#unrwa

  • Aucune preuve pour l’instant confirmant certaines allégations d’Israël contre l’#UNRWA (rapport Colonna) | ONU Info
    https://news.un.org/fr/story/2024/04/1144986

    Les autorités israéliennes n’ont pour l’instant fourni aucune preuve après avoir affirmé il y a trois mois qu’un nombre important d’employés de l’agence des Nations Unies chargée des réfugiés palestiniens (UNRWA) étaient membres d’organisations terroristes, selon le rapport final du groupe d’examen indépendant dirigé par l’ancienne ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna.

  • Finland to resume funding to UNRWA
    March 22, 2024 | Reuters
    https://www.reuters.com/world/finland-resume-funding-unrwa-2024-03-22

    HELSINKI, March 22 (Reuters) - Finland will resume funding to the U.N. Palestinian refugee agency UNRWA, its foreign trade and development minister said on Friday.
    Several countries, including the United States and Britain, paused their funding to UNRWA after accusations by Israel that a dozen of the agency’s 13,000 staff in Gaza took part in the Oct. 7 Hamas attack in Israel.
    “UNRWA improving its risk management, meaning preventing and initiating close monitoring for misconduct, provides sufficient guarantees for us at this point to continue our support” Foreign Trade and Development Minister Ville Tavio said.
    He told a press conference some of the Finnish money would be earmarked for risk management.
    Countries including Canada, Australia and Sweden have also restored funding to UNRWA, while several Gulf countries such as Saudi Arabia have increased funding.

    #IsraelFinlande #UNRWA

  • Sur la guerre de Gaza, la diplomatie française en quête d’une boussole, 20 décembre 2023 (Le Monde).
    https://archive.is/2023.12.20-134341/https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/20/sur-la-guerre-de-gaza-la-diplomatie-francaise-en-quete-d-une-boussole_620690

    Le Quai d’Orsay, qui avait été court-circuité, est subitement remobilisé. Feu la « coalition anti-Hamas » a été rebaptisée « initiative pour la paix et la sécurité pour tous ». Et il s’agit de lui donner de la substance. Trois axes de travail sont identifiés : l’humanitaire, le sécuritaire et le politique, avec la relance de la solution à deux Etats. Le premier volet débouche sur la conférence internationale du 9 novembre, à Paris. Emmanuel Macron a mis la pression sur ses équipes pour monter l’événement en moins d’une semaine. Lors des préparatifs, il s’est agacé de l’absence annoncée du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et a lui même sollicité plusieurs dirigeants, comme le président kényan, William Ruto, qui ne viendra pas non plus.

    A l’ouverture des débats, le chef de l’Etat réclame une « pause humanitaire très rapide » et appelle à « œuvrer à un cessez-le-feu ». Des formules encore empreintes de prudence et qui, aux yeux de nombreux participants, dont les ONG représentées, ne sont pas à la hauteur du carnage en cours à Gaza, où l’on compte désormais 10 000 morts et 700 000 déplacés. « Comment aider Gaza sans cessez-le-feu ? L’humanitaire ne peut pas aller sans le politique », déplore Hugh Lovatt, spécialiste du conflit israélo-palestinien au European Council on Foreign Relations, à Berlin.
    Lors des discussions, qui permettent de collecter un milliard d’euros, M. Lazzarini, qui revient d’une première visite à #Gaza destinée à soutenir les employés de l’#UNRWA traumatisés par la mort de près d’une centaine d’entre eux sous les frappes israéliennes, fait un discours remarqué. « Mon collègue Farid est le chef de notre département éducation, raconte le commissaire de l’ONU. Lorsqu’il rencontre des élèves, dans nos abris, ils lui demandent pourquoi nous investissons tant de temps à leur enseigner les droits de l’homme si ces valeurs ne s’appliquent pas à eux. Que doit-il leur répondre ? »

    « Formule magique »
    Le lendemain, plus d’un mois après le début de la guerre, l’horreur des bombardements sur Gaza fait irruption dans le langage du président. (...)

    #Israël #France

  • L’Australie va reprendre son financement de l’Unrwa
    Agence France-Presse | Vendredi, 15 mars 2024 | JDM
    https://www.journaldemontreal.com/2024/03/15/laustralie-va-reprendre-son-financement-de-lunrwa

    « La nature de ces allégations justifiait une réponse immédiate et appropriée », a déclaré vendredi la ministre australienne des Affaires étrangères Penny Wong, dont le pays finance l’Unrwa à hauteur de quelque 3,7 millions d’euros.

    « L’avis actuel des agences et des avocats du gouvernement australien est que l’Unrwa n’est pas une organisation terroriste (...) Après examen par le comité sur la sécurité nationale cette semaine, l’Australie reprend (sa) contribution » à l’organisation, a annoncé la ministre.

