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RSS: #ukraine_food

#ukraine_food

  • @marclaime
    Marc Laimé @marclaime 27/04/2022
    7
    @simplicissimus
    @rezo
    @7h36
    @kassem
    @biggrizzly
    @vanderling
    @sombre
    7

    Les industriels pourront remplacer l’huile de tournesol sans modifier l’emballage

    Comment Marc : vont avoir l’air malin les Lapins crétins qui fabriquent des embouteillages le nez sur leur smartphone de Nutri machin chose dans les allées des supermarkets :-)

    ▻https://www.nouvelobs.com/guerre-en-ukraine/20220426.OBS57683/chips-margarine-les-industriels-pourront-remplacer-l-huile-de-tournesol-s

    Marc Laimé @marclaime
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 27/04/2022

      On se tape surtout toute la liste des ingrédients…

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 27/04/2022

      Le foutage de gueule  :

      Les industriels auront un délai de six mois pour changer leur emballage - c’est le délai nécessaire pour faire imprimer de nouveaux emballages à l’heure actuelle, selon Bercy -, mais devront avant deux mois signaler sur l’emballage qu’un changement de recettes a eu lieu sans préciser nécessairement lequel.
      De nombreux produits concernés

      Dans le cas de l’ajout de produits allergènes, ou dans l’hypothèse où l’emballage comporte des allégations qui ne seraient plus vraies, comme « 100 % bio » ou « sans huile de palme » par exemple, l’indication d’un changement de recettes doit en revanche être immédiate.

      Donc, pour indiquer que tu fous de l’huile de palme partout, il te faut 6 mois pour refaire l’emballage (et mon cul, c’est du poulet), par contre, si ça risque de te retomber sur le coin de la gueule, on sait qu’en vrai, tu peux le faire immédiatement.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 27/04/2022

      ça se complique

      L’Indonésie va interdire les exportations d’huile de palme et autres huiles végétales à partir du 28 avril, a annoncé son président Joko Widodo vendredi 22 avril. Le pays est le plus grand producteur mondial d’huile de palme, mais fait face à une pénurie d’huile de cuisson sur son marché intérieur depuis novembre.

      « Le gouvernement va interdire les exportations de produits bruts servant à l’huile de cuisson et d’huile de cuisson (...) jusqu’à une date qui sera déterminée ultérieurement », a précisé le chef d’Etat. Les producteurs ont privilégié les exportations pour bénéficier de la hausse des cours mondiaux, mais le gouvernement s’inquiète d’un développement des tensions sociales face à la hausse des prix, accentuée par les conséquences de la guerre en Ukraine.

      ▻https://www.francetvinfo.fr/economie/l-indonesie-va-interdire-les-exportations-d-huile-de-palme_5096515.html

      #Ukraine_food

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 27/04/2022

      Mon huile neutre, c’est l’huile de pépins de raisin.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 27/04/2022

      Je fais beaucoup la cuisine à l’huile d’olive.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 27/04/2022

      #huile_de_palme #industrie_agro-alimentaire #étiquettes #huile_de_tournesol #guerre_en_Ukraine #alimentation #agriculture #Indonésie #globalisation #mondialisation

      CDB_77 @cdb_77
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 28/04/2022

      Moi je suis contre le concept d’huile neutre :p

      Mais bon nous les individus on met que des filets d’huile de ci de là, c’est surtout toutes l’industrie des produits transformés qui est touché là pour l’instant : biscuits sucrés (faut manger des ptits beurres !), apéros, conserves de plats, etc.

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 28/04/2022

      Par ici il y a plus de porcs que de bretons et donc aucun risque de manquer de saindoux.
      ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Saindoux

      Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 28/04/2022

      ▻https://previews.dropbox.com/p/thumb/ABg04TTHeiJl9AQXYeQtbsrwG-OXmG-RcWLpvshZZBe7Joxy8EudFO4FROyfdhVDxvBtb5RR3jLhm-YAwOQtyh-_a6oLx0A3dFxmRPkgf4wivQ4u09aNK5VsM1eXGQbjnf2CeuQfx1NVMjPaOTFiAZUHFHY12raOgFLgATR0RVwLRytqudPibW5ZVK87XJWARRbqEdaWcWUB25qdBJc_FBR1Oy3F0zLGl8xKYbTRDS-1zY6D8vwC0LBkofvtNc9xgimtL5TrYiKvVV7lLGEhXcjUvkkqgU5gTDbgZEuWxPV9ZhNjTxFRAJ6L4zQnlvxpfR33wyhoSk9z6UziG3YdzyO8M9TPRYvBEFzb56cCbWEH0JWptz8AUcIYaJc47T5SRaM/p.gif

