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  • Droit à l’erreur : loi pour un État au service d’une société de confiance (ESSOC) | Le portail des ministères économiques et financiers
    https://www.economie.gouv.fr/droit-erreur

    Le droit à l’erreur, qu’est-ce que c’est ?
    Le droit à l’erreur repose sur un a priori de bonne foi : la charge de la preuve est inversée, il reviendra à l’administration de démontrer la mauvaise foi de l’usager.
    C’est la possibilité pour chaque Français de se tromper dans ses déclarations à l’administration sans risquer une sanction dès le premier manquement. Chacun doit pouvoir rectifier - spontanément ou au cours d’un contrôle - lorsque son erreur est commise de bonne foi.
    Le droit à l’erreur n’est toutefois pas une licence à l’erreur : il ne s’applique ni aux récidivistes ni aux fraudeurs. Le droit à l’erreur n’est pas non plus un droit au retard : les retards ou omissions de déclaration dans les délais prescrits n’entrent pas dans son champ d’application.

    En principe bientôt disponible sur le site https://oups.gouv.fr

    (et on notera au passage la présence massive de #big_brother sur un site gouv.fr : fonts.googleapis.com, facebook.net, doubleclick.net aka Google marketing plateform, xiti.com... 17 trackeurs au total !)

    #droit_a_l_erreur #administration #tracking

  • Les anti-IVG ciblent les jeunes femmes grâce aux publicités sur Facebook
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/07/11/les-anti-ivg-ciblent-les-jeunes-femmes-grace-aux-publicites-sur-facebook_532

    « Je suis détruite à l’intérieur », « Je n’ai plus aucune pensée positive », « Même si les années passent (10 ans !)… je ne pense qu’à ça ! » : parmi les contenus sponsorisés par la page Facebook intitulée « IVG : vous hésitez ? Venez en parler ! », les témoignages se suivent et se ressemblent, dressant le portrait de femmes dépressives depuis leur avortement.

    Et pour cause : cette page est une extension, sur les réseaux sociaux, du site IVG. net, fondé par un couple de militants catholiques anti-avortement férus de numérique.

    En décembre 2016, Le Monde racontait déjà la manière dont Marie Philippe et René Sentis étaient parvenus à hisser IVG. net dans les premiers résultats de recherche Google pour les mots-clés « IVG » ou « avortement », devant le portail officiel IVG. gouv.fr, avec force publicités et travail sur le référencement de leur site.
    Cibler les jeunes femmes

    Depuis, Google a supprimé la possibilité de faire de la publicité sur cette thématique en France. Marie Philippe s’est donc concentrée sur un nouveau moyen de diffusion : cette page Facebook « IVG : vous hésitez ? Venez en parler ! ».

    La raison est simple : sur Facebook, il est possible de sponsoriser des contenus, de même que de les cibler en direction d’une audience bien précise, à partir de critères démographiques par exemple. En l’occurrence, ici, les jeunes femmes.

    Sur les douze témoignages sponsorisés le 4 juillet, neuf sont présentés comme provenant de femmes ayant moins de 25 ans lorsqu’elles ont appris leur grossesse. Dont une mineure.
    En réalité, ces photographies sont la plupart du temps issues de banques d’images

    Ces témoignages sont presque toujours accompagnés de photographies, qui, au premier abord, laissent croire qu’elles représentent les femmes citées. En réalité, ces photographies sont la plupart du temps issues de banques d’images. C’est ainsi qu’après une recherche dans ces banques, nous avons retrouvé les photographies en question. Elles étaient associées aux mots-clés suivants « adolescente en dépression », « adolescente en pleurs » ou encore « maux de tête ».

    #IVG #facebook #zuckerberk #catholicisme

  • dev.ggouv.fr
    http://dev.ggouv.fr/wiki/group/47/page/accueil

    Ggouv.fr
    Hacking citoyen au service de l’état.

    Ggouv ne veut rien dire, c’est du « typo-squatting ». En effet, depuis n’importe quelle page d’un site en gouv.fr, il suffit d’ajouter un g devant gouv.fr pour basculer sur la page correspondante sur ggouv.fr. Ce « lien symbolique » offre l’opportunité de compléter les pages des sites internet de l’état et d’aider ainsi le gouvernement dans sa mission de service citoyen.