The Surprising Map of Plants
▻https://www.youtube.com/watch?v=ONVpFtiD-fo
Un mec qui fait des cartographies/visualisations d’un peu tout, avec commentaires détaillés en vidéo. Ici pour toutes les plantes.
The Surprising Map of Plants
▻https://www.youtube.com/watch?v=ONVpFtiD-fo
Un mec qui fait des cartographies/visualisations d’un peu tout, avec commentaires détaillés en vidéo. Ici pour toutes les plantes.
Planter d’abord, bâtir parfois
▻https://metropolitiques.eu/Planter-d-abord-batir-parfois.html
À l’est de Paris, une autoroute désaffectée laisse place à un #tramway. Comment réunifier des espaces composites et faire ville autour de ce nouveau sol ? Gwenaëlle d’Aboville et Lucie Brenon proposent de donner la priorité aux espaces publics et de considérer la trame plantée comme un invariant du projet. De Saint-Denis à Noisy-le-Sec, le tramway T1 transporte aujourd’hui 200 000 personnes par jour. Il offre une précieuse liaison tangentielle dans un univers de mobilités structuré en étoile autour de #Essais
/ #urbanisme, #projet_urbain, #végétalisation, tramway, #nature, #participation, #Seine-Saint-Denis
▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_daboville-brenon.pdf
Plants may absorb more #CO2 than thought, says new research.
▻https://www.newswise.com/articles/plants-may-absorb-more-co2-than-thought-says-new-research?sc=rsla
Newswise — New research published today in leading international journal Science Advances paints an uncharacteristically upbeat picture for the planet. This is because more realistic ecological modelling suggests the world’s plants may be able to take up more atmospheric CO2 from human activities than previously predicted.
Despite this headline finding, the environmental scientists behind the research are quick to underline that this should in no way be taken to mean the world’s governments can take their foot off the brake in their obligations to reduce carbon emissions as fast as possible. Simply planting more trees and protecting existing vegetation is not a golden-bullet solution but the research does underline the multiple benefits to conserving such #vegetation.
Comment les arbres ont conquis les villes
Nécessaires pour embellir et rafraîchir les villes, les arbres n’ont pas toujours été intégrés à l’urbanisme, explique l’historienne #Andrée_Corvol. Les révolutions sociales ont permis leur essor.
Depuis son appartement en banlieue parisienne, l’auteur de cet article contemple tous les jours un univers essentiellement minéral, composé de grandes tours d’habitation et de quelques bâtiments publics. Parmi ces blocs de béton se distinguent quelques arbres, essentiellement des marronniers, qui apportent une touche de vert bienvenue dans ce monde gris et marron et, l’été, une fraîcheur indispensable dans cet îlot de chaleur urbaine. Aussi rares et chétifs soient-ils, ces arbres parviennent à rendre supportable la vie dans un quartier densément peuplé, d’où toute nature a disparu depuis l’industrialisation de la ville au XIXe siècle.
Ces marronniers s’inscrivent dans une longue lignée d’#arbres_urbains, retracée par l’historienne Andrée Corvol, spécialiste du végétal, dans L’Arbre dans la cité (éd. Le Pommier). Depuis son apparition systématique dans les villes françaises à l’orée du XVIIe siècle, l’arbre a toujours tenu le même rôle : rendre humainement vivables des villes de plus en plus denses, à mesure que les campagnes et les espaces naturels s’en éloignaient.
Si la prose touffue d’Andrée Corvol tend, telle la sylve, à s’égarer en branches et rameaux, on peut néanmoins résumer à grands traits cette intégration du végétal au panel des outils d’aménagement à destination des autorités locales en France. Car c’est bien d’un outil qu’il s’agit, et ce, dès l’époque moderne.
Alors que la ville française médiévale comportait peu d’arbres — sinon quelques-uns sur le parvis de l’église et d’autres sur les remparts, pour gêner les tirs adverses en cas de siège —, les autorités municipales des XVIIe et XVIIIe siècles confrontées à l’essor démographique de leurs villes respectives décidèrent de les doter de nouveaux quartiers végétalisés.
Outre le sentiment de #fraîcheur que procuraient ces arbres — ormes, noyers et tilleuls pour la plupart —, les #plantations_urbaines offraient aux citadins un espace de #loisirs, des #promenades en famille jusqu’au #sport, en particulier le jeu de paume pratiqué à l’#ombre des cours et des mails, à l’instar de ceux structurant le centre-ville d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
Embellir... et maîtriser l’étalement urbain
À l’ère de l’#industrialisation et de l’#exode_rural vers la ville, les métropoles du XIXe siècle reprirent ces principes en les systématisant. Pour verdir les nouveaux boulevards qu’il perçait au beau milieu de la capitale, Georges-Eugène Haussmann, préfet de Paris sous Napoléon III, réorganisa le service des Promenades — ancêtre des Jardins — pour favoriser des plantations homogènes, après des décennies d’essais erratiques et désordonnés, peuplant ainsi la métropole de platanes et #marronniers. Comme souvent, les capitales régionales imitèrent l’exemple parisien et se dotèrent à leur tour d’avenues et cours végétalisés.
Mais le tournant eut cependant lieu entre 1919 et 1924, avec l’adoption des #lois dites « #Cornudet ». À la différence des initiatives municipales antérieures, ces textes législatifs, les premiers en matière d’urbanisme en France, proposaient un encadrement national à travers un #Plan_d’aménagement_d’embellissement_et_d’extension (#PAEE) obligatoire pour les villes de plus de 10 000 habitants.
Comme le résume Andrée Corvol, ces lois répondaient à la contradiction engendrée par la croissance urbaine : « Laisser les cités se densifier, c’était condamner leur #verdure intramuros. Laisser les cités s’étaler, c’était la réduire extramuros. » En somme, le PAEE envisageait la maîtrise d’un étalement urbain anarchique à travers une #végétalisation programmée des nouveaux quartiers et non ajoutée après coup de manière à les embellir.
