• http://www.inculte.fr/catalogue/une-fuite-en-egypte

    J – 62 : J’y suis. Une fuite en Egypte sort aujourd’hui en librairie. Chez Inculte . La classe. Je marche cinq centimètres au-dessus du sol. Le roi n’est pas mon cousin. Je suis sur le nuage numéro neuf.

    Du coup je tente de mettre les petits plats dans les grands. Les petites iframes dans les grands frames .

    Vous ne pensiez tout de même pas que je ne faisais plus rien dans le garage ces derniers temps ? quand même ? si ?

    Dans la page de garde d’ Une fuite en Egypte , il y a la mention d’une URL (http://www.desordre.net/egypte/index.htm ) qui donne accès à toutes sortes de ressources relatives au récit, des extraits, des échanges de mail avec mon éditeur pour, notamment, la construction de la quatrième de couverture, sans parler de la couverture en elle-même, tous les morceaux de musique mentionnés dans le récit et Dieu sait si je ne peux jamais me retenir de dire quel est le disque que le narrateur écoute au moment où se déroule le récit, pareil avec toutes sortes d’œuvres, Cy Twombly, Lucian Freud, Weegee, etc… bref, les coulisses. Ne pas le faire cela aurait été se désavouer. Plus tard, dans un an ou deux, peut-être que je penserai à une version hypertexte de ce récit.

    Mais ce n’est pas tout ce que j’ai fait dans le site pendant tout ce temps.

    Il y a trois ans j’ai tenté de donner une nouvelle forme au Désordre , ce n’est pas un succès, mais ce n’est pas entièrement raté non plus. C’est la forme Ursula (http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/index.htm). En 2014 j’ai accumulé tout ce que je pouvais accumuler de textes, de sons d’images fixes et d’images en mouvement, et tout un tas d’autres petites constructions, notamment en html, que j’ai réunies dans une manière de bouquet, plus exactement de collection de coquillages d’Ursula (http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/bouquets/index.htm). Parmi ces coquillages, il y avait le Jour des innocents ( file :///L :/phil/sites/desordre/bloc/ursula/2014/cinquantaine/index.htm ) , le récit de cinquante souvenirs de faits historiques, pas tous importants d’ailleurs, s’étant produit pendant les cinquante dernières années, et cela vu à ma hauteur au moment des faits, autant dire à hauteur d’enfant pendant les années 60, à hauteur d’adolescent pour ce qui est des années septante, de jeune homme pour ce qui est des années 80, de jeune adulte pour les années nonante, d’adulte pour les années 2000 et d’homme vieillissant pour les années 10 de notre ère. En 2015, j’ai tenté de tenir le journal de l’année en utilisant toujours cette séparation des contenus selon leur nature, chaque jour donnait lieu à une page qui contenait un triptyque photographique, un texte, un extrait sonore, un extrait vidéo, quelques images, un lien vers une page antérieure du site, tout cela sous la forme de blocs déplaçables à l’intérieur de la page pour faciliter, ou pas, la lecture et renforcer, ou pas, le plaisir du lecteur : Février (http://www.desordre.net/bloc/ursula/2015/index.htm). Début 2016, j’ai bricolé un récit en hommage à Pierre Boulez dont la disparition m’a beaucoup ému, de façon plus ou moins compréhensible, il s’agissait d’un récit à la manière de ceux produits par les invités de Marie Richeux pour la séquence Au Singulier de son émission les Nouvelles vagues sur France Culture, émission à laquelle j’avais été moi-même invité à participer ( http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/accessoires/artistes/nouvelles_vagues/index.htm ), Pierre Boulez et le bricolage ( http://www.desordre.net/bloc/ursula/2016/boulez.htm ) . Surtout pendant toute l’année 2016 j’ai construit, pour mieux le déconstruire sans doute, mon propre récit de la nuit du 13 novembre 2015, au cours de laquelle mon amie Laurence et moi sommes passés tout près de la catastrophe, il s’agit d’ Arthrose (spaghetti) (http://www.desordre.net/bloc/ursula/arthrose/index.htm), un récit très hypertextuel pour tenter de retrouver toutes les radicelles qui conduisent à ce qui aurait pu être la fin de nos existences. Et puis, dernière tentative reprenant cette forme inventée en collaboration avec Pierre Hanau dans le cadre éducatif des stages de formation à l’école du doc de Lussas, la forme Ursula (http://www.desordre.net/invites/lussas/2010/journal/index.htm) , une manière de journal que je tiens en ligne depuis la fin du mois d’août l’été dernier, depuis que j’ai pris la décision ferme et définitive de vouloir tout ignorer de la catastrophe électorale en cours, Qui ça ? (http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/index.htm)

    Remarquant que tous ces projets contenaient en eux une sorte de dimension supérieure au Désordre , que le site tel qu’il avait existé jusqu’à maintenant était une sorte de toile de fond, j’ai fini par admettre que c’était désormais la nouvelle direction du Désordre , vos ascenseurs ont intérêt à ne pas tomber en panne. La page d’accueil du Désordre est désormais un tirage au sort entre ces différents projets que l’on peut par ailleurs visiter à l’intérieur même de chaque projet, on peut, par exemple, lire Arthrose à l’intérieur de Qui ça ? et inversement, tout en continuant de visiter le Désordre , mais je ne sais pas si je dois recommander une telle lecture. Vous verrez.

    Si, après de tels efforts je ne parviens pas à semer les derniers visiteurs du Désordre c’est à désespérer de tout.

    Et sinon, vous avez Une Fuite en Egypte qui reprend un mode de navigation et de lecture qui a fait ses preuves, je crois que l’on appelle cela un livre.

    #qui_ca #shameless_autopromo
    #une_fuite_en_egypte

  • Nos luttes sont belles et fortes, elles n’ont pas besoin de vous !

    http://fuiqp.org/pourquoi-nous-ne-participerons-pas-au-rassemblement-appele-entre-autres-par-l

    18 février 2017
    Pourquoi nous ne participerons pas au rassemblement appelé entre autres par Le #MRAP, SOS racisme , la# CGT et #Unef ce Samedi 18 février.
    Halte a la récupération politique : nos luttes sont belles et fortes, elles n’ont pas besoin de vous !

    La lutte contre les crimes policiers ne peut pas être menée par des structures qui accueillent en leur sein des amis et collaborateurs directs d’un gouvernement qui appelle le viol en réunion de Théodore Luhaka par 4 policiers un « tragique accident ». Ces gens, ne sont pas des alliés des quartiers populaires assoiffés de justice mais des complices des violeurs de Théo.
    Ceux qui appellent à ce rassemblement sont les complices d’un Etat raciste et bourgeois qui travaillent main dans la main avec ce gouvernement qui nous tue et nous viole via sa milice policière.
    En mémoire de nos luttes : #SOS_racisme a contribué transformer la révolte des quartiers populaires lors la marche de 1983 « marche pour l’égalité et contre le racisme » en la vidant de son contenu politique, en la transformant en vulgaire Logo. La récupération des luttes de l’immigration et des quartiers populaires est un procédé qui tire son origine de l’époque coloniale et consiste à choisir des « arabes et des noirs de services » pour vider nos luttes de leur contenu politique et mater les révoltes des indigènes.
    Que ce soit pour cette manifestation-mascarade ou pour toutes les initiatives militantes, le #FUIQP 93 n’a qu’une seule boussole : celle qui s’ancre dans les quartiers populaires et oriente le combat à partir de ses propres forces, sans paillettes mais avec nos lumières à nous, que ce soit celles des feux de poubelles, du néon des locaux du quartier où les projecteurs des artistes qui portent nos indignations.

