proposition de plan de paix pour cette guerre à celle formulée pour régler le conflit entre la Chine et Taiwan, de quoi se mêle-t-il ? Est-ce simplement l’expression d’un mégalomane voulant trouver des solutions à tout, au mépris de sa connaissance des situations ? Ou plutôt la preuve que les géants de la tech sont en train de devenir des puissances géostratégiques ? L’un n’empêche pas l’autre.

    « Les entreprises techno­logiques prennent de plus en plus position sur les sujets internationaux, de manière très visible pour Elon Musk ou plus discrètement comme Microsoft ou Google pour l’Ukraine », détaille Julien Nocetti, également chercheur à l’Institut français des relations internationales (Ifri).

    « La puissance des plus grandes plates-formes numériques équivaut à celle de certains Etats, en termes de ressources financières mais pas que, résume Annabelle Gawer. Ce sont des régulateurs privés qui autorisent ou non des entreprises et des individus à opérer sur leurs réseaux qui sont devenus des infrastructures essentielles. » L’Union européenne ne s’y est pas trompée et a envoyé cette année un ambassadeur permanent à la Silicon Valley pour échanger directement avec ces « big tech ».

    Elon Musk et ses entreprises sont aussi les produits du gouvernement américain et l’expression de son soft power

    Elon Musk est-il le symbole de cette nouvelle puissance qui échapperait aux Etats ? C’est plus ­complexe, car les big tech entretiennent un lien étroit avec la puissance publique, en l’occurrence américaine. SpaceX, l’entreprise de lancement de satellites fondée en 2002 par le futur boss de Twitter, s’est développée grâce aux fonds de la Nasa, via le contrat de ravitaillement de ses stations.

    Situation similaire pour Tesla : l’entreprise a bénéficié pendant des années de subventions à hauteur de plusieurs milliards de dollars. « Sans le soutien politique de Washington, Tesla n’aurait jamais pu construire son usine à Shanghai », observe Julien Nocetti. Une usine stratégique, car elle permet à Tesla de servir le marché chinois, le second par la taille après celui des Etats-Unis. Une Tesla sur quatre y est vendue.

    En somme, Elon Musk et ses entreprises sont aussi les produits du gouvernement américain et l’expression de son soft power. Certes, le multimilliardaire appelle à voter ouvertement pour les républicains. Certes, il entretient des relations tendues avec l’administration démocrate de Joe Biden. Pour autant, cette dernière ne lui a pas coupé ses financements et a même soutenu financièrement SpaceX, qui opère Starlink, dans son aide à l’Ukraine. Pour Asma Mhalla, « à l’instar des bien moins bruyants Microsoft, Palantir ou Google, Elon Musk participe, à sa mesure, à façonner le rôle des Etats-Unis dans la géopolitique mondiale ».

    Les éclats d’un Elon Musk ne sont ainsi que le reflet d’une économie qui voit les big tech peser de plus en plus lourd dans un monde conflictuel. L’Europe peut-elle encore se limiter à brandir ses normes pour seule réponse ?

    #big_tech #capitalisme_de_plateforme #Elon_Musk #twitter #modération sur les #réseaux_sociaux #hégémonie #fabrique_de_l'opinion

  • Elon Musk bannit CrimethInc. de Twitter à l’instigation d’un troll d’extrême droite
    https://crimethinc.com/2022/11/25/elon-musk-bannit-crimethinc-de-twitter-a-linstigation-dun-troll-dextreme

    Le 25 novembre, à la demande d’un troll d’extrême droite, Elon Musk a suspendu le compte Twitter @crimethinc. L’objectif de Musk en acquérant Twitter n’avait rien à voir avec la “liberté d’expression” - il s’agissait d’une démarche partisane visant à faire taire l’opposition tout en ouvrant un boulevard à l’extrême droite. Cela met en évidence les dangers de dépendre des plateformes de médias sociaux appartenant aux grandes entreprises. Suivez Crimethinc sur Mastodon et Telegram et abonnez-vous à leur flux RSS. Source : CrimethInc

  • Qu’est-ce que Mastodon ? Un expert des médias sociaux explique pourquoi ce n’est pas le nouveau Twitter
    https://theconversation.com/quest-ce-que-mastodon-un-expert-des-medias-sociaux-explique-pourquo

    À la suite de la prise de contrôle bruyante de Twitter par Elon Musk, nombreux sont ceux qui ont cherché des alternatives à la plate-forme de microblogging de plus en plus toxique. Beaucoup se sont tournés vers Mastodon, qui a attiré des centaines de milliers de nouveaux utilisateurs depuis le rachat de Twitter.
    .../...
    Mais si Mastodon prend en charge un grand nombre de fonctions identiques à celles que Twitter propose, il ne s’agit pas d’une plate-forme unique. Il s’agit plutôt d’une fédération de serveurs interconnectés et gérés indépendamment.

    Par comparaison, #diaspora a un fonctionnement similaire (ou je dis une bêtise) ?
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora*

    #réseaux_sociaux #Mastodon #Twitter #fédiverse

  • Quelques conseils minimaux pour la migration vers #Mastodon

    (1) pour s’inscrire, il n’y a pas une entrée unique (https://twitter.com), mais le fameux choix d’une instance. Choisissez n’importe laquelle dans cette liste : https://mastodon.help/instances/fr. Le choix n’a pas d’importance, vous pouvez passer d’une instance à une autre ensuite.
    (2) une fois là, posez-vous, créez votre bio, ajoutez une PP, faîtes un petit post d’introduction avec le hashtag #introduction. Si vous utilisez le même nom et PP que sur twitter, c’est plus facile de vous retrouver. Ajoutez quelques ami.e.s et ironisez sur votre 1er pouet.
    (2) Activez l’interface web avancée dans les paramètres ; téléchargez une application sur smartphone. Je conseille #Tusky sur Android.
    (3) il est temps de se refaire des contacts. Sur mastodon, pas d’économie de l’attention, pas de monétisation de vos données, les tweets affichés sont ceux que publient et retweetent vos follows (comme dans la timeline chronologique de twitter). Donc, il faut suivre des gens.
    (3) un outil utile pour retrouver vos contacts venant de twitter est https://pruvisto.org/debirdify ou https://fedifinder.glitch.me. Si vos contacts ont indiqué leur adresse mastodon en bio twitter, ça vous fabrique un fichier que vous pouvez ajouter directement avec tout le monde d’un coup
    (4) p.s. : avant que ça ne craque définitivement ici, pensez à demander vos données (ça prend 24h à 48h). Paramètres, téléchargez une archive de vos données.

    https://twitter.com/MathieuTriclot/status/1593517831370465280

    #alternative #how_to_do #manuel #twitter