• L’opération Vaxibus de Skyrock écourtée à Rennes après une manifestation
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-operation-vaxibus-de-skyrock-ecourtee-a-rennes-apres-une-manifestation-20

    La tournée du Vaxibus de la radio Skyrock, destinée à inciter les jeunes à se faire vacciner contre le Covid-19, a été écourtée à Rennes après une première journée perturbée par des manifestants, a annoncé l’Agence régionale de santé (ARS) lundi soir. « L’opération de demain (mardi) est annulée », a annoncé une porte-parole l’ARS à l’AFP, sans plus de précision. En tournée dans toute la France, le Vaxibus devait s’arrêter lundi et mardi dans le centre-ville de la capitale bretonne, de 12H00 à 20H00.

    Mais dès 19H00 lundi, les équipes du Vaxibus étaient en train de ranger leur matériel sous le regard de quelques dizaines de manifestants anti passe sanitaire, a constaté un journaliste de l’AFP. « On n’est pas contre la vaccination », a assuré Franck, 50 ans, un des manifestants. « On est là pour dénoncer les effets secondaires que personne ne dit ». Le manifestant, qui dit « combattre pour rester libre », a accueilli avec satisfaction l’annulation de l’opération de mardi. « Si on peut avoir sauvé quelques enfants », a-t-il souri.

    Une cinquantaine de personnes étaient présentes au plus fort de la manifestation, selon lui. Certains manifestants ont hué les gens qui rentraient dans le centre de vaccination ambulant, d’après le quotidien régional Ouest-France, qui précise que seulement une dizaine de personnes âgées se sont fait vacciner entre midi et 18H00. Lancé en partenariat avec le ministère de la Santé, l’opération Vaxibus « Ça va ? Ça vax ! » propose aux plus de 12 ans de se faire vacciner puis d’enregistrer une dédicace diffusable sur Skyrock. Le Vaxibus Skyrock doit ensuite faire étape à Orléans mercredi et jeudi.

    #enfants #crise_sanitaire #EnMarche #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #radio

    • Tout à fait normal qu’une radio nulle organise des vaccinations.
      C est ça le monde de demain.
      A quand une équipe cycliste sponsorisée par Pfizer avec Lance Armstrong comme entraîneur ?

  • #Suisse : Une 3e dose du vaccin anti-Covid ne sera pas nécessaire, selon Claire-Anne Siegrist RTS
    https://www.rts.ch/info/12538402-une-3e-dose-du-vaccin-anticovid-ne-sera-pas-necessaire-selon-claireanne

    Invitée sur le plateau du 19h30 dimanche, la cheffe du centre de vaccinologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) Claire-Anne Siegrist a répondu aux interrogations et réticences courantes concernant la vaccination contre le Covid-19.

    La spécialiste dit comprendre les hésitations qui persistent au sein d’une catégorie de la population quant à la vaccination. « Tout a été très vite et les chiffres sont compliqués à comprendre », dit-elle.

    Possibilités de transmission, effets secondaires graves, recul nécessaire... La vaccinologue a passé en revue les différentes réticences liées à la vaccination. Elle a également abordé la question de l’alternative offerte par le vaccin de Johnson & Johnson.

    Quant à la nécessité future d’une troisième dose, Claire-Anne Siegrist est catégorique : « Je n’y crois pas ». A part les personnes âgées et fragiles qui « vont bénéficier d’une troisième dose pour remonter leur taux d’anticorps », le reste de la population n’aura « pas besoin de vaccins réguliers », estime l’experte, qui souligne toutefois qu’elle se base sur les faits existants à ce jour.

    Interview vidéo sur le site de la RTS

    #pass_sanitaire #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #hôpital #hôpitaux #médecine

    • Claire-Anne Siegrist, sur wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire-Anne_Siegrist

      Biographie
      Elle fait ses études à l’université de Genève en pédiatrie et maladies infectieuses et se forme en immunologie avancée à l’Université d’Aix-Marseille. Sa thèse de doctorat, soutenue en 1998, porte sur la vaccination en bas âge.

      Elle dirige depuis 1996 le Centre collaborateur de l’OMS pour l’immunologie vaccinale et depuis 2013 le Centre de vaccinologie des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG). Elle est nommée professeure de vaccinologie à Genève en 1999 puis crée la première chaire de vaccinologie en Europe. Elle préside de 2004 à 2014 la commission fédérale pour les vaccinations (CFV)1. Elle est nommée experte par le gouvernement britannique au comité pour la vaccination et l’immunisation de 2008 à 2016 et dans le groupe consultatif stratégique d’experts de l’OMS depuis 20102.

      En 2014, elle dirige l’essai clinique d’un vaccin contre la maladie à virus Ebola commandé par l’OMS3.

      Elle met en place InfoVac, une plateforme d’information et de consultation pour toutes les questions concernant la vaccination2.

      Travaux
      Elle mêne des travaux de recherche dans le domaine de l’immunologie vaccinale, étudiant notamment le fonctionnement des vaccins et les mécanismes de maturation des réponses infantiles.

      Distinctions
      • Prix mondial Nessim-Habif de la faculté de médecine de l’Université de Genève, automne 2017 lors du Dies academicus 20174.
      • Prix Best of ESPID Education Award 2018, 31 mai 2018, délivré par la Société Européenne pour les Maladies Infectieuses Pédiatriques (ESPID)5,6.
      • Chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur, 11 mars 20192.

  • A partir de dimanche, tous ceux qui n’ont pas reçu la troisième dose de vaccin verront leur passeport vert expiré. Deux millions d’Israéliens concernés.
    https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1630771486-israel-le-responsable-de-la-lutte-contre-le-coronavirus-appelle-a

    Le responsable de la lutte contre le coronavirus en Israël a appelé samedi à se préparer à l’administration d’une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19.

    « Le virus est là et continuera d’être là, nous devons également nous préparer à une quatrième injection », a déclaré le Professeur Salman Zarka à la radio publique Kan.

    Selon le responsable, ce prochain rappel pourrait être modifié pour mieux se protéger contre les nouvelles variantes du virus SARS-CoV-2, telles que la souche Delta hautement infectieuse.

    « Cela va être notre vie à partir de maintenant », a-t-il prévenu, sans préciser le moment où il sera temps d’envisager une quatrième injection.

    L’Etat hébreu avait lancé fin juillet une campagne pour permettre aux personnes âgées de 60 ans et plus de se faire injecter une troisième dose de vaccin, principalement du géant pharmaceutique Pfizer/BioNTech. 

    Il a depuis progressivement abaissé l’âge minimal d’accès, et annoncé dimanche dernier étendre à tous les adultes et adolescents âgés de 12 ans et plus l’éligibilité à ce rappel afin de lutter contre une hausse des contaminations liée au variant Delta.

    Le ministère de la Santé avait annoncé la semaine dernière que le passeport vert - document attestant d’un schéma vaccinal complet ou du rétablissement de la maladie - expirerait six mois après l’injection d’une deuxième ou troisième dose de vaccin, laissant déjà entendre qu’une quatrième injection était à prévoir.

    #Israel #pass_sanitaire #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #france #hôpital #hôpitaux #médecine

  • Coronavirus : la Belgique a commandé des vaccins en vue d’une éventuelle quatrième dose Belga avec C.Dath
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_coronavirus-la-belgique-a-commande-des-vaccins-en-vue-d-une-eventuelle-q

    Le gouvernement s’attend à ce qu’il faille sans doute à nouveau vacciner massivement en 2022 et 2023 contre le coronavirus, écrivent samedi les journaux du groupe Mediahuis.

    « La Belgique est partie prenante du gros contrat de la Commission européenne pour 900 millions de doses du vaccin Pfizer », confirme un porte-parole du ministre fédéral de la Santé publique, Frank Vandenbroucke. « Nous avons réservé dans ce cadre notre part pour 2022 et 2023 afin d’être sûrs que nous pourrons alors vacciner si nécessaire ».

    La Taskforce Vaccination suit les résultats des études scientifiques et formulera le cas échéant un avis si une troisième dose ou éventuellement une quatrième dose de vaccin est recommandée pour d’autres groupes au sein de la population. Actuellement, une troisième dose est recommandée seulement pour les personnes de plus de 65 ans et les personnes souffrant de certaines pathologies.

    « Cela va devenir comme la vaccination contre la grippe, où vous ne protégez peut-être pas chaque année mais une année sur deux vos groupes à risque », estime le virologue Marc Van Ranst (KU Leuven).

    Pour le reste de la population, ce contrat va permettre de donner une troisième dose à tous les citoyens. « Il y a suffisamment de vaccins », confirme le Professeur Dirk Ramaekers, président de la taskforce opérationnalisation de la stratégie de vaccination. "Il n’est pas exclu que le schéma optimal soit le schéma à trois doses 0, un mois et + 6 mois pour le vaccin à ARN", explique Jean-Michel Dogné, expert en pharmacovigilance et membre de la Task Force vaccination.

    Mais on n’y est pas encore, contrairement à Israël qui propose une troisième dose pour les personnes de plus de 12 ans. « Ce n’est pas considéré aujourd’hui, mais ce sera considéré par le Conseil Supérieur de la Santé, par la Task Force aussi, rappelle Jean-Michel Dogné. On a vacciné la population générale plus tard que la population des groupes à risque et donc on a moins d’informations sur la perte de l’immunité dans cette population ».

    C’est à partir de janvier que les premières données concernant la population générale seront accessibles.

    #Belgique #Israel #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #france #hôpital #hôpitaux #médecine

    • La cinquième dose, ils y pensent déjà, gouverner c’est prévoir.

      L’essentiel, c’est de ne pas avoir investi dans les médicaments contre ce virus.
      Enfin, a part en interdire des médicaments, . . . .