Au demeurant, le PAEE n’empêcha pas la construction à la va-vite, tout au long des Trente Glorieuses, d’ensembles minéraux destinés à reloger en urgence les déplacés de la Seconde Guerre mondiale. Le végétal servait alors à procurer bien-être et bien-vivre à des citadins toujours plus nombreux, en leur camouflant les désagréments des villes industrielles. Ainsi, à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), le parc des Chanteraines et ses 82 hectares dissimulent aux promeneurs les usines de béton qu’on verrait autrement depuis les immeubles d’habitation.
L’arbre source de #conflits
Toutefois, l’adoption des arbres en ville ne se fit pas sans heurts. Au contraire, la plantation, l’emplacement ou le type d’essence nourrirent durant quatre siècles un ensemble de contestations qui se déployèrent autour des arbres, pris comme emblèmes ou point de départ d’un conflit.
Andrée Corvol parvient de la sorte à brosser une surprenante histoire de la #Révolution_française à travers ses arbres fétiches : aux « #arbres_de_mai » plantés spontanément en 1789 par des villageois enthousiastes succédèrent l’année suivante les arbres de la Fédération, impulsés par le marquis de La Fayette et les partisans de la monarchie constitutionnelle, puis, en 1792, les arbres de la liberté, destinés à enraciner, de manière physique et symbolique, la nouvelle République.
Au cours de la période révolutionnaire, les arbres subirent tout autant que les humains les brusques changements de pouvoir. Ainsi, les peupliers plantés par les jacobins, qui rapprochaient naïvement populus et « petit peuple », furent souvent pris pour cible par les opposants à la Terreur, qui manifestaient au travers d’écorces mutilées ou brisées leur dissidence. Face à pareil conflit, le Directoire, le Consulat puis le Premier Empire tentèrent de finir la Révolution en aménageant des promenades urbaines pour calmer les esprits en offrant de nouveaux espaces de détente.
Ces conflits politiques se doublaient en outre de conflits de classe. Dans le Paris haussmannien, les quartiers cossus réservaient « leurs » arbres aux nourrices et en chassaient les vagabonds, tandis que les quartiers ouvriers les gardaient pour leurs familles, au détriment des jeunes. En somme, « l’arbre était au centre de revendications territoriales. Il en supportait les conséquences sociétales, tout comme l’arbre de la liberté, les conséquences politiques ».
Les investisseurs ont droit de vie ou de mort
À ces combats s’ajoute une question cruciale : qui paye les plantations ? Les différents régimes issus de la Révolution, optimistes, crurent fidéliser les citoyens à leur cause en leur faisant financer eux-mêmes les nouvelles plantations urbaines. Peine perdue : versatile, seule une fraction de citoyens payait — et encore lorsque les fonctionnaires les y pressaient. Le volontarisme citoyen ne fonctionne qu’en de rares occasions et sur des points bien précis. En décembre 1999, une souscription populaire à la suite des tempêtes Lothar et Martin permit certes de financer la replantation des jardins du château de Versailles, mais les 2 millions d’arbres brisés en Seine-et-Marne ne connurent pas autant de succès.
Au XIXe et XXe siècles, ce furent donc surtout les municipalités qui payèrent les plantations et leur entretien. Mais, hormis Paris et quelques grandes villes, beaucoup d’entre elles, par manque de fonds, privilégièrent des essences communes et connues de tous — le chêne, le marronnier, le platane, etc. — au détriment d’une réelle biodiversité végétale.
En tant qu’investisseurs, les édiles se réservaient aussi le droit d’abattre les arbres lorsqu’ils les jugeaient vétustes ou faisant obstacle à de nouveaux projets d’aménagement, quitte à s’aliéner une partie de leurs administrés, témoin la bataille qui opposa plusieurs semaines en 2018 les habitants de la Plaine à la municipalité marseillaise.
Ce dernier exemple illustre le peu de poids des arbres en ville. À peine mieux traités que du mobilier urbain par les services d’aménagement, ils furent forcés de s’acclimater, en dépit de leur métabolisme lent, au rythme de la ville moderne : tramway, métro, grands boulevards, éclairage nocturne, etc. Et, lorsqu’ils dérangeaient, on les abattait froidement.
On mesure l’ampleur du désastre aux quelques chiffres que consigne l’historienne : si, en 1895, le réseau routier national français comptait 3 millions d’arbres, soit 49 % des routes plantées, un siècle plus tard il n’en dénombrait plus que 250 000, soit 12 % des routes. En cause : le caractère accidentogène des arbres en bord de route… Quelques défenseurs des arbres émergèrent bel et bien dès le milieu du XIXe siècle, mais se consacrèrent pour l’essentiel aux massifs forestiers ou aux trognes des campagnes en voie de disparition, rarement aux plantations urbaines, trop évanescentes.
L’ouvrage achevé, une question se pose, à laquelle Corvol ne répond pas : qu’est-ce qu’une ville végétale digne de ce nom ? Si, comme le montre l’historienne, l’arbre a certes gagné sa place en ville, il s’agit d’une place strictement utilitaire, où la folie créatrice du sauvage n’a pas lieu d’être.
▻https://reporterre.net/Comment-les-arbres-ont-conquis-les-villes
L’arbre dans la cité : histoire d’une conquête (XVIIe-XXIe siècle)
Autrefois, l’arbre en ville était cantonné aux enclos vivriers, il n’ombrageait pas nos routes ni nos fleuves et nos canaux. Vivant plutôt à la campagne, il procurait bois, fruits, fibres et feuilles. Aujourd’hui, le végétal entre en force dans nos cités par trop minérales ; il améliore nos conditions de vie, protège le sol, régule la température, purifie l’air et atténue les bruits.
Comment l’arbre a-t-il conquis le pavé ? Cette histoire, moins utilitaire et monolithique qu’il n’y paraît, croise en fait celle de la modernité, et mérite d’être racontée. Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l’air, l’arbre s’y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté.
Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l’autorité, à améliorer l’aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections. Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l’arbre fait partie du roman national.