  • L’Unef perd sa place de première organisation syndicale
    https://www.mediapart.fr/journal/france/110217/l-unef-perd-sa-place-de-premiere-organisation-syndicale

    Pour la première fois, l’Unef perd sa première place au profit de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) pour représenter les #étudiants dans les #CROUS. Sa mobilisation contre la loi sur le travail n’a pas payé.

    #France #CNOUS #élections_universitaires #enseignement_supérieur #FAGE #Robi_Morder #Unef

  • Voilà, cela va nécessairement être du #shameless_autopromo à bouche que veux-tu avec cette affaire. Je vous propose ceci.

    Les deux premi.er.ère.s à répondre en commentaire à ce signalement reçoivent un exemplaire de service de presse à une adresse postale qu’il.elle.s m’envoient par mail (pdj arotruc desordre.net) et s’engagent après lecture à l’envoyer aux deux suivant.e.s

    #une_fuite_en_egypte

  • #Luc_Béraud reprend à zéro le #Cinéma de #Jean_Eustache
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/270117/luc-beraud-reprend-zero-le-cinema-de-jean-eustache

    Photo prise par #Pierre_Zucca sur le tournage d’une des dernières scènes de « #Mes_petites_amoureuses ». Copyright : #Sylvie_Zucca. Assistant du cinéaste sur trois de ses grands films, Luc Béraud publie Au travail avec Eustache (making of). Une approche à neuf de l’œuvre de l’auteur de #La_Maman_et_la_putain. Compte-rendu et entretien.

    #Culture-Idées #Actes_Sud #Boris_Eustache #Institut_Lumière #Jean-Pierre_Léaud #Une_sale_histoire

  • L’#UNESCO tout en nuances

    Privatisation de l’éducation : tendances et conséquences ; Education, research and foresight : working papers ; Vol.:18 ; 2016 - 246485f.pdf
    http://unesdoc.unesco.org/images/0024/002464/246485f.pdf

    Même si la privatisation tend à s’imposer dans le monde, c’est une idée qui a été interprétée et traduite
    dans la pratique éducative de multiples façons. Les formes que revêt la privatisation aux différents niveaux
    de l’éducation varient selon les systèmes éducatifs, de même que les raisons invoquées pour les justifier.
    Également controversée est la question de savoir dans quelle mesure les fonds publics doivent compléter
    l’investissement privé. De ce fait, les débats au sujet de la privatisation, et de la possibilité et du bien
    ­fondé de
    son application dans le domaine de l’éducation, ont été à la fois très larges et intenses.
    La présente étude donne un aperçu de quelques
    ­
    uns de ces débats. Elle suggère que, étant donné le
    rapide accroissement de la demande d’éducation
    partout dans le monde, et l’engagement quasi
    unanime des gouvernements d’assurer l’éducation
    pour tous, un système éducatif exclusivement
    financé par les deniers publics n’est plus une option
    réaliste ­ compte tenu en particulier de l’incapacité
    ou de la réticence de la plupart des États
    ­nations à
    financer le développement de l’éducation par le biais
    des impôts. Un certain degré et certaines formes de
    privatisation semblent donc inévitables. Si tel est le
    cas, la question n’est plus de savoir si les acteurs
    privés devraient ou non être autorisés à intervenir
    dans le secteur de l’éducation, mais de déterminer
    dans quelle mesure, comment et à quelle fin leurs
    activités devraient être réglementées.

    Document qui résume bien la tendance lourde d’une idéologie qui ne dit pas son nom. Quant au contrôle démocratique d’une éventuelle privatisation en partenariat avec les états, je n’y crois pas : est-on arrivé à contrôler « démocratiquement » les GAFA ? Les états, malgré leurs promesses main sur le cœur arrivent-ils à contrôler « démocratiquement » l’évasion fiscale ? Quelle foutaise !...

    #privatisation vs #services_publics #éducation #mondialisation

  • J – 122 : Je reçois dans l’après-midi les épreuves d’Une Fuite en Égypte . En premier lieu c’est un soulagement la maquettiste a trouvé le bon équilibre, dont je me demandais même s’il existait, de lisibilité de ce texte qui n’est constitué que d’un seul paragraphe, en fait, d’une seule phrase si l’on y pense bien, ou d’une multitude de segment de phrases inabouties et mises bout à bout.

    Et puis c’est une surprise, celle de découvrir ce que mon amie Alice appelait le travail de dentelière dans les corrections. Cette attention au détail, au moindre détail. Et les questions que pose justement à la fois une telle attention et ce que cela révèle de mes approximations ou de mes erreurs.

    Les doubles négatives par exemple. Mon écueil par excellence. À tel point qu’il arrive fréquemment que lorsqu’on lit une de mes doubles négatives, on peut raisonnablement se demander si c’est bien ce qui est écrit que j’ai voulu dire. Ce qui m’afflige c’est de constater à quel point j’y ai recours quand je n’ose pas tout à fait dire ce que je pense finalement. Et qu’à force de ne pas vouloir dire exactement ce que je pense, je finis par dire le contraire de ce que je pense. En fait je suis saisi par cette idée que ce qui est un défaut incurable chez moi dans la vie de tous les jours, à savoir une forme paralysante d’indécision, se retrouve, à ma plus grande surprise, dans la façon dont j’écris une fiction dans laquelle j’aurais pourtant cru que tout était possible, puisque n’est-ce pas là la grande force de la fiction ? Et dire que je pensais que la fiction était la voie de l’émancipation, il semble qu’il y ait encore du travail.

    En tout cas, ce que je perçois de prime abord c’est que le travail réalisé par la correctrice est un travail fondamental sur la langue, d’une part, mais aussi sur la logique. Ainsi dans le récit, j’imagine le futur des deux enfants et comment ils repenseront à leur enfance, plus tard, et je ne me rends pas compte que la manière dont je continue de les décrire dans ce futur, si proche soit-il, est identique à celle qui est la mienne depuis le début du récit, or ils ont grandi et un simple emploi du présent au lieu du futur fait que les personnages des enfants se cognent la tête contre une toise invisible. Une fois que la chose est signalée, elle apparaît lumineuse, éclairée, soulignée mais je me demande bien quelle peut être l’immense force de la correctrice pour repérer un tel détail dans la masse de graviers des deux cents pages de monobloc ? Bref je suis impressionné, d’autant que désormais, nous avons été quelques-uns à avoir relu ce texte, lui avoir découvert ici une coquille insignifiante, là un espace manquant avant un point-virgule, ici encore une imprécision dans l’emploi des temps et là encore une hypallage discrète. Les antennes de la correctrices sont d’une sensibilité de puce chauve.