  • Chine : les coupures de courant étranglent l’atelier du monde fashionnetwork
    https://fr.fashionnetwork.com/news/Chine-les-coupures-de-courant-etranglent-l-atelier-du-monde,13397

    Usines au ralenti, ouvriers qui « ne peuvent plus assurer une production normale », machines à l’arrêt : dans les usines du sud de la Chine, les coupures de courant menacent la croissance et affectent les chaînes d’approvisionnement.
Les suspensions d’approvisionnement en électricité ont déjà frappé ces derniers mois quelque 20 provinces à des degrés divers.


    L’entrée d’un site industriel à Houjie, dans la province du Guangdong, une zone touchée par les coupures d’électricité, le 30 septembre 2021 - AFP

    Les raisons ? Elles sont multiples mais principalement liées à la forte dépendance du géant asiatique au charbon, lequel assure 60% de sa production électrique. Le prix de ce charbon atteint aujourd’hui des niveaux record. Les autorités effectuent également des rationnements préventifs afin d’atteindre les objectifs environnementaux en matière de limitation des émissions polluantes. Principale victime jusqu’à présent : l’industrie. Dans la province du Guangdong (sud), parfois surnommée « l’atelier du monde » en raison de ses milliers d’usines de produits électroniques ou de textile, les coupures sont durement ressenties.

    Des machines sont mises à l’arrêt et des ouvriers doivent réduire leur heures de travail ou travailler uniquement la nuit — lorsque les restrictions sont plus souples.
     "On demande à nos sous-traitants d’avoir recours au travail de nuit ou de faire tourner leurs groupes électrogènes pour assurer la production", déclare à l’AFP Sherman Chan, directeur général adjoint d’Express Luck, un fabricant de téléviseurs basé à Shenzhen. « Mais étant donné qu’ils doivent investir des capitaux supplémentaires, nos coûts augmentent aussi. »

    Moins 40%
    Ces frais en hausse mettent à rude épreuve les chaînes d’approvisionnement, déjà sous pression avec des carnets de commande qui débordent en raison de la reprise économique en Occident. Résultat : du géant des snacks Toly Bread, jusqu’aux fournisseurs du constructeur automobile Tesla, nombre d’entreprises ont déjà annoncé des retards de production.

A Dongguan, tentaculaire ville-usine où travaillent des millions d’ouvriers, beaucoup d’employés ont dû revoir leur emploi du temps. « Hier, on a dû travailler la nuit. Et c’est pareil aujourd’hui », déplore M. Cui, manutentionnaire dans une usine de chaussures contrainte de limiter sa production. « Bien sûr qu’on n’est pas contents. Mais on s’adapte aux horaires », explique-t-il, tout en refusant de révéler son nom complet.

Dans une usine de tuyaux, Mme Xu, une employée, estime que les pannes de courant ont fait chuter la production d’environ 40% en septembre, notamment car les machines ont besoin de plusieurs heures après l’allumage avant d’être opérationnelles.
"On ne peut plus assurer une production normale", déclare-t-elle à l’AFP. Les autorités tentent de désamorcer le mécontentement populaire.

Le fournisseur public d’électricité s’est engagé mardi à garantir l’approvisionnement des zones d’habitation, une mission qualifiée de « tâche politique prioritaire ».

    Spectacle annulé 
Les autorités de Pékin ont elles présenté des coupures d’électricité dans certains petits quartiers résidentiels de la capitale comme de la « maintenance ». Et à Shanghai, la mairie a annulé le traditionnel grand spectacle son et lumière prévu jeudi soir à la veille de la fête nationale, officiellement pour des raisons de « sécurité ».

Ces coupures arrivent alors que la demande énergétique de la Chine, où l’économie a largement repris depuis le printemps 2020, dépasse désormais les niveaux pré-pandémie. Les restrictions imposées par Pékin sur les importations de charbon australien, sur fond de brouille diplomatique avec Canberra, n’aident pas.

"Les principaux coupables, c’est la pénurie mondiale d’énergie et le contrôle des prix de l’électricité par l’Etat en Chine", estime dans une note Julian Evans-Pritchard, analyste du cabinet Capital Economics. « Les prix du charbon et du gaz naturel se sont envolés partout en raison des conditions météorologiques et des ruptures dans la chaîne d’approvisionnement », souligne-t-il.

La Chine contrôle les prix de l’électricité pour les usagers, afin qu’ils ne soient pas trop élevés. La hausse du coût du charbon se répercute donc principalement sur les opérateurs des centrales électriques. Les coupures ont atteint un niveau tel qu’elles menacent désormais la croissance du pays.

Plusieurs banques internationales comme Goldman Sachs ou Nomura ont ainsi abaissé cette semaine leurs prévisions de croissance annuelle du PIB chinois.

     #énergie #nucléaire #pétrole #électricité #gaz #environnement #écologie #énergies_fossiles #politique #économie #Chine #Pénuries #Travail #Charbon #tesla #variant #zoonose #mutation #virus_arn #covid-19 #santé #pass_sanitaire #coronavirus #confinement #crise_sanitaire #vaccination #pandémie

  • Australia set to ease 18-month-old border closure - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/10/australia-set-to-ease-18-month-old-border-closure

    Australia set to ease 18-month-old border closure
    PM said vaccinated Australians could return home and travel overseas when 80% vaccination targets are met. Australia will start to reopen its borders next month, the country’s prime minister said Friday, 18 months after citizens were banned from traveling overseas without permission.
    Scott Morrison said vaccinated Australians would be able to return home and travel overseas “within weeks” as 80% of vaccination targets are met.
    On March 20 last year Australia introduced some of the world’s toughest border restrictions in response to the coronavirus pandemic. For the last 560 days, countless international flights have been grounded, overseas travel has slowed to a trickle and Australians have been banned from returning home.More than 100,000 requests to enter or leave the country were denied in the first five months of this year alone, according to Department of Home Affairs data.Families have been split across continents, with nationals stranded overseas while foreign residents were stuck in the country unable to see friends or relatives.“The time has come to give Australians their life back. We’re getting ready for that, and Australia will be ready for takeoff, very soon,” Morrison said.Morrison also announced that vaccinated residents would be able to home quarantine for seven days on their return, dodging the current mandatory and costly 14-day hotel quarantine.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#circulation#retour#famille#resident#vaccination

  • Covid-19: China’s Sinovac shots approved by Australia ahead of border opening | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/science/article/3150882/covid-19-chinas-sinovac-shots-approved-australia-ahead-border

    Australia ahead of border opening. The decision to recognise the Chinese vaccine and AstraZeneca’s product will allow foreign travellers and students to enter the country.
    Australia has recognised vaccines made by Sinovac and AstraZeneca, paving the way for overseas travellers and fee-paying foreign students who have received those vaccinations to enter the country. The nation’s top drugs regulator, the Therapeutic Goods Administration, said the shots, made in China and India respectively, should be “recognised vaccines” for incoming travellers, Prime Minister Scott Morrison said on Friday.Australia is starting to unwind some of the world’s most intense pandemic border restrictions
    as vaccination rates across the country approach as key threshold of 80 per cent.Friday’s announcement potentially opens the door to thousands of foreign students that have been shut out of Australia during the pandemic. International education is a lucrative source of revenue for the country, worth A$14.6 billion (US$11 billion) to the state of New South Wales alone in 2019. “Very soon, we’ll be able to open those international borders again,” Morrison told reporters. “This will start happening from next month.”Recognition of Beijing-based Sinovac’s shot, which has been approved by the World Health Organization for emergency use, contrasts with Britain and New Zealand, which are yet to endorse it.A number of European countries have said they will accept the vaccine, known as Coronavac, as part of programmes for vaccinated entry. The US indicated similar when it announced plans to open entry to most vaccinated foreigners last week.Vaccines made by Sinovac and the state-owned Sinopharm are among the most used in China, and have efficacy rates ranging from around 50 to 80 per cent in preventing symptomatic Covid, lower than the mRNA vaccines developed out of the US. Sinovac is also one of the most-deployed Covid shots globally, used from Indonesia to Brazil and Turkey.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#vaccination#frontiere#circulation#etudiant#economie

  • En plein Covid, 5.700 lits d’hôpital ont été supprimés en 2020
    https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-5-700-lits-d-hopital-ont-ete-supprimes-en-2020-893296.html

    « Sous l’effet des réorganisations et des restructurations », 25 établissements publics et privés ont fermé l’an dernier, relève une étude du ministère de la Santé. Alors que l’Etat a apporté un soutien au secteur avec le Ségur de la santé la même année, la baisse des capacités semble inexorable.


    Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a terminé l’année en hausse de 14,5% (soit environ 6.200). (Crédits : Reuters)

    Le Covid-19 n’a pas interrompu la réduction inexorable des capacités hospitalières. Au contraire, la crise sanitaire a en partie amplifié les fermetures de lits, et ce, malgré le soutien de l’Etat apporté au secteur. Plus de 5.700 lits d’hospitalisation complète ont ainsi été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps, près de 1.400 places d’hospitalisation partielle, selon une étude menée par le ministère de la Santé et publiée mercredi (Drees).

    Pourtant, le gouvernement avait tenté de se montrer efficient sur les besoins du secteur médico-social, estimés à 6 milliards d’euros d’ici 2024 et 9 milliards d’euros d’ici 2030 par l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes).

    Dès l’été 2020, l’Etat s’était porté au chevet du système hospitalier avec le Ségur de la Santé, qui a abouti à une enveloppe de 8,2 milliards d’euros de revalorisation salariale ainsi que 15.000 embauches. A cela s’ajoutait la reprise de la dette hospitalière à hauteur de 13 milliards d’euros.

    Mais le déclin semble irréversible. La France compte désormais moins de 3.000 hôpitaux et cliniques. « Sous l’effet des réorganisations et des restructurations », 25 établissements publics et privés ont fermé l’an dernier, indique la Drees.

