• Quand l’Ukraine retrouve son #Histoire
    https://laviedesidees.fr/Quand-l-Ukraine-retrouve-son-histoire

    Désimpérialiser les études russes et soviétiques par l’histoire : c’est l’objectif d’Andreas Kappeler qui offre un remède à deux maux actuellement répandus en Europe, l’ignorance du passé ukrainien, et l’emprise du récit national-impérial répandu par l’actuel pouvoir russe. À propos de : Andreas Kappeler, Russes et Ukrainiens : les frères inégaux, du Moyen Âge à nos jours, CNRS éditions

    #Ukraine #Russie
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20240319_russukraine.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240319_russukraine.pdf

  • Maxim Butkevitch, défenseur des droits de l’homme, condamné, en appel, par la Cour suprême de Moscou

    La Cour suprême de Moscou, après avoir examiné le pourvoi en appel, a confirmé la condamnation du militant ukrainien des droits de l’homme et antifasciste Maxim Butkevitch. Le 10 mars 2023, un tribunal de la LPR [République Populaire de Louhansk, ndt] autoproclamée l’a condamné à 13 ans de prison pour avoir prétendument blessé deux femmes, alors qu’il se trouvait à Severodonetsk, en tirant une grenade sur l’entrée d’un immeuble résidentiel.

    Chronologie du procès

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/11/18/on-ignore-ou-se-trouve-maksim-butkevych-depuis-aout-2023/#comment-60463

    #international #ukraine #russie

  • Un dispositif anti-drone pour la défense de l’Ukraine

    Nous répondons à l’initiative d’un collectif ukrainien que nous soutenons.

    Un collectif en Ukraine nous demande de contribuer à l’achat d’un dispositif anti-drone.

    Il s’agit d’outil de défense entièrement conçu et fabriqué en Ukraine. Il est fabriqué dans une usine d’Ivano-Frankivsk. Il a une portée de trois kilomètres et peut fonctionner jusqu’à 30 minutes d’affilée. Le dispositif brouille le système de guidage d’un drone. Une fois déconnecté, le drone perd sa coordination et atterrit à l’endroit où il est bloqué ou est emporté par le vent. Les forces ukrainiennes peuvent alors s’emparer du drone et lire ses données afin d’obtenir des informations précieuses à son sujet, comme sa provenance et les images qu’il a pu prendre.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/02/22/ukraine-an-iii/#comment-60461

    #international #ukraine

  • UKRAINE : lundi 25 mars projection du film « Bataillon Invisible »

    Le documentaire « Bataillon Invisible » a été l’un des outils majeurs d’une vigoureuse campagne contre l’invisibilisation des femmes qui combattent l’invasion poutinienne les armes à la main et pour l’égalité de leurs droits, aujourd’hui consacrés par la loi. Une belle victoire mais un combat qui continue contre les discriminations à l’armée et dans la société.

    Lundi 25 mars à 19 heures
    projection exceptionnelle du film ukrainien
    « Bataillon Invisible »
    sur les femmes qui combattent dans l’armée ukrainienne,
    suivie d’un débat en visio avec Kyiv
    (Maison de l’Amérique latine –
    217 boulevard Saint Germain 75007 Paris)

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/16/ukraine-lundi-25-mars-projection-du-film-batai

    #cinema #ukraine

  • A propos de la guerre qui fait rien qu’à "être à nos portes". Une analyse d’une cruelle lucidité.

    Stéphane Audoin-Rouzeau : « Sur la guerre, nous sommes aux limites d’un déni de réalité » | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-et-idees/090324/stephane-audoin-rouzeau-sur-la-guerre-nous-sommes-aux-limites-d-un-deni-de

    StéphaneStéphane Audoin-Rouzeau est directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), spécialiste de la Première Guerre mondiale et président du Centre international de recherche de l’Historial de la Grande Guerre à Péronne (Somme). Il a publié l’an dernier aux Belles Lettres La Part d’ombre. Le risque oublié de la guerre.

    https://justpaste.it/bfh8n

    • un réarmement véritable n’est possible ni industriellement, ni démographiquement, ni financièrement.

      Comme au moment du Covid, l’importation croissante du vocabulaire militaire dans le champ politique permet à peu de frais d’imaginer que l’on a prise sur le réel, alors que ce n’est pas le cas. Ce discours martial se veut sans doute performatif, mais je préfère me concentrer sur l’aveu étonnant du président de la République : « Ayons l’humilité de constater qu’on a souvent eu six à douze mois de retard. »

    • on ne sait pas ce que signifie vivre dans le temps de la guerre, un temps modifié dans lequel la dimension eschatologique prend une ampleur inégalée.

      On reconnaît le droitard académique (de guerre) à des formules telles que « l’Ukraine est en train de vivre sa crise de 1917 », mais effectivement l’offensive russe de printemps va tout chambouler, ce qu’on lit peu.

