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  • En « Facebook-pause » tar 23 minutter - Aftenposten

    Un papier avec quelques stats paru dans Aftenposten samedi :

    –- Au bureau, un message privé via Facebook ou email arrive en moyenne toutes les dix minutes. Si vous suivez votre première impulsion et que vous ouvrez le message pour lire, il y a de forte chance que vous enclenchiez un effet "domino" et que vous consultiez d’autres messages, d’autres profils, des photos, etc... une "pause Facebook" dure en moyenne 23 minutes avant que l’employé se remette à la tâche qu’il avait délaissée... (source : mashable.com)

    –- Au bureau, un employé sur dix passe plus de temps sur les réseaux sociaux que sur le travail pour lequel il est payé.

    –- Les étudiants passent en moyenne 3 heures par jour sur les réseaux sociaux

    –- Au bureau toujours, 6 employés sur dix avouent fréquenter les réseaux sociaux tous les jours.

    –- Les "pauses réseaux sociaux" reviendraient sept fois plus cher aux entreprises que les "pauses cigarettes" [mais dans ce calcul, il n’est pas pris en compte le fait que les médias sociaux peuvent être une source d’inspiration, nécessaire pour penser à autre chose avant de résoudre un problème difficile

    –- harmon.ie a essayé de chiffrer les "pertes" occasionnées par les fameuses "pauses" médias sociaux et arrive au chiffre de 10 300 dollars par salarié [mais je ne comprends pas très bien ce que ce chiffre veut dire, si c’est tous les salariés américains ou certains, etc...]. Ce chiffre est de toutes façons très violemment contesté par des chercheurs d’université : l’utilisation des médias sociaux au travail n’est pas forcément irrationnelle. Cecilie Staude, chercheuse à la Norwegian Business School (BI) à oslo dit : « on accuse les employés de voler du temps aux entreprises, les élèves d’être beaucoup moins attentifs en classe. Mais les détracteurs des médias sociaux méconnaissent totalement ces outils, ne prennent pas en compte les aspects très positifs qu’ils peuvent aussi avoir sur le travail. Il serait idiot d’imposer des limites à l’utilisation des médias sociaux au travail, ce serait vraiment marcher à reculons et refuser le progrès. la vie au travail, mais aussi ailleurs est de plus en plus imprégné de ces nouveaux outils qu’il faudra apprendre à intégrer pour que la communication sociale et les réseaux sociaux y trouvent une place naturelle. »

    Ne serait-ce aussi parce que ceux qui fréquentent les réseaux sociaux sont beaucoup plus vite informés que les autres, et de manière plus large.

    http://www.aftenposten.no/jobb/Slik-odelegger-Twitter-og-Facebook-din-arbeidsdag-7053111.html

    johnny gimmestad
    Publisert : 25.nov. 2012

    De nye digitale mediene, som skulle hjelpe oss å gjøre jobb og studier raskere og mer effektive, forstyrrer mer enn de effektiviserer.

    Det mener mange fagfolk, ikke minst i USA. Men Cecilie Staude på BI er ikke nødvendigvis enig.

    Hvert tiende minutt, i gjennomsnitt, får en personlig melding via sosiale nettverk som Facebook - eller i form av en e-post. Hva skjer om du velger å følge din første impuls og klikke på meldingen ?

    Da er sjansen stor for at du ikke nøyer deg med å lese det ene budskapet, men klikker videre til bilder, venners venner og andre forbindelser.

    Eller, hvis det er en e-post du mottar ; begynner å bla i uåpnede meldinger i en altfor full elektronisk postkasse.

    Hver gang du velger å la deg lede ut i elektronisk og sosial fristelse, så går det 23 minutter å komme tilbake til den arbeidsoppgaven du opprinnelig var i gang med, ifølge det anerkjente nettstedet mashable.com

    • Ils lisent, au moins pour certains, tout un journal, dans toutes ses thématiques et pas uniquement les informations transmises par leurs pairs ; par ailleurs, il y a, je pense, un nombre considérable de gens qui fréquentent les réseaux sociaux — facebook en particulier — qui ne partagent et à qui on ne partage rien qui puisse être considéré comme de l’information (ou alors dans une acception très large).