    « Je sais que des gens meurent de faim à Gaza » et « que l’Unrwa est essentielle pour fournir (une) aide aux personnes qui sont au bord du gouffre », a ajouté Mme Wong.

    Une quinzaine de pays, notamment les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et le Japon, ont suspendu leur financement fin janvier pour un total de 450 millions de dollars - l’équivalent de plus de la moitié des fonds reçus en 2023.

    L’ONU s’est séparée des employés accusés encore vivants et une enquête interne a été lancée. En parallèle, son secrétaire général Antonio Guterres a confié à un groupe indépendant une mission d’évaluation de l’Unrwa et de sa « neutralité ».

    Avant l’Australie, le Canada et la Suède ont également annoncé la reprise de leur financement de l’Unrwa, provoquant la colère du gouvernement israélien.

    L’agence onusienne emploie environ 13 000 personnes dans la bande de Gaza.

    #Unrwa

  • Guerre Israël-Hamas : pays hôtes des réfugiés palestiniens, le Liban et la Jordanie s’inquiètent d’une suspension des services de l’UNRWA
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/03/03/guerre-israel-hamas-pays-hotes-des-refugies-palestiniens-le-liban-et-la-jord

    Guerre Israël-Hamas : pays hôtes des réfugiés palestiniens, le Liban et la Jordanie s’inquiètent d’une suspension des services de l’UNRWA
    Par Laure Stephan (Beyrouth, Amman, envoyée spéciale)
    Dans le camp de réfugiés palestiniens Al-Hussein, à Amman, des enfants marchent vers l’école, dans le froid matinal, le long de la rue principale où les commerces sont encore endormis. Des élèves restent emmitouflés dans leurs manteaux, dans les classes de l’établissement scolaire pour filles géré par l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens. Les salles ne sont pas équipées de chauffage, et la peinture aux murs est vétuste – depuis des années, l’agence fait face à des coupes budgétaires –, mais cela semble désormais secondaire. Depuis que seize pays donateurs ont gelé leurs financements à la suite des accusations israéliennes d’implication dans l’attaque du Hamas du 7 octobre de douze de ses employés, sur les 13 000 à Gaza, c’est la poursuite même des opérations d’éducation et de santé de l’UNRWA qui est menacée.
    L’agence, tributaire de contributions volontaires et instables, dont les quartiers généraux sont basés à Amman, navigue à vue, et a alerté contre le risque d’une cessation prochaine de ses activités dans toute la région, en l’absence de nouvelles ressources.
    La Jordanie a très vite réagi à ces coupes. Le chef de la diplomatie, Ayman Safadi, a appelé les pays boycotteurs à revoir leur décision, qu’il a décrite comme une « punition collective » de l’UNRWA entreprise « sur la base d’allégations ». Le roi Abdallah II a pris la défense de la mission de l’organisation lors de déplacements officiels dans des pays occidentaux.
    Plus de 2 millions de réfugiés palestiniens vivent dans le royaume, dont la plupart ont obtenu la nationalité jordanienne. A Amman, moins d’un sur cinq habite l’un des dix camps de réfugiés palestiniens, qui ressemblent à des quartiers populaires, intégrés à la ville et sont administrés par les autorités. « Certains y restent par attachement sentimental ou volonté de rester près de leurs familles et amis. D’autres le font car la vie y est moins chère », décrit Imad, un habitant du camp Al-Wehdat, à Amman.
    Ces camps sont « déjà considérés comme des poches de pauvreté. Si l’UNRWA cesse ses services, la situation se détériorera davantage », prédit l’avocate Samar Muhareb, à la tête de l’ONG Arab Renaissance for Democracy and Development, qui fournit une aide juridique à des réfugiés de diverses origines et travaille sur la question palestinienne. Elle ajoute : « Dans l’éventualité où ses opérations seraient transférées à d’autres agences des Nations unies, celles-ci auraient besoin de temps pour être opérationnelles. Ce scénario paraît absurde, alors que l’UNRWA existe comme agence spécialisée. Et si l’éducation ou la santé devenaient du ressort de la Jordanie, cela serait un poids supplémentaire pour le pays », qui dépend également de l’aide internationale, et accueille par ailleurs de nombreux réfugiés syriens. Les classes des écoles publiques sont surchargées, et la qualité du système éducatif s’est dégradée. L’enseignement des établissements de l’UNRWA est réputé meilleur : des élèves du camp Al-Hussein rapportent ainsi que leurs familles ont préféré les y scolariser, quand bien même elles vivent hors du camp.
    Les risques d’une détérioration sociale, attisant des troubles, sont également pris au sérieux au Liban, pays d’accueil d’environ 250 000 réfugiés palestiniens. Depuis l’exode forcé de leur terre en 1948, lors de la création d’Israël, les générations y ont fait l’expérience de fortes discriminations, avec l’interdiction d’exercer certains métiers, comme médecin, avocat ou journaliste. L’UNRWA négociait avec Beyrouth sur un assouplissement des restrictions à l’emploi et une amélioration des infrastructures des camps. Mais l’effondrement économique du pays, depuis 2019, a mis fin à ces espoirs.
    Avec le chômage et l’hyperinflation, la crise a davantage paupérisé les habitants des camps. « Les réfugiés palestiniens sont devenus totalement dépendants des services de l’UNRWA », constate Dorothee Klaus, directrice de l’agence au Liban. « Une suspension des services de l’UNRWA aurait des conséquences sociales dramatiques, et poserait des défis sécuritaires », estime Bassel Al-Hassan, directeur du comité de dialogue libano-palestinien, un bureau qui dépend du premier ministre. Les autorités craignent une déstabilisation des camps. « Nous demandons aux bailleurs de dissocier la situation au Liban de celle d’autres pays, en raison de la crise économique », plaide-t-il.