      #Russie #Ukraine #guerre #discours_martial

    • « Sommes-nous prêts pour la guerre ? » : une armée presque sans défense

      Spécialiste des questions militaires, le journaliste Jean-Dominique Merchet décape les illusions de la puissance française, non sans une pointe d’humour qui traduit une lucidité bienveillante.
      Alain Beuve-Méry, 14 mars 2024

      Alors qu’Emmanuel Macron a provoqué un débat houleux en évoquant la possibilité d’envoyer des troupes occidentales en Ukraine, l’essai de Jean-Dominique Merchet, spécialiste des questions militaires et stratégiques à L’Opinion, trouve toute sa pertinence. Dans Sommes-nous prêts pour la guerre ? (Robert Laffont, 224 p. 18 €), le journaliste décortique, en neuf questions, les différents aspects de la défense civile et militaire de la France et, par extension, de l’Europe.

      Il y a des points rassurants. L’auteur rappelle ainsi que, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la France n’a plus d’ennemis à ses frontières, que son territoire est protégé par la défense nucléaire et que « nous, Français, vivons depuis plusieurs décennies dans un incroyable confort géopolitique : celui des #guerres_choisies », autrement dit « celles que nous avons décidé de mener ». La violence sur son territoire est résiduelle.
      Certes, la France l’a éprouvée avec la série noire des années 2010 (attentats du Bataclan, de Nice), mais l’horreur évidente des 271 morts n’est pas comparable aux 900 tués quotidiens en moyenne, dans le camp français, de 1914 à 1918, pendant la première guerre mondiale. De même, l’auteur insiste sur la résilience des Français, lors de la menace terroriste, mais aussi pendant l’épreuve du Covid-19.

      Le compte n’y est pas

      En revanche, dès que les sujets militaires stricto sensu sont abordés, « on se risque sur le bizarre ». Car ce n’est pas le moindre des mérites de l’auteur d’avoir mis en exergue de chacun de ses chapitres des citations du dialoguiste Michel Audiard pour détendre l’atmosphère. Or, sur la question de l’engagement de long terme ou de la production d’armement, le compte n’y est pas ! La France, comme ses partenaires européens, a cru aux dividendes de la paix et se révèle incapable d’alimenter durablement un conflit de haute intensité. Elle pourrait « tenir 80 kilomètres de front, pas plus », précise-t-il, soit la distance séparant Dunkerque de Lille, alors que le front ukrainien s’étend sur près de 1 000 kilomètres.

      En matière d’armement, la France a privilégié la qualité (avions Rafale, canons Caesar) à la quantité, mais, au-delà d’un certain seuil d’engagement, cela ne suffit plus. « L’#armée_française, c’est l’armée américaine, mais en version bonsaï », résume-t-il. Outre les délais de fabrication des matériels ou d’approvisionnement, certains choix militaires pèsent lourd, comme le mépris à l’égard de l’artillerie, des chars ou des drones. De fait, c’est moins noble que le combat aérien.

      Enfin, outre une certaine russophilie partagée au sein des élites françaises, politiques, économiques, voire militaires, Jean-Dominique Merchet souligne une erreur de diagnostic centrale : la Russie de Poutine est une puissance profondément révisionniste [sic], qui honnit les valeurs occidentales et qui entend récupérer les territoires qu’elle a perdus, dans l’histoire longue comme récente.
      « Sommes-nous prêts pour la guerre ? », de Jean-Dominique Merchet, Robert Laffont, 224 p., 18 €.

      https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/03/14/sommes-nous-prets-pour-la-guerre-une-armee-presque-sans-defense_6221905_3232

  • Sur la chaine Telegram de Vitaliy Dudin

    Qui doit le plus aux travailleurs ukrainiens ?

    Le Service national du travail de l’Ukraine a publié des données du registre des débiteurs sur les salaires. Depuis le début de l’invasion à grande échelle, les statistiques correspondantes n’ont pas été publiées. À mon avis, il s’agit d’une mesure inopportune et irresponsable, car cacher le problème ne contribue manifestement pas à le résoudre. Voici les données sur les 10 employeurs les plus problématiques.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/02/26/ukraine-7-conclusions-pour-un-24-fevrier/#comment-60460

    #international #ukraine

  • Ukraine : le « poutinisme économique » de la Suisse

    Discours de Jo Lang, Zurich, 24 février 2024

    À l’occasion du deuxième anniversaire de la guerre d’agression russe, plusieurs manifestations de solidarité avec l’Ukraine se sont déroulées en Suisse. À Zurich, une alliance de groupes de gauche a marché du Musée national jusqu’à l’Helvetiaplatz. Parmi les orateurs figurait l’historien et ancien conseiller national vert zougois Jo Lang. Voici le texte de son discours, dans lequel il s’est attaqué au « poutinisme économique » de la Suisse.

    Chères et chers anti-impérialistes, chères et chers militant·e·s pour la paix,

    Il y a deux types de solidarité suisse avec l’Ukraine : l’une bon marché et l’autre coûteuse et donc authentique. La bon marché écarte la plus importante des questions : le réarmement de Poutine par la Suisse. L’authentique, elle, se pose des questions comme : Poutine pourrait-il encore financer sa guerre contre l’Ukraine sans les milliards qu’il doit au commerce suisse des matières premières et à ses oligarques locaux ? Les bombardiers et les missiles de Poutine pourraient-ils encore décoller sans les machines spéciales produites par des entreprises suisses ?

