• Une vraie #souveraineté_alimentaire pour la #France

    Le mercredi 6 décembre 2023, la FNSEA sortait du bureau d’Elisabeth Borne en déclarant fièrement que l’État abandonnait son projet de taxer l’usage des pesticides et des retenues d’eau. Cela vient conclure une séquence historique. Le 16 novembre déjà, l’Europe reconduisait l’autorisation du glyphosate pour 10 ans. Et, six jours plus tard, abandonnait aussi l’objectif de réduction de 50 % de l’usage des pesticides à l’horizon 2030.

    Comment en est-on arrivé là ? La question a été récemment posée dans un rapport de l’Assemblée nationale. En plus du #lobbying habituel de la #FNSEA et de l’état de crise permanent dans laquelle vivent les agriculteurs et qui rend toute #réforme explosive, la question de la souveraineté alimentaire – qui correspond au droit d’un pays à développer ses capacités productives pour assurer la sécurité alimentaire des populations – a joué un rôle clé dans cette dynamique.

    La souveraineté alimentaire est ainsi devenue, depuis la crise du Covid et la guerre en Ukraine, l’argument d’autorité permettant de poursuivre des pratiques qui génèrent des catastrophes écologiques et humaines majeures. Il existe pourtant d’autres voies.

    Le mythe de la dépendance aux #importations

    De quelle souveraineté alimentaire parle-t-on ? Les derniers chiffres de FranceAgrimer montrent que notre « #dépendance aux importations » – comme aiment à le répéter les défenseurs d’un modèle intensif – est de 75 % pour le blé dur, 26 % pour les pommes de terre, 37 % pour les fruits tempérés ou 26 % pour les porcs.

    Mais ce que l’on passe sous silence, c’est que le taux d’#autoapprovisionnement – soit le rapport entre la production et la consommation françaises – est de 148 % pour le blé dur, 113 % pour les pommes de terre, 82 % pour les fruits tempérés et 103 % pour le porc. Le problème de souveraineté alimentaire n’en est pas un. Le vrai problème, c’est qu’on exporte ce que l’on produit, y compris ce dont on a besoin. Cherchez l’erreur.

    D’autres arguments viennent encore se greffer à celui de la souveraineté, dans un monde d’#interdépendances : la #France serait le « grenier à blé de l’Europe », il faudrait « nourrir les pays du Sud », la France serait « une puissance exportatrice », etc.

    Au-delà de l’hypocrisie de certaines de ces affirmations – en effet, les #exportations des surplus européens subventionnés ont détruit tout un tissu productif, en Afrique de l’Ouest notamment – il ne s’agit pas là d’enjeux liés à la souveraineté alimentaire, mais d’enjeux stratégiques et politiques liés à la #compétitivité de certains produits agricoles français sur les marchés internationaux.

    Comprendre : la France est la 6e puissance exportatrice de #produits_agricoles et agroalimentaires au monde et elle entend bien le rester.

    Voir la #productivité de façon multifonctionnelle

    S’il ne faut évidemment pas renoncer aux objectifs de #productivité_alimentaire nationaux, ces derniers gagneraient à être redéfinis. Car comment évoquer la souveraineté alimentaire sans parler des besoins en #eau pour produire les aliments, de la dépendance aux #énergies_fossiles générée par les #intrants de synthèse, de l’épuisement de la #fertilité des #sols lié à la #monoculture_intensive ou encore des effets du #réchauffement_climatique ?

    Comment évoquer la souveraineté alimentaire sans parler des enjeux fonciers, de l’évolution du #travail_agricole (25 % des #agriculteurs sont en passe de partir à la retraite), du #gaspillage_alimentaire – qui avoisine les 30 % tout de même – des #besoins_nutritionnels et des #habitudes_alimentaires de la population ?

    La #productivité_alimentaire doit dorénavant se conjuguer avec d’autres formes de productivité tout aussi essentielles à notre pays :

    – la capacité de #rétention_d’eau dans les sols,

    – le renouvellement des #pollinisateurs,

    – le maintien des capacités épuratoires des milieux pour conserver une #eau_potable,

    – le renouvellement de la #fertilité_des_sols,

    – la régulation des espèces nuisibles aux cultures,

    – ou encore la séquestration du carbone dans les sols.

    Or, il est scientifiquement reconnu que les indicateurs de productivité relatifs à ces services baissent depuis plusieurs décennies. Pourtant, ce sont bien ces services qui permettront de garantir une véritable souveraineté alimentaire future.

    La #diversification pour maintenir des rendements élevés

    Une revue de littérature scientifique parue en 2020, compilant plus de 5000 études menées partout dans le monde, montrait que seules des stratégies de diversification des #pratiques_agricoles permettent de répondre à ces objectifs de #performance_plurielle pour l’agriculture, tout en maintenant des #rendements élevés.

    Les ingrédients de cette diversification sont connus :

    – augmentation de la #rotation_des_cultures et des #amendements_organiques,

    – renoncement aux #pesticides_de_synthèse et promotion de l’#agriculture_biologique à grande échelle,

    - réduction du #labour,

    - diversification des #semences et recours aux #variétés_rustiques,

    - ou encore restauration des #haies et des #talus pour limiter le ruissellement de l’#eau_de_pluie.

    Dans 63 % des cas étudiés par ces chercheurs, ces stratégies de diversification ont permis non seulement d’augmenter les #services_écosystémiques qui garantissent la souveraineté alimentaire à long terme, mais aussi les #rendements_agricoles qui permettent de garantir la souveraineté alimentaire à court terme.

    Les sérieux atouts de l’agriculture biologique

    Parmi les pratiques de diversification qui ont fait leurs preuves à grande échelle en France, on retrouve l’agriculture biologique. Se convertir au bio, ce n’est pas simplement abandonner les intrants de synthèse.

    C’est aussi recourir à des rotations de cultures impliquant des #légumineuses fixatrices d’azote dans le sol, utiliser des semences rustiques plus résilientes face aux #parasites, des amendements organiques qui nécessitent des couplages culture-élevage, et enfin parier sur la restauration d’un #paysage qui devient un allié dans la lutte contre les #aléas_naturels. La diversification fait ainsi partie de l’ADN des agriculteurs #bio.

    C’est une question de #réalisme_économique. Les exploitations bio consomment en France deux fois moins de #fertilisant et de #carburant par hectare que les exploitants conventionnels, ce qui les rend moins vulnérables à l’évolution du #prix du #pétrole. En clair, l’agriculture biologique pourrait être la garante de la future souveraineté alimentaire française, alors qu’elle est justement souvent présentée comme une menace pour cette dernière du fait de rendements plus faibles à court terme.

    Au regard des éléments mentionnés plus haut, il s’agit évidemment d’un #faux_procès. Nous sommes autosuffisants et nous avons les réserves foncières qui permettraient de déployer le bio à grande échelle en France, puisque nous sommes passé de 72 % du territoire dédié aux activités agricoles en 1950 à 50 % en 2020. Une petite partie de ces surfaces a été artificialisée tandis que la majorité a tout simplement évolué en friche, à hauteur de 1000 km2 par an en moyenne.