▻https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782746527393-l-arbre-dans-la-cite-histoire-d-une-conquete-xviie-x
#livre
La logique intenable du développement des territoires - La Grappe
▻https://lagrappe.info/spip.php?article454
De fait en métropole, personne ne s’occupe de l’entretient de son environnement : jardin ou espaces extérieurs, bâti, point d’eau, mangeoires, ..., car ce n’est pas l’affaire de celui qui loge là, ce n’est pas son « job » dirait-on, certains sont payés pour cela. Or ceci est symptomatique du fait que personne ne se sent responsable de prendre soin, comme partie intégrante, de son milieu : on ne tisse plus de relations avec l’environnement, car nous n’en faisons pas partie, nous ne sommes que des passagers dépossédés. Personne n’habite en métropole, les métropolitains ne font qu’y loger.
#urbanisme #métropole #métropolisation #urban_matters #habitation #logement #grands_projets
Et cela ne se joue pas que dans les métropoles.
En Hautes Corbières, la dépossession du territoire, l’espace dans lequel on vit toutes, a été planifiée et est effective depuis 20 ans : fermeture de la poste, suppression des bennes où l’on pouvait récupérer des objets déposés, mise sous la coupe de Véolia de la distribution de l’eau dans les villages, fermeture des petites écoles qui maintenaient le lien inter habitants (vieux et enfants), découpage avec tracé à la règle des espaces agricoles ou non agricoles, ou des parcs naturels etc. Tout cela a été fait sans aucune concertation, ou des simulacres de démocratie participative et imposé à la population « pour son bien ».
La conséquence que j’ai observé dans un petit village de ces Hautes Corbières c’est la soumission résigné et accepté à un mode de vie régit par d’autres et par des idéaux modernistes obsolètes comme celui du tout voiture : destruction de patrimoine comme celui de « la maison du pauvre* » ou des murs de 300 ans au profit de parkings au centre du village et de bitumage, alors que les espaces de jeux des petits enfants sont mis à l’extérieur du village.
Un exemple récent de comportement induit par cette dépossession constante, un samedi, un camion a laissé tomber des gravats sur la route sinueuse des corbières, mais personne ne va s’arrêter pour les enlever et éviter un accident à celleux qui rentreront de nuit parce que c’est à la DDE de le faire …
*La maison du pauvre nommait une petite maison construite pour permettre aux brassiers ou aux vagabonds de se loger.
Sans vouloir contester le fond du propos, sur l’absence d’implication dans l’entretien des espaces communs/partagés dans les métropoles (ou ailleurs) et la dépossession qu’elle traduit, il faut noter que les jardins privés des maisons individuelles sont au contraire très largement appropriés et entretenus. C’est d’ailleurs un argument mis en avant par ceux qui souhaitent relativiser le cout écologique et social de la périurbanisation. Voir par ex Eric Charmes dans « L’écologie politique contre les métropoles ? », La Vie des idées : ►https://laviedesidees.fr/L-ecologie-politique-contre-les-metropoles
il faut noter que les jardins privés des maisons individuelles sont au contraire très largement appropriés et entretenus.
C’est vrai mais après cela dépend ce qu’on entend par « entretenus », car pour beaucoup il s’agit encore trop souvent d’avoir un « jardin » qui ressemble au mieux à un terrain de golf et au pire à un décor de magazine (en minéralisant le tout avec graviers, pierres ou même bitume..., avec un coin d’herbe pour faire joli). Par chez moi le truc typique c’est l’étendue de pelouse et un arbre/arbuste au milieu.
Oui, en arrivant en zone rurale, on avait un fantasme de jardin… vite douché par la voisinnerie qui t’explique comment doit être TON jardin.
Et comme tu es locataire, le proprio est ravi de te forcer à en faire un terrain de golf. À tes frais, bien sûr.
Dégoutée à vie.
ça n’ira pas aussi vite que les modes vestimentaires mais ça peut changer, y compris parce que même des municipalités réacs ont pu parfois abandonner les pesticides pour leurs plantations (trop souvent renouvelées à grand frais, les annuelles servant à se médailler « ville fleurie ») et leur donner une allure plus « anglaise », plus libre, allant jusqu’à utiliser des graminées
Les hivers plus chauds font dormir les cultures au printemps. Et ce n’est pas une bonne nouvelle.
▻https://up-magazine.info/planete/biodiversite/108773-les-hivers-plus-chauds-font-dormir-les-cultures-au-printemps-et
Les températures exceptionnellement douces en automne et en hiver, dont nous faisons l’expérience renouvelée chaque année, ont une conséquence directe sur la #biodiversité : elle la dérègle. Les #végétaux en pâtissent et le dérèglement des cycles de #floraison est devenu un symbole fort du #dérèglement_climatique. Il n’existait jusqu’à présent que très peu d’études scientifiques sur ces événements de chaleur et leurs conséquences à long terme : quelle fatigue pour le végétal qui fleurit pour rien à l’automne ? Chacun sait, plus ou moins intuitivement, que la biologie a tendance à ralentir quand il fait froid et à accélérer quand il fait chaud. Selon cette logique, des températures plus élevées devraient stimuler la croissance des plantes. Mais les hivers plus chauds provoqués par le changement climatique semblent en fait nuire aux rendements de nombreuses cultures. De nouvelles recherches apportent des éléments de réponse à ces questions.
Les chercheurs ont cultivé du colza oléagineux d’hiver, ou canola, dans des chambres à température contrôlée et sur des parcelles agricoles et ont constaté que la plante passe par un état d’hibernation qui n’est « rompu » que si les plantes sont suffisamment refroidies.
#climat #agriculture #végétation #hiver #hibernation #montée_de_sève
Sur la #végétalisation des #villes et les #limites/#difficultés
On parle beaucoup végétalisation, et notamment plantation d’#arbres 🌳pour augmenter la #résilience des villes au #changement_climatique. À raison, bien sûr, mais on omet souvent un point : cette végétalisation est de plus en difficile.