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/14/ukraine-le-poutinisme-economique-de-la-suisse

    #ukraine #russie #suisse

  • J’ai découvert une BD sur la division Charlemagne. Vous savez, ces engagés français du côté nazi qui ont eu carrément droit à une division SS rien qu’a eux. Certains fuyaient la pendaison parce que les alliés cavalaient vers Berlin, d’autres la répression ou l’exécution sommaire.
    Et donc on les retrouve à Berlin, après avoir passé un petit temps sur le front polonais.
    Et franchement, c’est instructif. C’est écrit sans trop d’idéologie, juste ce qu’il faut d’authentique, et c’est très renseigné.

    B.D. : Berlin sera notre tombeau

    https://editionspaquet.com/shop/9782889324163-berlin-sera-notre-tombeau-integrale-1185#attr=5765,576

    Et donc pourquoi lire ça aujourd’hui ? Perso, ça me semble fini le cordon de sécurité face à l’extrême droite qui s’est imposé pendant 70 ans. Je crois même que ce mode de ségrégation des débats a fait du mal et ne nous a pas aidé à nous préparer à ce qui nous tombe dessus aujourd’hui. Pour lutter contre toutes les formes et tous les élans droitiers qui nous bousculent tous les jours, si on peut glaner des éléments dans ces bribes du passé, ça pourrait nous armer mentalement. Mieux vaut savoir détecter plutôt qu’être surpris.

    #WW2 #nazi #berlin #francais #histoire #collabo

    • épuisé, € 103,00 d’occasion, #bof il nous faudrait une bd sur les membres de la 14. Waffen-Grenadier-Division der SS (galizische Nr. 1) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/14e_division_SS_(galicienne_no_1) et les trawniki ukrainiens.

      Demjanjuk-Prozess - « Ukrainische Wachmänner waren schlimmer als die SS »
      https://www.spiegel.de/panorama/justiz/demjanjuk-prozess-ukrainische-wachmaenner-waren-schlimmer-als-die-ss-a-66874

      La brigade Charlemagne n’était qu’un phénomène éphémère. La collaboration des services secrets ouest-allemands avec les travniki et banderistes par contre n’a jamais cessé et trouve son expression actuelle dans le soutien inconditionnel des forces ukrainiennes par l’Allemagne.

      Évidemment l’armée ukrainienne n’est pas une organisation plus fasciste que n’importe quelle armée du monde. C’est plutôt une question allemande et états-unienne qui tourne autour du positionnement de l’Allemagne contre la Russie depuis la guerre qu’on appelle la première guerre mondiale

      Du côté francais il faudrait travailler sur les ex-SS allemands qui ont rejoint la légion étrangère. L’armée francaise employait ces vieux messieurs jusqu’au départ du contingent tricolore de Berlin en 1990 ou 1991. Il n’est pas exclus qu’il y a là un lien avec la division SS Charlemagne mais je n’en sais rien.

      Alors j’attends la bd antifasciste qui raconte la vie de John Demjanjuk et des trawniki ukrainiens. Elle serait forcément d’une grande actualité.

      #nazis #Ukraine #Bandera #Allemagne #holocauste

  • Ukraine : Mazepa, une nouvelle voix à gauche

    Malgré la guerre et toutes les difficultés qu’elle provoque, un nouveau site internet vient d’apparaître en Ukraine, celui de l’institut Mazepa. Du nom de Isaac Mazepa (1884-1952), « leader de la gauche ukrainienne, Premier ministre de la République populaire ukrainienne et combattant pour l’indépendance de l’Ukraine » explique le site. « Les combats de Mazepa étaient entièrement déterminés par les vues fondées sur les idéaux de la République populaire ukrainienne : la lutte pour la justice sociale, la démocratie économique et politique, le développement national des Ukrainiens et la protection des droits des minorités. » « L’Institut Isaac Mazepa veut être un centre scientifique de premier plan de la gauche démocratique ukrainienne. Notre équipe internationale de chercheurs et d’activistes œuvre à créer un espace uni par des idéaux démocratiques et égalitaires partagés, où l’esprit de liberté et de dialogue règne dans la pluralité des opinions. Nous souhaitons sincèrement la victoire de l’Ukraine sur l’impérialisme russe agressif. Nous sommes convaincus qu’une société démocratique forte renforcera la stabilité de l’Ukraine et rapprochera la victoire finale des Ukrainiens sur l’ennemi éternel et tout ce qu’il représente – la pauvreté, la réaction et le mensonge » ajoute le site. Vladyslav Starodubtsev et Les Yakovyshyn co-fondateurs du site ont bien voulu répondre à nos questions.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/12/ukraine-mazepa-une-nouvelle-voix-a-gauche

    #international #ukraine

  • Les Églises ukrainiennes repondent au pape François : personne ne forcera jamais notre peuple à capituler

    Le Conseil panukrainien des Églises et des organisations religieuses (VRCiRO) a déclaré que « personne et jamais » ne forcera le peuple ukrainien à capituler. Cette déclaration fait suite aux paroles du pape François, qui appelait à des négociations dans la guerre et louait le « courage de hisser le drapeau blanc ».

    « Capituler devant le mal triomphant équivaut à l’effondrement de l’idée universelle de justice, c’est une trahison des instructions fondamentales qui nous ont été léguées dans les grandes traditions spirituelles « , est convaincu le Conseil des Églises.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/11/cessez-le-feu-ou-capitulation/#comment-60432

    #international #ukraine

  • Cessez-le feu ou capitulation

    Points de vue des gauches ukrainiennes et russes

    Le journal de « centre-gauche et indépendantiste » québécois Le Devoir vient de publier une lettre ouverte signée par cinq pacifistes, qui appellent à un « cessez-le-feu et à des négociations immédiates » en Ukraine.

