• Pot-au-feu végétarien au gruyère
    https://cuisine-libre.fr/pot-au-feu-vegetarien-au-gruyere

    Coupez le #Gruyère en gros morceaux. Nettoyez, pelez les légumes et coupez-les en deux si nécessaire. Mettez tous les légumes (sauf les pommes de terre) dans une casserole d’eau froide. Salez, poivrez, ajoutez le bouquet garni et portez à ébullition. Laissez cuire 25 minutes. Ajoutez le gruyère et poursuivez la cuisson 15 minutes. Ajoutez les pommes de terre et poursuivez la cuisson jusqu’à ce qu’elles soient… #Pomme_de terre, Gruyère, #Potées / #Végétarien, #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_gluten, #Bouilli

  • Lentilles corail au lait de coco
    https://cuisine-libre.fr/lentilles-corail-au-lait-de-coco

    Des lentilles crémeuses, comme un bon risotto ! Placer les tomates, le #Lait_de_coco, les lentilles et le piment dans une casserole. Porter à ébullition et laisser mijoter à couvert, en remuant régulièrement, pendant 10-15 minutes, jusqu’à ce que les lentilles soient « al dente ». Surveiller la cuisson, car ces lentilles cuisent vite : le but est de les cuire juste assez pour qu’elles ne soient plus dures sous la dent, mais gardent un peu de fermeté. Servir garni de feuilles de coriandre… #Lentille_corail, Lait de coco, #Dahls / #Végétarien, #Sans_œuf, #Sans_viande, #Sans_gluten, #Sans_lactose, Végétalien (vegan), #Bouilli

    #Végétalien_vegan_

  • Velouté de pois cassés aux fanes de légumes
    https://cuisine-libre.fr/veloute-de-pois-casses-aux-fanes-de-legumes

    Trier et laver les #Fanes de légumes qui doivent être bien frais. Dans une casserole réchauffer les #Pois_cassés avec leur liquide de cuisson, porter à ébullition et ajouter les fanes de légumes. Réduire en purée avec le mixer à soupe, ajouter la crème fraiche, assaisonner à votre goût avec sel et poivre. #Veloutés, Fanes, Pois cassés / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_gluten, #Bouilli

  • Velouté de betteraves, chèvre frais et noix
    https://cuisine-libre.fr/veloute-de-betteraves-chevre-frais-et-noix

    Épluchez et hachez l’échalote. Coupez les betteraves en cubes. Mettez l’échalote et les dés de #Betterave dans une casserole ou un mixeur chauffant. Ajoutez une cuillerée à café rase de sel et versez l’eau. Faites cuire 15 minutes à feu vif (ou à 100°C au mixeur chauffant). Poivrez, ajoutez le fromage de chèvre, le vinaigre et l’huile de noix. Mixez et servez avec des noix concassées. Betterave, #Veloutés, #Chèvre_frais / #Végétarien, #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_gluten, #Bouilli

  • Pâte à crêpes végétale
    https://cuisine-libre.fr/pate-a-crepes-vegetale

    Dans un saladier, verser la farine et la fécule — avec le sel et le sucre. Mélanger. Creuser un puits et verser l’huile. Mélanger légèrement. Ajouter le lait petit à petit, tout en mélangeant, pour éviter les grumeaux. Si des grumeaux se forment, battre vigoureusement au fouet (ou passer un coup de mixeur). Enfin, ajouter l’eau et mélanger jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Laisser reposer 1 à 2 h à température ambiante. Cela rend la pâte bien souple et élastique et non cassante. La pâte a dû épaissir.…

    #Crêpes_et_blinis, #Lait_végétal, Farine de blé / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Végétalien (#vegan), (...) #chandeleur #Farine_de blé #Végétalien_vegan_ #Sauté

  • Garhiofilatum GPL
    https://cuisine-libre.fr/garhiofilatum-girofle

    Verser le vin et le miel dans un récipient. Broyer les épices et les mettre dans une toile que l’on noue. Plonger la toile contenant les épices dans le breuvage et recouvrir. Laisser macérer pendant 4 heures au moins. Retirer la toile contenant les épices, filtrer et mettre en bouteilles. #Épices, #Vin_blanc, #Vins_et_cocktails / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Marinade/Saumure

    #Marinade/Saumure

  • Lait doré (Golden Milk)
    https://cuisine-libre.fr/golden-milk

    Une recette simple de lait doré, une « super boisson » épicée au curcuma. Dans un grand bol, mélanger le miel, le safran, le gingembre, la cardamome et la cannelle. Mélangez bien ! Ajoutez ensuite l’eau bouillante. Remuez pour dissoudre le miel. Ajoutez le lait. Remuez et servez. #Lait_de_coco, #Curcuma, #Milkshakes / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten

    • J’ai découvert ça avec un mix tout prêt en magasin bio. J’ai eu envie d’essayer malgré le côté « bobo-yoga-orient » et l’arnaque de vendre plus cher des épices en mélange que séparées... mais c’était pas non plus très cher, j’avais envie de goûter ça, de me changer un peu des boissons chaudes habituelles (je ne bois pas de café et j’essaie de renouveler mes tisanes) et c’était bien bon. C’est un peu meilleur avec du lait végétal que de vache. Pour justifier de vendre ce mix, il est composé d’éléments un peu plus variés que cette recette, il y a même un peu de poivre et de vanille.