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 30/04/2022

      Nutella, biocarburants, cosmétiques... La France privée d’huile de palme par l’Indonésie
      ▻https://www.ouest-france.fr/economie/agroalimentaire/nutella-biocarburants-cosmetiques-la-france-privee-d-huile-de-palme-par

      Face à la flambée des prix sur son marché intérieur, l’Indonésie a décidé de suspendre toutes ses exportations d’huile de palme. Le pays assure près de 60 % de la production mondiale.

      Comme quoi cette crise a du bon quelque part

      Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 1/05/2022

      Du côté de chez moi, les cons-sommateurs ont créé la pénurie : plus d’huile de tournesol dans les rayons des « églises » du coin.
      Ceci dit, les autorités indonésiennes ne vont pas démanteler leurs filières « palme » et ça ne mettra pas un coup d’arrêt à la déforestation ni à toutes les nuisances que cela induit. M’est avis qu’ils gardent des stocks pour les lâcher au compte-gouttes à des prix élevés. Un peu comme pour le pétrole.

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 6/04/2022
    1
    @lyco
    1

    How Russia’s War In Ukraine Threatens Wheat Shortages, Rising Food Prices - Bloomberg
    ▻https://www.bloomberg.com/news/features/2022-04-05/will-russia-s-war-in-ukraine-cause-wheat-shortages-raise-food-prices-more

    Disruptions in the flows of grains and oilseeds — staples for billions of people and animals across the world — are sending prices soaring. Countries fearing potential food shortages are scrambling to find alternative suppliers and new trades are emerging.

    https://pbs.twimg.com/media/FPqIjjSXwAQK80A?format=jpg&name=small#.jpg

    #ukraine_food via Filou

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/04/2022

      #alimentation #prix #Ukraine #guerre #guerre_en_Ukraine #agriculture #blé #maïs #mondialisation #globalisation

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/03/2022
    2
    @biggrizzly
    @fonkisifou
    2

    Près de la moitié de la consommation de blé en Tunisie dépend des importations du blé ukrainien. Alors que la guerre fait flamber les prix, des agriculteurs appellent à favoriser la production locale.

    Brut a rencontré l’un d’eux, Chiheb Ouali, dans sa ferme à Menzel Bourguiba.

    ▻https://twitter.com/brutofficiel/status/1508690668780232704?s=20&t=rbREgGlCXckdXvCVrf0hPw
    ▻https://video.twimg.com/amplify_video/1508530886698057735/vid/720x1280/OuIcbKPec172za91.mp4?tag=14


    #Ukraine_food

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @marclaime
    Marc Laimé @marclaime 28/03/2022

    L’Ukraine, nouvel eldorado des céréaliers français

    Note Marc : l’engouement ne date pas d"’hier :-)

    ▻https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/l-ukraine-le-nouvel-eldorado-des-cerealiers-francais

    Marc Laimé @marclaime
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 28/03/2022

      #ukraine_food

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/03/2022
    2
    @biggrizzly
    @kassem
    2

    Food prices: Cutting biofuels could compensate for loss of Ukraine’s grain exports | New Scientist
    ▻https://www.newscientist.com/article/2312151-cutting-biofuels-can-help-avoid-global-food-shock-from-ukraine

    Quickly increasing the supply of food crops is difficult. But a large proportion of food crops aren’t eaten but converted to biofuels. Globally, 10 per cent of all grain is turned into biofuel, says Qaim.

    In the US, a third of the maize grown is converted into ethanol and blended into petrol. Around 90 million tonnes is used for ethanol, nearly double the 50 million tonnes exported by Ukraine and Russia, says Qaim.

    In the European Union, 12 million tonnes of grain, including wheat and maize, is turned into ethanol, Qaim says, around 7 per cent of the bloc’s production.

    The EU also produces large quantities of biodiesel. It turns 3.5 million tonnes of palm oil alone into biodiesel, says Qaim. “That’s almost the amount of sunflower oil coming out of Ukraine and Russia.”