    La lettre en elle-même ne mériterait pas qu’on s’y attarde si les auteur.es ne disaient pas signer « pour » le Collectif échec à la guerre.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/11/cessez-le-feu-ou-capitulation

    #international #ukraine #russie

  • #Ikea, le seigneur des forêts

    Derrière son image familiale et écolo, le géant du meuble suédois, plus gros consommateur de bois au monde, révèle des pratiques bien peu scrupuleuses. Une investigation édifiante sur cette firme à l’appétit démesuré.

    C’est une des enseignes préférées des consommateurs, qui équipe depuis des générations cuisines, salons et chambres d’enfants du monde entier. Depuis sa création en 1943 par le visionnaire mais controversé Ingvar Kamprad, et au fil des innovations – meubles en kit, vente par correspondance, magasins en self-service… –, la petite entreprise a connu une croissance fulgurante, et a accompagné l’entrée de la Suède dans l’ère de la consommation de masse. Aujourd’hui, ce fleuron commercial, qui participe pleinement au rayonnement du pays à l’international, est devenu un mastodonte en expansion continue. Les chiffres donnent le tournis : 422 magasins dans cinquante pays ; près d’un milliard de clients ; 2 000 nouveaux articles au catalogue par an… et un exemplaire de son produit phare, la bibliothèque Billy, vendu toutes les cinq secondes. Mais le modèle Ikea a un coût. Pour poursuivre son développement exponentiel et vendre toujours plus de meubles à bas prix, le géant suédois dévore chaque année 20 millions de mètres cubes de bois, soit 1 % des réserves mondiales de ce matériau… Et si la firme vante un approvisionnement responsable et une gestion durable des forêts, la réalité derrière le discours se révèle autrement plus trouble.

    Greenwashing
    Pendant plus d’un an, les journalistes d’investigation Xavier Deleu (Épidémies, l’empreinte de l’homme) et Marianne Kerfriden ont remonté la chaîne de production d’Ikea aux quatre coins du globe. Des dernières forêts boréales suédoises aux plantations brésiliennes en passant par la campagne néo-zélandaise et les grands espaces de Pologne ou de Roumanie, le documentaire dévoile les liens entre la multinationale de l’ameublement et l’exploitation intensive et incontrôlée du bois. Il révèle comment la marque au logo jaune et bleu, souvent via des fournisseurs ou sous-traitants peu scrupuleux, contribue à la destruction de la biodiversité à travers la planète et alimente le trafic de bois. Comme en Roumanie, où Ikea possède 50 000 hectares de forêts, et où des activistes se mobilisent au péril de leur vie contre une mafia du bois endémique. Derrière la réussite de l’une des firmes les plus populaires au monde, cette enquête inédite éclaire l’incroyable expansion d’un prédateur discret devenu un champion du greenwashing.

    https://www.arte.tv/fr/videos/112297-000-A/ikea-le-seigneur-des-forets
    #film #film_documentaire #documentaire #enquête
    #greenwashing #green-washing #bois #multinationale #meubles #Pologne #Mazovie #Mardom_House #pins #Ingvar_Kamprad #délocalisation #société_de_consommation #consumérisme #résistance #justice #Fondation_Forêt_et_citoyens #Marta_Jagusztyn #Basses-Carpates #Carpates #coupes_abusives #exploitation #exploitation_forestière #consommation_de_masse #collection #fast-furniture #catalogue #mode #marketing #neuro-marketing #manipulation #sous-traitance #chaîne_d'approvisionnement #Sibérie #Russie #Ukraine #Roumanie #accaparement_de_terres #Agent_Green #trafic_de_bois #privatisation #Gabriel_Paun #pillage #érosion_du_sol #image #prix #impact_environnemental #FSC #certification #norme #identité_suédoise #modèle_suédois #nation_branding #Estonie #Lettonie #Lituanie #lobby #mafia_forestière #coupes_rases #Suède #monoculture #sylviculture #Sami #peuples_autochtones #plantation #extrême_droite #Brésil #Parcel_Reflorestadora #Artemobili #code_de_conduite #justice #responsabilité #abattage #Nouvelle-Zélande #neutralité_carbone #compensation_carbone #maori #crédits-carbone #colonisation

    • #fsc_watch

      This site has been developed by a group of people, FSC supporters and members among them, who are very concerned about the constant and serious erosion of the FSC’s reliability and thus credibility. The group includes Simon Counsell, one of the Founder Members of the FSC; Hermann Edelmann, working for a long term FSC member organisation; and Chris Lang, who has looked critically at several FSC certifications in Thailand, Laos, Brazil, USA, New Zealand, South Africa and Uganda – finding serious problems in each case.

      As with many other activists working on forests worldwide, we share the frustration that whilst the structural problems within the FSC system have been known for many years, the formal mechanisms of governance and control, including the elected Board, the General Assembly, and the Complaints Procedures have been highly ineffective in addressing these problems. The possibility of reforming – and thus ‘saving’ – the FSC through these mechanisms is, we feel, declining, as power within the FSC is increasingly captured by vested commercial interest.

