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#BD #vegan #veganfood #comics #végé #vegetalien #vegetarien
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« Je ne me sens pas en sécurité à l’UQAM » - Le devoir - Marco Fortier
▻https://www.ledevoir.com/societe/education/700803/education-je-ne-me-sens-pas-en-securite-a-l-uqam
Menaces, intimidation, local vandalisé : des étudiants en science politique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) disent être la cible d’une campagne de harcèlement de la part de militants extrémistes. Ébranlés, une demi-douzaine d’étudiants ont décidé de quitter l’UQAM pour continuer leurs études dans une ambiance plus paisible.
Selon ce que Le Devoir _ a appris, des tensions entre une association étudiante de l’UQAM et des militants qui se qualifient de « woke » ont dégénéré au cours des derniers jours. Le local de l’Association étudiante du module de science politique (AEMSP) a été vandalisé durant la nuit de mardi à mercredi, la semaine dernière. Une enquête interne est en cours pour trouver les auteurs du saccage. La police a aussi été avisée.
« Je suis stressé. J’ai peur pour mon intégrité physique et personnelle. Je n’ai plus envie de mettre les pieds à l’UQAM parce que je ne me sens plus en sécurité », dit Jérôme Dufour, qui a démissionné de son poste de coordonnateur général de l’AEMSP.
Tout comme une demi-douzaine de ses collègues, il a décidé de quitter l’UQAM après avoir été la cible de harcèlement au cours des derniers mois. Le saccage du local de l’AEMSP, la semaine dernière, a été la goutte de trop : porte défoncée, ordinateur et imprimante jetés par terre, meubles renversés, graffitis sur les murs. « Fuck la CAQ », « fuck QS », « vive les woke », « fuck toute », « vandalisme », « ACAB » (All cops are bastards), ont notamment écrit les visiteurs non invités.
« On veut que ça bouge, ajoute-t-elle. J’aimerais que mes amis qui continuent au bac l’année prochaine n’aient plus peur de se promener dans les corridors et de se faire crier des choses. On a beau être de gauche, pour des extrémistes, on n’est jamais assez à gauche. Je vote pour QS, comme beaucoup d’étudiants à l’UQAM, mais je ne suis pas extrémiste. »
Une minorité bruyante
La jeune femme dit avoir constaté qu’une minorité d’étudiants qu’elle considère comme « extrémistes » font la pluie et le beau temps à l’UQAM. Avant même son engagement dans le mouvement étudiant, des signes lui avaient mis la puce à l’oreille.
À l’été 2021, elle et ses collègues de science politique organisaient des 5 à 7 au parc Laurier. Certains membres de la communauté étudiante avaient protesté : l’alcool « n’est pas inclusif » dans les soirées étudiantes, selon eux. Marie-Audrey Bernier s’est aussi fait reprocher de faire partie « d’un groupe d’hommes blancs hétérosexuels ». Le cercle d’amis était pourtant représentatif de la diversité montréalaise, souligne l’étudiante : « juif, communiste, gauchiste, droitiste, conservateur, féministe, Colombien, Algérien, Québécois de souche, séparatiste, fédéraliste, homosexuel, queer. Bref, j’en passe. Ce qu’il y avait de magnifique, c’était l’ouverture qui nous unissait. »
Une fois élus au bureau de l’AEMSP, à l’automne 2021, Marie-Audrey et ses collègues ont vécu d’autres difficultés. Les anciens membres du bureau ont refusé de donner les clés du local aux nouveaux élus. Des gens venaient faire le party et laissaient alcool et restes de nourriture sur place. Il a fallu changer la serrure.
Un événement visant à célébrer la Journée internationale des droits des femmes a créé du mécontentement. Trois étudiantes sont venues invectiver Marie-Audrey Bernier, en lui reprochant d’avoir « exclu les personnes non binaires » (ce dont elle se défend). Un 5 à 7 où les femmes auraient droit à un verre gratuit a aussi provoqué un « malaise » : « On me dit que j’encourage la culture du viol, que je suis fasciste et que l’association étudiante est misogyne. Lorsqu’elles sortent du local, j’ai peur. L’angoisse reprend. »
Le lendemain, le local étudiant a été vandalisé une première fois. Par la suite, des membres de l’AEMSP disent se faire intimider et insulter à tout moment dans l’UQAM. Dans les corridors, au café étudiant, au local de l’association. Marie-Audrey Bernier, Jérôme Dufour et leurs collègues se sentent abandonnés par la direction de l’université.
Enquêtes en cours
Jean-Christian Pleau, vice-recteur à la vie académique de l’UQAM, assure que l’établissement prend la situation « très au sérieux ». « Pour moi, c’est une situation d’intimidation et de harcèlement entre des personnes étudiantes. Il est clair que c’est complètement à l’opposé du climat que nous souhaitons voir sur le campus et des valeurs que nous préconisons », dit-il au Devoir.
Il affirme que la sécurité dans le secteur du local vandalisé sera renforcée à compter de mardi matin. En plus de l’enquête policière, le Service de prévention et de sécurité de l’UQAM mène son analyse. Les responsables du vandalisme risquent d’être traduits devant le comité de discipline de l’établissement. La sanction peut aller jusqu’à l’expulsion de l’UQAM.