    Pour bien me donner toutes les chances de recul nécessaire dans ma propre relecture de ces propositions de corrections, je fais le travail en deux temps, deux couches successives que j’espace d’une séance de cinéma avec les enfants.

    Cigarettes et chocolat chaud de Sophie Reine. On rit beaucoup avec les enfants, d’autant que ce n’est pas difficile de rire de surcroît au familier des scènes de ce père élevant seul ses enfants, s’y prenant pas toujours au mieux, souvent dépassé, mais toujours bienveillant et fatigué du matin jusqu’au soir, et nous devons être très indisciplinés envers les autres spectateurs de ce film à force de se chuchoter quelques références personnelles qui nous viennent à l’esprit, ainsi le goûter dans le supermarché pour ne pas avoir à payer les croissants nous fait un peu penser aux DVD qui parfois se coincent contre les packs de lait au moment du passage en caisse — mon combat contre les majors et autres lobbyistes de la loi HADOPI est un combat minuscule, mais je suis tenace — ou encore la critique fort sévère par le père d’un spectacle improvisée par ses deux filles nous fait immanquablement penser à un inextinguible fou rire qui avait gâché un spectacle préparé avec beaucoup de cœur par Madeleine et que ce fou rire avait entièrement gâché, on en rit aujourd’hui, mais cela ne faisait pas du tout rire Madeleine ce jour-là.

    A la moitié du film je réalise avec retard que le thème même du film est très proche de celui d’Une fuite en Égypte dont j’ai laissé les épreuves en plan dans le garage, celui d’un veuf dépassé par les événements et qui doit élever deux enfants et j’ai la gorge serrée de panique. On va s’en rendre compte. La critique va m’éreinter, J’entends déjà les phrases perfides d’Éric Chevillard dans le Monde suggérant, plein de fiel, qu’Une fuite en Égypte est le plagiat éhonté d’un film populaire, et pendant que toute la salle rit de bon cœur, mes enfants n’étant pas les derniers, je pense au sourire goguenard et mauvais d’Éric Chevillard qui me démollit . Je tente de recoller, mais en vain, au film, Adèle à mes côtés vibre de plaisir, le rire sonore de Nathan emplit la salle, mais mon rire à moi est désormais étouffé par l’angoisse et le sentiment d’imposture réglé à son niveau maximum. Je pense à mon éditeur — j’aimais bien dire mon éditeur —, désœuvré pendant la trêve qui se laisse convaincre par sa compagne ou quelques amis de cette sortie au cinéma, voir ce qu’il est convenu d’appeler un feel good movie , lui-même est en train de voir ce film en ce moment même, non, il l’a vu lors de la séance précédente et nul doute, quand je vais descendre dans le garage, tout à l’heure, en sortant du cinéma, je trouverai un mail de lui m’indiquant qu’il vient de voir Cigarettes et chocolat chaud de Sophie Reine et qu’il réalise que je lui ai refourgué un épouvantable plagiat, la contrat est annulé, c’est fini.

    En sortant du cinéma, les enfants me trouvent un peu chose et s’étonnent de me voir descendre dans le garage à toutes jambes pour constater que non mon éditeur n’est pas encore allé voir Cigarettes et chocolat chaud de Sophie Reine, et contrairement à ce que je pensais, m’envoie au contraire un mail plein de conseils prévenants (et fort utiles) sur la manière de s’y prendre avec les épreuves et des encouragements (fort inutiles tant je prends un pied pas possible à y travailler) pour ce dernier coup de collier. Je lui réponds en lui donnant quelques recommandations cinéphiles pour les prochains jours, tu devrais aller voir Premier contact de Denis Villeneuve, un peu plus et j’irai même jusqu’à la pousser à aller voir aussi Passengers pour faire contrepoids à Premier contact , et que s’il veut je dois avoir le DVD d’ Enemy , de Denis Villeneuve aussi, que je veux bien lui prêter, bref, tout faire pour qu’il n’aille pas voir les prochains jours Cigarettes et chocolat chaud .

    Je me remets au travail. Vers minuit, Adèle descend dans le garage pour me souhaiter une bonne nuit et selon son expression me demande ce que je bricole, je lui explique le principe des épreuves, le travail de l’excellente correctrice et la belle façon dont elle a composé le texte. Adèle à qui j’ai déjà expliqué le principe de ce texte dont le point-virgule est le seul signe de ponctuation du livre, me demande combien j’ai fait de fautes, je les compte avec elle, vingt-quatre.

    Adèle : tu imagines ce que tu dirais si j’avais fait vingt-quatre fautes dans une seule phrase ?

    Exercice #66 de Henry Carroll : Prenez la photographie d’une publicité où l’image dit tout, sans besoin d’une légende.

    #qui_ca
    #une_fuite_en_egypte

    • C’est que une de mes filles s’appelle aussi Adèle et bien qu’elle n’ai que 7 ans, elle est déjà capable de voir où sont mes fautes d’orthographe (en norvégien s’entend). Tu me diras, avec moi c’est pas très difficile tant elle sont nombreuses :)

    • @aude_v Mon Adèle à moi (c’est à peine possessif) a également douze ans. Un volcan de créativité à l’état pur, c’en est même fatigant parfois (souvent).

      Ça doit faire drôle, d’avoir un enfant qui ne parle pas sa langue maternelle à soi.

      Tu as aussi ça doit faire drôle d’avoir un enfant qui ne comprend pas toujours très bien ce que tu lui dis. Et oui, c’est drôle. Fatigant mais généralement assez drôle. Des fois c’est comme s’il te répondait en norvégien mais ni lui ni toi ne le parlez.

    • En fait chez nous, c’est babel... Et c’est plutôt très gai au contraire. Nos enfants ont aussi très dynamiques et extrêmement créatifs (les trois) ce qui explique largement qu’on s’écroule raide carbonisé sur le sofa dès 20:30 après le coucher.

      Sinon pour la langue, on pratique un joyeux mélange de Norvégien (langue de base primaire), de français et de letton (langues rapportées secondaires) auxquelles s’ajoute l’anglais (langue tertiaire utilisées pour les message secrets puisque les enfants ne la comprenne théoriquement pas — je dis théoriquement parce qu’en réalité je suis convaincu qu’ils comprenne), et enfin au gré des visites, toute une série de langue quaternaires qui passent par l’arabe, le russe, le tchoukche, le same, l’italien et l’allemand.

      Nous nous rendons compte que cette ouverture sur les langues, c’est une vraie ouverture sur le monde. Ils mélangent encore un peu tout, mais je reste convaincu qu la maitrise de plusieurs langues et la connaissance de plusieurs cultures est une grande richesse, un atout génial pour leur futur.

      Mais oui, c’est (très) fatigant :)

  • Condamnation confirmée pour Pascal Simbikangwa
    http://survie.org/genocide/nos-actions-en-justice/article/condamnation-confirmee-pour-pascal-5205

    Le 3 décembre, l’ex-­capitaine de l’armée rwandaise a vu sa peine de 25 ans de réclusion criminelle pour génocide confirmée en appel par la cour d’assises de Bobigny. En 2014, le procès de Pascal Simbi­kangwa avait été le premier procès en France d’une personne poursui­ vie pour des faits de complicité de génocide et de crime contre l’Humanité commis lors du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994. Condamné par la cour d’assises de Paris à 25 ans de réclusion pour « génocide », une fois les faits requalifiés à (...)