    #ukraine_food #agrocarburant

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 24/03/2022

      #biocarburants #agriculture #alimentation #Ukraine #éthanol #huile_de_palme #huile_de_tournesol

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 21/03/2022
    15
    @colporteur
    @jacotte
    @rastapopoulos
    @monolecte
    @grommeleur
    @7h36
    @biggrizzly
    @fonkisifou
    @sombre
    @02myseenthis01
    @kassem
    @fredlm
    @gblin
    @ant1
    @ricochets
    15

    « Vouloir produire plus au nom de l’indépendance agricole, c’est comme vouloir mettre plus d’automobiles sur les routes au nom des économies d’énergie »
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/03/19/vouloir-produire-plus-au-nom-de-l-independance-agricole-c-est-comme-vouloir-

    #paywall 😒

    Chronique. Lorsque les cours sont au plancher, il faut produire le plus possible pour éviter la ruine ; lorsqu’ils s’envolent, il faut produire le plus possible pour rafler la mise. La guerre en Ukraine n’est pas perdue pour tout le monde et ce ne sont pas les vendeurs de bicyclettes qui en tirent, ces jours-ci, le meilleur profit.

    Depuis le début du conflit, les lobbys agro-industriels ont poussé leurs arguments avec un succès éclatant. Jusqu’à remettre en cause, en France au moins, la stratégie « Farm to Fork » (« de la ferme à la fourchette »), le volet agricole du Pacte vert de la Commission européenne. Le président candidat Emmanuel Macron l’a annoncé jeudi 17 mars : le projet de verdissement de l’agriculture européenne sera « adapté » à l’aune de la crise. Le ministre de l’agriculture, Julien Denormandie, ayant déjà annoncé la fin des jachères en France, on peut s’attendre à ce que cette adaptation s’apparente à une volonté de démantèlement en bonne et due forme.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 21/03/2022

      Réduction des pesticides et des engrais de synthèse, sortie progressive de l’élevage industriel, augmentation des surfaces cultivées en agriculture biologique : tout cela nous mènerait à une « décroissance » incompatible avec la crise ukrainienne. « Nous demandons à pouvoir produire plus », a exigé Christiane Lambert, présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), le 3 mars sur Franceinfo. « L’Europe ne peut en aucun cas se permettre de produire moins », a obtempéré, deux semaines plus tard, M. Macron.
      Emballement inédit des cours
      Cela semble tomber sous le sens. Plus d’un quart des exportations mondiales de blé venant de Russie et d’Ukraine, il paraît à première vue criminel de ne pas chercher à produire plus, d’être non autonome et de ne pas nourrir le monde affamé, en particulier les pays du Sud, dont l’approvisionnement en blé dépend de l’hémisphère Nord. Ce narratif plein d’humanité a le mérite d’être facile à comprendre. Mais, hélas !, il est faux.

      Un obstacle majeur à l’approvisionnement des pays du Sud en céréales est, outre les quantités disponibles, leurs prix. Or ceux-ci sont fixés par les marchés. Ces dernières semaines, l’emballement des cours des matières premières agricoles a été inédit et il a, jusqu’à présent, eu bien plus à voir avec l’affolement et/ou la spéculation qu’avec de réelles pénuries. Ce qui motive l’agro-industrie à produire plus – c’est-à-dire les cours élevés – est donc exactement ce qui entrave l’accès des plus pauvres à la nourriture.

      Une petite augmentation de la production européenne (sans doute pas plus de quelques pourcents) pourrait-elle faire baisser substantiellement ces cours ? C’est peu probable. Les marchés agricoles sont si financiarisés que les fluctuations des cours reflètent de moins en moins la disponibilité et/ou la qualité réelles des ressources. En outre, nul ne sait comment fonctionnent ces marchés dans une situation où la folie d’un seul homme détermine le sort de plus d’un quart de la production de blé mondiale.

      Pour garantir la sécurité alimentaire, les aides aux plus pauvres sont sans doute plus efficaces qu’une augmentation marginale de la production européenne – obtenue au prix d’une dégradation encore accrue du climat et de la biodiversité.