    Par ailleurs, le différentiel de rendement entre le bio et le #conventionnel se réduit après quelques années seulement : de 25 % en moyenne (toutes cultures confondues) au moment de la conversion, il descend à 15 % ensuite. La raison en est l’apprentissage et l’innovation dont font preuve ces agriculteurs qui doivent en permanence s’adapter aux variabilités naturelles. Et des progrès sont encore à attendre, si l’on songe que l’agriculture bio n’a pas bénéficié des 50 dernières années de recherche en #agronomie dédiées aux pratiques conventionnelles.

    Relever le niveau de vie des agriculteurs sans éroder le #pouvoir_d’achat des consommateurs

    Mais a-t-on les moyens d’opérer une telle transition sans réduire le pouvoir d’achat des Français ? Pour répondre à cette question, il faut tout d’abord évoquer le #revenu des #agriculteurs. Il est notoirement faible. Les agriculteurs travaillent beaucoup et vivent mal de leur métier.

    Or, on oublie souvent de le mentionner, mais le surcoût des produits bio est aussi lié au fait que les consommateurs souhaitent mieux rémunérer les agriculteurs : hors subventions, les revenus des agriculteurs bio sont entre 22 % et 35 % plus élevés que pour les agriculteurs conventionnels.

    Ainsi, le consommateur bio consent à payer plus parce que le bio est meilleur pour l’environnement dans son ensemble (eau, air, sol, biodiversité), mais aussi pour que les paysans puissent mieux vivre de leur métier en France sans mettre en danger leur santé.

    Par ailleurs, si le consommateur paie plus cher les produits bio c’est aussi parce qu’il valorise le #travail_agricole en France. Ainsi la production d’aliments bio nécessite plus de #main-d’oeuvre (16 % du total du travail agricole pour 10 % des surfaces) et est très majoritairement localisée en France (71 % de ce qui est consommé en bio est produit en France).

    Cette question du #travail est centrale. Moins de chimie, c’est plus de travail des communautés humaines, animales et végétales. C’est aussi plus d’incertitudes, ce qui n’est évidemment pas simple à appréhender pour un exploitant.

    Mais il faut rappeler que le discours sur le pouvoir d’achat des français, soi-disant garanti par le modèle hyper-productiviste de l’agriculture française, vise surtout à conforter les rentes de situations des acteurs dominants du secteur agricole. Car les coûts sanitaires et environnementaux de ce modèle sont payés par le contribuable.

    Rien que le #traitement_de_l’eau, lié aux pollutions agricoles, pour la rendre potable, coûte entre 500 millions d’euros et 1 milliard d’euros par an à l’État. Or, ce que le consommateur ne paie pas au supermarché, le citoyen le paie avec ses #impôts. Le rapport parlementaire évoqué plus haut ne dit pas autre chose : la socialisation des coûts et la privatisation des bénéfices liés aux #pesticides ne sont plus tolérables.

    Le bio, impensé de la politique agricole française

    Une évidence s’impose alors : il semblerait logique que l’État appuie massivement cette filière en vue de réduire les coûts pour les exploitants bio et ainsi le prix pour les consommateurs de produits bio. En effet, cette filière offre des garanties en matière de souveraineté alimentaire à court et long terme, permet de protéger l’eau et la #santé des Français, est créatrice d’emplois en France. Il n’en est pourtant rien, bien au contraire.

    L’État a promu le label #Haute_valeur_environnementale (#HVE), dont l’intérêt est très limité, comme révélé par l’Office français de la biodiversité (OFB). L’enjeu semble surtout être de permettre aux agriculteurs conventionnels de toucher les aides associés au plan de relance et à la nouvelle #PAC, au risque de créer une #concurrence_déloyale vis-à-vis des agriculteurs bio, d’autant plus que les #aides_publiques au maintien de l’agriculture biologique ont été supprimées en 2023.

    La décision récente de l’État de retirer son projet de #taxe sur l’usage des pesticides créé aussi, de facto, un avantage comparatif pour le conventionnel vis-à-vis du bio. Enfin, rappelons que la Commission européenne a pointé à plusieurs reprises que la France était le seul pays européen à donner moins de subventions par unité de travail agricole aux céréaliers bio qu’aux conventionnels.

    Ainsi, un céréalier bio français reçoit un tiers de subventions en moins par unité de travail agricole qu’un céréalier conventionnel, alors qu’en Allemagne ou en Autriche, il recevrait 50 % de #subventions supplémentaires. En France, l’État renonce aux taxes sur les pesticides tout en maintenant des #charges_sociales élevées sur le travail agricole, alors que c’est évidemment l’inverse dont aurait besoin la #transition_agroécologique.

    Que peuvent faire les citoyens au regard de ce constat déprimant ? Consommer des produits bio malgré tout, et trouver des moyens de les payer moins cher, grâce par exemple à la #vente_directe et à des dispositifs tels que les #AMAP qui permettent de réduire le coût du transport, de la transformation et de la distribution tout autant que le gâchis alimentaire, les variabilités de la production étant amorties par la variabilité du contenu du panier.

    Les agriculteurs engagés pour la #transition_écologique, de leur côté, peuvent réduire les risques associés aux variabilités naturelles et économiques en créant de nouvelles formes d’exploitations coopératives combinant plusieurs activités complémentaires : élevage, culture, transformation, conditionnement et distribution peuvent être organisés collectivement pour mutualiser les coûts et les bénéfices, mais aussi se réapproprier une part significative de la #chaîne_de_valeur laissée aujourd’hui au monde de l’agro-industrie et de la grande distribution.

    Il ne s’agit pas d’une #utopie. De nombreux acteurs essaient de faire émerger, malgré les résistances institutionnelles, ces nouvelles pratiques permettant de garantir la souveraineté alimentaire de la France à long terme.

    https://theconversation.com/une-vraie-souverainete-alimentaire-pour-la-france-220560
    #foncier #industrie_agro-alimentaire #alimentation #collectivisation
    #à_lire #ressources_pédagogiques

  • Lust auf Bier : Schlagerstar Frank Zander hat Operation gut überstanden
    https://www.berliner-zeitung.de/news/frank-zander-hat-op-gut-uberstanden-bier-zum-anstossen-li.2174769

    Encore vivant. Unkraut vergeht nicht. Tout le mode aime papi Frank.

    Schlagerstar Frank Zander hat seine Operation am Montag gut überstanden. „Es geht ihm gut, er ist auf seinem Zimmer. OP ist gut verlaufen“, sagte sein Sohn Marcus Zander am Montag der dpa. Nach der Kopfoperation habe er ein wenig Kopfschmerzen und solle nun viel Wasser trinken. Er freue sich schon auf den Besuch von ihm, sagte Marcus Zander, „dann stoßen wir gemeinsam mit einem Schluck Bier an und besprechen, wie die weitere Nachbehandlung ablaufen soll“.

    Ende Dezember hatte die Familie mitgeteilt, dass bei Zander senior Hydrozephalus diagnostiziert wurde, ein Aufstau von Gehirnflüssigkeit. Der 81-Jährige wird in der Berliner Charité behandelt. Noch am Freitag hatte das Berliner Urgestein regionstypisch übermitteln lassen: „Aber ich weiß, es wird allet jut und ick freu mich schon auf n frisch gezapftes Bier nach der OP.“

    Am 22. Dezember hatte Familie Zander zum ersten Mal nach der Corona-Pandemie wieder die Weihnachtsfeier für Berliner Obdachlose ausgerichtet - nur ohne Frank Zander.

