#Van_Gogh : #Le_semeur_au_couchant (fin 19e siècle)
« Qui sème le #vent, #récolte, etc, etc... »
#art #modeste #peinture #société #agriculture #soleil #politique #ministre #gerbe #savez_vous_planquer_les_sous #seenthis #vangauguin
#Van_Gogh : #Le_semeur_au_couchant (fin 19e siècle)
« Qui sème le #vent, #récolte, etc, etc... »
#art #modeste #peinture #société #agriculture #soleil #politique #ministre #gerbe #savez_vous_planquer_les_sous #seenthis #vangauguin
Notes anthropologiques (XLIX)
Georges Lapierre
▻https://lavoiedujaguar.net/Notes-anthropologiques-XLIX
Traité sur l’apparence (IV)
Idéologie et cosmovision
Le pouvoir se conçoit comme l’exercice contraignant d’une volonté, celle d’une minorité sur le plus grand nombre, en fin de compte, sur la société ; l’État est la forme prise par cette séparation à l’intérieur d’une société entre une classe sociale (que j’ai définie comme la classe de la pensée) et la population saisie dans sa dimension sociale, réduite le plus souvent à produire des biens (une richesse) qui seront ensuite échangés par ceux qui se trouvent au centre de l’activité sociale (les marchands). L’activité marchande a envahi à un tel point notre vie qu’elle constitue la seule expérience que nous ayons de l’échange. Le commerce de marchandises (le marché) en étant l’unique expérience que nous avons de la vie sociale a profondément modifié et modelé notre vision du monde. Déjà avec Karl Polanyi, l’idée de l’échange n’avait plus qu’une seule signification, celle d’échange marchand. De nos jours, pour les historiens et les anthropologues (comme Testart), le mot échange n’a plus qu’un sens unique. Les autres formes d’échange se trouvent à tel point subordonnées à l’échange marchand qu’elles sont reléguées dans les marges de la conscience pour y disparaître comme un bateau faisant naufrage. La victoire du point de vue du marchand sur d’autres points de vue ? La victoire du marché sur la société est totale. (...)
#anthropologie #échanges #apparence #non-être #cosmovision #idéologie #Polanyi #van_Gogh #Artaud #Descola #Castaneda #Mexique #Oaxaca #Dumézil
Notes anthropologiques (XXXV)
Georges Lapierre
▻https://lavoiedujaguar.net/Notes-anthropologiques-XXXV
L’Idée et son devenir (I)
Ces notes anthropologiques ne sont qu’une maigre exploration de l’humain, une contribution limitée et brouillonne à sa connaissance ; elles forment l’ébauche d’une investigation, sans plus. Elles demandent à être reprises avec plus de constance et de profondeur. Dans ces notes, le sujet ne se distingue pas de son objet ; il ne cherche pas à se différencier de ce qui constitue l’objet de son investigation. Le sujet n’est rien d’autre qu’un moment de l’humain, le résultat en chair, en os et en esprit d’un monde, et ce monde est celui de l’humain. Le sujet qui pense et qui écrit est une actualisation momentanée de l’humain, c’est ainsi que le sujet et l’objet de sa réflexion ne se distinguent pas. Dans une civilisation de l’argent — et l’argent n’est que le mode d’expression dominant de la pensée (ou, si l’on veut, de l’humain) —, le sujet a été enfanté par l’argent, il est l’enfant de l’argent, qu’il le veuille ou non. L’argent est sa dimension humaine (ou, plus surement, inhumaine), sa vérité, en quelque sorte — ce qu’ont du mal à accepter ceux qui se consacrent aux sciences dites humaines, psychiatres, sociologues et anthropologues, historiens ou autres philosophes. Se tenir à l’écart de cette implication c’est une façon de tenir le monde à l’écart de sa critique (...)
#anthropologie #Antonin_Artaud #Van_Gogh #échange #Maurice_Godelier #coutume #don #potlatch #valeur #Marx #Nouvelle-Guinée #Davos #aliénation #bien_commun
Vincent Van Gogh à portée de vue
▻https://aris.papatheodorou.net/vincent-van-gogh-a-portee-de-vue
Le musée Van Gogh d’Amsterdam abrite dit-on la plus grande collection d’œuvres du peintre et est, à ce titre, un rendez-vous incontournable de la cité hollandaise. Il est désormais aussi possible de découvrir, sur le site Web du musée, une collection numérique de près de 1500 des créations de Van Gogh (tableaux, dessins, esquisses) en libre accès et en libre téléchargement pour un usage non-commercial.