    #Nos_actions_en_justice

    / #Génocide_des_Tutsis_au_Rwanda, #Une_campagne_Rwanda

  • J – 144 : Aujourd’hui j’ai vécu dans un film de science-fiction très étonnant, de la science-fiction proche, disons une période, très prochaine donc, où l’on viendrait tout juste d’inventer la téléportation. Un matin vous vous levez un peu plus tôt, et vous vous dires tiens aujourd’hui j’irai bien déjeuner en terrasse de seiches a la plancha sur les bords du Rhône à Arles. Nous sommes en décembre, ni une ni deux, vous montez dans un tube d’acier avec votre éditeur et vous voilà propulsé en un tour de main sur la place du forum, mais une drôle de place du forum pas du tout celle que vous connaissez pour être l’endroit de la récompense partagée avec Madeleine après avoir visité au pas de charge les soixante expositions de photographies des Rencontres Internationales de la Photographie à Arles, en une seule journée, une bonne glace triple boules pour Madeleine, une simple pour vous chez Casa mia, une place du forum noire de monde et envahie par les terrasses concurrentes de tous les restaurants de la place, non, une place déserte, on pourrait presque y jouer au toucher (rugby sans placage, pour défendre vous devez toucher le porteur du ballon des deux mains, touché ! et il doit poser le ballon par terre), de même dans les petites rues inondées d’un soleil rasant et sur les murs desquelles ricoche un petite bise fraîche et pas un bruit dans les rues dont les magasins arborent dans les vitrines de surprenantes processions de santons — les santons élément indispensable à tout récit de science-fiction qui se respecte.

    La téléportation n’en est qu’à ses débuts, l’effet n’est pas immédiat, mais une conversation à rompre du bâton avec votre éditeur et c’est vraiment le sentiment que la Bourgogne et la vallée du Rhône ont été rayées de la carte par du givre et du brouillard et donc traversées dans un clignement d’œil. Et le changement subreptice de décor dans les rues familières d’Arles vous laisse à penser qu’en plus de téléportation il y a potentiellement eu voyage dans le temps ce qui vous est confirmé en visitant l’intérieur d’une maison où chaque bout de ficelle dans une boîte est à sa place, et cela depuis deux cents ans, un arrière-arrière-grand-père a même son portrait photographique des années 60 du dix-neuvième siècle qui trône, non pas sur le manteau d’une cheminée mais sur une pile de livres d’un autre âge celui des années septante mais, cette fois, les années septante du vingtième siècle. Vous avisez même les tranches de quelques collections de polar de cette époque dont vous jureriez disposer de quelques exemplaires des mêmes, eux serrés, dans les rayonnages de votre propre maison de famille, dans les Cévennes, à deux heures de route, plus au Nord donc.

    Arrive une heure fatidique, celle qui a motivé l’effet balbutiant, mais réussi, de téléportation, vous pénétrez dans le hall d’un hôtel de luxe assez minable, pensez les décorations intérieures ont été confiées à une petite frappe locale, c’est kitsch et draperies nouveaux riches à tous les étages, rendez-moi vite la poussière des rayonnages de la vieille maison de famille arlésienne, on vous fait patienter dans la cour carrée d’un ancien cloître, vous en profitez pour chiper quelques feuilles de sauge dans les parterres au cordeau et puis on vous appelle et vous pénétrez dans une grande pièce de salon, les représentants commerciaux de votre éditeur-distributeur-diffuseur — je n’ai pas entièrement suivi les explications ferroviaires de mon éditeur — sont fort polis et une trentaine de bonjours anisochrones vous viennent aux oreilles.

    Vous avez dix minutes.

    Le livre dont on vous demande de parler, il vous a fallu une bonne douzaine d’années pour l’écrire, puis pour l’oublier, pour le réécrire, puis le relire, le corriger, le réécrire, le relire et le corriger à nouveau encore et encore. Vous avez dix minutes qui connaissent le même phénomène d’accélération que lors de la téléportation et vous laissent finalement chancelant sur les bords du Rhône pour une dernière promenade avant d’attraper le téléporteur du soir, la lumière du couchant en hiver sur le fleuve est orgiaque, rien à voir avec cette matraque froide du plein jour en été, là où vous photographiez, chaque année ce coude que le Rhône fait, tel une génuflexion devant la majesté du musée Réattu.

    Dans le train, vous lisez la fin de Je Paie d’Emmanuel Adely. Le soir en arrivant chez vous, dans le Val de Marne, donc pas exactement limitrophe des Bouches du Rhône, vous trouvez dans votre boîte aux lettres le deuxième tome du Journal d’une crise que votre ami Laurent Grisel vous a envoyé, et vous constatez, amer, que le matin même vous aviez oublié de refermer la fenêtre de votre chambre en partant, la chambre est parfaitement ventilée certes, mais glaciale, comme la maison des Cévennes quand on la rouvre à Pâques après l’hiver.

    Exercice #50 de Henry Carroll : Faites de l’exposition une métaphore

    #qui_ca
    #une_fuite_en_egypte

  • J – 150 : Pour le moment Guy, mon ordinateur s’appelle Guy, n’a toujours pas fini de scanner immense_disque .

    Cela fait des années que je cite souvent l’exemple du Hasard de Kristof Kieslowski pour soutenir la validité des récits arborescents à la façon aussi de Smoking non smoking d’Alain Resnais, d’ailleurs nettement plus arborescent que le Hasard, au point même qu’il y ait deux films, celui de la cigarette fumée et celui de la cigarette refusée poliment, ou encore pour soutenir mes propres tentatives de la fiction de suivre, même modestement, de suivre deux voies parallèles dans un récit, ainsi dans une Fuite en Egypte :