    Ur-Ur-Enkel von Frankenstein - Video 1847
    https://www.youtube.com/watch?v=-evBna1RFAg

    Ich trink auf dein Wohl Marie
    https://www.youtube.com/watch?v=-VJUDcQ-_Lg

    Hier kommt Kurt
    https://www.youtube.com/watch?v=BrPcg8y2-5E

    Der Nick Nack Man
    https://www.youtube.com/watch?v=NOKySVtYFA0

    Oh Susi
    https://www.youtube.com/watch?v=_UFUcqXQd-4

    Mama wir wollen Pommes haben (Frank und Kießling und Kinderchor im Altenheim)
    https://www.youtube.com/watch?v=2Xk8Omp_AVU

    Ja wenn wir alle Englein wären
    https://www.youtube.com/watch?v=NVujAB-eCaY

    Fröliche Hamsterparade
    https://www.youtube.com/watch?v=dOYHVshWkm4

    Frank Zander est un peu notre Coluche à nous. Moins intelligent, pas aussi cultivé mais bon musicien et proche des simples gens et de la bonne société de Berlin-Ouest. Chaque année il prépare un festin de noël pour les sans abri dans un grand hôtel.

    #Berlin #variété #people

  • Kehrtwende bei der Rundfunkunion Russland darf nicht am ESC teilnehmen
    https://m.tagesspiegel.de/gesellschaft/medien/kehrtwende-bei-der-rundfunkunion-russland-darf-nicht-am-esc-teilnehmen/28107718.html

    25.2.2022 von Joachim Huber - Die EBU schließt Russland vom 66. Eurovision Song Contest in Turin aus. Zuvor wurde der ESC noch als „nicht-politisches Event“ bezeichnet.

    Die Europäische Rundfunkunion (EBU) hat am Freitag eine perfekte Kehrtwende hingelegt. Erst wurde der Eurovision Song Contest (ESC) als „nicht-politisches, kulturelles Event“ bezeichnet und damit die Teilnahme Russlands aufrechterhalten.

    Dann hieß es am Freitagabend: Russland wird aufgrund der Invasion in die Ukraine vom diesjährigen Wettbewerb in Turin ausgeschlossen. Das teilte die EBU in Genf mit. Europas größte Fernsehshow soll am 14. Mai mit seinem großen Finale über die Bühne gehen. Deutschland will seinen Song kommende Woche küren.

    Die ARD-Vorsitzende Patricia Schlesinger und ZDF-Intendant Thomas Bellut begrüßten die Entscheidung. "Der ESC ist ein musikalisches Fest der Völker Europas. Er repräsentiert Werte wie Freiheit und Vielfalt und ist ein friedlicher Wettstreit kreativer Köpfe. Wenn ein Teilnehmerland des ESC von einem anderen angegriffen wird, sind wir innerhalb der europäischen ESC-Familie solidarisch. Deshalb ist die Entscheidung gegen die Teilnahme Russlands an dieser Stelle richtig“, hieß es in einer gemeinsamen Erklärung.

    Mehrere Länder forderten Ausschluss

    Nachdem Russland in die Ukraine einmarschiert war, hatte die Ukraine gefordert, die EBU-Mitgliedssender sollten so früh wie möglich erwägen, Russland vom diesjährigen ESC in Italien auszuschließen. Auch andere Länder hatten den Ausschluss gefordert.

    #guerre #musique #variété #Russie #Ukraine #sanction

  • #Cercatori_di_semi

    Cercatori di Semi come associazione senza scopo di lucro si propone di difendere la biodiversità attraverso diversi progetti, come la coltivazione per la produzione e conservazione delle sementi della varietà locali antiche nella nostra banca dei semi e la successiva distribuzione gratuita di queste. Reputiamo importante anche l’educazione alla conservazione della biodiversità e ad una agricoltura sostenibile, per questo organizziamo incontri nelle scuole e pubblichiamo le guide gratuite con le tecniche per auto produrre correttamente i propri semi.

    https://www.cercatoridisemi.com

    Avec un catalogue d’où il est possible d’acheter des semences :


    https://www.cercatoridisemi.com/shop

    #Italie
    #semences #graines #Italie #variétés_anciennes

  • GRAIN | Brochure | UPOV : Hold-up sur les semences
    https://grain.org/e/6649

    L’UPOV est la plus claire expression de la guerre menée contre les paysans, et la résistance implique que les gens conservent leurs semences, les échangent et les multiplient au sein de leurs réseaux de confiance et en toute responsabilité.

    Les textes rédigés par les bureaucrates de l’UPOV et par les représentants de l’industrie ressassent, dans toutes les réglementations et normes connexes relatives aux #semences et aux « #variétés_végétales », un argumentaire où prévaut un seul et unique scénario : éradiquer l’agriculture indépendante, l’éroder ou la déshabiliter pour la soumettre à la volonté des gros agriculteurs et des firmes semencières et d’intrants. Les entreprises considèrent l’agriculture indépendante comme un adversaire indésirable. C’est pour cela qu’elles criminalisent les techniques et les pratiques des communautés paysannes.

    Les paysannes et les paysans du monde entier comprennent ce qui est en jeu. Malgré tout leur pouvoir, les grandes firmes et les gouvernements puissants qui soutiennent les aberrations telles que l’#UPOV n’ont pas la tâche facile. La résistance populaire surgit de toutes parts. Nous devons renforcer ces luttes.

    La brochure suivante explique plus en détail de quoi nous parlons.

    https://grain.org/system/articles/pdfs/000/006/649/original/El%20gran%20robo-FR-6MAR.pdf?1618329416

  • La mappa degli alberi da frutto antichi del Luganese

    Conservazione delle antiche varietà di alberi da frutto: al via il progetto di mappatura sul territorio della Città di Lugano

    Conservazione delle antiche varietà di alberi da frutto: al via il progetto di mappatura sul territorio della Città di #Lugano.

    Chi possiede un vecchio melo nel proprio giardino, chi conosce un pero interessante su di un terreno incolto, ma anche chi vuole semplicemente raccontare i propri ricordi legati all’albero di fichi che da bambino sorgeva in piazza è invitato a contattare il Verde pubblico della Città di Lugano.
    A partire dal mese di giugno inizia il progetto di mappatura degli alberi da frutto sul territorio di Lugano, dalla foce a Cimadera. Tutte le segnalazioni sono benvenute. Quando pensiamo al nostro patrimonio culturale, pensiamo agli scrittori, agli artisti e agli uomini di stato che hanno lasciato una traccia nella nostra storia. Non pensiamo agli alberi da frutto. Eppure il tema degli alberi da frutto, più di molti altri, raccoglie in sé tanto la nostra natura quanto la nostra cultura, è dunque un tema strettamente legato alla nostra identità. L’abbandono dell’agricoltura tradizionale nel dopoguerra, l’estensione delle zone edificabili da un lato e l’avanzata dei boschi dall’altro sono andate a scapito delle campagne agricole e dei suoi alberi da frutto.