      PS : Un copain m’a suggéré de l’améliorer avec de l’huile de noix de coco mais bof, ça fait des yeux et une structure pas terrible.

    • Une brève histoire des hurluberlus Paul Laity
      http://www.entelekheia.fr/2016/11/20/une-breve-histoire-des-hurluberlus

      Paul Laity revisite sur le ton de l’humour la gauche britannique de l’époque de George Orwell et les rapports de ce dernier avec ceux qu’il avait appelé « les hurluberlus de la gauche ». Inutile de dire que nous avions exactement les mêmes en France.

      Pour reprendre le terme d’Orwell, les racines du #gauchisme « hurluberlu » sont similaires de chaque côté de la Manche, nommément l’Owenisme en Grande-Bretagne et en France, le socialisme utopique et ses dérivés. Différence culturelle oblige, les nôtres étaient moins épris de vélocipède, de végétarisme, de laine brute et de grand air que les Britanniques ; la version hexagonale les voulait laïcards, républicains, scientistes, athées et bouffeurs de curés, avec malgré tout parfois, comme chez leurs congénères anglo-saxons, des penchants mystiques qui les conduisaient volontiers au spiritisme. #Victor_Hugo est le chef de file des aînés de ce type « d’hurluberlus », mais d’autres noms connus du XIXe siècle l’ont rejoint au panthéon des exaltés du guéridon, par exemple #Camille_Flammarion, #Victorien_Sardou, #Delphine_de_Girardin, #Henri_Bergson qui s’adonnait à des recherches psychiques (hypnose, lucidité somnambulique, médiumnité) ou encore #Jules_Verne, etc. Cette tendance se perpétuera chez les #surréalistes, en particulier avec l’écriture automatique d’André Breton et au-delà, dans l’art moderne et contemporain, dans le « psychologisme » qui imprègne toute la gauche ainsi que dans le #pédagogisme actuel – Ainsi, malgré ce qu’écrit l’auteur dans sa conclusion, la question de l’héritage idéologique du socialisme utopique et de la gauche « hurluberlue » historique déborde très largement des seuls écologistes pour embrasser toute la gauche libérale moderne.

      « Le socialisme », a écrit #George_Orwell dans son célèbre Quai de Wigan (1936), attire à lui « avec une force magnétique tous les buveurs de jus de fruit, les nudistes, les porteurs de sandales, les obsédés sexuels, les quakers, les charlatans naturopathes, les pacifistes et les féministes d’Angleterre ». De façon mémorable, sa tirade contre ces « hurluberlus » s’étend dans d’autres passages du livre aux « végétariens à barbes flétries », aux « Jésus de banlieue » uniquement préoccupés de leurs exercices de yoga, et à « cette tribu lamentable de femmes de haute vertu, de porteurs de sandales, de buveurs de jus de fruits qui affluent vers l’odeur du ‘progrès’ comme des mouches à viande vers un chat mort. »


      Andrew Muir, architecte consultant de la ville-jardin de Letchworth, portant ce qui s’appelait à l’époque un « costume rationnel » et des sandales. Crédit photo, First Garden City Heritage Museum du Letchworth Garden City Heritage

      Les #stéréotypes et caricatures des hurluberlus de la #classe_moyenne s’inscrivent profondément dans la culture nationale anglaise. Pendant tout le XIXe siècle, Punch Magazine a brocardé les obsessionnels de la santé qui recherchaient une vie plus pure dans le chou bouilli et l’antialcoolisme. Une histoire d’Aldous Huxley, The Claxtons, qui anticipait la philippique d’Orwell, dresse le tableau d’une famille bourgeoise puritaine, radicale et aveuglée sur elle-même : « Dans leur petite maison sur le terrain communal, comme les Claxton vivaient une belle, une spirituelle vie ! Même le chat était végétarien » . Et plus tôt cette année, le Daily Mail, tabloïd de droite, a tourné le Guardian en dérision (pour la énième fois, sans aucun doute) en l’accusant d’être dirigé par, et pour, des « porteurs de sandales ». C’est une pique encore censée suggérer la même chose qu’à l’époque d’Orwell : une naïveté fumeuse, une pseudo-supériorité morale et une vie de bohème méritoire – certainement un monde bien éloigné des valeurs de pragmatisme et de décence de l’Angleterre censément « véritable ».

      La férocité des caricatures « d’hurluberlus » d’Orwell trahissent une certaine anxiété sur la liberté sexuelle, mais vise en général directement leur travers le plus évident – leur sérieux. Les hurluberlus veulent que le monde devienne un endroit moins cruel, moins bassement commercial, plus beau. Leurs plaisirs sont sains, « naturels » et énergiques. (Quand j’étais enfant, mes parents dépeignaient certaines personnes comme très « riz complet et bicyclettes »). La mentalité de ces progressistes contre-culturels veut à tout prix que tout soit sain et aide à s’améliorer. L’un des objets de raillerie d’Orwell est donc une « gueule de bois de la période de #William_Morris » [1] qui propose de « niveler le prolétariat ‘par le haut’ (jusqu’à son niveau à lui) par la méthode de l’hygiène, des jus de fruit, du contrôle des naissances, de la poésie, etc. » Dans son roman Un peu d’air frais (1939), nous rencontrons « le professeur Woad, un chercheur psychique » : « Je connaissais le genre. Végétarisme, vie simple, poésie, culte de la nature, se roulant dans la rosée avant le petit-déjeuner… ce sont tous soit des maniaques de l’alimentation naturelle, ou alors ils ont quelque chose à voir avec les boy-scouts – dans les deux cas, ils sont toujours partants pour la Nature et le Grand air. »