     ; il rendait visite à un parent interné dans un hôpital psychiatrique ; à Villejuif je crois ; je lui avais proposé de l’emmener ; oui ; c’était à Villejuif ; dans le Val de Marne ; dans la banlieue Sud ; je devais aller moi-même dans cette direction ; je lui avais donc proposé de l’accompagner ; aussi parce que je me doutais que cela n’avait rien de drôle d’aller visiter un parent dans un hôpital psychiatrique ; nous nous sommes égarés ; nous avons fait de nombreuses circonvolutions pour retrouver notre chemin ; et ; sans nous départir du calme qui était le nôtre ; sans que ces égarements n’influent ; d’aucune façon que ce soit ; sur la bonne humeur qui était entre nous ; nous nous étions perdus ; et nous nous laissions emporter distraitement par le flot des autres véhicules ; plus soucieux en fait du plaisir de notre conversation que de nous orienter de façon fiable ; nous parlions de son retour hypothétique en Allemagne ; dehors il faisait gris ; et puis à un carrefour les deux voitures qui étaient derrière nous n’ont pas su s’arrêter et l’une a percuté l’autre qui nous a de fait tamponnés ; un tout petit choc ; un accident de rien du tout ; même pas de taule froissée ; le hayon de mon coffre ne fermait plus ; c’était tout ; nous avons réglé cela à l’amiable ; je veux dire entre la personne qui avait percuté l’arrière de ma voiture et nous ; entre les deux autres voitures en revanche les propos n’étaient pas courtois ; les deux conducteurs s’accusaient mutuellement d’être responsables de l’accident ; et tandis qu’ils argumentaient avec véhémence ; Gerd et moi avons continué de discuter aimablement ; Gerd m’a fait remarquer ; dans son accent allemand guttural ; tu te rends compte du nombre de détours que nous avons faits ; tout cela pour avoir cet accident ; nous avons ri de ce concours de hasard bénin ; nous aimions l’un et l’autre ce genre de considérations ; le hasard au travail ; nous avions vu ensemble au cinéma Le Hasard de Kristof Kieslowski ; et j’avais répondu que nous ne le saurions jamais ; en revanche il n’était pas exclu que cet accident et ses détours nous aient en fait déviés d’un accident dans lequel j’aurais perdu la vue et Gerd l’usage de ses membres inférieurs ; comment pouvais-je ; alors ; rire de pareilles éventualités ; à l’époque je ne l’avais pas encore rencontrée ; je n’avais pas encore fait sa connaissance ; je ne l’avais pas encore embrassée ; je n’avais pas encore fait l’amour avec elle ; nous ne vivions pas encore ensemble ; nous n’avions pas encore d’enfants ; elle n’était pas encore morte dans un accident de voiture ; je ne la connaissais pas encore ; je ne pouvais pas savoir ; je ne pouvais pas savoir qu’elle périrait dans un accident de la circulation ; en fait c’est très peu de temps après cet accident ; cet accident sans gravité ; en compagnie de Gerd ; que je l’avais rencontrée ; tenez ; c’est curieux ; c’est la première fois que je m’en rends compte ; que je m’aperçois que cet accident apparemment dénué de conséquences avait en fait été à l’origine de notre rencontre ; parce que cet accrochage anodin ; et le temps que nous avions perdu en nous égarant ; nous avaient mis en retard ; j’avais raté mon rendez-vous avec un assistant qui devait m’aider pour une prise de vue en studio ; le type était furieux ; j’avais donc dû m’adresser ailleurs ; à Paris ; et elle m’avait été recommandée par un collègue ; et c’est de cette façon que je l’ai rencontrée ;

    Mais cela faisait extrêmement longtemps que je n’avais pas revu ce film, il me semble, effectivement au cinéma, et sans doute en compagnie de Daphna, donc en première ou seconde années des Arts Déco. Du coup commençant à préparer un manière de mini site pour la publication d’une Fuite en Egypte qui donne donc accès à toutes sortes de ressources et, a minima, à des œuvres des différents artistes cités dans le cours du récit, Twombly, Weegee, Witkin, Wahrol, il y a donc Le Hasard de Kieslowski (à croire que j’ai fait exprès de citer des artistes qui ont tous un w dans leur patronyme, à l’époque de l’écriture, il y une treizaine d’années maintenant, je l’ai sûrement fait exprès, aujourd’hui c’est tout juste si je me rappelle m’être donné de telles contraintes), dont je me suis employé récemment à en tirer un extrait. J’ai donc téléchargé le film - en fait ces derniers temps j’ai eu recours à un excellent assistant pour retrouver certaines des ressources les plus obscures.

    Et je viens de le revoir, presque trente ans plus tard tout de même.

    Je peux donc mesurer à quel point mon souvenir était vague à bien des égards, et, au contraire, extrêmement précis de certains plans, par exemple je me souvenais parfaitement du clochard de la gare qui ramasse une pièce qui roule et s’achète une bière avec - et apparemment un Tchèque pourrait survivre en Pologne, parce que pour demander une bière en polonais c’est presque Pivo prosim - en revanche, et ce n’est pas banal tout de même, si j’avais du raconter l’intrigue, finalement pas simple pour ses implications politiques, de ce film, comme par exemple, cela peut arriver, en couple, de se raconter des films, à l’image de la deuxième partie de ce film, la femme du mécanicien aéronautique qui raconte Manhattan à son amant, racontant donc Le Hasard , j’aurais oublié, du tout au tout, la troisième partie de ce film, qui, dans mon esprit, sans doute influencé par la trame de Smoking non smoking d’Alain Resnais, n’en comptait que deux, alors que, et c’est tout de même assez troublant, que c’est directement au principe même de la troisième partie que fait référence la remarque que je prête au personnage de Gerd, dans une Fuite en Egypte , à propos d’un accident qui permet d’échapper à un autre, plus grave.

    Par ailleurs, c’est quand même étonnant d’avoir oublié la troisième partie plutôt que les deux autres, alors que c’est la troisième partie qui est de loin la plus simple, tout roule pour le personnage principal, sa carrière connait une ascension fulgurante, il se marie avec une jeune femme dont il est fou amoureux, elle lui apprend devant le maire qu’elle est enceinte, et ils pouffent de rire en échangeant leurs vœux, l’enfant nait il est fort mignon et il peut partir à Paris avec un passeport en bonne et due forme.

    Et quand je pense à tous les films que j’ai vus, tous les romans que j’ai lus, et pour lesquels mes souvenirs sont pareillement imprécis, ou mélangés, je me dis que je foisonne de récits, il suffit juste que je fasse confiance à ma mémoire dans tout ce qu’elle a d’imprécis.

    Sans compter que par ailleurs j’ai tendance à oublier tout ce que j’écris, ou plus exactement que j’écris, non pas pour ne pas oublier, mais au contraire pour oublier. J’avais, par exemple, tout à fait oublié cette référence au Hasard dans mon récit, que je viens de relire une nouvelle fois avant d’en envoyer la version définitive à mon éditeur, j’aime bien dire mon éditeur .

    Exercice #45 de Henry Carroll : Photographiez un lieu insipide de jour ... mais fascinant de nuit.

    La forêt autour de la maison de Barbara Crane dans le Michigan est nettement plus mystérieuse la nuit que le jour, ce qui est en grande partie dû aux puissant éclairages que cette dernière a braqués sur les bois depuis les autres coins de sa terasse qui entoure sa petite maison, un peu comme Claude Monet a arrangé son jardin pour mieux le peindre. Le parti qu’elle en tire est infiniment supérieur.

    #qui_ca
    #une_fuite_en_egypte

  • Mohamad Abdel-Latif : Jérusalem est une ville arabe -
    Ahram Hebdo | Nasma Réda26-10-2016
    http://hebdo.ahram.org.eg/NewsContent/0/8/27/18576/Mohamad-AbdelLatif--J%C3%A9rusalem-est-une-ville-arabe.aspx

    Mohamad Abdel-Latif, ex-directeur du secteur des antiquités coptes et islamiques et professeur à l’Université de Hélouan, commente la récente résolution de l’Unesco sur Jérusalem.

    Al-Ahram Hebdo : L’Unesco a adopté formellement deux projets de résolution pour sauvegarder le patrimoine culturel palestinien, surtout les lieux saints et le caractère distinctif de Jérusalem-Est. Comment voyez-vous ce vote ?