    La Città di Lugano lancia un appello ai cittadini, ma anche agli utenti della città, per collaborare al censimento degli alberi da frutto rimasti sul suo territorio. La generazione contadina, di uomini e donne che conoscevano bene gli alberi da frutto e li coltivavano è ormai quasi sparita e, con essa, rischia di finire nell’oblio tutto un sapere contadino. Il patrimonio da recuperare è molto prezioso. La collaborazione di chi conosce un albero da frutto, di chi semplicemente l’ha visto o di chi ne conserva preziosi ricordi è fondamentale per riscoprire e salvaguardare la diversità genetica dei nostro patrimonio naturalistico. Il censimento e la mappatura, infatti, saranno seguiti da un progetto di reintroduzione delle antiche varietà individuate. Il frutteto di Cornaredo, così come il frutteto della Scuola elementare di Cadro, realizzati in collaborazione con l’alberoteca, ProFrutteti e l’Alleanza territorio e biodiversità, sono un esempio di come la Città può intervenire nel mantenimento della biodiversità, risorsa fondamentale per affrontare le sfide del futuro. Il censimento è realizzato dalla Città di Lugano (dal Verde pubblico con il supporto di Lugano al verde) in collaborazione con l’alberoteca, #ProSpecieRara, ProFrutteti, e con l’Associazione amici del Torchio di Sonvico.

    Per partecipare al censimento scaricare il modulo online oppure contattando il Verde pubblico:
    058 866 73 12
    www.luganoalverde.ch

    https://www.prospecierara.ch/telerik.web.ui.webresource.axd?imgid=7b4e9c2764d942acba96d7948df9f67c&

    https://www.prospecierara.ch/it/novita/la-mappa-degli-alberi-da-frutto-antichi-del-luganese

    #pro_specie_rara #Suisse #espèces_anciennes #variétés_anciennes #cartographie #recensement #cartographie_participative #biodiversité

    signalé par @wizo

  • No Angels – laut.de – Band
    https://www.laut.de/No-Angels


    Je suis passé à côté de cet exploit musiscal, alors je découvre ...
    https://www.youtube.com/watch?v=3JcyVAFKuoM

    Eine Girl-Group wird konstruiert und alle sehen zu. So lautet das ebenso einfache wie geniale Konzept der Reality-Soap „Popstars“ auf RTL 2. Vom Casting über Gesangstraining, Imageberatung und Plattenproduktion bis zum Weg in die Charts nehmen die Zuschauer teil am perfekt geplanten Entstehungsprozess einer Popgruppe.

    Das Konzept für die Show stammt aus Australien und sorgte dort bereits für Traumquoten und Chartserfolge der Mädchenband Bardot. Kaum verwunderlich, hat doch schließlich die Popstarisierung von Seifenoper-Sternchen im Land der Jason Donovans, Kylie Minogues und Natalie Imbruglias eine lange Tradition.

    Mit anderen aktuellen Reality-Formaten wie „Big Brother“ hat „Popstars“ allerdings wenig gemein, denn Interaktivität findet nicht statt. Weder Teilnehmerinnen noch Zuschauer nehmen ernsthaft Einfluss auf den Fortgang der Geschichte. Ob Auswahl der Bandmitglieder oder Gestaltung der CD-Cover - hier haben die Profis aus Plattenfirmen und Konzertagenturen das Sagen. Lediglich beim Namen der Gruppe gab man vor, das Publikum zu beteiligen. Doch auch der stand in Wahrheit schon vorher fest, wie die Bild-Zeitung süffisant enthüllte.

    Nichts wird dem Zufall und noch weniger dem Zuschauer überlassen. Und das ist wohl auch besser so. Denn das Publikum weiß selbst am schlechtesten, was es will, wie der grandiose Misserfolg der ähnlich konzeptionierten, aber auf Zuschauer-Entscheidungen aufgebauten RTL-Serie „Deine Band“ belegt. Das unmündige Fernsehvolk scheint angewiesen auf spezialisierte Profis, die ihm in einem vollindustrialisierten Prozess die Selektionsentscheidungen abnehmen.

    Diesen Prozess legt die Serie „Popstars“ schonungslos offen und steht damit der aufklärerischen Tradition öffentlich-rechtlicher Dokumentationen näher als aktuellen Reality-Formaten. Die Popkulturindustrie entlarvt sich selbst. Adorno hätte seine Freude. Ändern wird sich dadurch freilich nichts, schließlich hat auch das Wissen um Massentierhaltung kaum Einfluss auf den Fleischkonsum, warum sollte also die detaillierte Aufdeckung des Klonungsvorgangs einer Mädchenband deren Chartserfolg behindern?

    Und damit zurück zum Produkt: Vanessa Petruo, Sandy Mölling, Nadja Benaissa, Jessica Wahls und Lucy Diakovska sind als Siegerinnen aus dem in Deutschland bisher einzigartigen Massencasting von fast 5000 Bewerberinnen hervor gegangen. Natürlich sehen sie blendend aus, natürlich singen sie hervorragend. Und auch mit ihren neuen Spice Girls-artigen Images als „Feuer“, „Eis“, „Erde“, „Luft“ und - mangels weiterer Elemente - „Geist“ können sie sich bald ganz gut anfreunden. Ihre erste Single „Daylight in Your Eyes“ chartet von Null auf Eins, das Album „Elle’ments“ folgt im März 2001 und wird ebenfalls ein Hitparadenerfolg. Eine Coverversion gehört natürlich auch ins Repertoire, sinnigerweise wird dafür „There Must Be An Angel“ von den Eurythmics gewählt. Die Kasse klingelt. Eigentlich sind die No Angels eine ganz normale Girl-Group.

    Im Juli 2003 sind die Mädels plötzlich nur noch zu viert. Nachdem die frische Mutter Jessica zunächst denkt, Karriere und Job unter einen Hut zu bringen, erfährt die Öffentlichkeit kurz darauf vom Split. Jessica wolle aber nicht völlig von der Showbühne abtreten, heißt es, und plane eine Solokarriere. Doch schon bald sickern Meldungen durch, dass sich keineswegs Jessy, sondern vielmehr das No Angels-Management dafür ausgesprochen hat, die Mädchenbande um ein Fünftel zu verkleinern. Die übrigen No Angels sollen dabei ihr Einverständnis gegeben haben.

    Anfang September 2003 geben die verbliebenen Vier plötzlich ihre Auflösung bekannt. Das Label bemüht sich sogleich, die ziemlich deutlichen Aussagen der Mädels umzuinterpretieren und aus der Trennung eine Pause zu machen. Äußerungen des Managers, er könne nicht sagen, ob seine Schützlinge ihre vertraglichen Verpflichtungen einhalten, weil die vier in alle Winde zerstreut seien, deuten darauf hin, dass selbst er von der Entscheidung überrascht wurde.

    Erst 2007 endet die „Pause“. Anfang Januar kündigt die Bild-Zeitung an, was schon Wochen zuvor vermutet wird: ein Comeback der erfolgreichsten deutschen Casting-Truppe. Sandy, Nadja, Lucy und Jessica wollen dem neuesten „Popstars“-Gewächs Monrose die Stirn bieten. Diesmal nicht im Boot: Vanessa. Sie verstehe sich mit den anderen nicht mehr, heißt es. Die Reunion-Single sowie ein Album folgen im März. Singend sagen die Damen „Goodbye To Yesterday“ und präsentieren sich leicht ironisch im dazugehörigen Video.