« Dans un passé qui n’est pas si lointain, il arrivait que le discours politique serve de prétexte ou de paravent à des formes d’intimidation. Ce n’est pas un phénomène nouveau, je crois. C’était une façon d’excuser beaucoup de choses, de dire c’est normal, c’est de la politique. Je pense que cette excuse-là n’est plus admise aujourd’hui. Nous allons déployer tous nos mécanismes d’intervention pour essayer de résoudre la situation. On ne souhaite pas que les choses en restent là », précise le vice-recteur.
Des activités dérangeantes
L’Association facultaire étudiante de science politique et de droit (AFESPED), montrée du doigt par des étudiants pour certains gestes d’intimidation, se défend d’avoir commis tout geste déplacé. « L’AFESPED a toujours adopté une attitude cordiale et bienveillante envers l’AEMSP, notamment au sein des instances de collaboration entre associations », indique une déclaration transmise au Devoir par le bureau de l’AFESPED.
Des membres de la communauté étudiante « se sont plaints de comportements, de propos et d’activités de la part du bureau de l’AEMSP jugés inappropriés » au cours des derniers mois. Des références à Donald Trump et à Vladimir Poutine ont été mal reçues, d’autant plus que « des mandats féministes, antiracistes et contre la montée de l’extrême droite au Québec et en Occident ont été adoptés en assemblée générale par les membres de l’AEMSP eux-mêmes », rappelle l’AFESPED.
#woke #wokisme #violence #harcèlement #université #menaces #intimidations #agression #intimidation #extrémisme #inclusif #diversité #queer #binaires #culture_du_viol #féminisme #antiracisme #Quebec #uqam
La malbouffe se répand chez les végans et serait pire pour la santé RTS - Charlotte Onfroy-Barrier, Feriel Mestiri
▻https://www.rts.ch/info/economie/12950435-la-malbouffe-se-repand-chez-les-vegans-et-serait-pire-pour-la-sante.htm
Etre végétarien ou végan n’est plus forcément synonyme d’esprit sain dans un corps sain. La malbouffe s’est propagée au sein d’une population qui voulait faire la part belle au bien-être animal comme environnemental.
Dans les grandes surfaces ou dans les restaurants, les choix en matière de malbouffe s’étoffent. Saucisses, burgers, nuggets, cordons verts et même crevettes ou thon végétal existent désormais en version végan, c’est-à-dire qu’ils ne contiennent aucun produit d’origine animale.
Pour les personnes qui souhaitent arrêter la viande, toutes ces alternatives doivent permettre de remplacer les produits d’origine animale. Au niveau de l’aspect et du goût, la ressemblance avec de la vraie viande est parfois troublante.
Du côté de la diététique, en revanche, mieux vaut miser sur le tofu, les lentilles ou autres légumineuses riches en protéines. Selon la nutritionniste Tessa Ang, qui a épluché les étiquettes de plusieurs marques de burgers et de nuggets végan, « ces produits sont riches en protéines, mais en termes de nutriments, ils sont très pauvres ».
Dangereux mélange
Entre 11 et 25 ingrédients sont nécessaires pour composer ces aliments, du fécule de maïs au stabilisant en passant par le sel et autres huiles et farines. Souvent plus gras et plus salés que la viande, ces produits sont aussi gavés d’additifs. Des épaississants, émulsifiants et stabilisants qui créent l’illusion, mais qui peuvent être dangereux pour la santé. Surtout lors qu’ils passent sur le grill.
« Certaines vitamines sont fragiles à haute température. Dans l’industrie alimentaire de ce genre de produits, les ingrédients sont généralement chauffés avant d’être transformés et de passer par des machines. C’est ce mode de surchauffe qui va dénaturer les aliments et leur faire perdre leurs nutriments », explique Tessa Ang.
Ce déficit de nutriments dans le produit peut, à terme, dénaturer la flore intestinale et avoir des conséquences sur la santé, telles que la dépression, la fatigue, des pertes de mémoires ou de l’anémie. Quant à la trop forte quantité d’ingrédients, elle peut provoquer ballonnements, flatulences, inconforts digestifs ou des réactions sur le transit.
L’économie de 12’100 litres d’eau
L’an dernier, la Fédération romande des consommateurs (FRC) a passé au crible 39 burgers, hachis et escalopes végan. Le résultat est sans appel : seul un quart des références obtient une bonne appréciation.
Le responsable des produits culinaires chez Nestlé suisse Jérôme Bonvin rappelle, lui, l’argument écologique d’un repas végétalien : « Il faut 13’000 litres d’eau pour produire un kilo de boeuf, alors qu’il en faut 900 pour produire un kilo de soja », a-t-il argué dans le 19h30 de la RTS.
Pas tous les jours
Le gérant du restaurant Envie Vegan à Genève voit surtout dans ces alternatives à la viande l’occasion de rassembler adeptes et opposants au véganisme. Il admet d’ailleurs multiplier les sauces et les graisses en cuisine : « Il ne faut pas venir manger nos menus tous les jours. On ne se prive pas au niveau des graisses. Et les simili carne qu’on utilise contiennent quand même du gras, donc on ne va pas dire aux gens que c’est bon pour la santé, alors que ça ne l’est pas. »
Pour la nutritionniste Tessa Ang, il n’est pas nécessaire pour autant de tirer un trait définitif sur ces aliments. Ceux qui souhaitent prendre soin de leur santé comme de leur environnement pourront toujours manger de la malbouffe végan. Mais seulement de temps en temps, pour le plaisir.