    Ces fermetures de lits, selon le syndicat FO, se poursuivent en 2021. En juin, le syndicat dénonçait la suppression de plus de 1.800 lits d’hospitalisation au premier trimestre. https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-plus-de-1-800-lits-d-hopitaux-fermes-ou-supprimes-en-trois-

    Le nombre de lits en réanimation en hausse à la fin de l’année
    Les 2.983 structures encore ouvertes fin 2020 disposaient très exactement de 386.835 lits d’hospitalisation complète fin 2020, soit 5.758 de moins en un an - comparé au dernier bilan pour l’année 2019, publié en juillet par la même direction statistique des ministères sociaux.

    Cette baisse est « un peu plus marquée » que les années précédentes, ce qui « pourrait s’expliquer par le contexte d’épidémie », avec « de nombreuses chambres doubles transformées en chambres simples pour limiter la contagion », ainsi que des déprogrammations massives pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins critiques.

    Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a d’ailleurs terminé l’année en hausse de 14,5% (soit environ 6.200).

    L’hospitalisation à domicile en plein essor
    Cela n’a pas empêché la tendance de fond du « virage ambulatoire » - sur fond de « contraintes de personnel » - de se poursuivre : 1.369 places d’hospitalisation « de jour » ont été ouvertes en 2020, portant leur nombre total à 80.089.

    L’hospitalisation à domicile a dans le même temps connu une « croissance particulièrement vive » de 10,8 %, soit 21.276 patients « pouvant être pris en charge simultanément sur le territoire ».

    Ce mode de prise en charge représentait ainsi, fin 2020, « 7% des capacités totales en hospitalisation complète » hors psychiatrie, contre 2,1% en 2006.

    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #france #hôpital #hôpitaux #médecine

  • #Covid-19 en France : deux infirmiers non vaccinés suspendus déboutés par la justice
    https://www.rfi.fr/fr/france/20210928-covid-19-deux-infirmiers-non-vaccin%C3%A9s-suspendus-d%C3%A9bout%C3%A9s

    Lundi 27 septembre, le tribunal administratif a rejeté le référé déposé par deux #soignants de l’hôpital de Munster, en Alsace. Le couple a refusé de se faire vacciner et a été suspendu sans solde le 15 septembre dernier. Le juge n’a pas retenu l’atteinte à une liberté fondamentale comme avancé par l’avocat des requérants.

    #obligation_vaccinale #justice_administrative #santé #vaccination #fonction_publique_hospitalière

  • Australian Olympic swimmer Madi Wilson hospitalized with Covid in Italy By Tim Fitzsimons
    https://www.nbcnews.com/news/sports/australian-olympic-swimmer-madi-wilson-hospitalized-covid-italy-n1279654

    Wilson, 27, said her vaccination protected those around her and encouraged followers to get the shot: “Please continue to get vaccinated.”
    https://www.instagram.com/p/CT_o-RJJWXn

    Australian Olympic swimmer Madi Wilson announced that she has tested positive for Covid-19 and is hospitalized in Italy as a precaution because of “underlying chest and lung issues.”

    Wilson, who competes with the Los Angeles Current team in the International Swimming League, or ISL, wrote that she tested positive even though she is “double vaccinated and took the right precaution set in place through the ISL.”

    Wilson, who was in Naples, Italy, for an ISL competition, said she would be forced to miss the next match.

    “Covid is a serious thing and when it comes it hits very hard,” she wrote. “I’d be stupid to say I wasn’t scared.”

    Wilson guessed that she might have been more susceptible to a breakthrough Covid infection after “a crazy few months,” including the Tokyo Summer Olympic Games, had left her “run down physically and mentally.”
    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #Australie #Italie

  • Coronavirus: Beijing tells Hong Kong to strengthen quarantine, testing policies to secure border reopening | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3150331/coronavirus-beijing-tells-hong-kong-strengthen

    Coronavirus: Beijing tells Hong Kong to strengthen quarantine, testing policies to secure border reopening.
    Hong Kong must strengthen coronavirus controls in areas such as testing and quarantine before the border with mainland China can reopen, the city’s deputy leader has said after meeting Beijing officials. Chief Secretary John Lee Ka-chiu said on Monday that both sides were positive about the prospect of reviving cross-border travel during “constructive” talks in Shenzhen over the weekend. He identified three areas of improvement in Hong Kong’s anti-pandemic strategy to pave the way for further discussions, covering screening requirements for inbound travellers, the quarantine system and the city’s overall approach to risk. But Lee said the mainland officials had not set any preconditions for relaxing travel restrictions, which Hong Kong authorities have made a priority for boosting the economy. More than 20 representatives from the mainland and Hong Kong attended Sunday’s meeting, hosted by Huang Liuquan, a deputy director of the State Council’s Hong Kong and Macau Affairs Office. “The mainland experts understand that Hong Kong has its own [anti-pandemic] measures, and they acknowledge that Hong Kong has yielded a certain result,” Lee told the press.Hopes in Hong Kong for border reopening, but ‘it’s unlikely before March’ “Our focus is to build a strong foundation to increase the mainland’s confidence in Hong Kong, and understand that Hong Kong will not bring extra health and safety risks to other places.”
    Lee did not directly answer questions on whether a date for a border reopening had been set, or if that could be achieved by the end of the year.
    “The process takes time, but I believe that the border could reopen in a gradual manner, as both sides demonstrated a positive attitude,” he said. “We will be proactive and push it forward as fast as we can.” He added local officials would submit a report on the meeting to Chief Executive Carrie Lam Cheng Yuet-ngor and strive to hold a second meeting with the mainland “as soon as possible”. Those in attendance included representatives from the central government’s liaison office in Hong Kong, and the Guangdong and Shenzhen administrations, as well as Secretary for Food and Health Professor Sophia Chan Siu-chee and Secretary for Innovation and Technology Alfred Sit Wing-hang. After the meeting, a source told the Post that “some things are missing” from the Hong Kong approach, adding that lessons would be learned from Macau’s experiences.
    Macau had over the past year largely brought the coronavirus under control, but recently recorded a spike in local cases, as have parts of the mainland.
    Hong Kong last confirmed a local Covid-19 case with an unknown source of infection on August 17, involving a 47-year-old airport worker. Health officials believe she probably contracted the virus at the transport hub rather than in the community. The city’s border controls are some of the world’s toughest, with inbound travellers required to quarantine for up to 21 days at designated hotels and undergo mandatory testing both during and after isolation.Hongkongers on the mainland and in Macau can return to the city without serving quarantine under the “Return2HK scheme” if they test negative for Covid-19. A “Come2HK scheme” allows non-Hong Kong residents in Guangdong province and Macau – including mainlanders and expatriates – to travel to the city without quarantining. But the arrangements are not reciprocal at this stage.Macau resumed quarantine-free travel with the neighbouring mainland city of Zhuhai in May last year, following the mutual recognition of a risk-based health code system that takes into account an individual’s condition, contact with Covid-19 patients and travel history.Carrie Lam lobbies Beijing for border reopening, seeks medical expert dialogueTravellers must also provide a negative coronavirus test taken no more than seven days before departure. Respiratory medicine expert Dr Leung Chi-chiu noted a recent uptick of imported infections in Hong Kong and urged the government to further tighten restrictions on travellers. He added a new strategy should be developed on eliminating cases within a month of an outbreak.“Hong Kong has no concrete plan on how to quickly cut off the spread of Covid-19 if there’s a community case. The strategy of simply tightening social-distancing measures and quarantining close contacts is outdated in the wake of more infectious variants,” he said.Leung acknowledged that locking down entire districts for mandatory testing would be difficult in Hong Kong but suggested ramping up regular screening instead – particularly for staff in high-risk places such as the airport and quarantine hotels – to two times per week.That should also apply to those who were fully vaccinated, to snuff out the contagion risks posed by asymptomatic carriers, he added.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#hongkong#macau#circulation#frontiere#sante#test#vaccination#variant#reciprocite

  • Coronavirus: Thailand, Japan cut quarantine for vaccinated travellers | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3150247/australian-pm-plans-border-reopening-new-south-wales-seeks

    Coronavirus: Thailand, Japan cut quarantine for vaccinated travellers
    Thailand will halve its quarantine to seven days as it seeks to revive its tourism-dependent economy, while Japan will cut it from 14 to 10 days
    Thailand agreed to halve its mandatory quarantine to seven days for fully vaccinated visitors starting next month, and will remove any isolation period for such travellers in 10 key provinces including Bangkok in November to help revive its tourism-dependent economy. The country’s main Covid-19 task force also approved the reopening of a variety of businesses and services, including theatres, sports venues and nail salons, as of October 1, when a nightly curfew in many parts of the country will be cut by one hour, according to spokesman Taweesilp Visanuyothin. The new curfew hours will be from 10pm to 4am. The Southeast Asian nation previously delayed and adjusted its tourism-reopening programme several times due to low vaccination rates and concerns that the easing of rules would enable infections and hospitalisation to surge again. The programme began in July in the resort island of Phuket, after a high number of vaccine doses were delivered and administered.The latest decisions by the virus panel, chaired by Prime Minister Prayuth Chan-ocha, are part of its “living with Covid” strategy to restart the economy, while maintaining infections at a level that does not overwhelm Thailand’s health care system. The moves come after the pace of inoculations have been ramped up to major population and economic centres, with as many as 1 million doses administered daily in the past week. Before the pandemic in 2019, Thailand’s tourism sector attracted nearly 40 million visitors annually and generated about US$60 billion per year. Various plans to ease restrictions on both domestic and international travel, as well as an array of businesses have been hampered by vaccine shortages and clusters of infections in markets and factories.
    Quarantine days for unvaccinated air travellers cut to 10 days from 14
    Japan to shorten quarantine for vaccinated travellers. The Japanese government also said on Monday it will ease quarantine rules for people vaccinated against Covid-19 entering the country starting October 1, shortening the required period for self-isolating at home from 14 days to 10 days as it looks to restart international travel.
    People who have been fully vaccinated will be able to go outside as long as they test negative for the virus after 10 days following their arrival, Chief Cabinet Secretary Katsunobu Kato told a press conference. Only shots developed by Pfizer, Moderna or AstraZeneca are eligible. People travelling from any of 45 countries including Britain, India and the Philippines had been required to spend three of the 14 days in a government-designated facility, but will no longer be required to do so if they are fully vaccinated.
    Meanwhile, Japan plans to lift its Covid-19 state of emergency, which covers 19 prefectures, in all of the regions at the end of September, broadcaster NHK reported on Monday.Prime Minister Yoshihide Suga said he discussed easing measures with relevant ministers on Monday, and would seek the views of a government panel of advisers on Tuesday.“We will make a final decision on the matter based on the advice and discussions we have with the government expert panel tomorrow,” he told reporters on Monday evening.If approved, Japan would be free of such emergency restrictions for the first time in nearly six months. Current measures require restaurants to close early and refrain from serving alcohol. People have been asked to avoid non-urgent outings and refrain from crossing prefectural borders.
    Japan saw a spike in cases over the summer as it struggled to contain the contagious Delta variant of the coronavirus, reaching a record high of 25,000 new daily infections. However, that number has dropped in recent weeks, and the country recorded just over 2,000 cases on Sunday. Over 57 per cent of the population is now fully vaccinated.