    Mit dem im April 2007 erscheinenden Album „Destiny“ beschreiben sie auch die Schicksalshaftigkeit ihrer Reunion: „Wir sind stolz, wieder zusammen zu sein. Jede von uns ist stolz darauf, ein Teil der No Angels zu sein - dieses Gefühl schweißt uns mehr denn je zusammen.“ Gelassener seien sie geworden und jede habe sich durch ihre Soloprojekte weiterentwickelt. Schließlich werden die No Angels auch für die Fans greifbar, die ihre Auferstehung erst leibhaftig erleben wollen, bevor sie sie glauben: „Wir können es kaum abwarten, wieder auf Tour zu gehen und den Leuten zu zeigen, dass sich das Warten auf die No Angels gelohnt hat!“

    Im März 2008 treten die No Angels beim deutschen Vorentscheid zum Eurovision Song Contest gegen Cinema Bizarre, Marquess, Tommy Reeve und Musicalsängerin Carolin Fortenbacher an. In einer denkbar knappen Entscheidung setzen die No Angels sich im Finale mit 50,5 Prozent der Stimmen gegen Carolin Fortenbacher durch - eine Million Anrufe und SMS sollen beim NDR eingegangen sein. Damit steht fest: Die No Angels treten am 24. Mai in der serbischen Hauptstadt Belgrad für Deutschland an, wo sie jedoch nur einen enttäuschenden geteilten letzten Platz belegen. Allerletzter werden sie nur deshalb nicht, weil sie aus Lucys Heimat Bulgarien satte zwölf Punkte bekommen.

    Was einen Neustart markieren soll kommt so recht nicht in die Gänge. Zwar machen die Mädels weiter Musik, aber an alte Erfolge kommen sie nicht heran. Turbulent wird es zudem noch, als Nadja Benaissa am Abend des 11. April 2009 in Frankfurt festgenommen wird. Der Vorwurf lautet, sie hatte mit Männern ungeschützten Sex, obwohl sie um ihre HIV-Infektion wusste. Erst Anfang Juli kommt sie wieder frei, muss sich aber im August 2010 vor Gericht verantworten: Diese schwere Zeit geht nicht spurlos an der Band vorüber. Letztlich gibt Nadja im Juli 2010 ihren Abschied von der Band bekannt.

    No Angels – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/No_Angels

    No Angels (englisch für ‚Keine Engel‘) war eine deutsche Girlgroup, bestehend aus ursprünglich fünf Sängerinnen, die im Jahr 2000 aus der ersten deutschen Staffel der Castingshow Popstars hervorging. Mit über fünf Millionen verkauften Platten[1] und vier Nummer-eins-Hits in den deutschen Singlecharts galt die Gruppe bis zu ihrer vorläufigen Trennung im Dezember 2003 als die erfolgreichste Girlgroup Kontinentaleuropas.

    So sehen die No Angels heute aus
    https://www.t-online.de/unterhaltung/stars/id_85321984/so-sehen-die-no-angels-heute-aus.html

    27.02.2019, 16:26 Uhr

    #musique #pop #variété #anges #militarisme

  • Johannes Heesters - Man müsste Klavier spielen können
    https://www.youtube.com/watch?v=ls0ukGcKU44


    Ja ! Il paraît que ça marche à tous les coups.

    Immer nur Du ist ein Liebes- und Musikfilm des Regisseurs Karl Anton, der auch am Drehbuch mitwirkte, aus dem Jahr 1941.

    Et de l’autre côté de l’Altlantique même les plus fauché gagnent les coeurs des filles.

    1941 The Marx Brothers, The Big Store - Chico and Harpo playing the Piano
    https://www.youtube.com/watch?v=3yUx6Dn8yi0

    Chico Marx plays Beer Barrel Polka
    https://www.youtube.com/watch?v=JXAVISpS4wM

    Je déconseille de s’y prendre comme dans la vidéo suivante, enfin il y a sans doute aussi des amateur/e/s de l’amour au bureau ;-)

    2013 Man müsste Klavier spielen können (WERSI Verona)
    https://www.youtube.com/watch?v=jCXzXnehFNc

    Là c’est mieux.

    Keith Jarret, Köln, January 24, 1975, Pt. I (Live)
    https://www.youtube.com/watch?v=Pd_Kti6jvy8

    Keith Jarret, Köln, January 24, 1975, Pt. II A (Live)
    https://www.youtube.com/watch?v=c77djHcrmVE

    1942 As Time Goes By - Original Song by Sam (Dooley Wilson)
    https://www.youtube.com/watch?v=d22CiKMPpaY

    Ceci est moins pathétique donc il y a moins de filles. Pourtant c’est plus drôle que « As Time Goes By »

    1946 A Night In Casablanca - Chico Marx Plays the Beer Barrel Polka
    https://www.youtube.com/watch?v=3M415DZei0U

    Rosamunde (Lied) – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Rosamunde_(Lied)

    Rosamunde ist der deutschsprachige Titel eines international bekannten Stimmungslieds, das auf einer 1927 von Jaromír Vejvoda komponierten böhmischen Polka basiert. Der tschechische Titel des Liedes lautet Škoda lásky („Schade um die Liebe“), im englischsprachigen Raum ist das Stück als Beer Barrel Polka bekannt.

    Jaromír Vejvoda komponierte 1927 die Modřanská Polka („Polka von Modřany“) als reines Instrumentalstück. Václav Zeman schrieb dazu 1932 einen Text mit dem Titel Škoda lásky und versah das Lied mit einem Stimmumfang von C4 bis F5.

    Im Jahr 1934 verfasste Klaus S. Richter einen deutschen Text mit dem Titel Rosamunde, durch den der Song zum Stimmungslied wurde. Akkordeonspieler Will Glahé brachte zunächst mit seinem Orchester eine in Berlin am 11. Mai 1938 eingespielte Fassung unter dem deutschen Titel Skoda Lasky, Böhmische Polka / Gänsemarsch mit einem Akkordeonsolo heraus (Electrola EG 6398), der sich bis 1943 zum Millionenseller entwickelte.[1] Rosamunde war der zweite Millionenseller der deutschen Musikindustrie nach dem Soldatenlied Lili Marleen von Lale Andersen.

    #musique #piano #jazz #variété

  • Podcast d’une conférence de Joseph Lofthouse, fermier et améliorateur de plante, qui fait un travail impressionnant dans le domaine des #landraces (#variétés-population). Il mélange plein de variétés différentes et les laissent se polliniser et sélectionne celles qui marchent chez lui, et qui satisfassent ses critères (productivité, goût). Il essaie même de croiser des tomates avec des espèces apparentées qui sont allogames (elles se croisent plutôt que de s’auto-polliniser) pour introduire les bons gènes et créer des variétés populations qui s’adapteront à son climat et ses méthodes.

    https://soundcloud.com/andrew-barney-745137400/food-security-through-common-sense-and-traditional-methods

    https://www.motherearthnews.com/biographies/joseph-lofthouse-landrace-gardener

  • Le combat tranquille d’un paysan pour la liberté des semences
    https://reporterre.net/Le-combat-tranquille-d-un-paysan-pour-la-liberte-des-semences

    Le #Potager d’un curieux est un endroit sorti d’un rêve. Celui de conserver la diversité des #variétés_potagères. Tout y est coloré, des panneaux signalétiques indiquent aussi bien la direction de la Fête du haricot que celle d’une Salle des fêtes fantasmée. Les plantes poussent sur des restanques en pierre sèche sur lesquelles trône la bâtisse qui abrite les #semences. Au centre du lieu de vie, un chêne monumental héberge une cabane et ombrage une immense table prête à accueillir des rassemblements festifs.