#vegan #végétarien #malbouffe #viande #véganisme #graisse #additifs #beurk
Varsovie refuse d’accepter et de payer de nouvelles livraisons de vaccins Le Figaro
▻https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-pologne-refuse-d-accepter-et-de-payer-de-nouvelles-livraisons-d
La Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles livraisons de vaccins anti-Covid, a déclaré mardi le ministre de la Santé, indiquant que son pays disposait toujours de 25 millions de doses non-utilisées.
Selon lui, la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, dispose toujours de 25 millions de doses de vaccins, alors que 67 à 70 millions d’autres ont été commandées. Actuellement, environ 51% des Polonais ont été entièrement vaccinés, 59% ont reçu une seule dose, et le taux de vaccination a fortement baissé, selon les données du ministère de la Santé.
Red Vegans against Green Peasants // New Socialist
▻http://newsocialist.org.uk/red-vegans-against-green-peasants
Calls to end animal agriculture and rewild much of the world are calls for the intensification of the exploitation of the rural by the urban, and the dispossession of peasants, small farmers, herders and nomads.
#véganisme #marxisme #épidémiologie #écologie #rob_wallace #max_ajil #peasants
“VivaBiH”: vegani in Bosnia Erzegovina
▻https://www.balcanicaucaso.org/aree/Bosnia-Erzegovina/VivaBiH-vegani-in-Bosnia-Erzegovina-213091
“VivaBiH” è la prima organizzazione che si batte per i diritti degli animali registrata in Bosnia Erzegovina. Dal 2016, attraverso progetti e campagne mediatiche, persegue la completa abolizione dei sistemi che sfruttano tutti gli animali, promuovendo il veganismo. Un’intervista
Vromages #Véganes
▻https://infokiosques.net/spip.php?article1845
« Cette brochure a pour vocation de faciliter et accompagner la transition végane afin de cesser l’exploitation des vaches et des chèvres pour leur lait, ingrédient de base du fromage. Les vaches, les chèvres et toutes les femelles exploitées pour leur capacité à produire du lait ne souhaitent pas être inséminées artificiellement et à répétition, se voir séparées de leurs nourrissons qui partent à l’abattoir peu de temps après leur naissance, cloîtrées dans des exploitations laitières aux bords de l’agonie financière pour être finalement envoyées elles aussi à l’abattoir bien avant d’avoir vécu leur vie. Soyons leurs complices dans la résistance à leur exploitation et cessons de nous nourrir de produits d’origine animale. » V
/ #Antispécisme,_végétarisme, #Guides_pratiques, Infokiosque fantôme (...)
#Infokiosque_fantôme_partout_
▻https://www.collectifanticrasse.org
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Fromage_Fondant.html
▻https://vegan-pratique.fr/recettes/fondue-maison
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tamine_(tissu)
▻https://francevegetalienne.fr/blog/2016/3/24/fromage-frais-vgtal-vegan
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Fromage_Frais_Ail_et_Fines_Herbes_ou_Poivre.html
▻https://francevegetalienne.fr/blog/2020/8/13/brousse-vgtalien-vegan
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Fromage_Frais_Ferme_Ail_et_Fines_Herbes_ou_Poivre.h
▻https://www.season-square.com/fromage-a-pizza-vegan.html
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Fromage_a_Gratiner.html
▻https://francevegetalienne.fr/blog/2017/7/14/fromage-vgtal-rper
▻https://francevegetalienne.fr/blog/2016/4/28/fromage-fondu-vgtalien-vegan
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Comte_ou_Reblochon_a_Fondre.html
▻https://www.recettes-vegetales.fr/feta-vegetale
▻http://www.damamme.com/7_veganisme/3_veggies_recettes/html/Veggies_Recettes_Erik_-_Mozart_Est_La.html
▻https://infokiosques.net/https:/www.recettes-vegetales.fr/fromage-d-amande-roti
Recette de Des épices et des graines
▻https://sain-et-naturel.ouest-france.fr/14-fromages-vegan-qui-vous-feront-oublier-le-vrai.html
▻https://francevegetalienne.fr/blog/2016/10/13/fromage-vgtal-faon-chvre-vgtalien-vegan
▻https://foodforestlab.com/comment-faire-un-fromage-vegetal-a-base-de-legumineuses
▻https://infokiosques.net/IMG/pdf/Vromages-pageparpage.pdf
▻https://infokiosques.net/IMG/pdf/Vromages-cahier.pdf
Le rapport parlementaire qui veut mettre les militants écologistes en prison
►https://reporterre.net/Le-rapport-parlementaire-qui-veut-mettre-les-militants-ecologistes-en-pr
Une mission d’information parlementaire pilotée par Les Républicains et La République en marche demande de « renforcer l’arsenal pénal » contre « les #militants #antiglyphosate, #véganes ou #antichasse ». Les propositions pourraient être inscrites dans la loi, une perspective qui inquiète fortement les militants #écologistes ou #antispécistes.
Taboulé turc (kisir) - recette végétalienne - cuisine-libre.fr
▻https://cuisine-libre.fr/taboule-turc-kisir
▻https://www.instagram.com/p/CDvz4tZoNV4
Joliment orangé et un peu relevé, à préparer en avance pour un repas frais. Verser le boulgour dans un grand saladier, verser l’eau salée par dessus, couvrir et laisser gonfler 10 minutes. Pendant ce temps, préparer les autres ingrédients. Ciseler les herbes et…
#taboule #kisir #Végétalien #vegan
Pourquoi les Végans énervent-ils tout le monde ? (TenL 86)
▻https://www.youtube.com/watch?v=pXzxYVBlHp8
Débat et démontage des arguments non rationnels pour le véganisme… par une végan
Grand classique des engueulades, qu’elles soient en famille, sur les réseaux, entre amis : le véganisme !