      La satire d’Orwell dans le Quai de Wigan s’inscrivait dans le cadre d’une cause particulière et urgente : la formation d’une #politique radicale, populaire (non-hurluberlue) et réaliste pour faire front à la menace montante du fascisme. (Peu après avoir remis le manuscrit de son livre à son éditeur, Victor Gollancz, il entamait son voyage à Barcelone pour y rejoindre le camp républicain de la guerre civile d’Espagne). A ses yeux, les hurluberlus – avec les « marxistes chevelus mâchouillant des polysyllabes » – donnaient mauvaise allure au socialisme. Il impliquait aussi qu’ils étaient superficiellement dévoués à la cause socialiste mais au bout du compte, bien plus préoccupés par leur propre pureté morale que par l’exploitation de la classe ouvrière. Mais à qui exactement Orwell pensait-il quand il a lancé ses invectives ? Qui étaient les hurluberlus ?

      Il avait fait le choix de ne jamais mentionner par écrit qu’il s’était lui-même commis avec beaucoup de personnages de la #contre-culture, à commencer par sa tante, Nellie Limouzin, une bohème dont le mari, socialiste, soutenait fidèlement le mouvement espérantiste, et les Westrope, qui possédaient la librairie de Hampstead où il travaillait au milieu des années 30. Francis Westrope avait été objecteur de conscience pendant la guerre et adhérait au Parti travailliste indépendant ; son épouse, Myfanwy, militait pour les droits des femmes – et les deux étaient des espérantistes passionnés. Sa grande admiratrice et conseillère Mabel Fierz [2] également, vivait dans une grande maison de Hampstead Garden et penchait pour un socialisme mystique et spirituel.

      Les amis et membres de sa famille ont sans nul doute influencé les portraits d’Orwell dans une certaine mesure, mais il avait toute une tradition politico-culturelle en ligne de mire. Elle s’étendait aux sectes millénaristes socialistes des années 1830 et 1840 inspirées par le réformateur #Robert_Owen et son journal, le New Moral World (le Nouveau monde moral). Les « hurluberlus » étaient sur-représentés dans ces communautés modèles – Catherine et Goodwyn Barmby, par exemple, qui s’agacèrent du ton insuffisamment puriste du mouvement Owenite et formèrent l’Église Communiste (ses organisations-sœurs comprenaient les #White_Quakers de Dublin et le #Ham_Common_Concordium de Richmond.) [3] Ils prêchaient diverses prophéties #New_Age, ainsi que le végétarisme, l’#hydrothérapie, les cheveux longs et le port de sandales. Au fil des années, #Goodwyn_Barmby se mua en figure christique, avec de longs cheveux blonds flottant sur les épaules ; ensemble, le jeune couple arpentait les rues de Londres avec un chariot où il puisait des tracts qu’il distribuait en haranguant les passants.

      Le renouveau #socialiste de la fin du XIXe siècle était lourdement investi de croyances « hurluberlues ». Comme l’a écrit Michael Holroyd, c’était largement a partir « d’ #agnostiques, #anarchistes et #athées ; de #réformistes du costume [4] et du régime alimentaire ; d’#économistes, de #féministes, de #philanthropes, de #rationalistes et de #spirites tentant tous de détruire ou de remplacer le #christianisme » que le renouveau s’est opéré. L’activiste #Henry_Hyndman, un disciple d’Engels et le fondateur de la Social Democratic Federation (SDF, fédération socialiste démocratique) en 1881, désespérait comme Orwell de ce type de tocades morales. « Je ne veux pas que le mouvement » , martelait-il, « soit un dépotoir de vieux hurluberlus, d’humanitaires, de #végétariens, d’anti-vivisectionnistes, d’anti-vaccinationnistes, d’artistes du dimanche et toute cette espèce. »  Sans surprise, William Morris et ses amis au sein de la SDF décidèrent de s’en séparer et fondèrent leur propre groupe en 1884, la plus anarchique (et sexuellement radicale) Ligue socialiste. La #Fabian_Society , [5] qui débutait au même moment, était un groupe dissident de la #Fellowship_of_the_New_Life (Compagnons de la nouvelle vie), une communauté éthico-spirituelle (et végétarienne).

      C’était également l’époque de la #Vegetarian_Cycling_Society (Société des Cyclistes Végétariens) et des clubs nés autour de l’hebdomadaire socialiste #The_Clarion, qui visait à #« amener le citadin à entrer plus fréquemment en contact avec la beauté de la nature, et faire progresser l’idéal d’une vie plus simple, d’un mode de vie modéré et d’une élévation de la pensée. » #George_Bernard_Shaw qui, en tant que végétarien porteur de laine brute, naturelle et tricotée à la main, entretenait une relation de proximité avec les hurluberlus, a résumé les deux impulsions différentes du socialisme du temps : l’une tenait à « organiser les docks » , l’autre à « s’asseoir au milieu des pissenlits ».