    #conservatoire_vivant
    http://www.lepotagerduncurieux.org

  • Ne travaillez jamais
    http://www.dailymotion.com/video/x4d5dz_henri-salvador-le-travail-c-est-la_music

    Le Travail C’est La Sante - Henri Salvador
    http://www.paroles.net/henri-salvador/paroles-le-travail-c-est-la-sante

    Le travail c’est la santé
    Rien faire c’est la conserver
    Les prisonniers du boulot
    N’font pas de vieux os.

    Ces gens qui cour’nt au grand galop
    En auto, métro ou vélo
    Vont-ils voir un film rigolo ?
    Mais non, ils vont à leur boulot

    Le travail c’est la santé
    Rien faire c’est la conserver
    Les prisonniers du boulot
    N’font pas de vieux os.

    Ils boss’nt onze mois pour les vacances
    Et sont crevés quand elles commencent

    Un mois plus tard, ils sont costauds
    Mais faut reprendre le boulot

    Dire qu’il y a des gens en pagaille
    Qui courent sans cesse après le travail
    Moi le travail me court après
    Il n’est pas près de m’rattraper.

    Maint’nant dans le plus p’tit village
    Les gens travaillent comme des sauvages
    Pour se payer tout le confort
    Quand ils l’ont, eh bien, ils sont morts.

    Homm’s d’affaires et meneurs de foule
    Travaill’nt à en perdre la boule
    Et meur’nt d’une maladie d’cœur
    C’est très rare chez les pétanqueurs !

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_travail_c%27est_la_sant%C3%A9

    Elle est sortie en 1965 en vinyle 45 tours, avec les titres Dis, M. Gordon Cooper, Bouli-bouli et Hula-hula.
    ...
    Maurice Pon met plus de six mois pour aboutir à la version finale du texte.

    Les Parisiennes - il fait trop beau pour travailler
    https://www.youtube.com/watch?v=8-YQkgfPxgk


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Parisiennes_(groupe)

    Les Parisiennes est le nom d’un groupe de musique yéyé des années 1960 réuni sur une idée de Claude Bolling. Quatre danseuses — Raymonde Bronstein, Anne Lefébure, Hélène Longuet et Anne-Marie Royer — chantent à l’unisson, accompagnées par un orchestre. La mise en scène, lorsqu’elles se produisent, est de Roland Petit.

    #musique #variété #France #travail

  • L’incroyable Sheila - L’école est finie
    https://www.youtube.com/watch?v=HUylpu7sk1Y

    Au premier abord ce clip n’a rien d’extraordinaire. Il montre un groupe de jeunes femmes jouant les folles devant une caméra. Il est monté suivant les principes de l’époque du cinéma direct , on y découvre mème un petit côté cinéma vérité à travers le choix du lieu du tournage. C’est un paysage de banlieue industrielle sale vraisemblablement sur les rives de la Seine ou sur une de ses îles.

    Quelle drôle d’époque fut ce début des années soixante quand il suffisait d’une caméra 16 mm et de quelques jeunes femmes pour produire un court-métrage commercial. C’est davantage par sa forme de prise de vue et de production que par son sujet qu’il exprime l’insouciance de l’avant-soixante huit, surtout quand on le compare á ses ancêtres jazz des années trente et quarante et les productions après mille neuf cent quatre-vingt.

    #musique #clip_vidéo #France #variété

  • C’est la faute á l’électricien
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Fran%C3%A7ois#D.C3.A9c.C3.A8s

    https://www.youtube.com/watch?v=bMoY5rNBjwk


    Comme d’habitude de Claude François

    Claude François meurt le samedi 11 mars 1978, à 15 heures, à son domicile parisien du 46, boulevard Exelmans, d’un œdème pulmonaire provoqué par une électrocution accidentelle dans sa salle de bain alors qu’il prenait une douche. En redressant pour la énième fois, en maniaque du détail qu’il est, l’applique électrique murale de travers située au-dessus de sa baignoire, ses doigts restent collés au cuivre, les fils étant en partie dénudés. Ironie du sort, un électricien était venu le mardi matin précédent pour des problèmes électriques dans son appartement mais n’avait pu accéder à la salle de bain : il aurait fallu, pour l’atteindre, qu’il traverse la chambre dans laquelle dormait le chanteur, ce que sa secrétaire Françoise avait exclu pour éviter de le réveiller, aussi un autre rendez-vous avait-il été pris le 13 mars.

    https://www.youtube.com/watch?v=T88FkGV6gOo


    My Way interprété par Sid Vicious avec une chute toujours choquante.

    #chanson #punk #variétés

  • Kokopelli : graines de résistance
    http://www.franceculture.fr/emission-sur-les-docks-kokopelli-graines-de-resistance-2014-09-23

    « Une graine de variété ancienne, donnera des tomates, dont on pourra replanter les graines. Ce n’est pas le cas des variétés hybrides, vigoureuses sur une seule saison, sans saveur et gorgées d’eau, et qui rendent les agriculteurs dépendants des semenciers » accuse le directeur de Kokopelli Ananda Guillet, 27 ans. L’association fondée par ses parents en 1999 produit en agriculture biologique et commercialise plus de 2200 variétés de graines anciennes, issues d’hybridations naturelles, dont 650 espèces de tomates ! Durée : 53 min. Source : France Culture

    • Beh si on peut replanter des graines d’hybrides de tomates ou de n’importe quelle autre espèce. Ça donnera rien d’uniforme car ça contiendra une diversité génétique issue du croisement initial qui s’exprimera au niveau des individus plantés. Mais c’est dommage car l’agriculteur ou l’agricultrice a « besoin » d’uniformité pour des raisons techniques ou commerciales.
      Et ce ne sont pas les hybrides qui enferment les agriculteurs et agricultrices, mais le fait de les acheter à des compagnies qui ne dévoilent pas les parents utilisés dans le croisement initial. Si les parents sont connus, les hybrides peuvent être reproduits, et rien n’empêche d’en inventer soi même (je sais qu’au moins une personne le fait), ni d’inventer des méthodes ou on cultive une diversité pour un même légume.

      commercialise plus de 2200 variétés de graines anciennes, issues d’hybridations naturelles,

      Alors là je suis plus que dubitatif ... Justement le but c’est de ne pas « hybrider », en tout cas de choisir scrupuleusement la parenté des croisement donc dans pas mal de cas d’éviter justement une hybridation naturelle. Pas pour les espèces autogames comme la tomate, pas pour les espèces dont une seule variété est cultivée dans un rayon de quelques centaines de mètres. Sinon la plupart du temps c’est en serre, ou dans des cages, ou par une pollinisation manuelle.

      Bref les poncifs habituels sur le sujet. Grr.

    • Ça n’empêche que ça raconte toujours les mêmes choses fausses sur les hybrides, la liberté des semences, et que ça mélange les problématiques des jardinier.e.s, des semencier.e.s et des mairaîcher.e.s qui ne sont pas les mêmes. Vu l’importance du débat, c’est dommage et dommageable...