      We feel that unless drastic action is taken, the FSC is doomed to failure. Part of the problem, in our analysis, is that too few FSC members are aware of the many profound problems within the organisation. The FSC Secretariat continues to pour out ‘good news stories’ about its ‘successes’, without acknowledging, for example, the numerous complaints against certificates and certifiers, the cancellation of certificates that should never have been awarded in the first place, the calls for FSC to cease certifying where there is no local agreement to do so, the walk-outs of FSC members from national processes because of their disillusionment with the role of the economic chamber, etc. etc. etc.

      There has been no honest evaluation of what is working and what is not what working in the FSC, and no open forum for discussing these issues. This website is an attempt to redress this imbalance. The site will also help people who are normally excluded from the FSC’s processes to express their views and concerns about the FSC’s activities.

      Please share your thoughts or information. Feel free to comment on our postings or send us any information that you consider valuable for the site.

      UPDATE (25 March 2010): A couple of people have requested that we explain why we are focussing on FSC rather than PEFC. Shortly after starting FSC-Watch we posted an article titled: FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes. As this is somewhat buried in the archives, it’s reproduced in full here (if you want to discuss this, please click on the link to go to the original post):
      FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes

      One of the reasons I am involved in this website is that I believe that many people are aware of serious problems with FSC, but don’t discuss them publicly because the alternative to FSC is even worse. The alternative, in this case is PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes) and all the other certification schemes (Cerflor, Certflor, the Australian Forestry Standard, the Malaysian Timber Certification Council and so on). One person has suggested that we should set up PEFC-Watch, in order “to be even-handed”.

      The trouble with this argument is that PEFC et al have no credibility. No NGOs, people’s organisations or indigenous peoples’ organisations were involved in setting them up. Why bother spending our time monitoring something that amounts to little more than a rubber stamp? I can just see the headlines: “Rubber stamp PEFC scheme rubber stamps another controversial logging operation!” Shock, horror. The Emperor is stark bollock naked, and it’s not just some little boy pointing this out – it’s plain for all to see, isn’t it?

      One way of countering all these other schemes would be to point out that FSC is better. But, if there are serious problems with FSC – which there are, and if we can see them, so can anyone else who cares to look – then the argument starts to look very shaky.

      FSC standards aren’t bad (apart from Principle 10, which really isn’t much use to anyone except the pulp and paper industry). They say lots of things we’d probably want forest management standards to say. The trouble is that the standards are not being applied in practice. Sure, campaign against PEFC, but if FSC becomes a Holy Cow which is immune to criticism (not least because all the criticism takes place behind closed doors), then we can hardly present it as an alternative, can we?…”

      By the way, anyone who thinks that PEFC and FSC are in opposition should read this interview with Heiko Liedeker (FSC’s Executive Director) and Ben Gunneberg (PEFC’s General Secretary). In particular this bit (I thought at first it must be a mix up between FSC and PEFC, or Liedeker and Gunneberg):

      Question: As a follow-up question, Heiko Liedeker, from your perspective, is there room ultimately for programs like the Australian Forestry Standard, Certfor and others to operate under the FSC umbrella?

      Heiko Liedeker: Absolutely. FSC was a scheme that was set-up to provide mutual recognition between national standard-setting initiatives. Every national initiative sets its standard. Some of them are called FSC working groups, some of them are called something else. In the UK they are called UKWAS. We’ve been in dialogue with Edwardo Morales at Certfor Chile. They are some of the FSC requirements listed for endorsement, we certainly entered into discussion. We’ve been in discussion with the Australian Forestry Standard and other standard-setting initiatives. What FSC does not do is, it has one global scheme for recognizing certification. So we do not, and that’s one of the many differences between FSC and PEFC, we do not require the development of a certification program as such. A standard-setting program is sufficient to participate in the network.

      https://fsc-watch.com

  • Ukraine : Dignes et à leur place, histoires de trois défenseuses au combat

    Les femmes dans l’armée ukrainienne ne sont plus une nouveauté, et avec l’invasion à grande échelle, leur présence dans les forces armées a augmenté de manière significative. En novembre 2023, les forces armées comptaient plus de 62 000 femmes, dont 43 000 étaient des militaires. Selon la vice-ministre de la défense Natalia Kalmykova, nous avons aujourd’hui le plus grand nombre de femmes sur le champ de bataille en Ukraine dans l’histoire moderne du monde. Grâce aux changements législatifs adoptés en 2018, les femmes peuvent désormais officiellement occuper des postes de combat et de direction dans l’armée. Elles ont également la possibilité d’étudier dans n’importe quelle spécialité militaire. Bien que les femmes dans les unités militaires puissent encore être confrontées au rejet et à ce que l’on appelle la discrimination « douce », elles prouvent chaque jour par leur détermination, leur dévouement et leur professionnalisme qu’elles sont des combattantes dignes de n’importe quel poste. À la veille de la Journée internationale de la femme, Iryna Yuzyk s’est entretenu avec Olena Ryzh, pilote d’assaut, Vira Savchenko, sapeure, et Nastia Confederate, opératrice de drone, au sujet de leur expérience du combat et de leur parcours dans les forces armées.