    #Covid-19#migrant#migration#thailande#japon#economie#tourisme#sante#frontiere#circurlation#vaccination

  • La Kinésithérapeute EnMarche est plus qualifiée qu’un médecin avec 30 ans d’expérience. 1500 patients, elle s’en fout (France3 Région)
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/noyon/covid-19-a-noyon-une-medecin-refuse-d-etre-vaccinee-c-e

    Véronique Rogez, médecin généraliste à Noyon dans l’Oise, ne pourra plus exercer son métier à partir du 15 septembre si elle refuse toujours de se faire vacciner. Atteinte du Covid l’an dernier, elle estime qu’elle est suffisamment immunisée et préfère fermer son cabinet plutôt que de céder.

    Rien ne pourra lui faire changer d’avis. Pas même ce courrier de l’agence régionale de santé (ARS) qu’elle a reçu le 19 août dernier. Si elle ne se fait pas vacciner contre le Covid, Véronique Rogez, médecin généraliste à Noyon dans l’Oise, va devoir cesser son activité à partir du 15 septembre.

    Car selon la loi relative à la gestion de la crise sanitaire du 6 août 2021, le personnel soignant est désormais dans l’obligation de se faire vacciner. À défaut, ceux qui ne justifient pas d’avoir reçu au moins une dose seront suspendus sans rémunération. "Je l’avais lue la loi, je savais, mais je ne pensais pas que les médecins généralistes allaient être aussi rapidement contrôlés", se défend Véronique Rogez.

    Médecin depuis une trentaine d’années, elle se dit choquée par le courrier qui lui est personnellement adressé. "Je pensais que c’était un courrier généraliste, mais non. L’État est allé vérifier que je n’étais pas vaccinée, je ne sais pas où est passé le secret médical. Ce n’est pas possible qu’un état écrive ça à un médecin. On n’a pas un « merci », on n’a pas un mot de compassion. On vous dit : vous arrêtez le 15 sinon vous avez des sanctions pénales, c’est-à-dire 6 mois d’emprisonnement et 10 000 euros d’amende", nous dit-elle, interloquée.

    « Je ne suis pas du tout anti-vaccin, ça fait 30 ans que j’en fais »
    Mais alors pourquoi un tel parti-pris ? Véronique Rogez finit par se justifier, sans trop le vouloir. "Je ne devrais pas avoir à le dire parce que c’est secret médical", sourit-elle. Ayant attrapé le Covid l’an dernier, la médecin affirme qu’elle a développé suffisamment d’anticorps pour être immunisée. "J’en ai toujours. Les anticorps, il suffit de vérifier s’ils sont toujours là, vous faites une sérologie tous les trois mois.  On a toujours appris en médecine que quand on a des anticorps contre une maladie, on ne se fait pas revacciner derrière" , avance-t-elle. 

    De même, la médecin, par ailleurs déléguée nationale à la santé dans le parti Debout la France et candidate aux dernières élections départementales, assure qu’il ne s’agit pas ici de considérations idéologiques. "Je ne suis pas du tout anti-vaccin, ça fait 30 ans que j’en fais. C’est un argument médical, pas pour faire de la résistance complotiste. Je ne suis pas du tout là-dedans. Parce qu’on est vite catalogué. Je vois bien que ce genre d’événement, depuis le début de la crise, divise tout le monde. Moi je suis là pour faire de la médecine."

    Prendre en compte le bénéfice-risque
    Selon la médecin, quand l’on parle de vaccination, il est nécessaire d’analyser le bénéfice-risque. "Ceux qui ont un risque d’attraper le Covid en forme grave, ils ont un bénéfice à se faire vacciner. Mais ce qui n’ont aucun risque, je ne vois pas l’intérêt. Par exemple les jeunes, je ne le comprends pas, indique-t-elle. Sans parler des effets secondaires et du fait que les vaccins n’ont pas encore fait preuve de leur innocuité car trop récents."

Une position que ne partage absolument pas  Carole Bureau-Bonnard députée LREM de la 6e circonscription de l’Oise et masseuse-kinésitérapeute de métier. "Pour moi c’est irresponsable d’avoir ce type de discours et de réaction. On sait très bien malheureusement que même une personne qui n’a pas de comorbidité peut se retrouver hospitalisée ou dans un service de réanimation et peut en mourir. Est-ce qu’on se rappelle du nombre de décès ? C’est ça qu’il faut avoir en tête et la seule solution c’est ce vaccin. Il me semble extrêmement important de donner un message sur la possibilité de se faire vacciner et expliquer pourquoi, plutôt que l’inverse", réagit-elle.

    Véronique Rogez, elle, n’en démord pas. Le 15 septembre, son cabinet restera fermé. 1 500 patients se retrouveront sans médecin. "J’en suis désolée, réagit Carole Bureau-Bonnard. Mais il n’y a pas de chantage à avoir. Ce n’est pas parce qu’il y a 1 500 patients d’un côté qu’on doit dire à Madame Rogez qu’elle a raison."
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    #crise_sanitaire #EnMarche #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • Coronavirus: South Korea reports record daily cases; Nepal resumes visas on arrival for vaccinated tourists | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/article/3150076/coronavirus-south-korea-reports-record-daily-cases-nepal-resumes-visas

    Nepal resumes visas on arrival for vaccinated tourists.
    Nepal has restarted visas on arrival for vaccinated tourists as South Asian nations attempt to revive tourism businesses devastated after 18 months of the pandemic. A near travel shutdown has been in place in India, Bangladesh, Nepal, Bhutan and Sri Lanka for more than a year as successive waves of coronavirus took a deadly toll. Nepal reopened to tourists and scrapped quarantine requirements for vaccinated foreigners on Thursday and its neighbours are expected to quickly follow as they seek to bolster linchpin industries in their economies.“The resumption of on-arrival visas is aimed at reopening the tourism sector which is one of the mainstays of Nepal’s economy,” said Tourism Ministry spokesman Tara Nath Adhikari.
    Indians blast ‘racist’ UK quarantine decision for vaccinated travellers
    21 Sep 2021. All visitors must still take a pandemic test on arrival and unvaccinated travellers have to quarantine for 10 days. The decision came just as monsoon clouds cleared for the autumn trekking season, and many are hopeful it will help drive up the arrivals.“So many have lost jobs and livelihoods. This decision is crucial for all of us and we are hopeful that at least some visitors will return,” said Nabin Trital of the Trekking Agencies Association of Nepal.Neighbouring India is soon to announce that it will give away 500,000 free tourist visas as it also starts to reopen after more than a year, officials said.The country had more than 12.5 million tourists in 2019 but lost hundreds of millions of dollars after the shutters came down in March last year.New Delhi is negotiating with international airlines to get scheduled flights resumed from main markets in North America and Europe, the officials said.Bhutan recently let in its first foreign tourist, an American who spent three weeks in quarantine.Vaccinated tourists began entering Sri Lanka in July, without having to quarantine if they test negative for Covid-19 on arrival.South Asia is highly dependent on tourism, which accounted for some 47 million jobs in 2019, according to the World Travel and Tourism Council.But the pandemic left beaches and mountains deserted, from Everest to the Indian Ocean, and the fall in tourism played a major role in recessions seen by most of the countries last year.