Est-ce un extrémisme idéologique avec de fortes affinités pour les milieux sectaires, ou bien le moralisme naïf que suscite le rejet d’une société insupportable ? Peut-être qu’en revenant aux définitions, aux racines du mouvement on peut en parler sans geindre ou grincer des dents, ce sera notre défi.
Visitez le site de notre invitée : ▻https://questionsanimalistes.com
#végan #véganisme #argumentation #zététique #Tronche_en_biais #éthique #animalisme #animaux
Pas entièrement fini, mais l’argumentation entière se base sur trois personnes qui ne prennent pas du tout en compte les problèmes d’autonomie politique et matérielle. Ils n’ont aucun problème à prendre de la vitamine B12 acheté à des gros labos, et même comme Vled à manger de la viande de synthèse quand ça sera disponible. À cela ils opposent l’argument que « la nature », « le naturel » ça n’existe pas, et c’est parfaitement vrai. Sauf que par ici, on n’argumente généralement pas avec « la nature c’est bien », mais avec le fait que (tout comme les OGM même s’ils n’étaient pas dangereux pour la santé) cela implique une énorme perte d’autonomie pour les groupes sociaux / les territoires, qui devraient se nourrir comme ça. Et s’habiller pareil, avec le pétrole et les procédés bien plus complexes et mondialisés (et polluants !) que pour s’habiller avec un mélange de fibres végétales et animales (cuir, laine, etc). Il n’y a pas besoin de faire appel à la Nature pour critiquer cela.
Des vegans pas écolos ? Je tombe des nues !
Ah si, ils argumentent (avec raison en bonne partie tout de même) que ça diminue de très beaucoup l’emprunte écologique (et ils ne veulent pas non plus que toute la planète mange comme ça, ils réservent leur militantisme uniquement à la manière dont on vit en pays industrialisé et urbanisé). Mais c’est surtout sur l’aspect politique/social/autonomie que ça pêche.
Ça reste une bonne émission qui fait vraiment le tri des arguments, pour ne garder que ceux qui sont rationnels. Cela permet déjà de ne se concentrer plus que sur ceux-là si on doit débattre, ce qui est une avancée je trouve. Le plus important étant l’autonomie matérielle et politique d’après moi.
Jérôme Segal : « Qui sont les animaux ? »
▻https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux
La planète est donc paralysée. « Le #coronavirus à l’origine de l’actuelle pandémie provient indiscutablement de la consommation d’#animaux », vient de rappeler un collectif essentiellement constitué de médecins. Jérôme Segal, historien et chercheur, a cosigné cette tribune. Si l’apparition de maladies liées aux types de relations que nous entretenons avec les animaux n’est évidemment pas inédite, peut-être cette crise sanitaire-ci amènera-t-elle à les reconsidérer en profondeur, avance l’essayiste. Son dernier ouvrage, Animal radical, vient de paraître (du moins le sera-t-il vraiment lorsque les librairies rouvriront). Sous-titré Histoire et sociologie de l’#antispécisme, il donne à lire la diversité souvent contradictoire de ce mouvement philosophique et politique. Fort d’une enquête conduite en France, au Canada et en Israël, il rappelle également ses racines historiques au sein de la tradition socialiste — et plus encore libertaire —, avant même de s’être déployé sous le nom d’antispécisme dans les années 1970 via la gauche anglosaxonne. Nous revenons avec lui sur le tableau qu’il brosse.
Dans un rapport gouvernemental, les anarchistes et les vegans sont désignés aussi dangereux que des djihadistes (article de novembre 2019) :
▻https://lareleveetlapeste.fr/dans-un-rapport-gouvernemental-les-anarchistes-et-les-vegans-sont-
et le rapport de juin 2019 (sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite en France) :
▻http://www.assemblee-nationale.fr/15/rap-enq/r2006.asp
« Le rapporteur invite le CIPDR à se saisir rapidement de cette question et à élargir le champ de la réflexion à toute forme de radicalisation (anarchiste, antisioniste, vegan etc.). »
#anarchistes #nébuleuse #surveillance #extrêmedroite #radicalisation #végan
Pâte à crêpes végétale
▻https://cuisine-libre.fr/pate-a-crepes-vegetale
Dans un saladier, verser la farine et la fécule — avec le sel et le sucre. Mélanger. Creuser un puits et verser l’huile. Mélanger légèrement. Ajouter le lait petit à petit, tout en mélangeant, pour éviter les grumeaux. Si des grumeaux se forment, battre vigoureusement au fouet (ou passer un coup de mixeur). Enfin, ajouter l’eau et mélanger jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Laisser reposer 1 à 2 h à température ambiante. Cela rend la pâte bien souple et élastique et non cassante. La pâte a dû épaissir.…
#Crêpes_et_blinis, #Lait_végétal, Farine de blé / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Végétalien (#vegan), (...) #chandeleur #Farine_de blé #Végétalien_vegan_ #Sauté
Janvier vegan : efficace pour diminuer ses émissions de CO2 ?
▻https://usbeketrica.com/article/janvier-vegan-efficace-diminuer-empreinte-carbone-vegetariens
Leo di Caprio et Mark Ruffalo semblaient comblés lors de la dernière cérémonie des Golden Globes. Les deux acteurs n’ont pas remporté de statuette mais ont pu applaudir les lauréats tout en dégustant un menu 100% vegan – une première lors d’une telle soirée. « C’est très bien de voter mais il faut parfois prendre nos propres responsabilités, faire des choix et des sacrifices dans nos vies personnelles. J’espère que nous en serons capables », a souhaité sur scène Joaquin Phoenix, qui en plus de remporter le Golden Globe du « Meilleur Acteur » pour son rôle dans Joker, s’est avéré être l’instigateur de la transformation des Golden Globes en restaurant vegan d’un soir.
Les riches nous expliquent comment bouffer.
#écologie_des_riches
L’impact de l’agriculture et donc de notre alimentation sur l’environnement est majeur. D’après le Giec, l’agriculture – déforestation comprise – et l’occupation des terres représentent près du quart de l’ensemble des émissions humaines de gaz à effet de serre (23 %). Or, la viande et les produits laitiers contribueraient à hauteur de 60 % aux émissions du secteur, tout en ne nous fournissant que 18 % de nos calories, selon une étude de 2018 citée par le New Scientist.
Ben oui, le bœuf brésilien et la biquette dans la montagne qui entretient le paysage, c’est la même chose sur le plan environnemental.
En suivant le régime vegan sur l’ensemble du mois de janvier, les salariés omnivores du journal britannique auraient ainsi économisé l’équivalent de l’émission de 80 kg de CO2 chacun. Soit ce qu’émet un trajet en voiture de 400 km ou bien un vol entre Londres et la Suisse, estime le New Scientist. (...)
Certes, cela peut sembler dérisoire comparé aux plus de 43 milliards de tonnes de CO2 émises par les activités humaines en 2019.
#anthropocène : on parle bien des activités humaines comme bouffer et chier (c’est mal !), pas comme pêcher au chalut, extraire des fonts marins, marketer des moyens de transport électriques qui sont des activités... invisibles.
We Destroyed the Oceans. Now Scientists Are Growing Seafood in Labs. – Mother Jones
▻https://www.motherjones.com/food/2019/12/we-destroyed-the-oceans-now-scientists-are-growing-seafood-in-labs
Do you love burgers—but not the animal cruelty and environmental degradation that go into making them? I come bearing good news: Someday, you might be able to get your meat fix, without all that bad stuff. Scientists can now grow animal flesh, without raising—or in most cases killing—an animal. This food, called “lab-grown meat,” “cell-based meat,” “cultured meat,” “cultivated meat,” “clean meat,” or as comedian Stephen Colbert jokingly called it in 2009, “shmeat,” has set off a flurry of media attention in recent years. Dozens of lab-grown meat companies have materialized, most aiming to solve the problems associated with large-scale beef, pork, poultry, and seafood production.
Finless Foods, a 12-person food-tech startup founded in 2017 and based in Emeryville, California, claims to be the first company to focus on lab-grown fish, although a handful of other startups have since joined them. In October, 28-year-old Finless Foods co-founder Mike Selden gave me a tour of their facility, and I dished about it on the latest episode of the Mother Jones food politics podcast Bite:
Selden and his co-founder Brian Wyrwas, both products of an agricultural biochemistry program at UMass Amherst, started the company, he says, to “make something good.”
“We started off with zebrafish and goldfish,” which already had a lot of cell biology research behind them, Selden explains. “From there, we did our first prototypes, which were carp.” The company grew tilapia, bass, rainbow trout, salmon, Mahi Mahi, lobster, and Fugu (poisonous pufferfish) meat before settling on Bluefin tuna, whose stocks have dropped sharply in the last few decades.
The idea behind lab-grown fish, Selden says, is multi-pronged. The technology, they hope, will prevent the killing of animals for food, cut down on overfishing, and eliminate mercury and microplastic contamination in seafood. “We see this as creating a clean food supply on land: no mercury, no plastic, no animals involved, and it can still meet people’s needs.”
Do you love burgers—but not the animal cruelty and environmental degradation that go into making them? I come bearing good news: Someday, you might be able to get your meat fix, without all that bad stuff. Scientists can now grow animal flesh, without raising—or in most cases killing—an animal. This food, called “lab-grown meat,” “cell-based meat,” “cultured meat,” “cultivated meat,” “clean meat,” or as comedian Stephen Colbert jokingly called it in 2009, “shmeat,” has set off a flurry of media attention in recent years. Dozens of lab-grown meat companies have materialized, most aiming to solve the problems associated with large-scale beef, pork, poultry, and seafood production.
Finless Foods, a 12-person food-tech startup founded in 2017 and based in Emeryville, California, claims to be the first company to focus on lab-grown fish, although a handful of other startups have since joined them. In October, 28-year-old Finless Foods co-founder Mike Selden gave me a tour of their facility, and I dished about it on the latest episode of the Mother Jones food politics podcast Bite:
Selden and his co-founder Brian Wyrwas, both products of an agricultural biochemistry program at UMass Amherst, started the company, he says, to “make something good.”
“We started off with zebrafish and goldfish,” which already had a lot of cell biology research behind them, Selden explains. “From there, we did our first prototypes, which were carp.” The company grew tilapia, bass, rainbow trout, salmon, Mahi Mahi, lobster, and Fugu (poisonous pufferfish) meat before settling on Bluefin tuna, whose stocks have dropped sharply in the last few decades.
The idea behind lab-grown fish, Selden says, is multi-pronged. The technology, they hope, will prevent the killing of animals for food, cut down on overfishing, and eliminate mercury and microplastic contamination in seafood. “We see this as creating a clean food supply on land: no mercury, no plastic, no animals involved, and it can still meet people’s needs.”
Selden doesn’t like the term “lab-grown.” Industry insiders argue it makes their products sound artificial and unappetizing. He instead prefers to call it “cell-based.” He argues that the process of growing fish in a lab is actually very similar to how fish grow and develop in the wild.
It begins with a sample—about the size of a grain of rice—of real meat from a real fish. (The tuna doesn’t have to die during this process, but often does. In the company’s two-and-a-half-year history, they’ve killed fewer than 20 tuna.) Those cells are put in a liquid “feed,” like a nutritious soup, which gives them the energy to grow and divide, just like they would in a real, growing fish.
When I ask Selden why people would choose his product over other alternatives, like sustainably caught or farm-raised fish, he says, “They won’t.” He elaborated: “We’re specifically shooting for people who really don’t care about sustainability.” To appeal to seafood connoisseurs, he says, his company plans to first sell to upscale restaurants rather than grocery stores. Fine dining, he believes, is an “easier way to get public perception on your side—especially when we’re specifically searching for foodies rather than for a sustainably-minded consumer.”
Funders seem to agree—they have already invested millions of dollars into Finless Foods. Early supporters include an aquaculture investment firm based out of Norway called Hatch, an Italian food science company, Hi-Food, a Japanese tuna company, Dainichi Corporation, and Draper Associates, a venture capital firm founded by Silicon Valley investor Tim Draper. Animal welfare organizations including PETA and Mercy for Animals have voiced support for lab-grown meat as a whole. And according to a 2018 survey conducted by Faunalytics, a non-profit animal advocacy research organization, 66 percent of consumers were willing to try clean meat.
It is yet to be seen whether Finless Foods’ sashimi will win over die-hard seafood fanatics. Then again, they might not have a choice: As climate change worsens, and the ocean becomes too hot, too acidic, too polluted, and over-fished, it’s possible that one day some types of seafood may come only in a lab-grown variety. As Specht told me, “I think cultivated meat may truly be our only option for preserving the diversity of aquatic species we eat.”
#pêche #poisson #viande_de_culture_cellulaire #viande_in_vitro #in_vitro #végan #start-up #soutenabilité #poubelle_industrielle #soleil_vert #make_the_world_a_better_place #animal
Lien avec
Jocelyne Porcher, Cause animale, cause du capital
►https://journals.openedition.org/lectures/39443
Aux yeux de l’auteure, le déploiement de l’agriculture cellulaire, qui crée des produits similaires à ceux issus de l’agriculture traditionnelle mais à partir de la culture de cellules, pourrait susciter la « disparition » de ces animaux. Ce marché encore embryonnaire serait propulsé par les acteurs de la cause animale, qui défendent précisément la libération des animaux de toute activité de travail, dans un souci de garantir leur bien-être. Cependant, pour la sociologue, ladite libération pourrait susciter l’effet inverse : « les chiens, les chevaux et d’autres animaux engagés dans le travail peuvent souffrir d’en être écartés » (p. 40) car une part importante de leurs comportements a été acquise dans le travail. Ainsi, elle propose comme alternative de « refaire de l’élevage », c’est-à-dire de redéfinir ses bases, en le rapprochant de l’élevage traditionnel ou paysan, en évitant son assujettissement au système industriel et en permettant aux éleveurs et à leurs bêtes de vivre dignement.
Courge turban farcie au quinoa
▻http://cuisine-libre.fr/courge-turban-farcie-au-quinoa
Préchauffer le #Four à 210°C. Laver les courges. Les placer dans un plat et les enfourner pour 30 minutes. Pendant ce temps, cuire le quinoa. Laver les radis. Émincer les radis ainsi que leurs fanes. Peler et émincer l’oignon et l’ail. Émincer les poireaux. Chauffer un filet d’huile dans une casserole pour y faire revenir l’oignon et les radis pendant 5 minutes. Ajouter leurs fanes et les faire suer 3 minutes en mélangeant. Ajouter les verts de poireau, l’ail et saler. Couvrir et laisser cuire 10 …
#Farcis, #Giraumon / #Végétalien (#vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, Four #Végétalien_vegan_
Véganisme et capitalisme – Floraison(s)
▻https://lesfloraisons.wordpress.com/2019/12/13/veganisme-et-capitalisme
Peut-être que l’émancipation humaine peut avoir lieu sans la libération des animaux, mais la libération des animaux n’aura pas lieu sans l’émancipation humaine. Et si ces luttes ont trouvé au cours de l’histoire des points d’alliance, il est plus que jamais temps de nouer des liens. Le véganisme est un projet porteur des perspectives nouvelles et libératrices, qui peut réinterroger de manière radicale notre rapport au monde, et qui invoque l’empathie autant que la raison dans nos luttes politiques.
Poivrons farcis au quinoa et haricots noirs
▻http://cuisine-libre.fr/poivrons-farcis-au-quinoa-et-haricots-noirs
Préchauffer le four à 170°C/350°F. Cuire le quinoa dans le jus de carotte : porter à ébullition puis laisser mijoter env. 20 min à couvert. Pendant ce temps, découper chaque #Poivron, en figurant un visage. Mélanger le quinoa avec les haricots noirs. Saler au goût. Garnir les poivrons. Enfourner et cuire pendant 30 minutes. Servir avec une salade verte de saison.
#Poivron, #Farcis #Halloween / #Végétalien (#vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Sans_gluten, #Four #Végétalien_vegan_
#Alimentation. Ces #végans qui se reconvertissent en “#bouchers_éthiques”
Aux États-Unis, des végans se lancent dans la #boucherie, pour mieux lutter contre l’#industrie_agroalimentaire. Aux antipodes de l’élevage intensif, les nouvelles “#boucheries_éthiques” proposent de la viande de bêtes élevées en plein air et nourries à l’herbe, dans le respect de l’environnement et du bien-être animal.
▻https://www.courrierinternational.com/long-format/alimentation-ces-vegans-qui-se-reconvertissent-en-bouchers-et
#résistance #lutte #industrie_agro-alimentaire #USA #Etats-Unis
Râgout de haricots beurre au tofu
▻https://cuisine-libre.fr/ragout-de-haricots-beurre-au-tofu
Équeuter les haricots et écosser les petits pois. Éplucher l’oignon, le gingembre et l’ail. Émincer l’oignon en demi-rondelles, hacher l’ail et râper le gingembre. Faire revenir l’oignon au fond d’un faitout huilé. Ajouter le gingembre et l’ail. Ajouter les épices. Couper le tofu en cubes et l’ajouter à la poêle. Mélanger. Ajouter les haricots…
#Tofu, #Haricot_vert, #Ragoûts / #Végétarien, #Sans_œuf, #Sans_viande, Végétalien (vegan), #Sans_lactose, #Sans_gluten, (...)
#Végétalien #vegan #Mijoté
L’intersectionnalité, ou quand écolos, féministes et antiracistes se déchirent
Semaine après semaine, le petit monde bruyant et perturbé des militants de l’intersectionnalité semble dériver un peu plus loin dans les cascades et les rapides de la confusion, semblable à une improbable « Nef des Fous » en partance vers son inéluctable chute. (...)
En ce contexte estival, c’est principalement la combinaison du néo-féminisme et de l’écologie qui semble poser de nombreux problèmes psychologiques aux valeureux combattants de la postmodernité agonisante. Et si le féminisme était soluble dans l’écologie ? Et si les casseurs vegans étaient pris de pudeurs de jouvencelles devant les boucheries halal ? Et si les militants gays réalisaient, ô surprise, que l’islam politique n’est pas leur ami ? Et si les féministes et les transsexuels devenaient en réalité concurrents sur le marché croissant de la discrimination positive ? Ces questions relèvent d’une intersectionnalité prise à son propre piège « minoritariste », puisqu’à flatter les egos victimaires plutôt que l’intérêt général décrété fasciste, patriarcal, occidental, colonialiste et autres billevesées, il finit bien évidemment par voir tous ces atomes de revendication s’entrechoquer dans une inévitable concurrence.
Rappelons tout d’abord, pour bien comprendre les termes du débat, que l’intersectionnalité, telle qu’elle fut pensée au départ par l’universitaire américaine afro-féministe Kimberlé Crenshaw en 1989, n’est pas en soi un concept saugrenu.
(...) Le problème toutefois vient de l’extension de ces notions de races et de sexes, devenues omniprésentes et obsessionnelles, et qui finissent par asphyxier et phagocyter toute forme de débat social : précisément d’ailleurs, le problème vient de la disparition des préoccupations sociales fondées sur l’analyse des différences de classes, des enjeux de pouvoir et de domination qu’elles induisent, au profit d’une vision victimaire et communautarisée, réhabilitant la notion de race et littéralement obsédée par des sentiments d’oppressions multiples, celles-ci étant multipliables à l’infini puisque le critère de base de ces théories repose sur l’indice de souffrance et donc sur le témoignage de chacun : on est toujours le dominé de quelqu’un.
#intersectionnalité #ecolo #feminisme #vegan
▻http://www.lefigaro.fr/vox/politique/l-intersectionnalite-ou-quand-ecolos-feministes-et-antiracistes-se-dechiren
Laurent Alexandre, le grand soir vegan est bidon (et vous le savez) | Slate.fr
▻http://www.slate.fr/story/181164/laurent-alexandre-grand-soir-vegan-argument-bidon
Dans un récent billet publié dans L’Express, Laurent Alexandre alerte : « Le véganisme détruirait la France. » L’homme signe en tant que chirurgien, énarque, entrepreneur et aujourd’hui business angel : ça en impose et c’est donc en toute humilité que je vais essayer de lui montrer qu’il dit à peu près n’importe quoi, se contentant de dérouler un argumentaire aussi effrayant qu’absurde.
Comme le titre l’indique, son propos est évidemment apocalyptique : « Les conséquences sociales, économiques, culturelles et médicales seraient désastreuses. » Il évoque « une crise économique majeure dans les villes portuaires », des montagnes qui « dépériraient à vive allure », un « exode rural massif », « la fin des ruches (qui) modifierait les écosystèmes végétaux », ou encore « la disparition de l’industrie laitière et fromagère » sans oublier la gastronomie « condamnée à mort » et la mode française « handicapée par l’interdiction du cuir, de la soie et de la laine ».