      Tour de bonneteau

      Quant à la supplique des milieux agro-industriels pour plus d’indépendance alimentaire, elle relève du tour de bonneteau. Car l’agriculture conventionnelle ne fonctionne que sous perfusion d’hydrocarbures, dont il n’a échappé à personne qu’ils sont peu abondants en Europe. Les pesticides de synthèse ? Des dérivés de la pétrochimie. Les engrais azotés (dont la Russie est le premier exportateur mondial et la France le premier importateur européen) ? Ils sont produits grâce au gaz naturel et leur prix a plus que triplé en un an. Dans le système actuel, vouloir produire plus au nom de l’indépendance agricole, c’est donc un peu comme vouloir mettre plus d’automobiles sur les routes au nom des économies d’énergie.

      Que faire, alors ? « Il faut écouter les scientifiques », demandait Mme Lambert, le 28 février sur Public Sénat. Cela tombe bien : près de 200 agronomes, agroéconomistes et agroécologues européens ont pris fortement position, vendredi 18 mars, dans un texte demandant aux décideurs de « ne pas abandonner les pratiques agricoles durables pour augmenter la production de céréales ».

      « Les efforts politiques visant à faire abandonner les objectifs de durabilité de la stratégie “Farm to Fork” (…) ne nous protègent pas de la crise actuelle, expliquent les signataires, ils l’aggravent plutôt et la rendent permanente. » Pour ces chercheurs, trois grands leviers peuvent être actionnés face à la crise actuelle. D’abord, réduire la consommation de viande et de laitages, ce qui permettrait de produire et d’exporter bien plus de céréales de consommation humaine (plus de 60 % des terres arables européennes sont dévolues à l’alimentation des animaux). Ensuite « verdir » les modes de production pour réduire la dépendance aux engrais de synthèse et aux pesticides. Enfin, réduire le gaspillage systémique (le blé gaspillé dans l’Union européenne représente environ la moitié des exportations ukrainiennes).

      Tout cela est-il possible ? L’agronome et économiste Xavier Poux, et le politiste Pierre-Marie Aubert l’ont montré dans un ouvrage copieux (Demain, une Europe agroécologique. Se nourrir sans pesticides, faire revivre la biodiversité, avec Marielle Court, Actes Sud, 320 pages, 22 euros), qui dessine avec précision le scénario de transformation de nos systèmes productifs vers une agriculture indépendante, non toxique et durable. Quant à savoir si une telle mutation est réaliste, la crise actuelle nous pose la question symétrique : n’est-ce pas plutôt le maintien du statu quo qui manque de réalisme ?

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 21/03/2022

      #productivisme #FNSEA #agriculture #crise #énergie

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 22/03/2022
      @colporteur

      Merci @colporteur
      #opportunisme #cynisme

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @touti
      vide @touti 22/03/2022

      J’ai entendu cette interview atroce de C.Lambert FNSEA qui disait devoir demander à l’Europe la #fin_des_jachères. Mais le principe des #jachères est un principe ancien, qui est protégé justement par l’Europe pour des raisons écologiques parce que cela permet de laisser reposer la terre pour ne pas l’épuiser. Mais le ministre de l’agriculture n’en a cure, J.Denormandie ne semble même pas évoquer le fait qu’il va falloir demander ce droit à l’Europe … c’est acté semble-t-il. La guerre est un tapis rouge (sang) pour la FNSEA.

      vide @touti
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 22/03/2022

      le texte des 200 agronomes, agroéconomistes et agroécologues européen·nes
      ▻https://www.dropbox.com/s/s4m8ac9q866ow5u/Food%20system%20transformation_03182022.pdf?dl=0

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @ant1
      ant1 @ant1 CC BY-NC 22/03/2022
      @odilon

      qui sont déjà plus de 400 !