    #Covid-19#migrant#migration#gaza#israel#conflit#liban#jordanie#refugie#UNRWA#sante#pauvrete#camp#crise#exil#discrimination

  • L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/17/l-egypte-construit-une-zone-de-securite-dans-le-sinai-en-prevision-d-un-even

    L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza
    Par Hélène Sallon (Beyrouth, correspondante)
    Dans le Sinaï égyptien, le long de la frontière avec la bande de Gaza, entre les terminaux de Rafah et de Kerem Shalom, des engins de chantier aplanissent le sol d’une étroite bande de terre. Des images satellites, analysées par l’agence Associated Press vendredi 16 février, montrent que des travaux sont en cours dans ce périmètre. Des grues et des camions y sont visibles. Des barrières de béton ont été dressées pour ceinturer cette zone d’environ 20 kilomètres carrés.
    Selon l’ONG Sinai Foundation for Human Rights, qui a révélé l’existence de ce chantier le 12 février, l’endroit est destiné à accueillir des réfugiés palestiniens, dans l’éventualité où l’Egypte devrait faire face à un exode massif depuis Gaza. Des entrepreneurs locaux ont dit à l’ONG avoir été chargés des travaux par l’entreprise Sons of Sinai, propriété de l’homme d’affaires Ibrahim El-Argani, proche de l’armée égyptienne. Il est prévu que des murs de 7 mètres de haut soient construits, sous la supervision du génie militaire, et sous forte présence sécuritaire.Des sources égyptiennes ont confirmé, sous couvert de l’anonymat, au Wall Street Journal l’aménagement d’une zone de sécurité, pouvant accueillir jusqu’à 100 000 personnes. Une source égyptienne indique au Monde que la peur de faire face à un afflux de déplacés en cas d’offensive israélienne sur la ville de Rafah explique cette décision. Le chef des services de communication de l’Etat, Diaa Rashwan, a toutefois nié l’existence d’un tel projet. Il a rappelé que l’Egypte s’oppose à tout déplacement forcé de Gazaouis sur son territoire du fait de la guerre entre Israël et le Hamas dans l’enclave palestinienne.
    Ce scénario pourrait cependant se matérialiser si le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, mettait à exécution sa menace, agitée depuis le 7 février, de lancer une offensive sur Rafah, qui est devenue le dernier refuge de plus d’1,4 million de Gazaouis. « La décision de lancer l’offensive sur Rafah n’a pas été prise. Nétanyahou souhaite en faire un moyen de pression dans les négociations de trêve avec le Hamas. Mais s’il n’y a pas d’accord, il sera difficile pour les Israéliens d’éviter une offensive », estime Laure Foucher, spécialiste du Moyen-Orient à la Fondation de recherche stratégique (FRS).
    Le Caire et Washington exhortent Israël à renoncer à cette opération, invoquant des « conséquences humanitaires dévastatrices ». Ils exigent qu’un plan d’évacuation des déplacés de Rafah vers le nord de l’enclave soit mis sur pied. Vendredi, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a assuré qu’« Israël n’a pas l’intention d’évacuer des civils palestiniens vers l’Egypte », ni de mettre en danger l’accord de paix signé en 1978 avec Le Caire. L’armée israélienne n’a toutefois pas dévoilé de plan pour la prise en charge des civils palestiniens dans le nord de l’enclave, qu’elle a réduit à l’état de ruines. (...)
    La perspective d’un déplacement des Palestiniens dans le Sinaï suscite des inquiétudes. « En cas d’afflux massif, cette zone pourrait rapidement ressembler à un camp de concentration. Et, il n’y a aucune garantie qu’ils pourront revenir à Gaza », déplore l’expert palestinien. Les Palestiniens craignent qu’Israël ne cherche à provoquer une seconde Nakba (« catastrophe »), le nom donné à l’exode forcé de 700 000 Palestiniens, lors de la création d’Israël en 1948. Des réfugiés qui n’ont jamais pu rentrer sur leurs terres.
    « Une nouvelle crise des réfugiés signerait l’arrêt de mort d’un futur processus de paix », a alerté Filippo Grandi, le directeur de l’agence des Nations unies en charge des réfugiés (HCR), dans un entretien à la BBC vendredi. Le chef du HCR a appelé à « éviter à tout prix » un exode des Palestiniens vers l’Egypte, estimant qu’une fois sortis de Gaza, les réfugiés ne pourraient plus y retourner. Le HCR et l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des déplacés palestiniens, disent ne pas être impliqués dans des préparatifs pour l’accueil de réfugiés palestiniens dans le Sinaï.