    #Covid-19#migrant#migration#nepal#inde#bouthan#asiedusud#sante#tourisme#frontiere#circulation#vaccination

  • England’s Covid travel rules spark outrage around the world | Coronavirus | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2021/sep/23/englands-covid-travel-rules-spark-outrage-around-the-world
    https://i.guim.co.uk/img/media/63f5a3be4108753290c582388b2d34975d4490c7/0_9_3959_2377/master/3959.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    England’s Covid travel rules spark outrage around the world
    England’s Covid travel rules and refusal to recognise vaccines administered across huge swaths of the world have sparked outrage and bewilderment across Latin America, Africa and south Asia, with critics denouncing what they called an illogical and discriminatory policy.The transport secretary, Grant Shapps, described England’s rules, unveiled last Friday, as “a new simplified system for international travel”. “The purpose is to make it easier for people to travel,” Shapps said.But in many parts of the world there is anger and frustration at the government’s decision to recognise only vaccinations given in a select group of countries. Under the new rules, travellers fully vaccinated with Oxford/AstraZeneca, Pfizer/BioNTech, Moderna or Janssen shots in the US, Australia, New Zealand, South Korea or an EU country will be considered “fully vaccinated” and exempt from quarantine when they arrive in England from an amber list country.
    But people who have been fully vaccinated with the same vaccines in Africa or Latin America, as well as other countries including India, will be considered “not fully vaccinated” and forced to quarantine for 10 days on arrival from an amber list country. In Europe, there is frustration at Britain’s refusal to accept as “fully vaccinated” people who have had Covid and then a single dose of a two-dose shot. Such people are considered fully vaccinated in most EU countries and are able to travel freely around the bloc with an EU digital Covid certificate.
    To visit the UK, however, they must quarantine for 10 days, with UK government guidelines currently requiring people vaccinated with a two-dose vaccine such as Moderna or Pfizer to have had both doses “even if you have recently recovered from Covid-19 and have natural immunity”.Britain did relax its rules on Wednesday to allow quarantine-free travel by people from Europe who have had doses of two different vaccines. Hundreds of thousands on the continent received mix-and-match shots after the use of AstraZeneca was restricted to older age groups over rare blood clot concerns. But amid mounting anger abroad at what many view as discriminatory treatment, the Indian politician Shashi Tharoor announced on Monday that he was pulling out of a series of appearances in England to protest the “offensive” decision to ask fully vaccinated Indians to quarantine.“There isn’t a single person I have spoken to who isn’t angry about this. People are perplexed,” said one exasperated Latin American diplomat.“How can a Pfizer or Moderna or AstraZeneca vaccine that is administered [in Latin America] not be sufficient for someone to be allowed in? I just don’t see how this can be acceptable. I simply cannot get my head around it,” they added. “I cannot explain what is behind this – I just know that it is very, very, very unfair.”A west African diplomat condemned the restrictions as “discriminatory”. “[But] it’s not even the discrimination that concerns me the most, it’s the message it sends out,” they added.
    “All around the world we’re struggling with vaccine hesitancy. There’s all sorts of fake news. When you say, ‘We are not going to accept the vaccine from Africa’, you lend credence to these kinds of theories. It’s only going to create a situation where it allows the pandemic to be prolonged.”
    Ifeanyi Nsofor, a doctor and chief executive of a public health consultancy in Nigeria, said: “The UK is one of the largest funders of the Covax facility and now the UK is saying that the same vaccines they have sent, will now not be considered. It’s sad, it’s wrong, it’s discriminatory.”
    The Moonsamys reunited in Oakland after a year of socially distanced gatherings.
    The new travel rules came as a severe blow to families who have spent many months separated from their England-based loved ones because of the pandemic. André Siqueira, a tropical diseases specialist from Rio de Janeiro, said he was desperate to see his four-year-old son who lives in London for the first time in a year. But the new rules made it almost impossible for him to travel to England – despite having been fully vaccinated in red-listed Brazil – since he would have to spend 10 days in an amber list country before spending another 10 days quarantining in England after he arrived. “Does the world do this for any other vaccines? Does the UK say we’re not going to recognise your polio vaccines from Pakistan? No. We accept that your vaccines are safely administered. If we’re worried that there are variants that are resistant to the vaccines, that’s happening all over the world. But the Delta variant is in 100 countries of the world and the vaccines do work against Delta.”
    Rees said she hoped the decision would be reconsidered. “I’m not worried that this is cast in stone but I think it’s something that really must be discussed. Not least because if the world starts closing borders to what looks like poorer countries, what does that mean for inequality? For refugees? We can’t close our borders, we must trust the vaccines and we must trust the governments that are administering the vaccines.”
    Asked to explain why vaccines administered in certain countries were acceptable but in others not, a government spokesperson said in a statement: “Our top priority remains protecting public health, and reopening travel in a safe and sustainable way, which is why vaccine certification from all countries must meet the minimum criteria taking into account public health and wider considerations.”
    The statement did not make clear what those wider considerations were.
    In response to international upset at the restrictions, the UK has pledged to work with some countries to recognise their vaccine passports. On Wednesday, the UK high commission in Kenya released a joint statement with the Kenya health ministry, saying the UK recognised vaccines administered in the east African country. The joint statement recognised there had been “significant public concern about the issue of vaccine certification” but added, “establishing a system to mutually recognise each other’s vaccine passport programme for travel takes time, particularly in an unprecedented pandemic”.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#sante#frontiere#circulation#restrictionsanitaire#vaccination#quarantaine#passepoortvaccinal

  • #Covid-19 : étude sur l’efficacité de la mémoire immunitaire après #vaccination ARNm pour reconnaître les variants du #SARS-CoV2 – Salle de presse | Inserm
    https://presse.inserm.fr/covid-19-etude-sur-lefficacite-de-la-memoire-immunitaire-apres-vaccination-arnm-pour-reconnaitre-les-variants-du-sars-cov2/43817

    Cette étude démontre que les patients infectés lors de la première vague maintiennent une réponse mémoire stable jusqu’à 12 mois, et développent, après une dose de vaccin, une excellente mémoire sérologique et cellulaire capable de reconnaitre et de neutraliser les #variants Beta et Delta du SARS-Cov-2.

    Chez les patients « naïfs » de toute infection, c’est à dire n’ayant jamais été infectés par le virus, la qualité de la réponse sérologique est initialement moins efficace vis-à-vis de ces variants. Néanmoins le pool de cellules à mémoire généré après la vaccination s’améliore au cours du temps et surtout contient des cellules capables de reconnaître et de neutraliser les variants actuels du SARS-CoV-2.

    Source : mRNA vaccination of naive and COVID-19-recovered individuals elicits potent memory B cells that recognize SARS-CoV-2 variants : Immunity
    https://www.cell.com/immunity/abstract/S1074-7613(21)00396-4

    #immunité

    Le problème est qu’il n’y a pas eu une étude de corrélation entre le taux d’infections/#réinfections ( et leur sévérité ) et ces données biologiques.

  • #Belgique : « Nous refusons de participer à la division de la société et à la stigmatisation » : des acteurs culturels se lèvent contre le Covid Safe Ticket
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_nous-refusons-de-participer-a-la-division-de-la-societe-et-a-la-stigmati

    Alors que le Covid Safe Ticket doit seulement entrer en vigueur à partir du 1er octobre, plusieurs institutions culturelles annoncent qu’elles refuseront d’appliquer une règle qu’elles jugent discriminatoires et contraire à leurs valeurs.

    Invitées dans Déclic, Virginie Cordier, directrice du centre culturel de la Vénerie et Patricia Santoro, directrice de l’Association des centres culturels de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sont venues dire tout le mal qu’elles pensaient de cet accès réservé à ceux qui peuvent montrer patte blanche en terme de positivité Covid-19.

    Elles réclament de pouvoir utiliser le « CIRM », c’est-à-dire, une check-list qui permet à l’exploitant d’une infrastructure permanente de passer au crible les risques liés à la Covid-19 pour son infrastructure. Une grande salle, bien ventilée, le port du masque peuvent aussi réduire le risque. Le Covid Safe Ticket peut être une option, disent-elles, par exemple pour les concerts, où il est compliqué de porter le masque et de garder les distance, mais pas une obligation.

    La lettre ouverte qui rassemble les arguments de ces institutions :
    https://docs.google.com/viewerng/thumb?ds=AON1mFwaiWVGri1gCKAbqei5Z3bR68B0N61_NkJ6B4BUafR0-i1JEPzZ1tMBgu

    « Ce mécanisme est contraire à toutes les valeurs défendues par la culture qui garantit un espace protégé à la liberté d’expression et d’opinions, et assure la démocratisation effective en permettant l’accès de tous les publics » dit la lettre.
    "Pas des agents de la force publique’

    Pour les signataires, « les opérateurs culturels ne sont pas des agents de la force publique. Leur imposer une obligation de contrôle des publics est une mission en totale contradiction avec les valeurs qu’ils portent ». « . Nous refusons de participer à la division de la société et à la stigmatisation de certains publics » affirment-ils.

    Les signataires évoquent même un argument épidémiologique : « Nous rappelons que le COVID SAFE TICKET ne garantit pas l’absence de transmission du virus. Le public vacciné pouvant être porteur du virus et le transmettre au public qui présente un test négatif lors de la représentation puisque le public est sans masque dans ce cadre ». Et en déduisent que cette obligation et plutôt un enjeu politique auquel ils refusent d’être mêlés.

    #crise_sanitaire #pass_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #Liberté

    • Le COVID SAFE TICKET ne garantit pas l’absence de transmission du virus.

      Le public vacciné pouvant être porteur du virus et le transmettre au public qui présente un test négatif lors de la représentation puisque le public est sans masque dans ce cadre".

      Cette obligation et plutôt un enjeu politique.

  • Hopital Public : La pénurie de personnel laisse des traces
    Mulhouse : 169 agents suspendus, la clinique ferme les urgences
    https://lemediaen442.fr/mulhouse-169-agents-suspendus-la-clinique-ferme-les-urgences

    Bien que le gouvernement tente de minimiser l’impact des 10 à 20 % du personnel soignant qui se refusent à se faire vacciner, sur le terrain, les effets de la suspension de ces travailleurs se font sentir. C’est le cas à Mulhouse où 500 et 600 agents ne répondaient pas aux règles de l’obligation vaccinale à la veille de son entrée en vigueur, comme le rappelle le quotidien régional L’Alsace : « Dans des services déjà à flux tendu, une ou deux personnes en moins, cela pourra poser de sérieuses difficultés. »

    Ce n’est pas faute d’avoir prévenu, puisque le 19 août Marie-Stella Muninger et Nathalie Voegtlin de l’UNSA GHRMSA protestaient contre l’obligation vaccinale.
« Les gens veulent travailler, ils veulent rester dans leur service (…) et finalement on va les enlever et on va perdre de la main-d’œuvre ! »

    Aujourd’hui la situation est catastrophique. Le service des urgences de la clinique du Diaconat doit fermer à cause de « l’importante pénurie de personnel que rencontrent actuellement les établissements de santé ». Dans cette fuite en avant, le gouvernement reste silencieux et préfère jouer la carte de non-assistance en personne en danger. Impossible de voir dans l’obligation vaccinale le moindre souci de préserver la santé des Français. Une situation surréaliste !