    • Non, c’est moi qui ai supprimé mon message. En fait, c’est pas ta première remarque qui m’a fait réagir tout à l’heure, c’est qu’on renchérisse dessus en soupçonnant que l’émission (mal présentée) n’ait pas été écoutée. D’où mon commentaire parce que je voyais le truc dévié mais bon voilà, maintenant, chacun peut y aller de son commentaire bien-sûr :)

    • Oui j’avais pas écouté le reportage encore quand j’ai commenté. Cela dit je me suis retenu pour ne pas en rajouter une couche sur le sujet pendant l’écoute :) Le focus est plus large, et concerne surtout les personnes qui vendent des graines et font pousser des légumes de manière professionnelle, mais il y a souvent des amalgames avec les stands kokopelli dans les foires avec les échanges de jardinier.e.s amateurs, donc ...

      Ce que je trouve vraiment dommage c’est que la grille de lecture actuelle est à peu près juste concernant les pros (concrètement, ils et elles ne peuvent pas acheter les semences de légumes anciens car le catalogue officiel fait rempart), mais masque les autres problèmes (je me demande si beaucoup de pros achèteraient des semences traditionnelles plutôt que des hybrides, même en bio. Pour des raison de résistance aux maladies, de calibrage, d’homogénéité, de débouchés, et surtout je ne pense pas que beaucoup de pros fassent leurs graines (la tomate c’est le symbole mais justement c’est un cas particulier car les variétés ne se croisent pas entre elles) de toute façon. Donc finalement c’est pas tant le caractère non reproductible des hybrides qui est génant (à part pour les jardinier.e.s qui font plus leurs graines) mais l’impossibilité pour le/la maraicher.e d’acheter n’importe quelle semence.

      J’ai mis le doigt aussi sur ce qui me gênait le plus. Et c’est que tacitement on laisse aux industriels le soin de créer de nouvelles variétés, et on se campe sur la préservation de variétés anciennes (je dis pas qu’il faut le faire hein). Tellement de chose passionantes et utiles peuvent être faites au jardin, pour créer de nouvelles variétés qui nous correspondent mieux ...

    • Le problème c’est pas qu’on laisse le soin aux industriels de créer de nouvelles variétés, je pense que beaucoup de jardiniers, maraîchers ou horticulteurs s’y sont attachés. Le problème c’est plutôt que seuls les industriels ont les moyens financiers de les faire homologuer pour qu’elle soient commercialisables.

  • Nécrophilie

    [030] MAGAZIN Berlin - Eden nervt jeden -
    http://www.berlin030.de/content/view/14156/91

    Von unzähligen Titelblättern glotzte mich ein gelifteter Clown im hellbeigen Anzug an: Rolf Eden (80 ­Jahre)! Warum ist dieser peinliche Opa Kult? Mal ging’s um die Filmpremiere »The Big Eden«, mal um die Hochzeit mit der 27-jährigen »Cherie«—Nekrophilie oder Nostalgie? Oder um 125 Jahre Kudamm. Der Jopie Heesters Westberliner Diskozeiten? »Mr. Nightlife« hatte sechs Tanzschuppen und tausend Frauen. Ich rief Oma an. Sie: »Wer als Frau mit Rolf Eden feierte, war eine Schlampe!« Ich: »Aber alle nennen ihn charmant, Ur-Playboy, Millionär oder Berliner Kult!« Oma: »Play-Opa charmant?? Pfff, in einer Talkshow prahlte er, ein Mädchen verklagt zu haben, weil sie mit dem alten Sack nicht pennen wollte. Peinlich!«


    Copyright : Das blaue Sofa / Club Bertelsmann

    »Wo war da Alice Schwarzer? Ins Eden gingen nur billige Flittchen und stinkende Prolls! Zwischendrin mal eine abgeschleppte Audrey Landers (›Dallas‹) oder die Rolling Stones. Wer in den 70ern in Westberlin einen Absacker wollte, lallte ›Was solln wir lange reden, gehn wir ins Big Eden‹. Es gab ja sonst nix! Jetzt fährt er ohne Chauffeur im Rolls Royce zum Wiener Caféhaus Roseneck. Hofhalten mit feuchtgelber Inkontinenz im Schritt. Der Einzige, der die Ehrung ›Playboy‹ verdient, war Gunter Sachs: Crestarennen in St. Moritz, Brigitte Bardot, Pop Art Wohnung mit Warhol. Kultur pur und Jetsetter, Sportler, Top-Fotograf. Aber Eden?!« »Oma, das reicht für meine Entscheidung!« Mag der Leser selbst entscheiden, welche Kultfigur besser zu ihm passt! Ich bin gespannt, ob in 40 Jahren unsere Clubbetreiber Kultstatus erreicht haben!

    Merci Marcello !

    https://www.facebook.com/rolf.eden

    Der Playboy hat mit 80 noch Pläne
    http://www.wz-newsline.de/home/gesellschaft/leute/der-playboy-hat-mit-80-noch-plaene-1.155125

    Bekannt geworden ist Eden als Nachtclub-und Diskotheken-Besitzer auf der Insel Westberlin. In den 50er und 60er Jahren etablierte er das, was man heute Erlebnisgastronomie nennt - und hatte damit bis in die 80er Jahre großen Erfolg. Nach der Wende steppte der Bär in Ostberlin. Eden wusste, wann man aufhört: Seine letzte Diskothek, das Big Eden, hat er 2002 nach eigenen Angaben für eineinhalb Millionen Mark verkauft - „nur für den Club, die Immobilie gehörte mir ja gar nicht.“

    Gewinne steckte er immer schon gern in Immobilien. „20 Häuser“, sagt er kurz. Auf die Verwaltung hat er ein Auge. Geld brauchte er immer für seine sieben Kinder und ihre Mütter. „Ich zahle 30000 Euro Unterhalt im Monat“, sagte er der „Süddeutschen Zeitung“.

    Aujourd’hui papy pervers nous fait sourire, chez Arte on montre un film sur sa vie, mais au moment de sa vraie gloire Rolf Eden était une figure de proue du Berlin réactionnaire sexiste qui vivait la « libération sexuelle » d’une manière primaire. Pour les nantis du Grunewald l’ambiance libertaire des années 60 n’était qu’un prétexte pour jouer ouvertement et sans remords le vieux jeux de domination sexuelle et économique. Ils étaient des sadistes de pacotille, sans grandeur, sans vrai pouvoir, ils vivaient sous la pluie des subventions versées sur la Frontstadt Berlin par les généraux de l’Axe anti-communiste Kaapstad-Tel Aviv-Washington-Bonn.

    La grand-mère de Marcello a raison, Rolf Eden et ses 1000 filles c’était autre chose que Gunther-Sachs et Brigitte Bardot. Son histoire est celle d’un jeune juif qui a fait carrière dans le milieu du Berlin d’aprés-guerre. On n’évoque que sous forme d’allusion les aspects les plus intéressants de son histoire. Depuis le scandale autour de la pièce de théâtre de Rainer Werner Fassbinder Der Müll, die Stadt und der Tod pour beaucoup de journalistes il y a comme un tabou qui empêche les reportages sur les relations économiques des élites allemandes avec l’Axe du Bien.