On sait que les arbres en ville se comportent différemment d’à la campagne. Dans cette étude à Boston, on a constaté qu’ils poussent plus vite, et meurent plus tôt. Ils y meurent à tous les âges, avec in fine, une perte nette de stockage carbone !▻https://www.researchgate.net/publication/332952719_Live_fast_die_young_Accelerated_growth_mortality_and_turnove
La vie en ville comporte plus de contraintes : effet « d’ilôt de chaleur », espace trop petit pour les #racines, #sécheresse ou mauvais #drainage, #pollution, #piétinement et #tassement du sol...et mauvais traitements
Avec le changement climatique, les arbres récemment plantés sont particulièrement sensibles : périodes de sécheresse prolongées, #température intense et augmentation de l’évaporation...les #taux_de_mortalité peuvent vite grimper, jusqu’à 60-70 % dans certaines villes
Cela pose 3 gros #problèmes :
1) une perte d’#argent (souvent public)
2) une perte de #bénéfices_écosystémiques à long terme (un arbre planté, c’est de l’ombrage dans 20-30 ans)
3) une perte de #stockage_carbone, surtout si cet arbre vient en remplacement d’un arbre ancien
Il existe bien des solutions pour tenter de réduire cette mortalité :
– un meilleur choix d’espèces 🌳
– de bonnes pratiques de plantation (fosses à cavité par ex)
– un meilleur suivi : arrosage (outils connectés, sacs à réserve d’eau)
– une implication des citoyens...
Partout, les villes multiplient les annonces : « nous allons planter xx arbres ! ». Moi je préférerais qu’un élu me dise : « sur les 5 dernières années, nous avons réussi à faire survivre xx arbres »... les chiffres seraient peut-être moins impressionnants
De gros changements sont nécessaires dans les #pratiques des communes : amélioration de la place de l’arbre dans les décisions urbanistiques (peut-on réaliser des fosses plus grandes ?), choix des espèces plus adapté, formation des employés ou sous-traitants...
Mais cela amène surtout à se poser la question : ne doit-on pas tout faire pour préserver les arbres anciens, au rôle crucial dans la lutte contre le changement climatique ? 🌳 Évaluer TOUS les projets pour tendre vers un évitement des #abattages (hors raisons de sécurité)
Cela paraît d’autant plus important quand on connaît leur rôle dans le stockage carbone, en dehors de tous les services qu’ils procurent en ville (ombrage, refroidissement, biodiversité, santé...)
▻https://besjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/2688-8319.12197Je finirai par un point souvent ignoré à mon sens, car l’arbre est vu comme une fin en soi : le pied d’arbre est tout aussi important et, si la végétalisation n’est pas possible partout, elle devrait être bien envisagée partout où c’est possible👇
▻https://twitter.com/morethanweeds/status/1234451720417271813
A mettre en lien notamment avec cet article :
Planter des arbres en ville fait revenir les insectes
▻https://reporterre.net/Planter-des-arbres-en-ville-fait-revenir-les-insectes
Se fixer sur la #végétalisation_urbaine uniquement des arbres en ville permet aussi de zapper les toitures végétalisées qui devraient juste être obligatoires.
Les #sedums qui y poussent facilement résistent à la sécheresse, absorbent les pluies, forment une isolation thermique et en plus c’est beau. A Toulouse c’est toujours plus d’autorisation de bétonner avec à la clef trois misérables arbres de 2mètres plantés en guise d’"#espace_vert" et des #arbres qu’il y avait auparavant.
#adaptation_climatique
Oh que je suis d’accord, @touti !
Dans ce sens, j’ai notamment demandé à ajouter à l’ordre du jour de l’AG de mon immeuble, si il était possible d’avoir un devis pour végétaliser l’horrible toit de l’énorme espace de parking dans la cour de mon immeuble (construit en 1955) :
Réponse du syndic : « Vous savez, les propriétaires des parkings n’habitent pas toustes dans l’immeuble (donc ne peuvent pas bénéficier directement de plus de fraîcheur induite par la végétalisation), du coup, je peux demander un devis, mais je vous dis déjà que ça ne passera pas ».
@cdb_77 Je l’entends comme un déficit du politique (du « que faisons nous ensemble ? ») qui est désormais une machine de pouvoir à communiquer à la « population ».
A Toulouse, j’étais allée me renseigner à l’urbanisme (qui délivre les permis de construire donc) sur les toitures végétalisées , j’ai dû répéter 2 fois le mot, puis la sentence est tombée : « Désolée, on ne connait pas, rien n’est prévu dans ce sens ».
C’est pourtant une excellente idée @cdb_77 . Cette absence de « motivation » du syndic (qui pourrait pétitionner, écrire des lettres, faire pression, s’acharner) montre qu’ils ne comprennent pas les enjeux. Peut etre si une taxe sur les « îlots de chaleur urbains » était votée (national, ou municipal), les propriétaires se sentiraient bien plus motivés...
C’est quantifiable, il est facile de trouver des photos infra rouge de votre quartier.
Pendant longtemps, on a optimisé, le bâtit pour ses usages internes (et encore pas toujours très bien). A présent, on le pense aussi pour ses effets externes, car un bâtiment est nuisible, il faut prendre des précautions. Il est plus que temps que les vieux bâtiments entrent dans ces nouvelles considérations.
Une toiture végétalisée ne fait pas tout. C’est un plus, mais ca manque d’inertie thermique et de transpiration. C’est sûrement mieux qu’une tôle ou un danpalon. Mais rien ne remplace une foret.
Les restaurants de l’UGent proposeront moins de végétarien, les étudiants préfèrent la viande et le poisson Anne François - VRT
L’Université de Gand (Ugent) annonce qu’elle va réduire son offre en repas végétariens dans ses restaurants. Jusqu’à présent, la moitié des plats proposés étaient végétariens, mais dès la rentrée académique cette proportion passera à un quart. La plupart des étudiants continuent en effet à opter pour de la viande ou du poisson, ce qui oblige les restaurants universitaires gantois à jeter trop de nourriture végétarienne et complique encore leur situation financière déjà précaire.
L’UGent affirme vouloir mieux adapter l’offre à la demande des étudiants.
Ces derniers mois, elle a cherché des solutions en concertation avec les étudiants et le personnel pour rendre les restaurants universitaires financièrement plus viables et durables. La réduction de l’offre en plats végétariens est l’une des pistes adoptées.
Remplacer la viande de bœuf par du porc
Une enquête a indiqué que plus de 70% des clients des restaurants universitaires optent pour des repas non-végétariens, bien que la moitié des plats proposés soient végétariens. L’enquête a aussi révélé une certaine insatisfaction des clients. « Ils n’étaient pas contents de l’offre en poisson et souhaitent une plus grande variété dans la viande proposée ».
C’est la raison pour laquelle les restaurants de l’UGent proposeront dès la rentrée académique 75% de plats non-végétariens et seulement un quart de plats végétariens. Le Conseil social et le service des Repas ont également décidé de remplacer autant que possible la viande de bœuf par du porc. « L’utilisation du score d’impact écologique permet de conclure que la viande de bœuf (score 7/8) a un impact nettement supérieur à la viande de porc (score 5/6) », explique l’UGent.
Chaque repas servi par les restaurants universitaires gantois portera à l’avenir un score d’impact environnemental. Et les plats qui ont un score trop élevé ne seront tout simplement plus proposés.
Autre solution adoptée pour réduire les coûts des restaurants universitaires : ceux installés à la Dunantlaan et à la faculté de Sciences vétérinaires deviennent des cafétarias. Ils réalisaient en effet les moins bons chiffres d’affaires. Trop de nourriture devait y être jetée.
L’Université de Gand promet aussi une évaluation des changements au cours de l’année académique à venir, avec des adaptations à la clef, si nécessaire.
#MDR #végétarisme #mode #religion #idéologie #université #réalité #eelv ne lira pas.
Source : ▻https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2023/08/18/les-restaurants-de-lugent-proposeront-moins-de-vegetarien-les-e
#Inégalités_climatiques : comment les riches accaparent les #espaces_verts
Mediapart a réalisé une cartographie des #inégalités_sociales face aux canicules à #Lille, #Paris et #Marseille. Elle révèle que les espaces urbains végétalisés de ces métropoles ont été monopolisés par les plus #riches au détriment des #classes_populaires, assignées à vivre dans des quartiers surexposés aux #chaleurs_extrêmes.
►https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/120823/inegalites-climatiques-comment-les-riches-accaparent-les-espaces-verts
#inégalités #urban_matter #urbanisme #inégalités #canicule #chaleur #cartographie #visualisation
voir aussi :
Ilots de chaleur, la marque d’une #injustice_climatique (@visionscarto)
Aux États-Unis, une littérature abondante a démontré le lien entre inégalités sociales et inégalités climatiques : les quartiers les plus pauvres des grandes métropoles nord-américaines sont aussi les quartiers où l’effet d’ilot de chaleur est le plus important. Qu’en est-il en France ?
Dans l’article d’origine, une explication toute bête, pour Paris au moins :
« Actuellement, la question de l’entretien est fondamentale dans les aménagements urbains et les projets de rénovation, car cela a un coût, encore plus quand des villes sont sous pression austéritaire – comme beaucoup de communes de Seine-Saint-Denis, poursuit Matthieu Adam. Embaucher des jardiniers formés pour entretenir les arbres est plus cher que d’avoir un agent qui vient nettoyer une dalle au jet d’eau. Ce qui fait qu’en banlieue la végétation est moins présente. »
Par ailleurs, nombre de projets de rénovation proposent encore des aménagements très minéralisés, en partie pour réaliser de la prévention situationnelle. « En somme, ne pas planter des arbres est plus pratique pour laisser l’espace urbain ouvert afin de contrôler la population via des caméras de vidéosurveillance, des drones ou la simple vue des patrouilles de police », précise le chargé de recherche CNRS.
Pour Marseille, un peu différent, les riches privatisent les quartiers végétalisés :
« En réalité, Marseille reste une ville très minérale où la végétation est plutôt absente, et la saisonnalité invisible. Les espaces verts urbains représentent seulement 4,6 m² par habitant. C’est moins que Paris (14 m2), indique le géographe Allan Popelard, qui dirige la collection « L’ordinaire du capital » aux éditions Amsterdam. Marseille compte environ dix fois moins d’arbres d’alignement par habitant que les autres grandes villes européennes étudiées. »
Par ailleurs, le nombre d’arbres y est en nette régression : en 75 ans, le cœur historique de Marseille a perdu la moitié de son patrimoine arboré. Professeure à Aix-Marseille Université et chercheuse au Laboratoire Population Environnement Développement, Élisabeth Dorier précise pour Mediapart : « Dans le centre-ville de Marseille, il existe encore quelques rares cours intérieures avec des arbres. C’est une adaptation ancienne aux chaleurs des quartiers historiques qu’il faut à tout prix préserver. »
[...]
Allan Popelard : « Cette division socio-environnementale Nord-Sud résulte des choix d’aménagement opérés notamment sous les mandatures de Gaston Defferre (1953-1986) et Jean-Claude Gaudin (1995-2020). Une politique de classe qui a concentré les externalités négatives dans les quartiers nord. »
[...]
Les cartographies de la végétalisation et des revenus des ménages font apparaître au sud de la métropole les quartiers chics du Roucas-Blanc et de la colline Périer (7e et 8e arrondissements) où se trouvent des résidences fermées et végétalisées sous vidéosurveillance.
Depuis 2007, Élisabeth Dorier se penche avec son équipe de recherche sur l’essor de ces résidences sécurisées. « Dans ces quartiers réservés aux privilégiés, les espaces verts sont progressivement privatisés. La colline Périer est devenue un écrin de verdure privé et bien gardé avec murs, patrouilles de gardiennage et vidéosurveillance, détaille la chercheuse. La fermeture résidentielle est ici un outil de valorisation foncière et d’exclusivité sociale. »
Dommage que ça ne parle pas de Bordeaux, Lyon, Toulouse ou Nice, voire Grenoble.