    Les femmes ont été interrogées sur les raisons qui les ont poussées à s’engager, sur la manière dont elles ont choisi leur profession militaire, sur les zones de la ligne de front où elles servent, sur les tâches les plus difficiles et sur l’attitude actuelle à l’égard des femmes dans l’armée.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/10/ukraine-dignes-et-a-leur-place-histoires-de-tr

    #international #ukraine

  • Biden’s Armageddon Moment : When Nuclear Detonation Seemed Possible in Ukraine
    https://www.nytimes.com/2024/03/09/us/politics/biden-nuclear-russia-ukraine.html

    It was Oct. 6, 2022, but what they heard instead that evening was a disturbing message that — though Mr. Biden didn’t say so — came straight from highly classified intercepted communications he had recently been briefed about, suggesting that President Vladimir V. Putin’s threats to use a nuclear weapon in Ukraine might be turning into an operational plan.

    [...]

    The intercepts revealed that for the first time since the war in Ukraine had broken out, there were frequent conversations within the Russian military about reaching into the nuclear arsenal. Some were just “various forms of chatter,” one official said. But others involved the units that would be responsible for moving or deploying the weapons. The most alarming of the intercepts revealed that one of the most senior Russian military commanders was explicitly discussing the logistics of detonating a weapon on the battlefield.

    Fortunately, Mr. Biden was told in his briefings, there was no evidence of weapons being moved. But soon the C.I.A. was warning that, under a singular scenario in which Ukrainian forces decimated Russian defensive lines and looked as if they might try to retake Crimea — a possibility that seemed imaginable that fall — the likelihood of nuclear use might rise to 50 percent or even higher. That “got everyone’s attention fast,” said an official involved in the discussions.

    [...]

    “It’s the nuclear paradox,” Gen. Mark A. Milley, the chairman of the Joint Chiefs of Staff until he retired in September, told me over dinner last summer at his official quarters above the Potomac River, recalling the warnings he had issued in the Situation Room.

    He added: “The more successful the Ukrainians are at ousting the Russian invasion, the more likely Putin is to threaten to use a bomb — or reach for it.”

    [...]

    Though the crisis passed, and Russia now appears to have gained an upper hand on the battlefield as Ukraine runs low on ammunition, almost all of the officials described those weeks as a glimpse of a terrifying new era in which nuclear weapons were back at the center of superpower competition.

    While news that Russia was considering using a nuclear weapon became public at the time, the interviews underscored that the worries at the White House and the Pentagon ran far deeper than were acknowledged then, and that extensive efforts were made to prepare for the possibility. When Mr. Biden mused aloud that evening that “I don’t think there’s any such thing as the ability to easily” make use of “a tactical nuclear weapon and not end up with Armageddon,” he was reflecting urgent preparations being made for a U.S. reaction.

    [...]

    Yet as was made clear in Mr. Biden’s “Armageddon speech” — as White House officials came to call it — no one knew what kind of nuclear demonstration Mr. Putin had in mind. Some believed that the public warnings Russia was making that Ukraine was preparing to use a giant “dirty bomb,” a weapon that spews radiological waste, was a pretext for a pre-emptive nuclear strike.

    The wargaming at the Pentagon and at think tanks around Washington imagined that Mr. Putin’s use of a tactical weapon — perhaps followed by a threat to detonate more — could come in a variety of circumstances. One simulation envisioned a successful Ukrainian counteroffensive that imperiled Mr. Putin’s hold on Crimea. Another involved a demand from Moscow that the West halt all military support for the Ukrainians: no more tanks, no more missiles, no more ammunition. The aim would be to split NATO; in the tabletop simulation I was permitted to observe, the detonation served that purpose.

    To forestall nuclear use, in the days around Mr. Biden’s fund-raiser appearance Secretary of State Antony J. Blinken called his Russian counterpart, as did Defense Secretary Lloyd J. Austin III and the national security adviser, Jake Sullivan. Germany’s chancellor, Olaf Scholz, was going on a planned visit to Beijing; he was prepped to brief Xi Jinping, China’s president, about the intelligence and urge him to make both public and private statements to Russia warning that there was no place in the Ukraine conflict for the use of nuclear weapons. Mr. Xi made the public statement; it is unclear what, if anything, he signaled in private.

    Mr. Biden, meanwhile, sent a message to Mr. Putin that they had to set up an urgent meeting of emissaries. Mr. Putin sent Sergei Naryshkin, head of the S.V.R., the Russian foreign intelligence service that had pulled off the Solar Winds attack, an ingenious cyberattack that had struck a wide swath of U.S. government departments and corporate America. Mr. Biden chose William J. Burns, the C.I.A. director and former U.S. ambassador to Russia, who is now his go-to troubleshooter for a variety of the toughest national security problems, most recently getting a temporary cease-fire and the release of hostages held by Hamas.

    Mr. Burns told me that the two men saw each other on a mid-November day in 2022. But while Mr. Burns arrived to warn what would befall Russia if it used a nuclear weapon, Mr. Naryshkin apparently thought the C.I.A. director had been sent to negotiate an armistice agreement that would end the war. He told Mr. Burns that any such negotiation had to begin with an understanding that Russia would get to keep any land that was currently under its control.