    #Covid-19#migrant#migration#gaza#israel#sinai#refugie#guerre#palestine#nakba#sante#camp#HCR#UNRWA

  • Lazzarini: Israel is out to destroy UNRWA - Lebanon News
    https://www.lbcgroup.tv/news/israelgazawar/754955/lazzarini-israel-is-out-to-destroy-unrwa/en

    #UNRWA head Philippe Lazzarini said on Saturday that Israel is waging a concerted campaign aimed at destroying the UN agency for Palestinian refugees, with his resignation being part of the Netanyahu government’s push.

    “Right now, we are dealing with an expanded, concerted campaign by Israel aimed at destroying UNRWA,” he told the Swiss newspaper group Tamedia.

    "It is a long-term political goal because it is believed that if the aid agency is abolished, the status of the Palestinian refugees will be resolved once and for all – and with it, the right of return. There is a much larger political goal behind this.

    “Just look at the number of actions Israel is taking against UNRWA,” he said, citing moves to remove the agency’s VAT exemption and orders for contractors at Israel’s port of Ashdod to “stop handling certain food deliveries for UNRWA.”

  • Guerre à #Gaza : un député libéral clé critique la politique du gouvernement Trudeau | Proche-Orient, l’éternel conflit | Radio-Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049545/depute-liberal-oliphant-critique-gouvernement-trudeau-guerre-gaza

    Pendant cette conversation, il a estimé que supprimer le financement de l’#UNRWA n’était pas justifié.

    Quand j’ai lu que nous suspendions les fonds versés à l’UNRWA – je vais être très clair – c’était pour des raisons politiques. Et je ne parle pas seulement de politique intérieure. Cela concerne nos alliés, a déclaré Oliphant à son interlocuteur.

    #canada

  • L’UNRWA, un témoin indésirable ? (Le Monde diplomatique, février 2024)
    https://www.monde-diplomatique.fr/telex/2024-02-UNRWA

    Office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens, l’United Nations Relief and Work Agency est créé le 8 décembre 1949 par l’Assemblée générale des Nations unies. Cette création intervient près d’un an après le vote de la résolution 194, qui stipule le droit au retour des Palestiniens réfugiés. La reconnaissance de cette résolution (jamais entrée en vigueur) a permis à Israël d’intégrer les Nations unies. Prévu pour être un organisme temporaire, l’Unrwa, qui a commencé à fonctionner en mai 1950, existe toujours, puisque le dossier des #réfugiés_palestiniens reste ouvert. Conformément au mandat initial, l’éducation, la santé et les services sociaux sont ses principales missions.

    Avec la guerre de 1967 et les nouveaux transferts de population, son mandat s’est étendu à ces nouveaux « déplacés ». Après la signature des accords d’Oslo*, un Peace Implementation Program a été élaboré, censé aider au développement des territoires palestiniens. Les conditions économiques liées en particulier à la non-application des accords et aux bouclages multiples hypothèquent l’essentiel des objectifs de ce programme. L’Unrwa recense un peu plus de trois millions quatre cent mille réfugiés inscrits, dont près de un million trois cent mille en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

    #UNRWA

  • Après Sky News, un autre média islamiste conclue à l’absence de preuves

    Head of UN agency for Palestinians defies Israeli calls to quit
    https://www.ft.com/content/e326a1d3-7b45-4609-8179-dfb6a66abae9

    The intelligence assessment, which has been seen by the FT, provides no evidence for the claims , which it says are based on smartphone intercepts and captured identity cards. But the US has said it found them “highly, highly credible”.

    #UNRWA

    • Il n’y a pas seulement les mille morts des uns et les dizaines de milliers de morts des autres. Il y a aussi “les bébés en plastique” (Merci C. #Estrosi) , les “faux chiffres du #Hamas” (merci C. #Fourest et… Léa #Salamé) , les postes de commandement cachés sous les hopitaux, les 40 nourrissons décapités et autres femmes éventrées (Merci président #Biden), “l’armée la plus morale” vs “les barbares”, les dizaines d’ “otages” des uns et les milliers de “terroristes incarcérés” des autres. Il y a enfin l’indécent “silence des autruches”, c’est-à-dire de ceux qui sont plus respectueux de la “distance scientifique” que de la vie et de la mort de leurs collègues palestiniens.
      L’actualité gazaouie n’en finit pas d’enfouir les élites européennes sous une surenchère nauséabonde de mépris des morts et des mots. Le festival de mensonges des Israéliens et l’aveuglement de leurs sponsors occidentaux sont couronnés depuis peu par une félonie ultime : l” ambition d’asphyxier financièrement les sauveteurs de l’#UNRWA.
      La #Macronie politique et médiatique a sombré. Sa France danse sur la montagne de cadavres des enfants de #Palestine. Elle imprime sur l’histoire de France une tache noire et nauséabonde qui restera indélébile.