    #crise_sanitaire #EnMarche #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #Hôpital #hôpitaux #santé_publique #obligation_vaccinale

    • Le plan blanc au Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace + les urgences du Diaconat fermées L’Alsace - Cécile FELLMANN
      https://www.lalsace.fr/sante/2021/09/21/le-plan-blanc-au-ghrmsa-les-urgences-du-diaconat-fermees

      En raison d’un manque de personnel pour faire fonctionner les services, le Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace a annoncé ce mardi soir avoir déclenché le plan blanc. Les urgences du Diaconat Fonderie, à Mulhouse, seront, elles, fermées pendant une semaine.

      Les suspensions de personnels hospitaliers concernent « essentiellement du personnel des services supports », « très peu de blouses blanches », affirmait le ministre de la Santé, jeudi 16 septembre, au lendemain de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale.


      Quelques jours après, des établissements se trouvent pourtant confrontés à de graves difficultés pour faire tourner leurs services et prendre en charge les patients. L’obligation vaccinale s’ajoutant à une pénurie déjà chronique de personnels et à des arrêts maladies, entre autres.

      « Une situation critique »
      Depuis plusieurs jours, des représentants syndicaux du Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace (GHRMSA), où entre 500 et 600 agents (à peu près 10 % des personnels) ne répondaient pas aux règles de l’obligation vaccinale à la veille de son entrée en vigueur, tiraient la sonnette d’alarme : « Dans des services déjà à flux tendu, une ou deux personnes en moins, cela pourra poser de sérieuses difficultés. »

      Ainsi, à l’issue d’une réunion de crise qui s’est tenue ce mardi dans la journée, le GHRMSA a annoncé déclencher son plan blanc dès ce mardi 21 septembre. « Le groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud Alsace est confronté actuellement à une situation critique marquée par la poursuite de la gestion de crise sanitaire, le besoin en renforts de ressources humaines, la réduction du nombre de lits liée à un absentéisme conséquent au GHRMSA mais aussi dans les établissements hospitaliers voisins et des répercussions sur les services d’urgence », indique la direction de l’établissement, dans un communiqué publié ce mardi soir.

      Les urgences du Diaconat fermées dès ce mardi après-midi
      Le déclenchement du plan blanc permet à l’établissement de répondre à une situation de crise, notamment : de redéployer des effectifs pour prendre en charge les patients, mais aussi d’adapter l’activité médicale et de déprogrammer ou reporter des opérations non urgentes.

      Au même moment, la clinique du Diaconat annonçait, elle, « fermer temporairement le service des urgences de la clinique du Diaconat-Fonderie, du mardi 21 septembre à 16 h, au mardi 28 septembre à 8 h ». Là aussi, la décision est justifiée « par l’importante pénurie de personnel que rencontrent actuellement les établissements de santé ».

    • En septembre 2020 ils/elles devaient aller travailler même avec la Covid.
      Macron veut privatiser la santé et il a besoin de l’obéissance et du consentement politique du peuple.
      Un peuple manipulé à travers la peur.

    • Bonjour, j’ai fait un IRM de mon abdomen.
      Pas de problème, allez voir notre vigile là-bas, dorénavant, le radiologue c’est lui.

      Le CHU de Lille recrute une cinquantaine d’agents de service hospitalier : ni CV, ni expérience requis
      https://www.lavoixdunord.fr/1071084/article/2021-09-17/le-chu-de-lille-recrute-une-cinquantaine-d-agents-de-service-hospitalie
      Pôle emploi Lille Grand Sud et le CHU de Lille ont uni leurs forces dans le cadre d’une opération de recrutement très pragmatique. Pas besoin de diplôme, d’expérience ou de CV... pour postuler. Le recrutement d’agents de service hospitalier se fait via une simulation et un entretien de motivation.
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      Pôle emploi et le CHU ont décidé de miser sur des profils atypiques, souvent sans aucune expérience dans le domaine de la santé.
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    • On aurait voulu privatiser encore plus vite l’hôpital public, on ne s’y serait pas pris autrement.
      Covid-19 : les agences d’intérim débordées pour remplacer les soignants non-vaccinés
      https://www.europe1.fr/societe/covid-19-les-agences-dinterim-debordees-pour-remplacer-les-soignants-non-vac

      Les agences d’intérim spécialisées débordent de demandes depuis l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale chez les soignants. Le directeur du réseau « Vitalis Médical », l’une des trente agences en France, craint ne plus pouvoir répondre à toutes les demandes.

      Dix jours après l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale des soignants, la grande majorité d’entre eux est maintenant vaccinée. Selon les dernières données du ministère de la Santé, plus de 92% des professionnels exerçant dans les établissements de santé entrent dans les critères. Mais dans certains services ou établissements, c’est la désorganisation. Le résultat : les agences d’intérim spécialisées croulent sous les demandes.

      En une semaine, la trentaine d’agences d’intérim spécialisées dans le pays disent avoir reçu pas moins de 1.300 demandes pour trouver des intérimaires afin de remplacer les soignants non-vaccinés. « On a eu beaucoup de demandes ces derniers temps. Un client Ehpad, un client hôpital et même un client clinique. On a eu l’exemple récemment d’une pharmacie qui nous a contacté. Le gros des demandes va être sur les métiers infirmiers, aides soignants, mais on a aussi des demandes de secrétaires médicale ou de temps en temps de médecins », explique Damien Tardivon, directeur du développement du réseau d’intérim médical « Vitalis Médical ».

      Le directeur de l’agence s’inquiète de ne pas pouvoir répondre à toutes les demandes, « on a un petit peu de mal à suivre, mais on se débrouille quand même plutôt pas mal. On arrive toujours à trouver des solutions alternatives, mais malheureusement, quelques demandes restent en attente [...] Cela ne fait qu’augmenter le flux de demandes déjà important à cause de la période estivale et également à cause du Covid-19 », indique-t-il.

  • Coronavirus : Australia plans Christmas border reopening | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/southeast-asia/article/3149646/coronavirus-australia-plans-christmas-border-reopening

    Coronavirus: Australia plans Christmas border reopening;
    plans to open its international border by Christmas at the latest, unwinding one of the world’s strictest controls on overseas travel since the pandemic began.Australians will be able to travel abroad, with no restrictions on the destination, once the vaccination rate in their respective home state hits 80 per cent, Tourism Minister Dan Tehan said at a National Press Club of Australia event on Wednesday. “People will be able to freely travel outside Australia with no restrictions” under the national plan governing the country’s emergence from Covid-19, Tehan said. Australians would still be subject to rules governing the countries they visit. The government is exploring opening travel bubbles with several countries to reduce quarantine time, and hopes home quarantine will be operational before Christmas, Tehan said. Meanwhile, hundreds took to the steps of a Melbourne war memorial on Wednesday in a third day of protest
    against mandatory Covid-19 vaccinations for the construction sector.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#pandemie#frontiere#bulledevoyage#vaccination

  • #COVID-19 : Le virus évolue pour mieux se déplacer dans les airs | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-le-virus-evolue-pour-mieux-se-deplacer-dans-les-airs

    L’étude confirme que les personnes infectées par #SARS-CoV-2 (voir visuel ci-dessous) exhalent le virus infectieux dans leur haleine mais révèle surtout que les personnes infectées par la variante Alpha, la souche dominante au moment de l’étude, expirent 43 à 100 fois plus de virus dans l’air que les personnes infectées par la souche originelle du virus. Selon les virologues, le virus aurait donc évolué de manière à être toujours plus efficacement aéroporté-afin de mieux se propager dans les airs et mieux survivre. La bonne nouvelle, une autre conclusion de l’étude, est la confirmation de l’efficacité des masques à réduire la quantité de virus expirée dans l’air autour des personnes infectées.

    L’auteur principal, le Dr. Don Milton, professeur de santé environnementale à l’Université du Maryland commente : « nous savons que la variante Delta qui circule actuellement est encore plus contagieuse que la variante Alpha. Nos recherches indiquent que les variantes ne cessent d’évoluer afin d’améliorer leur capacité à voyager dans l’air, nous devons donc prévoir une #ventilation plus efficace et continuer à porter le #masque, en plus de la #vaccination, pour arrêter la propagation du virus ».

    Source : Infectious SARS-CoV-2 in Exhaled Aerosols and Efficacy of Masks During Early Mild Infection
    https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab797/6370149

    The types of face masks brought by participants varied and progressed from single-layer homemade cloth masks to more substantial double-layer cloth masks, surgical masks, double masks, and a KN95 over the course of the year (Table S4).

  • « Des millions de personnes vivant dans la précarité subissent une double peine face au virus »
    « Le travail et ses dangers sont rendus invisibles »
    https://alencontre.org/societe/travail-et-sante/le-travail-et-ses-dangers-sont-rendus-invisibles.html

    Entretien avec Annie Thébaud-Mony conduit par Guy Zurkinden

    Gestion néolibérale de la pandémie, mépris des soignants, invisibilisation des cancers professionnels… Sociologue de la santé et du travail, directrice de recherche honoraire à l’Institut national de la recherche médicale, en France, militante infatigable, Annie Thébaud-Mony dénonce la mise en danger généralisée des salariés [1]. Et pointe les terrains de lutte.
    A la lumière de votre expérience de lutte contre des maladies infectieuses, vous critiquez la gestion de la pandémie Covid-19 pratiquée dans de nombreux pays, dont la France. Pourquoi ?