    Mohamad Abdel-Latif : C’est une décision correcte sans aucun doute. Jérusalem, sur le plan archéologique, est une ville à 100 % arabo-islamique. Bien que cette décision soit venue en retard, elle a été enfin adoptée. L’Unesco aurait dû, depuis longtemps, adopter une position claire envers la protection des monuments palestiniens en tant que pays occupé.

    #UNESCO #Jerusalem

  • Israel still outraged by new ’softened’ version of UNESCO resolution
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=773732
    Oct. 26, 2016 5:08 P.M. (Updated: Oct. 26, 2016 5:08 P.M.)

    BETHLEHEM — A new version of a UNESCO resolution that strongly condemned Israeli policies in the occupied Palestinians territory was approved on Wednesday after widespread uproar from Israel and its supporters claimed that the previous text denied Jewish ties to the location of the Al-Aqsa Mosque compound in East Jerusalem’s Old City.

    The resolution was backed by ten World Heritage Committee members states, opposed by two, with eight abstaining.

    However, Israeli media sites reported that the revised version continued to “ignore Judaism’s connection” to the holy site, as the text still only referred to the compound by its Arabic and Muslim names — Al-Aqsa or al-Haram al-Sharif — and not as the Temple Mount as it is known to Jews.

    Amid the uproar, the issues raised in the resolution itself regarding several Israeli policies against Palestinians at the holy site have largely fallen to the wayside.

    As a Palestinian representative to UNESCO put it after the initial text was approved, the resolution was “about occupation, not about a name,” asserting that the Geneva Conventions required the site be referred to by the name that predated Israel’s illegal occupation of East Jerusalem in 1967.

    The wording of the new resolution was “softened,” according to Israeli newspaper Haaretz, removing the term “occupying” force in regards to Israel, and now refers to the Western Wall by its Jewish name and not in quotations as it had been previously.

    However, Israel’s ambassador to UNESCO, Carmel Shama-Hacohen, reportedly said after the vote: “This is yet another absurd resolution against the State of Israel, the Jewish people and historical truth.”

    Israel’s ambassador to the United Nations, Danny Danon, also slammed the new resolution, saying, “UNESCO embarrassed itself by marching to the tune of the Palestinian pipers. All attempts to deny our heritage, distort history and disconnect the Jewish people from our capital and our homeland, are doomed to fail.”

    #UNESCO

    • Israël rappelle son ambassadeur à l’UNESCO en riposte au nouveau vote
      Par i24news | Publié : 26/10/2016
      http://www.i24news.tv/fr/actu/international/128593-161026-nouveau-vote-de-l-unesco-niant-les-liens-entre-judaisme-et-jer

      « Le théâtre de l’absurde continue » a lancé le Premier ministre israélien

      Israël a rappelé mercredi son ambassadeur à l’UNESCO pour protester contre l’adoption du Comité du patrimoine mondial d’une résolution niant à nouveau le lien millénaire entre les Juifs et leurs lieux saints à Jérusalem.

      « Le théâtre de l’absurde continue, j’ai décidé de rappeler notre ambassadeur à l’Unesco pour consultations et nous allons décider des mesures à prendre face à cette organisation », a indiqué un communiqué du bureau du Premier ministre.

      L’ambassadeur israélien, Carmel Shama-Cohen, a pour sa part affirmé à la radio publique qu’Israël étudiait « la possibilité de rompre tout contact avec l’Unesco ».

      Gil Taïeb, vice-président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) s’est exprimé mercredi soir sur i24news au sujet du nouveau vote de l’Unesco.

      M. Taïeb a exprimé « une fois de plus la colère devant un vote aussi détestable ».

      « Ce n’est pas un vote de l’Unesco contre Israël, là on est dans l’antisémitisme pur », s’est révolté le vice-président du CRIF.

      Il affirme que « nier les racines du peuple juif » revient à « également par voie d’extension nier les racines judéo-chrétiennes du monde » avant de décrier « un nettoyage ethnique auquel participe l’Unesco ».

      « Aujourd’hui on s’attaque aux Juifs, demain on s’attaquera aux Chrétiens, après-demain aux Bouddhistes et il ne restera plus sur cette planète qu’une seule religion, celle de l’islam intégriste qui nie aux autres le droit d’exister », a-t-il ajouté.

  • Sauvé des barbelés, le village palestinien de #Battir rêve de tourisme

    Les 5 ans de « M le mag ». Il y a trois ans, ce village palestinien était menacé par la construction du mur israélien. « M » avait rencontré ses habitants en lutte. Désormais classé au patrimoine mondial de l’#Unesco, Battir mise aujourd’hui sur le tourisme.


    http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2016/10/19/sauve-des-barbeles-le-village-palestinien-de-battir-reve-de-tourisme_5016163

    #tourisme #Palestine #murs #barrières_frontalières #Israël
    cc @albertocampiphoto @clemencel

  • Manoeuvre mensongère d’Israël après le vote de l’UNESCO sur Jérusalem
    Par Charlotte Silver, 15 octobre 2016 | Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2016/10/17/manoeuvre-mensongere-disrael-apres-le-vote-de-lunesco-sur-jerus

    Devant le Dôme du Rocher, un Palestinien brandit des munitions tirées par les forces d’occupation israéliennes sur le site de la mosquée al-Aqsa à Jérusalem, le 26 juin, pendant le mois de jeûne du Ramadan. Mahfouz Abu Turk APA images

    Israël a suspendu sa coopération avec l’UNESCO vendredi, après l’adoption par l’organisation culturelle et scientifique de l’ONU d’une résolution qui critique fermement les actions agressives d’Israël dans et autour du site de la mosquée al-Aqsa à Jérusalem Est occupée.

    En dépit de l’intense lobbying mené contre la motion par les ambassadeurs d’Israël à travers le monde, la résolution a été votée par 24 voix contre 6 et l’abstention de 26 gouvernements.

    Les Etats Unis, le Royaume Uni, l’Allemagne, la Lituanie, l’Estonie et le pays Bas ont voté contre la résolution, tandis que la Russie et la Chine l’ont soutenue.

    Les responsables du gouvernement israélien ont prétendu que la motion déniait aux Juifs une connexion avec ce site historique, où se trouve le Mur Occidental, même si la motion ne comporte aucun terme suggérant un tel déni.

    Les intentions d’Israël semblent être de vouloir affirmer sa souveraineté sur le site.

    De façon significative, les efforts d’Israël pour obtenir un ancrage symbolique, et peut-être juridique, sur le site, grâce à des résolutions de l’ONU, se produisent alors que des associations qui appellent à la destruction de la mosquée al-Aqsa et à son remplacement par un Temple juif intensifient leurs efforts, souvent avec le financement et le soutien du gouvernement israélien.

    Des critiques ont fait ressortir que la référence exclusive de la motion à ce site sous le nom de « mosquée al-Aqsa/al-Haram al-Sharif » ressemblait à une preuve que la résolution dénie aux Juifs toute connexion ou vénération des Juifs pour ce site, que les Juifs appellent Mont du Temple.