      Le saint patron des pique-niqueurs au milieu des pissenlits était #Edward Carpenter, et Orwell l’avait clairement à l’esprit. Ancien vicaire anglican qui avait été l’invité de Thoreau, auteur d’un long poème whitmanesque, ‘Vers La Démocratie’ , Carpenter prônait un socialisme spirituel et le retour à la nature. A la suite d’une vision, il avait acheté une petite exploitation rurale à Millthorpe, près de Sheffield, où il faisait pousser ses propres légumes. Il était végétarien et prêchait le contrôle des naissances ainsi que le mysticisme oriental ; il avait écrit The Intermediate Sex (Le Sexe intermédiaire) , le premier livre qui présentait l’homosexualité sous un jour positif à être largement diffusé en Angleterre. Il avait pour habitude de se baigner nu à l’aube en compagnie de son domestique et amant, et sa vie était dénoncée comme scandaleuse et immorale.


      Edward Carpenter devant son cottage de Millthorpe, dans le Derbyshire, 1905. Il porte une paire des célèbres sandales de style indien qu’il fabriquait lui-même et une veste, un bermuda, une cravate et une large ceinture de sa propre conception. Crédits Sheffield Archives, Carpenter Collection, Box 8/31 a.

      Plus que n’importe qui d’autre, Carpenter a été responsable de l’introduction des sandales dans la vie britannique. Quand son ami Harold Cox partit pour l’Inde, Carpenter le chargea d’envoyer une paire de sandales du Cachemire à Millthorpe. La paire en question comprenait une lanière qui remontait de la semelle, passait par-dessus les orteils et s’accrochait à la cheville. « J’ai rapidement éprouvé une joie à les porter », écrivit Carpenter. « Et au bout de quelque temps, j’ai décidé d’en fabriquer. » Les chaussures, décida-t-il, étaient « des étouffoirs en cuir » . Il prit des leçons auprès d’un bottier de Sheffield et arriva « vite à fabriquer beaucoup de paires pour moi-même et plusieurs amis. » (Il en offrit une paire à Shaw, mais elles lui sciaient les pieds et il renonça à les porter en jurant de ne jamais y revenir.) Plusieurs disciples firent le pèlerinage à Millthorpe, y compris, dans les souvenirs de Carpenter, une réformiste du costume – « Son nom était Swanhilda quelque chose » , qui avait marché des kilomètres, sous une pluie battante, seulement vêtue d’une robe de serge bleue grossièrement coupée et de sandales qui s’enfonçaient dans la boue presque à chaque pas. Un des domestiques de Carpenter à Millthorpe, George Adams, entreprit aussi de fabriquer des sandales. Quand il se brouilla avec son maître, il déménagea dans la toute nouvelle ville-jardin de Letchworth, dans le Hertfordshire, et y ouvrit un petit commerce de sandales.

      Letchworth occupe une place spéciale dans l’histoire des hurluberlus. « Un jour cet été » , écrivait Orwell dans le Quai de Wigan, « je traversais Letchworth quand le bus s’est arrêté pour laisser monter deux hommes âgés d’allure affreuse. Tous deux très petits, roses, joufflus et tous deux tête nue, ils devaient avoir dans les soixante ans. Ils étaient habillés de chemises couleur pistache et de shorts kakis dans lesquels leurs énormes arrière-trains étaient si boudinés que vous auriez pu en étudier chaque fossette. Leur arrivée fit courir un léger frisson d’horreur sur l’impériale du bus. L’homme assis à côté de moi… murmura ‘des socialistes’. Il avait probablement raison », continue le passage. « Le Parti travailliste indépendant tenait son université d’été dans la ville. » (Orwell néglige de mentionner qu’il y assistait lui-même).

      La ville-jardin de #Letchworth, une expérience en urbanisme inaugurée en 1904 – une utopie d’air frais et de vie rationnelle – devint instantanément une Mecque pour les amoureux de la vie simple et acquit une réputation nationale de ville « hurluberlue » : sandales et scandales à foison. Un de ses deux architectes originels, Raymond Unwin, avait été l’un des associés de Carpenter au sein du socialisme de Sheffield (et un végétarien). Un ancien résident a offert une description du « citoyen typique de la ville-jardin » : il portait des sandales, ne mangeait pas de viande, lisait William Morris et Tolstoï, et possédait deux tortues « qu’il cirait périodiquement avec la meilleure des huiles de moteur Lucas. » Les végétariens de la ville ouvrirent le Simple Life Hotel (l’hôtel ‘Vie Simple’), qui comprenait un magasin de produits alimentaires naturels et un restaurant réformiste alimentaire. Un membre de la famille quaker Cadbury ouvrit un pub sans alcool, la Skittles Inn (l’Auberge des Quilles), où il faisait un fructueux commerce de chocolat chaud et de Cydrax, un vin de pomme sans alcool. (Ce qui inspira un commentaire sur une vie « toute en quilles et sans bière » [6] à G.K Chesterton, et plus tard une raillerie à John Betjeman dans son poème Huxley Hall, « Ni mon dîner végétarien, ni mon jus de citron sans gin/ ne peuvent noyer mon hésitante conviction selon laquelle nous pourrions bien être nés dans le péché ».)

      Les dimanches, les Londoniens faisaient des excursions en train pour étudier l’étrange collection d’espérantistes vêtus de blouses et de théosophistes de Letchworth ; une bande dessinée d’un journal local dressait même le tableau comique de visiteurs d’un zoo d’humains. « Papa, je veux voir comment on les nourrit ! » , y réclame un enfant. Les panneaux indicateurs pour les visiteurs y signalaient : « Direction Les Lutins Raisineux Porteurs de Sandales À Pointes Longues », « Par Ici Pour Le Pub Non-toxique » et « Direction Les Mangeurs de Bananes Hirsutes » . Annie Besant, une théosophiste militante du contrôle des naissances, y ouvrit l’école St. Christopher – où le Parti travailliste indépendant tenait sa réunion d’été – et qui aujourd’hui encore offre exclusivement de la nourriture végétarienne (ses élèves admettent se rabattre sur McDonald’s).