#chiottes #white_house Un #Van_Gogh à la Maison Blanche ? Le Guggenheim propose des #toilettes_en_or
▻http://abonnes.lemonde.fr/big-browser/article/2018/01/26/un-van-gogh-a-la-maison-blanche-le-guggenheim-propose-des-toilettes-
Un Van Gogh à la Maison Blanche ? Le Guggenheim propose des toilettes en or
Le Monde.fr avec AFP | 26.01.2018 à 01h08
Un Van Gogh pour la Maison ? Plutôt des toilettes en or, répond le Musée Guggenheim. Alors que la présidence des Etats-Unis souhaitait emprunter une toile du peintre néerlandais, la conservatrice de l’établissement new-yorkais lui a suggéré une œuvre de l’artiste iconoclaste Maurizio Cattelan.
Dans un courrier électronique envoyé mi-septembre, la directrice artistique du Guggenheim, Nancy Spector, a ainsi décliné la demande de prêt du Paysage enneigé (1888), a fait savoir le musée au Washington Post. Mme Spector a expliqué que la toile allait être exposée à Bilbao, avant de revenir à New York et d’y rester « dans un avenir prévisible ».
Et cette dernière de proposer, à la place, les sanitaires en or massif de l’Italie. L’œuvre, intitulée America, qui comprend un siège, une cuvette et une chasse d’eau opérationnels, a été utilisée par quelque 100 000 personnes pendant son exposition, de septembre 2016 à l’été 2017, au musée, situé face à Central Park.
Maurizio Cattelan « voudrait l’offrir à la Maison Blanche moyennant un prêt à long terme », écrivait alors la directrice artistique du Guggenheim, selon le Washington Post. « Elle est, bien sûr, d’une valeur exceptionnelle et assez fragile, mais nous vous fournirions toutes les instructions pour l’installation et l’entretien », poursuivait Mme Spector.
« Nous sommes désolés de ne pouvoir satisfaire votre demande initiale, mais nous gardons l’espoir que cette offre exceptionnelle puisse vous intéresser. »
Sollicité par l’Agence France-Presse, le Guggenheim s’est refusé à tout commentaire sur cette offre. La Maison Blanche, elle, n’a pas donné suite.
La conservatrice du musée a critiqué publiquement Donald Trump à plusieurs reprises depuis son élection, décrivant une présidence « marquée par le scandale et définie par la réduction volontaire d’un nombre incalculable de libertés individuelles ».
En août, dans un blog, elle avait expliqué que si l’œuvre de Maurizio Cattelan pouvait être différemment interprétée, c’est « la référence à Trump qui a trouvé le plus d’écho » durant son séjour au Guggenheim. La quantité de métal précieux utilisée pour sa confection n’a pas été révélée, mais Nancy Spector avait déclaré qu’elle avait été réalisée avec des « millions de dollars d’or ».
Maurizio Cattelan avait, lui, présenté ces toilettes comme une création égalitariste : « de l’art du 1 % [comprenant les personnes les plus riches de la planète] pour les 99 autres pourcents »
Les demandes de prêt d’œuvres par la Maison Blanche sont une pratique qui remonte à plusieurs décennies. Sous l’administration Obama, plusieurs tableaux de Mark Rothko ou d’Edward Hopper, entre autres, avaient été prêtés par des musées à la présidence.
Ils ont sûrement oublié de dire que le #Guggenheim avait fourni du PQ imprimé avec des reproductions des tableaux de Van Gogh ...
Les droits humains et la culture c’est pareil, non ?
“When I hear about human rights or culture, I take out my fucking gun”, Trump said ...
Van Gogh’s Ear | The New Yorker
▻https://www.newyorker.com/magazine/2010/01/04/van-goghs-ear
It is, in its strange way, at once the Nativity fable and the Passion story of modern art. On Christmas Eve, 1888, in the small Provençal town of Arles, the police found a young Dutch émigré painter in his bed, bleeding from the head, self-bandaged and semi-conscious, in a run-down residence called, for its peeling exterior, the Yellow House. A few hours before, the Dutchman had given his severed ear—or just its lower lobe; stories differed—to a whore named Rachel in a maison de tolérance, a semilegal bordello, as a kind of early Christmas gift. (She had passed out upon unwrapping it.) The painter, Vincent van Gogh, was known throughout the town as a crazy drunk who hung around the whorehouses too much for his own good, and who shared the squalid Yellow House with another so-called artist, even scarier than he was, though not usually as drunk and not so obviously crazy. That other artist, Paul Gauguin—after being interviewed by the police, and insisting that his friend must have sliced off his own ear in a fit—then sent a telegram to the Dutchman’s brother, urging him to come at once. Then Gauguin left for Paris, as fast as the trains could carry him, never to return.