    En avril, l’UNESCO a voté une résolution similaire qui a subi une critique presque identique.

    La France a voté en faveur de cette résolution, mais a par la suite désavoué son soutien après que le Premier ministre d’Israël Benjamin Netanyahu ait écrit une lettre de protestation au président français François Hollande.

    https://seenthis.net/messages/533193
    #israël #palestine #onu #UNESCO #colonisation #destructions #démolition #occupation

    • L’Unesco adopte formellement une résolution controversée sur la vieille ville de Jérusalem
      Dernière modification : 18/10/2016
      http://www.france24.com/fr/20161018-unesco-adopte-formellement-resolution-vieille-ville-jerusalem-isr

      L’Unesco a formellement adopté une résolution sur Jérusalem-Est soutenue par plusieurs pays arabes, mais vivement contestée en Israël. Le pays avait pour cette raison suspendu sa coopération avec l’institution internationale la semaine passée.

      L’Unesco, l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, a formellement adopté, mardi à Paris, une résolution sur Jérusalem-Est portée par des pays arabes, au nom de la protection du patrimoine culturel palestinien. Mais le texte est vivement dénoncé par Israël, comme niant le lien millénaire unissant les juifs à la Vieille ville.

      Porté par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, le Maroc, Oman, le Qatar et le Soudan, le texte a été examiné par les 58 États-membres du Conseil exécutif de l’organisation pour la paix et la culture de l’ONU, réunis en plénière.

      Aucun des membres du Conseil exécutif n’ayant demandé à rouvrir le débat, le texte a été entériné assez rapidement sans qu’il n’y ait de nouveau vote, a expliqué une porte-parole de l’Unesco.

      Sans surprise, les Palestiniens se sont réjouis de ce vote. « La résolution rappelle qu’Israël est une puissance occupante à Jérusalem-Est et lui demande d’arrêter ses abus », a déclaré à la presse Mounir Anastas, ambassadeur adjoint à l’Unesco.

      Après un premier vote jeudi en commission de deux projets de décision sur « la Palestine occupée » (24 voix pour, 6 contre et 28 abstentions), Israël avait annoncé la suspension de sa coopération avec l’Unesco.

    • UNESCO : une résolution qui dérange l’ordre du plus fort
      lundi 17 octobre 2016 par le Bureau national de l’UJFP
      http://www.ujfp.org/spip.php?article5186

      Rapport accablant qui décrit avec une précision scientifique la politique israélienne de destruction systématique du patrimoine archéologique et spirituel musulman de Jérusalem, des deux côtés des remparts de la vieille ville, le transfert illicite de propriété des biens culturels musulmans - tous inscrits au patrimoine de l’Humanité - au mépris des textes internationaux et des multiples conventions internationales portant sur la protection les biens culturels des peuples sous occupation, au mépris aussi du statut juridique de Jérusalem tel qu’il est défini par les Nations Unies.

      Rapport accablant qui nomme, un point après l’autre, les causes de ce désastre : occupation, illégalité des travaux entrepris, obstruction face à toutes les tentatives de sauvegarde de ces biens précieux de l’Humanité, transfert de propriété illégale, constructions multiples et illégales.

      Sans oublier les responsabilités des entreprises internationales qui participent à ce désastre tels les constructeurs français du tramway de Jérusalem.

      Alors même que cette résolution fait explicitement référence (point 3) aux résolutions pertinentes de l’ONU sur le statut juridique de Jérusalem, les dirigeants politiques israéliens crient au « négationnisme » qui « décapite la mémoire du peuple juif », rien que cela !

      Ils se retirent de cette instance de l’ONU faute de pouvoir lui déclarer la guerre et bombarder ses bâtiments comme ils le font régulièrement à Gaza.

      En réalité, c’est l’aveu de leur rage d’être remis à leur place exacte devant la vérité de ce qui se passe dans la ville de Jérusalem vandalisée et annexée par la force.

      Jérusalem a toujours été la ville des musulmans, des chrétiens, des juifs et des non-croyants. Tous ont cohabité dans cette ville pendant des siècles.
      Les négationnistes, ce sont ceux qui nient l’existence, l’histoire, la mémoire et la dignité du peuple palestinien. Ce sont ceux qui décrètent que Jérusalem est, et a toujours été, uniquement juive, ce qui est un mensonge historique flagrant. Ce sont ceux qui ont expulsé dès 1967 plusieurs milliers de Palestiniens de la vieille ville, vivant près du mur des Lamentations (c’est à Jérusalem qu’a été créée la première colonie). Ce sont ceux qui creusent des tunnels sous l’esplanade des mosquées. Ce sont ceux qui détruisent des maisons à Silwan et expulsent des milliers d’habitants de ce quartier de Jérusalem-Est parce qu’ils affirment, contre toute réalité historique, que le roi David a vécu là. Ce sont ceux qui ont transformé les principaux vestiges historiques palestiniens (Qumran, Hérodion) en parcs nationaux israéliens.(...)

    • Palestinian envoy: UNESCO vote was about ’occupation’, not Temple Mount
      Elias Sanbar claims contentious resolution omitted any references to the Jewish holy site because the Geneva Conventions prohibit the use of an occupier’s term.
      By Shirli Sitbon | Oct. 18, 2016 | 9:12 PM
      http://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.748013

      PARIS - A Palestinian representative to UNESCO defended on Tuesday the omission of any reference to Jewish claims to the Temple Mount in a contentious resolution passed last week about Jerusalem.

      Mounir Anastas told reporters in Paris, where UNESCO is headquartered, that the vote was “about occupation.”

      Israel has protested the resolution’s failure to include any reference to the site where al-Aqsa Mosque stands as revered by Jews as the Temple Mount, or the site where two ancient temples once stood.

      Elias Sanbar, a second Palestinian representative to the organization, said that Jordan had “wanted” to include the Jewish reference.

      Sanbar asserted that this was “impossible.” He claimed that the Geneva Conventions required referring to the site by its pre-occupation name, or the period before Israel captured east Jerusalem in the 1967 Six-Day War.

      Sanbar also suggested, however, that it may have been possible to revise the resolution to include a Jewish reference to the site. “This text is not holy, it can be changed,” he said.

      Anastas accused reporters of going around in circles about the issue. "You’re just asking the same question over and over again,” he said. "This resolution is about occupation not about a name.”

      UNESCO officials, who have already issued clarifications to Israel about the resolution, said they would have preferred a more consensual process.

      “UNESCO has always worked by consensus, but not this time. Twenty-four member states voted in favor of the resolution, 26 abstained 6 voted against it,” UNESCO media chief George Papagiannis said.

      Israel’s ambassador to UNESCO, Carmel Shama Hacohen called Palestinian diplomacy over the resolution “brutal.”

      “This was not a resolution aiming to protect Jerusalem, it was a political initiative meant to harm Israel’s sovereignty and to rewrite history” Hacohen said. “It’s not legitimate morally or historically.”

      “No other country has been treated this way in UNESCO," Hacohen added.

      Hacohen said was hopeful, though, that Israel would someday reverse the decision the same as a 1975 United Nations resolution condemning Zionism as racism was eventually revoked.