      Dessin de Louis Weirter, publié dans le journal local The Citizen, 1909. Crédits image, First Garden City Heritage Museum de la Letchworth Garden City Heritage Foundation

      Les années 1920 et 1930 offraient nombre de tendances contre-culturelles propres à faire frémir Orwell. Un pacifisme de type jusqu’au-boutiste s’était davantage généralisé au milieu des années 30 qu’à n’importe quelle autre époque de l’histoire britannique. Il y avait aussi une manie du grand air (associée à un développement des loisirs) et d’un mode de vie hygiénique et non raffiné. Les adhésions au club cycliste du Clarion atteignirent leur apogée au milieu des années 30, et un nombre sans précédent de citadins en bermudas et chemises à col ouvert s’entichèrent d’hôtels de jeunesse et de randonnées pédestres. « Le droit de vagabonder » à travers vallons, coteaux et landes devint une cause de gauche et la randonnée de masse, un acte politique parfois nuancé de mysticisme de la nature. En 1932, l’écrivain S. P. B. Mais conduisit seize mille personnes dans le parc naturel des South Downs pour y admirer le lever du soleil sur Chanctonbury Ring (malheureusement, le ciel était nuageux ce matin-là). Le mouvement de retour à la nature prenait d’autres formes aussi. À Marylebone en 1928, la Nature Cure Clinic (clinique de cure naturelle) ouvrait ses portes, avec des idées homéopathiques venues de l’Est via l’Allemagne. Les fruits crus et les jus de légumes y étaient considérés nécessaires à l’élimination des toxines. Et dans les mêmes années 30, le Dr Edward Bach vantait les vertus curatives des essences de fleurs qu’il avait découvertes en recueillant des gouttes de rosée sur des plantes, à l’aube.

      Le #nudisme organisé fit son apparition en Grande-Bretagne à la fin des années 1920. L’un de ses premiers centres à s’ouvrir a été Sun Lodge, à Upper Norwood au sud-est de Londres. A partir de 1928, les membres de la #Sun_Bathing_Society (société des bains de soleil) se retrouvaient les week-ends pour s’imprégner des rayons salutaires et revigorants et pour d’autres activités comme la « danse rythmique. » Les habitants locaux s’agglutinaient autour de la clôture pour tenter d’entrapercevoir les baigneurs en puris naturalibus. En 1929, la police dut intervenir au Welsh Harp Reservoir, à côté de Wembley, pour protéger les naturistes contre des émeutiers. En dépit de la controverse qu’il suscitait, le mouvement #nudiste prit de l’ampleur. En 1932, une lettre au Times en appela à la reconnaissance des bénéfices du culte du soleil - « en moins qu’un costume de bain. » - Ses signataires comprenaient George Bernard Shaw et C. E. M. Joad, philosophe populaire, socialiste, pacifiste, enthousiaste de la campagne (et peut-être le modèle du “Professeur Woad » d’Orwell). Joad était convaincu des vertus des siestes « nu au soleil », même seulement sur des criques désertes. Le ridicule n’était jamais loin. Dans le film I See Ice (1938), George Formby chantait - « Une photo d’un camp nudiste/ Dans mon petit album d’instantanés/ Très jovial mais un peu humide/ Dans mon petit album d’instantanés. » -

      #Leslie_Paul, fondateur des Woodcraft Folk, une alternative antimilitariste aux scouts ouverte aux garçons comme aux filles, se décrivait comme un « socialiste du style d’Edward Carpenter, épris d’une vision mystique de l’Angleterre. » En 1933, cinq cent jeunes membres des Woodcraft Folk campèrent autour d’une pierre levée de l’âge du bronze, dans le Herefordshire, pour y écouter un exposé sur les alignements de sites. [7] Deux garçons étaient accroupis dans une cage d’osier au sommet du monument. (Aujourd’hui, le propriétaire de la terre sur laquelle se dresse la Queen Stone préfère ne pas donner sa localisation exacte pour ne pas encourager la tenue de séances.) Paul, qui était écrivain et journaliste, passait le plus clair de son temps dans un cottage de la campagne du Devonshire. Un ami local, Joe, avec des poils sur la poitrine « épais et bouclés » comme un « matelas de fils de fer » aimait à s’allonger nu au soleil, à déclarer sa passion pour Tolstoï et à dénigrer les chaussures de cuir. « Le végétarisme était dans l’air du temps progressiste », écrivit plus tard Paul. « De nouveaux magasins de nourriture offraient de quoi satisfaire de fantastiques nouveaux goûts. … j’ai bu un mélange de lait malté, d’eau chaude et d’huile d’olive qui passait pour avoir les plus heureux effets sur le colon et les nerfs. » C’était un admirateur de l’Union Soviétique, un socialiste et un pacifiste. « Le #pacifisme avait une extraordinaire affinité avec le végétarisme », se souvenait-il, « de sorte que nous vivions d’énormes saladiers de bois emplis de salade aromatisée à l’ail, de lentilles et de pignons de pin garnis de poireaux. Nous respirions la santé. »