    Annie Thébaud-Mony – En Algérie, dans les années 1970, j’ai participé à des programmes sanitaires de lutte contre la tuberculose, une maladie infectieuse se transmettant de manière similaire au Covid-19. J’y ai appris que, pour arrêter les chaînes de contamination et organiser une prise en charge conséquente des malades, il faut des structures sanitaires au plus proche de la population – et d’abord, de la population la plus vulnérable.

    Plus on développe des soins de première ligne afin de répondre aux besoins de santé de base, plus on traite tôt la maladie, moins elle prendra des formes graves. Cela permet aussi de cerner et d’isoler les clusters, ainsi que de diminuer la pression sur les hôpitaux.

    Certains pays – la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Islande et certains pays asiatiques – ont fait cet effort de prise en charge au plus près de la population. Ils ont eu beaucoup moins de cas graves et de morts.

    En revanche, de nombreux gouvernements, notamment en Europe, ont totalement ignoré cette expérience.

    En France, j’ai été estomaquée de voir que la gestion du Covid-19 ne s’appuyait pas sur les médecins généralistes et les centres de santé, qui sont pourtant un maillon central de la chaîne des soins pour les personnes en situation précaire.

    Tout le monde n’est pas égal face au virus ?
    Face au Covid-19 comme face à toutes les maladies infectieuses, les inégalités sont flagrantes.

    En Seine Saint-Denis, le taux de mortalité dû au Covid-19 est le plus haut de France, en particulier parmi les quartiers défavorisés. C’est lié à plusieurs facteurs : les mauvaises conditions de logement ; le fait qu’y résident de nombreux travailleurs, souvent précaires, œuvrant dans des secteurs « essentiels » et donc fortement exposés au virus ; et les conditions de santé moins bonnes des classes défavorisées. Souvent, les personnes très exposées sont aussi celles qui résident le plus loin de lieux de soins susceptibles de les prendre en charge de manière précoce.

    Ces inégalités sociales jouent aussi un rôle face à la vaccination : les personnes les plus éloignées des systèmes informatiques, sans connexion internet ou téléphone portable, peu informées, ont été le plus souvent écartées des circuits de la vaccination.

    Des millions de personnes vivant dans la précarité subissent ainsi une double peine face au virus. Alors qu’elles devraient être les premières cibles de la politique sanitaire.

    La pandémie révèle-t-elle aussi les limites de nos systèmes de santé ?
    Pour répondre à une pandémie, les droits à l’accès aux soins doivent prendre le pas sur la raison économique.
    Or dans l’ensemble des pays européens, tout comme aux Etats-Unis, les gouvernements essaient de gérer la crise sanitaire sans rien changer à la logique de diminution des dépenses de santé publique – qui accompagne la privatisation en marche depuis trente ans.

    En France, on continue à fermer des hôpitaux et à supprimer des lits, en pleine pandémie. A Paris, la fusion prévue des hôpitaux Bichat et Beaujon aboutira par exemple à la suppression de 300 lits en Seine Saint-Denis, le département le plus touché par la pandémie !

    En refusant de remettre en cause la marchandisation de la santé, les gouvernements laissent l’épidémie se répandre et faire toujours plus de victimes.

    Les effets de cette politique vont bien au-delà du Covid-19. En France, les cancers sont devenus la première cause de mortalité, avec 157 000 décès par an. Or lors de la première vague, les autorités ont obligé les services de cancérologie à déprogrammer les soins, faute de lits et de personnel suffisants. Conséquence : en 2020, un quart des cas de cancer n’ont pas bénéficié de diagnostic dès les premiers symptômes. Cela représente environ 100 000 malades sur les 400 000 nouveaux cas de cancer survenant chaque année en France. Or le diagnostic précoce est un facteur déterminant pour éviter le décès en raison du cancer !

    Cela fait pourtant des années que les soignants demandent plus de moyens…
    En France, la pandémie est arrivée dans un moment de forte résistance des soignants contre le démantèlement du système de santé publique.

    Au début, le pouvoir a fait l’éloge des professionnels, les a fait applaudir. Mais il ne s’est jamais intéressé à l’activité réelle des soignants et à leurs conditions de travail. Au contraire, il a fait sauter leurs congés et les a obligés à travailler dans des conditions inadmissibles.

    La première vague passée, le gouvernement Macron a ignoré les revendications du personnel. Plutôt que d’améliorer les conditions de travail, de retisser un véritable réseau de soins de santé de base gratuits dans les villages, les quartiers, il a choisi la politique la pire qui soit : « surveiller et punir », soi-disant au nom de la santé. Les salarié·e·s pourront même être licenciés s’ils n’ont pas de pass sanitaire ! C’est le contraire d’une stratégie de santé publique, qui doit être à la fois démocratique et bienveillante. La santé publique ne se fait pas contre les gens, mais avec eux.

    Vous dénoncez aussi la mise en danger de certaines catégories de travailleurs…
    Dès le début de la pandémie, nous avons subi une politique de « double standard » : pendant qu’une partie de la population était confinée au nom de la santé publique, l’autre était contrainte de se rendre au boulot dans des conditions sanitaires parfois déplorables.

    En tant que simple citoyenne je pouvais me faire verbaliser si je sortais sans mon attestation. En revanche, un employeur qui ne protégeait pas ses salariés n’encourait aucune sanction. Des inspecteurs du travail ont même été sanctionnés pour avoir voulu renforcer les mesures de prévention sur les lieux de travail !

    Comment expliquer ce refus de prendre en compte les risques liés au travail ?
    Tout travailleur devrait avoir le droit de ne pas être mis en danger sur son lieu de travail. Or ce droit est aujourd’hui largement bafoué – pour le Covid-19, mais aussi bien au-delà.

    Cette situation est le fruit des rapports de domination qui traversent notre société. En France, dès la fin des années 1970, les entreprises ont pu licencier à leur guise. Cela a entraîné une augmentation spectaculaire du chômage. Cette situation a été instrumentalisée afin d’escamoter le contenu du travail réel : les conditions de travail, les risques qu’elles peuvent représenter pour la santé des salariés, voire pour leur vie, tout cela a été effacé devant l’impératif de l’emploi, la peur que des places de travail soient supprimées.

    Le travail vivant est ainsi devenu invisible… et les travailleurs qui l’effectuent aussi, à commencer par les moins qualifiés – la plupart des gens ne connaissent pas, par exemple, le nom de la personne qui nettoie leur palier, leur escalier ou leur bureau !

    Cette invisibilisation du travail a été intériorisée par les salariés eux-mêmes : dans beaucoup d’entreprises, des enquêtes révèlent un niveau d’exposition affolant à des produits toxiques. Mais si on en discute avec les salariés, ils répondent qu’ils doivent d’abord nourrir leur famille. Au sein des syndicats, la question de la santé au travail est aussi un parent pauvre, par peur pour « l’emploi ».

    On retrouve ce biais dans le corps médical : les médecins ne s’intéressent presque jamais au travail des malades. Pour déterminer l’origine d’une maladie, ils se contentent souvent de questions sur les comportements individuels.

    La santé au travail et les maladies professionnelles sont ainsi totalement invisibilisées. C’est le fruit d’une volonté politique.

    Quel est le coût de cette invisibilisation ?
    Nous menons deux enquêtes auprès de patients atteints de cancer – une dans le Vaucluse (depuis 2017), l’autre en Seine-Saint-Denis (dès 2002). Les résultats sont effrayants. L’étude réalisée en Seine-Saint-Denis a montré que, sur plus de 1200 patients suivis, 85% ont été lourdement exposés à une multiplicité de substances cancérogènes. La raison : dans une série de métiers exposés comme la construction, le travail des métaux, la réparation automobile et la maintenance industrielle, le nettoyage et la gestion des déchets, il n’existe aucune mesure de protection de la santé digne de ce nom. La réglementation concernant l’exposition aux cancérogènes n’est pas mise en application par les employeurs et ces derniers ne sont jamais sanctionnés pour de telles infractions.

    Ce n’est pas tout. Dans nos deux enquêtes, aucune victime de cancer ne s’est appuyée sur le dispositif de suivi médical destiné aux personnes exposées à des cancérogènes au travail. Or si ces suivis existaient, on pourrait prévenir les risques à la source. En leur absence, on perd la mémoire des lieux de travail exposés.

    Les conséquences de cette négligence sont graves : non seulement les salariés continuent à tomber malades et/ou à mourir en raison de leurs conditions de travail, mais de nombreuses friches industrielles exposent ensuite les habitants de quartiers entiers à des produits cancérogènes.

    On retrouve une situation semblable pour ce qui est du recours aux pesticides en milieu agricole.

    Comment affronter cette réalité ?
    Nous vivons une situation très dure sur le plan de la précarisation du travail et de l’emploi. Néanmoins, il est possible de faire bouger les lignes, y compris au niveau syndical, et de poser le problème de la santé avec les salariés eux-mêmes, à partir de situations très concrètes.

    On pourrait citer de nombreux exemples. L’usine Eternit à Albi, au sud de la France, a produit des fibres d’amiante de 1973 en 1997. Confrontés à la mort de leurs collègues, atteints de cancers, les salariés se sont organisés et ont œuvré au sein des syndicats pour faire prendre conscience des dangers de l’amiante et formuler des revendications. Ils ont exigé, d’une part, que les cancers dus à ce matériau soient reconnus comme maladie professionnelle. De l’autre, ils ont insisté sur la nécessité d’arrêter la production d’amiante, en raison de ses dangers pour la santé. En 2005, des salariés et l’association des familles des victimes ont déposé ensemble une plainte pénale contre l’entreprise pour homicide involontaire.