      ▻https://zenodo.org/record/6371849

      @odilon

      ant1 @ant1 CC BY-NC
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/03/2022

      #ukraine_food

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @ant1
      ant1 @ant1 CC BY-NC 31/03/2022

      et même maintenant 750 !
      la tribune publiée sur le site du monde :
      ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/03/31/pretendre-eviter-des-crises-alimentaires-en-afrique-et-au-moyen-orient-en-re

      ant1 @ant1 CC BY-NC
    Écrire un commentaire
  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 14/03/2022
    11
    @monolecte
    @biggrizzly
    @marielle
    @fredlm
    @fonkisifou
    @rezo
    @7h36
    @kassem
    @sombre
    @rastapopoulos
    @02myseenthis01
    11

    La question du #blé dans la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine

    Un article de Bruno Parmentier
    Guerre en Ukraine : faut-il craindre une famine dans le monde ?
    ▻https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/agriculture-guerre-ukraine-faut-il-craindre-famine-monde-97299

    Le dessous des cartes
    Le blé : un enjeu de food power
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=661ugOS9QxM

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 15/03/2022

      Le Secrétaire général de l’ONU a aussi prévenu que cette guerre allait bien au-delà de l’Ukraine et qu’elle pesait notamment sur les pays en développement.

      La Russie et l’Ukraine représentent en effet plus de la moitié de l’approvisionnement mondial en huile de tournesol et environ 30% de l’approvisionnement en blé.

      L’Ukraine fournit à elle seule plus de la moitié de l’approvisionnement en blé du Programme alimentaire mondial (PAM).

      Quarante-cinq pays africains et pays les moins avancés importent au moins un tiers de leur blé d’Ukraine ou de Russie, et 18 de ces pays en importent au moins 50%. Cela comprend des pays comme le Burkina Faso, l’Égypte, la République démocratique du Congo, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen.

      Face à une situation qui s’aggrave en Ukraine, l’ONU alloue 40 millions de dollars de plus à l’aide humanitaire
      ▻https://news.un.org/fr/story/2022/03/1116272

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 16/03/2022

      L’Égypte sous la menace d’une pénurie de blé engendrée par la guerre en Ukraine
      ▻https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20220313-l-%C3%A9gypte-sous-la-menace-d-une-p%C3%A9nurie-de-bl%C3%A9-engendr%C3%

      L’Égypte importe prés de la moitié de sa consommation annuelle de blé qui frise les 20 millions de tonnes. Un blé qui va essentiellement à la fabrication du pain et surtout de la galette subventionnée. Une galette de 90 grammes et qui est vendue à un vingtième de son coût réel et à laquelle ont droit près du trois-quart des cent millions d’Égyptiens.

      Blé : l’Egypte, 1er importateur mondial, blinde sa réserve stratégique sur fond de crise et suspend l’export
      ▻https://afrique.latribune.fr/finances/commodities/2022-03-14/ble-l-egypte-1er-importateur-mondial-blinde-sa-reverse-strategique

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 16/03/2022

      Du coup — ma spé sur l’alimentation refait surface — qu’est-ce qui avait comme base alimentaire à la place de la semoule de blé en Afrique du nord  ?

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 16/03/2022

      Bon, je reformule  : vu que la semoule est implantée depuis l’antiquité dans la région, où poussait le blé  ?

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 16/03/2022

      Donc, ce n’est pas toujours du blé…

      Et enfin, en Afrique noir, on se régale de couscous au mil, tandis qu’au Moyen-Orient, on mange du boulgour et au Sahara, on a adopté le couscous à l’orge.

      Ce met peut se déguster froid ou chaud, sucré ou salé, et même en dessert ou au petit-déjeuner. D’ailleurs, il existe plusieurs sortes de couscous :

      la t’faya qui est sucré salé et parfumé à la cannelle. Il se déguste avec du poulet, des raisins secs et des oignons caramélisés. Et on l’accompagne souvent avec du lait fermenté ou du thé à la menthe très sucré.
      le bidaoui (Maroc) aux 7 légumes.
      le couscous khoumassi ou awerkis (Maroc) qui est un mélange de plusieurs céréales (farine de blé dur, de blé tendre, de maïs, d’orge, …).
      le couscous à la viande salée et séchée ou au khlii (viande confite dans de la graisse).
      le thiéré (Sénégal) qui est un couscous à base mil.
      le couscous de Belboula à base de semoule d’orge.