@olaf sur le « jardinage urbain », voir les travaux de mon ex-collègue #Marion_Ernwein :
Les natures de la #ville_néolibérale
« Zéro phyto », gestion écologique : les #espaces_verts_urbains longtemps conçus sur le mode « nature morte » de la tradition horticole se font de plus en plus vivants. Plus participatifs aussi, comme en témoigne la prolifération des programmes de jardinage collectif. Cet ouvrage invite à comprendre l’insertion de ces transformations dans les nouvelles logiques de production de la ville et des services urbains.
Sur la base d’enquêtes de terrain menées à Genève (Suisse) – auprès de responsables administratifs, politiques et associatifs, de travailleurs de la nature, et de citadins-jardiniers – il illustre la manière dont les politiques urbaines néolibérales faisant la part belle à l’événement, au managérialisme et aux #partenariats_publics-privés modèlent la ville vivante et le rôle qu’y jouent humains et non-humains. En détaillant le traitement réservé à différentes formes de végétaux – horticoles, vivriers, bio-divers – l’ouvrage développe des outils conceptuels pour une #écologie_politique du #végétal_urbain.
▻https://www.uga-editions.com/les-natures-de-la-ville-neoliberale-544600.kjsp
–—
Et une recension du #livre :
▻https://journals.openedition.org/cybergeo/35592
Des #températures dépassant la #limite_génétique de toutes les espèces méditerranéennes sont prévues dans le sud de l’Europe dès mardi :
➡️ 40 à 44°C en #Italie (jusqu’à 45-47+°C en Sardaigne et Sicile)
➡️ 40 à 45°C en #Espagne
➡️ 40 à 42°C en #France
Conséquences agricoles :
➡️la floraison des légumes « maraîchage » risque d’être fortement perturbée (brulures et pertes de fleurs).
➡️l’#olivier risque de voir une partie de ses fruits se dessécher.
➡️des brûlures peuvent concerner la #vigne (voire un dessèchement de grappe) dans le cas où la canicule dure plusieurs jours.
➡️souffrance extrême des animaux d’élevage.
L’Italie est le pays qui sera le plus concerné par ses conséquences agricoles. Je tiens à préciser qu’il s’agit ici d’un #stress_thermique. Il ne peut pas être entièrement résolu par l’irrigation (#stress_hydrique).
Voici un énième exemple des conséquences du changement climatique.
Mais voyons, ce sont des « températures normales » pour un été !
[Thread] Je vous propose un fil scientifique & pédagogique sur l’effet de la température sur les végétaux. C’est important pour comprendre les effets du changement climatiques sur l’agriculture.
Compréhensif par tous & vous pourrez vous vanter aux repas de famille ! 👇
Tout d’abord, les végétaux ne sont pas des organismes THERMOREGULES. Contrairement aux Hommes, leur température interne n’oscille pas autour de 37°C quelle que soient les conditions météoro.
Les plantes ne régulent pas leur température. Elles subissent la température de l’air.
▻https://pbs.twimg.com/media/E9TPw9tXEAMaGrZ?format=jpg
Ainsi, la croissance, la vitesse de déplacement, la digestion, la réflexion (quoique ?!) des Hommes ne dépendent pas de la température.
Pour les végétaux, la croissance et le développement VARIENT suivant la température en suivant une courbe en cloche (ou de type « beta ») 👇
▻https://pbs.twimg.com/media/E9TQZFmXEAAzhm1?format=png&name=small
Je vous propose un fil scientifique & pédagogique sur l’effet de la #température sur les #végétaux. C’est important pour comprendre les effets du #changement_climatiques sur l’#agriculture.
Compréhensif par tous & vous pourrez vous vanter aux repas de famille ! 👇
Tout d’abord, les végétaux ne sont pas des organismes THERMOREGULES. Contrairement aux Hommes, leur température interne n’oscille pas autour de 37°C quelle que soient les conditions météoro.
Les plantes ne régulent pas leur température. Elles subissent la température de l’air.
Ainsi, la croissance, la vitesse de déplacement, la digestion, la réflexion (quoique ?!) des Hommes ne dépendent pas de la température.
Pour les végétaux, la croissance et le développement VARIENT suivant la température en suivant une courbe en cloche (ou de type « beta ») 👇
La croissance des végétaux est rapide autour d’une température optimale (Topt) et décroit de part et d’autre pour devenir nulle à la température minimale (Tmin) ou maximale (Tmax).
Ces 3 paramètres dépendent des espèces ! Topt espèce tropical > Topt espèce tempérée !
Un peu de THERMODYNAMIQUE simple maintenant. La température est la mesure de l’agitation moléculaire.
EN GROS, + il fait chaud, + les molécules sont excitées et bougent dans tous les sens (comme les gosses !!)
+ il fait froid, plus les molécules sont stationnaires.
Easy, non ?
Aller maintenant tout va s’éclairer !
Plus il fait chaud (zone bleue),
↗️ agitation des molécules augmentent
↗️ les chocs entre molécules augmentent
↗️ vitesse des réactions augmentent
↗️ croissance du végétale est rapide !!!
C’est juste une histoire de #thermodynamique...
Cette hausse de croissance est pas éternelle hein ?! C’est là que les impacts du changement climatique sont les + importants.
Entre Topt et Tmax (zone rouge),
↗️ agitation des molécules augmentent (encore !)
↗️ les chocs entre molécules augmentent
Pourtant la croissance ⬇️ !??
C’est simplement que lorsque les molécules sont trop agitées, les protéines/enzymes (qui facilitent les réactions chimiques) ont leur forme qui est modifiée !
C’est la DENATURATION DES PROTEINES.
Elles n’ont donc plus la même efficacité : les vitesses de réactions baissent !
▻https://twitter.com/i/status/1429008336570175489
Ainsi,
+ il fait (trop) chaud
+ les enzymes sont dénaturées
+ elles perdent leur efficacité
+ les vitesses des réactions chimiques baissent
+ la croissance ralentit !
Easy, non ? 😍
Aux températures extrêmes, des contraintes physiques s’appliquent aux cellules de la plantes. Et là c’est le drame. Si ces contraintes sont trop fortes, les cellules éclatent : c’est la MORT CELLULAIRE.