    En avril 2019, l’incendie de la cathédrale de Notre-Dame a causé une pollution au plomb très importante. Le gouvernement n’a pas traité ce problème sérieusement, car il voulait reconstruire au pas de charge, dans la perspective des JO de 2024. Les travailleurs chargés de la manutention et du nettoyage du site et de ses environs n’ont pas été informés du danger, ni protégés. Face à ce scandale sanitaire, un collectif s’est constitué. Depuis deux ans, il unit des associations de défense de la santé, des syndicats d’enseignants, de fonctionnaires de la Mairie, des transports, de la préfecture de police, ainsi que le collectif nettoyage de l’Union départementale de Paris. Leur lutte a permis d’avoir accès aux informations concernant le niveau de plomb sur certains lieux de travail, d’y faire de la décontamination, etc. En juillet, l’association Henri Pézerat [1928-2009, directeur de recherche du CNRS, chimiste, toxicologue et lanceur d’alerte] de défense de la santé, du travail et de l’environnement, au sein de laquelle je milite, le syndicat CGT et deux familles de riverains ont déposé une plainte pénale pour mise en danger de la vie d’autrui. Cette plainte fait le lien entre pollution professionnelle et environnementale.

    Le monde du travail garde-t-il son potentiel transformateur ?
    Les vrais changements sociaux ne peuvent venir que du bas – de l’action de travailleurs et travailleuses militants, alliés parfois avec des scientifiques qui décident aussi d’agir.

    Durant la pandémie, j’ai été, par exemple, impressionnée par la manière dont certains enseignant·e·s ont réussi à repenser et poursuivre leur mission pédagogique auprès des élèves, en situation de pandémie. Dans le secteur agricole, il est aussi frappant de voir les réseaux qui se construisent à l’occasion de la transition, avec des circuits de distribution différents, des liens entre producteurs.

    Je pense aussi aux syndicalistes du secteur pétrochimique qui, après l’explosion de l’usine d’engrais AZF à Toulouse, en 2001, ont dénoncé le rôle délétère pour l’environnement joué par les multinationales – des questions qui reviennent aujourd’hui sur le devant de la scène avec le mouvement pour le climat.

    Ces luttes et ces expériences – avec bien d’autres – sont le fruit de prises de conscience, dans des milieux populaires, de de la nécessité de changer une société insoutenable. Elles passent par une reprise en main du travail et de son organisation par les travailleurs eux-mêmes, non seulement en tant que travailleurs mais aussi comme citoyens.

    C’est une voie difficile, à l’heure où le droit du travail a été fortement affaibli. Mais elle est incontournable.
    (Entretien publié dans le journal du SSP Services publics, n° 13, 3 septembre 2021, Lausanne)

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  • Fiji to reopen borders for tourists to rescue its coronavirus-hit economy, while fighting an outbreak of the Delta variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/lifestyle/travel-leisure/article/3149422/fiji-reopen-borders-tourists-rescue-its-coronavirus-hit

    Fiji to reopen borders for tourists to rescue its coronavirus-hit economy, while fighting an outbreak of the Delta variant. The island nation in the South Pacific relies on tourism for 40 per cent of its economy, and plans to open up to vaccinated visitors from ‘green list’ countries. Fiji has been fighting a Delta variant outbreak since April, and the opposition party says health is more important than tourist dollars. Fiji plans to reopen for international tourists by November, aiming to rebuild its pandemic-devastated economy while battling a Delta-variant coronavirus outbreak.
    “Our goal is to free our country – and our economy – from the rut of the pandemic,” Prime Minister Frank Bainimarama said in a statement last week.
    Once 80 per cent of Fiji’s eligible population is vaccinated, it will offer quarantine-free travel to visitors from a “green list” of locations. Of Fiji’s eligible population, 66 per cent is now fully vaccinated and Bainimarama predicts the country’s target will be met by November 1. Fiji’s green list includes Australia, New Zealand, Japan, Canada, Korea, Singapore and parts of the United States. Visitors would need to be fully vaccinated and test negative for Covid-19 before departure. Once in Fiji, they would stay in designated zones where all contacts, from hospitality staff to tour operators, would be fully vaccinated. Reviving tourism, which government figures estimate accounts for 40 per cent of Fiji’s economy, is seen as crucial to containing rising poverty in the nation of under one million people. But the main opposition, the Social Democratic Liberal Party (Sodelpa), has criticised the plans.“We have got to have our priorities right – health first over the economy,” Sodelpa leader Bill Gavoka told Radio New Zealand. “I don’t believe Fiji is ready.”Former health minister Neil Sharma said high vaccination rates would not stop the virus from spreading. “If you look at vaccination, all it does is prevent an individual from ending up in hospital and/or the mortuary.Fiji was free of community transmission for a year before a Delta outbreak started in April. That outbreak’s case numbers peaked in mid-June with more than 1,200 new infections daily. Only 79 cases were recorded on Sunday. The bulk of Fiji’s tourists come from Australia and New Zealand, where foreign travel is strongly discouraged, and travellers from both countries face a two-week quarantine at their own expense upon returning home.Despite the obstacles, governance watchdog Dialogue Fiji said borders needed to reopen to kick-start an economy that shrank 20 per cent last year.“It’s a very difficult choice for the Fijian government, as opening the border will make us vulnerable to other, potentially deadlier variants,” executive director Nilesh Lal said.“On the other hand, a protracted economic decline could see Fiji suffer a recession with wide-ranging impacts.”

    #Covid-19#migrant#migration#fiji#australie#nouvellezelande#japon#sante#variant#vaccination#frontiere#tourisme#restrictionsanitaire

  • Covid-19 : les Etats-Unis rouvriront « début novembre » leurs frontières aux voyageurs internationaux vaccinés
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/09/20/covid-19-les-etats-unis-rouvriront-debut-novembre-leurs-frontieres-aux-voyag

    Covid-19 : les Etats-Unis rouvriront « début novembre » leurs frontières aux voyageurs internationaux vaccinés. Les autorités américaines exigeront des tests, le port du masque et un traçage pour ces voyageurs, a précisé la Maison Blanche. Les frontières du pays leur sont fermées depuis mars 2020.
    Les Etats-Unis vont autoriser l’entrée sur leur territoire des voyageurs vaccinés contre le Covid-19 en provenance de l’Union européenne et du Royaume-Uni notamment, levant des restrictions mises en place en mars 2020, a annoncé la Maison Blanche lundi 20 septembre.Tous les voyageurs en provenance de l’étranger, à condition qu’ils soient entièrement vaccinés, pourront entrer à partir de « début novembre », a-t-elle ajouté. Ils devront par ailleurs se faire tester et porter un masque, tandis qu’un système de suivi des contacts sera mis en place, a indiqué le coordinateur de la lutte contre la pandémie à la Maison Blanche, Jeff Zients. Ce dernier a insisté sur le fait que cette décision, qui intervient dans un contexte de grande tension entre la France et les Etats-Unis, a été « dictée par la science ». Il y aura quelques exceptions, notamment pour les enfants qui ne sont pas encore éligibles à la vaccination. De plus, les nouvelles règles ne s’appliqueront pas tout de suite aux voyageurs traversant les frontières terrestres avec le Mexique et le Canada.
    Les Etats-Unis interdisent actuellement leur territoire à la plupart des ressortissants étrangers ayant résidé au cours des quatorze derniers jours dans les 26 pays de l’espace Schengen ainsi qu’en Irlande, au Royaume-Uni, en Chine, en Inde, en Afrique du Sud, en Iran et au Brésil. Les Etats-Unis ont pris le temps, selon Jeff Zients, de mettre en place un système global basé sur « les individus » et non sur des différences de traitement selon les pays de provenance. Il n’a pas précisé quels vaccins seraient reconnus pour permettre l’entrée des voyageurs.Les frontières américaines sont fermées à des millions de voyageurs internationaux, qu’ils soient testés ou vaccinés, depuis mars 2020, une situation qui a provoqué une impatience croissante chez les Européens notamment, causant des situations personnelles et familiales douloureuses. L’Union européenne avait de son côté annoncé le 30 août le retour de restrictions quant aux voyages non essentiels vers son territoire depuis les Etats-Unis, mais en laissant à ses Etats membres la possibilité de lever l’interdiction pour les personnes totalement vaccinées.
    Lire aussi Covid-19 dans le monde : l’UE réimpose des restrictions aux voyageurs américains. Jeff Zients a précisé par ailleurs que les Américains non vaccinés qui reviendraient aux Etats-Unis après un séjour à l’étranger seraient eux soumis à des obligations de test encore plus strictes. Il leur sera ainsi demandé de se faire tester dans la journée précédant leur retour et à nouveau après leur arrivée sur le sol américain. La Maison Blanche a durci le ton ces dernières semaines et multiplié les annonces pour imposer la vaccination là où les autorités fédérales en ont les moyens. Elle n’a toutefois pas pour l’instant pris l’une des décisions les plus drastiques en son pouvoir, à savoir imposer la vaccination pour les vols domestiques aux Etats-Unis.« C’est un fantastique coup de pouce pour les entreprises et le commerce, et c’est formidable que les familles et les amis des deux côtés de l’océan puissent à nouveau être réunis », s’est félicité sur Twitter le premier ministre britannique Boris Johnson. « Excellente nouvelle pour les voyageurs du Royaume-Uni vers les États-Unis », a réagi de son côté sur Twitter la cheffe de la diplomatie britannique Liz Truss. « C’est important pour notre reprise économique, nos familles et nos échanges commerciaux. » « Une excellente nouvelle pour les investissements allemands et européens, nos exportations et l’ensemble de la relation transatlantique », a affirmé toujours sur Twitter Olaf Scholz, le vice-chancelier et ministre des finances allemand.

    #Covid-19#migrant#migration#etatsunis#UE#circulation#sante#frontiere#variant#vaccination#economie