      Déjà trop de morts et plus assez de mots.

  • 7 février 2024 - 21h40 - RFI
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240207-en-direct-gaza-isra%C3%ABl-%C3%A9tudie-la-r%C3%A9ponse-positive-du-hama

    La Norvège annonce le versement de 24 millions d’euros supplémentaires à l’Unrwa

    Oslo, l’un des grands donateurs de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens qui a maintenu son aide, a annoncé ce mercredi le versement de 275 millions de couronnes (24 millions d’euros) à l’agence face à la situation « catastrophique » au Proche-Orient.

    « L’Unrwa est bien plus qu’une organisation humanitaire. Elle représente un engagement de la communauté internationale à satisfaire les besoins de base des réfugiés palestiniens jusqu’à ce qu’une solution politique au conflit soit trouvée », écrit le chef de la diplomatie Espen Barth Eide dans un communiqué. « Il est totalement hors de question pour la Norvège de renoncer à cet engagement à un moment où Gaza est, pour l’essentiel, en ruines », ajoute-t-il.

    Les allégations portées contre des employés de l’Unrwa « sont choquantes, ajoute le ministre, et nous exigeons une pleine transparence. Il ne doit y avoir aucune tolérance pour de telles actions. » « Toutefois, conclut Espen Barth Eide, nous ne devrions pas punir collectivement des millions de personnes pour les agissements présumés de douze membres du personnel. » Et d’appeler les autres bailleurs à « réfléchir aux conséquences » de la suspension de leur financement.

    #IsraelNorvège
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    5 février 2024 - 11h20
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240205-en-direct-israel-gaza-combats-sans-rel%C3%A2che-blinken-attendu-dans-r%

    L’Espagne va envoyer à l’Unrwa une aide supplémentaire de 3,5 millions d’euros

    L’Espagne va envoyer à l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) une aide supplémentaire de 3,5 millions d’euros, a déclaré lundi le ministre des Affaires étrangères, Jose Manuel Albares, aux législateurs.

    Les principaux donateurs de l’Unrwa, dont les États-Unis et l’Allemagne, ont suspendu leur financement après l’apparition d’allégations selon lesquelles une douzaine de ses dizaines de milliers d’employés palestiniens étaient soupçonnés d’être impliqués dans les attentats du 7 octobre en Israël perpétrés par le Hamas.

    « La situation de l’Unrwa est désespérée et il existe un risque important que ses activités humanitaires à Gaza soient paralysées dans les prochaines semaines », a expliqué le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares.

    #IsraelEspagne
    #UNRWA

  • 5 février - 12h19 - RFI
    L’Unrwa accuse Israël d’une frappe navale sur un convoi humanitaire
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240205-en-direct-israel-gaza-combats-sans-rel%C3%A2che-blinken-attendu-dans-r%

    Ce lundi, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a accusé l’armée israélienne d’une frappe navale sur un convoi d’aide alimentaire qui s’apprêtait à entrer dans le nord de Gaza, où elle est en guerre contre le mouvement islamiste palestinien Hamas. « Heureusement, personne n’a été blessé », a ajouté sur X (ex-Twitter), Thomas White, responsable de l’agence au sein du territoire palestinien. L’armée israélienne contrôle entièrement l’espace maritime qui borde la bande de Gaza, en Méditerranée.

    #Gaza this morning a food convoy waiting to move into Northern Gaza was hit by Israeli naval gunfire - thankfully no one was injured@UNRWA pic.twitter.com/1kvShgX6MG
    — Thomas White (@TomWhiteGaza) February 5, 2024

    #UNRWA

  • Déclaration sur les récentes menaces sur l’UNRWA et sur le passage d’une possible complicité à un engagement direct dans le crime de génocide contre les Palestiniens de la part de plusieurs pays.