Amen !
►https://twitter.com/SergeZaka/status/1429008295164092417
#thermorégulation #plantes #végétaux #êtres_humains #thermodynamique #agitation_moléculaire #dénaturation_des_protéines #mort_cellulaire
Et pendant ce temps… l’océan continue de surchauffer aussi :/
▻https://twitter.com/EliotJacobson/status/1681321023306874880
Wow! Wow! Wow!
North Atlantic sea surface temperature anomalies are going vertical again. And yes, I needed to extend the y-axis.
Yesterday’s temperature of 24.49°C (76.08°F) was 4.2σ above the 1991-2020 mean. The previous high for July 17 was 23.71°C (74.68°F) in 2020.
Les effets négatifs et les avantages des régimes à base de plantes
▻https://nutritionfacts.org/video/the-negative-effects-and-benefits-of-plant-based-diets
En VOSTFR : ▻https://youtu.be/PxGBBiZe7_I
#nutrition #végétalien #végétalisme #plant-based #santé #régime_à_base_de_plantes
Purée poireaux pommes de terre
▻https://www.cuisine-libre.org/puree-poireaux-pommes-de-terre
Purée parfumée de poireaux revenus au beurre et de crème acidulée : merveilleuse avec un steak ou du poulet grillé. Éplucher, rincer et couper les pommes de terre en morceaux. Détailler les blancs de poireaux en rondelles. Cuire les pommes de terre à la #Vapeur pendant 15 min, jusqu’à ce qu’elles soient bien tendres. Pendant ce temps, faire fondre 2 cuillères de beurre dans une grande poêle à feu moyen pour y faire revenir les poireaux en remuant, environ 8 min, jusqu’à ce qu’ils soient bien tendres, mais… #Poireau, #Stoemp, #PdT_à chair_farineuse / #Végétarien, #Sans gluten, #Sans viande, #Sans œuf, Vapeur
Poêlée de chou-fleur et brocolis
▻https://www.cuisine-libre.org/poelee-de-chou-fleur-et-brocolis
Sauté de légumes pour un repas sain en famille. Chauffer l’huile dans une poêle à feu moyen-élevé. Ajouter le #Brocoli, le #Chou-fleur, le céleri et les carottes. Cuire 2 minutes. Ajouter le poivron et cuire encore 2 minutes. Dans un bol, mélanger le jus d’ananas, le sucre, le jus de citron, la fécule de maïs et la sauce soja. Verser ensuite la sauce dans la poêle. Porter à ébullition et cuire 1 minute jusqu’à ce que la sauce épaississe. Verser la sauce sur les légumes. Servir sur du riz… Brocoli, Chou-fleur, #Woks, #États-Unis, #Riz_complet / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans lactose, Végétalien (vegan), #Sans gluten, (...)
Farçous aux blettes
▻https://www.cuisine-libre.org/farcous-aux-blettes
Petites crêpes aux vert de blettes, typiquement aveyronnaises. Faire tremper le pain dans le lait. Pendant ce temps, cuire les bettes à la vapeur et les égoutter. Presser les feuilles pour en extraire le jus de cuisson. Les hacher grossièrement avec le persil. Hacher l’oignon et l’ail. Dans une jatte, mélanger le pain trempé dans le lait, les œufs, les bettes et le persil haché jusqu’à obtention d’une pâte homogène. Ajouter la farine, l’oignon et l’ail hachés. Saler, poivrer et mélanger. Laisser… #Bette, #Röstis_et galettes, #Pain_rassis, #Aveyron / #Sans viande, #Végétarien, Sauté
Purée au brocoli
▻https://www.cuisine-libre.org/puree-au-brocoli
Peler les troncs de brocoli en retirant les parties dures et fibreuses. Éplucher les pommes de terre et l’oignon. Détailler en morceaux. Verser dans une casserole, avec les aromates. Couvrir d’eau, porter à ébullition et laisser cuire 30 min. Retirer les herbes et l’excédent de bouillon avant de passer au presse-purée. Assaisonner avec muscade, sel et poivre. au goût. Mélanger avec une grosse noix de beurre et du lait chaud jusqu’à obtenir la consistance… #Mousselines, #PdT_à chair_farineuse, Brocoli (tige) / #Végétarien, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans viande, #Bouilli
#Flans de brocolis au #Tofu_soyeux
▻https://www.cuisine-libre.org/flans-de-brocolis-au-tofu-soyeux
Détailler les brocolis en fleurons. Peler les troncs en retirant les parties dures et fibreuses et les couper en morceaux. Cuire à la vapeur. Réserver les plus jolis fleurons à part. Préchauffer votre four à 200°C. Faire revenir l’oignon émincé à la poêle jusqu’à ce qu’il soit fondant. Ajouter les morceaux de brocoli dans la poêle et prolonger la cuisson de 2 min. Pendant ce temps, dans un saladier battre le tofu soyeux afin d’obtenir une texture crémeuse. Ajouter la farine de pois chiche et mélanger.… Flans, Tofu soyeux, Brocoli (tige) / #Végétarien, #Sans viande, Végétalien (vegan), #Sans œuf, #Sans lactose, Sans (...)
#Brocoli_tige_ #Végétalien_vegan_ #Sans gluten
#Couscous aux légumes d’hiver
▻https://www.cuisine-libre.org/couscous-vegetarien-aux-legumes-hiver
Couscous #Végétarien de légumes d’hiver (carottes, courge et navet) pour se réchauffer. Cuisson des légumes Nettoyer les légumes. Les éplucher au couteau économe, sauf la courge. Émincer les oignons. Garder les verts des poireaux pour une autre recette. Couper tous les légumes en gros morceaux pour qu’ils restent entiers après la cuisson. Dans le couscoussier , faire dorer les oignons dans un peu d’huile chaude. Ajouter les légumes les plus longs à cuire (carottes, navets et céleri) et faire revenir… #Potiron, #Ras_el hanout, #Pois_chiche, #Semoule_de couscous, #Céleri_rave, Couscous / Végétarien, #Sans œuf, Végétalien (vegan), #Sans lactose, #Sans viande, (...)