    It took some time for Mr. Burns to disabuse Mr. Naryshkin of the idea that the United States was ready to trade away Ukrainian territory for peace. Finally, they turned to the topic Mr. Burns had traveled around the world to discuss: what the United States and its allies were prepared to do to Russia if Mr. Putin made good on his nuclear threats.

    “I made it clear,” Mr. Burns later recalled from his seventh-floor office at the C.I.A., that “there would be clear consequences for Russia.” Just how specific Mr. Burns was about the nature of the American response was left murky by American officials. He wanted to be detailed enough to deter a Russian attack, but avoid telegraphing Mr. Biden’s exact reaction.

    #ukraine #nucléaire

  • « N’oublions pas l’Ukraine »

    Tribune de Patrick Baudouin, président de la LDH

    Il y a désormais deux ans, le 24 février 2022, Vladimir Poutine déclenchait une guerre d’invasion contre l’Ukraine en affichant sa certitude d’une victoire éclair. C’était compter sans la résistance d’un peuple ukrainien uni pour défendre ses droits et sa souveraineté. Mais depuis lors la guerre continue avec son lot effrayant de destructions et de morts, dont le nombre s’élève à des dizaines, voire des centaines de milliers parmi lesquels une large part de victimes civiles. Or devant la durée du conflit, et la prédominance de la situation tragique à Gaza sur la scène internationale, les regards se détournent de l’Ukraine au moment même où ce pays a besoin d’un maximum de soutien.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/09/noublions-pas-lukraine

    #international #ukraine

  • Ukraine : « On peut s’attendre à un nouveau mandat d’arrêt de la CPI prochainement »

    Le professeur de droit Sergueï Vasiliev analyse les deux mandats d’arrêt délivrés le 5 mars par la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre de Sergueï Kobylash et Victor Sokolov, deux officiers supérieurs de l’armée russe. Il explique ce qu’on sait des accusations, de la stratégie du procureur de la CPI en Ukraine et ce qu’on peut anticiper dans un avenir proche.

    https://www.justiceinfo.net/fr/129301-ukraine-attendre-nouveau-mandat-arret-cpi-prochainement.html
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/07/02/le-mandat-darret-contre-poutine-une-decision-courageuse-et-symboliquement-importante/#comment-60401

    #international #ukraine #russie

  • #mental_health and #psychosocial_support in #Ukraine: insights from an interdisciplinary review
    https://redasadki.me/2024/03/09/mental-health-and-psychosocial-support-in-ukraine-insights-from-an-interdi

    The ongoing #war in Ukraine has taken a severe toll on the population’s mental health and psychosocial wellbeing. A new interdisciplinary review by Frankova and colleagues (2024) provides an in-depth analysis of the mental health impacts, cultural and historical factors shaping #coping and help-seeking, the evolving humanitarian response, and recommendations for strengthening mental health and psychosocial support (MHPSS) in Ukraine. The report is an interdisciplinary literature review supplemented by key informant interviews. It synthesizes academic publications, gray literature, media reports and policy documents in English, Ukrainian and Russian. The review team included Ukrainian practitioners and regional experts to identify additional Ukrainian-language sources. The review found (...)

    #Global_health #armed_conflict #MHPSS

  • Radio Canada : Un monument nazi dans un cimetière ukrainien en Ontario

    De nombreux groupes réclament depuis des années le retrait d’un monument au cimetière ukrainien St. Volodymyr à Oakville, en banlieue de Toronto. Il rend hommage à un régiment nazi, la 14e Division de la Waffen SS, auquel appartenait Yaroslav Hunka, ce vétéran qui a été ovationné par erreur au Parlement canadien vendredi en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky.

    Certains refusent de voir une telle stèle entre les drapeaux canadien et ukrainien. C’est notamment le cas de Joe. Cet homme d’origine polonaise a parcouru une vingtaine de kilomètres à vélo pour voir de ses propres yeux si cette histoire était bien vraie.

    “Je suis choqué de constater qu’un monument honorant des gens qui ont collaboré avec le régime nazi puisse trôner au milieu d’un cimetière”, a-t-il dénoncé.

    La stèle se trouve toutefois dans un cimetière privé. Il y a trois ans, quelqu’un avait fait un graffiti sur le cénotaphe où l’on pouvait lire “monument de guerre nazi”.

    Bernie Farber, président fondateur du Réseau canadien antihaine et ancien PDG du Congrès juif canadien, réclame depuis des années que de tels monuments soient enlevés. “Ce ne sont pas des héros”, fait-il valoir.

    . . . . .
    Un autre monument similaire se trouve à Edmonton, en Alberta.

    #canada #ukraine #nazisme #monument

    Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2013481/nazi-ukraine-oakville-monument

  • « Comment l’Occident a amené la guerre en #Ukraine ». Ce bref essai de Benjamin Abelow est désormais disponible en #français. Un antidote salutaire à la #propagande #médiatique. https://www.amazon.fr/Comment-lOccident-amen%C3%A9-guerre-Ukraine/dp/099107677X

    Benjamin Abelow’s short essay « How the West brought war to #Ukraine » is out in #French. A fact-based antidote to the mainstream western #media's hollow #propaganda.

    • https://benjaminabelow.com

      WHO IS RESPONSIBLE FOR THE UKRAINE WAR?