      Orwell a participé à deux universités d’été en 1936 : l’une à Letchworth et l’autre organisée par #The_Adelphi, un magazine pour qui il écrivait, dans une grande maison de Langham, près de Colchester. L’éditeur et fondateur du journal était le critique John Middleton Murry, un pacifiste et socialiste d’un type spirituel et poète qui avait acquis la maison dans l’espoir d’en faire le foyer d’une nouvelle forme de communauté égalitaire. (« Dans cette simple et belle maison, notre socialisme est devenu réalité » , écrivait-il. « Il me semblait que nous avions atteint une nouvelle sorte d’immunité contre l’illusion. ») Tous les invités étaient mis à contribution pour aider à la bonne marche du centre : Orwell était très demandé à la plonge, où il employait des talents cultivés lors de ses jours de pauvreté à Paris. Au cours d’une des discussions, il asséna apparemment à son auditoire, en majorité des gens de la classe moyenne, qu’ils ne « reconnaîtraient même pas un mineur ou un débardeur s’il en entrait un dans la pièce. » Murry finit par penser que le Centre Adelphi tenait trop de l’atelier d’idées : les socialistes qui y résidaient manquaient de la discipline qu’apporte le rude labeur physique.
Son projet suivant fut une ferme pacifiste.

      Il y a cent autres exemples de socialistes épris de ‘vie simple’ qui auraient suscité le mépris d’Orwell. Mais, malgré tous ses efforts, la longue et riche histoire des « hurluberlus » continua au-delà des années 1930 jusqu’aux éléments de la Campagne pour le Désarmement Nucléaire, les #hippies et les #Verts. (Et au-delà de l’Angleterre aussi, bien sûr.) Dans les années 1960, un restaurant végétarien a effacé un siècle de moqueries en adoptant fièrement le nom « Les Hurluberlus ». De bien des façons, la situation s’est retournée contre Orwell. Les personnages comme Edward Carpenter et Leslie Paul peuvent désormais être considérés comme les pionniers de l’anti-capitalisme écologiste moderne. L’environnementalisme est de plus en plus une cause et de moins en moins une distraction d’excentrique.

      Beaucoup de choses qu’Orwell considérait comme hurluberlues sont aujourd’hui à la mode. Il y a trois millions et demi de végétariens en #Grande-Bretagne, le yoga fait de plus en plus partie de la vie quotidienne des classes moyennes, et des pilules homéopathiques sont avalées par millions. (Malgré tout, ces tendances suggèrent, encore plus que du temps d’Orwell, une volonté d’auto-préservation et un style de vie égoïste, le contraire d’une volonté authentique de changer le monde.)

      Inévitablement, alors que des aspects hurluberlus ont été absorbés dans le courant dominant, d’autres pratiques et croyances étranges prennent leur place et sont ridiculisées par la majorité. Dans l’esprit du Quai de Wigan , on pourrait dire de l’anti-capitalisme d’aujourd’hui qu’il attire avec une force magnétique tous les écolos forcenés, les fruitariens organiques, les scooteristes à batterie solaire, les enthousiastes des naissances dans l’eau, les pratiquants de sexe tantrique, les fans de world music, ceux qui vivent dans des tipis, les porteurs de pantalons de chanvre et les accros aux massages ayurvédiques d’Angleterre. Quant aux sandales, les journalistes du Daily Mail _ peuvent bien conserver la mémoire de l’association entre hurluberlus d’antan et pieds quasi-nus, mais les longues queues devant les boutiques Birkenstock devraient les y faire réfléchir à deux fois. La vie simple est peut être aussi illusoire aujourd’hui qu’hier, mais nous sommes tous devenus des porteurs de sandales.

      Paul Laity est rédacteur littéraire au sein de la vénérable London Review of Books. En 2001, il a publié la Left Book Club Anthology (l’Anthologie du club du livre de gauche) , (Weidenfeld & Nicolson)
      Traduction Entelekheia
      [1] William Morris, peintre, dessinateur de papier peint, écrivain et l’une des figures de proue d’un mouvement conjuguant art et artisanat, l’Arts and Crafts.
      [2] La première à avoir reconnu le talent d’Orwell. Elle l’aida à faire publier son premier livre en le portant elle-même à un agent littéraire qui le transmit à un éditeur, Victor Gollancz. Le livre, Down and Out in Paris and London, parut en 1933.
      [3] Une communauté socialiste utopique également connue sous le nom « Alcott House ».
      [4] Les réformistes du costume militaient contre le corset, pour le pantalon féminin, pour que les femmes s’habillent de façon adaptée à la mode des vélocipèdes, pour le port de sous-vêtements hygiéniques en laine, et plus généralement pour le port de vêtements pratiques, dits « rationnels ».
      [5] Club politique de centre-gauche, socialiste et réformiste créé en 1884. Gorge Bernard Shaw et Herbert George Wells en faisaient partie. La Fabian Society , qui se décrit aujourd’hui comme progressiste, existe toujours au sein du Parti travailliste. Elle est aujourd’hui alignée sur le néolibéralisme européiste de Tony Blair.
      [6] Jeu de mots sur un proverbe anglais. Littéralement, « la vie n’est pas toute faite de bière et de quilles », signifiant « la vie n’est pas toujours facile ».
      [7] Théorie loufoque sur des lignes imaginaires (également appelées « ley lines ») censées relier des sites préhistoriques de façon occulte.