      #Elias_Sanbar #Mounir_Anastas
      #Carmel_Shama_Hacohen

  • Survie partie civile dans le procès en appel de Simbikangwa : contre l’impunité des auteurs du génocide des Tutsi
    http://survie.org/genocide/nos-actions-en-justice/article/survie-partie-civile-dans-le-5174

    En mars 2014, le premier procès d’un Rwandais accusé de génocide, Pascal Simbikangwa dit Safari, avait lieu à Paris. L’association Survie y était partie civile aux côtés d’autres associations (CPCR, FIDH, LDH, LICRA). Le génocide des Tutsi au Rwanda a eu un profond impact sur notre association et l’a orientée vers une dénonciation sans équivoque du soutien criminel qu’apportent les autorités françaises aux dictatures africaines. En 1993, un an avant le génocide, une commission internationale à laquelle (...)

    #Nos_actions_en_justice

    / #Complicité_de_la_France_dans_le_génocide_des_Tutsi_au_Rwanda, Une, Une campagne (...)

    #Une_campagne_Rwanda

  • Tel-Aviv a décidé, le 14 octobre, de rompre ses relations avec l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), qu’il accuse d’« apporter un soutien immédiat au terrorisme islamiste ». La veille, une commission de celle-ci avait à nouveau adopté — mais à une majorité plus réduite — deux résolutions dénonçant la colonisation de Jérusalem-Est et ignorant le lien particulier d’Israël avec le mont du Temple (l’esplanade des mosquées d’Al-Aqsa et du dôme du Rocher). Il y a seize ans, en pleine Intifada, le journaliste et essayiste Marius Schattner avait consacré un long article à cette question.

    http://www.monde-diplomatique.fr/2000/11/SCHATTNER/2519 #st

    https://www.flickr.com/photos/30728065@N08/8750202386

    Flickr

    http://zinc.mondediplo.net/messages/39594 via Le Monde diplomatique

  • Déclaration de la Directrice générale de l’UNESCO sur la Vieille ville de Jérusalem et ses remparts, Patrimoine mondial de l’UNESCO | Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture
    14.10.2016 - UNESCOPRESS
    http://www.unesco.org/new/fr/media-services/single-view/news/statement_by_the_director_general_of_unesco_on_the_old_city-1

    Paris, 14 octobre – « Comme je l’ai rappelé à maintes reprises, et encore récemment à l’occasion de la 40ème session du Comité du Patrimoine mondial, la Vieille ville de Jérusalem est la ville sacrée des trois monothéismes, le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. C’est au titre de cette diversité et de cette coexistence religieuse et culturelle que la ville a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Le patrimoine de Jérusalem est indivisible, et chacune de ses communautés a droit à la reconnaissance explicite de son histoire et de son lien avec la ville. Nier, occulter ou vouloir effacer l’une ou l’autre des traditions juive, chrétienne ou musulmane revient à mettre en péril l’intégrité du site, contre les raisons qui justifièrent son inscription sur la Liste du patrimoine mondial.

    Nulle part ailleurs qu’à Jérusalem les traditions et patrimoines juifs, chrétiens, musulmans, s’imbriquent à ce point et se soutiennent les uns les autres. Ces traditions culturelles et spirituelles s’appuient sur des textes et des références, connus de tous, qui font partie intégrante de l’identité et de l’histoire des peuples. Dans la Torah, Jérusalem est la capitale du Roi des juifs David, où Salomon construisit le Temple qui abrita l’Arche d’Alliance. Dans l’Evangile, Jérusalem est le lieu de la passion et de la résurrection du Christ. Dans le Coran, Jérusalem est la destination du voyage nocturne (Isra) que le prophète Mohammed fit depuis la Mecque jusqu’à la Mosquée Al Aqsa.

    Dans ce microcosme de notre diversité spirituelle, des peuples différents fréquentent les mêmes lieux, parfois sous des noms différents. La reconnaissance, l’usage et le respect de ces noms sont essentiels. La Mosquée Al Aqsa / Al-Haram-al-Sharif, sanctuaire sacré des musulmans, est aussi le Har HaBayit – ou Mont du Temple – dont le Mur Occidental est le lieu le plus sacré du Judaïsme, à quelques pas du Saint Sépulcre et du Mont des Oliviers révérés par les Chrétiens.

    La valeur exceptionnelle universelle de la ville, qui lui a valu d’être inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, tient à cette synthèse, qui est un appel au dialogue, non à la confrontation. Nous avons une responsabilité collective qui consiste à fortifier cette coexistence culturelle et religieuse, par la force des actes, et aussi par la force des mots. Cette exigence est plus forte que jamais, pour apaiser les divisions qui portent atteinte à l’esprit multiconfessionnel de la ville.

    Lorsque ces divisions rejaillissent sur l’UNESCO, une Organisation dédiée au dialogue et à la recherche de la paix, elles l’empêchent de mener à bien sa mission. La responsabilité de l’UNESCO est de faire vivre l’esprit de tolérance et de respect de l’histoire, et c’est mon engagement quotidien en tant que Directrice générale, auprès de tous les Etats Membres. Je m’emploierai à cette tâche en toutes circonstances car c’est notre raison d’être : rappeler que nous formons une seule humanité et que la tolérance est la seule voie pour vivre dans un monde de diversité. »

  • La #sélection à l’entrée du master va être mise en place à la rentrée 2017
    https://www.mediapart.fr/journal/france/051016/la-selection-l-entree-du-master-va-etre-mise-en-place-la-rentree-2017

    Un accord a été trouvé entre le ministère de l’enseignement supérieur, les organisations étudiantes et les présidents d’université pour introduire une sélection à l’entrée du master. Les organisations étudiantes ont obtenu un « droit à la poursuite d’études » censé empêcher des jeunes de se retrouver sans formation.

    #France #Cpu #enseignement_supérieur #FAGE #Najat_Vallaud-Belkacem #Thierry_Mandon #Unef #universités

  • Un bébé à trois ADN
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/09/28/25449-naissance-premier-bebe-ne-3-parents
    « Si toutes les données cliniques sont solides, cela représente une première pour le traitement de certaines maladies très graves » traduit la journaliste. J’ose espérer que ce n’est pas l’expert qui a dit cette énormité.
    On ne traite rien du tout avec cette technique, on évite que une naissance vouée à la mort quelques années plus tard.
    C’est plus qu’une différence de détail !
    #traduisonsles #manipulationgenetique #unenfantdemonsangatoutprix #technologiequirapporte

  • La cité oubliée de Loropéni | @cnrs Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/videos/la-cite-oubliee-de-loropeni

    Qui a bâti cette forteresse ? À quelle époque et dans quel but ? Protégée par des murs de 6 mètres de haut, sans accès apparent, cette enceinte du Sud-Ouest du Burkina Faso suscite plus de questions que de réponses. Dans cette vidéo diffusée en partenariat avec LeMonde.fr, suivez l’équipe pluridisciplinaire de chercheurs qui tente de percer les secrets de ces ruines mystérieuses.

    http://www.dailymotion.com/embed/video/x4tcyv6

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