The Christmas crisis had a real, if buried, effect on van Gogh’s imagination, turning him from a dream of living and working with a community of brother artists to one of painting for an unknown audience that might someday appear—a fantasy that was, in the end, and against the odds, not a fantasy at all.
Those words shine in his pictures. We tend to see the arc of his work, from the departure from Paris, in early 1888, to his death, in 1890, as more or less continuous, and miss the decisive break marked by the Christmas crisis. Even through the pictures of 1888 he’s still mostly a prose painter, with something of the nineteenth-century illustrator in him—children, postmen, absinthe-soaked café scenes. He still wanted to be Dickens or Daumier. After the Christmas crisis, he accepted that he was only Vincent. His new pictures—“The Starry Night,” “Cypresses,” and the pictures of the gardens at Saint-Remy—are depopulated, emptied of any vision of common life. Where in 1888 the pictures are still filled with people on top of people—six people in the “Night Café,” a dozen in the streets of Arles at night—in 1889, aside from his copies of Millet, van Gogh thinks only in solitary ones and lonely twos, the occasional individual portrait interrupting a world of visionary dailiness. He wrote, simply, “Let’s not forget that small emotions are the great captains of our lives.” Stars wheel, cypresses flame; the whole world comes alive. The common unity is the animism of the ordinary. “Starry Night Over the Rhone,” of 1888, has the night sky gently decanted into the gaslight world of the town, and the theme is the likeness of streetlight and moonlight, the modern urban subject—the amusement park at night. In the 1889 “Starry Night,” it’s all night and stars and rolling nebulae: me and the night and the music of the spheres. He’s a man alone, and for good.
• « Loving Vincent », le film où les tableaux de Van Gogh prennent vie
▻http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/art-culture-edition/video-loving-vincent-le-film-ou-les-tableaux-de-van-gogh-prennent-vie_1
Un biopic de Vincent Van Gogh réalisé en peintures. C’est le projet fou de Loving Vincent, un long métrage de la réalisatrice polonaise Dorota Kobiela et du producteur oscarisé Hugh Welchman (Pierre et le Loup, 2006). Comme l’explique son site, le film, qui doit sortir fin 2016, sera le premier au monde à être entièrement peint. Il retracera la vie du peintre néerlandais, mort le 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise dans des conditions mystérieuses.
▻https://www.youtube.com/watch?v=47h6pQ6StCk
Loving Vincent - first painted animation by BreakThru Films
▻http://www.lovingvincent.com/?id=about
Loving Vincent will be the world’s first feature-length painted animation, and is brought to you by Oscar winning film companies Breakthru Films and Trademark Films. Every frame in the Loving Vincent movie is an oil painting on canvas, using the very same technique in which Vincent himself painted.
Quatre peintres crédités au générique de la B.-A.
#Van_Gogh + #Munch — #Munchmuseet
▻http://munchmuseet.no/en/exhibitions/van-gogh-munch
Experience the art event of the year in 2015! These two great artists will compete for the first time together in a dual exhibition based on a collaboration between two of the world’s leading monographic museums; the Van Gogh Museum in Amsterdam and the Munch Museum.
Pourquoi certains rouges de Van Gogh blanchissent | Passeur de sciences
▻http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2015/03/08/pourquoi-certains-rouges-de-van-gogh-blanchissent
Au cours de la dernière année de sa vie, malgré une santé mauvaise, Van Gogh peint beaucoup. Parmi toutes ses œuvres, beaucoup de champs de blé avant ou après les moissons, dont les Meules de foin sous un ciel pluvieux, un tableau aujourd’hui conservé au musée Kröller-Müller d’Otterlo (Pays-Bas). Le ciel gris de nuages menace de crever et, devant le foin entassé, à la surface d’une mare flottent des feuilles mortes d’un rouge éclatant. Du moins l’étaient-elles à l’origine. Petit à petit, ce rouge se décolore, s’affadit jusqu’à prendre une teinte blanchâtre. Qu’arrive-t-il au pigment de Vincent Van Gogh ?
Vincent Van Geek | laboiteverte
►http://owni.fr/2011/08/07/vincent-van-gogh-geek-art-batman
L’expressionisme du maître en a inspiré plus d’un. Artistes confirmés ou inspirés d’un jour, les geeks rendent hommage au grand peintre... ainsi qu’à leurs héros #Batman, Docteur Who ou bien encore Tolkien.
#Art #Cultures_numériques #détournement #Doctor_Who #geek #Lord_of_the_Rings #star_wars #Van_Gogh