      #culpabilisation #Gauche #Histoire_des_idées #Libéralisme #Socialisme_utopique #espéranto #hurluberlu #hurluberlue

      Cet article est paru dans Cabinet Magazine http://www.cabinetmagazine.org/issues/20/laity.php sous le titre ‘A Brief History of Cranks’.

  • Ponche a la romana
    https://cuisine-libre.fr/ponche-a-la-romana

    Punch à l’ananas, #Champagne, sorbet et vin blanc. Éplucher l’ananas et le couper en morceaux. Mixer avec un peu de jus. Sucrer à votre goût. Mélanger l’ensemble des boissons. Ajoutez l’ananas mixé. Servir bien frais, en ajoutant un peu de sorbet à l’ananas à la nage et décorer d’une tranche d’ananas. #Ananas, Champagne, #Punchs / #Sans_œuf, #Sans_viande, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Végétalien (vegan)

    #Végétalien_vegan_

  • Cake de Cornouailles au safran
    https://cuisine-libre.fr/gateau-de-cornouailles-au-safran

    Un classique de Cornouailles, parfait pour l’heure du thé. Dessécher le #Safran en le passant au #Four ou dans une poêle sèche. Le réduire en poudre. Dans une casserole, chauffer le lait à feu moyen, sans bouillir, avec le safran, jusqu’à ce que le mélange jaunisse. Laisser refroidir. Dans un bol, mélanger la farine, la levure, le sel et la noix de muscade. Ajoutez le beurre coupé en cubes et le sucre et malaxer du bout des doigts, jusqu’à ce que le mélange ressemble à de la chapelure. Incorporer les…

    #Groseille, Safran, Farine de blé, #Cakes / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, Four #Farine_de blé #Cornouailles

  • Courge turban farcie au quinoa
    http://cuisine-libre.fr/courge-turban-farcie-au-quinoa

    Préchauffer le #Four à 210°C. Laver les courges. Les placer dans un plat et les enfourner pour 30 minutes. Pendant ce temps, cuire le quinoa. Laver les radis. Émincer les radis ainsi que leurs fanes. Peler et émincer l’oignon et l’ail. Émincer les poireaux. Chauffer un filet d’huile dans une casserole pour y faire revenir l’oignon et les radis pendant 5 minutes. Ajouter leurs fanes et les faire suer 3 minutes en mélangeant. Ajouter les verts de poireau, l’ail et saler. Couvrir et laisser cuire 10 …

    #Farcis, #Giraumon / #Végétalien (#vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Four #Végétalien_vegan_

  • Bisque de courge poivrée aux pommes et au #Raifort
    http://cuisine-libre.fr/bisque-de-courge-poivree-aux-pommes-et-au

    Préchauffez le four à 230°C (thermostat 8). Coupez la courge poivrée en deux dans la longueur. Retirez les graines à l’aide d’une cuillère. Placez les moitiés à plat, peaux vers le haut, sur une plaque ou dans un plat de cuisson préalablement graissé. Rôtir pendant 45 minutes, jusqu’à ce que la courge devienne tendre et prenne une belle couleur dorée foncée. Pendant ce temps, pelez et évidez les pommes. Coupez-les en dés d’environ un demi-centimètre de côté. Dans un petit bol, mélangez les dés de pomme, le… Raifort, #Courgeron, #Bisques / #Végétarien, #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Végétalien (vegan), (...)

    #Végétalien_vegan_ #Bouilli

  • Pains d’épices de légumes secs
    https://cuisine-libre.fr/pains-d-epices-de-legumes-secs

    Petits #Pains_d'épices aux haricots et #Lentilles. Préchauffer le #Four à 160°C. Mixer les haricots rouges et les lentilles avec le miel. Il vaut mieux faire cette opération avec les légumes secs chauds. Ajouter la farine, le bicarbonate de soude et les épices. Bien mélanger. Verser dans des petits moules en silicone ou dans un petit moule à cake. Enfourner pour 45 minutes. #Haricot_rouge, Lentilles, Pains d’épices / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Végétarien, Four

  • Pot-tofu
    http://cuisine-libre.fr/pot-tofu

    Pot-au-feu de légumes au #Tofu fumé. Il vous apportera réconfort et bienfaits dès la première cuillerée… Nettoyer et préparer tous les légumes. Les couper en gros morceaux (ou les garder entiers s’ils sont beaux, mais ils seront un peu plus longs à cuire). Mettre à bouillir le vert de poireau, le céleri, avec l’oignon piqué de girofle, l’ail, quelques grains de poivre et le fond brun. Jeter les carottes et les navets dans le bouillon. Laisser frémir. Pendant ce temps, couper le tofu en cubes ou tranches.… Tofu, #Racines, #Potées / Végétalien (vegan), #Sans_œuf, #Sans_viande, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, (...)