      Washington and the mainstream media assert that Vladimir Putin is a Hitler-like expansionist who invaded Ukraine in an unprovoked land grab. If you disagree—or even if you are unsure—you may be called “Putin’s puppet” or a “dupe of the Kremlin.”

      In this book, I present the other side of the story. I show that Russia’s invasion is best understood as a response to misguided and provocative Western policies, especially to the encroachment of U.S. and NATO forces on Russia’s borders. Had the shoe been on the other foot—had Russia acted toward the U.S the way the U.S acted toward Russia—Washington would have gone to war, too.

      This book tells the story that Washington and its allies—the Western politicians and military strategists who helped cause this catastrophe—do not want you to hear.

  • #OTAN
    La Suède a officiellement rejoint aujourd’hui l’Otan, devenant ainsi le 32e pays de cette alliance militaire. Le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, a déclaré que ce jour était « une victoire pour la liberté », ajoutant que la « Suède laissait derrière elle 200 ans de neutralité et de non-alignement militaire ». Tous les pays membres ont ratifié cette adhésion, qui nécessite un consensus. La Suède a demandé à adhérer à l’Otan en mai 2022, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

    #UE
    Le Parti populaire européen (PPE), une coalition de droite majoritaire au Parlement européen, a désigné aujourd’hui Ursula von der Leyen comme sa candidate à la présidence de la Commission européenne, l’une des deux branches exécutives de l’UE. Cette Allemande issue du parti chrétien-démocrate CDU sera donc candidate pour un second mandat. En France, les Républicains, qui font partie du groupe PPE, se sont opposés à sa candidature, l’accusant de « laisser la majorité européenne dériver à gauche ».

    #SÉNÉGAL
    Le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé hier soir la tenue de l’élection présidentielle le 24 mars et la formation d’un nouveau gouvernement. Le Conseil constitutionnel, qui a confirmé la date aujourd’hui, avait exigé que cette élection se tienne avant le 2 avril. Macky Sall avait annoncé en février son report, ce qui avait suscité une crise politique dans le pays. Les députés sénégalais ont adopté hier soir une loi d’amnistie couvrant les manifestations de 2021 à 2024, considérée par plusieurs organisations des droits humains comme un « déni de justice » pour les familles des personnes mortes lors de ces mobilisations.

    #UKRAINE
    Emmanuel Macron a reçu aujourd’hui les chefs des principaux partis français pour aborder le soutien de la France à l’Ukraine, avant un débat et un vote parlementaire sur le sujet prévus les 12 et 13 mars. À l’issue de la réunion, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a rapporté que le président avait déclaré qu’il ne devait y avoir « aucune limite » dans le soutien français à l’Ukraine, ce qu’a confirmé Jordan Bardella, président du RN.

    #ÉCONOMIE
    Le CAC 40, un indice rassemblant 40 des principales entreprises cotées à la Bourse de Paris, a dépassé aujourd’hui les 8 000 points, une première depuis sa création en 1988. Plusieurs entreprises du CAC 40 ont récemment annoncé des bénéfices records pour 2023. Le nombre de points est mesuré en référence à sa valeur d’origine, fixée à 1 000 points. Cela signifie qu’un investissement de 1 000 euros en 1988 dans un produit indexé sur le CAC 40 représente une valeur de 8 000 euros aujourd’hui.

    #VIANDE
    L’origine des viandes, c’est-à-dire les lieux d’élevage et d’abattage, devra désormais apparaître dans les restaurants et les cantines pour les produits transformés (nuggets, jambons, etc.), selon un décret entré en vigueur aujourd’hui. Cette obligation existait déjà pour les viandes non transformées dans les établissements servant des repas.

  • Le 8 mars, nous, féministes ukrainiennes, voulons rappeler à nos sœurs du monde que la guerre génocidaire en Ukraine continue. Les villes ukrainiennes sont bombardées chaque jour et des civils sont tués dans leurs lits. Lors d’une récente attaque de drones en mars sur Odessa, 12 personnes ont été tuées dans leurs maisons, parmi lesquelles 5 enfants ont été retrouvés morts dans les décombres, dans les bras de leurs mères.

    L’armée russe continue de torturer et de violer des femmes ukrainiennes dans les territoires occupés, d’enlever des enfants ukrainiens et de commettre un écocide. Des millions de femmes ukrainiennes sont devenues des déplacées internes, perdant leur maison, leur travail et la possibilité de mener une vie normale.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/06/ukraine-au-dela-de-la-paix-entretien-avec-latelier-feministe/#comment-60391

    #feminisme #ukraine

  • Lettre d’information syndicale du RESU n°7 – février 2024

    Bienvenue dans le numéro de février 2024 de la lettre d’information syndicale du Réseau européen de solidarité avec l’Ukraine (RESU). Nous y présentons la réunion de solidarité syndicale internationale du 22 février à Kiev, organisée par les deux principales instances syndicales ukrainiennes, la Fédération des syndicats d’Ukraine (FPU) et la Confédération des syndicats libres d’Ukraine (KVPU).

    Nous demandons également ce que la deuxième année d’invasion russe a signifié pour la société ukrainienne et ses travailleurs et nous fournissons nos mises à jour habituelles sur les luttes des travailleurs, des communautés et des étudiants.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/07/lettre-dinformation-syndicale-du-resu-n7-fevri

    #international #ukraine