    Rolf Eden jouait le jeu du juif alibi qui n’en voulait pas aux allemands et en profitait pleinement. Il était accueilli les bras ouverts par tous les petits bourgeois qui étaient restés à Berlin après la construction du mur, les vrais nantis étant partis depuis longtemps. On aurait envie de leur crier après :

    Hunde, wollt ihr ewig leben


    Il y a manière et manière de viellir. Frank Zander, l’autre vedette berlinoise notoire occupe ses jours avec l’organisation d’un banquet de noël pour tous les SDF de la ville. Il est d’un autre acabit.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Frank_Zander

    https://de.wikipedia.org/wiki/Hunde,_wollt_ihr_ewig_leben

    Der Müll, die Stadt und der Tod
    http://de.wikipedia.org/wiki/Der_Müll,_die_Stadt_und_der_Tod

    Berlin-1960-1961 Berlin #Wilmersdorf #Damaschkestraße Old Eden Saloon 1960 http://www.medienarchiv.com/Berlin/Diverse/Berlin-1961-Baake/ppages/ppage203.htm

    http://www.khd-research.net/Heimat/B/Ex/Grunewald_Dies&Das_06.html

    Eden-Saloon: Im März 1957 eröffnete in Halensee an der Nestorstraße 7 ein Rolf Eden eine spektakuläre Nachtbar – den berühmten Eden-Saloon, der etwas später in die Damaschkestraße (frühere Küstriner Straße) umzog. Die Bar avancierte sehr schnell zum ultimativen Treff für nicht nur Junggebliebene, denn der Werbe-Slogan hieß damals „Eden lockt jeden“. Auch viele Stars und Sternchen gaben sich hier die Klinke in die Hand. Schon um 1960 wurde der Club zu klein, und so eröffnete Rolf Eden am Lehniner Platz das größere „New Eden“. Der Eden-Saloon hieß nun „Old Eden“. Und 1967 kam dann noch unten am Kurfürstendamm die Discothek „Big Eden“ hinzu, das noch heute (2006) existiert.

    #Berlin #variéte #nightclub #fifties #sixties

    • Tiens bonne idée de s’intéresser un peu aux habitants de l’allemagne sans argent, de la belle allemagne exemple européen de la réussite, raconte nous en un peu plus. Sais tu qu’en france, ceux qui n’ont pas d’argent, dorment à Paris dans des cabines téléphoniques avec leurs bébés, devant les grands magasins dans des cartons entre Opéra et Saint Lazare, en plein centre de Paris, capitale de la mode.
      A Toulouse, ils ont plusieurs chiens compagnons pour ne pas se faire embarquer et à peine de quoi boire pour ne pas avoir froid.
      #misère

    • A vrai dire les raisons et les responsables de la misère et de la pauvreté m’intéressent plus que la misère tout simplement. La misère est un état à dépasser, à abolir par l’action politique, collective et individuelle.

      En s’intéressant aux couches aisées on apprend des choses sur leur manière d’agir et d’embellir l’exploitation en lui superposant une couche de vernis idéologique et de fond de teint. Si tu ne tombes pas dans le piège des histoires préfabriquées de la presse "people" tu découvres à la fois le visage humain des riches et le visage effrayant du système d’injustice qui les fait vivre.

      Ce problème se pose également quand on s’approche du vrai visage de la pauvreté : quand on est pauvre on a peu de raisons d’être bon, la solidarité et l’empathie sont parmi les premières victimes des attaques contre les sans défense.

      Wie man sich bettet so liegt man
      https://www.youtube.com/watch?v=ZH9TAPXIgPY

      Denn wie man sich bettet
      Der Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny
      Bertolt Brecht

      Meine Herren, meine Mutter prägte
      auf mich einst ein schlimmes Wort:
      Ich würde enden im Schauhaus
      oder an einem noch schlimmern Ort.

      Ja so ein Wort, das ist leicht gesagt
      aber ich sage Euch, daraus wird nichts!
      Das könnt ihr nicht machen mit mir!
      Was aus mir noch wird, das werden wir seh’n !

      Ein Mensch ist kein Tier!

      Denn wie man sich bettet, so liegt man,
      es deckt einen da keiner zu
      und wenn einer tritt, dann bin ich es
      und wird einer getreten, dann bist’s du.

      Meine Herren, mein Freund der sagte
      mir damals ins Gesicht:
      ‘Das grösste auf Erden ist Liebe
      und ‚an morgen denkt man da nicht’

      Ja Liebe, das ist leicht gesagt,
      doch solang man täglich älter wird,
      da wird nicht nach Liebe gefragt,
      da muss man seine kurze Zeit benützen!

      Ein Mensch ist kein Tier!

      Denn wie man sich bettet...

      Comme on fait son lit, on se couche

      Messieurs, ma mère jadis me disait parfois
      des mots bien pénibles ma foi :
      je finirai un jour, c’est sûr, à la morgue
      ou bien dans un endroit pire encore.

      Ah, ces choses sont si faciles à dire
      Mais croyez-moi, il n’en sera rien !
      Je ne me laisserai pas faire !
      Ce que je serai, on verra bien !

      On n’est pas des chiens !

      Car, comme on fait son lit on se couche,
      personne ne viendra nous border,
      si quelqu’un doit gagner ce sera moi,
      si quelqu’un doit crever ce sera toi.

      Messieurs, voilà ce que mon homme
      me disait sur tous les tons :
      « L’amour, il n’y a que ça au monde,
      et ne songe pas au lendemain »

      Oui, cause toujours, l’amour c’est bien beau,
      mais voilà, tous les jours on s’use un peu,
      L’amour c’est pas ça qui nourrit,
      faut d’abord songer à ses vieux jours !

      On n’est pas des chiens !

      Car comme on fait son lit...

      Mais il est vrai, il faudrait louer les efforts de la Kältehilfe http://www.kaeltehilfe-berlin.de , parler des expulsions hivernales et de l’attitude du gouvernement municipal SPD/CDU qui va démolir le campement de protestation des réfugiés de Lampédouse sur l’Oranienplatz.

    • Oui, voila @klaus, je ne critique pas ton point de vue qui est intéressant, seulement je réalisais que nous pouvons échanger et apprendre des choses que les médias, offices de tourisme du capitalisme, taisent, sauf à vanter les oeuvres de charité ou donner des chiffres sur l’accroissement de la misère.

  • MAGNIFIQUE !

    Les #semences de #variétés_traditionnelles ne peuvent plus être commercialisées

    La Cour de Justice de l’Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l’interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au #catalogue officiel européen. Ecolo propose une réforme de la réglementation, qualifiée d’"absurde".

    http://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-semences-de-varietes-traditionnelles-ne-peuvent-plus-etre-commercial

    #agriculture #Kokopelli #semailles

  • Autriche : les gardiens de l’Arche de Noah
    http://alter-echos.org/alternatives-concretes/autriche-les-gardiens-de-larche-de-noah

    En Autriche, plus de 6 000 variétés de légumes rares et de céréales sont conservées par l’Arche de Noah. Cette organisation à but non lucratif, forte de 10 000 membres, mise sur le travail en réseau pour faire vivre la biodiversité cultivée. Cet article a initialement été publié dans le Journal des rencontres internationales des maisons de semences qui se sont déroulées du 27 au 29 septembre 2012 à Boulazac (Dordogne) à l’initiative du Réseau Semences Paysannes, de Bio d’Aquitaine et de l’association BEDE. (...)

    #ArchedeNoah #banquesdesemences #biodversité #conservation #maisonsdesemences #miseenréseau #semences #variétésanciennes

    @fil
    @rezo