Mélange d’épices mexicaines
▻https://www.cuisine-libre.org/melange-epices-mexicaines
Mélange bien équilibré, plutôt piquant mais savoureux, pour les viandes à burritos ou fajitas et pour les chilis. Mélanger ensemble tous les ingrédients dans un sol à l’aide d’une spatule en bois pour bien homogénéiser. Conserver dans un pot hermétique à l’abri de la lumière, de l’humidité et de la chaleur. #Cumin, #Origan, #Paprika, #Mélanges_d'épices, #Mexique, #Chili / #Sans gluten, Végétalien (vegan), #Sans viande, #Végétarien, #Sans œuf, #Sans lactose
Biscuit de #Savoie de Mamie Huguette
▻https://www.cuisine-libre.org/biscuit-de-savoie-de-mamie-huguette
Comme un boudoir géant mais moelleux. Sans gras, sans levure : la texture est oufe. Blanchir 5 jaunes d’œufs dans 200 g de sucre. Ajouter 100 g de farine, une cuillère à café de maïzena, le zeste d’un citron. Incorporer les blancs en neige. Cuire 40 min à 160°C dans le tiers haut du four. #Œufs, #Sucre_blanc, Savoie / #Végétarien, #Sans viande
Velouté d’endives
▻https://www.cuisine-libre.org/veloute-d-endives
Un velouté de saison ! Passer rapidement sous l’eau froide les endives, les essuyer et les émincer. Fendre le blanc de poireau. L’émincer aussi. Éplucher la pomme de terre. Rincer et la couper en petits dés. Porter le bouillon à ébullition. Dans une casserole, fondre le beurre et faire revenir les endives et le poireau, 5 min sur feu doux. Saupoudrer de sucre.
Verser le bouillon chaud.
À la reprise de l’ébullition, ajouter les pommes de terre en dés.
Saler, poivrer légèrement.
Laisser cuire 25… #Endive, #Veloutés, #Belgique / #Végétarien, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans viande, #Bouilli
Pâte à crêpes sucrée au rhum
▻https://www.cuisine-libre.org/pate-a-crepes-sucree-au-rhum
Mélanger farine, sel et sucre dans un saladier. Creuser un puit dans la farine pour ajouter les œufs et les incorporer progressivement avec une cuillère en bois. Ajouter le beurre fondu petit à petit et bien mélanger. Incorporer le lait petit à petit en mélangeant pour éviter les grumeaux. La pâte doit être liquide et homogène. Cuire les crêpes (la pâte n’a pas besoin de repos). #Rhum, #Pâtes_à crêpes_et blinis, Farine de blé / #Sans viande, #Végétarien
#Farine_de blé
Injera, galette éthiopienne
▻https://www.cuisine-libre.org/injera-galette-ethiopienne
Galette de base de la cuisine éthiopienne. Mélanger tous les ingrédients, sauf le sel, au blender pendant 1 minute. Ajouter le sel et mixer pendant 15 secondes. Verser le mélange dans un grand contenant. Couvrir et laisser reposer 48 heures au frais. Chauffer une poêle anti-adhésive ou une crêpière à blanc et à température maximale. Huiler légèrement. Verser une petite louche de pâte et cuire sur une seule face pendant 1 minute 30 à 2 … #Pâtes_à crêpes_et blinis, #Afrique, #Farine_de teff / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans lactose, Végétalien (vegan)
Lanttulaatikko (gratin de rutabaga)
▻https://www.cuisine-libre.org/lanttulaatikko-gratin-de-rutabaga
Purée gratinée de #Rutabaga au #Gingembre, typique de Noël en Finlande. Nettoyer, peler, couper et cuire le rutabaga à l’eau salée jusqu’à ce qu’il soit tendre. Égoutter en gardant un peu de jus de cuisson. Pendant ce temps, laisser gonfler la chapelure dans la crème avec les épices. Écraser le rutabaga avec un presse-purée ou un moulin à légumes. Ajouter la crème épicée, les œufs et la mélasse. Mélanger jusqu’à ce que la pâte devienne uniformément molle, en ajoutant du liquide de cuisson si besoin. Saler et… Gingembre, Rutabaga, #Purées_gratinées, #Suède, #Finlande / #Végétarien, #Sans viande, #Four
Tajine de légumes anciens
▻https://www.cuisine-libre.org/tajine-de-legumes-anciens
Épluchez les légumes et coupez-les en gros dés. Épluchez et émincez les oignons. Faites rissoler les oignons dans l’huile. Ajoutez les légumes et poursuivez sur feu vif pendant 5 minutes. Ajoutez les épices, le sel et le poivre. Mélangez bien, puis versez le bouillon. Couvrez et laissez mijoter 15 minutes. Incorporez ensuite les raisins, les amandes, les dattes et les pois chiche. Couvrez de nouveau et poursuivez la cuisson 15 minutes. Servez 4 assiettes, parsemez de coriandre ciselée et de graines de… #Potiron, #Topinambour, #Panais, #Tajines, #Maghreb, #Datte_séchée / Végétalien (vegan), #Sans gluten, #Sans viande, #Végétarien, #Sans œuf, #Sans lactose, (...)
Rappasciona, soupe italienne de légumes secs
▻https://www.cuisine-libre.org/rappasciona-soupe-italienne-de-legumes-secs
Soupe italienne savoureuse et légère avec des ingrédients de la tradition paysanne pauvre. La veille, faites tremper le blé et le maïs dans des récipients séparés pendant 24 heures et faites tremper les haricots pendant 12 heures. Le lendemain matin, remplissez une grande marmite d’eau et laissez mijoter le blé environ 1h30. Faites de même pour le maïs en le faisant cuire pendant 45 minutes et les haricots pendant 40 minutes en ajoutant de l’eau chaude si nécessaire. Lorsque tous les trois sont cuits,… #Blé_entier, #Haricot_blanc, #Maïs_sec, #Pouilles / #Végétarien, #Sans œuf, Végétalien (vegan), #Sans lactose, #Sans viande