      ▻https://www.lacuisinedeva.com/apprendre-la-cuisine/histoire-recettes/histoire-et-origine-du-couscous
      C’est important, parce qu’en fait, le blé n’a pas toujours été la céréale prédominante.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 16/03/2022

      Le blé dur de la semoule peut être remplacé par l’orge dans un plat qui porte alors le nom d’abelbul, aberbus et barbusa au Maroc et en Algérie et de meltut à Tunis. Le couscous de sorgho consommé au Maroc porte le nom berbère d’aferfur. Ailleurs, on prépare le couscous de manioc (attiéké) et le couscous de mil (bassi salté), le cuscusu trapanese en Sicile (poisson de roche et bouillon dans lequel a cuit le poisson) et même un couscous de maïs (baddaz), aliment d’origine américaine (dans le sud du Brésil notamment) que n’auraient pu consommer les communautés médiévales. En huit cents ans, le couscous est parti à la conquête du monde. Acclimaté en France métropolitaine dans les années 1960, il compte aujourd’hui parmi les plats préférés des Français.

      ▻https://www.lhistoire.fr/et-le-moyen-age-inventa-le-couscous

      Donc, le bassin méditerranéen devait bien produire assez de blé pour son usage.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 16/03/2022

      En fait, la vraie question est  : « pourquoi le Moyen-Orient doit-il à présent importer son blé  ? »

      C’est au Moyen-Orient, dans la région du Croissant fertile qu’a commencé, il y a quelques 10.000 ans, la culture du blé. L’homme cultive les premières céréales issues de croisements spontanés entre graminées sauvages, parmi lesquelles l’engrain (Triticum monococcum) et l’amidonnier (Triticum turgidum dicoccum).

      Un nouveau croisement spontané entre l’amidonnier et une graminée sauvage, « Aegilops squarrosa », donne le jour à une nouvelle espèce, à l’origine du blé tendre, « Triticum aestivum ». Parallèlement, l’amidonnier donnera le blé dur, « Triticum durum ». En sélectionnant les plantes ressemées, au fur et à mesure, l’homme les domestique, fixant un certain nombre de caractères.

      Les deux caractéristiques qui différencient dès le départ les blés cultivés des blés sauvages sont des grains de plus grosse taille (et qui germent mieux) et des épis dont les grains ne tombent pas au sol lorsqu’ils sont mûrs (il faut les battre pour séparer le grain de la tige).

      ▻http://technomitron.aainb.com/constituants-pain-et-pate/le-ble

      Je sais, je découvre l’eau tiède.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 16/03/2022

      Oui, il y a bien d’autres céréales. La généralisation de la culture du blé est une façon d’avoir la mainmise sur l’approvisionnement et l’alimentation des populations. Théoriquement il faudrait consommer moins de céréales et plus de légumineuses. Et diversifier davantage nos denrées alimentaires.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 16/03/2022

      mil + orge + sorgho en Afrique à la base non ?

      d’ailleurs les Bourguignon je crois disait que dans le sud-ouest de la France, fallait arrêter le maïs partout qui n’a aucun rapport avec le climat (apport en eau car c’est pas l’amérique du sud), et que le sorgho était bien plus adapté par exemple, encore plus avec le réchauffement permanent

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 16/03/2022

      et le riz au Mali et Sénégal...
      Je remets ma carte des cultures dites fondatrices

      https://visionscarto.net/local/cache-vignettes/L2000xH1290/27911944539_d30e-db8f3.jpg?1517382159

      ►https://visionscarto.net/aux-origines-de-l-agriculture
      ►https://seenthis.net/messages/664464

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 16/03/2022

      la Tunisie redoute une pénurie de pain

      A l’approche du ramadan, début avril, l’inquiétude grandit. D’autant plus qu’un marché noir s’est mis en place : la farine qui doit servir à la fabrication du pain est détournée pour nourrir le bétail, car l’importation d’aliments pour animaux est devenue hors de prix pour l’éleveur moyen. « Le quintal de farine coûte 45 dinars, contre 75 dinars pour la nourriture animale classique. Il n’y a pas photo », résume Béchir Mestiri, président de la branche agriculture du syndicat d’employeurs Conect Agri.

      ▻https://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/guerre-en-ukraine-en-manque-de-ble-la-tunisie-redoute-des-penuries-de-pain_

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 16/03/2022

      ▻https://www.seneplus.com/economie/lafrique-face-la-hausse-du-prix-du-ble

      Plusieurs pays d’Afrique subsaharienne sont également concernés par un possible gel des importations de blé originaires de Russie et d’Ukraine. Le Nigeria, pays le plus peuplé du continent africain et le Soudan, qui importent respectivement 5.5 millions et 3 millions de tonnes de blé par an, sont en tête.

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/03/2022

      #ukraine_food

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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