    Posted on février 5, 2024 | Lemkin Institute for Genocide Prevention (LIGP) | Traduction SF pour l’AURDIP| Traduction SK pour l’AURDIP| Traduction SM pour l’AURDIP

    https://aurdip.org/declaration-sur-les-recentes-menaces-sur-lunrwa-et-sur-le-passage-dune-possi

    L’Institut Lemkin pour la prévention du génocide est profondément préoccupé par la décision d’une coalition de plusieurs nations – les États-Unis et l’Allemagne, de concert avec l’Australie, l’Autriche, le Canada, l’Estonie, la France, l’Irlande, l’Italie, le Japon, les Pays-Bas, la Roumanie, la Suisse et le Royaume Uni – de suspendre le financement de l’Agence des Nations Unies pour l’aide aux réfugiés palestiniens de 1948 et leurs descendants (UNRWA). Cette grave escalade dans la crise à Gaza intervient à la suite du premier jugement de la Cour Internationale de Justice en application de la Convention sur la Prévention et la Punition du Crime de Génocide dans la bande de Gaza (Afrique du Sud vs Israël), dont nombreux sont ceux qui en espéraient un ralentissement du génocide. De plus, ce jugement représente un changement de la part de plusieurs pays d’une possible complicité dans le génocide à une implication directe dans la construction de la famine. C’est une attaque sur ce qui reste de sécurité personnelle, de liberté, de santé et de dignité en Palestine.

    L’Institut Lemkin pour la Prévention du Génocide (LIGP) reconnaît que cette décision peut avoir été prise à la hâte ou sans que les dirigeants nationaux n’aient été correctement conseillés et, si c’est le cas, nous incitons à une inversion. Si aucune inversion ne s’annonce, nous condamnons la décision de priver l’UNRWA de financement et, ce faisant, nous nous joignons à un consensus croissant de professionnels du droit international et de spécialistes du génocide qui mettent en avant que cette action équivaut à une participation accrue au génocide en cours des Palestiniens à Gaza et constitue à la fois une violation du récent jugement de la CIJ et des responsabilités des nations participantes sous l’égide de la Convention pour la Prévention et la Punition du Crime de Génocide (« la Convention sur le Génocide »). Nous avertissons en outre que le retrait du financement octroyé à l’UNRWA agit comme un point d’appui pour la diffusion d’actes génocidaires contre les Palestiniens de Gaza à d’autres zones critiques, où la vie des Palestiniens est mise en danger. En période de famine, procéder à une annulation permanente ou à une pause dans le financement place potentiellement en violation de la Convention sur le Génocide, des États qui ont précédemment versé des fonds. (...)

    #UNRWA #Génocide

  • U.S. admits it hasn’t verified Israel’s UNRWA claims, media ignores it – Mondoweiss
    https://mondoweiss.net/2024/02/u-s-admits-it-hasnt-verified-israels-unrwa-claims-media-ignores-it

    Les USA eux-mêmes qu’ils n’ont pas été en mesure de vérifier les accusations israéliennes contre quelques employés de l’UNRWA.

    (Tout le reste de l’article est intéressant.)

    On January 26, Israeli allegations against a dozen UNRWA employees surfaced. The agency immediately fired nine of them and said that two others were dead, hoping their swift and pre-emptive action would stave off rash U.S. actions. Nonetheless, the United States and a host of other countries immediately suspended funding for UNRWA, over the actions of 12 of over 30,000 employees, 13,000 of whom are in Gaza.

    It’s worth pausing over that last fact for a moment. Twelve out of 13,000 Gaza employees have caused all of this, and it’s based on evidence that has not been made public. You’d never know that from much of the media coverage, which is, once again, treating Israeli allegations as proven facts. Nor could you tell by the U.S. response. Secretary of State Antony Blinken stated, “We haven’t had the ability to investigate [the allegations] ourselves. But they are highly, highly credible.”

    That is a stunning statement. They are simply taking Israel’s word for it, and on that basis, they are suspending aid to nearly two million people who need that aid more than anyone in the world.

    Recall that Israel, in October 2021, labeled six Palestinian organizations as being connected to “terrorist groups,” specifically referring to the Popular Front for the Liberation of Palestine (PFLP). The “evidence” Israel presented was so threadbare that European countries dismissed it as baseless, and even the Biden administration, which has repeatedly supported Israeli claims based on no evidence that turned out to be false, could not accept the Israeli charges, though it avoided explicitly calling out Israel’s attempted deception.

    Yet now, Israel has presented a “dossier” that contains its case against the twelve UNRWA workers. The actual evidence has not been made public, and even the United States, as noted above, has admitted it can’t verify the Israeli claims. But the U.S. suspended UNRWA’s funding anyway and led seventeen other countries to follow suit.

    • Les occidentaux tiennent à participer au génocide des Palestiniens : armer Israël, soutenir économiquement Israël, diaboliser les Palestiniens ("guerre Israël-Hamas", Hamas terroriste mais Israël jamais, même pas criminel), suspendre le financement de l’UMRWA, seul fil de vie aux habitants de Gaza décimés par les bombardements, les tirs de snipers, la faim et les épidémies.

      La barbarie raciste européenne est de retour et cette fois avec les Etats-Unis.

      Les occidentaux massacrent également les états de droit (les lobbys sionistes font presque partout la loi) et effacent la Justice internationale en ignorant la décision de la Cour Internationale de Justice.

