url:tomdispatch.com

  • Notes sur la “guerre des ouragans”
    http://www.dedefensa.org/article/notes-sur-la-guerre-des-ouragans

    Notes sur la “guerre des ouragans”

    21 septembre 2017 – Il ne fait aucun doute que l’excellent Tom Engelhardt n’est pas un ami de Trump ni des climatosceptiques. Cela fixé et sans qu’on se prononce en quelque manière sur la justesse ou la valeur de ces choix, il est indubitable que c’est un excellent analyste, menant avec pugnacité et dans l’honneur de la profession son site, TomDispatch.com, reconnu également pour la qualité de ses contributeurs. Michael Klare, chez Engelhardt, s’occupe essentiellement des questions d’énergie et toutes autres références proches, et notamment les questions climatiques. Professeur des questions de paix et de sécurité au Hampshire College et auteur de 14 livres, Klare est également un adversaire des thèses des eurosceptiques mais surtout un remarquable analyste des liens à (...)

  • Le film Zero Dark Thirty ou comment apprendre à aimer la torture (Tomdispatch.com) — Karen J. Greenberg
    http://www.legrandsoir.info/le-film-zero-dark-thirty-ou-comment-apprendre-a-aimer-la-torture-tomdi

    Le 11 janvier, 11 ans jour pour jour après l’ouverture de la célèbre prison de #Guantanamo par l’administration Bush, le #film Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow sur la chasse d’Oussama Ben Laden sort sur tous les écrans (aux Etats-Unis - NdT). A l’évidence, les producteurs et distributeurs ignorent tout de la signification de cette date – une illustration parfaite de l’insouciance et inconscience de ce film qui sera malheureusement perçu par de nombreux esprits Américains comme un documentaire historique.

    Le fait est que Zero Dark Thirty aurait pu être écrit par le cercle rapproché des conseillers à la sécurité nationale qui ont assisté le Président George W. Bush dans la mise en place de la politique post-11/9 qui a abouti à l’ouverture de la prison de Guantanamo et d’un réseau global de « sites noirs » clandestins et constituer dans la foulée tout un monde clandestin d’injustices et de tortures sordides – qualifiées par euphémisme de « techniques d’interrogatoires poussés ». C’est aussi un film qui aurait pu être promu (et il l’a d’ailleurs été) par l’administration Obama qui a défendu l’impunité pour de tels actes. Il aurait pu être intitulé « Retour vers le Futur, 4ème partie », car le film, comme la population à laquelle il s’adresse, semble être coincée pour toujours dans un espace-temps marqué par le désir de vengeance et d’orgueil qui a balayé le pays au lendemain des attentats du 11/9.

    #propagande