    #Végétalien_vegan_ #Bouilli

  • Crumble de poireaux aux noix
    http://cuisine-libre.fr/crumble-de-poireaux-aux-noix

    Nettoyez et émincez les blancs de poireaux. Dans une poêle, faites revenir l’échalote émincée et l’ail haché dans le beurre. Ajoutez les poireaux, et laissez-les fondre pendant 20 min. Ajoutez le curry, le piment, le sel et le poivre. Préchauffez le #Four à 200°C (th.6/7). Préparez le crumble : dans un plat, mélangez à l’aide d’une fourchette, les noix, la farine, le parmesan, la fleur de sel et le poivre. Ajoutez le beurre et mélangez le tout du bout des doigts, la pâte doit être granuleuse. Dans un plat… #Poireau, #Noix_de_Grenoble, #Gratins / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, Four

  • Pom Princess
    https://cuisine-libre.fr/pom-princess

    Remplir un peu plus de la moitié d’un grand verre avec les glaçons. Verser la limonade dans le verre, jusqu’à la moitié de la quantité indiquée. Le but est de créer un mélange moitié limonade et moitié jus de #Grenade (à ajuster en fonction de la taille du verre). Verser lentement le jus de grenade. Ajouter l’eau gazeuse. Remuer avec une cuillère. Décorer d’une rondelle de citron. Grenade, #Vins_et_cocktails / Végétalien (vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten

    #Végétalien_vegan_

  • Bouillon de légumes aux radis bleus
    https://cuisine-libre.fr/bouillon-de-legumes-aux-radis-bleus

    On a l’habitude de consommer les #Radis crus : découvrez le radis bleu d’automne cuit dans un délicieux bouillon ! Lavez et brossez les carottes et les radis bleus. Coupez-les en rondelles fines. Lavez les poireaux et coupez les blancs en rondelles (gardez le vert pour une soupe mixée). Nettoyez les champignons et coupez-les en lamelles. Faites revenir l’ensemble des légumes 5 minutes dans l’huile d’olive. Couvrez les légumes d’eau, salez, poivrez. Mettez à cuire 25 minutes (ou 10 minutes à… #Eau, #Bouillons, Radis / #Végétarien, #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Végétalien (vegan), #Bouilli

    #Végétalien_vegan_

  • Poivrons farcis au quinoa et haricots noirs
    http://cuisine-libre.fr/poivrons-farcis-au-quinoa-et-haricots-noirs

    Préchauffer le four à 170°C/350°F. Cuire le quinoa dans le jus de carotte : porter à ébullition puis laisser mijoter env. 20 min à couvert. Pendant ce temps, découper chaque #Poivron, en figurant un visage. Mélanger le quinoa avec les haricots noirs. Saler au goût. Garnir les poivrons. Enfourner et cuire pendant 30 minutes. Servir avec une salade verte de saison.

    #Poivron, #Farcis #Halloween / #Végétalien (#vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, #Four #Végétalien_vegan_

  • Potage de potiron bleu de Hongrie
    https://cuisine-libre.fr/potage-de-potiron-bleu-de-hongrie

    Schtroumpf, alors ! Coupez délicatement le dessus du potiron, autour du pédoncule, pour en faire un couvercle. Retirez les graines. À l’aide d’une grosse cuillère, récupérez patiemment la chair, en raclant l’intérieur de la courge. Pelez la pomme de terre, lavez-la et coupez-la en cubes. Déposez les légumes dans une casserole, avec la chair de la courge, ajoutez le bouillon cube, la muscade et l’eau. Portez à ébullition et laissez mijoter une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que les légumes soient bien… #Potages, #Bleue_de Hongrie / #Sans_viande, #Végétarien, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Végétalien (vegan), (...)

    #Végétalien_vegan_ #Bouilli

  • Poires farcies au bleu et aux noix
    http://cuisine-libre.fr/poires-farcies-au-bleu-et-aux-noix

    La veille La veille, faire bouillir 75 cl d’eau avec les épices, le jus de citron et la #Vergeoise dans une grande casserole et maintenez la cuisson du sirop à petits frémissements. Lavez les poires, laissez la peau, coupez les en deux et, avec un petit couteau, enlevez délicatement le cœur, les pépins et la tige ligneuse du centre, en laissant cependant la queue attachée a la #Poire. Pressez quelques gouttes de citron sur la chair pour qu’elle ne brunisse pas. Quand les 4 poires sont prêtes,… Poire, Vergeoise, #Fromages_à pâte_persillée, #Farcis / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_gluten, #Bouilli, #Four

  • Tatsoi façon Mimi
    http://cuisine-libre.fr/tatsoi-facon-mimi

    Chauffez un peu d’huile d’olive dans une sauteuse.

    Ajoutez rapidement votre tatsoi émincé.

    Assaisonnez avec de l’ail, du piment et du sel.

    Remuez souvent et ajoutez un tout petit peu d’eau si le légume n’en produit pas lui-même.

    En 7 min c’est prêt et délicieux ! #Bok_choy, #Poêlées_et woks / #Végétarien, Végétalien (vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Sauté

    #Végétalien_vegan_ #Sauté

  • Salade de farro aux poires et gorgonzola
    http://cuisine-libre.fr/salade-de-farro-aux-poires-et-gorgonzola

    Beau mariage de saveurs sucrées-salées, entre la douceur de la poire, le goût prononcé du gorgonzola, la saveur de noix du farro… Dans un bol, mélanger l’huile vierge extra au vinaigre et au miel. Poivrer généreusement et saler. Mélanger et réserver. Laver la roquette, l’égoutter et la couper grossièrement. Couper le gorgonzola en dés. Laver les poires sans les éplucher, les sécher, les couper en quatre, éliminer le trognon puis les couper en tranches très fines. Dans le saladier, verser l’épeautre.…

    #Poire, #Gorgonzola, #Farro, #Salades_de féculents / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien