• Pfizer CEO to Israeli TV: World should be back to near-normal in ‘a few months’ Time of Israel

    Albert Bourla says US-based pharma firm is aiming to produce annual shot to cover all COVID variants; accuses anti-vaxxers of causing millions of deaths by spreading misinformation.


    Pfizer CEO Albert Bourla attends a ceremony in the northern city of Thessaloniki, Greece, October 12, 2021. (AP Photo/Giannis Papanikos, file)

    In interviews with Israeli television aired Saturday, Pfizer CEO Albert Bourla predicted the world will return to near-normal conditions within a few months and said the US-based pharmaceutical firm is aiming to produce a once-a-year vaccine covering all coronavirus variants.

    “Once a year it is easier to convince people to do it. It is easier for people to remember. From a public health situation, it is an ideal solution. We are looking to see if we can create a vaccine that covers Omicron and doesn’t forget the other variants. And that could be a solution unless something completely different comes out,” he told Channel 12 news.

    La suite : https://www.timesofisrael.com/pfizer-ceo-to-israeli-tv-we-should-be-back-to-near-normal-in-a-few-mo

    #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #Pasteur #cobayes

    • Des textos de von der Leyen au PDG de Pfizer intriguent
      La Commission européenne a refusé de donner des informations à la presse sur des SMS échangés par sa présidente avec le PDG de Pfizer à propos de l’achat de vaccins.

      La médiatrice de l’UE a reproché vendredi à la Commission européenne d’avoir refusé de donner des informations à la presse sur des textos échangés par sa présidente avec le PDG du laboratoire Pfizer à propos de l’achat de vaccins contre le Covid-19. La médiatrice, Emily O’Reilly, a demandé que le cabinet d’Ursula von der Leyen procède à « une recherche plus approfondie » afin de retrouver ces messages et d’en révéler le contenu conformément aux règles de transparence applicables aux documents de l’UE.

      Après un article du New York Times en avril 2021 rapportant qu’elle avait échangé des SMS avec le patron de Pfizer, Albert Bourla, dans le cadre des négociations sur un contrat d’achat de vaccins contre le Covid-19, un journaliste a demandé à la Commission l’accès aux textos et autres documents sur ces discussions. L’exécutif européen, qui était en charge de négocier les achats de vaccins pour le compte des États membres, a accepté de lui transmettre trois documents (un email, une lettre et un communiqué de presse) mais aucun SMS.

      « Le public peut y avoir accès »
      La Commission a indiqué n’avoir aucune trace de ces messages, affirmant que les textos n’ont pas vocation à être conservés et ne sont pas soumis aux règles sur la transparence des institutions européennes, datant de 2001. Dans une réponse à l’enquête déclenchée par la médiatrice, la Commission juge que ces messages sont « par nature des documents d’une courte durée de vie, qui ne contiennent en principe pas d’informations importantes relatives aux politiques, activités et décisions de la Commission ».

      Pour la médiatrice au contraire, « il est clair » que les textos « entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents » et « le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution ». Elle a appelé l’administration européenne à faire évoluer ses pratiques en matière de conservation des documents pour prendre en compte les « moyens modernes de communication ».

      Les aspects clés des contrats sont confidentiels
      « Aucune tentative n’a été faite pour identifier si les textos en question existaient. Cette façon d’agir ne répond pas aux attentes en matière de transparence », a critiqué Emily O’Reilly. Si ces messages sont identifiés, la Commission devra « évaluer s’ils remplissent les critères, en vertu de la législation de l’UE sur l’accès aux documents, pour être divulgués », conclut-elle dans ses recommandations qui ne sont toutefois pas contraignantes.

      Plus de la moitié des 4,2 milliards de doses contre le Covid-19 achetées ou réservées par l’UE sont fournies par le duo américano-allemand Pfizer-BioNTech. Les aspects clés des contrats passés avec les laboratoires, notamment les prix, sont confidentiels, ce qui a été critiqué par des eurodéputés et des ONG. « Cette affaire est plus importante qu’un simple échange de SMS », a dénoncé l’eurodéputée néerlandaise Sophie in’t Veld (Renew Europe), estimant que « la Commission européenne est devenue moins transparente (...) ».

      #ue #union_européenne #corruption (une habitude chez pfizer) #ursula_von_der_leyen #commission_européenne

    • Dans les hôpitaux, en France, on en est à trimballer les vieux d’un service à l’autre pour ne pas faire exploser la DMS (durée moyenne de séjour) pour que le service ne perde pas d’argent.

      Les règles financières de gestion imposées par l’union européenne sont formidables ! Des sigles et des chiffres.

    • Curieux, ces faux pass ne font pas baisser les statistiques officielles
      Covid-19 : trois hommes soupçonnés d’avoir établi plus de 60.000 faux passes sanitaires mis en examen
      https://www.lefigaro.fr/flash-actu/faux-passes-sanitaires-trois-mises-en-examen-a-paris-20220128

      Trois hommes soupçonnés d’avoir usurpé l’identité numérique de médecins et établi plus de 60.000 passes sanitaires falsifiés ont été mis en examen vendredi 28 janvier à Paris, a appris l’AFP de source judiciaire.
      . . . . .
      Les trois mis en examen sont soupçonnés d’être des pirates informatiques, avait indiqué dans un communiqué la gendarmerie, estimant à plus de 62.000 le nombre total de faux passes sanitaires créés. L’enquête, notamment confiée aux gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP), a établi que les trois suspects, âgés de 22 à 29 ans, auraient usurpé l’identité numérique de 35 médecins répartis dans toute la France.


      Ils auraient ensuite généré les certificats de vaccination frauduleux puis les auraient revendus directement à leurs bénéficiaires ou au profit de complices faisant office de revendeurs, expliquait-elle. Par ailleurs, huit suspects ont aussi été interpellés mardi et mercredi dans la région lyonnaise, dans le cadre d’une autre enquête.

      Cette dernière est partie du signalement de l’Ordre des infirmiers de la Loire et d’un médecin de la Caisse primaire d’assurance maladie, portant sur des milliers de passe sanitaires établis au nom d’un infirmier de la région d’Angers (Maine-et-Loire), lequel n’avait jamais effectué de vaccinations anti-Covid, avait indiqué mercredi une source judiciaire, confirmant une information du Monde. En réalisant que son compte professionnel avait été piraté, un infirmier avait déposé plainte à Angers. Mais les investigations se sont orientées vers la région lyonnaise, entraînant la saisine de la juridiction inter-régionale spécialisée (JIRS) de Lyon.

      #pass #pass_sanitaire

  • Des intellectuels italiens viennent rencontrer « en urgence » les acteurs de la résistance française

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/congres-franco-italien-samedi-29-janvier

    Des scientifiques de divers horizons, des juristes et professeurs de science politique seront présents. Avec des noms connus en France : Idriss Aberkane, Christian Perronne, Laurent Toubiana, Louis Fouché, entre autres (voir la liste dans le communiqué ci-après) rencontreront des figures de la résistance italienne qui font le déplacement : Marianno Bizzarri, oncologue, Andrea Camperio Ciani, professeur d’éthologie, Riccarda Antiochia, professeur de chimie, Ugo Mattei, juriste ou encore Giorgio Agemben, philosophe reconnu internationalement.

    Voilà où on en est. (Ou alors c’est du flan et Agemben n’y sera pas.)

    • Agamben Grippette : Où en sommes nous ? On a pas pris suffisamment conscience du changement radical que nous sommes en train de vivre. bien des gens préfèrent en être dupes. effondrement d’un monde. l’âge des démocraties bourgeoise touche à sa fin. totalitarisme tyrannique et démocratique. des lois 10 fois plus répressives que les lois fascistes.
      l’opérateur : l’état d’urgence. état d’exception système normal (comme dit il ya 10 ans), inclus dans l’ordre juridique
      Immigrés de l’intérieur (green pass), l’amitié base politique minimale, essayer de créer une communauté.

      Toubiana, e-santé, institut pour la valorisation des données de santé ah ah ah. j’ai toutous vécu en France, je n’ai jamais eu aucune idée de ce qu’était un régime totalitaire...

      ils tiennent beaucoup à la syndémie (comme Stiegler et le manifeste conspi)

      Olivier Soulier, homéopathe et référent médical de reinfo covid, illuminé absolu : introduit sur la troisième guerre mondiale initiée par une élite qui a créée un virus pour imposer un vaccin. on va génocider la population en interdisant de soigner. tout devient d’une extrême logique

      ils font une pause. j’en profite pour vous signaler un traitement qu’on a pas la liberté de prescrire, mais bon, quand n a pas le droit, on prend le gauche, totalitarisme sanitaire ou pas. cest très bon d’après mon coach. et vous inquiétez pas ! c’est un médecin qui rédige

      on me dit que parmi les gens signalés au congrès, selon leur liste il y a : Ketty, ancienne danseuse de Claude François, tient un restaurant dans le 13ème arrondissement ; Olivier Tournafond, qui tiens une émission sur Radio Courtoisie, royaliste proche Le Pen ; Vincent Pavan président de RéInfo Liberté, une association loi 1901 qui récolte des fonds pour financer les besoins de RéInfo Covid ; les no name de la liste sont majoritairement de la région PACA, souvent gérants de boite

      Foouché : créez des communautés résilientes etc.

      #Jean-Dominique_Michel #Alexandra_Henrion-Caude #Patrick_Jaulent #Mariano_Bizzarri (oncologue) #Sébastien_Philippart (déclarant de manif "gilets jaunes) #Andrea_Camperio_Ciani #Riccarda_Antiochia #Ugo_Mattei #complotisme #hold-up_bis

    • MARATHON DE LA CONFUSION : RETOUR SUR LE « CONGRÈS FRANCO-ITALIEN DE LA RÉSISTANCE », Vivian Petit
      https://lundi.am/Marathon-de-la-confusion-retour-sur-le-Congres-Franco-Italien-de-la-resistance

      Tout au long de la journée, les interventions de quelques minutes se sont succédées à un rythme effréné, tout comme les citations et les affirmations indémontrables. L’illusion de scientificité était bien plus prégnante que l’appel à la réflexion. En outre, quoi qu’en disent les organisateurs, il s’agissait de tout, sauf d’une assemblée.

      Si en fin de journée, Christian Perrone a pu déclarer à France-Soir que lorsqu’ « on est du côté de la vérité on n’est pas isolé », force est de constater que chaque intervenant s’adressait d’abord à sa webcam, c’est-à-dire à lui-même. La confusion des interventions, 8 heures durant, n’était rendue possible que par l’absence de discussion réelle sur fond de peur et de ressentiment.

      Pour conclure la journée, Louis Fouché l’un des fondateurs de RéinfoCovid est venu en écho d’Agamben constater la fin d’une civilisation, le dépassement du droit par l’état d’exception, la fin des croyances dans l’économie, l’État et la culture. Puis, à contrepied de ceux qui appelaient à manifester contre le pass vaccinal et la « dictature sanitaire », il a prôné le retrait dans des communautés repliées.

      Comme il l’avait déjà fait cet été sur Radio Courtoisie, Louis Fouché, prenant subitement un ton de prédicateur, a reproché à une partie de son public de « mettre l’énergie au mauvais endroit », et les a appelés à ne pas se comporter comme des « crétins militants ». L’objectif, explique Louis Fouché, ne doit pas être de « gagner » ou de viser une « révolution par la rue », mais d’attendre que le monde s’effondre sur lui-même. Selon l’anesthésiste, puisque le chaos et l’effondrement sont prévus par le « Great reset », il s’agit donc de s’atteler à préparer un « Greater reset ».

      Il appelle à créer des « communautés résilientes », des « écoles libres », des « réseaux de santé alternative » tout en refusant la lutte politique et en se méfiant des autres « communautés résilientes », suspectée d’être des fausses oppositions créées par le système.

      Si ce projet de repli peut sembler cohérent, Louis Fouché ne manque pas à son tour de se prendre les pieds dans ses propres contradictions. Tout en critiquant l’illusion du recours au droit et la focalisation sur les responsabilités individuelles, il a ainsi pu appeler à « faire taire deux cent personnes », à se tenir prêts en vue des procès de Macron, Castex, et même de la « pendaison » d’Anthony Fauci (conseiller en chef pour la santé publique des présidents américains, onni par l’extrême droite américaine pour avoir contredit Donald Trump à plusieurs reprises). En outre, tout en marquant sa distance avec la croyance abstraite dans la science, Louis Fouché appelait pourtant à défendre la vérité scientifique contre les « hérésies ».

      Alors même que l’intervention finale du Dr Fouché consistait à prendre à revers les attentes de son auditoire qu’il a sermoné pour son inconséquence, le M. Loyal de la journée, Tristan Edelman, s’est réjoui d’un « bon résumé de ce qu’on a eu aujourd’hui ». Finalement, la parole conclusive sera laissée à Ilan, 16 ans, lycéen et blogueur. Apparaissant masqué pour préserver son anonymat et non se protéger du covid, « comme on peut s’en douter », le jeune homme a regretté ne pas avoir vu « beaucoup de jeunes s’élever contre les mesures coercitives » avant de conclure sur un vague appel à « se réveiller ». Là encore, il s’agit d’organiser et de rationaliser la cessité, personne n’a dû lui parler des émeutes dans certaines banlieues lors du premier confinement ni des manifestations contre les violences policières et la loi de sécurité globale du printemps 2020.

      (mais pas un mot sur le totémique Agamben Gripette...)

      #Perrone

  • Martin Hirsch faisait moins le malin en Commission d’enquête parlementaire (CDS)
    https://www.crashdebug.fr/martin-hirsch-faisait-moins-le-malin-en-commission-d-enquete-parlementair

    À votre avis, ou s’arrête la "naiveté" et ou commence la corruption ?, quand un cabinet de conseil étranger vous offre du "pro bono" (du bénévolat) pour optimiser vos "process" etc...

    Alors jusqu’où vas l’influence de ces cabinets privés de ’conseils’ si altruistes ? à qui je le rappel on à demandé de gérér la vaccination etc..., et on se retrouve aujourd’hui avec une vaccination massive de 75%, et on à 500.000 ’cas positifs’ par jour de déclaré ?

    Les vaccins ne fonctionne pas, les tests PCR sont bidons.

    En quoi c’est une ’réussite’ ça ? (Et comme je l’ai dit : Qui serat responsable juridiquement devant les tribunaux ? l’État Français ou Mc Kinsey ?)

    Je voudrais pas dire, mais ils se sont fait arnaquer, enfin ils s’en (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

    • Covid-19 : les tests antigéniques erronés à cause du froid dans des barnums de dépistage parisiens Winny Claret, France Bleu
      https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/covid-19-les-tests-antigeniques-errones-a-cause-du-froid-dans-des-barnums

      Les tests antigéniques sont sensibles au froid et peuvent générer de faux résultats positifs. Les pharmaciens tirent la sonnette d’alarme et pointent les tentes de dépistage qui sont installées au milieu de nulle part, loin des officines, des laboratoires ou des cabinets médicaux.

      Les autorités sanitaires le rappellent en plein hiver : les tests antigéniques, quand ils sont laissés à une température trop basse (en dessous de 2 degrés), peuvent générer une série de faux positifs. Une réaction chimique au moment où l’on verse le diluant sur la petite cassette qui nous indique si on est malades. En plein hiver, le risque existe. D’autant que de nombreux Français vont se faire tester dans des barnums de pharmacie installés dans la rue. Des tentes blanches qui ont fleuri dans les rues de Paris.

      Des barnums à plusieurs kilomètres de leur centre médical
      Comme sur la place du Trocadéro, dans le 16ème arrondissement. Capuche sur la tête, les pieds collés au petit chauffage d’appoint, Alan attend les patients sous l’une des deux grandes tentes blanches installées sur le trottoir, serré contre sa collègue. « On est fort frigorifiés ! Là-bas c’est ma tente mais comme on n’a qu’un chauffage je me suis mis avec elle. »

      Le testeur antigénique de 18 ans a commencé il y a une semaine, il a été formé deux heures par le centre médical qui l’embauche. « C’est bête ! On a juste à rentrer un coton-tige dans le nez et attendre le résultat. Après on l’envoie à l’infirmier qui l’envoie par mail au patient. » Pas de professionnel de santé sur place, la structure qui gère ses barnums se trouve à six kilomètres de là. Et les tests restent toute la journée dans le froid au risque de fausser les résultats et de générer de faux positifs ! 

      Les pharmaciens réclament plus de contrôles
      Pratique toute autre dans cette pharmacie du 15ème. Un cabanon juste devant l’officine, Diamanta étudiante en pharmacie fait sans cesse des allers retours, « On rentre tout de suite les ramener à l’intérieur pour que les résultats soient le plus fiables possible. »

      A part l’écouvillon, diluant et cassette de dépistage restent à l’intérieur. Pas question de compromettre les tests pour le pharmacien Laurent Halwani. « Quand on est responsables, on est responsables de A à Z. Il faut vraiment que l’on communique le résultat le plus juste ! » L’union des pharmaciens d’officines appelle d’ailleurs l’Etat à multiplier les contrôles des barnums sauvages. Son porte-parole, Gilles Bonnefond conseille aux patients de les éviter.

      « Quand vous voyez un barnum au milieu de nulle part, ce n’est pas la peine d’y aller », selon Gilles Bonnefond

      #business #tests #quarantaine #gaspillage #pillage #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #tests_PCR

  • Palmarès Prescrire 2021 des médicaments : neuf médicaments primés, dont deux Pilules d’Or
    https://www.prescrire.org/fr/3/31/64013/0/NewsDetails.aspx

    Cette année, deux médicaments constituent un progrès thérapeutique décisif justifiant une Pilule d’Or. Cinq médicaments sont inscrits au Tableau d’honneur, et deux médicaments sont Cités au Palmarès. Les voici par ordre alphabétique, dans chaque catégorie.

    Pilules d’Or
    Une Pilule d’Or est attribuée aux médicaments qui constituent un progrès thérapeutique décisif dans un domaine où patients et soignants étaient totalement démunis. Les deux Pilules d’Or 2021 sont :

    Comirnaty° (tozinaméran), firmes BioNTech et Pfizer

    Spikevax° (élasoméran), firme Moderna

    Ces deux #vaccins à ARN messager ont constitué un progrès thérapeutique majeur dans le contexte pandémique de #covid-19 de l’année 2021, avec une forte réduction du risque de formes symptomatiques, y compris celles graves. > En savoir plus

    Tableau d’honneur
    Les médicaments inscrits au Tableau d’honneur apportent un progrès net pour certains patients par rapport aux moyens thérapeutiques déjà disponibles, avec certaines limites. Les médicaments au Tableau d’honneur 2021 sont :

    Baqsimi° (glucagon par voie nasale), firme Lilly : plus pratique que le glucagon par voie sous-cutanée ou intramusculaire dans les hypoglycémies sévères chez les patients diabétiques âgés de 4 ans ou plus. > En savoir plus

    Covid-19 Vaccine Janssen° (vaccin covid-19 Ad26.CoV2-S), firme Janssen Cilag : une alternative aux vaccins à ARN messager dans certains contextes en 2021. > En savoir plus

    [...]

  • nombre de doses pour le rappel vaccinal adapté à Omicron, au minimum 2 doses pour une réponse neutralisante et durable, Claude-Alexandre GUSTAVE, @C_A_Gustave
    https://UnrollThread.com/t/1486501617109282822

    1/10 Prochain débat/"guéguerre" à venir = nombre de doses pour le rappel vaccinal adapté à Omicron. Pour l’instant, ModeRNA et Pfizer s’orientent vers 1 seule dose. A mon humble avis, c’est une ERREUR...

    2/10 Pour dire cela, je me base sur un phénomène simple = la réponse immunitaire vis-à-vis des NOUVEAUX épitopes (spécifiques d’Omicron, et donc prioritaires pour la protection durable), ne sera qu’une réponse PRIMAIRE !!!...

    3/10 J’en avais déjà parlé dans ce thread (au sujet du « pêché antigénique originel »). Avec une réponse PRIMAIRE, on obtient qu’une très faible production d’anticorps neutralisants, et une protection de courte durée :

    4/10 Ainsi, avec 1 seule dose du nouveau vaccin, on obtiendra : A) un boost+++ sur les ANCIENS épitopes (communs avec les variants antérieurs) B) une très faible réponse contre les NOUVEAUX épitopes

    5/10 La conséquence sera une protection guère plus durable et robuste qu’avec un rappel via le vaccin actuel. Cet avertissement avait déjà été émis pour le vaccin J&J présenté comme un « monodose »...

    6/10 Nous avions été nombreux à prévenir que c’était une ERREUR ! Sa technologie n’était pas différente de celle des autres vaccins disponibles (inertes) et nécessitait au minimum 2 doses pour obtenir une réponse neutralisante et durable...

    7/10 Malgré ces avertissements, il aura fallu attendre plusieurs mois et l’alerte de l’ANSM suite à la sur-représentation des vaccinés J&J 1 dose en réanimation, pour comprendre l’erreur !!!

    8/10 Ces échecs vaccinaux étaient pourtant « courus d’avance » car il manquait la 2ème dose ! Que de temps et de vies perdues 🤷‍♂️ Mêmes causes, mêmes effets... La même erreur va être commise pour le rappel adapté à Omicron...

    9/10 1 seule dose sera administrée. Ainsi, la réponse adaptée à Omicron ne sera qu’une réponse primaire, et donc peu ou pas neutralisante pour les NOUVEAUX épitopes. Mais de la même façon qu’1 dose de J&J avait été jugée suffisante, la dose unique de rappel sera validée...

    10/10 Et quelques mois plus tard, on s’étonnera de la ↘️ de protection plus rapide qu’attendu... Et on criera à l’échec vaccinal. Non, ce ne sera qu’une énième négation des connaissances d’immunologie, conduisant à une énième erreur de stratégie vaccinale.

    #Omicron #vaccination

  • Covid-19 : le Danemark va lever ses restrictions alors que le nombre de contaminations n’a jamais été aussi élevé
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/26/covid-19-le-danemark-et-l-autriche-levent-leurs-restrictions_6111062_3244.ht

    Covid-19 : le Danemark va lever ses restrictions alors que le nombre de contaminations n’a jamais été aussi élevé
    Le gouvernement danois juge la couverture vaccinale du pays suffisante face à la moindre sévérité du variant Omicron.
    Le niveau de risque lié au variant Omicron reste très élevé, mais plusieurs pays européens entendent réduire les mesures sanitaires. Le Danemark a décidé de lever ses restrictions à partir du 1er février. L’Autriche, de son côté, va lever lundi le confinement des non-vaccinés. Le Danemark entend lever ses restrictions anti-Covid-19 au 1er février malgré un nombre important de nouveaux cas, jugeant sa couverture vaccinale suffisante face à la moindre sévérité d’Omicron, a annoncé le gouvernement dans une lettre rendue publique mercredi 26 janvier. Cela implique la levée de toutes les restrictions nationales actuellement en vigueur, comme le port du masque ou la fermeture anticipée des bars et restaurants.
    Le gouvernement veut seulement maintenir pendant quatre semaines supplémentaires certaines restrictions à l’entrée du territoire danois, à savoir des tests et/ou une quarantaine selon le pays de provenance des voyageurs.
    Avec plus de 46 000 nouveaux cas, mardi, le taux d’infection est extrêmement élevé dans le pays nordique, « mais notre évaluation actuelle est que l’épidémie atteindra prochainement son pic », a justifié le ministre sur Twitter.« Nous disons adieu aux restrictions et bienvenue à la vie telle que nous la connaissions avant le corona », a dit, lors d’une conférence de presse, la première ministre, Mette Frederiksen. « La forte adhésion au programme vaccinal s’est avérée être ce que nous pensions : une “superarme”, et elle nous a donné une défense solide contre l’infection qui subsiste », a-t-elle justifié. « C’est pourquoi le gouvernement a décidé que le coronavirus ne devait plus être considéré comme une maladie menaçante pour la société », a-t-elle ajouté.Près de 60 % des 5,8 millions de Danois ont reçu une dose de rappel, avec un mois d’avance sur le calendrier envisagé par les autorités sanitaires, qui considèrent que 80 % de la population est protégée contre les formes graves.

    #covid-19#migration#migrant#danemark#sante#omicron#circulation#frontiere#vaccination#test#quarantaine

  • Long-COVID symptoms less likely in vaccinated people, Israeli data say
    https://www.nature.com/articles/d41586-022-00177-5

    The researchers compared the prevalence of each symptom to self-reported vaccination status and found that fully vaccinated participants who had also had #COVID-19 were 54% less likely to report headaches, 64% less likely to report fatigue and 68% less likely to report muscle pain than were their unvaccinated counterparts.

    Edelstein says his team’s study is the most “comprehensive and precise” to date on vaccination and long COVID, and that the results echo those of other research, including a UK-based study2 from last September that found that vaccination halved the risk of long COVID.

    [...] Although the results of both the UK and Israel studies show that vaccination reduces the risk of long COVID, she says, even fully vaccinated people are still at risk of developing the condition. And whether vaccination protects people from Omicron-induced long COVID is still unclear.

    #covid_long

  • Covid-19 : au Royaume-Uni, les voyageurs vaccinés n’auront plus besoin de test négatif pour entrer dans le pays
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/25/covid-19-au-royaume-uni-les-voyageurs-vaccines-n-auront-plus-besoin-de-test-

    Covid-19 : au Royaume-Uni, les voyageurs vaccinés n’auront plus besoin de test négatif pour entrer dans le pays
    Les personnes au schéma vaccinal incomplet devront toujours se faire dépister deux jours avant leur voyage et se soumettre à un test PCR après leur arrivée, mais elles n’auront plus à s’isoler.Les voyageurs entièrement vaccinés arrivant au Royaume-Uni n’auront plus besoin d’effectuer de test Covid-19 à partir du 11 février, une mesure annoncée lundi et qui était très attendue avant les prochaines vacances scolaires. « Ce que nous faisons pour les voyages, c’est de montrer que ce pays est ouvert aux affaires, ouvert aux voyageurs », a déclaré le premier ministre britannique, Boris Johnson.
    Actuellement, les voyageurs doublement vaccinés doivent réserver un test (antigénique ou PCR) du Covid-19 à réaliser après leur arrivée. Ceux qui ne sont pas entièrement vaccinés doivent faire un test avant leur départ, puis deux tests PCR après leur arrivée, et doivent s’isoler 10 jours.Au Parlement, le ministre des transports, Grant Shapps, a précisé que les passagers vaccinés seraient dispensés de tout dépistage à compter de vendredi 11 février. « Il est évident pour moi que désormais les tests aux frontières pour les voyageurs vaccinés ont perdu leur utilité », a-t-il expliqué. Il a aussi annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait les certificats de vaccination de 16 pays supplémentaires, dont la Chine et le Mexique.Les voyageurs dont le schéma vaccinal n’est pas complet n’auront, quant à eux, plus besoin de s’isoler et de réaliser un test huit jours après leur arrivée. Ils devront cependant toujours avoir été testés négatifs deux jours avant leur entrée et faire un test PCR après leur arrivée.
    Si Angleterre, Ecosse, pays de Galles et Irlande du Nord décident chacune de leur propre politique en matière de santé publique, les quatre nations du Royaume-Uni ont convenu d’appliquer les mêmes mesures. M. Shapps a défendu un « système proportionné qui nous rapproche de la normalité, tout en conservant des protections essentielles en termes de santé publique ».La Confédération britannique de l’industrie (CBI), le plus important syndicat patronal du pays, a salué « une avancée bienvenue », permettant au secteur des transports d’espérer « un retour à la normale en 2022 ». Elle a cependant demandé un plan d’action en cas de nouveau variant afin d’éviter de nouvelles modifications inopinées des règles.
    Le directeur général d’easyJet, Johan Lundgren, s’est félicité de cette nouvelle et a déclaré que sa compagnie prévoyait de revenir cet été à des niveaux de vols proches de ceux connus avant la pandémie. Cette annonce « rétablit la confiance des clients et stimulera la demande », s’est aussi réjoui un porte-parole de Virgin Atlantic.
    Parmi les pays les plus endeuillés d’Europe par le Covid-19, avec près de 154 000 morts, le Royaume-Uni a été frappé par une vague de cas attribués au variant Omicron, qui est désormais en décrue.Boris Johnson a annoncé la semaine dernière la levée des dernières restrictions en Angleterre. A partir de jeudi, le port du masque n’y sera plus légalement obligatoire, mais recommandé dans les endroits fermés et bondés. Il est déjà abandonné dans les écoles. Un passe sanitaire ne sera plus imposé pour l’accès aux boîtes de nuit et à certains grands rassemblements. Le dirigeant conservateur a aussi annoncé prévoir pour mars la fin de l’isolement pour les cas positifs, déjà réduit à cinq jours moyennant des tests négatifs.

    #Covid-19#migrant#migration#royaume-uni#test#sante#vaccination#frontiere#circulation#omicron

  • Israël est en train de prouver qu’on peut faire encore pire que la France en terme de contaminations quotidiennes :

    et alors qu’ils s’étaient déjà pris une méchante vague à l’automne dernier, en quelques jours à peine la nouvelle vague envoie les gens massivement en réanimation :

    et va réussir à tuer plus de gens que les précédents épisodes :

  • Vaccination & Anticorps facilitants

    https://www.youtube.com/watch?v=CudkMkXoxcI

    De la politique du No Pain - Pas de douleur.
    L’obésité, le véritable problème de la santé publique.
    Les frères Bogdanofs
    Enfants et infection. De l’évolution de la vie sociale des enfants.
    Evolution du nombre de virus par patient.
    La France, second pays au monde après les USA pour ce qui est du nombre de cas.

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france

  • Info ou intox | COVID-19, attention aux fausses informations
    https://unric.org/fr/covid-19-info-ou-intox

    Pas besoin de vaccin si j’ai déjà eu la COVID.

    INTOX. Une infection au COVID-19 développe une réponse immunitaire qui varie d’une personne à l’autre. La force et la durée de cette réponse, et la manière dont elle varie selon les personnes, sont toujours à l’étude. 

    Même si l’on a déjà eu la COVID-19, le vaccin agit comme un rappel qui renforce la réponse immunitaire. Il est également arrivé que des personnes soient infectées par le SARS-CoV-2 une seconde fois, ce qui rend la vaccination encore plus importante.

    C’est un des points aveugles des nombreux tableaux qu’on nous montre : on compare systématiquement le nombre de cas graves rapporté aux non vaccinés, aux vaccinés deux doses, et désormais aux vaccinés trois doses. Mais je ne trouve jamais l’évaluation du niveau de protection des gens qui ont fait un Covid (disons depuis moins de six mois) contre les formes graves et les décès.

    Parce que le fait qu’une précédente contamination ne protège pas efficacement contre une re-contamination, ça OK, mais le vaccin non plus, et avec Omicron c’est très clair. En revanche on insiste bien sur le fait que la vaccination protège très efficacement contre les formes graves et le décès. Par contre, quel est le niveau de protection contre ces formes graves et décès que conférerait une précédente contamination, ça je ne le vois jamais.

    • Par exemple, sur la gravité d’Omicron, il a été initialement suggéré plusieurs fois que peut-être qu’Omicron « semblait » moins virulent parce qu’il réinfectait des gens qui avaient déjà eu le virus, et donc étaient ainsi protégés contre les formes graves, dans des pays où les premières vagues avaient circulé assez librement (Afrique du Sud, Grande-Bretagne). Cette idée semble désormais invalidée, mais n’empêche : cela signifie qu’on estime qu’une précédente infection devrait protéger contre les formes graves.

      Mais je ne trouve aucune estimation de l’« efficacité » d’une telle protection, comparée à une vaccination en bonne et due forme. (Je ne parle évidemment pas des risques encourus, ni de l’aspect moral de faire contaminer massivement sa population avec un virus encore totalement inconnu il y a tout juste deux ans.)

    • @monolecte Oui, mais a priori là on parle de « simple » recontamination. Ce que j’aimerais savoir, c’est à quel point ces gens qui ont fait un Delta sont protégés contre les formes graves et le décès d’une nouvelle infection. (De la même façon qu’il est désormais acquis que des gens vaccinés trois doses sont relativement facilement contaminés par Omicron, mais sont très bien protégés contre les formes graves et le décès).

    • Apparemment, le variant B2 est proche d’être majoritaire au Danemark, et les premières publications au sujet des réinfections B2 suite à B1 commencent aussi à dire que ça existe.
      Finalement, c’est pas tous les 6 mois qu’on va se faire réinfecter. Mais peut-être bien tous les deux mois... avec de la « chance ». :-) Ca va être cool. On aura en permanence son pass vaccinal, encore mieux qu’avec la vaccination.
      Il faut vraiment qu’on envisage d’affréter un charter pour la NZ...

    • https://www.mesvaccins.net/web/news/18284-duree-de-l-immunite-anti-covid-des-donnees-de-plus-en-plus-precise

      [30 oct. 2021 donc avant omicron qui change la donne : immunité par infection semble efficace contre formes graves et plus pérenne que par vaccination [edit : évidemment à condition d’avoir échappé au covid long, à l’hosto ou au cimetière]]

      Deux récentes études se sont intéressées à l’immunité persistant chez des personnes ayant présenté une infection par le SARS-CoV-2, qu’elle ait été inapparente ou symptomatique. La première, assez complexe, a suivi des professionnels de santé du CHU de Strasbourg jusqu’à 14 mois après la date de leur infection (1). Elle met en évidence la persistance d’anticorps anti-protéine S du virus (plus précisément contre le domaine de fixation au récepteur, RBD), dont on sait qu’ils contribuent à la protection contre l’infection ou à la guérison, à des taux considérés comme efficaces, chez près de 60 % des personnes suivies un an après l’infection. La diminution du taux de ces anticorps dans le temps est par ailleurs plutôt lente, en comparaison avec celles des anticorps anti-protéine N du virus, plus rapide et importante. L’étude montre par ailleurs une protection effective des personnes immunes contre la réinfection et contre les formes graves d’infection durant l’année qui suit l’infection initiale : l’incidence des infections-réinfections n’a été que de 0,40 pour 100 personnes-années dans le groupe des convalescents, contre 12,22 pour 100 personnes-années dans le groupe des personnes n’ayant pas précédemment été infectées.

    • … d’autant plus difficile à dire sans doute qu’aujourd’hui c’est chaud de trouver des immunités non croisées infection/réinfection/1/2/3 doses et avec différents variants concernés …

      et l’inévitable et désespérant Pr Logos à propos d’omicron le 10 décembre :

      Quand aux croyants dans l’idée que l’immunité naturelle est de bien meilleure qualité que l’immunité induite, il faudrait intégrer que la province de Gauteng est autour de 70% de prévalence.
      https://www.nicd.ac.za/wp-content/uploads/2021/11/SACMC-Fourth-wave-report-17112021-final.pdf

    • Y a des gens qui racontent se faire + tabasser en janvier qu’il ne l’étaient en décembre.

      Il semble aussi que le virus ne s’attaque pas toujours aux mêmes organes selon les gens ou les versions. Où, pourquoi, comment  ? on n’en sait foutre rien. Il y a des cas où il attaque directement le système immunitaire. Je doute que pour ces gens-là, ce soit une protection pour l’avenir.

      La variabilité des configurations fait que tu ne peux juste pas généraliser. Ce qui est avantageux pour Tartampion est potentiellement mortel pour Bidule. Devant ce degré d’instabilité et d’incertitude, je maintiens le cap  : échapper à cette merde whatever the cost .
      Parce que rien ne te dit que ce qui a fait éternuer une fois ta voisine ne va pas te crever en moins d’un mois.

    • Toujours signalé par le même, à propos de l’immunité acquise contre d’autre variants après infection par omicron (BA.1) :

      We found high neutralizing antibody titers against all variants for vaccinated individuals after BA.1 breakthrough infection or for individuals after infection with a pre-omicron variant followed by BA.1 infection. In contrast, samples from naive unvaccinated individuals after BA.1 infection mainly contained neutralizing antibodies against BA.1 but only occasionally against the other variants.

      https://doi.org/10.1101/2022.02.01.22270263

    • Pourquoi la vaccination protégerait-elle mieux que l’immunité « naturelle » (par infection) contre les formes graves de covid :

      https://www.nature.com/articles/s41586-022-04702-4

      Claude-Alexandre Gustave
      https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1512192709666160647

      Le problème est que SARS-CoV-2 est un virus à ARN dont le brin d’ARN est à « polarité positive ».
      En clair, ça signifie que son brin d’ARN peut être directement utilisé par nos cellules comme un ARNm permettant la création de nouveaux virions complets et fonctionnels 😬... 7/17

      Ainsi, en présence de ces anticorps non-neutralisants (capables de se fixer sur le virus sans l’empêcher de proliférer), SARS-CoV-2 accède à tout un panel de nouvelles cellules qu’il ne pourrait pas infecter seul.
      Les macrophages sont une cible+++... 8/17

      En permettant l’infection de ces macrophages, le mécanisme dépendant des FcGammaR pourrait être une des causes menant à la survenue de covid sévère via une dérégulation de la réponse inflammatoire à partir de ces macrophages infectés... 10/17

      Petite précision : la vaccination s’oppose à ce phénomène pour une raison simple... Elle n’immunise que contre Spike, avec donc quasiment que des anticorps neutralisants qui empêchent la prolifération virale quand ils se fixent au virus... 11/17

      Au contraire, l’infection induit la production de nombreux anticorps NON-neutralisants, dirigés contre les protéines M, N... qui sont non seulement incapables de bloquer l’invasion virale, mais qui peuvent aggraver la maladie... 12/17

  • Vaccination contre #Covid-19, unde venis ? quo vadis ?
    https://laviedesidees.fr/Vaccination-contre-Covid-19-unde-venis-quo-vadis.html

    D’où vient, où va la vaccination anti-Covid ? Un an après, P. Sansonetti propose un bilan d’étape et des perspectives : succès indiscutable, avec des points faibles et des incertitudes qui imposent d’analyser objectivement ce qu’on peut désormais attendre des vaccins dans le contrôle de la #pandémie.

    #médecine #vaccin #Sciences
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20220125_vaccination-revups-2.pdf
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20220125_vaccination-revups-2.docx

  • Se tenir debout avec les infirmières est un projet féministe, Silvia Federici
    http://www.revue-ouvrage.org/debout-infirmieres

    Les syndicats d’#infirmières de vingt-huit pays s’attaquent aux gouvernements et à Big Pharma avec une demande simple : renoncer aux #brevets sur les #vaccins contre la #Covid-19 et mettre fin à la pandémie dès maintenant. Dans son texte, Silvia Federici appelle les #féministes à se rallier aux luttes des travailleuses de la santé.

    Quelle est l’image marquante de la pandémie de la Covid-19 ? À mon avis, c’est celle de l’infirmière au chevet du malade, en première ligne de cette urgence mondiale, surmontant sa propre peur de la maladie pour soigner les patientes et patients et leur apporter du réconfort face à une mort probable. Pour des millions d’infirmières vivant dans des pays où les vaccins contre la Covid-19 demeurent rares, c’est une image de la vie quotidienne. Même dans les pays où le pire de la maladie s’est dissipé, on commence seulement à comprendre le poids de ce travail — jour après jour — sur les épaules des infirmières.

    Nous leurs sommes redevables, et c’est pourquoi nous devons suivre leur exemple. À l’heure actuelle, les syndicats d’infirmières de vingt-huit pays se lèvent pour défendre les vies de celles-ci et protéger celles de leurs patientes et patients en attaquant en justice certains des gouvernements les plus puissants du monde avec une demande simple : renoncer aux brevets sur les vaccins contre la Covid-19 afin de mettre fin à la pandémie dès maintenant. Je crois qu’il est essentiel pour les mouvements féministes non seulement de soutenir ces syndicats dans leur bataille juridique, mais aussi de faire de cette lutte l’élément central de notre organisation dans les mois à venir.
    En avril 2021, le premier ministre du Royaume-Uni, Boris Johnson, lors de ses interventions publiques largement diffusées après une semaine passée à l’hôpital pour se remettre de la Covid-19, a rendu hommage aux « deux infirmières qui se sont tenues à son chevet » durant son rétablissement. Environ un mois plus tard, l’une des infirmières, Jenny McGee, démissionnait de son poste, lassée du traitement réservé aux travailleuses de la santé par son gouvernement. « Le National Health Service m’a sauvé la vie, sans aucun doute », a-t-il déclaré. Un an plus tard, les travailleuses du NHS sont confrontées à l’érosion de leurs salaires et de leurs pensions.

    Aux États-Unis, on entend les infirmières raconter des histoires d’épuisement physique, de manque d’équipement adéquat et de douleur émotionnelle liée à la perte de patientes et patients dont elles s’occupaient. Des vies d’infirmières ont également été perdues. Selon l’Organisation mondiale de la santé, au moins 115 000 infirmières dans le monde sont mortes des suites d’une infection de la Covid-19, et beaucoup de ces vies auraient pu être épargnées si les vaccins avaient été produits et distribués de manière équitable.
    Malgré ces difficultés, les infirmières se mobilisent sans relâche. Elles dénoncent l’échec des hôpitaux, des systèmes sanitaires et des autorités locales et nationales. Et elles ont incité un mouvement mondial à les rejoindre : devant les fenêtres et debout sur les balcons, nous avons applaudi les infirmières en tant que « travailleuses essentielles », reconnaissant — pour la première fois, de mémoire — le rôle qu’elles jouent dans nos économies, nos sociétés et nos vies quotidiennes.

    #Silvia_Federici

  • Rire & Chansons : La drôle de chronique de #Karine_Dubernet, je me suis convertie au Covidisme

    Notre Pfizer qui est aux cieux,
    Que tes doses soient sanctifiées,
    Que tes actionnaires prospèrent,
    Donne-nous nos trois doses de ce jour,
    Vaccine-nous comme nous vaccinons ceux qui refusent de se vacciner,
    Ne nous laisse pas entrer en réanimation,
    Mais délivre-nous du Covid,

    Au nom du pèze, du fric et du simple d’esprit,
    ARNm.

    https://www.youtube.com/watch?v=AcdADBzetUA

    Attention !
    Ne pas faire confiance à #Pfizer à cause de ses 75 condamnations et 10 193 896 333 $ d’amendes pour charlatanisme, publicité mensongère, corruption de médecins, de fonctionnaire… fait de vous un, une #complotiste.

    Pourtant, faire confiance à Pfizer c’est comme laisser monter son gosse dans la voiture d’Emile Louis, en toute connaissance de cause.

    Karine et la gestion de la crise par not président !
    « Dire que t’es capable d’emmerder des millions de Français, revient à admettre que t’es un immense trou du cul. »

    #Humour #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme

    • Baromètre des médias 2022 : la confiance des Français au plus bas Aude Carasco
      https://www.la-croix.com/Economie/Barometre-medias-2022-confiance-Francais-bas-2022-01-20-1201195923

      Jamais l’intérêt pour l’actualité et la confiance envers les médias n’ont été aussi faibles à la veille d’une présidentielle, relève le 35e Baromètre de confiance dans les médias Kantar-Onepoint pour « La Croix ».

      En cette année d’élection présidentielle, plus aucun média n’obtient une majorité de confiance de la part des Français. Même la radio (à 49 %) qui caracolait seule en tête depuis le lancement, en 1987, de notre Baromètre médias avec une crédibilité encore de 52 % l’an dernier.

      Moins écouté avec le développement du télétravail pendant la crise sanitaire, ce média a été bousculé cette année par la reprise en main éditoriale d’Europe 1 par l’industriel Vincent Bolloré. Or, les Français, toujours selon notre étude, jugent à 91 % « important » ou « essentiel » que les médias soient « indépendants des intérêts et des milieux économiques ». C’est même le cas des 94 % des sondés qui citent la radio comme mode principal d’information.

      En perdant 3 points de crédibilité, ce média de la mobilité et de l’intimité se retrouve au même niveau que la presse écrite (à 49 %, + 1 point). Si la confiance dans la télévision progresse elle aussi (44 %, + 2 points), celle envers Internet (24 %, – 4 points) renoue avec ses plus bas niveaux historiques.

      « On observe une convergence de la crédibilité entre les médias traditionnels, avec un écart qui se creuse avec Internet », relève Guillaume Caline, directeur enjeux publics et opinions chez Kantar Public-Onepoint. Même si les Français se sont un peu moins informés par Internet cette année (32 %, – 2 points) au profit de la télévision (48 %, + 2) et de la presse papier (6 %, + 1), « la tendance guidée par les jeunes (qui privilégient à 66 % Internet, NDLR) ne va pas s’inverser ».

      La pandémie de Covid, un sujet trop traité pour huit Français sur dix
      Cette défiance envers les quatre supports d’information ( #télévision, #radio, #presse papier, #Internet ) incite une partie de plus en plus large de la population à « mettre à distance l’actualité », souligne Guillaume Caline. En pleine campagne, seuls six Français sur dix (62 %, comme en 2018) déclarent s’intéresser « assez » ou « beaucoup » à l’actualité, moins que lors de la précédente présidentielle, où l’actualité était suivie par 64 % des sondés. Mais on n’observait pas en 2017 un tel décrochage auprès des jeunes de 18-24 ans. Ils étaient encore 63 % à porter un intérêt à l’actualité, alors qu’ils ne sont plus que 38 % (– 13 points sur un an) cinq ans plus tard.

      Cette désaffectation des plus jeunes est à rapprocher de leur perception négative du traitement médiatique de sujets qui leur sont chers. Ils sont ainsi 68 % (contre 53 % pour l’ensemble de la population) à estimer que le dérèglement climatique et ses conséquences ont été mal traités. Et seuls 20 % (contre 37 %) ont une perception satisfaisante du travail journalistique sur les violences faites aux femmes.

      Ils se rapprochent davantage de l’avis de leurs aînés pour l’appréciation d’autres sujets, comme la pandémie de Covid-19 qui a saturé l’espace médiatique pour huit Français sur dix (79 %). De même que la candidature d’Éric Zemmour à la présidentielle dont les médias ont trop parlé pour 73 % des sondés. Les plus jeunes se montrent un peu plus cléments sur le transfert de Lionel Messi au Paris Saint-Germain, trop médiatisé pour un Français sur deux (50 %) et 46 % des 18-24 ans.

      De façon plus positive, les Français jugent que les médias ont accordé « la place qu’il faut » à une majorité d’événements soumis à leur appréciation : l’entrée de Joséphine Baker au Panthéon, les élections régionales et départementales, le départ d’Angela Merkel ou encore le procès des attentats du 13 novembre 2015. Une certaine reconnaissance de l’investissement éditorial pour des sujets jugés importants.

  • Des camionneurs se rendent à Ottawa pour dénoncer la vaccination obligatoire Radio-Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1856635/vaccin-covid-camionneur-cb-ottawa-frontiere-convoi-manifestation

    Dimanche matin, un convoi de camionneurs a pris la route à Delta, en Colombie-Britannique, dans le but de traverser une partie du pays pour se rendre à Ottawa afin de manifester contre la vaccination obligatoire.


    Depuis le 15 janvier, les camionneurs qui rentrent au Canada doivent être entièrement vaccinés s’ils veulent éviter une quarantaine obligatoire. - Photo : Ben Nelms/CBC

    En novembre, le gouvernement fédéral a adopté une mesure qui oblige les camionneurs à être entièrement vaccinés contre la COVID-19 lorsqu’ils traversent la frontière pour revenir au Canada. Si ce n’est pas le cas, ils doivent se placer en quarantaine pendant 14 jours.

    Cette mesure, en vigueur depuis le 15 janvier, a suscité une levée de boucliers de la part des camionneurs de partout au pays, qui s’organisent maintenant en convoi national afin de souligner leur désaccord.


    Le convoi est censé arriver à Calgary dimanche soir et à Ottawa le 29 janvier. Photo : La Presse canadienne / Darryl Dyck

    Divers convois en provenance de plusieurs régions du pays sont censés se joindre à la manifestation en cours de route.

    Ils comptent arriver à Ottawa le 29 janvier.

    De nombreuses personnes se sont d’ailleurs rassemblées au point de départ et sur le bord des routes afin d’exprimer leur appui au mouvement.

    “J’ai trouvé très important de venir soutenir moralement cet engagement des camionneurs à traverser le Canada et à prendre position par rapport à ce qui se passe actuellement, qui n’a plus aucun sens”, explique Laurent, un cinéaste de Vancouver présent à Delta dimanche.

    De son côté, la photographe Candice Camille a attendu le convoi à Kamloops dans ce qui était une ambiance “très joyeuse”. Elle se dit “agréablement surprise” par le nombre de personnes venues soutenir le mouvement.

    “C’est certainement plus grand que les camionneurs eux-mêmes et leur combat contre le passeport vaccinal. Je crois que les gens sont heureux d’avoir des champions qui lancent ce mouvement qui, je crois, va prendre beaucoup d’ampleur”, lance-t-elle.

    En date de dimanche à 15 h, une campagne de sociofinancement a amassé plus de 2,6 millions de dollars pour aider les camionneurs à financer cette traversée.


    Des manifestants se sont rassemblés sur le bord de la route à Kamloops pour exprimer leur soutien aux camionneurs. Photo : offert par Candice Camille

    Perturbation de l’approvisionnement
    Laurent Flambourari est chauffeur formateur depuis plus de 15 ans et franchit régulièrement la frontière canado-américaine. S’il ne souhaite pas entrer dans le débat à propos de la politique vaccinale, il souligne que la mesure sur la vaccination est déjà en vigueur et que cette manifestation survient trop tard.

    “C’est un peu tard, maintenant, parce que la mesure est déjà entrée en vigueur”, dit-il.

    Ce qui l’inquiète surtout, ce sont les répercussions éventuelles que le convoi et la mesure pourraient avoir sur l’approvisionnement au pays. Il demande à la classe politique d’agir rapidement en conséquence.

    “Il faudrait vraiment qu’on discute et qu’on adopte rapidement une solution si on ne veut pas se retrouver avec un problème d’approvisionnement en matières premières ou en denrées alimentaires”, explique-t-il.

    L’Alliance canadienne du camionnage désapprouve
    Dans un communiqué, l’Alliance canadienne du camionnage assure que la vaste majorité des camionneurs sont vaccinés contre la COVID-19 et continuent de traverser la frontière avec les États-Unis pour assurer la chaîne d’approvisionnement.

    L’Alliance dit “ne pas appuyer et désapprouver fortement” les manifestations qui ont lieu sur les routes et sur les ponts. Elle invite plutôt les camionneurs mécontents à manifester sur la colline du Parlement ou à communiquer avec leur député.

    “Cette mesure ne changera pas, alors en tant qu’industrie, nous devons nous adapter et nous plier à cette obligation”, écrit le président de l’Alliance, Stephen Laskowski.
    Avec des informations de Chloé Dioré de Périgny et de Jenifer Norwell

    #vaccination #crise_sanitaire #Canada #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #pass_sanitaire (soir disant sanitaire) #camions #transport #manifestation #quarantaine

  • You Are Not Entitled To Our Deaths : COVID, Abled Supremacy & Interdependence | Leaving Evidence
    https://leavingevidence.wordpress.com/2022/01/16/you-are-not-entitled-to-our-deaths-covid-abled-supremacy-

    These days, I am struggling to find grace for abled people. I have taken a break from engaging with most abled folks in my life because frankly, I don’t know how to convey the magnitude of disabled rage I feel about this pandemic and the stunningly self absorbed levels of abled entitlement. I cannot casually check-in anymore or be asked how I’m doing in the middle of mass suffering, illness and death. I cannot listen to or read about the high rates of infections, illness and death in BIPOC (Black, Indigenous and People of Color) communities with no mention of BIPOC disabled people in the middle of a pandemic. I cannot listen to the CDC say they are “encouraged” that only those “who were unwell to begin with” will die from Omicron and then hear about so-called-comrades’ vacations outside of the continental U.S. I cannot be part of any more so-called political conversations that don’t acknowledge disability, ableism and abled supremacy in the middle of a pandemic. 

    We will not trade disabled deaths for abled life. We will not allow disabled people to be disposable or the necessary collateral for the status quo. We will not look away from the mass illness and death that surrounds us or from a state machine that is more committed to churning out profit and privileged comfort with eugenic abandonment. 

    We know the state has failed us. We are currently witnessing the pandemic state-sanctioned violence of murder, eugenics, abuse and bone-chilling neglect in the face of mass suffering, illness and death. We are the richest nation in the world and we continue to choose greed and comfort over people and life. The state is driving the knife of suffering deeper into the gut of those who are already collapsed on the ground. The cruelty is sweeping and unapologetic. 

    This is no surprise to many of us on the far left. We have seen what the state is willing to do to its own people. We have never been able to rely on the state because we know the state does not care about us or our people. We have always had to organize outside of the state. This is nothing new. We have been here before and we are here again. 

    We know we need systemic change so that our peoples can literally survive this pandemic alive, but we also know that the kind of changes we need are most likely not coming. It is in the interest of those in power to keep people uncared for, sick and dependent on dwindling crumbs. This is one reason why ableism and poverty are so effective and why they are often inseparable. There are many things we cannot control or change right now, even as we desperately wish we could. As we fight for systemic changes, we can also try to change what is happening inside of our communities. We can learn from our mistakes and try to, at the very least, not make things worse than they already are. 

    Pitting the need for state and systemic change against individual and community change sets up a false binary. Both are necessary to get out of the pandemic mess we are in, just as both are necessary for any kind of liberation we are fighting for. We need to provide hazard pay to essential workers, end evictions, pay people to stay home, distribute free tests to everyone and we need everyone to wear masks, stop holding/attending in-person gatherings, stop unnecessary travel and get vaccinated and boosted. There are people on the left who are only talking about the need for a state response, while they themselves are still not vaccinated and boosted or continue to throw/attend in-person gatherings. If transformative justice teaches us anything, it is that systemic change alone is not enough. There are also many changes that must happen at the community and individual levels as well. 

    Vaccines have laid bare how deep ableism runs in our political movement culture. Disabled people have always known this, but I have been incredibly disappointed and angry at abled people, especially within our movements, who have reinforced abled supremacy via abled culture and entitlement and shirked their responsibility and missed opportunity after opportunity to challenge abled supremacy and act in solidarity with disabled people and communities. 

    Why have we allowed and contributed to the framing of vaccines as an individual choice instead of collective action, interdependence and solidarity with disabled people (especially those who are high risk), elders, children who cannot get vaccinated, the global south, essential workers and those who do not have the option to work from home? For those who are able to be vaccinated, getting vaccinated is not about personal choice. It is not like deciding to get an abortion; stop saying this. Not getting vaccinated is not “my body, my choice,” it is more like drunk driving or exposing someone to secondhand smoke. 

    We should be talking about getting vaccinated and making it part of our political left culture. Not only posting about it on social media, though that is important, but more importantly, engaging in direct conversations with those in our lives. Not in an attempt to shame, because we know from transformative justice that shaming people is not useful, but in a way that invites conversation and sets clear consequences, not punishment. 

    Getting vaccinated and boosted should be framed as part of our political commitment to interdependence, disability justice and solidarity. I have been truly disheartened, though not surprised, by the amount of people in our movements who are able to get vaccinated, who have not done so and continue to eat out and go to gatherings, instead of staying home to protect others. As someone who has experienced tremendous abuse, including sexual abuse within the medical industrial complex, I do not support forced medical treatments of any kind, including vaccines. I want you to want to do the right thing. I want you to want to protect and care for other people. If you are able to get vaccinated, but are adamant that you do not wish to, then for our collective safety, isolate yourself, stay home and stay away from other people. 

    Abled culture teaches abled people to be entitled. You are entitled to never have to learn anything about disability and ableism. You are entitled to get to move through the world, and through our movements, with little-to-no understanding or political analysis about disability, even as you pontificate about every other system of oppression and violence. Abled culture in our movements mean that we will say, “we must center those who are most impacted,” all day every day, but then not include disabled, especially those who are high risk, in the center during a global pandemic. Abled entitlement means that you will still continue to plan your vacation abroad, even amidst the Delta surge; you will still post pictures from your giant family holiday gathering amidst the Omicron surge. 

    You are not entitled to our deaths. You are not entitled to the deaths of our loved ones in the name of capital, privilege and “normal.” You are not entitled to our silence about our pain and suffering and the wet tar grief that envelops us. You are not entitled to our fear and terror at the worsening conditions and chaos of this pandemic, wondering if we will ever be able to safely leave our homes again. 

    You enjoy connection at the expense of our isolation. Your needs are always more important than the collective. When you choose to gamble with your own health, you only take into consideration your own risks and never the risks of others. Abled entitlement ensures risk assessment will always be, “Will I get sick? I will be able to recover OK. My family will be OK. My children will be OK.” Never, “Will they be OK? Will their children be OK? Will their family be OK? Will everyone they might also interact with be OK?” Never, “Could this harm their country? Their state? Their continent?” Shielded by your abled privileged bravado, “it can’t happen to me. I’m healthy.” Never, “Who might I be exposing? I might be OK, but someone else may not.”

    Abled supremacy means that many of you mistakenly think that if you do get COVID and if you end up with long COVID, that the state will take care of you or that your community will. You believe this because you do not know about the lived reality of disability in this country. Abled privilege means that you don’t have to listen to disabled people or learn about ableism and abled supremacy. Our government does not care about the disabled people that already exist. So, if you think it will care for you if you become disabled from COVID as millions more will, then that is a function of your ableist ignorance. 

    I need you to care about disabled people’s lives more than you care about a vacation, a party or a celebration. A cornerstone of being disabled in an ableist world is isolation. This is part of the trauma of ableism. Disabled people are marked over and over by isolation through material, social and cultural inaccessibility, stigma, fear, violence and shame. We live with various forms of social distance our entire lives. During this pandemic, many disabled people, particularly those who are high risk, have not left their house or seen anyone for years, save the people they live with. You take the luxury of in-person connection for granted and feel entitled to it, even as thousands around you die and suffer, even as you may risk prolonging and worsening the pandemic. 

    We don’t know when the next variant will emerge as a threat. Scientists are watching many variants that have not become threats yet. The longer COVID is allowed to circulate within a community, the more chance it has to mutate and spur a new variant. We cannot keep risking collective safety for individual indulgence. We cannot keep sacrificing long term needs for short term wants.

    Disabled people are not disposable. We are your feared present and your inevitable future. We are what age and time promise more than anything else, and this is one reason you fear us and why you have continually pushed us away and hidden us. You don’t want us too close, don’t want a daily reminder of difference and privilege; you don’t want to have to change your life for us. We are to be landfilled away, conveniently forgotten about so you can play pretend without interruption. 

    Pandemics, climate change, pollution and toxins have tilted the scales and upped the ante that disability is our collective future. You may have been able to avert your eyes from state violence, poverty and addiction, but what about when the very air you breathe becomes a threat? What about when there is nowhere left to escape climate disaster and you cannot afford to leave the planet? Individual safety by itself is a myth. There is no individual safety without collective safety and collective safety requires that no one is safe unless everyone is safe. 

    You interrogate your privilege, but never your abled privilege. You educate yourself about oppression, but never ableism. You love your queer, BIPOC, working class, abolitionist, anti-racist, feminist, immigrant communities, but never seem to remember that disabled people exist in these and every community. 

    My people are dying and terrified. And you don’t seem to care. You don’t seem to care because you don’t see them–see us–as your people too. When you talk to me about racial justice or housing justice or healing justice or gender justice, who exactly are you talking about? Whose justice are you fighting for? Because it never seems to include disabled people or if it does, it is only in theory, not practice; only to make yourself look better. Or only when disabled people are in the room or when disabled people initiate the conversation. 

    I do not wish to be your token politicized POC disabled friend or comrade. If you care about me, then I also need you to care about disabled people and disabled communities because if you don’t care about them, then you don’t care about me. If you care about me then I need you to check your abled entitlement and challenge abled supremacy, especially the current abled culture that deems disabled people as disposable in this pandemic.

    I need you to not only say that you are in solidarity with disabled people or that you value disability justice; I need you to practice it. I need you to engage in the hard conversations with fellow abled people about vaccines and boosters, masks and canceling in-person gatherings, travel and work. Many disabled people have been doing this labor because we do not have a choice. We have been losing connections, yelled at, mocked, ridiculed, told we are overreacting, harassing or controlling simply because we do not wish to die. Simply because we do not want others to die. Simply because we cannot afford to risk being at the mercy of a triaged medical system that may deem us unworthy of treatment because of our disability, illness, class, race, skin color, accent, immigration status, gender, size. Simply because many of us knew what was coming, what is coming, and we knew we could not stop it without you and we knew you would always choose your own comfort and pleasure over collective safety, over interdependence. How to put into words the demoralization of needing people who do not need you? 

    We should be framing this pandemic in terms of interdependence. This is the right political framing because it is the only moral and humane framing. Interdependence acknowledges that our survival is bound up together, that we are interconnected and what you do impacts others. If this pandemic has done nothing else, it has illuminated how horrible our society is at valuing and practicing interdependence. Interdependence is the only way out of most of the most pressing issues we face today. If we do not understand that we are interdependent with the planet we as a species will not survive. 

    Abled culture teaches you to act as if you are independent, to buy into the myth of independence. Reject this. Embrace interdependence and know it is the only way we will be able to end this pandemic. Know that if we center disabled people, first and foremost those who are high risk, it will help everyone. More people getting vaccinated and boosted, means less people overrunning hospitals, so that ICU beds and hospital staff can be available for those who truly need it. It also means that non-emergency surgeries and other vitaly needed medical procedures do not have to be postponed because of an overwhelmed medical system. Less people traveling unnecessarily means less chance for the virus to spread and mutate, and that those who do need to travel (e.g. to take care of a sick loved one) will be at less risk. For those who can, staying home and not going out when you don’t have to creates safer conditions for those who are not able to stay home. Declining invitations to gatherings and explaining why, not only helps to stop the spread, but also models by example care, boundaries and interdependence. 

    Reframe your disappointment for having to cancel that event or gathering as an opportunity to practice interdependence, solidarity and disability justice. In the same way that you might refrain from attending or purchasing something you enjoy because you want to support workers on strike, support the most vulnerable groups from this pandemic. This includes the global south, which is filled with BIPOC disabled people, because we know that they will bear the brunt of the global north’s entitlement, selfishness and greed (e.g. not stopping the spread of the virus, waiving patent rights for vaccines). If we all step up to protect the most vulnerable, if we all practice collective action together, then we can significantly help to reduce risk and harm. 

    The solution cannot be that everyone has to get COVID. That is eugenics because many disabled high risk people will die and those who do not die will have serious complications and lifelong impacts to their health and wellbeing via COVID and the possibility of long COVID. Do not buy into this eugenic thinking that expects the most vulnerable to be sacrificed. Long Covid is real and it can happen to anyone. 

    This pandemic will create millions more disabled people with chronic illnesses. Are we ready for what is coming next? Are we prepared for how many more disabled people with chronic health conditions there will be? Are we ready for how that will and should necessarily shift our movements and political work? Or are we going to continue to shut out disability and disabled people from movements and communities? Are we going to continue to not include ableism and abled supremacy in our liberation work?

    If there was ever a time to be in solidarity with disabled people, it is now. It has been through this entire pandemic. This is about what you can do now. Now is the time to recalibrate, to get (back) in alignment with your values. We don’t need your apologies, we don’t have time for that, we just need you to do better. If you are abled, talk to other abled people. Because of ableism they will be more open to hearing it from you than from us. Help to educate them. Do not participate in upholding abled supremacy. Unlearn everything that doesn’t serve interdependence. 

    Interdependence is ultimately about “we,” instead of “me.” It understands that we are bound together, by virtue of existing on this planet. Interdependence is generative and grounded in care for one another. It doesn’t live in obligation or entitlement, but rather a loving willingness and a sacred giving. Interdependence cannot exist in scarcity, competition, comparison, domination or greed. It flourishes in abundance, appreciating and honoring difference, collective care and collective access. Interdependence can exist between two people or six billion and everything in between. 

    Interdependence asks us to imagine new ways forward with intention and soulful commitment to each other. We need you. We need all of us. There is no getting out of this pandemic alone. There is no stopping the spread or pushing our government, schools and businesses to do more, alone. We need each other. We need each other. We need each other.

    #covid-19 #solidarité #interdépendance #vaccination

    • Why have we allowed and contributed to the framing of vaccines as an individual choice instead of collective action, interdependence and solidarity with disabled people (especially those who are high risk), elders, children who cannot get vaccinated, the global south, essential workers and those who do not have the option to work from home? For those who are able to be vaccinated, getting vaccinated is not about personal choice. It is not like deciding to get an abortion; stop saying this. Not getting vaccinated is not “my body, my choice,” it is more like drunk driving or exposing someone to secondhand smoke.

    • You are not entitled to our deaths. You are not entitled to the deaths of our loved ones in the name of capital, privilege and “normal.” You are not entitled to our silence about our pain and suffering and the wet tar grief that envelops us. You are not entitled to our fear and terror at the worsening conditions and chaos of this pandemic, wondering if we will ever be able to safely leave our homes again.

    • C’est excellent, je sais pas si ça a un intérêt de le double dupliquer mais tant pis :

      Our government does not care about the disabled people that already exist. So, if you think it will care for you if you become disabled from COVID as millions more will, then that is a function of your ableist ignorance.

    • We should be framing this pandemic in terms of interdependence. This is the right political framing because it is the only moral and humane framing. Interdependence acknowledges that our survival is bound up together, that we are interconnected and what you do impacts others. If this pandemic has done nothing else, it has illuminated how horrible our society is at valuing and practicing interdependence. Interdependence is the only way out of most of the most pressing issues we face today. If we do not understand that we are interdependent with the planet we as a species will not survive.

  • La France en marche EP64 - Les aventures de Jean Castex au pays des non vaccinés Studio Crapulax

    https://www.youtube.com/watch?v=IYEn9Ohm9_I

    Cette vidéo n’est pas sponsorisée par un jeu gratuit tout naze ni un VPN à la noix ni un parti politique !
    Si vous voulez soutenir mon taff et m’aider à me payer des test PCR, ça se passe ici : https://fr.tipeee.com/studio-crapulax
    Oyé oyé, la France en Marche est un programme satirique dont l’existence se justifie parce que « Je suis Charlie » !

    Si ce programme vous semble moins caricatural que la réalité, je décline toute responsabilité.
    En raison de la politique de censure arbitraire de Youtube, je vous invite à télécharger cette vidéo si elle vous a plu parce qu’elle, comme la chaine, n’est pas à l’abri d’une censure définitive et sans appel !

    Si vous souhaitez que je poste mon contenu sur Odysee, hésitez pas à me filer des crédits sur le site. https://odysee.com/@studiocrapulax:d
    J’ai ouvert une chaine télégram où je fous rien mais si ça vous dit de venir taper la discussion, z’etes bienvenus ! https://t.me/studiocrapulaxlafranceenmarche

    #humour #satyre #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #enfants #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme #violences_policières

  • A La Réunion, le plan blanc activé pour répondre à l’« accélération très violente » de l’épidémie de Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/20/a-la-reunion-le-plan-blanc-active-pour-repondre-a-l-acceleration-tres-violen

    A La Réunion, le plan blanc activé pour répondre à l’« accélération très violente » de l’épidémie de Covid-19
    Confrontée à une propagation rapide du variant Omicron, l’île fait face à une pression hospitalière inédite et réfléchit à un durcissement des mesures de restriction.
    Plus de 31 000 nouveaux cas en une semaine entre le 8 et le 14 janvier (dont 27 décès), une moyenne de 4 500 contaminations par jour – dont les deux tiers provoquées par le variant Omicron –, un nombre record de patients hospitalisés. La Réunion n’avait jamais connu de tels chiffres depuis le début de la crise sanitaire. Le week-end des 15 et 16 janvier a été un « enfer aux urgences », témoigne un médecin.

    Alors qu’un recul de l’épidémie semble se dessiner dans certaines régions métropolitaines et que le premier ministre, Jean Castex, a dévoilé, jeudi 20 janvier, son calendrier de levée des restrictions des mesures sanitaires, l’île de La Réunion connaît une « accélération très violente » de la circulation virale, constate le docteur Philippe Ocquidant, directeur de la médecine de crise au centre hospitalier universitaire (CHU) de La Réunion et chef du service de neuroréanimation à Saint-Pierre. Face à une vague d’ampleur inédite, les directeurs des établissements hospitaliers réunionnais – le CHU de Saint-Denis et Saint-Pierre, le centre hospitalier ouest Réunion (CHOR) à Saint-Paul et le groupe hospitalier est Réunion (GHER) à Saint-Benoît – ont déclenché, mercredi, le plan blanc, qui permet de mobiliser des personnels en congés ou de faire appel à la réserve sanitaire.
    « C’est une décision qui a été retardée le plus possible et qui est désormais indispensable, observe Lionel Calenge, directeur du CHU et du GHER. Nous sommes allés jusqu’au bout de ce que nous pouvions faire. De nouveaux moyens sont nécessaires pour assurer la continuité des soins. » Les taux d’occupation des hôpitaux en médecine et en réanimation atteignent régulièrement les 90 % depuis plus d’une semaine. Ces services restent en grande tension en dépit de l’augmentation de leurs capacités d’accueil, avec un total de 108 lits de réanimation pour 860 000 habitants. En raison de l’insularité de La Réunion et de sa distance avec la métropole (onze heures d’avion), le transfert de malades vers d’autres régions reste une solution très difficile à mettre en œuvre.
    L’activation du plan blanc doit permettre l’arrivée de renforts de métropole. Deux médecins et six infirmiers réanimateurs ont atterri dans l’île, jeudi 20 janvier. Les hôpitaux publics réunionnais ont effectué une demande pour six médecins réanimateurs et vingt infirmiers supplémentaires. L’objectif est de porter le nombre de lits en réanimation à 120. « La situation le justifie », souligne le directeur du CHU en estimant que la hausse des contaminations va entraîner mécaniquement une augmentation des hospitalisations dans les prochains jours. Une « prise de conscience de la gravité de la situation » à La Réunion s’impose, selon le docteur Ocquidant. « Pour le personnel, c’est physiquement et psychologiquement compliqué, observe le médecin. Selon l’agence régionale de santé, 67,8 % de la population réunionnaise éligible présente un schéma vaccinal complet (contre près de 78 % dans toute la France). Parmi les patients en réanimation, aucun ne présentait, mercredi 19 janvier, un schéma vaccinal complet.La saturation des cabinets médicaux de l’île pose également problème. « Il faut comprendre que, si l’hôpital explose, la médecine de ville explose également, réagit la docteure Christine Kowalczyk, présidente de l’union régionale des médecins libéraux. Il faudrait un plan blanc pour nous aussi car, sinon, nous risquons de ne plus pouvoir répondre. »

    #Covid-19#migrant#migration#france#Lareunion#metropole#sante#mobilitetherapeutique#personnelmedical#omicron#vaccination#circulation

  • Non-vaccinés : « Le profil-type, c’est la personne âgée isolée » - Arrêt sur images
    https://www.arretsurimages.net/emissions/arret-sur-images/non-vaccines-le-profil-type-cest-la-personne-agee-isolee

    Emmanuel Macron a "très envie de les emmerder". Depuis la rentrée, les non-vaccinés sont au cœur des débats dans la lutte sanitaire contre le Covid-19 et son variant Omicron. Ils étaient ainsi, en décembre dernier, plus de cinq millions à ne pas avoir entamé leur parcours de vaccination. Les non-vaccinés sont pointés du doigt par le gouvernement, et le corps médical observe qu’ils occupent au moins la moitié, et parfois plus, des lits dans les services de réanimation, retardant certaines interventions chirurgicales nécessitant un accès à la réa. Le Monde et Libération ont décortiqué les différents chiffres à ce sujet ("[...] les non-vaccinés, bien qu’aujourd’hui neuf fois moins nombreux dans la population adulte que les [vaccinés], représentent une part équivalente ou plus importante, en valeur absolue, dans les admissions (ou dans les lits occupés) en réanimation, ou en soins critiques au sens large, écrit Libération). Ils sont par ailleurs souvent confondus, notamment par Emmanuel Macron dans son interview pour le Parisien, avec les « antivax », critiqués pour leur adhésion aux thèses complotistes ou les violences commises contre des élus. 

    Mais qui sont les non-vaccinés ? Quels sont leurs arguments ? Sont-ils les bouc-émissaires médiatiques de la crise du Covid ? nous allons en discuter aujourd’hui avec nos invités : Bruno Andreotti, physicien, professeur à l’université de Paris, qui a travaillé sur la physique des aérosols, au cœur des questionnements sur la circulation du Covid et signataire d’une tribune parue le 12 janvier dans Libération, qui appelle à la mise en place d’un arsenal sanitaire complet, dont la vaccination universelle, pour sortir de la crise https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir ; Barbara Stiegler, professeur de philosophie à l’université Bordeaux Montaigne, vice-présidente du comité d’éthique du CHU de Bordeaux et membre du conseil de surveillance de l’agence régionale de santé de la région Nouvelle-Aquitaine ; et enfin François Alla, médecin, professeur de santé publique, et chef du service prévention du CHU de Bordeaux, qui a notamment travaillé avec Barbara Stiegler pour la rédaction de son tract paru chez Gallimard, De la démocratie en pandémie.

    #Bruno_Andreotti #non-vaccinés #Covid-19 #Omicron #vaccination_universelle #pharmaco-vigilance

    • Stiegler : il y a des effets secondaires, cardiaques, neurologiques, c’est documenté, et même les laboratoires le reconnaissent, hormonaux et plus généralement d’inflammation

      Andreotti : Epiphare montre que le tiers des hospitalisés n’ont pas de commorbidité ; le covid long aux dommages non pulmonaires doit être pris en compte et pas seulement les décès, les réas, et les hospitalisations.

      Stiegler : le vaccin dégrade les endométrioses (...) à la télé on voit des malades du covid mais pas les malades des effets secondaires du vaccin. il y a une sous déclaration, c’est infaisable de déclarer ces effets secondaires, je peux faire témoigner des soignants qui ont du y renoncer.
      je me réjouis de pouvoir parler sur une chose qui soit pas le mark-web [youtube ? ndc]

      Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      Stiegler se dit d’accord pour les masques la ventilation et la purification de l’air et passe à... l’oxygénation précoce, les traitements dont certains (?) vont bien, mais de tout ça ils n’en parlent pas car ils veulent de l’innovation, du solutionnisme technologique.

      Andreotti ne relève pas, à nouveau, et évoque des groupes d’arpenteurs de santé, mais évoqués nulle part. remettre de l’humain à la place des call center qui ne marchent pas.

    • Andreotti est l’un des initiateurs de l’appel « rogue » et il a une bonne maîtrise des connaissances sur la pandémie, pas seulement sur l’aérosolisation. mais effectivement le plateau est déséquilibré en faveur d’un Geta Barrington aux dehors humanistes (hallucinant la magouille de Stiegler qui dit que cela sera possible de signer un apple à Andreotti, alors qu’elle a signé avec Fouché ailleurs), et du fait d’un journaliste qui touche pas trop sa bille, en plus de rarement donner la parole à Andreotti, trop poli pour la prendre (comme dans le talk show lundi soir, les minoritaires qui sont là pour attester du pluralisme du dispositif s’autocensurent).

      Stiegler éthique, déontologie and so on. c’est pas à cause du covid que l’hôpital s’effondre, regardez, on peut même pas affronter une épidémie de bronchiolite.

      edit Contre l’imposture et le pseudo-rationalisme
      Renouer avec l’éthique de la disputatio et le savoir comme horizon commun, Bruno Andreotti, Camille Noûs
      https://www.cairn.info/revue-zilsel-2020-2-page-15.htm

      Dans cet entretien, il me semble qu’assistée de son collaborateur, Stiegler, cherche un accord avec Andreotti sur l’essentiel : le vaccin n’est pas la panacée, le non pharmaceutique compte, le « social » compte pas pour des prunes (aller vers ≠ visio, doctolib, relation de soin sans relation), ce qui permet de glisser des trucs pas clairs, qui ne sont pas mis en cause. On dira que je suis parano, mais selon moi, ça sent la magouille.

      #Barbara_Stiegler

    • Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      « La suppression du site (blog) du CTIAP entraîne, de façon mécanique, l’arrêt de l’étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) lancée dans la région des Pays-de-la Loire à la demande de professionnels de santé, juristes, citoyens, etc.
      Avec regret. »
      https://twitter.com/ctiap_cholet/status/1484875424526123011?cxt=HHwWhoCy6ZqVq5spAAAA
      Quelques rappels de cette étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) qui est mécaniquement arrêtée suite à la suppression du site (blog) du CTIAP.
      https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-covid-19-une-initiative-pour-renforcer-la-surveillance-des-effet

      Des professionnels de santé veulent encourager les personnes confrontées à des effets indésirables survenus après le vaccin contre la Covid-19, à les signaler. La démarche est coordonnée par le responsable de la pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet. Sans le soutien de l’établissement.

      Les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 sont-ils sous-évalués ? Alors que se multiplient les recommandations en faveur du rappel et de l’élargissement de la vaccination face à la reprise épidémique, certains continuent de le penser.

      Problèmes hépathiques, cardiaques, urinaires, immunitaires, respiratoires, vasculaires... Au 25 novembre, dernier relevé officiel public en date de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), 116397 cas d’effets indésirables dont 24% qualifiés de graves avaient été enregistrés pour un total de 104 009 500 injections. ( tous vaccins confondus ) soit un taux de 0.11%.

      Un chiffre qui interroge certains médecins je n’ai pas la suite...

    • des interprétations centrifuges qui rejettent non seulement les (demi-)mesures du gouvernement, mais aussi la pandémie elle-même. A leurs yeux, si les Etats se servent de la pandémie comme prétexte pour renforcer leur emprise autoritaire sur la société, cela prouve que la pandémie n’existe pas[14]. Ou bien, si cette pandémie existe bel et bien, elle n’est dangereuse que pour un faible pourcentage de la population déjà vulnérable. Le plus souvent, cette catégorie désignait systématiquement (et à tort) un groupe d’âge spécifique[15]. De ce point de vue, il n’y avait apparemment d’autre raison que l’autoritarisme pour imposer quelque mesure horizontale que ce soit. La forte contagiosité du nouveau virus, ses risques et sa considérable létalité se sont ainsi transformés sur le plan conceptuel en un problème simple, gérable et facile à résoudre pourvu qu’on « protège » les personnes âgées vulnérables (déjà structurellement délaissées), c’est-à-dire qu’on les retire de notre champ de vision. Toute autre mesure, selon les négationnistes, ne saurait avoir d’autre but que d’élargir le périmètre de contrôle et de discipline de l’Etat.

      https://antithesi.gr/?page_id=977

  • eh ben voilà...
    j’aime pas étaler ma vie mais là je suis trop dégouté...
    2 ans
    2 putain d’années à limiter les contacts, à faire gaffe, à expliquer aux enfants de faire gaffe, que c’est pas grave si d’autres le font pas, eux c’est important qu’ils le fassent.
    Dernièrement l’angoisse de la montée des cas à l’école.
    Cernés de partout, divergence incroyable entre ce qu’on dit partout autour de moi (repris de ce que dégueulent les médias mainstream) et ce qu’on lit sur seenthis.
    Résultat je tarde un peu mais je me décide à trouver des rendez vous coûte que coûte pour vacciner les petites et acheter les « pure mask » conseillés ici.
    Vaccins fait mercredi, pure mask reçu aujourd’hui...et ce qui devait arriver arriva...une des filles positives ce soir.

    Je suis dégouté parce que tout le monde trouve ça génial parce qu’on va retrouver la vie d’avant grâce à ce virus qui circule si bien et qui est rien d’autre qu’une gripette maintenant hein (et même des gars avec des cerveaux de fou comprennent pas que rien ne changera tant qu’on aura pas vacciné massivement toute la planète).
    Je suis dégouté parce que tout le monde dit c’est pas grave (mais putain...qu’est ce qu’on en sait ??? ouais la proba est faible...mais qu’est ce t’en sais que ça va tomber sur toi ou pas ?)
    Je suis dégouté parce que j’ai pas voulu trop le faire en force et que j’aurais peut être dû...
    Je suis dégouté que les mecs au gouvernement sont tellement nuls et cyniques qu’on en arrive à polariser la population comme jamais et que les gens comprennent plus rien à rien à force de dire n’importe quoi tout en faisant la chasse aux fake news qui se sont jamais aussi bien portées.
    Je pourrais continuer sur pas mal de choses mais j’ai déversé ce qui me pesait déjà pas mal sur le coeur...alors je vais m’arrêter là....

    ...mais je suis dégouté

    • Vos partages et messages m ont fait monter les larmes...
      (Qui demandaient ptete qu a couler avec la fatigue/insomnie et la rage qui sommeil..)

      Pareil je hais les jeux de hasard.
      Je sais même pas si au point où en est, les gens se rendent compte que c est un pari.
      J ai l impression que tout le monde est devenu dingue.
      Une animatrice de l ecole a été dire à ma plus petite, déjà bien angoissée de nature, que le vaccin ça rendait aveugle, qu elle l avait vu de ses propres yeux.
      Il faut quoi pour en arriver à dire ça à un môme qui a mal au bras ??
      Quand tout le monde dit et fait n importe quoi, comment tu gardes le cap ?
      Les seules personnes qui comprennent c est vous...je vous ai jamais vu...mais sans vous je serais en plein naufrage je crois....

      J en chiale de plus belle mais je vous remercie d être la et de ce que vous faites.
      C est triste qu on soit qu une poignée à vouloir regarder la réalité en face mais un petit peu c est mieux que rien...

    • voici @ericw :

      « Comble de la lose, j’ai eu le Delta quand tout le monde avait l’Omicron » : ces covidés qu’on ignore

      Avec le variant Omicron qui submerge la France depuis fin décembre, plus question d’attirer l’attention ou de se faire plaindre avec un simple test positif.

      Dire que, il y a deux ans, connaître ne serait-ce qu’un cas contact méritait l’attention de son entourage. Dire que, il y a deux ans, on était plein d’inquiétudes pour ceux qui avaient contracté la maladie, on leur posait plein de questions (« alors tu ne sens plus rien ? » ; « tu veux qu’on t’apporte quelque chose ? »). C’est dur aujourd’hui, à titre de comparaison, de compter parmi les derniers malades du Covid-19.

      Même la pharmacie débordée n’a pas pris le temps de les appeler pour leur donner leur résultat positif. Soudain, les proches se transforment en médecins épidémiologistes (« Omicron, c’est rien, tu vas être enrhumé et ça te fera ton booster quatrième dose »). S’ils font l’erreur de dire « J’ai le Covid », on leur réplique : « Non, t’es positif. » Fini l’époque où on plaignait les gens à l’isolement comme vivant une expérience hors limite. Là, on relativise à leur place (« bah, tu peux bosser de chez toi ») et on oublie de prendre de leurs nouvelles. Qui s’est demandé comment allait Olivier Véran depuis qu’il a annoncé être positif au Covid-19 ?

      A quoi on les reconnaît

      Ils postent des photos de leur test positif sur Facebook ou Twitter pour tenter de s’attirer un peu de compassion (heureusement que le test ne passe pas par une analyse d’urine, on se demande à quoi auraient ressemblé les réseaux sociaux), ensuite ils précisent que tout va bien quand même. Ils rassurent des gens qui ne s’étaient même pas inquiétés pour eux. Quand ils l’annoncent à leur entourage, on leur répond « j’en sors », « décidément tout le monde l’a », on leur fait la liste de tous ceux qui viennent d’être testés positifs le même jour ou de ceux qui l’ont eu plusieurs fois. Depuis le SMS de l’Assurance-maladie leur indiquant qu’ils allaient être appelés, ils attendent toujours que le téléphone sonne. Quand ils appellent leurs cas contacts en s’excusant, ils s’entendent répondre : « Mais, de toute façon, on est tous cas contacts. » Leurs collègues oublient de leur envoyer des liens Zoom pour les réunions. Les écoliers positifs, eux, reçoivent des messages de leurs copains : « La chance ! »

      Comment ils parlent

      « Quand mon père l’a eu, on pensait que c’était la fin et on aspergeait la maison d’eau de Javel, là, on nous dit qu’il faut bien y passer un jour. » « Mon mari et ma fille se sont foutus de moi. » « J’ai pas pu m’empêcher de frimer sur les réseaux sociaux avec mon petit Covid, je me suis pris une volée de commentaires. » « Comble de la lose, j’ai eu le Delta quand tout le monde avait l’Omicron. » « J’ai essayé de faire le malin parce que j’ai eu Omicron en décembre, mais ça n’intéressait personne. » « Même un bon variant, ça ne te distingue pas. » « Rassurez-vous, pour le moment, j’ai à peu près l’équivalent d’un gros rhume. » « J’ai l’impression d’être en décalage quand je dois demander un lien Zoom. »

      Leur grande vérité

      C’est la pire période pour avoir le Covid-19.

      Leurs questions existentielles

      Avec deux masques posés l’un sur l’autre, je peux faire les courses si je vais très vite ? Le test à J + 7, c’est en comptant la journée d’aujourd’hui ? Ils sont nombreux ceux qui ne l’ont pas encore eu ? Est-ce qu’on est la queue de comète ?

      Leur Graal

      Depuis qu’un test positif au Covid-19 est un non-sujet, il n’y a plus de disputes en famille ou entre amis sur l’attitude à adopter.

      La faute de goût

      Avoir 40 de fièvre, ne pas tenir debout et devoir écouter des amis dire : « Ma sœur l’a eu la semaine dernière, t’auras un peu mal à la tête et c’est rien. »

    • ❤️ merci ❤️

      Pour faire écho à l’article du monde :
      On a testé tout le monde ce matin. Elle a apparemment une charge virale très haute et nous on est pour le moment tous négatif.
      On a une voisine (qui devait venir pour récupérer des trucs) qui veut absolument venir pour le choper volontairement.
      On m’a conseillé de surtout pas la confiner pour que tout la famille l’ait et qu’on « soit tranquille ».
      Une seule personne m’a demandé si elle allait bien...

    • a peu près la même ici, sauf qu’on a failli s’entretuer avec ma compagne et que nos disputes ont fait qu’on a pas pu vacciner la petite. Là, on est tous les deux +, la petite on va voir tout à l’heure. Juste déso mais la dif entre seenthis et le reste du monde ça n’a pas vraiment aidé à garder sa santé mentale. je veux bien regarder la réalité en face, mais être absolument seul à le faire m’a rendu à peu près aussi fou que les autres.

    • Mon Pauvre...
      J’ai failli dériver aussi en essayant de montrer/argumenter mais j’ai vite arrêter car j’ai vu que j’allais devenir dingue aussi.
      Maintenant je trouve refuge ici et je me tais...
      J’ai de la chance que ma compagne à moi soit réceptive...même si ça amène un temps de latence (parce que sinon j’avoue que je sais pas dans quel état je serais).

      La voisine...on a trouvé 2 plans pour essayer de la protéger malgré elle. Lui amener le machin avant elle et l’accueillir masqués dans le jardin si elle déboule avant qu’on puisse lui amener.

      Merci à tous pour vos encouragements 🤗🙇🏿

    • Chez moi, même son de cloche que @tintin, pas facile d’être en décalage avec le « balec » ambiant comme dirait @arno. Sauf que notre grande fille (5ans) a été vaccinée dimanche dernier. Mais mon épouse me l’a reproché après coup, tout le monde lui faisant comprendre que c’est risqué de vacciner les enfants.

      Comme partout, notre fille est « cas contact » chaque semaine, et je dois faire le candide au laboratoire pour lui avoir un test PCR avec prélèvement oral : on m’explique qu’on va lui faire quand même mais que désormais il faut se procurer des auto-tests « ah bon ? je ne savais pas ! ». Au passage, je suis déconcerté par la facilité de prélèvement de ces tests.

      Mais après avoir fait un test, mon épouse me suggère « on n’est pas obligés de la re-tester, elle n’a pas l’air malade... ». Ah oui, tiens, je me demande si les autres parents ont aussi eu cette bonne idée...

      Au bahut, ce n’est pas mieux, une collègue est restée bosser plusieurs jour après le test positif de sa fille de 10ans, en disant « Marre de me faire tester, tant que je n’ai pas de symptôme, je ne me teste plus ! ». Parce que même si on ne peut plus le voir en peinture, la préparation de nos élèves au bac Blanquer passe avant les principes de précautions. Résultat, quelques jours après, symptômes, test, positif, isolement. Mais le mari vient toujours bosser, en attendant d’être positif à son tour. Quand une autre collègue nous explique que ce n’est pas au lycée que les jeunes se contaminent (4500 de taux d’incidence chez les 10-19ans la semaine dernière dans mon département, bien au-dessus des autres classe d’âges)

      Du coup je me suis mis aussi au FFP2, fais hyper gaffe à ne pas me retrouver avec trop de monde, me teste tous les jours ou tous les deux jours, et n’arrive pas à croire que je sois passé entre les gouttes (parce que train + lycée, je suis exposé quotidiennement).

      Et donc quand je rentre à la maison, et m’aperçoit que mon épouse et notre 2ème fille (1an) reviennent d’être passées voir les voisin·es chez elles, pendant plus d’une heure, sans masque ça va sans dire, avec une autre pote et ses 3 enfants qui vont au même cluster que notre grande, et en plus la copine qui accueille et sa fille viennent juste de chopper le covid, « mais elles n’avaient plus de symptômes et avaient fini leur période d’isolement depuis... j’me rappelle plus mais elles avaient terminé donc elles n’avaient plus le covid »

      manque de pot pour moi, j’avais lu un billet de @monolecte sur le pic de contagiosité https://seenthis.net/messages/944152

      .... donc... comment dire... oui c’est ça, je vais arrêter de traîner sur #seenthis...

    • et hop, le pompon sur le gateau en croisant un pote, papa d’une copine de ma fille qui fréquente le même cluster Blanquer mais pas la même classe : sa fille a été testée dimanche dernier, donc 7 jours d’isolement (pas un de plus, hein ! faut pas déconner), mais le mieux, c’est l’après covid, il y a vraiment une prime à la contamination :
      - pas de tests nécessaires pendant les 2 prochains mois, parce qu’immunisée (à raison de 3 par semaine moins les 2 semaines de vacances, ça fait l’économie d’une vingtaine d’écouvillons dans le pif)
      - même quand sa classe est fermée parce que la maîtresse, devinez !, a choppé le covid, et qu’on ne peut pas la remplacer, elle peut être accueillie dans une des autres classes contrairement aux malheureux camarades qui n’ont pas eu le mérite d’être positifs

      il n’en faut pas plus pour me faire passer auprès de mon épouse pour un gros flippé qui n’a rien compris à ce qu’il faut faire : multiplier les contacts pour enfin ! avoir la chance d’être tous touchés... et reprendre une vie normale ??

    • quand même un truc que j’ai du mal à garder en tête c’est que le risque est réellement minime pour les gamins. Comme c’est un risque qu’on peut éviter, moi j’ai pas du tout envie de le prendre, et je suis bien d’accord que chaque hospitalisation d’enfant qui aurait pu être évitée devrait/doit l’être. Mais le risque est effectivement minime... alors comment dire...

      La peur, la panique, dans les deux sens, inquiètiste ou rassuriste, ça fait chier et ça n’aide pas à prendre des décisions sereinement. Franchement, si c’est pour faire exploser ma famille, le vaccin ça ne vaut pas le coup. Et là, on est à deux doigt d’exploser à cause de ces conneries... no fun. Et moi ça fait longtemps que je voue un amour sans bornes aux vaccins... avant le covid que ça me sortait par les trou de nez les discours antivax... ma compagne non, poreuse à ce soupçon, comme presque tout le monde autour de moi... ça prend du temps... mais on a pas le temps... enfin bref.

      Vous amusez pas à me répondre par des chiffres flippants sur les gosses, c’est bon j’ai eu mes trois doses et on va finir par la vacciner, ça aiderait juste que tout le monde s’y mette pas vrai ?!

      https://seenthis.net/messages/945101

      https://youtu.be/MGrNG-uLJ7w

    • On continue à faire l’impasse sur les séquelles et/ou covid long.
      Les données s’entassent depuis près de 2 ans et elles disent toujours la même chose  : il ne faut pas attraper cette merde.

      Les atteintes des tissus cardiaques, du cerveau, des poumons, mais aussi les problèmes de coagulation et d’immunité sont clairement documentés et concernent au moins 10% des contaminés, symptos ou pas, sans ≠ d’âge ou de condition initiale. Ce qui est juste énorme.

      Sans ça, ce serait déjà inquiétant, parce que rien que les gens qui finissent à l’hosto, faut pas croire qu’ensuite, ils sont opérationnels en 2 coups de cuillère à pot.

      Perso, j’ai pas 10 points de QI à crâmer, pas envie de me retrouver à me trainer comme une vioque avec une capacité pulmonaire à 85% à vie, pas envie d’être la fête aux grumeaux et avoir une proba démultipliée de faire un infarct ou un AVC.

      Mais qu’on puisse envisager de faire courir ces genres de risques à ma gosse, j’ai juste envie de sortir le karcher en mode lance-flammes.

    • Cet été, je me préparais psychologiquement au fait que peut être qu’on ne ferait pas vacciner notre ado qui rentrait en 2nde. Je ne suis pas rentré dans les détails statistiques dans la discussion. Mais il a fallu tout de même que j’explique que les probabilités de problèmes avec le vaccin étaient moins élevées que les probabilités que ça se passe mal sans le vaccin (myocardites en particulier, par exemple). Et j’avoue qu’à l’époque, j’étais moi même dans l’expectative, tellement les stats étaient difficiles à obtenir, car en cours de construction, encore à ce moment-là. Aujourd’hui, ce n’est plus en construction. Ce qu’il reste à construire, ce sont les stats sur les covids longs. La Grande Bretagne est en (très) avance, mais là aussi, ces stats ont du mal à arriver jusqu’à nous d’une façon plus ou moins vulgarisée.

      Mais comme tu le dis, on parle de probas très faibles. Et c’est ce qui m’emmerde dans mes relations avec le reste de la famille : ils considèrent tous que se faire chier avec des masques, c’est de la parano, que se faire chier avec un vaccin, c’est de la parano, et en plus, l’ARNm va rester dans le corps, et patatipatata. Les voilà qu’ils tentent de me convaincre que eux ont des sources d’informations mieux informées que les miennes, et que je ne suis qu’un odieux prêcheur prosélyte pro-masque. Oui, j’ai eu l’outrecuidance de proposer à ma mère de l’accompagner à la vaccination, pensant que ça pouvait être un obstacle, et de lui filer des FFP2. Les FFP2 ça pue, c’est inconfortable, et le vaccin c’est caca. Dans le genre hypocondriaque, elle se pose là pourtant d’habitude... mais les discours majoritaires lui font penser que le mal, c’est de lutter contre le virus. Ils ne se rendent pas compte collectivement combien le vaccin sauve de vies au quotidien et j’en veux à nouveau à l’absence totale de communication de ce gouvernement de gros nuls qu’en ont rien à foutre à un point...

      Bref, pour not’gamin, on a fini par dire « avec le vaccin, il pourra aller à la piscine ». Miracle du nudge. (il ne va plus à la piscine depuis mi-décembre qu’on nous l’a dit cas contact : une semaine de FFP2 à la maison, ça a suffit) (en fait, ce qui a emporté le morceau, c’est qu’on a posé la question à notre gamin qui nous a dit qu’il voulait être vacciné en particulier pour pouvoir retourner à la piscine).

      Il n’en reste pas moins que perso, je reste sur la ligne « on porte le FFP2, parce que personne ne mourra à cause de nous », ainsi que de la ligne « le sras n’aura pas l’opportunité de nous pourrir la vie ». Avec ou sans vaccin. Et pour la 4ème dose, j’avoue que ça ne me fait pas du tout envie, et que je préfèrerais vraiment qu’on se décide collectivement à appliquer la stratégie zéro-covid.

      Et n’empêche que je m’étais préparé au fait qu’on ne fasse pas vacciner le gamin. Je disais « je suis pour qu’on le vaccine » comprenant les doutes de ma compagne. Et comme il était hors de question de faire péter le couple pour ça, évidemment, j’avais préparé la solution de replis : cette solution, c’était FFP2 pour tout le monde, et retrait de toute vie collective à risque (sans masque). Je sais pour le lire un peu partout, que le port du masque H24 peut là aussi faire naître des tensions. Mais pour cela, je suis prêt à faire naître les tensions sur l’air « tu ne veux pas de vaccin, j’ai lâché l’affaire pour toi, s’il te plait, accepte qu’on porte le masque ».

      A ce sujet, du zéro-covid, je rigolais en lisant cet article de l’épidémio qui raconte qu’on en a tous marre, et je trouve son point de vue très juste tout du long. Il raconte aussi que le monde entier a laché le zéro covid, parce que Omicron, en ajoutant « sauf les chinois ». Je rigole, parce que les chinois, ils ont une population et une densité de population qui rend cette affirmation ridicule : le zéro covid est possible, même avec Omicron, et la preuve par la Nouvelle Zélande, le Japon, la Chine, et la Corée, et Hong Kong, et Taiwan, etc.

    • J’avais pensé que lorsque les gosses commenceraient à être massivement touchés, on verrait s’élever un mouvement de protestations fort et plutôt radical, genre, on met pas les mômes à l’école, les enseignants en grève reconductible, enfin le genre d’action qui était susceptible de bloquer la machine. Mais il nous faut hélas constater que la mise en danger des enfants, ce n’est pas encore suffisant pour allumer l’incendie de la révolte. La plupart des parents « s’adaptent » en trichant sur le protocole en papier crépon, certains enseignants s’adaptent en faisant double cours (présentiel et distanciel) ...
      Bref, tout ça argumenté par un discours rassuriste et/ou obscurantiste. En fait, dans ce déchainement d’individualisme forcené, t’as juste l’impression que la principale motivation de tes semblables est de préserver leur pouvoir d’achat afin de pouvoir continuer à consommer compulsivement comme des gorets, comme « avant ». Et surtout, aussi, de montrer avec ostentation que tu as encore une « vie sociale », mais compatible avec des critères consuméristes, hein ! C’est vraiment, comment dire ? Désespérant ?

    • je passe par là pour dire qu’on peut se sentir très seul vis-à-vis de proches (et parfois être contraint à la rupture pour pas devenir dingue, pour ma part j’ai mis fin à une amitié de plusieurs décennies, uneasy), mais aussi trouver des lieux et entours possibles, suffisamment attentifs à ce qui a lieu, sans craindre d’être minoritaire (j’espère que ce n’est pas un privilège isolé).
      ici, la coopération aide grave, ce qu’offre la fonction soignante diffuse de divers comptes twitter, ça participe aussi d’un minimum d’asepsie intellectuelle.
      J’imagine que vous avez lu les deux bons papiers parus sur PLI (santé communautaire ; libéralisme chez les militants). Il ya de quoi glaner aussi pour le quotidien difficile.
      là où je suis, il y a aussi du craignoss sous-jacent et de l’indifférence, mais je croise pas ça dans ma cuisine. je souhaite tout le courage et la patience possibles à qui vit dans le désaccord chez soi.

      sinon, je voulais hachetaguer car je me perds facilement.

      #covid-19 #individualisation #proches #masques #vaccin #covid-long #école #enfants #réinfections #protocole_tous_infectés #désorientation #dénégation #principe_de_non-précaution #biopolitique #va-mourir

    • Le texte sur la santé communautaire « pro vaccin, pro aération, pro masques »,
      https://seenthis.net/messages/942233

      (si c’est celui là dont tu parle @colporteur ) les retours que j’ai eu, à demi-mots, c’est que c’est trop clivant...

      Peut-être qu’en terme de stratégie, on pourrait effectivement être sensible à ne pas froisser les sensibilités (et calmer nos envies de meurtres).

      Nunatak a très bien tourné les choses dernièrement : https://seenthis.net/messages/945093

      (et c’est bizarrement passé inaperçu ici).

      Mais de bons textes comme réconfort, c’est bien faible , on a besoin de plus et surtout de personnes, de gens, du physique quoi.

      Allez zobi,
      jean peuplu

      (@monolecte déso je me suis un peu emporté, tu as raison de rappeller ces risques, je les connais, je pense que c’est important de le dire, même si personne n’a envie de les entendre).

    • L’autre texte utile paru sur PLI n’est pas moins « clivant ». Le premier s’en prenait à la dénégation et à l’individualisme. Celui-ci attaque le libéralisme existentiel (généralisé) dont relèvent bien des militants.
      Critiques de la gestion dite sanitaire et libéralisme militant
      https://paris-luttes.info/critiques-de-la-gestion-dite-15618

      Aucun des deux ne transpire selon moi le meurtre ou l’envie de meurtre que tu évoques, @tintin. Je ne crois pas que la stratégie (ici, le communisme) et les concessions verbales aient partie liée. Et pour ce qui est de la tactique, ces contributions à un débat qui n’a pas lieu depuis deux ans ne pouvaient pas ressembler à des bouquets de fleurs.

    • je me suis mal exprimé, franchement je ne sais même plus comment m’exprimer, si c’est clivant de dire que c’est bien de mettre un masque, d’aérer, et de se vacciner, que dire ? Bref.

    • et le texte de nunatak ne me semblent pas moins « clivant », dans le sens où on y assume des positions claires avec la base de la base de ce qu’il faut faire en pandémie, néanmoins peut-être un peu plus fin.

    • @sombre

      « J’avais pensé que lorsque les gosses commenceraient à être massivement touchés, on verrait s’élever un mouvement de protestations fort et plutôt radical, genre, on met pas les mômes à l’école, les enseignants en grève reconductible, enfin le genre d’action qui était susceptible de bloquer la machine. Mais il nous faut hélas constater que la mise en danger des enfants, ce n’est pas encore suffisant pour allumer l’incendie de la révolte. »

      Ah ben non, le seul début de mouvement de protestation ça a été contre le port du masque à l’école. Maintenant avec les gamins qui en sont à leur deuxième covid en deux mois (dont presque 4 semaines de vacances cf https://seenthis.net/messages/945459#message945625) on pourrait espérer y venir, ah, mais non je rigole, c’est pas grave, c’est « juste » un rhume (quand pas juste une grippe - on voit que les justunegrippe n’ont jamais risqué l’hosto avec justeunegrippe pour trouver la grippe easy).

  • Près de 40% des enfants ne sont pas allés au rendez-vous de vaccination en Flandre Explication logique.
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/01/21/pres-de-40-des-enfants-ne-sont-pas-alles-au-rendez-vous-de-vacc

    Perte de confiance  : L’agence flamande "Zorg en Gezondheid" ("Soin et santé") constate que près de 32.000 enfants de 5 à 11 ans ne se sont pas présentés avec un parent au rendez-vous pour leur vaccination contre le Covid-19. Cela équivaut à près de quatre enfants sur dix (39%) éligibles à la vaccination en Flandre. L’Agence a également reçu un refus de la part des parents de 25.000 enfants invités (4,9%). Le baromètre de la motivation réalisé par les universités UCLouvain, ULB, KU Leuven et UGent révélait d’ailleurs mercredi que la motivation à suivre les mesures sanitaires dans le cadre de la pandémie de Covid-19 a diminué en un mois, alors que la méfiance à l’égard de la stratégie gouvernementale a augmenté. Le refus de faire vacciner son enfant chez les parents vaccinés a augmenté de près de 20%, passant ainsi de 41% fin décembre à 60%.

    Confinement des parents  : Le nombre élevé d’enfants qui ne sont pas allés se faire vacciner « est en partie dû aux personnes qui doivent être mises en isolement ou en quarantaine. Cela peut être le cas pour l’enfant lui-même, ou pour les parents qui ne peuvent plus amener l’enfant au centre de vaccination", expliquait ce vendredi Joris Moonens, porte-parole de l’Agence pour les soins et la santé.
    Pour les parents hésitant, les responsables de l’Agence soulignent qu’une prise de rendez-vous ultérieure sera toujours possible. "S’ils n’ont pas refusé, ils recevront une nouvelle invitation", poursuit le porte-parole. "Nous avions de toute façon tenu compte du fait que le taux de vaccination serait plus faible dans cette catégorie d’âge."

    Au total, plus de 514.000 enfants âgés de cinq à onze ans ont déjà été invités à se faire vacciner, soit 99,3 % des enfants flamands de 5 à 11 ans. Les quelques invitations qui n’ont pas encore été adressées seront envoyées dans les prochains jours.

    Une première dose de vaccin a déjà été administrée à 87.117 enfants (17%) en Flandre. La campagne de vaccination des enfants y a démarré le 30 décembre dernier à Gooik (Brabant flamand). En Wallonie, la vaccination des enfants de 5 à 11 ans a débuté mercredi et comptabilisait 15.000 réservations mardi.

    #vaccination #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #enfants #confinement

  • (1) Awarded… posthumously.
    https://www.reddit.com/r/HermanCainAward

    https://preview.redd.it/5micrhe6a1d81.png

    Nominees have made public declaration of their anti-mask, anti-vax, or Covid-hoax views, followed by admission to hospital for #Covid. The Award is granted upon the nominee’s release from their Earthly shackles.

    Je suis surpris de pas avoir vu le lien ici. Sur ce sub-reddit, on suit les messages sur les #réseaux_sociaux des #antivax et antis masques, qui finissent aux urgences ("nominees") ou qui en meurent ("awarded"). C’est ... assez troublant. Surtout au tout début, avant que la popularité n’explose, et que les noms et visages n’étaient pas masqués. Le côté positif, c’est que ça en a poussé certains à se faire #vacciner

  • Nine staff infected with Covid-19 evacuated from Argentina’s Antarctic research base | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/world/americas/article/3164203/nine-staff-infected-covid-19-evacuated-argentinas-antarctic

    Nine staff infected with Covid-19 evacuated from Argentina’s Antarctic research base
    For the first time since the start of the pandemic the coronavirus has reached an Argentine research base in Antarctica, causing the evacuation of nine unvaccinated staff who tested positive for Covid-19, an official said on Thursday.Twenty-four of the 43 scientists and military personnel at Argentina’s La Esperanza base have been infected, Patricia Ortuzar of the government’s National Directorate of the Antarctic said.Nine of the 24, who have no symptoms, were evacuated to Buenos Aires by helicopter as a precaution.They had been in Antarctica since before the start of Argentina’s vaccination campaign in 2021, and were due to travel to the capital to be jabbe.
    They had decided to wait to get their shots in Argentina, fearing having to deal with possible side effects in the extreme environment that is Antarctica.Previously, Covid-19 cases were reported at a Belgian research station in the icy continent in December 2021.The situation at La Esperanza base was “under control”, said Ortuzar.The other 15 coronavirus-positive staff, also asymptomatic, remained at the base with the rest of the team. All are vaccinated.The La Esperanza base, built in 1952 in the extreme northwest of Antarctica, is one of 13 belonging to Argentina – six of them permanent.In the winter months, Argentina has some 200 scientists, military personnel and assistants at its permanent bases, a number that roughly doubles in summer.The outbreak at La Esperanza started on January 12, when a base occupant was likely infected by a new arrival, said Ortuzar.To prevent infection at its Antarctic outposts, Argentina has isolated and tested some 300 scientists and military personnel since December aboard an icebreaker which is currently bringing them back to Antarctica.Like many other countries, Argentina is battling a third pandemic wave, with more than 100,000 cases reported daily.The South American country of 45 million people has registered more than 7.4 million infections since March 2020, and 118,000 deaths.

    #Covid-19#migrant#migration#argentine#antartique#sante#immigration#virus#pandemie#militaire#scientifique#vaccination

  • Covid-19 : les voyageurs dispensés de quarantaine en Thaïlande à partir du 1er février
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/20/covid-19-les-voyageurs-dispenses-de-quarantaine-en-thailande-a-partir-du-1er

    Covid-19 : les voyageurs dispensés de quarantaine en Thaïlande à partir du 1er février
    Craignant la propagation du variant Omicron, le pays avait rétabli, à la fin de décembre, une quarantaine obligatoire. Mais seuls quelques milliers de cas sont recensés officiellement chaque jour, et la courbe des décès reste stable.La Thaïlande va de nouveau dispenser les voyageurs vaccinés de quarantaine à partir du 1er février, ont annoncé, jeudi 20 janvier, les autorités. Cette décision suscite l’espoir au sein de l’industrie du tourisme, exsangue depuis plusieurs mois.Craignant la propagation du variant Omicron, le pays avait rétabli une quarantaine obligatoire à la fin de décembre. Mais seuls quelques milliers de cas sont recensés officiellement chaque jour, et la courbe des décès reste stable. Ces données ont poussé les autorités à réévaluer la situation.
    A partir du 1er février, les visiteurs vaccinés devront fournir un test de dépistage du SARS-CoV-2 dont le résultat est négatif, effectué dans leur pays d’origine. Puis ils seront contraints d’en faire un deuxième à leur arrivée, et un dernier le cinquième jour suivant leur entrée sur le territoire, a fait savoir Taweesin Visanuyothin, porte-parole du centre de gestion du coronavirus.Les tests pratiqués sur le sol thaïlandais devront être effectués dans un hôtel homologué. Si le résultat est négatif, le voyageur pourra circuler librement dans le pays. « En cas d’augmentation des cas, la situation sera de nouveau réévaluée », a précisé Taweesin Visanuyothin.
    Après plus de dix-huit mois de fermeture, le royaume avait rouvert ses frontières au début de novembre aux touristes vaccinés sur présentation d’un simple résultat négatif de test PCR. Quelques dizaines de milliers de visiteurs avaient profité de cet allégement des restrictions.Avant la pandémie, le pays était l’un des plus visités au monde, avec près de 40 millions d’entrées sur le territoire en 2019. Le ministère du tourisme espère accueillir 5 millions de visiteurs cette année.

    #Covid-19#migrant#migration#thailande#sante#pandemie#tourisme#economie#vaccination