  • Conflit israélo-palestinien : le #CCOJB déplore la décision de la #Belgique de maintenir son financement de l’#Unrwa
    https://www.sudinfo.be/id785350/article/2024-01-31/conflit-israelo-palestinien-le-ccojb-deplore-la-decision-de-la-belgique-de

    Le Comité de coordination des organisations juives de Belgique (CCOJB) déplore ce mercredi la décision du gouvernement fédéral de maintenir son financement de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa).

  • Netanyahu says Unrwa’s mission must be ’terminated’
    31 January 2024 18:52 GMT| Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/netanyahu-says-unrwas-mission-must-be-terminated

    After alleging that several Unrwa staff members were involved in the 7 October attack, causing countries including the US to suspend funding to the group, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu is now calling for the aid agency’s mission to be eliminated.

    The call comes in contradiction with Israel’s close ally, the US, which has said that the agency’s mission to provide aid to Palestinians is vital.

    “It’s time for the international community and the UN itself to understand that Unrwa’s mission must be terminated,” Netanyahu said to visiting UN delegates, according to a statement from his office.

    “It seeks to preserve the issue of Palestinian refugees. We must replace Unrwa with other UN agencies and other aid agencies, if we want to solve the Gaza problem as we plan to do.”

    #UNRWA

  • #Francesca_Albanese, UN Special Rapporteur oPt sur X :
    https://twitter.com/FranceskAlbs/status/1752523189102530861

    Western governments have suspended #UNRWA funds due to serious ALLEGATIONS agst 12 staff.

    Same governments have not suspended ties with the state whose army has killed 26k ppl in Gaza in 3.5m,though ICJ said it may plausibly constitute #GENOCIDE.

    Double standards? Yes, big time.

    #communauté_internationale
    #nos_valeurs

  • L’#UNRWA a été créé parce que l’état sioniste et ses appuis avaient refusé que les réfugiés palestiniens soient pris en charge par l’ « Agence des Nations Unies pour les #réfugiés » (#HCR).

    In waging war on the UN refugee agency, the West is openly siding with Israeli genocide
    https://www.jonathan-cook.net/blog/2024-01-30/war-un-refugee-israel-genocide

    UNRWA is separate from the UN’s main refugee agency, the UNHCR, and deals only with Palestinian refugees. Although Israel does not want you to know it, the reason for there being two UN refugee agencies is because Israel and its western backers insisted on the division back in 1948. Why? Because Israel was afraid of the Palestinians falling under the responsibility of the UNHCR’s forerunner, the International Refugee Organisation. The IRO was established in the immediate wake of the Second World War in large part to cope with the millions of European Jews fleeing Nazi atrocities.

    Israel did not want the two cases treated as comparable, because it was pushing hard for Jewish refugees to be settled on lands from which it had just expelled Palestinians. Part of the IRO’s mission was to seek the repatriation of European Jews. Israel was worried that very principle might be used both to deny it the Jews it wanted to colonise Palestinian land and to force it to allow the Palestinian refugees to return to their former homes. So in a real sense, UNRWA is Israel’s creature: it was set up to keep the Palestinians a case apart, an anomaly.

    Nonetheless, things did not go exactly to plan for Israel. Given its refusal to allow the refugees to return, and the reluctance of neighbouring Arab states to be complict in Israel’s original act of ethnic cleansing, the Palestinian population in UNRWA’s refugee camps ballooned.

  • #UNRWA Is A Threat To Israel’s Ethnonationalist Plan’ - UN Human Rights Lawyer #Craig_Mokhiber - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=1BdP7Hr4DT8

    Human Rights lawyer and former UN official Craig Mokhiber explains the real reason the U.S. is defunding UNRWA, why it’s a terrible decision and how it will cause Palestinians to suffer even more than they already are.

    Craig Mokhiber is a longtime international human rights lawyer who served as director of the New York Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights. He has resigned after publicly accusing the U.N. of failing to address what he calls a “text-book case of genocide” unfolding in Gaza. His resignation letter has gone viral.

  • Israel, Unrwa and the West: A history of claims and cuts
    By Alex MacDonald | Published date: 29 January 2024 | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/news/unrwa-budget-cuts-history-israel-west

    Palestinian refugees queue for food distributed by the UN Relief and Work Agency for Palestinian refugees at a camp in Gaza, 9 November 1956 (Rene Jarland/AFP)

    . (...) Such claims are heavily disputed by Unrwa and the UN more broadly, and with 13,000 staff in Gaza alone, the survival of the organisation could mean life or death for many of the enclave’s inhabitants.

    The campaign against Unrwa by Israel and its allies did not begin after 7 October, however, as Katz admitted.

    Middle East Eye takes a look at some of the earlier attempts to undermine the refugee agency:
    Why all the hostility?