Une sorte de tsunami végétal s’abattrait sur notre beau pays, faisant de nos prairies des « landes disharmonieuses » tandis que « les ravissants ports de pêche avec leurs petits bateaux colorés qui font le charme de Saint-Jean-de-Luz ou de Douarnenez disparaîtraient ».
Rassurons d’abord le docteur Alexandre : non seulement, la plupart des personnes vegans ignorent qu’elles ont un tel pouvoir mais elles n’ont pas forcément l’intention ni la force (avec toutes leurs carences, hein...) d’éradiquer les montagnes.
Carte postale de Douarnenez vs chalutiers oubliés
Observons ensuite que les ports de pêche se désertifient depuis pas mal de temps et qu’on y trouve de plus en plus de bateaux de plaisance, de moins en moins de pêcheurs et beaucoup de béton. Si le chroniqueur était honnête, il ne se contenterait pas de cette image d’Épinal et dirait honnêtement que la pêche artisanale souffre davantage aujourd’hui de la concurrence de l’aquaculture (avec antibiotiques et algues invasives) et des chalutiers (qui ramonent sans vergogne les fonds marins, bousillant les écosystèmes, mais ça on s’en fout, j’imagine) que des rares Français·es qui ne mangent pas de poisson. Car, en France, souligne Le Journal de l’environnement, on surconsomme du poisson et donc on en importe, beaucoup, d’autant plus que nos ressources halieutiques diminuent, nous conduisant à pécher des poissons de plus en plus petits. Mais il est vrai que c’est joli, ces bateaux colorés et que le véritable ennemi est ce dangereux « bobo militant ».
D’ailleurs, étonnons-nous de cet argument massue régulièrement brandi par les lobbys de l’industrie animale : le grand soir vegan. Du jour au lendemain, tout a changé, tout a disparu, notre civilisation est effacée. Se grandit-on à inventer un tel cyclone en sachant pertinemment que le changement, s’il s’opère, sera long, très long ? Que des décennies de mode de vie ne se changent pas en quelques heures ? Que rien ne menace aujourd’hui les prairies normandes ? Laurent Alexandre est assurément brillant : qu’il fasse semblant de croire à cette vision catastrophiste me navre.
Et m’évoque cette tautologie régulièrement entendue : si on cesse de manger les animaux que l’on élève, ils vont disparaître. Traduisez le sophisme : il faut les tuer pour qu’ils vivent. Je n’ai aucun mal à débattre des vertus ou méfaits de l’élevage, avec quelqu’un qui souligne l’intérêt des bouses dans les prairies ou adore manger de la côte de bœuf mais, par pitié, évitons les argumentaires oiseux. Chacun·e sait qu’il n’y aura pas de grand soir vegan et qu’on n’élève pas des animaux pour leur bien.
Taboulé de #Farro à l’italienne
▻https://cuisine-libre.fr/taboule-de-farro-a-l-italienne
❝Taboulé de farro, aux saveurs italiennes de tomates et basilic. Laver les tomates et enlever le pédoncule, les éplucher et les épépiner, puis les couper en petits dés. Les assaisonner ensuite de sel fin et de poivre, puis les laisser mariner dans l’huile d’olive le temps de préparer le reste des ingrédients. Laver la courgette et l’émincer en petits cubes. Faire revenir 15 min dans une sauteuse avec un peu d’huile d’olive. Torréfier les pignons dans une poêle à sec. Effeuiller et ciseler le basilic.…
#Tomate, #Taboulés, Farro / #Sans_viande, #Sans_œuf, #Végétarien, #Sans_lactose, #Végétalien (#vegan) #Végétalien_vegan_
Salade de papayes vertes
▻https://cuisine-libre.fr/salade-de-papayes-vertes
Éplucher les papayes (que l’on aura pris soin de choisir bien vertes et dures au toucher). Les couper en deux et retirer soigneusement toutes les graines qui se trouvent à l’intérieur. Ensuite, tailler la pulpe en fines lamelles et retailler celles-ci en languettes (on peut aussi râper la pulpe des papayes). Presser le jus…
#Salades_râpées, #Papaye / Végétalien (vegan), #Sans_viande, #Sans_œuf, #Sans_lactose, #Végétarien, #Sans_gluten, #Végétalien #vegan #Crudité
Cause animale, véganisme et antispécisme | Le mensuel de LO
▻https://mensuel.lutte-ouvriere.org/2019/06/29/cause-animale-veganisme-et-antispecisme_132985.html
Cet exposé a été présenté à la fête de #Lutte_Ouvrière à Presles (8-10 juin derniers), parmi plusieurs dizaines d’autres conférences-débats.
Sommaire :
– Les rapports entre humains et animaux : toute une histoire
– Les animaux désormais soumis à la loi du profit
– La souffrance animale dans l’industrie de la viande
– Les vrais responsables, les capitalistes
– Tous coupables selon les antispécistes
– La mode végane, nouvelle source de profit
– Les marxistes, soucieux de la protection de la nature
– Le programme révolutionnaire et la #cause_animale
– Renverser le système capitaliste, la mère de toutes les batailles
#capitalisme #alimentation #véganisme #végétariannisme #spécisme #marxisme