    With more than 30,000 staff members, Unrwa is the largest UN body, operating across Syria, Lebanon, Jordan and the occupied Palestinian territories.

    Although initially created as a temporary measure to aid the displaced Palestinian people, the decades-long failure to resolve the refugee crisis meant many of the camps serviced by Unrwa have developed into full-blown neighbourhoods with permanent facilities, religious and educational bodies and essential services.

    Unrwa remains at the heart of these neighbourhoods, with 99 percent of its staff recruiting from the local population.

    The existence of a separate specific body for Palestinian refugees apart from the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) has long been criticised by Israel, with officials arguing that it has helped prevent the integration of the refugees in other Arab countries. (...)

    #UNRWA

  • Noam Peleg sur X :
    https://twitter.com/NoamPeleg/status/1751818821567123882

    Israel’s war against UNRWA didn’t start today, and it has nothing to do with Oct 7. It’s about Palestinian right of return .

    A short thread:

    In 2016, a right wing thing tank ’Kohelet’ published a “position paper” that labels UNRWA as an organisation that aids terror and therefore it should be eliminated and its workers should be prosecuted

    In 2017, Avigdor Liberam, then the Minister of Foreign Affairs, asked the US to stop funding UNRWA, citing Kohelet’s "concerns ».

    In 2018, Netanyahu was explicit about Israel’s motivations: “This is an organization that perpetuates the problem of Palestinian refugees, it also perpetuates the narrative of the right of return”.

    The tactic of labelling organisations as ’terror organisations’ isn’t new. 2 yrs ago Israel used it against 6 human rights org at the West Bank and demanded that the EU and others stop funding them.This call was rejected as no evidence were provided.

    #UNRWA #états-unis #leadership #génocide

    • Le lien sur la déclaration de Netanyahu (janvier 2018)

      נתניהו הודיע : « מקימים אי מלאכותי לחופי ישראל, חושב על זה עוד מ-96’ » | חדשות מעריב
      https://www.maariv.co.il/news/politics/Article-616831

      אם בקרוב ישראל תיכנס לרשימת הרשימות המצומצמת אשר מחזיקות באי מלאכותי? ייתכן מאוד. ראש הממשלה בנימין נתניהו, הודיע כי הוא מתכוון למנות צוות אשר יחל בעבודה על מנת לגרום לתוכנית הגרנדיוזית לקרות. נתניהו, אשר הציג את הכוונה לעשות זאת בפתח ישיבת הממשלה, טען כי הוא חושב על הרעיון במשך 20 השנים האחרונות, ולא הזכיר במילה אחת את השר ישראל כ"ץ, אשר דוחף את הנושא בשנים האחרונות.

      “אני מביא לממשלה אישור לצוות כדי שיקים אי מלאכותי לחופינו. ישראל היא אחד המקומות הצפופים בעולם. ההצעה הזאת צריכה לעזור להקים ליד חופי ישראל איים מלאכותיים שינתבו את העבודה לשם. זה דבר שאני חושב עליו מאז הקדנציה הראשונה שלי ב-96’ וזה נעצר בגלל ארגוני זכויות הסביבה והתכנון. ב-20 השנים האחרונות התפתחה הטכנולוגיה ויש היתכנות פיננסית וטכנולוגית. מיניתי את פרופ’ אבי שמחון שיעמוד בראש הצוות”.

      עוד לפני כן מתח נתניהו ביקורת על אונר"א, סוכנות הפליטים הפלסטינית, וטען כי היא צריכה לחלוף מהעולם: “אני מסכים לחלוטין עם הביקורת החריפה של הנשיא טראמפ על ארגון אונר”א. זהו ארגון שמנציח את בעיית הפליטים הפלסטינים, הוא גם מנציח את הנרטיב של זכות השיבה, כביכול, במטרה לחסל את מדינת ישראל ולכן אונר"א צריך לעבור מן העולם. זהו גוף שהוקם בנפרד לפני 70 שנה, רק לפליטים הפלסטינים, בשעה שיש את נציבות האו"ם לטיפול בבעיות יתר הפליטים בעולם. כמובן שהדבר הזה יוצר מצב שיש כבר נינים של פליטים שאינם פליטים שמטופלים על ידי אונר"א, ויעברו עוד 70 שנה ויהיו ניני-נינים - ולכן את האבסורד הזה צריך להפסיק. “אני הצעתי הצעה פשוטה, את כספי התמיכה לאונר”א צריך להסב בהדרגה לנציבות האו"ם לפליטים, עם קריטריונים ברורים לתמיכה בפליטות אמתית ולא בפליטות פיקטיבית כפי שהדבר קורה היום תחת אונר"א. את העמדה הזאת הבאתי לתשומת ליבה של ארצות הברית. זו הדרך להעביר את אונר"א מן העולם, ולטפל בבעיות פליטות אמתית, במידה שיוותרו כאלה".